Les boules du dragon (5) - histoire érotique

Bonjour tout le monde. Cette cinquième histoire inventée est basée sur les personnages majeurs de DBZ. Des références sont issues du téléfilm d’animation « L’histoire de Trunks ».

Pendant que C17 faisait connaissance avec son beau-père Végéta, Trunks du futur s’était précipité chez Goku. Sur place, il exulta de joie en apercevant Gohan, dehors, en train d’astiquait les dents pointues de son T-Rex apprivoisé. Les embrassades entre nos deux jeunes guerriers furent chaleureuses. L’apparition de Trunks tombait à pic car Gohan avait besoin d’un cure-dents. A cet effet, il utilisa la longue épée de Trunks. Le nettoyage de la dentition brillante terminée, Gohan proposa à Trunks une promenade romantique sur le dos de son dinosaure. Au cours du trajet sous les dandinements de l’animal, Trunks lui raconta l’amélioration de sa situation depuis qu’il pouvait se transformer en super Sayan. Les forces s’équilibrant entre les deux androïdes malfaisants et lui, il leur avait proposé un cessez-le-feu permanent. Lors des tractations, Trunks avait préparé une mise en scène exceptionnelle. Il avait récité un discours moralisateur, diffusé de la musique douce, lâché des colombes et invité des bisounours. C18 accepta mais C17 imposa une condition. Etant devenu accro au corps athlétique de Trunks, C17 exigeait de toujours éjaculer dans ses fesses musclées, en tout temps et en tous lieux, jusqu’à ce qu’il soit engrossé. Trunks acquiesça, il resta ainsi le vide couilles de C17 en échange de la paix dans son monde parallèle.

Le dinosaure suivait un chemin sinueux à travers la forêt luxuriante où l’on entendait le chant des oiseaux mâles en rut. Au fil de leur conversation accès sur le sexe, nos deux voyageurs en hauteur devaient faire attention à ne pas prendre de branches dans la figure. Gohan raconta à son tour ses histoires sentimentales. Il relata à Trunks que son principal partenaire, Piccolo, était très bien membré. Après de multiples pénétrations, Piccolo pouvait enfoncer dans ses fesses, sans préparation, sa longue queue épaisse veineuse en une seule poussée. Gohan se remémora des moultes tentatives douloureuses où Piccolo essayait de tout mettre d’un coup.
Ils se confessèrent, sans honte, qu’ils aimaient la sodomie par accoutumance.

Pendant la promenade, Trunks séduisait Gohan. Ses yeux pétillaient de passion envers ce héros qui s’était sacrifié pour lui dans son univers divergent. Durant leurs combats contre les androïdes, ils avaient tissé une forte relation bien au-delà de la simple camaraderie. Gohan appréciait cette affection que lui portait le fils de Végéta. Pourtant, il avait l’impression d’être un usurpateur car c’était une autre version de lui qui avait combattu auprès de Trunks du futur. De plus, Gohan culpabilisait d’avoir été incompétent quand ce dernier était venu lui demander de l’aide (NDLA : voir l’intrigue imaginée dans la troisième histoire). C’est pourquoi Gohan voulait se faire pardonner auprès de ce jeune homme sexy qui l’idolâtrait.

Ils arrivèrent au bord d’un plan d’eau alimenté par une cascade. Des gouttelettes en suspension associées aux rayons du soleil engendraient un arc-en-ciel. Ils descendirent du reptile, se déshabillèrent et plongèrent dans l’eau fraiche. Après quelques brasses, ils s’amusèrent comme des gosses à se mettre la tête sous l’eau cristalline. Les deux corps nus glissaient l’un contre l’autre. Inévitablement, les sexes s’étaient gorgés de sang. Peu après, nos jeunes adultes s’apaisèrent et restèrent debout quelques instants en se dévisageant. L’eau était au niveau des ventres. Face à face, chacun pouvait observer les gouttes ruisseler sur le torse musclé de l’autre. Trunks secoua ses longs cheveux violets pour y retirer l’eau. Par inadvertance, ils fouettèrent le visage de Gohan. Trunks s’excusa démesurément auprès de la personne qu’il affectionnait. Il saisit cette opportunité pour lancer les festivités.

Trunks ramena vers lui la tête de Gohan. Ils s’embrassèrent en tourbillonnant avidement leurs langues. Trunks caressait simultanément le dos et les fesses parfaites de Gohan, tandis que ce dernier branlait les deux sexes en les compressant ensemble.

Le baiser interrompu, un filet de salive les reliait. Trunks s’agenouilla ensuite en prenant une grande respiration pour faire une fellation sous-marine à Gohan. Entre les remontées à la surface pour reprendre son souffle, Trunks tournait sa langue autour du gland ou déplaçait sa bouche talentueuse le long du pénis en creusant ses joues. De temps en temps, Gohan tenait fermement le crâne de Trunks pour enfoncer son pénis au fond de sa gorge. En revanche, il devait se résoudre à ne pas insister trop longtemps. Il ne fallait pas tuer là, celui que son double avait protégé dans une dimension parallèle. Après avoir échappé à plusieurs noyades, Trunks sortit la tête de l’eau satisfait de sa performance inédite. Gohan, extasié, le remercia par un baiser passionné ; il voulut le sucer également en récompense.

Gohan inspecta les alentours à la recherche d’un rocher plat idéal. Une fois trouvé, il s’allongea au bord de celui-ci, sur le dos, la tête penchée en arrière. Le regard fixé vers son ami, Gohan ouvrit la bouche grande ouverte et tira la langue. Trunks le rejoignit sans se faire prier et il y enfonça sa belle verge. Debout, Trunks sortait son sexe de l’appareil buccale et le replongeait jusqu’à ce que les lèvres soient contre son pubis. Il s’équilibrait en agrippant les pectoraux charnus de Gohan. Trunks était impressionné par le fait que Gohan ne s’étouffait jamais et qu’il gérait parfaitement sa respiration. Trunks pensa qu’il avait visiblement beaucoup d’expérience dans cette pratique. En effet, Gohan suçait souvent Piccolo dans cette position. Il était devenu un expert dans l’art de tailler des pipes, notamment en gorge profonde. D’ailleurs, Gohan n’hésitait pas à empoigner les deux fesses rondes de Trunks afin de les rapprocher davantage pour engloutir sa verge le plus loin possible dans son œsophage.

Gohan invita Trunks à se mettre en 69 en baissant son buste. Trunks, toujours debout, suçait Gohan pendant qu’il pilonnait sa bouche. Chacun voulait donner le meilleur de son savoir-faire à l’autre. Peu après, Gohan voulut mener l’action. Il donna une claque sur un lobe rebondi de Trunks qui comprit qu’il ne devait plus bouger son bassin. Gohan déplaça ses lèvres épaisses sur sa verge dure qui suintait de pré-cum. En plus, il introduisit deux doigts dans le beau cul et taquina la prostate du fils de Végéta. Par imitation, celui-ci en fit de même.

Les deux jeunes hommes musclés se suçaient et se doigtaient vigoureusement. Inévitablement, la tension sexuelle atteignit son paroxysme du plaisir. Les spermatozoïdes, sur les starting block, attendaient avec beaucoup de fébrilité le coup d’envoi. Dès que le cerveau donna le signal, ils sortirent simultanément de leurs hôtes et entrèrent dans un autre. Sans perdre une seconde, nos deux amants se levèrent et s’embrasèrent. Ils s’échangèrent goulument leurs semences crémeuses gardées en bouche après le pompage. Ainsi, chacun avait dans son estomac son sperme mélangé à celui de son bien-aimé.

Les sexes étaient toujours gorgés de sang, le nettoyage dans l’eau fraiche ne les avait pas ratatinés. Les jeunes Saiyans surexcités désiraient à nouveau faire l’amour ensemble. Entre eux, c’était moins rude et plus sensuel qu’avec leurs partenaires habituels. Face à face, nos deux guerriers engagèrent un combat à l’épée inoffensif. Ils entrechoquèrent leurs sexes en les secouant d’une main. A cet affrontement tactile, nos deux adversaires rajoutèrent d‘autres contacts charnels, tels que l’effleurement des tétons en mouvant leurs torses et la palpation des fesses de l’autre main. A cela, ils se galochèrent encore une fois.

Pendant qu’ils s’amusaient en pleine nature, nos deux protagonistes ne s’inquiétaient pas d’être surpris par des voyeurs. Le T-Rex montait la garde tel un coq qui veille sur ses poules.

Gohan voulait s’unir avec Trunks du futur. A l’éternelle question de savoir qui fait quoi dans un couple hommes, il lui susurra « Je veux que tu me prennes ». Gohan souhaitait satisfaire Trunks. Celui-ci lui avait tristement avoué qu’il n’avait jamais été actif avec quelqu’un. Trunks était heureux. En étant le dominant, il allait s’accoupler avec la personne qu’il n’avait jamais autant chéri de sa vie ; en dehors de sa mère bien évidement.

Nos amants se posèrent sur une plage de sable fin proche de la cascade. Gohan se mit à quatre pattes, prêt à se faire monter. Trunks contempla quelques instants l’époustouflant corps soumis qu’il était pressé de pénétrer. Son regard s’attarda sur le large dos sculpté en forme de V, grâce à des dorsaux latéraux épais et une taille fine. Il contempla ensuite les cuisses évasées surmontées par des fesses splendides dévouées aux plaisirs entre hommes.

Gohan tortilla sa croupe afin de chauffer son assaillant déjà enflammé. Trunks était hypnotisé. Ses yeux suivaient les ballotements obscènes des lobes musclés. Il ne résista qu’une minute avant de se précipiter entre eux à genou. Trunks essaya ce que C17 lui faisait régulièrement. Il sépara les deux globes et étira la rondelle rose du bout des doigts. Le canal de l’amour sombre était entrouvert. En prenant son temps, Trunks lécha avidement l’anus en y déposant de grande quantité de salive. Gohan appréciait les sensations en provenance de sa chatte musclée. Elles l’excitaient au plus haut point, il ne pouvait plus attendre. « Baise-moi », supplia-t-il en cambrant le dos. Trunks ne temporisa plus le passage à l’acte.

A genou, Trunks aligna sa verge palpitante sur l’orifice anal et poussa lentement. Sans résistance, elle se faufila dans le tunnel étroit aussi loin qu’elle le pouvait. La verge était confortablement comprimée dans l’autre chaud. Trunks balança tranquillement ses hanches afin de découvrir les nouvelles impressions procurées par son sexe à l’intérieur d’un autre humain. Il savourait les fesses de Gohan qui étaient particulièrement serrées, malgré les innombrables assauts qu’elles enduraient de bon cœur par l’imposante queue de Piccolo.

Gohan incita Trunks à augmenter l’intensité. « Plus fort », lui dit-il. Trunks saisit la taille svelte et martela Gohan énergiquement ; les cuisses claquaient bruyamment contre le postérieur affamé de bites. Trunks était impressionné par les vibrations des fesses qui entraient en résonnance avec ses puissants coups de bassins rythmés. Gohan émettait des interjections de plaisir à chaque poussée qui appuyait sur sa prostate. Trunks était ravi de l’entendre gémir grâce à lui. Gohan prit ensuite une position pyramidale en posant son torse sur le sable. Il étira son bras droit en arrière et du bout des doigts, il titilla le scrotum de Trunks. Le cul étant bien relevé, Trunks accompagnait la sodomie en donnant des claques sur les fesses fermes. Quand Gohan n’en put plus, il tira vers le bas les valseuses, telle la poignée d’un signal d’alarme de train. Trunks s’arrêta sans se retirer. Gohan redressa le torse et reprit sa respiration. En position du bodyguard à genou, Trunks reprit la pénétration en adoptant un rythme lent et en serrant Gohan dans ses bras. Ses mains pétrissaient ses seins volumineux. Sa bouche déposait des baisers appuyés autour de son cou et gobait ses lobes d’oreilles.

Gohan poussa Trunks sur le dos et le chevaucha en position du cow-boy. Il s’empala sur la verge en lâchant un long « humm » de satisfaction, puis il plaqua ses mains sur les pectoraux de Trunks, les tétons entre ses doigts, pour faire levier. Gohan mena la danse en ondulant lentement son bassin. Il prenait soin de bien traire la verge à chaque retrait en serrant ses muscles fessiers entrainés. Trunks admirait les ondulations des abdominaux saillants. Il glissait ses doigts dans les profonds sillons de façon à sentir leurs contractions. Les sens de la vue et du touché de Trunks étaient en ébullition. S’il n’avait déjà éjaculé, il aurait aussitôt rempli de foutre ce cul vorace. Après avoir longuement étranglé la verge turgescente, l’anus la branla avidement. Gohan sautait sur la verge à vive allure. Ses gros nichons rebondissaient de haut en bas sous les yeux éblouis de Trunks. Plus c’était bon, plus Gohan pinçait fort les mamelons gonflés. La douleur devenant insoutenable, Trunks interrompit l’accouplement, un changement de position s’imposait.

Sur le dos, Gohan tenait en l’air ses jambes largement écartées. Son trou ouvert boursoufflé attendait impatiemment d’être de nouveau comblé. Il dévisagea le fils de Végéta en l’implorant : « Jouis en moi ». Après son père, c’était au tour de Trunks de féconder le rejeton de Goku. Trunks se coucha sur lui sans l’écraser. Gohan enroula ses jambes autour des hanches de son inséminateur et fléchit ses bras en double biceps. Trunks agrippa vigoureusement les biceps bombés puis il baisa le beau corps musclé en missionnaire. Langue contre langue, pectoraux contre pectoraux, Trunks exécuta d’abord de longs va-et-vient avant d’augmenter progressivement le rythme de la pénétration anale. Les respirations s’accéléraient, leurs langues se délièrent afin de libérer les gémissements étouffés. Ils devinrent tellement sonores que le T-Rex n’entendait plus la cascade.

La pression s’accumulait dans les burnes de Gohan. Au bord de l’orgasme, Gohan ordonna à Trunks de le pilonner plus vite. D’un coup, ses yeux se révulsèrent. Gohan éjecta de nombreux jets de sperme tandis que ses contractions anales firent venir son amant. Trunks inonda de semence le cul de Gohan en criant plusieurs fois son nom. Lors de son dernier spasme, Trunks lui déclara sa flamme : « Je t’aime Gohan ». Durant le repos post-coïtal, ils restèrent l’un contre l’autre. Puis, submergé par l’émotion, des larmes coulèrent sur le visage de Trunks. Les yeux dans les yeux, Trunks invectiva Gohan en larmoyant : « Pourquoi m’as-tu abandonné ? ». Gohan ne savait pas quoi répondre. Par compassion, il se contenta simplement de le serrer tendrement dans ses bras. Pendant qu’il le cajolait, Gohan prit conscience des sentiments romantiques qu’avait Trunks du futur envers lui. Il était content de lui avoir donner du plaisir.

Le choc émotionnel passé, ils se rendirent à la cascade pour se nettoyer. Sur le trajet, Trunks admirait triomphalement un filet laiteux s’échapper des fesses béantes de Gohan. Sous la chute d’eau, ils se lavèrent mutuellement chaque partie de leurs corps musclés construits grâce aux efforts physiques et à la persévérance. Ils se rhabillèrent dès que la sueur, le sable, le sperme séché entre les abdominaux et les autres éléments qui témoignaient de leurs ébats amoureux soient entièrement enlevés, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur d’eux.

Ils rentrèrent à cheval sur le T-Rex, les testicules allégés de millions de spermatozoïdes. Trunks enlaçait Gohan par derrière. Le flanc droit de son visage était posé contre son dos et ses mains à plat sur ses pectoraux durs. Il l’étreignait si fortement dans ses bras massifs que Gohan n’arrivait plus à respirer. C’était comme si Trunks l’empêchait de partir afin qu’ils ne soient plus jamais séparés. Il se sentait si bien et en sécurité auprès de son Gohan.

Sur le chemin, ils croisèrent, sans l’apercevoir, le serpent qui trimbalait la puce électronique collée sur sa queue. A suivre…