Les bumpers, moi j'adore
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2016 dans la catégorie En solitaire
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Les bumpers, moi j'adore
Il y a des gens qui pestent contre les bumpers !
Vous savez, ces machins sur la route pour faire ralentir les autos. Il y en a de toutes sortes. Les plus simples, les meilleurs, sont les dos d'âne de goudron rajoutés sur la chaussée par les gars de la DDE. Les plus élégants sont des sortes de carrés en surépaisseur que l'on a fixé aux quatre coins sur la route. Les plus sympas sont des séries de bandes rugueuses rapprochées qui te secouent comme prunier, histoire de te réveiller avant un virage serré.
Moi, chaque fois que j'aperçois un de ces trucs-là, j'accélère !
Vous n'imaginez pas l'effet que ça me fait !
Mes boules de geisha qui s'affolent, qui l'une derrière l'autre grimpent d'un seul coup au col, la première en appui, l'autre qui se pointe derrière et vlan collisionne, déclenchant dans mon moi profond une émotion que je vous dis pas. Je pense au flipper quand on envoie dans la goulotte d'introduction une deuxième boule derrière la première.
Puis elles redescendent, je les sens à l'orée de ma fente. Je contracte pour les bloquer mais là le bumper vient à ma rescousse.
La marche montante avait projeté les deux boules haut en moi, la marche descendante aura-t-elle effet inverse d'éjecter dans ma culotte les sphères d'acier ?
Non point !
Je ne sais pourquoi ni comment, mais quand mon auto, après être montée sur le plateau de goudron rajouté, redescend sur la chaussée en un soubresaut surprenant, les deux boules, joyeuses, qui étaient restées bloquées contre mon bouton saillant, repartent dans mes intimités profondes pour un nouveau voyage explorateur.
Ma mini tige, toute décalottée, qui avait servi de butoir, d'arrêt, en est rigide émue mouillée. Et le fond de ma culotte, mon gousset, collé distendu sur mes chairs fluides et plissées, reprend sa place plié au creux de ma fente refermée.
Il y a des villages avec deux trois bumpers d'affilée. Zone 30, qu'ils disent... Quel bonheur de traverser ces pays le pied dedans, semelle de plomb tel un scaphandrier, à fond les manettes.
Mes boules déchaînées mènent sarabande effrénée et moi j'en mouille, source vive, comme princesse en rêve éveillé dans les bras de cent princes charmants, comme jeune épousée en voyage de noce à Gomorrhe ou plus loin encore.
Il m'arrive même, parfois, d'effectuer demi-tour pour repasser...
Passe et rapasse, comme éternité.
Ces villages avec trois quatre, cinq bumpers sont des must et Michelin devrait les signaler, mérite le détour, mieux, vaut le déplacement !
Quand vous verrez une auto jouer cavalcades vrombissantes sur bumpers vous saurez que sa conductrice libère son œuf de yoni ou ses boules de geisha en cahots alternatifs. Vous saurez, brune ou blonde, qu'elle cherche et trouve des sensations au creux de son intimité qui justifient qu'elle martyrise ainsi les quatre amortisseurs de sa pauvre voiture.
Ce jour-là, couvrant les hurlements du moteur pourtant haut dans les tours de mon auto, j'ai entendu puis vu les deux bécanes bleues me dépasser. Les pandores vêtus de cuir marine sombre marqué Police m'ont, de concert, fait signe impérieux de me rabattre et de me garer.
Ils m'ont demandé de couper le contact et de sortir du véhicule.
A leur regard gourmand et à leurs yeux pleins d'appétence j'ai compris qu'ils savaient le jeu auquel, innocemment, je m'adonnais.
Ils avaient vu des films américains, des séries à San Francisco ou Los Angeles et ont voulu que je pose les mains sur le capot de l'auto et que debout, jambes écartées, je me soumette à palpation.
Le capot de l'auto était chaud et j'y ai posé volontiers avant-bras, poignets et paumes tout en cambrant mon bassin en invite inconsciente.
L'un et l'autre ont tombé leurs gros gants de moto et, à mains nues, chacun, à tour de rôle, a voulu vérifier que je ne portais de holster haut de cuisse, ni sur l'intérieur de jambe gauche, ni sur l'intérieur de jambe droite.
Ma jupe relevée haut par les manches de cuir bleu, les mains de la maréchaussée palpaient sans vergogne le gousset trempé et les deux cognes se regardaient, l'air entendu, l'est bonne pour un PV salé.
Le plus jeune, sévère, a dit, on va lui confisquer le véhicule.
Avez-vous un mari, un ami qui puisse venir vous chercher ?
Comme je déniais, ils ont dit, c'est bon on la ramène à la caserne en cellule de dégrisement. Et je voyais qu'ils s'en pourléchaient déjà les babines d'aise. Les copains seront ravis, qu'ils ont ajouté.
Je me voyais déjà faisant les choux gras d'une brigade entière de gendarmerie. Je dois reconnaître que ma culotte trempée en reçut alors fort complément de mouille et était présentement à tordre.
Le périple jusqu'à leur caserne fut épique, une moto devant, ouvrant la route, l'autre derrière la refermant, double deux tons hurlant, et moi essayant de suivre malgré les vitesses hautement incorrectes pratiquées. Ils étaient manifestement pressés. Je les imaginais raides et impatients sur leur selle ou leur tan-sad.
Dans les villages, le motard de devant faisait de grands gestes de bras droit pour écarter la foule, impératif.
Les péones, admiratifs, massés de part et d'autre de la route, me prenaient pour un VIP, une star, et certains agitaient même la main en amitié.
L'arrivée dans la gendarmerie fut digne de la réception d'un chef d'état. Le commandant, sur le perron, debout, le képi sous bras gauche, la main droite à la tempe en salut militaire, les sous-off en rang dégradé sur les marches de l'escalier, banane sous la moustache.
On voyait que les deux motards avaient fait belle prise en leurs rêts et que tous se réjouissaient de participer à l'hallali.
Moi, je n'étais pas mécontente de l'intérêt que je suscitais. Je pensais, mais sont-y-ils donc tellement seuls, sans femme, dans cette caserne. Ben oui, ai-je su après...
Après quoi, me direz-vous ?
Je vais vous raconter ... z'allez voir, ce fut pas triste.
Vous savez, ces machins sur la route pour faire ralentir les autos. Il y en a de toutes sortes. Les plus simples, les meilleurs, sont les dos d'âne de goudron rajoutés sur la chaussée par les gars de la DDE. Les plus élégants sont des sortes de carrés en surépaisseur que l'on a fixé aux quatre coins sur la route. Les plus sympas sont des séries de bandes rugueuses rapprochées qui te secouent comme prunier, histoire de te réveiller avant un virage serré.
Moi, chaque fois que j'aperçois un de ces trucs-là, j'accélère !
Vous n'imaginez pas l'effet que ça me fait !
Mes boules de geisha qui s'affolent, qui l'une derrière l'autre grimpent d'un seul coup au col, la première en appui, l'autre qui se pointe derrière et vlan collisionne, déclenchant dans mon moi profond une émotion que je vous dis pas. Je pense au flipper quand on envoie dans la goulotte d'introduction une deuxième boule derrière la première.
Puis elles redescendent, je les sens à l'orée de ma fente. Je contracte pour les bloquer mais là le bumper vient à ma rescousse.
La marche montante avait projeté les deux boules haut en moi, la marche descendante aura-t-elle effet inverse d'éjecter dans ma culotte les sphères d'acier ?
Non point !
Je ne sais pourquoi ni comment, mais quand mon auto, après être montée sur le plateau de goudron rajouté, redescend sur la chaussée en un soubresaut surprenant, les deux boules, joyeuses, qui étaient restées bloquées contre mon bouton saillant, repartent dans mes intimités profondes pour un nouveau voyage explorateur.
Ma mini tige, toute décalottée, qui avait servi de butoir, d'arrêt, en est rigide émue mouillée. Et le fond de ma culotte, mon gousset, collé distendu sur mes chairs fluides et plissées, reprend sa place plié au creux de ma fente refermée.
Il y a des villages avec deux trois bumpers d'affilée. Zone 30, qu'ils disent... Quel bonheur de traverser ces pays le pied dedans, semelle de plomb tel un scaphandrier, à fond les manettes.
Mes boules déchaînées mènent sarabande effrénée et moi j'en mouille, source vive, comme princesse en rêve éveillé dans les bras de cent princes charmants, comme jeune épousée en voyage de noce à Gomorrhe ou plus loin encore.
Il m'arrive même, parfois, d'effectuer demi-tour pour repasser...
Passe et rapasse, comme éternité.
Ces villages avec trois quatre, cinq bumpers sont des must et Michelin devrait les signaler, mérite le détour, mieux, vaut le déplacement !
Quand vous verrez une auto jouer cavalcades vrombissantes sur bumpers vous saurez que sa conductrice libère son œuf de yoni ou ses boules de geisha en cahots alternatifs. Vous saurez, brune ou blonde, qu'elle cherche et trouve des sensations au creux de son intimité qui justifient qu'elle martyrise ainsi les quatre amortisseurs de sa pauvre voiture.
Ce jour-là, couvrant les hurlements du moteur pourtant haut dans les tours de mon auto, j'ai entendu puis vu les deux bécanes bleues me dépasser. Les pandores vêtus de cuir marine sombre marqué Police m'ont, de concert, fait signe impérieux de me rabattre et de me garer.
Ils m'ont demandé de couper le contact et de sortir du véhicule.
A leur regard gourmand et à leurs yeux pleins d'appétence j'ai compris qu'ils savaient le jeu auquel, innocemment, je m'adonnais.
Ils avaient vu des films américains, des séries à San Francisco ou Los Angeles et ont voulu que je pose les mains sur le capot de l'auto et que debout, jambes écartées, je me soumette à palpation.
Le capot de l'auto était chaud et j'y ai posé volontiers avant-bras, poignets et paumes tout en cambrant mon bassin en invite inconsciente.
L'un et l'autre ont tombé leurs gros gants de moto et, à mains nues, chacun, à tour de rôle, a voulu vérifier que je ne portais de holster haut de cuisse, ni sur l'intérieur de jambe gauche, ni sur l'intérieur de jambe droite.
Ma jupe relevée haut par les manches de cuir bleu, les mains de la maréchaussée palpaient sans vergogne le gousset trempé et les deux cognes se regardaient, l'air entendu, l'est bonne pour un PV salé.
Le plus jeune, sévère, a dit, on va lui confisquer le véhicule.
Avez-vous un mari, un ami qui puisse venir vous chercher ?
Comme je déniais, ils ont dit, c'est bon on la ramène à la caserne en cellule de dégrisement. Et je voyais qu'ils s'en pourléchaient déjà les babines d'aise. Les copains seront ravis, qu'ils ont ajouté.
Je me voyais déjà faisant les choux gras d'une brigade entière de gendarmerie. Je dois reconnaître que ma culotte trempée en reçut alors fort complément de mouille et était présentement à tordre.
Le périple jusqu'à leur caserne fut épique, une moto devant, ouvrant la route, l'autre derrière la refermant, double deux tons hurlant, et moi essayant de suivre malgré les vitesses hautement incorrectes pratiquées. Ils étaient manifestement pressés. Je les imaginais raides et impatients sur leur selle ou leur tan-sad.
Dans les villages, le motard de devant faisait de grands gestes de bras droit pour écarter la foule, impératif.
Les péones, admiratifs, massés de part et d'autre de la route, me prenaient pour un VIP, une star, et certains agitaient même la main en amitié.
L'arrivée dans la gendarmerie fut digne de la réception d'un chef d'état. Le commandant, sur le perron, debout, le képi sous bras gauche, la main droite à la tempe en salut militaire, les sous-off en rang dégradé sur les marches de l'escalier, banane sous la moustache.
On voyait que les deux motards avaient fait belle prise en leurs rêts et que tous se réjouissaient de participer à l'hallali.
Moi, je n'étais pas mécontente de l'intérêt que je suscitais. Je pensais, mais sont-y-ils donc tellement seuls, sans femme, dans cette caserne. Ben oui, ai-je su après...
Après quoi, me direz-vous ?
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