Les chose de la vie 2
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie En solitaire
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Les chose de la vie 2
Certains mots dans cette histoire sont propres à la région. Si vous ne les comprenez pas, je me ferai un plaisir de vous les traduire en commentaires
Voici le deuxième volet de la série « Les choses de la vie », cette histoire véridique, les chapitre se font attendre, mais je suis énormément occupée en ce moment, veuillez m'en excuser.
Les jours qui suivirent cette expérience avec mon amie et son homme, ou cette coquine était apparu nue dans la cuisine, et que cette chipie m'avait littéralement "foutue à poil" moi aussi, devant son homme, se sont passées étrangement, le couple se mettait nue dès qu'ils rentraient chez eux qu'il soit 15h ou 22h.
Ils vivaient à poil, et ne se gêner même plus pour se caresser devant moi, nul doute que Romain aurait espéré que je les rejoigne dans leur façon de vivre de façon naturiste, mais j'étais sage à l'époque, je me sentais de trop, je sentais que je devrais baisser mes exigences et retourner vivre avec mon compagnon de l'époque.
Car malgré tout, mon corps avait certaine envie, notamment de sperme à avaler, je ne comprenais pas leur fascination à vivre nu, pour moi, vivre de cette manière était inconcevable, et trois semaines sans sexe, juste mes doigts qui taquiner mon clito et ma chatte chaque soir, puis plusieurs fois dans la journée...
Ouh là non, je ne peux pas rester chez eux, je vais craquer et ça va finir en trio, je ne peux pas faire cela, je ne peux pas, je ne peux.....
Reprends-toi, Charlotte, va-t'en d'ici !
Le destin m'a écouté et a mis sur ma route un événement malheureux pour Fred, mais qui m'a fait sortir de chez eux.
Comment ? Je ne vous ai jamais parlé de Fred ?
Eh bien, Fred est un ami (et j'ai bien dit ami) depuis trèèèèèèès longtemps
Combien de temps ? Vous êtes bien curieux, mais pour vous répondre, une photo de nous deux, côte à côte dans une maternité, trône sur la cheminée chez mes parents en Espagne.
Il a deux jours de plus que moi, voilà, nous nous connaissons depuis notre naissance, bref.
Je reçus un appel de l'hôpital m'informant qu'il avait eu un accident de moto. Je me souviens d'avoir hurlé le jour où je l'avais vu revenir avec cette « faiseuse de veuve » comme j'appelle ses engins de mort !
Une voiture lui avait coupé la route, il était passé par-dessus le capot ou le toit de cette voiture, je n'ai jamais bien su, mais il était retombé sur ses bras, lui a cassé les poignets et les avant-bras.
Je courus aussi vite à l'hôpital, abandonnant mes cours de formations (ce qui me valut d'être exclue de cette formation, car je l'ai quittée sans motif valable, pour eux, ce n'est pas un membre de la famille, donc il peut attendre).
Au chevet de Fred à l'hôpital, celui-ci me donnant les clefs de chez lui pour que j'aille voir si tout aller bien, relever le courrier s'il y a, et arroser les fleurs (non, je rigole, Fred n'est pas du genre à avoirs des fleurs chez lui).
Plutôt du genre magazine de voiture, de moto, de Playboys ou Newlook
Après quelques heures passées auprès de lui, on nous apprend qu'il doit rester quelques jours hospitalisé, car des broches doivent être placées dans les poignets (je le connais, mon Fred, vous allez mettre un lion en cage ?) Pauvre de vous, il va vous faire une vie infernale.
Je note mentalement ce qu'il aura besoin, que je lui apporterais le lendemain, rien de bien méchant, accessoire de toilette, rasoir, pyjama,etc …
Pour ce soir, soit il demandera une blouse d'hôpital, soit il dort à poil, je suis sa meilleure amie, mais j'ai des choses à faire aussi, surtout me sortir des griffes de Sophie et Romain, chez qui je repasse chercher des affaires de rechange en leur signalant que je vivrais chez mon ami un certain temps, celui-ci étant hospitalisé, et que donc son appart était libre.
Je ne sais qui me parut le plus déçu, Romain ? de savoir qu'il n'avait pas réussi à m'ouvrir les cuisses ? Ou Sophie qui n'a pas pu me lécher ou se faire lécher la fente.
J'arrive donc chez Fred, et ma première surprise est de voir que son appartement est impeccable pour un mec célibataire. À chaque fois que j'étais venue, c'était la fête, donc un peu le bazar.
J'allume la TV, afin d'avoir un bruit de fond, et décide de prendre une douche. J'ai l'impression de sentir l'hôpital, et j'ai horreur de ça.
Douche italienne ou baignoire ? Non, pour ce soir, ce sera un bain.
Je me fais couler un bain bouillant (j'adore être une écrevisse quand je sors de l'eau).
Je me mets toute nue, et le grand miroir me revoit mon image, il va être temps que je me repasse un coup de rasoir, il y a bien une semaine que je ne m'en suis pas occupée, pas le courage ce soir, toute façon ma chatte est au chômage depuis trois semaines,
puis je plonge dans le bain, un bien fou, je me détends et commence à repenser à ses dernières semaines.
Quels plaisirs peuvent avoir Sophie et Romain à vivre nu ?
Je réfléchis et me dis que j'ai cet appartement pour moi seule, je sors de mon bain (une fois lavée hein) m'essuie et me demande, pourquoi je n'essaierai pas ?
Je suis seule de toute manière, les vitres n'ont pas de rideaux, mais ce sont des vitres miroir, on ne voit pas à l'intérieur, nous sommes au quatrième étage, même le bloc d'appartements d'en face en est équipé aussi, aller, j'essaye...
Je prends la précaution d'apporter le peignoir de Fred à côté de la porte d'entrée, au cas où, et en fait, je me sens bien, je suis toute nue dans l'appart de mon pote absent.
Je me fais un café (dosette) toute nue.
Je regarde le présentateur du journal de 20 heures, assise à poil dans le canapé, les pieds sur le bord de la table basse, ce qui fait que mes jambes sont fléchies et ma kikine est visible.
Je me surprends à parler avec le présentateur à travers l'écran.
Je te regarde toute nue...
Mes totottes, mes gros nichons sont à l'air ainsi que ma fente
Regarde, j'écarte les cuisses au maximum, presque le grand écart ! Tu vois bien ma chatte là ? PPDA?
Et je pars dans un fou rire me traitant de folle, n'empêche, si par n'importe quelle magie, le présentateur aurait pu me voir depuis son studio d'enregistrement, j'aurai moins fait la maligne, mais voilà, je suis toute seule, je suis à poil, et personne ne le sait, pourtant je pointe et commence à mouiller le cuir du canapé.
Le signal faim se fait ressentir, vous savez, le tiraillement dans le ventre. Je me dirige vers le frigo et pense à Romain (voir épisode 1).
-- T'as vu, Romain, je suis à poil,
je promène partout dans l'appartement, à poil,
j'ai même fait le grand écart à poil tout à l'heure, mais ce n'est pas pour ça que tu me baiseras!
Arrg FRED ! Un mec célibataire, j'aurais dû m'en douter, le frigo est vide à part des bières, j'en prends une quand même, l'ouvre et bois quelques gorgées, j'ai toujours faim moi, dans un coin de la cuisine sont empilées des boites de pizza vide en attente d'être évacuée, sur le carton est inscrit, je m'en souviens très bien « pizza livrée en 30 min sinon gratuite ».
Je regarde l'heure, 20 h 45, j'appelle la pizzeria et me commande une royale fruit de mer. Le type au téléphone me ressort la phrase : « Pizza en 30 min où la pizza sera gratuite », je vois des lumières s'allumer dans le bloc d'appartement d'en face, mais n'étant pas curieuse, je n'y prête aucune attention (mais j'aurai dû).
Je viens me repositionner assise en tailleur sur le canapé, je regarde la météo, les pubs, puis une émission bête, et reprenant une autre bière, finalement, je suis bien moi toute nue, mes gros obus que je m'amuse à faire s'entrechoquer en les balançant librement et ma fente qui prend l'air, et, grâce à ma position assise en tailleur, fait bâiller les lèvres, je me mets à leur parler :
-- Ah, mes petites salopes, vous voudriez bien une bite, hein ? Et cette cochonne de chatte ? Elle voudrait bien se faire ramoner, se faire prendre et se faire déglinguer comme une salope hein, eh ben non, pas aujourd'hui, pas de bite ce soir pour ma putain de chatte, c'est comme ça, ça ne sert à rien de pleurer, c'est moi qui décide ! Et j'attrape une troisième bière au passage.
(Il faut vraiment que j'arrête de parler seule, moi)
Est-ce le fait de me trouver chez mon pote qui me fait agir comme un mec ? J'en suis à ma troisième bière en une heure ! et à poil en plus
LA PIZZA ! Elle sera gratuite ! Mais qu'elle arrive, car j'ai faim et la tête qui commence à tourner légèrement à boire sans avoir mangé.
22 h 05 la pizza arrive enfin, je me dirige vers la porte, vérifie que ce soit le livreur quand même, et ouvre la porte, j'ai les crocs, je lui fais un speech que la pizza est gratuite vue l'heure et patati et patata, le livreur ne dit un mot et reste figé, il est comme congelé le mec ! aucune femme ne lui avait sûrement tenu tête un jour au quoi que ce soit, je referme la porte brusquement.
En me retournant, j'aperçois le peignoir de Fred.
MERDE, je lui ai ouvert la porte à poil ! Une vue directe, à moins d'un mètre, de mes obus qui me servent de nichons et de ma chatte en forme de camel-toe (légèrement velue en ce moment).
OH putain, mais quelle conne je suis !
Le lendemain, en sortant du bâtiment et croisant des habitants du bloc face à mon pote, j'ai droit à plusieurs sourires, même des filles me sourient, je me dis que le quartier est sympa jusqu'à ce que j'entende une vieille mégère dire "aussi salope que son copain, ne m'étonnerait pas qu'il ait filé ses clefs à une pute". Et un vieux monsieur dans la septantaine de me dire, quand les lumières de l'appartement sont allumées, on voit au travers des vitres, mais merci pour le spectacle, vous avez fait bander un vieux monsieur en vous baladant à poil toute la soirée, il y a longtemps que je n'avais plus éjaculé autant, encore merci
si je voulais une arrivée discrète dans le quartier, c'est rater, presque tout le bloc d'en face a dû me voir à poil, de loin, mais à poil quand même
Voici le deuxième volet de la série « Les choses de la vie », cette histoire véridique, les chapitre se font attendre, mais je suis énormément occupée en ce moment, veuillez m'en excuser.
Les jours qui suivirent cette expérience avec mon amie et son homme, ou cette coquine était apparu nue dans la cuisine, et que cette chipie m'avait littéralement "foutue à poil" moi aussi, devant son homme, se sont passées étrangement, le couple se mettait nue dès qu'ils rentraient chez eux qu'il soit 15h ou 22h.
Ils vivaient à poil, et ne se gêner même plus pour se caresser devant moi, nul doute que Romain aurait espéré que je les rejoigne dans leur façon de vivre de façon naturiste, mais j'étais sage à l'époque, je me sentais de trop, je sentais que je devrais baisser mes exigences et retourner vivre avec mon compagnon de l'époque.
Car malgré tout, mon corps avait certaine envie, notamment de sperme à avaler, je ne comprenais pas leur fascination à vivre nu, pour moi, vivre de cette manière était inconcevable, et trois semaines sans sexe, juste mes doigts qui taquiner mon clito et ma chatte chaque soir, puis plusieurs fois dans la journée...
Ouh là non, je ne peux pas rester chez eux, je vais craquer et ça va finir en trio, je ne peux pas faire cela, je ne peux pas, je ne peux.....
Reprends-toi, Charlotte, va-t'en d'ici !
Le destin m'a écouté et a mis sur ma route un événement malheureux pour Fred, mais qui m'a fait sortir de chez eux.
Comment ? Je ne vous ai jamais parlé de Fred ?
Eh bien, Fred est un ami (et j'ai bien dit ami) depuis trèèèèèèès longtemps
Combien de temps ? Vous êtes bien curieux, mais pour vous répondre, une photo de nous deux, côte à côte dans une maternité, trône sur la cheminée chez mes parents en Espagne.
Il a deux jours de plus que moi, voilà, nous nous connaissons depuis notre naissance, bref.
Je reçus un appel de l'hôpital m'informant qu'il avait eu un accident de moto. Je me souviens d'avoir hurlé le jour où je l'avais vu revenir avec cette « faiseuse de veuve » comme j'appelle ses engins de mort !
Une voiture lui avait coupé la route, il était passé par-dessus le capot ou le toit de cette voiture, je n'ai jamais bien su, mais il était retombé sur ses bras, lui a cassé les poignets et les avant-bras.
Je courus aussi vite à l'hôpital, abandonnant mes cours de formations (ce qui me valut d'être exclue de cette formation, car je l'ai quittée sans motif valable, pour eux, ce n'est pas un membre de la famille, donc il peut attendre).
Au chevet de Fred à l'hôpital, celui-ci me donnant les clefs de chez lui pour que j'aille voir si tout aller bien, relever le courrier s'il y a, et arroser les fleurs (non, je rigole, Fred n'est pas du genre à avoirs des fleurs chez lui).
Plutôt du genre magazine de voiture, de moto, de Playboys ou Newlook
Après quelques heures passées auprès de lui, on nous apprend qu'il doit rester quelques jours hospitalisé, car des broches doivent être placées dans les poignets (je le connais, mon Fred, vous allez mettre un lion en cage ?) Pauvre de vous, il va vous faire une vie infernale.
Je note mentalement ce qu'il aura besoin, que je lui apporterais le lendemain, rien de bien méchant, accessoire de toilette, rasoir, pyjama,etc …
Pour ce soir, soit il demandera une blouse d'hôpital, soit il dort à poil, je suis sa meilleure amie, mais j'ai des choses à faire aussi, surtout me sortir des griffes de Sophie et Romain, chez qui je repasse chercher des affaires de rechange en leur signalant que je vivrais chez mon ami un certain temps, celui-ci étant hospitalisé, et que donc son appart était libre.
Je ne sais qui me parut le plus déçu, Romain ? de savoir qu'il n'avait pas réussi à m'ouvrir les cuisses ? Ou Sophie qui n'a pas pu me lécher ou se faire lécher la fente.
J'arrive donc chez Fred, et ma première surprise est de voir que son appartement est impeccable pour un mec célibataire. À chaque fois que j'étais venue, c'était la fête, donc un peu le bazar.
J'allume la TV, afin d'avoir un bruit de fond, et décide de prendre une douche. J'ai l'impression de sentir l'hôpital, et j'ai horreur de ça.
Douche italienne ou baignoire ? Non, pour ce soir, ce sera un bain.
Je me fais couler un bain bouillant (j'adore être une écrevisse quand je sors de l'eau).
Je me mets toute nue, et le grand miroir me revoit mon image, il va être temps que je me repasse un coup de rasoir, il y a bien une semaine que je ne m'en suis pas occupée, pas le courage ce soir, toute façon ma chatte est au chômage depuis trois semaines,
puis je plonge dans le bain, un bien fou, je me détends et commence à repenser à ses dernières semaines.
Quels plaisirs peuvent avoir Sophie et Romain à vivre nu ?
Je réfléchis et me dis que j'ai cet appartement pour moi seule, je sors de mon bain (une fois lavée hein) m'essuie et me demande, pourquoi je n'essaierai pas ?
Je suis seule de toute manière, les vitres n'ont pas de rideaux, mais ce sont des vitres miroir, on ne voit pas à l'intérieur, nous sommes au quatrième étage, même le bloc d'appartements d'en face en est équipé aussi, aller, j'essaye...
Je prends la précaution d'apporter le peignoir de Fred à côté de la porte d'entrée, au cas où, et en fait, je me sens bien, je suis toute nue dans l'appart de mon pote absent.
Je me fais un café (dosette) toute nue.
Je regarde le présentateur du journal de 20 heures, assise à poil dans le canapé, les pieds sur le bord de la table basse, ce qui fait que mes jambes sont fléchies et ma kikine est visible.
Je me surprends à parler avec le présentateur à travers l'écran.
Je te regarde toute nue...
Mes totottes, mes gros nichons sont à l'air ainsi que ma fente
Regarde, j'écarte les cuisses au maximum, presque le grand écart ! Tu vois bien ma chatte là ? PPDA?
Et je pars dans un fou rire me traitant de folle, n'empêche, si par n'importe quelle magie, le présentateur aurait pu me voir depuis son studio d'enregistrement, j'aurai moins fait la maligne, mais voilà, je suis toute seule, je suis à poil, et personne ne le sait, pourtant je pointe et commence à mouiller le cuir du canapé.
Le signal faim se fait ressentir, vous savez, le tiraillement dans le ventre. Je me dirige vers le frigo et pense à Romain (voir épisode 1).
-- T'as vu, Romain, je suis à poil,
je promène partout dans l'appartement, à poil,
j'ai même fait le grand écart à poil tout à l'heure, mais ce n'est pas pour ça que tu me baiseras!
Arrg FRED ! Un mec célibataire, j'aurais dû m'en douter, le frigo est vide à part des bières, j'en prends une quand même, l'ouvre et bois quelques gorgées, j'ai toujours faim moi, dans un coin de la cuisine sont empilées des boites de pizza vide en attente d'être évacuée, sur le carton est inscrit, je m'en souviens très bien « pizza livrée en 30 min sinon gratuite ».
Je regarde l'heure, 20 h 45, j'appelle la pizzeria et me commande une royale fruit de mer. Le type au téléphone me ressort la phrase : « Pizza en 30 min où la pizza sera gratuite », je vois des lumières s'allumer dans le bloc d'appartement d'en face, mais n'étant pas curieuse, je n'y prête aucune attention (mais j'aurai dû).
Je viens me repositionner assise en tailleur sur le canapé, je regarde la météo, les pubs, puis une émission bête, et reprenant une autre bière, finalement, je suis bien moi toute nue, mes gros obus que je m'amuse à faire s'entrechoquer en les balançant librement et ma fente qui prend l'air, et, grâce à ma position assise en tailleur, fait bâiller les lèvres, je me mets à leur parler :
-- Ah, mes petites salopes, vous voudriez bien une bite, hein ? Et cette cochonne de chatte ? Elle voudrait bien se faire ramoner, se faire prendre et se faire déglinguer comme une salope hein, eh ben non, pas aujourd'hui, pas de bite ce soir pour ma putain de chatte, c'est comme ça, ça ne sert à rien de pleurer, c'est moi qui décide ! Et j'attrape une troisième bière au passage.
(Il faut vraiment que j'arrête de parler seule, moi)
Est-ce le fait de me trouver chez mon pote qui me fait agir comme un mec ? J'en suis à ma troisième bière en une heure ! et à poil en plus
LA PIZZA ! Elle sera gratuite ! Mais qu'elle arrive, car j'ai faim et la tête qui commence à tourner légèrement à boire sans avoir mangé.
22 h 05 la pizza arrive enfin, je me dirige vers la porte, vérifie que ce soit le livreur quand même, et ouvre la porte, j'ai les crocs, je lui fais un speech que la pizza est gratuite vue l'heure et patati et patata, le livreur ne dit un mot et reste figé, il est comme congelé le mec ! aucune femme ne lui avait sûrement tenu tête un jour au quoi que ce soit, je referme la porte brusquement.
En me retournant, j'aperçois le peignoir de Fred.
MERDE, je lui ai ouvert la porte à poil ! Une vue directe, à moins d'un mètre, de mes obus qui me servent de nichons et de ma chatte en forme de camel-toe (légèrement velue en ce moment).
OH putain, mais quelle conne je suis !
Le lendemain, en sortant du bâtiment et croisant des habitants du bloc face à mon pote, j'ai droit à plusieurs sourires, même des filles me sourient, je me dis que le quartier est sympa jusqu'à ce que j'entende une vieille mégère dire "aussi salope que son copain, ne m'étonnerait pas qu'il ait filé ses clefs à une pute". Et un vieux monsieur dans la septantaine de me dire, quand les lumières de l'appartement sont allumées, on voit au travers des vitres, mais merci pour le spectacle, vous avez fait bander un vieux monsieur en vous baladant à poil toute la soirée, il y a longtemps que je n'avais plus éjaculé autant, encore merci
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