Les chiens ne font pas des chats. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2020 dans la catégorie Plus on est
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Les chiens ne font pas des chats. 4
Les chiens ne font pas des chats. 4« Papy » m’a dépucelée.
-Putain ! Mais t’étais vierge ! Qu’est-ce que j’ai fais… C’est pas vrai ! Oh pardon Rose, je ne voulais pas !
-Je t’ai menti, Papy… Mais j’en avais tant envie. Tonton n’a jamais voul…-Quoi ?! Qu’est ce que tu racontes ?
Suite.
-Ben… Oh et puis zut ! J’ai surpris un jour ma tante et son mari en plein…travail, je ne sais pas comment on en est arrivé là mais ils m’ont « éduquée ». Mais Patrick n’a jamais voulu me baiser alors…je me suis dit… avec toi…-Tu es une vraie petite salope, mais avec une famille pareille…Perdu dans ses réflexions, Henry, sans même sans rendre compte, ondule du bassin, remplissant bien comme il faut sa petite-nièce qui en a le souffle coupé quand la verge bute tout au fond de son vagin.
-Putain ! Mais qu’est-ce que je fais encore?! Mais malgré ses dires il continue à la prendre.
Henry est enfoncé au plus profond de la chatte et Rose met du temps à apprécier son engin et en ressentir les effets dans tout son corps. Les coups de bite sont de plus en plus violents au fil des minutes. Les fesses de Rose claquent sous le choc et son corps est projeté en avant. Il lime ce temple d’amour pendant un moment puis la fait mettre en levrette. Rose sent encore mieux la grosse bite lui perforer la chatte et distendre son vagin. Henry la tringle sans plus de retenue, il a mis son pouce entier dans son cul, conscient que ce conduit anal ne pourrait supporter son engin, enfin pas tout de suite…Une poussée plus violente que les autres la fait tomber à plat ventre. Dans le mouvement, le braquemart gigantesque percute violement le plus profond de la jeune chatte. Rose crie de douleur.
Henry s’arrête de peur de la blesser mais Rose attrape d’une main ferme le jonc vigoureux et le pose sur ses fesses en l’encourageant à continuer en remuant du popotin. Henry replonge sa bite dans la vulve détrempée et la pilonne comme un forcené, l’épinglant comme un papillon.
Rose halète la bouche sèche, fière et consciente de réaliser une grande première, elle mouille comme une malade. Henry ne se retient plus et soudain, du fin fond du ventre de Rose, une houle grossit, enfle puis explose. Elle rue des quatre fers sous la puissance de l’orage, elle vient de connaître son premier orgasme pendant qu’Henry continue à la défoncer. Elle hurle, crie : ¬
-Oh ooouuuiii ! Continue Papy, surtout ne t’arrête pas, défonce-moi, enfonce ta queue en moi, encore, encore…Elle est heureuse, elle plane comme si elle avait fumé un joint. Elle jouit elle ne sait combien de fois avant que son amant ultra membré ne se retire et présente la bite à sa bouche, enfonçant la queue presque jusqu’à la glotte à faire vomir Rose.
L’éjaculation est proportionnelle à la taille de sa queue. Rose a la bouche pleine de son foutre chaud et avale pour ne rien gaspiller. Elle retire la pine brillante de salive de sa bouche mais, à sa grande surprise, elle se maintient dure même après avoir été décrassée un long moment avant de baisser la tête.
-Je te remercie ma petite Rose, il y a bien longtemps que je n’avais plus atteint une telle performance !
De rien Papy, tu m’as fait découvrir le Nirvana, putain le pied que j’ai pris !!!
Anya fille de Claude et Sandrine fille de Claire sont devant la porte de la maison de leur grand-oncle. (Lire : généalogie de Patrick). Au lieu de sonner, elles entre sans se faire annoncer pour lui faire la surprise de leur visite. Elles n’entendent pas un bruit et se dirigent vers le salon, découvrant Henry affalé dans son fauteuil, les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres.
Elles font quelques pas en silence et découvrent leur cousine à genoux entre les jambes de leur grand-oncle en train de lui faire un « pompier » ! Elles sont surprises mais comme les jeunes actuels, Anya saisit son Smartphone et filme la scène. Elles restent discrètement dans un coin sombre de la pièce et assistent, stupéfaites, à la scène suivante : Rose se retourne, montrant son dos à Henry et s’empale avec un sourire béat aux lèvres sur la verge qui a l’air de bonne proportion. Sandrine ne peut plus se taire :
- Qu’est-ce que tu fais Rose ? Tu n’as pas honte !
Henry tourne la tête et découvre, terrorisé, la présence de ses petites nièces, deux autres enfants de la formidable descendance de son fils Patrick. Il repousse Rose et se réajuste précipitamment en interrogeant les « gêneuses ».
- Que faîtes-vous là ? Vous pourriez vous annoncer avant de débouler comme ça sans prévenir !
- Tu n’es pas content de nous voir Papy ? Demande Sandrine. On voulait te faire la surprise avant la fin des vacances. On a frappé mais tu n’as pas répondu et comme la porte n’était pas fermée à clé… Et que faisais Rose assise sur tes cuisses ?
- Je… Euh, Je la consolais d’un petit chagrin.
- Tu nous prends vraiment pour des pommes ! On a bien vu que Rose faisait du rodéo sur ton sexe et tu ne faisais rien pour l’en empêcher, ça avait même plutôt l’air de te plaire. Si tu avais vu ta figure !
- Et alors ? Essaie de se justifier Henry. Rose est majeure et ça ne vous regarde pas !
- Si ça nous regarde et Rose est ta petite nièce… Comme nous ! Mais si on participait à vos jeux…, propose Anya.
- Vous voulez venir avec nous ? Demande d’un regard espiègle Rose. Au point où tu en es, Papy, ça ne changera plus grand-chose question morale.
- Euh ! Laisse-moi le temps d’y réfléchir. Grommelle Henry. Putain, au point où j’en suis…- Et je suis sûre que cela ne te déplairait pas tant que ça.
Henry tente néanmoins un combat d’arrière-garde mais sait dans son fort intérieur qu’il a déjà perdu la partie, la perspective de se faire caresser par ces trois jeunettes est aussi trop alléchante.
- Euh, mais uniquement des caresses, il est hors de question que je les pine comme toi, je me suis fait piégé une fois mais ce sera la dernière !
Henry n’est plus aussi chaud quand il se retrouve devant ces trois filles à poil en un rien de temps. Il prend peur mais d’autorité Rose déboutonne la braguette et sort la queue flasque.
Anya et Sandrine se penchent chacune sur une’épaule de leur cousine.
- Oh que c’est gros ! Annone Anya.
-Et tu n’as rien vu, s’esclaffe Rose, attend de le voir bander !
- Je peux toucher ? Demande Sandrine.
-Bien sûr, l’encourage Rose.
Henry a fermé les yeux, il ne veut plus savoir qui le tripote, grognant de plaisir. Rose prend la main de sa cousine et lui montre comment caresser le chibre tout en chatouillant les couilles poilues.
Rose lui montre comment faire avant de l’inciter à prendre le gland en bouche, Sandrine s’applique à bien manchonner de ses lèvres la queue d’Henry qui apprécie la caresse buccale malhabile. Un jeu de chaises musicales s’installe et il ne sait plus qui est qui.
Il ne peut plus résister et décharge entre les doigts de sa petite-nièce que l’éruption spermique n’effraye pas, mais laquelle ? Il ouvre les yeux et voit Anya se diriger vers la salle de bains.
Quand elle en revient après s’être débarbouillée, Rose l’interroge :
-Tu t’es déjà faite caressée ? Aimerais-tu que Papy te caresse ?
-Euh… Ou-oui… NON ! Je dois avouer que non. Répond Sandrine.
- Tu es d’accord Papy ?
Henry a donné son accord en inclinant simplement la tête. Rose s’étend sur le lit et demande à Anya et Sandrine de faire de même puis invite Henry à commencer pendant qu’elle tripote les poitrines de ses cousines/demi-sœurs... Les jeunes filles serrent les dents et soupirent. Elles n’imaginaient pas qu’une langue et une bouche puissent procurer de tels plaisirs. Henry et un vrai expert et déclenche un orgasme violent qui laisse tour à tour exsangues ses petites salopes.
- Alors ? interroge Rose. C’est beaucoup mieux que lorsque vous vous caressez seules dans votre lit ? – C’est in-com-parable ! S’exclame Anya. Papy, tu peux recommencer ?
-Oh oui ! Surenchérie Sandrine. Encore, encore !
- Pas tout de suite, les filles ! Chaque jour mérite sa peine, revenez demain à la même heure.
Les filles sont déçues mais pendant trois jours, elles reviennent pour une nouvelle leçon particulière et deviennent expertes en caresses en tous genres. La fellation n’a plus de secret pour elles. Rose est amusée de transmettre à ses cousines ce que sa tante a fait pour elle.
Henry récupère après une éjaculation pendant que les trois filles en profitent pour des plaisirs lesbiens, allongées en un triangle amoureux, jouissant sous les caresses qu’elles rendent à la suivante. Mais le moment fatidique arrive quand Anya demande à Henry ce qu’il a accordé à Rose.
Il ne veut pas faire l’amour à ses autres petites nièces, il se reproche déjà d’avoir dépucelé Rose. Le problème aussi, c’est qu’à son âge, il n’a plus autant de munitions…
- Non Anya ! Je ne n’en ai pas le droit, s’excuse-t-il. Rose m’a pris au dépourvu et je ne veux pas refaire la même erreur. Trouvez-vous un beau jeune homme qui ne vous aimera pas uniquement pour une partie de jambes en l’air.
Rose se rappelle les scrupules de son oncle mais Anya ne l’entend pas de cette oreille. Elle insiste mais Henry reste inflexible et même met fin à ce quatuor, ne voulant plus continuer. Rentrée chez elle, elle veut se venger de Rose et envoie de façon anonyme la petite vidéo à Patrick, l’oncle de Rose, (et aussi le sien et celui de Sandrine).
Patrick vient de recevoir une vidéo édifiante. Rose, qu’un reste de scrupule l’a retenu de déflorer, en train de se faire prendre par son père !!! Comment a-t-il osé faire ça à sa petite nièce ?
Il sait qu’il n’est pas blanc/bleu, Henry l’avait abandonné à la naissance et par la suite lui a avoué sa vie de bâton de chaise ; modèle dénudé pour les peintres et même acteur porno occasionnel.
Patrick ne sait même pas si c’est son vrai père et d’après ce qu’il sait, cela pourrait être Julien, le père de sa vraie mère. (Lire : Les ancêtres de Patrick et les aventures sexuelles débridées de Patrick, Anne-Marie, sa mère). Avec la vidéo, un petit texte explicite raconte que la chose se reproduit pratiquement tous les jours à la même heure. Patrick veut leur tomber dessus pour qu’Henry ne puisse pas nier et l’explication risque d’être orageuse.
Patrick se présente donc le soir même chez son père, entre en silence et se dirige vers le salon.
Des cris l’accueillent. Rose est en train de s’éclater sur la queue qui lui dilate la chatte. Quand elle le voit, elle cesse tous mouvements, elle le regarde avec des yeux comme des boules de loto et lui dit sans aucune gêne et avec un aplomb extraordinaire:
- Ah, c’est toi tonton ?! Tu vois, j’ai bien retenu mes leçons et Papy m’a donné des cours supplémentaires pour parfaire la technique.
Patrick est scié par ses paroles et en reste muet.
A suivre…
-Putain ! Mais t’étais vierge ! Qu’est-ce que j’ai fais… C’est pas vrai ! Oh pardon Rose, je ne voulais pas !
-Je t’ai menti, Papy… Mais j’en avais tant envie. Tonton n’a jamais voul…-Quoi ?! Qu’est ce que tu racontes ?
Suite.
-Ben… Oh et puis zut ! J’ai surpris un jour ma tante et son mari en plein…travail, je ne sais pas comment on en est arrivé là mais ils m’ont « éduquée ». Mais Patrick n’a jamais voulu me baiser alors…je me suis dit… avec toi…-Tu es une vraie petite salope, mais avec une famille pareille…Perdu dans ses réflexions, Henry, sans même sans rendre compte, ondule du bassin, remplissant bien comme il faut sa petite-nièce qui en a le souffle coupé quand la verge bute tout au fond de son vagin.
-Putain ! Mais qu’est-ce que je fais encore?! Mais malgré ses dires il continue à la prendre.
Henry est enfoncé au plus profond de la chatte et Rose met du temps à apprécier son engin et en ressentir les effets dans tout son corps. Les coups de bite sont de plus en plus violents au fil des minutes. Les fesses de Rose claquent sous le choc et son corps est projeté en avant. Il lime ce temple d’amour pendant un moment puis la fait mettre en levrette. Rose sent encore mieux la grosse bite lui perforer la chatte et distendre son vagin. Henry la tringle sans plus de retenue, il a mis son pouce entier dans son cul, conscient que ce conduit anal ne pourrait supporter son engin, enfin pas tout de suite…Une poussée plus violente que les autres la fait tomber à plat ventre. Dans le mouvement, le braquemart gigantesque percute violement le plus profond de la jeune chatte. Rose crie de douleur.
Henry s’arrête de peur de la blesser mais Rose attrape d’une main ferme le jonc vigoureux et le pose sur ses fesses en l’encourageant à continuer en remuant du popotin. Henry replonge sa bite dans la vulve détrempée et la pilonne comme un forcené, l’épinglant comme un papillon.
Rose halète la bouche sèche, fière et consciente de réaliser une grande première, elle mouille comme une malade. Henry ne se retient plus et soudain, du fin fond du ventre de Rose, une houle grossit, enfle puis explose. Elle rue des quatre fers sous la puissance de l’orage, elle vient de connaître son premier orgasme pendant qu’Henry continue à la défoncer. Elle hurle, crie : ¬
-Oh ooouuuiii ! Continue Papy, surtout ne t’arrête pas, défonce-moi, enfonce ta queue en moi, encore, encore…Elle est heureuse, elle plane comme si elle avait fumé un joint. Elle jouit elle ne sait combien de fois avant que son amant ultra membré ne se retire et présente la bite à sa bouche, enfonçant la queue presque jusqu’à la glotte à faire vomir Rose.
L’éjaculation est proportionnelle à la taille de sa queue. Rose a la bouche pleine de son foutre chaud et avale pour ne rien gaspiller. Elle retire la pine brillante de salive de sa bouche mais, à sa grande surprise, elle se maintient dure même après avoir été décrassée un long moment avant de baisser la tête.
-Je te remercie ma petite Rose, il y a bien longtemps que je n’avais plus atteint une telle performance !
De rien Papy, tu m’as fait découvrir le Nirvana, putain le pied que j’ai pris !!!
Anya fille de Claude et Sandrine fille de Claire sont devant la porte de la maison de leur grand-oncle. (Lire : généalogie de Patrick). Au lieu de sonner, elles entre sans se faire annoncer pour lui faire la surprise de leur visite. Elles n’entendent pas un bruit et se dirigent vers le salon, découvrant Henry affalé dans son fauteuil, les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres.
Elles font quelques pas en silence et découvrent leur cousine à genoux entre les jambes de leur grand-oncle en train de lui faire un « pompier » ! Elles sont surprises mais comme les jeunes actuels, Anya saisit son Smartphone et filme la scène. Elles restent discrètement dans un coin sombre de la pièce et assistent, stupéfaites, à la scène suivante : Rose se retourne, montrant son dos à Henry et s’empale avec un sourire béat aux lèvres sur la verge qui a l’air de bonne proportion. Sandrine ne peut plus se taire :
- Qu’est-ce que tu fais Rose ? Tu n’as pas honte !
Henry tourne la tête et découvre, terrorisé, la présence de ses petites nièces, deux autres enfants de la formidable descendance de son fils Patrick. Il repousse Rose et se réajuste précipitamment en interrogeant les « gêneuses ».
- Que faîtes-vous là ? Vous pourriez vous annoncer avant de débouler comme ça sans prévenir !
- Tu n’es pas content de nous voir Papy ? Demande Sandrine. On voulait te faire la surprise avant la fin des vacances. On a frappé mais tu n’as pas répondu et comme la porte n’était pas fermée à clé… Et que faisais Rose assise sur tes cuisses ?
- Je… Euh, Je la consolais d’un petit chagrin.
- Tu nous prends vraiment pour des pommes ! On a bien vu que Rose faisait du rodéo sur ton sexe et tu ne faisais rien pour l’en empêcher, ça avait même plutôt l’air de te plaire. Si tu avais vu ta figure !
- Et alors ? Essaie de se justifier Henry. Rose est majeure et ça ne vous regarde pas !
- Si ça nous regarde et Rose est ta petite nièce… Comme nous ! Mais si on participait à vos jeux…, propose Anya.
- Vous voulez venir avec nous ? Demande d’un regard espiègle Rose. Au point où tu en es, Papy, ça ne changera plus grand-chose question morale.
- Euh ! Laisse-moi le temps d’y réfléchir. Grommelle Henry. Putain, au point où j’en suis…- Et je suis sûre que cela ne te déplairait pas tant que ça.
Henry tente néanmoins un combat d’arrière-garde mais sait dans son fort intérieur qu’il a déjà perdu la partie, la perspective de se faire caresser par ces trois jeunettes est aussi trop alléchante.
- Euh, mais uniquement des caresses, il est hors de question que je les pine comme toi, je me suis fait piégé une fois mais ce sera la dernière !
Henry n’est plus aussi chaud quand il se retrouve devant ces trois filles à poil en un rien de temps. Il prend peur mais d’autorité Rose déboutonne la braguette et sort la queue flasque.
Anya et Sandrine se penchent chacune sur une’épaule de leur cousine.
- Oh que c’est gros ! Annone Anya.
-Et tu n’as rien vu, s’esclaffe Rose, attend de le voir bander !
- Je peux toucher ? Demande Sandrine.
-Bien sûr, l’encourage Rose.
Henry a fermé les yeux, il ne veut plus savoir qui le tripote, grognant de plaisir. Rose prend la main de sa cousine et lui montre comment caresser le chibre tout en chatouillant les couilles poilues.
Rose lui montre comment faire avant de l’inciter à prendre le gland en bouche, Sandrine s’applique à bien manchonner de ses lèvres la queue d’Henry qui apprécie la caresse buccale malhabile. Un jeu de chaises musicales s’installe et il ne sait plus qui est qui.
Il ne peut plus résister et décharge entre les doigts de sa petite-nièce que l’éruption spermique n’effraye pas, mais laquelle ? Il ouvre les yeux et voit Anya se diriger vers la salle de bains.
Quand elle en revient après s’être débarbouillée, Rose l’interroge :
-Tu t’es déjà faite caressée ? Aimerais-tu que Papy te caresse ?
-Euh… Ou-oui… NON ! Je dois avouer que non. Répond Sandrine.
- Tu es d’accord Papy ?
Henry a donné son accord en inclinant simplement la tête. Rose s’étend sur le lit et demande à Anya et Sandrine de faire de même puis invite Henry à commencer pendant qu’elle tripote les poitrines de ses cousines/demi-sœurs... Les jeunes filles serrent les dents et soupirent. Elles n’imaginaient pas qu’une langue et une bouche puissent procurer de tels plaisirs. Henry et un vrai expert et déclenche un orgasme violent qui laisse tour à tour exsangues ses petites salopes.
- Alors ? interroge Rose. C’est beaucoup mieux que lorsque vous vous caressez seules dans votre lit ? – C’est in-com-parable ! S’exclame Anya. Papy, tu peux recommencer ?
-Oh oui ! Surenchérie Sandrine. Encore, encore !
- Pas tout de suite, les filles ! Chaque jour mérite sa peine, revenez demain à la même heure.
Les filles sont déçues mais pendant trois jours, elles reviennent pour une nouvelle leçon particulière et deviennent expertes en caresses en tous genres. La fellation n’a plus de secret pour elles. Rose est amusée de transmettre à ses cousines ce que sa tante a fait pour elle.
Henry récupère après une éjaculation pendant que les trois filles en profitent pour des plaisirs lesbiens, allongées en un triangle amoureux, jouissant sous les caresses qu’elles rendent à la suivante. Mais le moment fatidique arrive quand Anya demande à Henry ce qu’il a accordé à Rose.
Il ne veut pas faire l’amour à ses autres petites nièces, il se reproche déjà d’avoir dépucelé Rose. Le problème aussi, c’est qu’à son âge, il n’a plus autant de munitions…
- Non Anya ! Je ne n’en ai pas le droit, s’excuse-t-il. Rose m’a pris au dépourvu et je ne veux pas refaire la même erreur. Trouvez-vous un beau jeune homme qui ne vous aimera pas uniquement pour une partie de jambes en l’air.
Rose se rappelle les scrupules de son oncle mais Anya ne l’entend pas de cette oreille. Elle insiste mais Henry reste inflexible et même met fin à ce quatuor, ne voulant plus continuer. Rentrée chez elle, elle veut se venger de Rose et envoie de façon anonyme la petite vidéo à Patrick, l’oncle de Rose, (et aussi le sien et celui de Sandrine).
Patrick vient de recevoir une vidéo édifiante. Rose, qu’un reste de scrupule l’a retenu de déflorer, en train de se faire prendre par son père !!! Comment a-t-il osé faire ça à sa petite nièce ?
Il sait qu’il n’est pas blanc/bleu, Henry l’avait abandonné à la naissance et par la suite lui a avoué sa vie de bâton de chaise ; modèle dénudé pour les peintres et même acteur porno occasionnel.
Patrick ne sait même pas si c’est son vrai père et d’après ce qu’il sait, cela pourrait être Julien, le père de sa vraie mère. (Lire : Les ancêtres de Patrick et les aventures sexuelles débridées de Patrick, Anne-Marie, sa mère). Avec la vidéo, un petit texte explicite raconte que la chose se reproduit pratiquement tous les jours à la même heure. Patrick veut leur tomber dessus pour qu’Henry ne puisse pas nier et l’explication risque d’être orageuse.
Patrick se présente donc le soir même chez son père, entre en silence et se dirige vers le salon.
Des cris l’accueillent. Rose est en train de s’éclater sur la queue qui lui dilate la chatte. Quand elle le voit, elle cesse tous mouvements, elle le regarde avec des yeux comme des boules de loto et lui dit sans aucune gêne et avec un aplomb extraordinaire:
- Ah, c’est toi tonton ?! Tu vois, j’ai bien retenu mes leçons et Papy m’a donné des cours supplémentaires pour parfaire la technique.
Patrick est scié par ses paroles et en reste muet.
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