Les Choix de Léo
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les Choix de Léo
Cette histoire met en lumière des faits qui m'ont longtemps hanté, moi-même.
J'aimerai beaucoup avoir des témoignages de personnes concernées, à ce propos.
Léo (diminutif de Léonard) est un jeune garçon très mignon.
Il entre depuis peu dans la vie active, avec un emploi dans une menuiserie.
Il s'est lié d'amitié avec Etienne, un homme de 44 ans, qui partage son amour de la musique et des vinyles.
Il vit encore chez ses parents, et connait l'amour avec sa petite amie.
Pendant le week-end, il a eu le plaisir de faire des progrès dans sa relation avec Elise, sa petite amie.
Elle a accepté qu'il lui dévore les seins, puis lui masturbe le clitoris et le vagin.
Rassurée sur l'amour de Léo, et emportée par le plaisir, elle lui a dit qu'elle veut lui appartenir au prochain rendez-vous.
C'est donc dans une euphorie amoureuse évidente, qu'il reprend son travail, le lundi.
Il s'est rassuré sur ses penchants sexuels, même s'il ne comprend toujours pas pourquoi, il est troublé par son camarade Etienne.
Ce moment si troublant, ou tous les ouvriers se changent pour se mettre en tenue de travail.
Il faut dire qu'Etienne est conscient d'avoir une chance.
Il est monté comme un âne et arbore sa grosse bosse moulée à souhait, dans un slip trop petit.
Léo doit donc subir ce trouble deux fois par jour !
Ce n'est pas le premier homme qui a eu cet effet sur lui, et c'est la raison de ses questionnements !
Le mardi, Etienne lui propose:
"Ca te dit de venir manger chez moi, demain soir ? J'te montrerai ma collection de vinyles !".
"Ouais, pourquoi pas ! Je préviendrai mes parents ! Mais il faudra pas que je rate le dernier bus !".
"T'inquiètes, j'te ramènerai !".
"Ok ! Merci ! T'es gentil !".
Le soir venu, dans l'auto, les deux amis parlent de leur passion commune.
Arrivés chez Etienne, le quadragénaire lui dit:
"Tu viens ? On va se doucher tout de suite ! Qu'on se débarrasse de toute cette poussière !".
"Euh... ! Ensemble ?".
"Orhh ! Fais pas ton timide ! On se déshabille tous les jours ensemble ! Et puis, c'est pratique pour se laver le dos !".
Léo sait bien que ça sent le piège, mais il a aussi un désir irrépressible de savoir ou cela va le mener !
Les deux corps se dénudent face à face, Léo ose remarquer:
"Etienne, tu m'énerves ! J'aimerai trop avoir un sexe comme le tien !".
"Oh, on trouve toujours chaussure à son pied ! Mais, j'ai pas à me plaindre, c'est vrai ! Pourquoi, ta copine se plaint ?".
"Euh... ! Non, on a pas encore...".
"Ah, ça viendra !".
"Je pense ! On doit justement le faire ce week-end !".
Etienne est entré sous la douche, il savonne un gant de toilette, puis le donne à Léo.
"Tiens ! Frottes bien fort ! On dois être bien crades !".
Léo ressent un trouble énorme, mais il aime passer sa main sur le dos de son ami.
Pendant ce temps, Etienne se frotte la tête avec le shampoing, puis utilise le produit pour se laver la bite.
"Ouhhh ! Léo ! Tu fais ça bien ! C'est agréable ! Masses-moi un peu aussi ! J'en ai besoin, je crois !".
Le lavage devient caresses appuyées.
Etienne se tourne doucement, il retire le gant de la main de Léo.
Chacun d'eux regarde le sexe de l'autre, ils sont en érection tous les deux !
Etienne attire les doigts de Léo sur sa verge, tout en caressant les testicules du garçon.
"Orhhhhhh ! Etienne ! Qu'est-ce qu'on fait ?".
"On se donne du plaisir, c'est naturel ! T'en as pas envie ?".
"Si ! Mais on est deux hommes !".
"On s'en fout de ça ! On sera pas les premiers, ni les derniers ! Orhhhh ! Tu me branles bien ! Encore !".
Imperceptiblement, les doigts savonnés d'Etienne glissent vers l'anus du garçon.
Léo crispe ses doigts sur la verge très épaisse d'Etienne, en se faisant pénétrer analement, par ceux du quadragénaire.
Une impulsion sur le haut de son crâne lui fait comprendre qu'il doit prendre la verge d'Etienne dans sa bouche.
C'est nouveau, il est pris de crainte, et le partage:
"Etienne ! J'ai jamais fait ça !".
"Tu verras ! C'est très simple ! Ca vient tout seul, ces choses là ! Essaies d'y prendre autant plaisir que moi ! Restes doux !".
Léo écarte ses lèvres, le gland épais d'Etienne se révèle avoir la douceur du velours sous sa langue.
Il apprécie cette étrange et douce dureté.
Sa salive augmente son plaisir de coulisser sur toute sa longueur.
Les râles d'Etienne le rassurent, il doit bien s'y prendre, et il en a la confirmation:
"Orhhhhhhh ! Léo ! Encore ! C'est bon ! Tu me suces bien la bite !".
Ces mots sont un premier choc, pour le jeune garçon, il est en train de sucer une bite ! Et il trouve ça, très agréable !
Etienne aide le jeune Léo dans sa fellation, il le guide pour lui donner des consignes.
Il lui demande de s'enfoncer plus profondément, plus fort, plus vite, se fait lécher les couilles.
Léo a droit à une formation accélérée.
Puis, Etienne relève le jeune garçon, et reprend sa dilatation anale avec ses doigts.
"Attrapes le tube, au dessus de l'évier !".
Léo s'exécute et demande:
"C'est quoi ?".
"C'est du gel ! Je veux pas te faire mal !".
La grosse verge est enduite avec abondance, tout comme l'anus de Léo.
"J'ai peur, Etienne !".
"Fais moi confiance, chéri ! J'ai l'habitude !".
Et effectivement, il connait son affaire ! Il prend le temps qu'il faut.
Mais patiemment, sous les râles du jeune garçon, il s'enfonce enfin, jusqu'à la base dans son anus.
"Ca va, mon p'tit chat ? Je peux bouger ?".
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Je crois ! Orhhhhhh ! Putain ! Je sens plus mon cul !".
Etienne commence à coulisser, il arrache de longs râles au jeune garçon, qui halète à chaque cognement au fond de son cul.
Il ajoute en gémissant:
"Oh putain ! Depuis le temps que j'en rêve ! Enfin, je t'encule ! Je suis trop fier que ce soit moi qui te dépucèle !".
"Arghhhhhhh ! Putain, j'avais pas pensé à ça ! Orghhhhhhhhhhhh !".
"C'est trop tard, mon chéri ! Tu pourras jamais m'oublier !".
Au bout de quelques minutes de possession puissante, et devant le visage plaintif de Léo, Etienne demande:
"Tu veux arrêter ? Je te fais mal ?".
"Arghhhhhhhh ! Non, encore ! Je pensais pas que j'aimerai autant ça ! Arghhhhhhh ! Continues !".
"Putain, tu me rends dingue ! Mon p'tit Léo !".
Etienne garde le garçon planté sur sa verge et le déplace dans le salon.
Il le cale contre un meuble bas et l'encule avec encore plus d'aisance et d'amplitude.
Léo et Etienne crient leurs plaisirs communs.
"Orhhh ! Léo ! Branles toi ! Mon chéri ! J'veux te voir gicler !".
Le garçon le fait, tout en se faisant secouer vigoureusement par les fesses.
Il plonge son visage dans son bras, pour étouffer la puissance de son plaisir d'éjaculer, en se faisant enculer.
Etienne se laisse alors aller, c'était le signe qu'il attendait pour jouir à son tour.
Léo découvre cette étrange sensation de spasmes d'un canal urinaire dans son anus.
Etienne est en train de lui inoculer tout son plaisir, bref, il se fait remplir l'anus de sperme !
Après tout cela, l'effet de l'excitation retombe.
Léo retrouve sa raison, il se met à pleurer.
"Qu'est-ce qui t'arrives ?". Demande Etienne.
"C'est les homos qui font ça ! Je veux pas être pédé ! J'aime Elise ! Pourquoi, tu m'as fais ça ?".
"T'en avais autant envie que moi ! Tu crois que j'ai pas remarqué, que tu me matais la bite tous les jours ? Tu en rêvais, j'en suis sur !".
"Oui, c'est vrai, mais ! J'arrivais à le chasser de mes pensées ! Il faut plus qu'on se revoit !".
"Tu as aimé ce qu'on as fait ? Rassures-moi ?".
"Euh... ! Oui, c'est vrai aussi ! Mais, c'est pas naturel pour moi ! Et toi ? Ca te cause pas de soucis ?".
"Non, plus maintenant ! Tu verras, tu vas t'habituer et mieux l'accepter ! Il te faut du temps, c'est tout !".
Il prend le garçon dans ses bras, le temps qu'il pleure un bon coup, puis sèche ses larmes.
"Bon, allez Léo, je te prépares à manger ! Profites en, pour regarder mes disques !".
Leur amitié retrouve sa place, et l'heure suivante se déroule sans accroche.
Puis, dans un échange de regards imprévu, leurs bouches se rapprochent.
Ce baiser trouble Léo, mais il l'attendait sans le savoir.
Il se laisse dénuder à nouveau.
Puis, de lui même, il ouvre ses cuisses pour recevoir son premier amant, dans son anus.
Etienne agrémente sa possession du jeune garçon, de plusieurs positions.
Léo lui crie son plaisir anal, et le supplie parfois de "L'enculer plus fort, plus vite !".
Il éjacule encore, avec le gros sexe d'Etienne, enfoncé profondément en lui.
Mais cette fois, il doit assumer son rôle de soumis, bien plus longtemps, avant que le quadragénaire ne vienne l'abreuver de sa deuxième éjaculation.
Etienne a ramené Léo chez lui, un peu avant minuit, aucun mot ne fut prononcé dans la voiture, par le jeune garçon.
Seul un "A demain !" fut lâché !
Le week-end venu, il a enfin fait l'amour avec Elise, il s'est alors dit qu'il était peut-être sauvé de sa perversité !
C'est évident ! La puissance de ce plaisir, cette si forte passion qu'il ressentait pour elle, et cet amour parfait et pur, ça devrait lui faire oublier ses démons !
Mais 3 semaines plus tard, le ventre noué, c'est lui qui a demandé en premier:
"Etienne ! Je peux venir chez toi, ce soir ?".
"Bien sur Léo ! J'attend que ça !".
Comme la première fois, Etienne possèdera le jeune garçon à deux reprises, et s'imposera ensuite:
"Je te préviens Léo ! Je vais pas me contenter d'une baise par mois !".
"Ok, On fait comment alors ?".
"Tu peux te libérer quand ?".
"Euh, le mercredi soir, vendredi et samedi soir aussi !".
"Ok, je prend tout ça !".
"Quoi ? 3 fois par semaines ?".
"Oui ! Mon p'tit chat ! C'est ça, ou rien !".
"Bon, d'accord !".
Il faudra des années avant que Léo s'habitue à sa bisexualité, on nous impose un choix, mais c'est pas toujours évident ! Et vous qu'en pensez-vous ?
J'aimerai beaucoup avoir des témoignages de personnes concernées, à ce propos.
Léo (diminutif de Léonard) est un jeune garçon très mignon.
Il entre depuis peu dans la vie active, avec un emploi dans une menuiserie.
Il s'est lié d'amitié avec Etienne, un homme de 44 ans, qui partage son amour de la musique et des vinyles.
Il vit encore chez ses parents, et connait l'amour avec sa petite amie.
Pendant le week-end, il a eu le plaisir de faire des progrès dans sa relation avec Elise, sa petite amie.
Elle a accepté qu'il lui dévore les seins, puis lui masturbe le clitoris et le vagin.
Rassurée sur l'amour de Léo, et emportée par le plaisir, elle lui a dit qu'elle veut lui appartenir au prochain rendez-vous.
C'est donc dans une euphorie amoureuse évidente, qu'il reprend son travail, le lundi.
Il s'est rassuré sur ses penchants sexuels, même s'il ne comprend toujours pas pourquoi, il est troublé par son camarade Etienne.
Ce moment si troublant, ou tous les ouvriers se changent pour se mettre en tenue de travail.
Il faut dire qu'Etienne est conscient d'avoir une chance.
Il est monté comme un âne et arbore sa grosse bosse moulée à souhait, dans un slip trop petit.
Léo doit donc subir ce trouble deux fois par jour !
Ce n'est pas le premier homme qui a eu cet effet sur lui, et c'est la raison de ses questionnements !
Le mardi, Etienne lui propose:
"Ca te dit de venir manger chez moi, demain soir ? J'te montrerai ma collection de vinyles !".
"Ouais, pourquoi pas ! Je préviendrai mes parents ! Mais il faudra pas que je rate le dernier bus !".
"T'inquiètes, j'te ramènerai !".
"Ok ! Merci ! T'es gentil !".
Le soir venu, dans l'auto, les deux amis parlent de leur passion commune.
Arrivés chez Etienne, le quadragénaire lui dit:
"Tu viens ? On va se doucher tout de suite ! Qu'on se débarrasse de toute cette poussière !".
"Euh... ! Ensemble ?".
"Orhh ! Fais pas ton timide ! On se déshabille tous les jours ensemble ! Et puis, c'est pratique pour se laver le dos !".
Léo sait bien que ça sent le piège, mais il a aussi un désir irrépressible de savoir ou cela va le mener !
Les deux corps se dénudent face à face, Léo ose remarquer:
"Etienne, tu m'énerves ! J'aimerai trop avoir un sexe comme le tien !".
"Oh, on trouve toujours chaussure à son pied ! Mais, j'ai pas à me plaindre, c'est vrai ! Pourquoi, ta copine se plaint ?".
"Euh... ! Non, on a pas encore...".
"Ah, ça viendra !".
"Je pense ! On doit justement le faire ce week-end !".
Etienne est entré sous la douche, il savonne un gant de toilette, puis le donne à Léo.
"Tiens ! Frottes bien fort ! On dois être bien crades !".
Léo ressent un trouble énorme, mais il aime passer sa main sur le dos de son ami.
Pendant ce temps, Etienne se frotte la tête avec le shampoing, puis utilise le produit pour se laver la bite.
"Ouhhh ! Léo ! Tu fais ça bien ! C'est agréable ! Masses-moi un peu aussi ! J'en ai besoin, je crois !".
Le lavage devient caresses appuyées.
Etienne se tourne doucement, il retire le gant de la main de Léo.
Chacun d'eux regarde le sexe de l'autre, ils sont en érection tous les deux !
Etienne attire les doigts de Léo sur sa verge, tout en caressant les testicules du garçon.
"Orhhhhhh ! Etienne ! Qu'est-ce qu'on fait ?".
"On se donne du plaisir, c'est naturel ! T'en as pas envie ?".
"Si ! Mais on est deux hommes !".
"On s'en fout de ça ! On sera pas les premiers, ni les derniers ! Orhhhh ! Tu me branles bien ! Encore !".
Imperceptiblement, les doigts savonnés d'Etienne glissent vers l'anus du garçon.
Léo crispe ses doigts sur la verge très épaisse d'Etienne, en se faisant pénétrer analement, par ceux du quadragénaire.
Une impulsion sur le haut de son crâne lui fait comprendre qu'il doit prendre la verge d'Etienne dans sa bouche.
C'est nouveau, il est pris de crainte, et le partage:
"Etienne ! J'ai jamais fait ça !".
"Tu verras ! C'est très simple ! Ca vient tout seul, ces choses là ! Essaies d'y prendre autant plaisir que moi ! Restes doux !".
Léo écarte ses lèvres, le gland épais d'Etienne se révèle avoir la douceur du velours sous sa langue.
Il apprécie cette étrange et douce dureté.
Sa salive augmente son plaisir de coulisser sur toute sa longueur.
Les râles d'Etienne le rassurent, il doit bien s'y prendre, et il en a la confirmation:
"Orhhhhhhh ! Léo ! Encore ! C'est bon ! Tu me suces bien la bite !".
Ces mots sont un premier choc, pour le jeune garçon, il est en train de sucer une bite ! Et il trouve ça, très agréable !
Etienne aide le jeune Léo dans sa fellation, il le guide pour lui donner des consignes.
Il lui demande de s'enfoncer plus profondément, plus fort, plus vite, se fait lécher les couilles.
Léo a droit à une formation accélérée.
Puis, Etienne relève le jeune garçon, et reprend sa dilatation anale avec ses doigts.
"Attrapes le tube, au dessus de l'évier !".
Léo s'exécute et demande:
"C'est quoi ?".
"C'est du gel ! Je veux pas te faire mal !".
La grosse verge est enduite avec abondance, tout comme l'anus de Léo.
"J'ai peur, Etienne !".
"Fais moi confiance, chéri ! J'ai l'habitude !".
Et effectivement, il connait son affaire ! Il prend le temps qu'il faut.
Mais patiemment, sous les râles du jeune garçon, il s'enfonce enfin, jusqu'à la base dans son anus.
"Ca va, mon p'tit chat ? Je peux bouger ?".
"Arghhhhhhhhh ! Oui ! Je crois ! Orhhhhhh ! Putain ! Je sens plus mon cul !".
Etienne commence à coulisser, il arrache de longs râles au jeune garçon, qui halète à chaque cognement au fond de son cul.
Il ajoute en gémissant:
"Oh putain ! Depuis le temps que j'en rêve ! Enfin, je t'encule ! Je suis trop fier que ce soit moi qui te dépucèle !".
"Arghhhhhhh ! Putain, j'avais pas pensé à ça ! Orghhhhhhhhhhhh !".
"C'est trop tard, mon chéri ! Tu pourras jamais m'oublier !".
Au bout de quelques minutes de possession puissante, et devant le visage plaintif de Léo, Etienne demande:
"Tu veux arrêter ? Je te fais mal ?".
"Arghhhhhhhh ! Non, encore ! Je pensais pas que j'aimerai autant ça ! Arghhhhhhh ! Continues !".
"Putain, tu me rends dingue ! Mon p'tit Léo !".
Etienne garde le garçon planté sur sa verge et le déplace dans le salon.
Il le cale contre un meuble bas et l'encule avec encore plus d'aisance et d'amplitude.
Léo et Etienne crient leurs plaisirs communs.
"Orhhh ! Léo ! Branles toi ! Mon chéri ! J'veux te voir gicler !".
Le garçon le fait, tout en se faisant secouer vigoureusement par les fesses.
Il plonge son visage dans son bras, pour étouffer la puissance de son plaisir d'éjaculer, en se faisant enculer.
Etienne se laisse alors aller, c'était le signe qu'il attendait pour jouir à son tour.
Léo découvre cette étrange sensation de spasmes d'un canal urinaire dans son anus.
Etienne est en train de lui inoculer tout son plaisir, bref, il se fait remplir l'anus de sperme !
Après tout cela, l'effet de l'excitation retombe.
Léo retrouve sa raison, il se met à pleurer.
"Qu'est-ce qui t'arrives ?". Demande Etienne.
"C'est les homos qui font ça ! Je veux pas être pédé ! J'aime Elise ! Pourquoi, tu m'as fais ça ?".
"T'en avais autant envie que moi ! Tu crois que j'ai pas remarqué, que tu me matais la bite tous les jours ? Tu en rêvais, j'en suis sur !".
"Oui, c'est vrai, mais ! J'arrivais à le chasser de mes pensées ! Il faut plus qu'on se revoit !".
"Tu as aimé ce qu'on as fait ? Rassures-moi ?".
"Euh... ! Oui, c'est vrai aussi ! Mais, c'est pas naturel pour moi ! Et toi ? Ca te cause pas de soucis ?".
"Non, plus maintenant ! Tu verras, tu vas t'habituer et mieux l'accepter ! Il te faut du temps, c'est tout !".
Il prend le garçon dans ses bras, le temps qu'il pleure un bon coup, puis sèche ses larmes.
"Bon, allez Léo, je te prépares à manger ! Profites en, pour regarder mes disques !".
Leur amitié retrouve sa place, et l'heure suivante se déroule sans accroche.
Puis, dans un échange de regards imprévu, leurs bouches se rapprochent.
Ce baiser trouble Léo, mais il l'attendait sans le savoir.
Il se laisse dénuder à nouveau.
Puis, de lui même, il ouvre ses cuisses pour recevoir son premier amant, dans son anus.
Etienne agrémente sa possession du jeune garçon, de plusieurs positions.
Léo lui crie son plaisir anal, et le supplie parfois de "L'enculer plus fort, plus vite !".
Il éjacule encore, avec le gros sexe d'Etienne, enfoncé profondément en lui.
Mais cette fois, il doit assumer son rôle de soumis, bien plus longtemps, avant que le quadragénaire ne vienne l'abreuver de sa deuxième éjaculation.
Etienne a ramené Léo chez lui, un peu avant minuit, aucun mot ne fut prononcé dans la voiture, par le jeune garçon.
Seul un "A demain !" fut lâché !
Le week-end venu, il a enfin fait l'amour avec Elise, il s'est alors dit qu'il était peut-être sauvé de sa perversité !
C'est évident ! La puissance de ce plaisir, cette si forte passion qu'il ressentait pour elle, et cet amour parfait et pur, ça devrait lui faire oublier ses démons !
Mais 3 semaines plus tard, le ventre noué, c'est lui qui a demandé en premier:
"Etienne ! Je peux venir chez toi, ce soir ?".
"Bien sur Léo ! J'attend que ça !".
Comme la première fois, Etienne possèdera le jeune garçon à deux reprises, et s'imposera ensuite:
"Je te préviens Léo ! Je vais pas me contenter d'une baise par mois !".
"Ok, On fait comment alors ?".
"Tu peux te libérer quand ?".
"Euh, le mercredi soir, vendredi et samedi soir aussi !".
"Ok, je prend tout ça !".
"Quoi ? 3 fois par semaines ?".
"Oui ! Mon p'tit chat ! C'est ça, ou rien !".
"Bon, d'accord !".
Il faudra des années avant que Léo s'habitue à sa bisexualité, on nous impose un choix, mais c'est pas toujours évident ! Et vous qu'en pensez-vous ?
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il y a dix ans, seconde fois avec un mec, après un pote maladroit, contact sur Badoo, un soi-disant photographe 40++, baise violente et pas respectueuse, les mecs plus âgés se croient tout permis, alors qu'ils devraient savoir comment faire, triste.
tres belle histoire ca me rapp el mon depucelage par un voisin agé de 45a j;avais dix sept ans
Très bon récit bien écrit - merci
C'est super bien écrit comme toujours avec passud... C'est compliqué de savoir ce qu'on veut et comment on le veut. Et c'est encore plus dur de l'assumer.jai mis très longtemps a accepter que j'aime prendre des hommes ...