Les boules du dragon (4)

Récit érotique écrit par Nicolas94720 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Les boules du dragon (4)
Bonjour tout le monde. Voici ma quatrième histoire avec les personnages de DBZ (+18).
Après avoir consolidé la digue entourant l'ile où réside Kamé Sennin, Goku s'offrit un moment de détente en se baignant dans l'océan. Après quelques brasses, il flotta paisiblement en se laissant porter par le courant. Soudain, une forme sombre s'approcha de lui et des tentacules visqueux s'enroulèrent autour de ses membres. Ligoté, Goku ne paniqua pas. Il reconnut la pieuvre venue se divertir, encore une fois, avec lui. Goku redevint pendant quelques instants une marionnette manipulée par les tentacules. L'animal intelligent vicieux stimulait ses zones érogènes et branlait son pénis. Il introduisit aussi ses appendices à l'intérieur de ses superbes fesses musclées. Contrairement aux précédentes fois, Goku sentait que les tentacules étaient davantage plus larges et qu'ils s'engouffraient plus loin au fin fond de ses boyaux. La douleur était atténuée grâce à un anesthésiant sécrété par la pieuvre. Goku ne tarda pas à éjaculer, submergé par les multiples stimulations tactiles internes et externes de son corps. Une raie qui passait à proximité reçut le foutre sur elle. La pieuvre le libéra et s'éloigna.
Le surlendemain, Goku avait les intestins en vrac. Il décida de consulter un toubib et se rendit par erreur chez le Dr. Gero. Goku ne savait pas que le scientifique effectuait des recherches sur lui dans le but de l'éliminer parce qu'il avait détruit ses créations. Le docteur était ravi que sa proie se jette dans la gueule du loup. Il écouta attentivement son ennemi en réfléchissant en même temps comment s'en débarrasser ; une idée brillante illumina son visage. Après un nettoyage interne, Goku était nu à quatre pattes sur une table. Le Docteur trouva le problème à partir d'une coloscopie : la pieuvre avait déposé des œufs dans ses intestins.
Le Dr. Gero écarta les parois du cul avec un spéculum puis il essaya d’enlever les ovules à l’aide d’instruments médicaux. Il fit semblant de ne pas y arriver afin d'employer les grands moyens. Il poursuivit l’élargissement des sphincters en employant sa main droite graissée en formant un vé. L’insertion se révéla aisée au début grâce à la dilatation effectuée précédemment par le céphalopode. Ensuite, l’avant-bras s'enfonçait difficilement jusqu'au coude dans les fesses du Saiyan. Heureusement, le docteur n'avait pas le bras long. L'orifice endolori n'avait jamais était autant étiré auparavant. Le déchirement était ardent. Goku se retenait d'hurler de douleur, lui qui était pourtant habitué à maltraiter son corps.
L’homme âgé s'amusa après à fister son ennemi. Il plongeait sa main au fond des fesses en donnant de puissants coups de poing direct. Aussitôt après, il la retirait rapidement. Les entrailles de Goku étaient comblées rudement et vidées brutalement ; ses sphincters changeaient sans cesse de diamètre. Ces nouvelles sensations donnaient du plaisir à Goku ; le vieux pervers jubilait en voyant sa trique phénoménale. Quoi de neuf docteur, demanda Goku haletant. Il lui répondit qu'il faisait un effet ventouse pour retirer les ovules. Dix minutes plus tard, le docteur Gero mit un terme au pistonnage. Il enleva les œufs et les remplaça par une puce électronique qui servira à assouvir sa vengeance. Enfin, il dégrada le guerrier de l'espace en frottant sa prostate pour le faire juter sans masturbation. Le Doc regretta que Goku ne sache pas qu'il avait jouit avec la main de son adversaire à l’intérieur de son cul. Le Saiyan rentra chez lui en chancelant et avec l’arrière-train grand ouvert.
Deux jours plus tard, un vilain en provenance de l’espace intersidéral arriva sur la planète bleue dans le but de la conquérir. Sans attendre, Kakarot et Végéta s’associèrent pour affronter Broly. Les présentations faîtes, ils combattirent lors d’un affrontement légendaire. Les habits partaient en lambeaux et nos trois Saiyans étaient quasiment nus.
Le Dr. Gero vérifiait à distance les paramètres vitaux de Kakarot émis par la puce électronique dans son fondement. Il constatait une activité intense, peut-être un combat, pensa-t-il. D’un coup, les données changèrent complètement. Le Docteur n’en comprenait pas l’origine. Il décida de passer à l’action en envoyant une commande à la puce. Il espérait qu’elle affaiblirait Kakarot et qu’il se prenne une branlée monumentale, ou plus, si possible.
Sur le terrain, deux transformations eurent lieux. Broly s’était métamorphosé en super Saiyan. Kakarot et Vegéta avait fusionné en Gogéta. Durant la bataille, Gogéta se sentit subitement faiblir pendant que Broly le ramenait contre son torse. La tête de Gogéta se coinça en avant entre les pectoraux volumineux. Dans la foulée, Broly rapprocha ses bras pour compresser ses gros seins. Si Gogéta ne faisait rien, son crâne, pris en étau, imploserait, telle une noix dans une pince. Il tenta de s’extraire en tapant sans succès sur les pectoraux lourds. Il attrapa alors les tétons et les pinça fortement. Des contractions musculaires involontaires traversèrent le corps de Broly. Gogéta en profita pour se libérer de son emprise charnelle.
En observant l’énergie de Gogéta remonter, le Dr. Gero décida d’humilier le guerrier en déclenchant son excitation. Instantanément, Gogéta eût une fulgurante érection et son état d’esprit s’embruma dans la luxure ; il croyait que c’était dû à la trituration des mamelons charnus de Broly. Ainsi, Gogéta poursuivit en gobant un téton. A cela, il pinça le deuxième d’une main tandis que l’autre branlait le chibre veineux disproportionné sans parvenir à l’entourer entièrement. Broly gémissait bruyamment, il ne voulait plus faire la guerre mais l’amour. Le grand gaillard aux cheveux vert fluo allait enfin faire l’amour avec quelqu’un. Tant pis si ce n’était pas avec une femme. Il laissa son adversaire lui faire du bien et mener l’action.
Gogéta abandonna les tétons gonflés. Il essaya d’avaler le chibre démesuré sans y arriver, sa bouche était bien trop petite. Il se contenta de lécher l’énormité de la base à la fente de pisse. Peu après, Broly était impatient de transmettre la vie. Il avait tellement attendu longtemps, seul, que ce jour arrive. Il souleva sans peine Gogéta et le porta en posant une main sous chaque fesse, en position de congrès suspendu. Gogéta enroula ses jambes autour de la taille de Broly et se maintint en agrippant ses larges trapèzes. Broly baissa ensuite les fesses de Gogéta sur son sexe dressé afin qu’elles s’empalent dessus. Inexpérimenté et empressé, le puceau ne se demanda pas si son chibre surdimensionné pouvait se glisser dans son partenaire. Heureusement, l’union des sphincters serrés de Végéta, et ceux de Goku, distendus par le fistage récent, permirent au trou de baise de Gogéta d’engloutir aisément le chibre imposant en l’enserrant confortablement. Tout entra mais c’était trop profond pour Gogéta. Le gland faisait un renflement au niveau du ventre plat où sa forme était parfaitement discernable. Allait-il le transpercer, s’interrogea Gogéta inquiet.
Broly saisit la taille fine du combattant aux cheveux hérissés bleu ciel. Il le baisa frénétiquement en secouant ses organes internes. Ses lèvres du cul sortaient et rentraient à chaque va-et-vient. Gogéta releva le défi de supporter ce traitement. Il s’imagina qu’il s’agissait d’un énième entrainement lui permettant de surpasser ses capacités physiques. D’ailleurs, ses gémissement émis sous forme d’écho prouvaient qu’il appréciait.
Surexcité, des arcs électriques entouraient Broly et ses grosses boules débordant de semences étaient en ébullition. La délivrance était imminente. Broly prit la pose des doubles biceps en poussant un rugissement assourdissant. Gogeta sentit le chibre se dilater juste avant qu’il expulse dans son cul, tel un geyser, une quantité phénoménale de foutre. Sous la pression, Gogeta se détacha de Broly et décolla. Il fut propulsé plusieurs mètres en avant en rejetant du sperme sur sa trajectoire. Broly était maintenant apaisé et content. La colère qui l’habitait à cause de sa frustration sexuelle avait disparu. Il se demanda s’il devait garder son collier électrique « anti-aboiement » qui l’asservissait. Finalement, il ne l’arracha pas car il craignait la réaction de son géniteur. Broly laissa Gogéta, dans l’herbe, sortir de sa torpeur et il rentra chez lui, dans sa capsule, rayonnant de bonheur. La conquête de la Terre attendra.
Deux jours plus tard, Végéta, appuyé contre un tronc d’arbre, cherchait à comprendre l’issue de leur combat contre Broly en ronchonnant. Que s’était-il passé, se demandait-il en boucle. Il sortit de ses pensées nébuleuses lorsqu’une machine à voyager dans le temps apparut devant lui. Végéta fut ravi d’apercevoir Trunks du futur sortit du véhicule. Le père et le fils s’enlacèrent chaleureusement. Les retrouvailles se refroidirent quand Trunks lui présenta C17 qui descendait à son tour sur la terre ferme. Aussitôt, Végéta voulut annihiler l’androïde qui utilisait son fils comme un jouet sexuel. Trunks l’en dissuada et souhaitait lui expliquer l’évolution de la situation. Végéta refusa d’écouter et lui ordonna d’aller « voir ailleurs si j’y suis ». Le fiston obéit et se rendit sur-le-champ chez Goku en espérant y rencontrer Gohan.
La fierté de Végéta avait perdu de sa superbe. Le guerrier arrogant ne pouvait pas seulement se contenter de bavarder avec C17. Il avait le devoir de venger sa progéniture. Une bataille s’en suivit entre les deux proches de Trunks. Durant celle-ci, le Dr. Géro étudiait en temps réel les données envoyées par la puce électronique. Agacé, il ne comprenait pas pourquoi les paramètres vitaux était une nouvelle fois différents. Il déclencha une deuxième fois le désir sexuel chez le porteur de l’élément intrusif pour comparer les réactions. Végéta sentit sa libido croitre brusquement. Pas encore, pas comme Gogéta, pensa-t-il en baissant sa garde. C17 profita de la situation en frappant son beau-père engourdi. Végéta traversa en vol plané la fenêtre de sa chambre en la fracassant puis il atterrit au pied du lit conjugal. C17 sauta à travers la fenêtre brisée et se jeta sur Végéta dans un combat au corps au corps. Rapidement, l’affrontement se transforma en bagarre sensuelle tactile. Végéta avait une formidable érection et il dévisageait son adversaire d’un regard lubrique. C17 s’accommoda de ce changement de posture et accepta de passer à une activité physique plus réjouissante.
C17 colla ses lèvres contre celle du Saiyan. Végéta laissa le passage libre afin que leurs langues s’entremêlent. C17 trouvait qu’il embrassait bien, mais pas aussi délicieusement que son Trunks. C17 voulut ensuite remplacer son organe du goût par celui de la reproduction. Il rompit le baiser, se déshabilla et arracha les habits de Végéta. Il s’assit au bord du lit et lui fit signe de s’agenouiller entre ses jambes. C17 ouvrit la bouche inexpérimentée de son beau papa, en baissant le menton d’une main, puis il y fourra sa teub turgescente brillant de précum. Végéta la suça de haut en bas en s’appliquant à lui donner du plaisir. S’il n’était pas livré à la luxure, il aurait sectionné cette teub qui remplissait sans cesse son fils de semence.
C17 saisit la tête de Végéta. Il l’utilisa comme un masturbateur en la déplaçant sans ménagement sur toute la longueur de sa teub. C17 plaquait parfois son visage contre son pubis pour le faire bâillonner. Végéta apprenait ainsi à gérer sa respiration et les haut-le-cœur avec une bite enfonçait dans sa gorge. C’était en quelque sorte un autre entrainement pour s’améliorer. Après de nombreux aller-retour irréguliers, C17 accéléra le rythme jusqu’à ce qu’il crache son sperme directement dans l’œsophage du guerrier déchu. C17 maintint sa tête jusqu’à ce qu’il avale la dernière goute de son précieux liquide. Il ne fallait rien gaspiller.
L’humain artificiel aux longs cheveux bruns bandait toujours. « Je vais déposer une deuxième charge dans ton autre trou », dit-il d’un air autoritaire. A son ordre, Végéta se mit à quatre pattes sur le lit. Alors qu’il attendait la suite inévitable en regardant devant lui, Végéta tressaillit lorsqu’il sentit un contact chaud et humide sur son trou de balle. Il se retourna et vit stupéfait une tête entre ses deux lobes. C17 léchait l’anus abondamment en y déposant une grande quantité de salive. Il introduisit deux doigts à l’intérieur pour le détendre et humidifier le conduit qu’il garde. Végéta sentait la langue qui essayait de s’enfoncer le plus loin possible au fond de lui. « Ton fiston adore ça », dit C17 à Végéta dont la gêne se lisait sur son visage. Le Saiyan trouvait cela sale mais tellement agréable. C17 rajouta deux autres doigts à travers la rondelle distendue sans rencontrer de résistance à sa grande surprise.
C17 : Je vois que tu as l’habitude de prendre du plaisir de ce côté-là. Tu es bien lâche.
Végéta : Non ce n’est pas ce que tu croies.
C17 : Pas besoin de te justifier, tu ne vas pas me raconter ta vie. Ça va faciliter la pénétration.
Végéta aurait voulu lui rétorquer que c’était à cause de la sodomie subit en étant Gogéta. C17 ne lui en laissa par l’opportunité. La préparation terminée, C17 admira la croupe du père de son objet sexuel musclé. « Je veux t’entendre me supplier de te baiser », exigea le dominant. Le dominé refusait de dire de telle insanité, pourtant, son cul affamé l’obligea à mendier. C17 poussa Végéta à plat ventre et se mit sur son dos en l’écrasant. Il planta sa teub lancinante en lui et pompa hors et dans la rondelle, lentement au début, puis en accélérant la cadence sans atteindre l’orgasme. C17 exaltait en entendant ses cuisses claquer contre les fesses dures. Un sentiment d’humiliation habitait Végéta. Lui qui était normalement actif au-dessus d’une femme se retrouvait anormalement passif en-dessous d’un homme.
Une vingtaine de minutes plus tard, C17 commanda : « Maintenant, montre-moi que t’es accro à ma bite ». Dans la position du crabe, Végéta, jambes pliées et bras tendus, planait en sens inverse au-dessus de C17 qui était sur le dos. Il s’enfilait sur la teub en balançant son bassin tel un ressort. Il avait honte de se baiser volontairement sur le sexe de son beau-fils maléfique. En plus, C17 lui avait imposé de garder le contact visuel pendant l’accouplement. Végéta essayait de rester stoïque malgré le plaisir qu’il ressentait quand un point particulier dans son cul était attisé. Toutefois, sa communication non verbale le trahissait. Inévitablement, Végéta céda face au plaisir incommensurable en laissant s’échapper des gémissements. Ils résonnaient dans sa chambre en se mêlant à ceux de C17.
« Je veux voir ton visage pendant que je vais t’engrosser ». Sur ses paroles, en missionnaire, C17 était entre les jambes de Végéta levées en angle droit. Il le pilonnait en donnant des coups de reins forts et rapides. Les deux partenaires haletaient. Végéta ne voulait pas jouir de cette façon mais il ne parvint pas à se retenir de gicler. C17 le suivi en éjaculant une nouvelle fois dans son beau-père. Il le gratifia par la suite d’un : « Tes trous exquis et ton corps lascif sont aussi chauds que ceux de mon Trunks ». Il conclut en s’extasiant par : « Tel père, tel fils ».
C17 sortit du deuxième orifice fécondé et présenta sa teub visqueuse aux lèvres de Végéta. Le nettoyage terminé, Végéta enleva un petit truc collé sur sa langue et le lança par la fenêtre brisée. C’était la puce électronique qui avait changé de colon en passant de Kakarot à Végéta via la dissociation de Gogéta. Elle atterrit dehors sur la queue d’un serpent qui prenait le soleil.
Pendant ce temps-là, le Dr. Géro analysait les dernières données reçues et Trunks du futur passait du bon temps avec Gohan. À suivre…
Après avoir consolidé la digue entourant l'ile où réside Kamé Sennin, Goku s'offrit un moment de détente en se baignant dans l'océan. Après quelques brasses, il flotta paisiblement en se laissant porter par le courant. Soudain, une forme sombre s'approcha de lui et des tentacules visqueux s'enroulèrent autour de ses membres. Ligoté, Goku ne paniqua pas. Il reconnut la pieuvre venue se divertir, encore une fois, avec lui. Goku redevint pendant quelques instants une marionnette manipulée par les tentacules. L'animal intelligent vicieux stimulait ses zones érogènes et branlait son pénis. Il introduisit aussi ses appendices à l'intérieur de ses superbes fesses musclées. Contrairement aux précédentes fois, Goku sentait que les tentacules étaient davantage plus larges et qu'ils s'engouffraient plus loin au fin fond de ses boyaux. La douleur était atténuée grâce à un anesthésiant sécrété par la pieuvre. Goku ne tarda pas à éjaculer, submergé par les multiples stimulations tactiles internes et externes de son corps. Une raie qui passait à proximité reçut le foutre sur elle. La pieuvre le libéra et s'éloigna.
Le surlendemain, Goku avait les intestins en vrac. Il décida de consulter un toubib et se rendit par erreur chez le Dr. Gero. Goku ne savait pas que le scientifique effectuait des recherches sur lui dans le but de l'éliminer parce qu'il avait détruit ses créations. Le docteur était ravi que sa proie se jette dans la gueule du loup. Il écouta attentivement son ennemi en réfléchissant en même temps comment s'en débarrasser ; une idée brillante illumina son visage. Après un nettoyage interne, Goku était nu à quatre pattes sur une table. Le Docteur trouva le problème à partir d'une coloscopie : la pieuvre avait déposé des œufs dans ses intestins.
Le Dr. Gero écarta les parois du cul avec un spéculum puis il essaya d’enlever les ovules à l’aide d’instruments médicaux. Il fit semblant de ne pas y arriver afin d'employer les grands moyens. Il poursuivit l’élargissement des sphincters en employant sa main droite graissée en formant un vé. L’insertion se révéla aisée au début grâce à la dilatation effectuée précédemment par le céphalopode. Ensuite, l’avant-bras s'enfonçait difficilement jusqu'au coude dans les fesses du Saiyan. Heureusement, le docteur n'avait pas le bras long. L'orifice endolori n'avait jamais était autant étiré auparavant. Le déchirement était ardent. Goku se retenait d'hurler de douleur, lui qui était pourtant habitué à maltraiter son corps.
L’homme âgé s'amusa après à fister son ennemi. Il plongeait sa main au fond des fesses en donnant de puissants coups de poing direct. Aussitôt après, il la retirait rapidement. Les entrailles de Goku étaient comblées rudement et vidées brutalement ; ses sphincters changeaient sans cesse de diamètre. Ces nouvelles sensations donnaient du plaisir à Goku ; le vieux pervers jubilait en voyant sa trique phénoménale. Quoi de neuf docteur, demanda Goku haletant. Il lui répondit qu'il faisait un effet ventouse pour retirer les ovules. Dix minutes plus tard, le docteur Gero mit un terme au pistonnage. Il enleva les œufs et les remplaça par une puce électronique qui servira à assouvir sa vengeance. Enfin, il dégrada le guerrier de l'espace en frottant sa prostate pour le faire juter sans masturbation. Le Doc regretta que Goku ne sache pas qu'il avait jouit avec la main de son adversaire à l’intérieur de son cul. Le Saiyan rentra chez lui en chancelant et avec l’arrière-train grand ouvert.
Deux jours plus tard, un vilain en provenance de l’espace intersidéral arriva sur la planète bleue dans le but de la conquérir. Sans attendre, Kakarot et Végéta s’associèrent pour affronter Broly. Les présentations faîtes, ils combattirent lors d’un affrontement légendaire. Les habits partaient en lambeaux et nos trois Saiyans étaient quasiment nus.
Le Dr. Gero vérifiait à distance les paramètres vitaux de Kakarot émis par la puce électronique dans son fondement. Il constatait une activité intense, peut-être un combat, pensa-t-il. D’un coup, les données changèrent complètement. Le Docteur n’en comprenait pas l’origine. Il décida de passer à l’action en envoyant une commande à la puce. Il espérait qu’elle affaiblirait Kakarot et qu’il se prenne une branlée monumentale, ou plus, si possible.
Sur le terrain, deux transformations eurent lieux. Broly s’était métamorphosé en super Saiyan. Kakarot et Vegéta avait fusionné en Gogéta. Durant la bataille, Gogéta se sentit subitement faiblir pendant que Broly le ramenait contre son torse. La tête de Gogéta se coinça en avant entre les pectoraux volumineux. Dans la foulée, Broly rapprocha ses bras pour compresser ses gros seins. Si Gogéta ne faisait rien, son crâne, pris en étau, imploserait, telle une noix dans une pince. Il tenta de s’extraire en tapant sans succès sur les pectoraux lourds. Il attrapa alors les tétons et les pinça fortement. Des contractions musculaires involontaires traversèrent le corps de Broly. Gogéta en profita pour se libérer de son emprise charnelle.
En observant l’énergie de Gogéta remonter, le Dr. Gero décida d’humilier le guerrier en déclenchant son excitation. Instantanément, Gogéta eût une fulgurante érection et son état d’esprit s’embruma dans la luxure ; il croyait que c’était dû à la trituration des mamelons charnus de Broly. Ainsi, Gogéta poursuivit en gobant un téton. A cela, il pinça le deuxième d’une main tandis que l’autre branlait le chibre veineux disproportionné sans parvenir à l’entourer entièrement. Broly gémissait bruyamment, il ne voulait plus faire la guerre mais l’amour. Le grand gaillard aux cheveux vert fluo allait enfin faire l’amour avec quelqu’un. Tant pis si ce n’était pas avec une femme. Il laissa son adversaire lui faire du bien et mener l’action.
Gogéta abandonna les tétons gonflés. Il essaya d’avaler le chibre démesuré sans y arriver, sa bouche était bien trop petite. Il se contenta de lécher l’énormité de la base à la fente de pisse. Peu après, Broly était impatient de transmettre la vie. Il avait tellement attendu longtemps, seul, que ce jour arrive. Il souleva sans peine Gogéta et le porta en posant une main sous chaque fesse, en position de congrès suspendu. Gogéta enroula ses jambes autour de la taille de Broly et se maintint en agrippant ses larges trapèzes. Broly baissa ensuite les fesses de Gogéta sur son sexe dressé afin qu’elles s’empalent dessus. Inexpérimenté et empressé, le puceau ne se demanda pas si son chibre surdimensionné pouvait se glisser dans son partenaire. Heureusement, l’union des sphincters serrés de Végéta, et ceux de Goku, distendus par le fistage récent, permirent au trou de baise de Gogéta d’engloutir aisément le chibre imposant en l’enserrant confortablement. Tout entra mais c’était trop profond pour Gogéta. Le gland faisait un renflement au niveau du ventre plat où sa forme était parfaitement discernable. Allait-il le transpercer, s’interrogea Gogéta inquiet.
Broly saisit la taille fine du combattant aux cheveux hérissés bleu ciel. Il le baisa frénétiquement en secouant ses organes internes. Ses lèvres du cul sortaient et rentraient à chaque va-et-vient. Gogéta releva le défi de supporter ce traitement. Il s’imagina qu’il s’agissait d’un énième entrainement lui permettant de surpasser ses capacités physiques. D’ailleurs, ses gémissement émis sous forme d’écho prouvaient qu’il appréciait.
Surexcité, des arcs électriques entouraient Broly et ses grosses boules débordant de semences étaient en ébullition. La délivrance était imminente. Broly prit la pose des doubles biceps en poussant un rugissement assourdissant. Gogeta sentit le chibre se dilater juste avant qu’il expulse dans son cul, tel un geyser, une quantité phénoménale de foutre. Sous la pression, Gogeta se détacha de Broly et décolla. Il fut propulsé plusieurs mètres en avant en rejetant du sperme sur sa trajectoire. Broly était maintenant apaisé et content. La colère qui l’habitait à cause de sa frustration sexuelle avait disparu. Il se demanda s’il devait garder son collier électrique « anti-aboiement » qui l’asservissait. Finalement, il ne l’arracha pas car il craignait la réaction de son géniteur. Broly laissa Gogéta, dans l’herbe, sortir de sa torpeur et il rentra chez lui, dans sa capsule, rayonnant de bonheur. La conquête de la Terre attendra.
Deux jours plus tard, Végéta, appuyé contre un tronc d’arbre, cherchait à comprendre l’issue de leur combat contre Broly en ronchonnant. Que s’était-il passé, se demandait-il en boucle. Il sortit de ses pensées nébuleuses lorsqu’une machine à voyager dans le temps apparut devant lui. Végéta fut ravi d’apercevoir Trunks du futur sortit du véhicule. Le père et le fils s’enlacèrent chaleureusement. Les retrouvailles se refroidirent quand Trunks lui présenta C17 qui descendait à son tour sur la terre ferme. Aussitôt, Végéta voulut annihiler l’androïde qui utilisait son fils comme un jouet sexuel. Trunks l’en dissuada et souhaitait lui expliquer l’évolution de la situation. Végéta refusa d’écouter et lui ordonna d’aller « voir ailleurs si j’y suis ». Le fiston obéit et se rendit sur-le-champ chez Goku en espérant y rencontrer Gohan.
La fierté de Végéta avait perdu de sa superbe. Le guerrier arrogant ne pouvait pas seulement se contenter de bavarder avec C17. Il avait le devoir de venger sa progéniture. Une bataille s’en suivit entre les deux proches de Trunks. Durant celle-ci, le Dr. Géro étudiait en temps réel les données envoyées par la puce électronique. Agacé, il ne comprenait pas pourquoi les paramètres vitaux était une nouvelle fois différents. Il déclencha une deuxième fois le désir sexuel chez le porteur de l’élément intrusif pour comparer les réactions. Végéta sentit sa libido croitre brusquement. Pas encore, pas comme Gogéta, pensa-t-il en baissant sa garde. C17 profita de la situation en frappant son beau-père engourdi. Végéta traversa en vol plané la fenêtre de sa chambre en la fracassant puis il atterrit au pied du lit conjugal. C17 sauta à travers la fenêtre brisée et se jeta sur Végéta dans un combat au corps au corps. Rapidement, l’affrontement se transforma en bagarre sensuelle tactile. Végéta avait une formidable érection et il dévisageait son adversaire d’un regard lubrique. C17 s’accommoda de ce changement de posture et accepta de passer à une activité physique plus réjouissante.
C17 colla ses lèvres contre celle du Saiyan. Végéta laissa le passage libre afin que leurs langues s’entremêlent. C17 trouvait qu’il embrassait bien, mais pas aussi délicieusement que son Trunks. C17 voulut ensuite remplacer son organe du goût par celui de la reproduction. Il rompit le baiser, se déshabilla et arracha les habits de Végéta. Il s’assit au bord du lit et lui fit signe de s’agenouiller entre ses jambes. C17 ouvrit la bouche inexpérimentée de son beau papa, en baissant le menton d’une main, puis il y fourra sa teub turgescente brillant de précum. Végéta la suça de haut en bas en s’appliquant à lui donner du plaisir. S’il n’était pas livré à la luxure, il aurait sectionné cette teub qui remplissait sans cesse son fils de semence.
C17 saisit la tête de Végéta. Il l’utilisa comme un masturbateur en la déplaçant sans ménagement sur toute la longueur de sa teub. C17 plaquait parfois son visage contre son pubis pour le faire bâillonner. Végéta apprenait ainsi à gérer sa respiration et les haut-le-cœur avec une bite enfonçait dans sa gorge. C’était en quelque sorte un autre entrainement pour s’améliorer. Après de nombreux aller-retour irréguliers, C17 accéléra le rythme jusqu’à ce qu’il crache son sperme directement dans l’œsophage du guerrier déchu. C17 maintint sa tête jusqu’à ce qu’il avale la dernière goute de son précieux liquide. Il ne fallait rien gaspiller.
L’humain artificiel aux longs cheveux bruns bandait toujours. « Je vais déposer une deuxième charge dans ton autre trou », dit-il d’un air autoritaire. A son ordre, Végéta se mit à quatre pattes sur le lit. Alors qu’il attendait la suite inévitable en regardant devant lui, Végéta tressaillit lorsqu’il sentit un contact chaud et humide sur son trou de balle. Il se retourna et vit stupéfait une tête entre ses deux lobes. C17 léchait l’anus abondamment en y déposant une grande quantité de salive. Il introduisit deux doigts à l’intérieur pour le détendre et humidifier le conduit qu’il garde. Végéta sentait la langue qui essayait de s’enfoncer le plus loin possible au fond de lui. « Ton fiston adore ça », dit C17 à Végéta dont la gêne se lisait sur son visage. Le Saiyan trouvait cela sale mais tellement agréable. C17 rajouta deux autres doigts à travers la rondelle distendue sans rencontrer de résistance à sa grande surprise.
C17 : Je vois que tu as l’habitude de prendre du plaisir de ce côté-là. Tu es bien lâche.
Végéta : Non ce n’est pas ce que tu croies.
C17 : Pas besoin de te justifier, tu ne vas pas me raconter ta vie. Ça va faciliter la pénétration.
Végéta aurait voulu lui rétorquer que c’était à cause de la sodomie subit en étant Gogéta. C17 ne lui en laissa par l’opportunité. La préparation terminée, C17 admira la croupe du père de son objet sexuel musclé. « Je veux t’entendre me supplier de te baiser », exigea le dominant. Le dominé refusait de dire de telle insanité, pourtant, son cul affamé l’obligea à mendier. C17 poussa Végéta à plat ventre et se mit sur son dos en l’écrasant. Il planta sa teub lancinante en lui et pompa hors et dans la rondelle, lentement au début, puis en accélérant la cadence sans atteindre l’orgasme. C17 exaltait en entendant ses cuisses claquer contre les fesses dures. Un sentiment d’humiliation habitait Végéta. Lui qui était normalement actif au-dessus d’une femme se retrouvait anormalement passif en-dessous d’un homme.
Une vingtaine de minutes plus tard, C17 commanda : « Maintenant, montre-moi que t’es accro à ma bite ». Dans la position du crabe, Végéta, jambes pliées et bras tendus, planait en sens inverse au-dessus de C17 qui était sur le dos. Il s’enfilait sur la teub en balançant son bassin tel un ressort. Il avait honte de se baiser volontairement sur le sexe de son beau-fils maléfique. En plus, C17 lui avait imposé de garder le contact visuel pendant l’accouplement. Végéta essayait de rester stoïque malgré le plaisir qu’il ressentait quand un point particulier dans son cul était attisé. Toutefois, sa communication non verbale le trahissait. Inévitablement, Végéta céda face au plaisir incommensurable en laissant s’échapper des gémissements. Ils résonnaient dans sa chambre en se mêlant à ceux de C17.
« Je veux voir ton visage pendant que je vais t’engrosser ». Sur ses paroles, en missionnaire, C17 était entre les jambes de Végéta levées en angle droit. Il le pilonnait en donnant des coups de reins forts et rapides. Les deux partenaires haletaient. Végéta ne voulait pas jouir de cette façon mais il ne parvint pas à se retenir de gicler. C17 le suivi en éjaculant une nouvelle fois dans son beau-père. Il le gratifia par la suite d’un : « Tes trous exquis et ton corps lascif sont aussi chauds que ceux de mon Trunks ». Il conclut en s’extasiant par : « Tel père, tel fils ».
C17 sortit du deuxième orifice fécondé et présenta sa teub visqueuse aux lèvres de Végéta. Le nettoyage terminé, Végéta enleva un petit truc collé sur sa langue et le lança par la fenêtre brisée. C’était la puce électronique qui avait changé de colon en passant de Kakarot à Végéta via la dissociation de Gogéta. Elle atterrit dehors sur la queue d’un serpent qui prenait le soleil.
Pendant ce temps-là, le Dr. Géro analysait les dernières données reçues et Trunks du futur passait du bon temps avec Gohan. À suivre…
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