Les champignons
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2015 dans la catégorie Plus on est
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Les champignons
Daniel et Dominique partant aux champignons :« Vous faites quoi dehors, nous allons aux champignons, vous venez avec nous »«Nous constatons les dégâts de la pluie de l'autre jour » répondent en chœur Sophie et Christian leur sœur et beau frère.
« Justement, cette pluie a dû les faire pousser, venez comme vous êtes, allez ».
Après une petite hésitation, nous partons tous les quatre.(en famille ,voir les autres histoires)
« Nous allons nous séparer pour être plus efficace, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre » décidèrent les mecs.
Je me retrouvais donc avec ma belle sœur Sophie dans les sous bois. Inutile de vous dire que ça papotait. Sophie, n'avait pas l'air à l'aise, pas très habituée à carapater dans la forêt.
« Ça va, on dirait que tu n'est pas dans ton assiette ? » je lui demandais« Ça me gène de te dire ça mais, comme nous sommes parties précipitamment je n'ai pas eu le temps de passer aux toilettes et je traîne une envie de pipi depuis la maison »« Ce n'est que ça, tu n'as qu'a te soulager ici »« Tu sais bien que j'ai horreur de faire dans la nature »« Tu peux pas rester comme ça, tiens si ça peux t'aider, je vais pisser en même temps que toi, ça va t'aider. C'est ma tournée » je lui dis en riant tout en baissant jean et culotte.
A peine accroupie, j'évacue sans complexe un grand jet d'urine loin devant mes pieds. Voyant la scène, Sophie relève sa jupe, descend sa petite culotte. Mais timide comme elle est, rien ne sort, son petit orifice à pipi refuse de s'ouvrir.Je vois qu'elle a envie mais rien ne sort.
« Psstt, pssstt » je lui fais« Ne regarde pas ça me bloque et pourtant il faut que fasse, j'ai l'impression que ma vessie va éclater »« Comme tu voudras » lui dis je en tournant la tête de côté. Ce qui lui permit de se relâcher et presque immédiatement j'entendis le jet sifflant d'un petit filet arrosant le tapis de feuilles. Elle était gênée, n'y mettait pas tout son cœur. En me reculottant je lui lance hypocritement :« Tiens, voilà de la visite !»« Comment ça de la visite ?» m'interroge Sophie en se relevant tout en se rhabillant affolée. Le problème chez elle comme chez la plupart des filles c'est que quand c'est parti, c'est parti et qu'elle n'avait pas fini de vider sa vessie, si bien qu'elle continuait de pisser dans et sur sa culotte.
« Mais il ni a personne, Dominique t'es pas sympa, J'ai eu toutes les difficultés à me concentrer et maintenant je ne peux plus m'arrêter... Regarde comme je suis faite maintenant, il y a un bout de temps que je n'avais pas fait sur moi, je suis trempée, j'ai le derrière mouillé, je suis mal à l'aise »« T'as qu'à poser ton slip »« Et me balader les fesses à l'air sous ma jupe, ça jamais »« Tant pis pour toi on continue »
Un bon quart d'heure plus tard n'y tenant plus elle me dit tout en se retroussant pudiquement :« Je suis trop mal à l'aise, tu as raison je vais poser ma culotte.... mais j'en fais quoi, je ne vais tout de même pas la jeter ni la porter à la main ? »« Tiens,mets la dans le sac avec les champignons »« Avec les champignons mais, c'est crad »« Ils seront lavés en arrivant alors un peu plus, un peu moins »Et de faire disparaître le bout de tissu pisseux au fond du sac.
« Tiens, voilà nos maris, la cueillette a été bonne ? »« Avec les vôtres nous aurons de quoi améliorer une omelette...Si mon sens de l'observation ne me trompe pas, la voiture est là derrière ce bosquet juste après le grillage » nous expliqua Christian et de continuer :«Le problème, la barrière est à l'autre bout du champs et il va nous falloir faire un grand détour pour l'atteindre. A moins que nous passions sous le barbelé, qu'en pensez vous ? »« Va pour le barbelé, je suis crevée » lui répondit Sophie.
Et Christian de s'engager à quatre pattes, tête la première sous le fil de fer.
« A toi Daniel, mais je pense que ce sera plus facile si tu y vas à reculons »« A vous les filles, Christian à raison, à reculons ça passe mieux »Je m'engageais donc les fesses en arrière. Je supposais que les deux paires d'yeux de nos hommes ne perdaient pas une miette du spectacle de mon derrière tendant le tissu de mon pantalon, moulant ainsi mes formes avantageuses. Je le savais, tous les deux le connaissaient bien ce derrière pour l'avoir désiré et caressé. Je m'attendais un peu à recevoir une main au fesses de la part de Daniel, c'était trop tentant, pas de Christian, ça aurait paru louche. Il n'en fut rien.J'arrivais toute échevelée de l'autre côté sous leurs applaudissements. J'exhortais alors Sophie :« A toi, tu verra c'est facile, il suffit de ramper à reculons».
Timidement elle commença sa reptation sous le grillage, son petit cul en arrière bien en évidence. Cette pauvre Sophie ne se doutait pas de ce qui l'attendait. Continuant de glisser à quatre pattes lentement vers nous, un piquant du fil de fer accrocha sa jupe et plus elle venait vers nous plus la jupe remontait, si bien qu'elle se retrouva les fesses complètement à l'air nous présentant impudiquement son derrière nu.(la culotte puisque souillée était dans le sac des champignons) De par sa position très en arrière nous pouvions lui voir jusqu'à son petit trou et sa petite fente légèrement velue. Je regardais Daniel qui ne perdait rien de la scène, passant une main entre ses jambes je constatais un début d'érection :« Ben mon cochon ! ce sont les fesses de ta sœur qui te font bander, t'as pas honte ?»« Tu sais la dernière fois que je les ai vu, c'était quand nous étions gamins en jouant au docteur, et elles ont bien changées depuis».
Il faut dire que, présentée ainsi, la lune de Sophie ne me laissait pas indifférente, (allons Dominique, voyons)« Arrête, arrête » lui cria son mari Christian, « tu vas déchirer ta robe et tu es en train de t'offrir en spectacle »Il s'approcha du grillage afin de la délivrer et n'en finissait plus de libérer cette pauvre Sophie qui nous criait presque en pleurant :« Je suis déshonorer, je n'ai jamais été humiliée à ce point. arrêtez de me mater comme une bête curieuse».
Une fois libérée, elle partit en courant vers la voiture en vociférant :« Humiliée que je suis je ne pourrais plus vous regarder en face. On rentre, ne me parler plus de ces maudits champignons ».
Dans la voiture elle faisait la gueule, cependant Christian son mari osa lui poser une question :« Il y a une chose que je ne m'explique pas, c'est pourquoi tu ne portais pas de culotte, toi si pudique ? »Voyant qu'elle ne répondait pas, je lui expliquais l'histoire du pipi involontaire. Ce qui fit rire tout le monde sauf elle, bien sûr.
« Pour être sûr de nos champignons, nous allons passer à la pharmacie, elle est sur notre route, je pense d'ailleurs que c'est aussi votre pharmacie » nous expliqua Daniel.
« Celle du rond point, oui. Celle de la belle pharmacienne » répondit Christian« Ah ! Tu as aussi remarqué, belle femme, petite cinquantaine je pense, elle a vraiment tout ce qu'il faut là où il faut, Si elle disais oui, je ne dirais pas non »« Je dirais même plus, elle a une bouche à faire des pipes, tu trouves pas » surenchérit Christian.
« Eh là nous sommes là, messieurs, faudrait voir à pas l'oublier. Les voilà qui fantasment sur la pharmacienne ».
Belle femme, en effet que la dame aux médicaments. Juchée sur un escabeau elle tentait de remettre de l'ordre dans ses rayons. Sa position sur le marchepied faisait ressortir le galbe de ses jambes et donnait une forme des plus intéressante à ses fesses moulées dans un joli tailleur noir. La petite cinquantaine mais bien conservée comme l'avaient remarqué nos maris.
« Bonjour, je range la dernière boîte et je suis à vous »« Si ça pouvait être vrai » lui lança Daniel« Toujours aussi grivois à ce que je vois, que puis je faire pour vous »« Je pense que vous pourriez nous faire bien des choses agréables mais pour l'heure nous venons faire expertiser des champignons »« Des champignons, voyez vous ça. Vous avez de la chance de pouvoir sortir à la campagne, moi je n'ai même pas une seconde à moi. Entre la pharmacie, la maison, les clients mécontents, les timides qui viennent acheter des pastilles et qui,en fait, veulent des préservatifs, ceux qui veulent me montrer leur zigounette pour savoir quelle capote sera le mieux adaptée, j'en vois de toutes les couleurs, enfin pas la couleurs de leurs zizis vous me comprenez. Venez derrière nous serons plus tranquilles »C'est qu'elle a de la tchatche la belle apothicaire. Elle nous précède, le regard de nos hommes planté sur son arrière train, dans un salle emplie de meubles à tiroirs. Prenant nos sacs elle en renverse le contenu sur une grande table en inox afin de faire l'analyse de notre cueillette.
« Vous savez, les gens croient toujours que nous savons tout sur les champignons, ils ont tort, dans le doute nous jetons et puis je n'ai jamais vu des clients venir se plaindre après avoir mangé des champignons mortels » dit-elle dans un grand éclat de rire. Je pensais alors en la regardant - C'est vrai qu'elle a une bouche à faire des pipes-.
« Voyons ça, ...mais pourquoi, diable les avez vous mis dans un linge humide »Aïe, aïe, aïe, Sophie ce n'est pas ton jour, nous avions complètement oublié au fond d'un sac sa petite culotte mouillée.
Retirant ce qu'elle pensait être un linge, elle fit une moue de dédain :« Mais c'est une culotte de femme et trempée en plus, vous êtes sûr tous les quatre de n'avoir été qu'aux champignons ? »Je dû expliquer une nouvelle fois la scène du pipi culotte de ma belle sœur. Et tout le monde de partir d'un grand éclat de rire, sauf Sophie bien sûr qui partit se réfugier dans la voiture.
« Elle est vexée la jolie petite dame, il n'y a pas de mal, je vais vous donnez un sachet publicitaire de la maison pour envelopper à part cet objet si intime » nous dit elle en prenant grand soin de la passer sous son nez avant de la glisser dans le sac.
Tiens tiens, il n'y a pas que les hommes qui l’intéresse, je pense.
« Revenons à nos moutons, enfin, champignons.... Il n'y a pratiquement rien à jeter ».
« Comme chez vous » cru bon de rajouter Daniel. Il ne manque pas d'air.
« Pardon !! »« Rien, rien , c'était une boutade » s'excusa-t-il
Nous repartons à la voiture suivi de la pharmacienne qui tenait à donner en mains propres (si je puis dire) à Sophie le sac contenant l'objet de son délit.
« Il faut pas avoir honte, jolie madame, ce sont des chose qui arrivent, moi même quand je ris un peu trop quelques gouttes arrivent à m'échapper, ce qui fait le bonheur de mon mari ».
-Ça alors serait-elle aussi ondiniste,- Toujours est-il que Sophie lui a tapé dans l’œil.
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« Viens, Sophie je vais te passer une de mes culotte pour ce soir, tu me la rendra un de ces jours »Nous montons dans la chambre pendant que nos hommes préparent l'omelette aux champignons.
« Ben dis donc tu manques pas de culottes »« Je les achètent toujours par séries de trois ou quatre. Tiens prends celle là. Avec ça sur le cul, ça vas être ta fête ce soir » lui dis je en riant ;« Tu sais bien que ce n'est pas vraiment mon truc » me dit elle en enfilant une belle petite culotte blanche avec des rubans noirs.
« Tiens c'est bizarre je parierais que c'est la même que j'ai trouvée l'autre jour dans la poche de Steve, ton neveu,(voir : un dépucelage raté et ma petite culotte). Non je dois faire erreur. »-Non elle ne faisait pas erreur, c'était bien la même, imbécile que je suis.
La voyant se trousser pour s'habiller, repensant à la vision lunaire de cet après midi, je ne sais pas ce qui m'a pris. Toujours est-il que nous nous sommes retrouvées coucher sur le lit, elle la jupe relevée jusqu'au nombril, la culotte à moitié enfilée et moi cherchant sa bouche et posant ma main sur le duvet de son sexe.
« Ça va pas, non, t'es malade et nos hommes qui sont en bas » s'exclama -t-elle en se relevant, horrifiée par mon geste.
« Excuse moi, je croyais ...»« Tu n'es qu'une dépravée, je parie que tu as des amants. Mon frère doit être cocu, et comme toujours ne pas s'en rendre compte ».
« Tu devrais en prendre des amants, ou des amantes, tu n'as même pas remarqué que la pharmacienne te faisait du gringue, ça te décoincerait et peut être que toi aussi t'es cocue »
« Le grand air t'as rendue folle ma pauvre fille, la pharmacienne et puis quoi encore. Dans ton délire tu vas bientôt me dire que tu couches avec Christian et que tu te fais sauter par tes neveux. Tais toi mais tais toi donc. Allez l'incident est clos, nous n'allons pas nous fâcher, nous reprendrons cette conversation plus tard, ne faisons pas attendre nos chers maris »Inutile de dire qu'un froid régna entre nous pendant tout le repas.
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Quelques temps plus tard Sophie vint me rapporter ma culotte en m'expliquant qu'elle ne savait plus si c'était vraiment la mienne l'ayant mélangée avec celle trouvée dans la poche de son fils.
« J'en ai gardé une des deux, elle fait tellement d'effet à Christian, tu sais, tu m'avais dit le fameux soir des champignons - avec celle là, ça va être ta fête se soir.- et bien tu ne croyais pas si bien dire. Christian était déjà couché, quand il me vit relever ma jupe et qu'il aperçu ma culotte, sans me laisser le temps de la poser, il la glissa sur le côté, me plaqua au mur et je me trouvais emmanchée, excuse moi du terme, par son membre qui n'avait jamais été si volumineux. Un viol, je te dis, un vrai viol. La saillie, il n'y a pas d'autre mot tellement il faisait ça sauvagement, fut de courte durée, il m'inonda le ventre de sa purée si bestialement que j'en ai presque joui, cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps. »« Eh ben ma Sophie, tu t'ai bien fait mettre à ce que je vois »« Je n'ai toujours pas compris ce qui l'a mis dans cet état, m'avoir vu le derrière à l'air cet après midi là, ta petite culotte affriolante moi qui ne porte que du petit bateau, toujours est-il que depuis ce jour il fait beaucoup plus attention à moi et je m'efforce de le satisfaire, ce qui, somme toute, n'est pas si désagréable »Je pensais – c'était peut être le fait de savoir que c'était une culotte à moi, il avait ainsi l'impression de me baiser, il faudra que je lui demande-« Ton mari n'est pas là »me demanda-t-elle« Il bichonne la 4CV, elle a des difficultés au démarrage »« Nous sommes tranquilles alors, pas de mec... Regarde comment tu me trouves ? »Elle se mit alors à tourner sur elle même, sa jupe légère se soulevant au gré de son balancement et je pus constater à mon grand étonnement qu'elle ne portait rien en dessous.
« Mais tu n'as pas de culotte ? ! »« Non, tu as raison on est bien plus à l'aise comme ça. Au début, je pensais que ton le monde me regardait, je faisais attention en me baissant ou en m'accroupissant, mais il n'en était rien. J'ai changé, tu sais, l'autre jour quand tu m'as bousculée sur le lit, je n'aurais pas dû réagir comme je l'ai fait, j'ai été trop timide, et puis il y avait nos hommes en bas. Ce fameux soir de Noël (voir : Noël en famille)quand brusquement tu m'as demandé de voir si ton anus ne saignait pas, ça m'a fait tout drôle entre les jambes. Je dois bien t'avouer quand je suis aller tirer la chasse d'eau pour faire disparaître l'énormité que tu venais de produire, je me suis surprise à rêver et à me toucher. Et quand tu as fais pipi en face de moi dans les bois l'autre jour, je n'ai rien dis mais e n'ai pas pu m'empêcher d'admirer avec envie ta toison sombre et fournie. Regarde ce n'est pas moi, avec ma petite fente à peine velue, qui peux émoustiller les hommes »Et de relever sa jupe pour me faire constaté la véracité de ses propos.
Les femmes, ce n'est pas vraiment mon truc, mais il faut bien avoué que moi aussi, le jour des champignons, j'avais les yeux fixés sur sa petite fente humide et que je ne suis pas restée de marbre et quand bien involontairement elle nous a montré son petit cul, j'ai dû déjà vous le dire.
« Regarde la différence » lui dis je en posant mon string qui ne cachait pas grand chose de mes abondants poils pubiens. Autant chez moi le triangle est noir et épais autant chez toi il est soyeux et léger.
Nous nous retrouvées, je ne sais plus comment, coucher culs par dessus têtes sur le canapé dans un 69 féminin. Elle était en dessous et tendant la tête faisait des bisous à mon minou, moi je passais ma langue le long de sa moule cherchant son petit bouton. C'était agréable mais sans plus. Par contre, je ne sais pas si c'est que je sais m'y prendre, mais Sophie gémissait en se tortillant doucement.
« T'arrête pas » gémit-elle dans un souffle.Tout son corps tremblait. Ne me laissant pas atteindre son petit trou vierge de toute intrusion, elle cabra les reins et écartant encore plus les cuisses et m'envoya, avec une puissance inouïe, un grand jet clair et chaud . Surprise je relevais la tête alors que sa petite source continuait de cracher par saccades, inondant le parquet ainsi que le canapé. Je pense que j'ai joui à ce moment, pas un orgasme comme avec un homme, c'était plus doux, moins violent, agréable en somme.
Sophie s 'écroula sur le sofa, complètement groguie. Reprenant ses esprits, elle s'exclama :« Je pense bien que je suis partie et c'est toi, une femme, qui m'a fait jouir. Je n'ai jamais eu un tel orgasme. Je me voyais flottant dans l'air, ce doit être ça la paradis. Je n'est jamais ressentie une telle plénitude avec un homme »Voyant la canapé et le sol mouillé elle ajouta ennuyée :« C'est moi qui ai fait ça, je me suis lâchée à ce point sans m'en rendre compte. J'ai pisser partout, j'ai honte ».
« Faut pas avoir honte, d'abord, c'est pas du pipi mais de la mouille. Tu as éjaculée, si je puis dire, pendant ton orgasme une grande quantité de cyprine. Sans le savoir, ma fille, tu es une femme fontaine, je viens de te révéler que tu es une femme fontaine ».
« Une femme fontaine moi, il faut que j'arrive à 40 ans pour que tu me révèles ça. Jamais Christian n'était arriver à me faire jouir à ce point. Peut être que j'aime mieux les femmes, hein dis Dominique ? »« Et quelle honte y aurait-il à ça, faudra que t'essaies avec d'autres femmes pour en être sûre ».
« Et pourquoi pas entre nous, c'est toi qui m'a révélé ma véritable nature »« Je ne voudrais pas te vexer, c'était bien mais je préfère une bonne grosse bite d'homme par une de mes trois ouvertures. Une bonne queue à sucer, un gros dard dans le con et parfois un super ramonage du trou de balle, ça fait du bien même si parfois c'est un peu douloureux et que ça laisse des souvenirs »« Tu te fais encul..... »Elle ne finit pas sa phrase, Daniel venait d'entrer dans le pièce triomphant :« Ça y est, je l'ai fait partir la 4CV »« Et ben moi, j'ai fait partir Sophie » je lui réponds du tac au tac.
« Comment ça t'as fait partir Sophie »« Rien , je t'expliquerai »Il disparu dans la cuisine alors que ma belle sœur, rouge de confusion :« Tu vas pas lui raconter notre aventure !! »
Remise de ces émotions nouvelles pour elle, Sophie rajusta sa tenue et toujours cul nu se précipita dehors.
« Oh, je n'avais pas vu l'heure, il faut que je file. Christian va se demander où je suis passée. Et je dois faire un saut à la pharmacie avant de rentrer ».
« C'est pour acheter des capotes où pour voir la pharmacienne ? ».
Elle a bien changé notre Sophie, mais à bien y réfléchir, moi, les femmes, c'est pas mon truc.
« Justement, cette pluie a dû les faire pousser, venez comme vous êtes, allez ».
Après une petite hésitation, nous partons tous les quatre.(en famille ,voir les autres histoires)
« Nous allons nous séparer pour être plus efficace, les femmes d'un côté, les hommes de l'autre » décidèrent les mecs.
Je me retrouvais donc avec ma belle sœur Sophie dans les sous bois. Inutile de vous dire que ça papotait. Sophie, n'avait pas l'air à l'aise, pas très habituée à carapater dans la forêt.
« Ça va, on dirait que tu n'est pas dans ton assiette ? » je lui demandais« Ça me gène de te dire ça mais, comme nous sommes parties précipitamment je n'ai pas eu le temps de passer aux toilettes et je traîne une envie de pipi depuis la maison »« Ce n'est que ça, tu n'as qu'a te soulager ici »« Tu sais bien que j'ai horreur de faire dans la nature »« Tu peux pas rester comme ça, tiens si ça peux t'aider, je vais pisser en même temps que toi, ça va t'aider. C'est ma tournée » je lui dis en riant tout en baissant jean et culotte.
A peine accroupie, j'évacue sans complexe un grand jet d'urine loin devant mes pieds. Voyant la scène, Sophie relève sa jupe, descend sa petite culotte. Mais timide comme elle est, rien ne sort, son petit orifice à pipi refuse de s'ouvrir.Je vois qu'elle a envie mais rien ne sort.
« Psstt, pssstt » je lui fais« Ne regarde pas ça me bloque et pourtant il faut que fasse, j'ai l'impression que ma vessie va éclater »« Comme tu voudras » lui dis je en tournant la tête de côté. Ce qui lui permit de se relâcher et presque immédiatement j'entendis le jet sifflant d'un petit filet arrosant le tapis de feuilles. Elle était gênée, n'y mettait pas tout son cœur. En me reculottant je lui lance hypocritement :« Tiens, voilà de la visite !»« Comment ça de la visite ?» m'interroge Sophie en se relevant tout en se rhabillant affolée. Le problème chez elle comme chez la plupart des filles c'est que quand c'est parti, c'est parti et qu'elle n'avait pas fini de vider sa vessie, si bien qu'elle continuait de pisser dans et sur sa culotte.
« Mais il ni a personne, Dominique t'es pas sympa, J'ai eu toutes les difficultés à me concentrer et maintenant je ne peux plus m'arrêter... Regarde comme je suis faite maintenant, il y a un bout de temps que je n'avais pas fait sur moi, je suis trempée, j'ai le derrière mouillé, je suis mal à l'aise »« T'as qu'à poser ton slip »« Et me balader les fesses à l'air sous ma jupe, ça jamais »« Tant pis pour toi on continue »
Un bon quart d'heure plus tard n'y tenant plus elle me dit tout en se retroussant pudiquement :« Je suis trop mal à l'aise, tu as raison je vais poser ma culotte.... mais j'en fais quoi, je ne vais tout de même pas la jeter ni la porter à la main ? »« Tiens,mets la dans le sac avec les champignons »« Avec les champignons mais, c'est crad »« Ils seront lavés en arrivant alors un peu plus, un peu moins »Et de faire disparaître le bout de tissu pisseux au fond du sac.
« Tiens, voilà nos maris, la cueillette a été bonne ? »« Avec les vôtres nous aurons de quoi améliorer une omelette...Si mon sens de l'observation ne me trompe pas, la voiture est là derrière ce bosquet juste après le grillage » nous expliqua Christian et de continuer :«Le problème, la barrière est à l'autre bout du champs et il va nous falloir faire un grand détour pour l'atteindre. A moins que nous passions sous le barbelé, qu'en pensez vous ? »« Va pour le barbelé, je suis crevée » lui répondit Sophie.
Et Christian de s'engager à quatre pattes, tête la première sous le fil de fer.
« A toi Daniel, mais je pense que ce sera plus facile si tu y vas à reculons »« A vous les filles, Christian à raison, à reculons ça passe mieux »Je m'engageais donc les fesses en arrière. Je supposais que les deux paires d'yeux de nos hommes ne perdaient pas une miette du spectacle de mon derrière tendant le tissu de mon pantalon, moulant ainsi mes formes avantageuses. Je le savais, tous les deux le connaissaient bien ce derrière pour l'avoir désiré et caressé. Je m'attendais un peu à recevoir une main au fesses de la part de Daniel, c'était trop tentant, pas de Christian, ça aurait paru louche. Il n'en fut rien.J'arrivais toute échevelée de l'autre côté sous leurs applaudissements. J'exhortais alors Sophie :« A toi, tu verra c'est facile, il suffit de ramper à reculons».
Timidement elle commença sa reptation sous le grillage, son petit cul en arrière bien en évidence. Cette pauvre Sophie ne se doutait pas de ce qui l'attendait. Continuant de glisser à quatre pattes lentement vers nous, un piquant du fil de fer accrocha sa jupe et plus elle venait vers nous plus la jupe remontait, si bien qu'elle se retrouva les fesses complètement à l'air nous présentant impudiquement son derrière nu.(la culotte puisque souillée était dans le sac des champignons) De par sa position très en arrière nous pouvions lui voir jusqu'à son petit trou et sa petite fente légèrement velue. Je regardais Daniel qui ne perdait rien de la scène, passant une main entre ses jambes je constatais un début d'érection :« Ben mon cochon ! ce sont les fesses de ta sœur qui te font bander, t'as pas honte ?»« Tu sais la dernière fois que je les ai vu, c'était quand nous étions gamins en jouant au docteur, et elles ont bien changées depuis».
Il faut dire que, présentée ainsi, la lune de Sophie ne me laissait pas indifférente, (allons Dominique, voyons)« Arrête, arrête » lui cria son mari Christian, « tu vas déchirer ta robe et tu es en train de t'offrir en spectacle »Il s'approcha du grillage afin de la délivrer et n'en finissait plus de libérer cette pauvre Sophie qui nous criait presque en pleurant :« Je suis déshonorer, je n'ai jamais été humiliée à ce point. arrêtez de me mater comme une bête curieuse».
Une fois libérée, elle partit en courant vers la voiture en vociférant :« Humiliée que je suis je ne pourrais plus vous regarder en face. On rentre, ne me parler plus de ces maudits champignons ».
Dans la voiture elle faisait la gueule, cependant Christian son mari osa lui poser une question :« Il y a une chose que je ne m'explique pas, c'est pourquoi tu ne portais pas de culotte, toi si pudique ? »Voyant qu'elle ne répondait pas, je lui expliquais l'histoire du pipi involontaire. Ce qui fit rire tout le monde sauf elle, bien sûr.
« Pour être sûr de nos champignons, nous allons passer à la pharmacie, elle est sur notre route, je pense d'ailleurs que c'est aussi votre pharmacie » nous expliqua Daniel.
« Celle du rond point, oui. Celle de la belle pharmacienne » répondit Christian« Ah ! Tu as aussi remarqué, belle femme, petite cinquantaine je pense, elle a vraiment tout ce qu'il faut là où il faut, Si elle disais oui, je ne dirais pas non »« Je dirais même plus, elle a une bouche à faire des pipes, tu trouves pas » surenchérit Christian.
« Eh là nous sommes là, messieurs, faudrait voir à pas l'oublier. Les voilà qui fantasment sur la pharmacienne ».
Belle femme, en effet que la dame aux médicaments. Juchée sur un escabeau elle tentait de remettre de l'ordre dans ses rayons. Sa position sur le marchepied faisait ressortir le galbe de ses jambes et donnait une forme des plus intéressante à ses fesses moulées dans un joli tailleur noir. La petite cinquantaine mais bien conservée comme l'avaient remarqué nos maris.
« Bonjour, je range la dernière boîte et je suis à vous »« Si ça pouvait être vrai » lui lança Daniel« Toujours aussi grivois à ce que je vois, que puis je faire pour vous »« Je pense que vous pourriez nous faire bien des choses agréables mais pour l'heure nous venons faire expertiser des champignons »« Des champignons, voyez vous ça. Vous avez de la chance de pouvoir sortir à la campagne, moi je n'ai même pas une seconde à moi. Entre la pharmacie, la maison, les clients mécontents, les timides qui viennent acheter des pastilles et qui,en fait, veulent des préservatifs, ceux qui veulent me montrer leur zigounette pour savoir quelle capote sera le mieux adaptée, j'en vois de toutes les couleurs, enfin pas la couleurs de leurs zizis vous me comprenez. Venez derrière nous serons plus tranquilles »C'est qu'elle a de la tchatche la belle apothicaire. Elle nous précède, le regard de nos hommes planté sur son arrière train, dans un salle emplie de meubles à tiroirs. Prenant nos sacs elle en renverse le contenu sur une grande table en inox afin de faire l'analyse de notre cueillette.
« Vous savez, les gens croient toujours que nous savons tout sur les champignons, ils ont tort, dans le doute nous jetons et puis je n'ai jamais vu des clients venir se plaindre après avoir mangé des champignons mortels » dit-elle dans un grand éclat de rire. Je pensais alors en la regardant - C'est vrai qu'elle a une bouche à faire des pipes-.
« Voyons ça, ...mais pourquoi, diable les avez vous mis dans un linge humide »Aïe, aïe, aïe, Sophie ce n'est pas ton jour, nous avions complètement oublié au fond d'un sac sa petite culotte mouillée.
Retirant ce qu'elle pensait être un linge, elle fit une moue de dédain :« Mais c'est une culotte de femme et trempée en plus, vous êtes sûr tous les quatre de n'avoir été qu'aux champignons ? »Je dû expliquer une nouvelle fois la scène du pipi culotte de ma belle sœur. Et tout le monde de partir d'un grand éclat de rire, sauf Sophie bien sûr qui partit se réfugier dans la voiture.
« Elle est vexée la jolie petite dame, il n'y a pas de mal, je vais vous donnez un sachet publicitaire de la maison pour envelopper à part cet objet si intime » nous dit elle en prenant grand soin de la passer sous son nez avant de la glisser dans le sac.
Tiens tiens, il n'y a pas que les hommes qui l’intéresse, je pense.
« Revenons à nos moutons, enfin, champignons.... Il n'y a pratiquement rien à jeter ».
« Comme chez vous » cru bon de rajouter Daniel. Il ne manque pas d'air.
« Pardon !! »« Rien, rien , c'était une boutade » s'excusa-t-il
Nous repartons à la voiture suivi de la pharmacienne qui tenait à donner en mains propres (si je puis dire) à Sophie le sac contenant l'objet de son délit.
« Il faut pas avoir honte, jolie madame, ce sont des chose qui arrivent, moi même quand je ris un peu trop quelques gouttes arrivent à m'échapper, ce qui fait le bonheur de mon mari ».
-Ça alors serait-elle aussi ondiniste,- Toujours est-il que Sophie lui a tapé dans l’œil.
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« Viens, Sophie je vais te passer une de mes culotte pour ce soir, tu me la rendra un de ces jours »Nous montons dans la chambre pendant que nos hommes préparent l'omelette aux champignons.
« Ben dis donc tu manques pas de culottes »« Je les achètent toujours par séries de trois ou quatre. Tiens prends celle là. Avec ça sur le cul, ça vas être ta fête ce soir » lui dis je en riant ;« Tu sais bien que ce n'est pas vraiment mon truc » me dit elle en enfilant une belle petite culotte blanche avec des rubans noirs.
« Tiens c'est bizarre je parierais que c'est la même que j'ai trouvée l'autre jour dans la poche de Steve, ton neveu,(voir : un dépucelage raté et ma petite culotte). Non je dois faire erreur. »-Non elle ne faisait pas erreur, c'était bien la même, imbécile que je suis.
La voyant se trousser pour s'habiller, repensant à la vision lunaire de cet après midi, je ne sais pas ce qui m'a pris. Toujours est-il que nous nous sommes retrouvées coucher sur le lit, elle la jupe relevée jusqu'au nombril, la culotte à moitié enfilée et moi cherchant sa bouche et posant ma main sur le duvet de son sexe.
« Ça va pas, non, t'es malade et nos hommes qui sont en bas » s'exclama -t-elle en se relevant, horrifiée par mon geste.
« Excuse moi, je croyais ...»« Tu n'es qu'une dépravée, je parie que tu as des amants. Mon frère doit être cocu, et comme toujours ne pas s'en rendre compte ».
« Tu devrais en prendre des amants, ou des amantes, tu n'as même pas remarqué que la pharmacienne te faisait du gringue, ça te décoincerait et peut être que toi aussi t'es cocue »
« Le grand air t'as rendue folle ma pauvre fille, la pharmacienne et puis quoi encore. Dans ton délire tu vas bientôt me dire que tu couches avec Christian et que tu te fais sauter par tes neveux. Tais toi mais tais toi donc. Allez l'incident est clos, nous n'allons pas nous fâcher, nous reprendrons cette conversation plus tard, ne faisons pas attendre nos chers maris »Inutile de dire qu'un froid régna entre nous pendant tout le repas.
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Quelques temps plus tard Sophie vint me rapporter ma culotte en m'expliquant qu'elle ne savait plus si c'était vraiment la mienne l'ayant mélangée avec celle trouvée dans la poche de son fils.
« J'en ai gardé une des deux, elle fait tellement d'effet à Christian, tu sais, tu m'avais dit le fameux soir des champignons - avec celle là, ça va être ta fête se soir.- et bien tu ne croyais pas si bien dire. Christian était déjà couché, quand il me vit relever ma jupe et qu'il aperçu ma culotte, sans me laisser le temps de la poser, il la glissa sur le côté, me plaqua au mur et je me trouvais emmanchée, excuse moi du terme, par son membre qui n'avait jamais été si volumineux. Un viol, je te dis, un vrai viol. La saillie, il n'y a pas d'autre mot tellement il faisait ça sauvagement, fut de courte durée, il m'inonda le ventre de sa purée si bestialement que j'en ai presque joui, cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps. »« Eh ben ma Sophie, tu t'ai bien fait mettre à ce que je vois »« Je n'ai toujours pas compris ce qui l'a mis dans cet état, m'avoir vu le derrière à l'air cet après midi là, ta petite culotte affriolante moi qui ne porte que du petit bateau, toujours est-il que depuis ce jour il fait beaucoup plus attention à moi et je m'efforce de le satisfaire, ce qui, somme toute, n'est pas si désagréable »Je pensais – c'était peut être le fait de savoir que c'était une culotte à moi, il avait ainsi l'impression de me baiser, il faudra que je lui demande-« Ton mari n'est pas là »me demanda-t-elle« Il bichonne la 4CV, elle a des difficultés au démarrage »« Nous sommes tranquilles alors, pas de mec... Regarde comment tu me trouves ? »Elle se mit alors à tourner sur elle même, sa jupe légère se soulevant au gré de son balancement et je pus constater à mon grand étonnement qu'elle ne portait rien en dessous.
« Mais tu n'as pas de culotte ? ! »« Non, tu as raison on est bien plus à l'aise comme ça. Au début, je pensais que ton le monde me regardait, je faisais attention en me baissant ou en m'accroupissant, mais il n'en était rien. J'ai changé, tu sais, l'autre jour quand tu m'as bousculée sur le lit, je n'aurais pas dû réagir comme je l'ai fait, j'ai été trop timide, et puis il y avait nos hommes en bas. Ce fameux soir de Noël (voir : Noël en famille)quand brusquement tu m'as demandé de voir si ton anus ne saignait pas, ça m'a fait tout drôle entre les jambes. Je dois bien t'avouer quand je suis aller tirer la chasse d'eau pour faire disparaître l'énormité que tu venais de produire, je me suis surprise à rêver et à me toucher. Et quand tu as fais pipi en face de moi dans les bois l'autre jour, je n'ai rien dis mais e n'ai pas pu m'empêcher d'admirer avec envie ta toison sombre et fournie. Regarde ce n'est pas moi, avec ma petite fente à peine velue, qui peux émoustiller les hommes »Et de relever sa jupe pour me faire constaté la véracité de ses propos.
Les femmes, ce n'est pas vraiment mon truc, mais il faut bien avoué que moi aussi, le jour des champignons, j'avais les yeux fixés sur sa petite fente humide et que je ne suis pas restée de marbre et quand bien involontairement elle nous a montré son petit cul, j'ai dû déjà vous le dire.
« Regarde la différence » lui dis je en posant mon string qui ne cachait pas grand chose de mes abondants poils pubiens. Autant chez moi le triangle est noir et épais autant chez toi il est soyeux et léger.
Nous nous retrouvées, je ne sais plus comment, coucher culs par dessus têtes sur le canapé dans un 69 féminin. Elle était en dessous et tendant la tête faisait des bisous à mon minou, moi je passais ma langue le long de sa moule cherchant son petit bouton. C'était agréable mais sans plus. Par contre, je ne sais pas si c'est que je sais m'y prendre, mais Sophie gémissait en se tortillant doucement.
« T'arrête pas » gémit-elle dans un souffle.Tout son corps tremblait. Ne me laissant pas atteindre son petit trou vierge de toute intrusion, elle cabra les reins et écartant encore plus les cuisses et m'envoya, avec une puissance inouïe, un grand jet clair et chaud . Surprise je relevais la tête alors que sa petite source continuait de cracher par saccades, inondant le parquet ainsi que le canapé. Je pense que j'ai joui à ce moment, pas un orgasme comme avec un homme, c'était plus doux, moins violent, agréable en somme.
Sophie s 'écroula sur le sofa, complètement groguie. Reprenant ses esprits, elle s'exclama :« Je pense bien que je suis partie et c'est toi, une femme, qui m'a fait jouir. Je n'ai jamais eu un tel orgasme. Je me voyais flottant dans l'air, ce doit être ça la paradis. Je n'est jamais ressentie une telle plénitude avec un homme »Voyant la canapé et le sol mouillé elle ajouta ennuyée :« C'est moi qui ai fait ça, je me suis lâchée à ce point sans m'en rendre compte. J'ai pisser partout, j'ai honte ».
« Faut pas avoir honte, d'abord, c'est pas du pipi mais de la mouille. Tu as éjaculée, si je puis dire, pendant ton orgasme une grande quantité de cyprine. Sans le savoir, ma fille, tu es une femme fontaine, je viens de te révéler que tu es une femme fontaine ».
« Une femme fontaine moi, il faut que j'arrive à 40 ans pour que tu me révèles ça. Jamais Christian n'était arriver à me faire jouir à ce point. Peut être que j'aime mieux les femmes, hein dis Dominique ? »« Et quelle honte y aurait-il à ça, faudra que t'essaies avec d'autres femmes pour en être sûre ».
« Et pourquoi pas entre nous, c'est toi qui m'a révélé ma véritable nature »« Je ne voudrais pas te vexer, c'était bien mais je préfère une bonne grosse bite d'homme par une de mes trois ouvertures. Une bonne queue à sucer, un gros dard dans le con et parfois un super ramonage du trou de balle, ça fait du bien même si parfois c'est un peu douloureux et que ça laisse des souvenirs »« Tu te fais encul..... »Elle ne finit pas sa phrase, Daniel venait d'entrer dans le pièce triomphant :« Ça y est, je l'ai fait partir la 4CV »« Et ben moi, j'ai fait partir Sophie » je lui réponds du tac au tac.
« Comment ça t'as fait partir Sophie »« Rien , je t'expliquerai »Il disparu dans la cuisine alors que ma belle sœur, rouge de confusion :« Tu vas pas lui raconter notre aventure !! »
Remise de ces émotions nouvelles pour elle, Sophie rajusta sa tenue et toujours cul nu se précipita dehors.
« Oh, je n'avais pas vu l'heure, il faut que je file. Christian va se demander où je suis passée. Et je dois faire un saut à la pharmacie avant de rentrer ».
« C'est pour acheter des capotes où pour voir la pharmacienne ? ».
Elle a bien changé notre Sophie, mais à bien y réfléchir, moi, les femmes, c'est pas mon truc.
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