Les chambres d'hotes...particulières 3
Récit érotique écrit par Trial [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les chambres d'hotes...particulières 3
Les chambres d’hôtes….particulières 3
Trois mois après l’ouverture nous avons eu une demande pour deux chambres communicantes. Non seulement c’était encore un investissement supplémentaire, mais je trouvais que l’esprit même d’une chambre coquine devait rester strictement réservée au couple ; sans les enfants. Pourtant, cette demande revenait sporadiquement aussi j’ai demandé plus d’explication. Innocent que j’étais ! C’était pour deux couples déjà amis ou bien pour rencontrer un autre couple ayant les mêmes affinités ! Of course ! Mais je tenais absolument à ce que les deux couples puissent aussi rester totalement indépendants, ou du moins « fusionnent » à leur rythme. L’idée a muri et c’est mon côté
voyeur, qui a dit voyou ?, qui m’a donné la solution. Les chambres serraient séparées par une grande baie vitrée avec une serrure de chaque côté, de cette manière chacun doit tourner sa propre clé pour que la porte puisse coulisser. De part et d’autre, un rideau permet de garder son intimité mais bien entendu une fois les deux tirés on est au théâtre érotique… De même je demande à chacun un test hiv récent, sois disant pour ne pas contaminer les installations en bois, mais j’imagine surtout que dans le feu de l’action ils vont oublier de se protéger.
J’ai pu récupérer une large baie vitrée avec double vitrage intact dans une décharge. Mon épouse a confectionné les rideaux. J’ai réorganisé les chambres de manière à ce que les lits soient à 90° l’un par rapport à l’autre: chaque couple peut ainsi mieux voir les autres. Par contre je n’ai pas eu les moyens de doubler le système vidéo, ça viendra. Dernière chose, mais je n’en ai parlé a personne, même pas à mon épouse, l’éclairage est conçu pour projeter les corps en ombres chinoises sur le rideau.
Ma première paire de couple ne se connait pas, mais ce sont des jeunes du même âge. Ils sont arrivés quasi simultanément et ont rapidement sympathisés. Une des filles, Némica, est particulièrement belle et toujours souriante. Je l’ai, évidement, mise avec son copain Pascal dans la chambre équipée de cameras et leur en ai expliqué l’utilité pour avoir leur propre film*. Némica me semble un peu prude mais lorsque j’ai expliqué le système de baie ouvrante elle m’a carrément semblé mal à l’aise. L’autre couple a par contre trouvé l’idée intéressante… mais sans vouloir l’utiliser … … … bien sur !
Après le souper, mon épouse a reçu un téléphone, elle doit se rendre 2-3 jours chez sa mère qui fait une grosse pneumonie… non pas maintenant belle maman, j’appréhende un peu de gérer cette première tout seul ! Après son départ nous avons tous fait un sauna. J’ai ensuite fait le massage de Joël. –comment trouves-tu l’idée de la vitre entre les deux chambre, ça ne te choque pas ? –C’est très bien car ça laisse le choix a chacun, avec Gwendoline on est naturiste et assez exib donc pour nous on peut tout ouvrir, mais Némica à l’air un peu coincée…dommage car Gwen et moi on a tout les deux flashé sur elle. Pascal par contre mate pas mal ma copine, il y aura peut-être une ouverture.
Ce vendredi soir ils ont chacun fait l’amour, Joël et Gwen rideau grand ouvert ; Némica a voulu garder tout fermé. Par contre les caméras m’on permis de voir enfin son sexe car même nue elle est de ces femmes qui ont l’art et la manière de ne rien dévoiler, ce qui attire d’ailleurs encore plus le regard avouons-le. Si ses grandes lèvres sont très fines, elle a par contre un clito très saillant. Est-ce ça qui la complexe ? C’est au contraire un atout indéniable et s’il pouvait sortir de son capuchon lorsqu’elle est excitée ce serrait sublime. C’est d’ailleurs justement ces singularités qui font qu’on a envie de telle ou telle personne, et pas d’une poupée Barbie identique à toutes les autres. Joël et Gwen ont éteint. Je ne sais pas s’ils se sont aperçus tout de suite du beau spectacle sur le rideau car Némica est l’amante parfaite. Elle suce très profond et sans se lasser, prend des positions de soumission ou à l’opposé se montre entreprenante et provoquante, se laisse aller à des petits cris pour marquer sa jouissance, non feinte d’ailleurs comme en témoignent ses tétons durcis par le plaisir. Ils vont faire l’amour plus d’une demi heure. Hélas le spectacle prend fin et ils éteignent.
Peu avant 6h, je me réveille. Il fait déjà jour. Machinalement je regarde l’écran. Pascal vient aussi de se lever, et se dirige vers le rideau qu’il entrouvre. Le spectacle de l’autre couple endormi doit l’exciter car il commence à se branler. Mais quelle n’est pas ma surprise, quelques minutes plus tard, de voir Joël apparaître de l’autre côté de la vitre, se tenant lui aussi le manche. Ils s’observent et observent l’épouse de l’autre endormie. Par geste Joël demande d’écarter plus la cuisse de Némica. Prudemment Pascal tire la jambe repliée et expose sa copine à un regard gourmand. Il revient vers la vitre s’accroupi et fait semblant de sucer le voyeur. Mais il est bi ce gaillard ! Quelques secondes plus tard une trainée de sperme s’étale sur la vitre. Pascal montre alors un geste sans équivoque : il veut le voir baiser sa copine. Je n’ai pas encore de caméra dans l’autre pièce mais je devine Joel se coucher derrière sa compagne, son sexe dur s’appuye contre les fesses, elle se réveille doucement et lui souris. Il lui soulève la cuisse et la prend en cuillère. Au bout d’un moment je suppose qu’il se retire et guide son dard entre les fesses. Encore mal réveillée elle doit faire la grimace, toujours est-il que le poignet de Pascal accélère le rythme et qu’une grosse quantité de sperme vient maculer l’autre côté de la vitre. Ils se rendormiront l’un et l’autre. Vers 8h Némica se réveille à son tour et s’étire. Ce geste affine la taille et redresse sa poitrine, sa main vient la toucher, l’empaumer. Ses doigts viennent jouer avec le têton, le presse, l’incline, le pince, l’étire, l’excite. L’autre main descend entre ses cuisses. Le majeur rentre dans son corps jusqu'à la garde, elle ferme les yeux tandis que le doigt s’agite en elle. Elle le ressort tout baveux et le pose sur son bas-ventre. Le doigt décrit des petits cercles rapide sur le flan de clitoris qui sort de sa cachette majestueusement. Il est long, brillant, et visiblement hyper sensible…Elle se tourne vers son amant endormi. La queue épaisse mais flasque repose sur la cuisse. Elle se penche, le titille du bout de la langue puis l’aspire entre ses lèvres et le suce doucement. L’engin se réveille, prend de la consistance. Le dormeur lui, doit être dans une phase de sommeil profond car sa respiration reste calme et régulière. Némica enjambe alors le corps et s’empale sur l’épieu dressé. La camera montre les grandes lèvres enserrer très étroitement et avaler l’entier de la colonne de chair jusqu’aux couilles. Elle est si cambrée que son anus s’entrouvre devant la camera. Puis elle remonte jusqu'à la base du gland, et redescend encore et encore. Le dormeur ouvre un œil et lui souri. Ils feront l’amour de façon passionnelle pendant plus d’une heure sans qu’elle s’aperçoive que son copain à laissé volontairement une petite fente ouverte dans le rideau. De l’autre côté 2 paires d’yeux n’en perdent pas une miette. Je devine Gwen penchée en avant tandis que son mec la saisi par les hanches et la travaille par l’arrière. Ils sont vachement complices ces deux-là !
Ils descendent. –Mais Némica tu t’est battue avec un lion cette nuit, tu es toute griffée dans le dos lui lance Gwen. Némica a un petit sourire gêné et rougit. C’est charmant. On commence par le jacuzzi autour duquel j’ai disposé quelques bougies pour une ambiance plus intimiste. Gwen provoque délibérément et caresse son copain, puis elle le fait asseoir sur le bord et commence à le sucer. Pascal à son tour attire sa compagne et la serre contre lui puis descend sa main entre les jambes. Elle résiste mais il lui affirme que sous les bulles les autre ne verront rien. Je la sens très partagée, d’un côté elle a envie de s’abandonner à ce parfum d’érotisme qui nous enrobe et de l’autre il y a toujours cette pudeur, cette éducation, le ’’qu’en dira-t-on’’ peut-être. Finalement c’est Gwen qui va la décoincer en lui caressant la poitrine avec beaucoup de sensualité. Et c’est la libération. 6 mains vont parcourir son corps, 30 doigts vont suivre ses moindres courbes, s’insinuer dans le moindre sillon, explorer tout ses gouffres. Elle va jouir jusqu'à en avoir les yeux qui se révulsent.
Après un moment de répit, je propose à Némica de la masser pour la détendre. Les garçons veulent venir aussi mais je refuse, elle a besoin de souffler. Elle s’installe sur le ventre et s’abandonne totalement à mes mains. La lueur de la bougie danse sur son dos. Mon massage est lent, doux et enveloppant. C’est exactement ce dont elle a besoin pour la remettre en phase avec elle même, lui faire admettre qu’elle n’a pas fait de bêtise, que son corps le lui demandait. Mais je ne veux pas la laisser refroidir et le massage au niveau des fesses redevient un peu plus câlin. Et elle se fait complice. Elle écarte ses cuisses pour permettre à ma main de descendre jusqu’a son sexe. Mes pouces parcourent le sillon, s’attardant autour de l’anus, qui ne se resserre pas pour autant, puis descendent vers le sexe dont les lèvres se séparent avec un petit bruit humide. Deux doigts entrent en elle. Elle a encore envie, ses reins se creusent, un peu de transpiration brille dans la pénombre. J’accélère le va et viens. Sa respiration se fait courte, mais elle ne parvient pas à jouir…-Prend moi … -Je ne m’y attendait pas mais mon sang de mâle ne fait qu’un tour. Je monte sur la table et m’enfonce rapidement en elle. J’alterne douceur et fermeté jusqu'à notre orgasme commun et, on s’écroule. Après un long silence elle me dit –Excuse moi mais après tout ces doigts qui m’ont donné tant de plaisir tout à l’heure j’avais besoin d’une grosse queue bien raide. –Je comprend, mais tu n’a pas à t’excuser j’ai énormément apprécié crois moi. Du sperme s’écoule du vagin encore béant. Je veux le lui essuyer mais curieusement elle préfère rejoindre les autre comme ça. Elle va embrasser Pascal, lui prend sa main et la guide vers son entrejambe. –Tu l’a fait, c’est fantastique dit-il en lui sautant au cou. J’ai alors compris que c’était un fantasme entre eux de la faire prendre par un autre.
Du coup Pascal souhaite aussi se faire masser. Il n’a pas voulu que je change le linge utilisé par sa copine, un fétichiste des odeurs? -Tu veux quoi comme massage ? –Tout : le dos, les fesses, le sexe bien sur et aussi les seins, j’y suis très sensible. Je lui masse donc le dos et reste longuement sur les fesses que je malaxe, étire, écarte, je regarde entre ses cuisses et m’aperçoit que sa queue, bien raide, est posée exactement sur ma trace de sperme et de mouille de sa copine. Je le fais tourner sur le dos. La verge est très épaisse, dans une chatte ça doit être jouissif par contre dans le fion? Je lui masse les jambes depuis le pied et remonte vers la hanche. Ca ne m’a jamais dérangé de masser une verge, mais j’ai envie de le faire languir un petit peu. Mes mains enserrent la cuisse et montent jusqu'à effleurer les couilles puis redescendent inexorablement. Ca le rend mûr, chaque fois la queue se soulève, espérant être empaumée à son tour, mais ça ne vient pas…et ça augmente d’autant le désir. Je m’attaque au ventre que je masse en larges cercles, mes doigts passent chaque fois juste sous la verge, trop tendue pour toucher le ventre. Il est intégralement épilé et l’absence de démarcation ne limite plus mes caresses. Je me décide, écarte les doigts et enfourche sa queue entre index et majeur, la pulpe avance jusqu’aux couilles qui fuient. Mais ma main gauche remonte entre les cuisses, passe sous le scrotum et rassemble le paquet comme un gros bouquet de fleur des champs…il se cambre sous le plaisir, poussant l’énorme verge vers mon visage. J’ouvre la bouche et…souffle mon haleine chaude, puis mes lèvres se serrent et un puissant jet frais descend du gland jusqu’aux couilles. Il s’arc encore, un puissant jet de sperme chaud jailli sur mon visage. J’attends que la pluie cesse. J’en ai partout : la joue, les lèvres, au coin des yeux, j’en ai même sur le sourcil. Ca pour une première c’est une première ! –C’est génial j’avais jamais été massé comme ça, tu pourrais le remontrer devant Némica ? –Oui bien sur mais tu sais c’est chaque fois improvisé en fonction des réactions de la personne que tu masses. Némica est au courant que tu es bi ? Oui mais elle ne sait pas exactement jusqu’ou je vais. Elle l’est aussi ? Non je ne crois pas, elle se laisserait toucher par une femme mais n’en prendrait jamais l’initiative.
Nous sortons. Ils sont là, tout les trois au bord du jacuzzi. Gwen est couchée sur le dos et a fait coucher Némica sur elle dans la même position, elle lui caresse les seins, le ventre, l’embrasse dans le cou tandis qu’entre les compas bien ouverts Joël passe d’une chatte à l’autre, dessus, dessous, dessous, dessus. Les corps des filles ne sont que soubresauts, soupirs et petits cris. Joël vient de laisser de longues giclées blanche sur le corps en face de lui. Pascal vois ça et se dépêche de prendre sa place, il ouvre d’avantage les jambes de sa copine et les coince sous les genoux de Gwen. Ainsi écartelée la jeune fille m’excite. Je pose la joue sur le ventre de Némica et lui titille le clito. L’énorme verge travaille Gwen que je sens tressaillir puis jouir. Le pal s’enfonce alors d’un coup, juste sous mes yeux dans le corps de Némica. Je redouble mes coups de langue sur son clito si sensible. Un orgasme géant la foudroie quelques instants plus tard. Mais il n’a pas encore déchargé, il me bloque la tête et me force la bouche avant de lâcher son foutre au fond de ma gorge. Je trouve ça angoissant car on a peur de s’étouffer, et de l’autre c’est un condensé d’érotisme. Je comprends enfin ce que j’impose à ma petite femme tous les jours !
Le lendemain, le moment fort a été celui ou les garçons ont réussi à introduire leurs grosses queues ensemble dans le vagin distendu de Gwen. Moi même je venais juste d’arriver à introduire ma verge dans l’anus, finalement assez étroit, de Némica. La bande son est digne du meilleur porno : des cris, des han de bucheron, des mots crus, des claques sur les fesses déjà rougies de Gwen, le feulement crescendo de Némica et le final molto vivace ou nous avons tous jouis quasi simultanément. L’instant d’après on n’entendait plus que le bruit de corps flasques essayant de reprendre leur souffle.
Mais ma plus grande récompense a été quand au moment du départ, Némica a proposé qu’on se revoit tous, rapidement et qu’on laissera cette fois la baie vitrée grande ouverte ! Ce W-E a vraiment changé sa vie !
*voir une chambre d’hôte… particulière : allez sur auteur puis trial et vous aurez le début de cette aventure
Si l’homme a été créé voyeur, il faut bien que la femme s’exhibe, même un peu.
Trois mois après l’ouverture nous avons eu une demande pour deux chambres communicantes. Non seulement c’était encore un investissement supplémentaire, mais je trouvais que l’esprit même d’une chambre coquine devait rester strictement réservée au couple ; sans les enfants. Pourtant, cette demande revenait sporadiquement aussi j’ai demandé plus d’explication. Innocent que j’étais ! C’était pour deux couples déjà amis ou bien pour rencontrer un autre couple ayant les mêmes affinités ! Of course ! Mais je tenais absolument à ce que les deux couples puissent aussi rester totalement indépendants, ou du moins « fusionnent » à leur rythme. L’idée a muri et c’est mon côté
voyeur, qui a dit voyou ?, qui m’a donné la solution. Les chambres serraient séparées par une grande baie vitrée avec une serrure de chaque côté, de cette manière chacun doit tourner sa propre clé pour que la porte puisse coulisser. De part et d’autre, un rideau permet de garder son intimité mais bien entendu une fois les deux tirés on est au théâtre érotique… De même je demande à chacun un test hiv récent, sois disant pour ne pas contaminer les installations en bois, mais j’imagine surtout que dans le feu de l’action ils vont oublier de se protéger.
J’ai pu récupérer une large baie vitrée avec double vitrage intact dans une décharge. Mon épouse a confectionné les rideaux. J’ai réorganisé les chambres de manière à ce que les lits soient à 90° l’un par rapport à l’autre: chaque couple peut ainsi mieux voir les autres. Par contre je n’ai pas eu les moyens de doubler le système vidéo, ça viendra. Dernière chose, mais je n’en ai parlé a personne, même pas à mon épouse, l’éclairage est conçu pour projeter les corps en ombres chinoises sur le rideau.
Ma première paire de couple ne se connait pas, mais ce sont des jeunes du même âge. Ils sont arrivés quasi simultanément et ont rapidement sympathisés. Une des filles, Némica, est particulièrement belle et toujours souriante. Je l’ai, évidement, mise avec son copain Pascal dans la chambre équipée de cameras et leur en ai expliqué l’utilité pour avoir leur propre film*. Némica me semble un peu prude mais lorsque j’ai expliqué le système de baie ouvrante elle m’a carrément semblé mal à l’aise. L’autre couple a par contre trouvé l’idée intéressante… mais sans vouloir l’utiliser … … … bien sur !
Après le souper, mon épouse a reçu un téléphone, elle doit se rendre 2-3 jours chez sa mère qui fait une grosse pneumonie… non pas maintenant belle maman, j’appréhende un peu de gérer cette première tout seul ! Après son départ nous avons tous fait un sauna. J’ai ensuite fait le massage de Joël. –comment trouves-tu l’idée de la vitre entre les deux chambre, ça ne te choque pas ? –C’est très bien car ça laisse le choix a chacun, avec Gwendoline on est naturiste et assez exib donc pour nous on peut tout ouvrir, mais Némica à l’air un peu coincée…dommage car Gwen et moi on a tout les deux flashé sur elle. Pascal par contre mate pas mal ma copine, il y aura peut-être une ouverture.
Ce vendredi soir ils ont chacun fait l’amour, Joël et Gwen rideau grand ouvert ; Némica a voulu garder tout fermé. Par contre les caméras m’on permis de voir enfin son sexe car même nue elle est de ces femmes qui ont l’art et la manière de ne rien dévoiler, ce qui attire d’ailleurs encore plus le regard avouons-le. Si ses grandes lèvres sont très fines, elle a par contre un clito très saillant. Est-ce ça qui la complexe ? C’est au contraire un atout indéniable et s’il pouvait sortir de son capuchon lorsqu’elle est excitée ce serrait sublime. C’est d’ailleurs justement ces singularités qui font qu’on a envie de telle ou telle personne, et pas d’une poupée Barbie identique à toutes les autres. Joël et Gwen ont éteint. Je ne sais pas s’ils se sont aperçus tout de suite du beau spectacle sur le rideau car Némica est l’amante parfaite. Elle suce très profond et sans se lasser, prend des positions de soumission ou à l’opposé se montre entreprenante et provoquante, se laisse aller à des petits cris pour marquer sa jouissance, non feinte d’ailleurs comme en témoignent ses tétons durcis par le plaisir. Ils vont faire l’amour plus d’une demi heure. Hélas le spectacle prend fin et ils éteignent.
Peu avant 6h, je me réveille. Il fait déjà jour. Machinalement je regarde l’écran. Pascal vient aussi de se lever, et se dirige vers le rideau qu’il entrouvre. Le spectacle de l’autre couple endormi doit l’exciter car il commence à se branler. Mais quelle n’est pas ma surprise, quelques minutes plus tard, de voir Joël apparaître de l’autre côté de la vitre, se tenant lui aussi le manche. Ils s’observent et observent l’épouse de l’autre endormie. Par geste Joël demande d’écarter plus la cuisse de Némica. Prudemment Pascal tire la jambe repliée et expose sa copine à un regard gourmand. Il revient vers la vitre s’accroupi et fait semblant de sucer le voyeur. Mais il est bi ce gaillard ! Quelques secondes plus tard une trainée de sperme s’étale sur la vitre. Pascal montre alors un geste sans équivoque : il veut le voir baiser sa copine. Je n’ai pas encore de caméra dans l’autre pièce mais je devine Joel se coucher derrière sa compagne, son sexe dur s’appuye contre les fesses, elle se réveille doucement et lui souris. Il lui soulève la cuisse et la prend en cuillère. Au bout d’un moment je suppose qu’il se retire et guide son dard entre les fesses. Encore mal réveillée elle doit faire la grimace, toujours est-il que le poignet de Pascal accélère le rythme et qu’une grosse quantité de sperme vient maculer l’autre côté de la vitre. Ils se rendormiront l’un et l’autre. Vers 8h Némica se réveille à son tour et s’étire. Ce geste affine la taille et redresse sa poitrine, sa main vient la toucher, l’empaumer. Ses doigts viennent jouer avec le têton, le presse, l’incline, le pince, l’étire, l’excite. L’autre main descend entre ses cuisses. Le majeur rentre dans son corps jusqu'à la garde, elle ferme les yeux tandis que le doigt s’agite en elle. Elle le ressort tout baveux et le pose sur son bas-ventre. Le doigt décrit des petits cercles rapide sur le flan de clitoris qui sort de sa cachette majestueusement. Il est long, brillant, et visiblement hyper sensible…Elle se tourne vers son amant endormi. La queue épaisse mais flasque repose sur la cuisse. Elle se penche, le titille du bout de la langue puis l’aspire entre ses lèvres et le suce doucement. L’engin se réveille, prend de la consistance. Le dormeur lui, doit être dans une phase de sommeil profond car sa respiration reste calme et régulière. Némica enjambe alors le corps et s’empale sur l’épieu dressé. La camera montre les grandes lèvres enserrer très étroitement et avaler l’entier de la colonne de chair jusqu’aux couilles. Elle est si cambrée que son anus s’entrouvre devant la camera. Puis elle remonte jusqu'à la base du gland, et redescend encore et encore. Le dormeur ouvre un œil et lui souri. Ils feront l’amour de façon passionnelle pendant plus d’une heure sans qu’elle s’aperçoive que son copain à laissé volontairement une petite fente ouverte dans le rideau. De l’autre côté 2 paires d’yeux n’en perdent pas une miette. Je devine Gwen penchée en avant tandis que son mec la saisi par les hanches et la travaille par l’arrière. Ils sont vachement complices ces deux-là !
Ils descendent. –Mais Némica tu t’est battue avec un lion cette nuit, tu es toute griffée dans le dos lui lance Gwen. Némica a un petit sourire gêné et rougit. C’est charmant. On commence par le jacuzzi autour duquel j’ai disposé quelques bougies pour une ambiance plus intimiste. Gwen provoque délibérément et caresse son copain, puis elle le fait asseoir sur le bord et commence à le sucer. Pascal à son tour attire sa compagne et la serre contre lui puis descend sa main entre les jambes. Elle résiste mais il lui affirme que sous les bulles les autre ne verront rien. Je la sens très partagée, d’un côté elle a envie de s’abandonner à ce parfum d’érotisme qui nous enrobe et de l’autre il y a toujours cette pudeur, cette éducation, le ’’qu’en dira-t-on’’ peut-être. Finalement c’est Gwen qui va la décoincer en lui caressant la poitrine avec beaucoup de sensualité. Et c’est la libération. 6 mains vont parcourir son corps, 30 doigts vont suivre ses moindres courbes, s’insinuer dans le moindre sillon, explorer tout ses gouffres. Elle va jouir jusqu'à en avoir les yeux qui se révulsent.
Après un moment de répit, je propose à Némica de la masser pour la détendre. Les garçons veulent venir aussi mais je refuse, elle a besoin de souffler. Elle s’installe sur le ventre et s’abandonne totalement à mes mains. La lueur de la bougie danse sur son dos. Mon massage est lent, doux et enveloppant. C’est exactement ce dont elle a besoin pour la remettre en phase avec elle même, lui faire admettre qu’elle n’a pas fait de bêtise, que son corps le lui demandait. Mais je ne veux pas la laisser refroidir et le massage au niveau des fesses redevient un peu plus câlin. Et elle se fait complice. Elle écarte ses cuisses pour permettre à ma main de descendre jusqu’a son sexe. Mes pouces parcourent le sillon, s’attardant autour de l’anus, qui ne se resserre pas pour autant, puis descendent vers le sexe dont les lèvres se séparent avec un petit bruit humide. Deux doigts entrent en elle. Elle a encore envie, ses reins se creusent, un peu de transpiration brille dans la pénombre. J’accélère le va et viens. Sa respiration se fait courte, mais elle ne parvient pas à jouir…-Prend moi … -Je ne m’y attendait pas mais mon sang de mâle ne fait qu’un tour. Je monte sur la table et m’enfonce rapidement en elle. J’alterne douceur et fermeté jusqu'à notre orgasme commun et, on s’écroule. Après un long silence elle me dit –Excuse moi mais après tout ces doigts qui m’ont donné tant de plaisir tout à l’heure j’avais besoin d’une grosse queue bien raide. –Je comprend, mais tu n’a pas à t’excuser j’ai énormément apprécié crois moi. Du sperme s’écoule du vagin encore béant. Je veux le lui essuyer mais curieusement elle préfère rejoindre les autre comme ça. Elle va embrasser Pascal, lui prend sa main et la guide vers son entrejambe. –Tu l’a fait, c’est fantastique dit-il en lui sautant au cou. J’ai alors compris que c’était un fantasme entre eux de la faire prendre par un autre.
Du coup Pascal souhaite aussi se faire masser. Il n’a pas voulu que je change le linge utilisé par sa copine, un fétichiste des odeurs? -Tu veux quoi comme massage ? –Tout : le dos, les fesses, le sexe bien sur et aussi les seins, j’y suis très sensible. Je lui masse donc le dos et reste longuement sur les fesses que je malaxe, étire, écarte, je regarde entre ses cuisses et m’aperçoit que sa queue, bien raide, est posée exactement sur ma trace de sperme et de mouille de sa copine. Je le fais tourner sur le dos. La verge est très épaisse, dans une chatte ça doit être jouissif par contre dans le fion? Je lui masse les jambes depuis le pied et remonte vers la hanche. Ca ne m’a jamais dérangé de masser une verge, mais j’ai envie de le faire languir un petit peu. Mes mains enserrent la cuisse et montent jusqu'à effleurer les couilles puis redescendent inexorablement. Ca le rend mûr, chaque fois la queue se soulève, espérant être empaumée à son tour, mais ça ne vient pas…et ça augmente d’autant le désir. Je m’attaque au ventre que je masse en larges cercles, mes doigts passent chaque fois juste sous la verge, trop tendue pour toucher le ventre. Il est intégralement épilé et l’absence de démarcation ne limite plus mes caresses. Je me décide, écarte les doigts et enfourche sa queue entre index et majeur, la pulpe avance jusqu’aux couilles qui fuient. Mais ma main gauche remonte entre les cuisses, passe sous le scrotum et rassemble le paquet comme un gros bouquet de fleur des champs…il se cambre sous le plaisir, poussant l’énorme verge vers mon visage. J’ouvre la bouche et…souffle mon haleine chaude, puis mes lèvres se serrent et un puissant jet frais descend du gland jusqu’aux couilles. Il s’arc encore, un puissant jet de sperme chaud jailli sur mon visage. J’attends que la pluie cesse. J’en ai partout : la joue, les lèvres, au coin des yeux, j’en ai même sur le sourcil. Ca pour une première c’est une première ! –C’est génial j’avais jamais été massé comme ça, tu pourrais le remontrer devant Némica ? –Oui bien sur mais tu sais c’est chaque fois improvisé en fonction des réactions de la personne que tu masses. Némica est au courant que tu es bi ? Oui mais elle ne sait pas exactement jusqu’ou je vais. Elle l’est aussi ? Non je ne crois pas, elle se laisserait toucher par une femme mais n’en prendrait jamais l’initiative.
Nous sortons. Ils sont là, tout les trois au bord du jacuzzi. Gwen est couchée sur le dos et a fait coucher Némica sur elle dans la même position, elle lui caresse les seins, le ventre, l’embrasse dans le cou tandis qu’entre les compas bien ouverts Joël passe d’une chatte à l’autre, dessus, dessous, dessous, dessus. Les corps des filles ne sont que soubresauts, soupirs et petits cris. Joël vient de laisser de longues giclées blanche sur le corps en face de lui. Pascal vois ça et se dépêche de prendre sa place, il ouvre d’avantage les jambes de sa copine et les coince sous les genoux de Gwen. Ainsi écartelée la jeune fille m’excite. Je pose la joue sur le ventre de Némica et lui titille le clito. L’énorme verge travaille Gwen que je sens tressaillir puis jouir. Le pal s’enfonce alors d’un coup, juste sous mes yeux dans le corps de Némica. Je redouble mes coups de langue sur son clito si sensible. Un orgasme géant la foudroie quelques instants plus tard. Mais il n’a pas encore déchargé, il me bloque la tête et me force la bouche avant de lâcher son foutre au fond de ma gorge. Je trouve ça angoissant car on a peur de s’étouffer, et de l’autre c’est un condensé d’érotisme. Je comprends enfin ce que j’impose à ma petite femme tous les jours !
Le lendemain, le moment fort a été celui ou les garçons ont réussi à introduire leurs grosses queues ensemble dans le vagin distendu de Gwen. Moi même je venais juste d’arriver à introduire ma verge dans l’anus, finalement assez étroit, de Némica. La bande son est digne du meilleur porno : des cris, des han de bucheron, des mots crus, des claques sur les fesses déjà rougies de Gwen, le feulement crescendo de Némica et le final molto vivace ou nous avons tous jouis quasi simultanément. L’instant d’après on n’entendait plus que le bruit de corps flasques essayant de reprendre leur souffle.
Mais ma plus grande récompense a été quand au moment du départ, Némica a proposé qu’on se revoit tous, rapidement et qu’on laissera cette fois la baie vitrée grande ouverte ! Ce W-E a vraiment changé sa vie !
*voir une chambre d’hôte… particulière : allez sur auteur puis trial et vous aurez le début de cette aventure
Si l’homme a été créé voyeur, il faut bien que la femme s’exhibe, même un peu.
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elle me plait bien moi cette histoire!