Les chose de la vie 3
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les chose de la vie 3
Après avoir déposé les affaires de toilettes à Fred et passé un long moment avec lui, je me décide à me rendre dans un magasin afin d'y acheter des stores occultant pour chaque fenêtre.
Dès que ceci seront installés, je pourrais me la sensation délicieuse que j'ai éprouvée hier soir en étant à poil dans l'appartement de Fred.
Je fais ensuite quelques courses me rappelant que le frigo est vide, et rachète aussi de la bière, j'ai vraiment l'impression de devenir un mec dans cet appart, je commence à boire pas mal de bière, je ne ferme plus la porte des WC quand j'y suis, mes habits ne sont plus posés convenablement, mais ils sont en mont à côté de la porte d'entrée, mon manteau, mon chemisier, mon jean, et au-dessus de ce mont de vêtements, il y a mon soutif, et mon shorty, je suis à poil.
Je me prends une douche bouillante (hé oui, que ce soit bain ou douche, elle est bouillante) me repasse un coup de rasoir, et me revoilà avec une fente lisse de petite fille, et je ressors avec la peau rougie, limite brulée, comme si j'avais pris un coup de soleil géant sur tout le corps.
Au début des années 90, il y avait deux écoles pour les filles qui se rasaient le minou complétement, les actrices porno, les prostituées et les salopes qui ne veulent cacher aucun détail de leurs chattes.
Je suis de la troisième école lol, car en fait, je n'ai jamais aimé les poils, et deuxièmement, je ne suis ni actrice, ni pute, salope oui, mais je ne le suis qu'avec un seul homme, le seul partageait ma vie jusqu'à ce qu'il y ait peu, je ne cours pas après tous les hommes, tous les jours pour me les envoyer entre les cuisses.
Je recommence à me balader nue dans l'appartement en vérifiant bien que TOUS les stores soient baissés. On ne m'aura pas deux fois !
Je deviens amoureuse de cette sensation de nudité, de liberté, je comprends maintenant Sophie et Romain
Je me prépare un plat simple, que je n'aurais qu'à me faire réchauffer ce soir, il est un peu tôt pour dîner à 17 h.
Je me rends compte aussi d'une chose, cuisiner à poil, c'est pouvoir nettoyer une éclaboussure beaucoup plus facilement, un coup de serviette et c'est partie, pas besoin de mettre la blouse à la lessive.
J'ai envie de bouger ce soir, de rencontrer du monde, il me semble avoir vu un troquet pas très loin d'ici, deux kilomètres à pied peut-être moins.
Je me rhabille un peu à contrecœur, mais je ne peux pas sortir nue, même dans le quartier des prostituées, je ne crois pas qu'il n'est une seule pute qui tapine sur le trottoir complétement à poil.
J'enfile un string assez mini, une jupe en jeans à mi-cuisses, un chemisier blanc dont je laisse les deux derniers boutons ouverts, une veste de jeans, j'attrape mes clefs et me voilà partie.
Oui, vous avez bien lu, un chemisier blanc, les derniers boutons ouverts et pas de soutif, mes obus sont libres de se balancer au gré de mes pas, de s'entrechoquer dans les escaliers, Bref,de faire du lait battu si j'en avais dans les nichons.
A entrée dans ce bistrot, je détone un peu, un grand nombre d'hommes et peu de femmes, en tout cas, je suis la seule femme non accompagnée, la testostérone me prend à plein nez, étant privé de sexe depuis trois semaines, ma cicatrice entre les cuisses se réveille, ma chatte ne se trompe pas, elle a faim, et ma fente à très bien compris que des bites étaient présentes, et,elle espère bien que je me laisserai ouvrir les cuisses pour s'en prendre une, pour se faire visiter, utiliser, pour se faire ramoner, la limer la défoncer comme la dernière des chiennes, ma chatte espère vraiment que je lui laisse faire ce pour quoi elle est destinée, à savoir, se prendre des coups de queues bien puissant.
Nos sexes communiquent-ils entre eux ? À peine assise après avoir commandé ma boisson, qu'un type m'accoste, comme s'il avait compris que ma chatte criait famine, le type beauf dans toute sa splendeur.
-- T'est mignonne, toi, t'as pas peur de te balader les mamelles quasi à l'air ? tu pourrais te faire violer, mais peut-être que c'est ce que tu recherches, te faire écarteler les cuisses pour te faire pilonner la chatte sans avoir la possibilité de dire non, c'est un fantasme connu ! J'en ris de sa bêtise
Nous discutons un moment ensemble, les tournées s'enchainent, ainsi que sa main qui remonte entre mes jambes, que je garde au minimum serrer, juste de quoi laisser passer le passage de sa main jusqu'à la fourche du haut de mes cuisses, car oui, j'ai honte, mais mon corps a besoin de ce contact, ma chatte a besoin d'être touchée par une autre main que la mienne qui la caresse depuis trois semaines.
Je commis l'erreur de lui dire que je devais me rendre aux toilettes, après avoir installé du papier hygiénique sur la cuvette, je me retourne afin de fermer la porte, que le type est là dans l'encadrement m'empêchant de la fermer.
-- Vas-y, enlève l'éponge qui te sert de string, tu mouilles depuis que je te parle, on l'a tous compris ici que tu cherches un mâle.
J'ai une bite sous la main là, un mec qui est prêt à me donner ce que je cherche, du sperme à avaler!!
Mon corps a encore répondu pour moi, car dans la seconde, mon string était à mes pieds, et je soulevais la jambe gauche afin de le dégager de mon pied, le laissant, humide comme il était, s'enrouler autour de ma cheville droite, et m'asseoir sur la cuvette.
-- Oui, tu as raison, j'ai envie, j'ai envie de ton sperme dans ma gorge, sort là, sort ta bite ! Je vais te pomper jusqu'à la moelle, je veux gouter la saveur du jus de tes couilles !
-- Je vais t'en donner salope, je vais te remplir l'estomac !
Moi qui m'attendais à une grosse bite, selon ses dires, à table, que chacune de ses partenaires sexuels avait décroché le septième ciel, me retrouvait avec une bite de 14 centimètres à peine en totale érection, mais j'avais trop envie de sperme pour me soucier, peu importe la longueur de la lance, moi, ce que je veux, c'est le jus qu'il y a dans le réservoir, je veux son jus de couilles.
Les mots crus commencèrent
-- Oh oui pompe bien sale pute, on voit que c'est pas ta première turlutte, t'as déjà dû en sucer des tonnes, et prendre des kilomètres de bites dans la chatte toi ! Ça se voit directement avec ta gueule de pute!!!!
Ses mains quittèrent ma tête, avec lesquelles il m'imposait le rythme de la pipe, pour venir dans l'encolure de mon chemisier.
Dans un craquement sinistre de tissus qui s'arrachent et de boutons qui tombent au sol, il venait de me dépoitrailler.
-- T'est bien mieux avec les nibards à l'air, tu devrais vivre comme cela !
Je ris intérieurement en me disant que depuis deux jours, je me mettais nue dès que j'étais à l'appartement.
Comme s'il lisait mes pensées, sa main commença à tirer sur ma jupe
-- Non, une salope comme toi, c'est mieux à poil, mamelles et fente visible de tous!!!
De peur pour ma jupe, (non pas qu'un peu de brutalité me dérange, mais plus par peur de devoir rentrer à poil), je soulevai mes fesses afin de faire glisser ma jupe, me retrouvant ainsi uniquement vêtue de mon string enroulé à ma cheville droite.
Il plaça sa petite queue entre mes seins en me disant de le branler, qu'avec des nichons de cette taille, c'était obligé de faire une cravate de notaire.
Je décidai de l'encourager et de le motiver
-- Vas-y, baise mes nichons de grosse pute, balance-moi ta purée dans ma bouche de salope, vide tes couilles dans ma gorge de putain!!! Vas-y, donne-moi ton jus de couille et je repris son gland en bouche, le reste de sa verge et ses couilles entre mes seins.
Une énorme quantité de sperme gicla dans ma bouche, petite bite, mais couilles bien pleines ! Je me délecte de son nectar, vraiment, j'adore cela, avaler le sperme est réellement mon péché mignon et j'en étais sevrée depuis trois semaines!!
Tenant à peine sur ses jambes (je lui avais dit que je pomperais jusqu'à la moelle), il libéra le passage. Je remarquai que je lui avais taillé une pipe avec la porte ouverte, que n'importe qui serait entré dans les WC nous aurait surpris en plein acte.
Il n'en fut rien, personne ne se pointa, il me semble, et me releva de la cuvette. Lui, il en profita pour se mettre à ma place sur le WC, il était toujours en érection et m'attrapa par les hanches me disant.
-- J'ai deux couilles, sale pute, je vais faire la fête à ta chatte!
En moins de deux secondes, son petit sexe était au fond de moi, enfin au fond de ses capacités à lui, car ma moule avait l'habitude de plus gros et long calibre.
Horreur, la porte d'entrée des WC s'ouvrit, laissant passer un couple de trentenaire
-- Je te l'avais bien dit que c'était une pute, Stéphane ne sait baiser que contre du fric, il m'en a même proposé pour me la mettre quand tu étais partie une semaine chez ta mère.
Pas sûr que ce soit une prostituée, répondit le mari ou le compagnon
-- Mais si, reprit la femme
-- Quelle femme se foutrait à poil, puis se laisserait troncher, la porte ouverte à la vue de n'importe qui, si ce n'est pour du fric ? puis regarde sa minette, aucun poil, signature de toutes les putes pour que les morpions ne s'accrochent pas à leur poil !
Ainsi, dans le bistro, les conversations devaient donc tourner sur le fait que Stéphane (c'est là que j'ai appris le prénom du pénis qui me ramonait la chatte, enfin le prénom de celui qui le portait, et remplacer aussi ramoner par chatouiller) se tapait une fille de joie dans les WC.
Notre affaire terminée, nous nous dirigeâmes vers les lavabos. Il mit le bouchon à l'évier, ce qui n'était absolument pas nécessaire, vu qu'il mit sa main en coupelle pour récupérer l'eau et me nettoyer la chatte, y entrant ses doigts au passage. Je m'essuyai comme je pus avec des serviettes en papier et entreprenais de m'habiller. Mon string avait terminé dans sa poche. Je me demande encore à quel moment il me le prit, mais refusait de me le rendre, pour qu'il garde le plus longtemps possible l'odeur de ma cyprine qui avait trempé ce dernier. Je ne cherchai même pas à discuter et remis ma jupe en gardant ma chatte à l'air.
Pour le chemisier, ce fut plus compliqué, aucun bouton n'avait résisté et il m'était impossible de le refermer.
Je fis comme je pus, et le noua sous mes globes mammaires.
Alors que je me regardais dans le miroir afin de voir si mon visage était présentable, Stéphane m'attira a lui, en me courbant, j'ai ressenti tout de suite un froid sur tout mon buste, cet enfoiré me mit les seins couvert du chemisier dans l'eau du lavabo, rendant celui-ci transparent, me transformant en miss tee-shirt mouiller avec mon 100D bien visible ! je ne pus m'empêcher de lui mettre une gifle qui a dû s'entendre dans la salle, tellement cela avait claqué sur sa face.
Ce à quoi il me répondit
-- Bah quoi ? tu es coordonnée maintenant, quand on promène sans soutif, on ne met pas de couvre-chatte non plus ! Enroule ta jupe sur ta taille pour aller dans la salle, où je la détruis et tu rentres cul nu
Je suis donc repartie en salle rechercher ma veste, les mamelles bien visibles sous mon chemisier trempé qui collait à mes nichons, la jupe relevée, la fente visible pour une trentaine de clients.
L'envie de me venger de Stéphane me prit soudain, et commença à dire tout haut à ceux qui voulaient l'entendre, enfin à ceux qui n'avaient pas les yeux rivés sur mes attributs
-- Je ne suis pas une pute, j'avais envie de sperme, et il était là, il a était une bite sur patte, il a juste été mon objet, j'ai juste pris de lui ce que j'avais besoin, sa semence.
Puis, en regardant Stéphane, je lui dis :
Reste plutot un distributeur de sperme ambulant, car pour ce qui est de niquer une femme, tu ne sais vraiment pas y faire, puis avec 14 centimètres max, il ne faut pas s'attendre à des miracles
Je compris aussi qu'il fallait que je me sauve très vite, sinon, des bites et du sperme, j'en aurai eu plus que voulu, et m'enfoui à toute vitesse.
Dès que ceci seront installés, je pourrais me la sensation délicieuse que j'ai éprouvée hier soir en étant à poil dans l'appartement de Fred.
Je fais ensuite quelques courses me rappelant que le frigo est vide, et rachète aussi de la bière, j'ai vraiment l'impression de devenir un mec dans cet appart, je commence à boire pas mal de bière, je ne ferme plus la porte des WC quand j'y suis, mes habits ne sont plus posés convenablement, mais ils sont en mont à côté de la porte d'entrée, mon manteau, mon chemisier, mon jean, et au-dessus de ce mont de vêtements, il y a mon soutif, et mon shorty, je suis à poil.
Je me prends une douche bouillante (hé oui, que ce soit bain ou douche, elle est bouillante) me repasse un coup de rasoir, et me revoilà avec une fente lisse de petite fille, et je ressors avec la peau rougie, limite brulée, comme si j'avais pris un coup de soleil géant sur tout le corps.
Au début des années 90, il y avait deux écoles pour les filles qui se rasaient le minou complétement, les actrices porno, les prostituées et les salopes qui ne veulent cacher aucun détail de leurs chattes.
Je suis de la troisième école lol, car en fait, je n'ai jamais aimé les poils, et deuxièmement, je ne suis ni actrice, ni pute, salope oui, mais je ne le suis qu'avec un seul homme, le seul partageait ma vie jusqu'à ce qu'il y ait peu, je ne cours pas après tous les hommes, tous les jours pour me les envoyer entre les cuisses.
Je recommence à me balader nue dans l'appartement en vérifiant bien que TOUS les stores soient baissés. On ne m'aura pas deux fois !
Je deviens amoureuse de cette sensation de nudité, de liberté, je comprends maintenant Sophie et Romain
Je me prépare un plat simple, que je n'aurais qu'à me faire réchauffer ce soir, il est un peu tôt pour dîner à 17 h.
Je me rends compte aussi d'une chose, cuisiner à poil, c'est pouvoir nettoyer une éclaboussure beaucoup plus facilement, un coup de serviette et c'est partie, pas besoin de mettre la blouse à la lessive.
J'ai envie de bouger ce soir, de rencontrer du monde, il me semble avoir vu un troquet pas très loin d'ici, deux kilomètres à pied peut-être moins.
Je me rhabille un peu à contrecœur, mais je ne peux pas sortir nue, même dans le quartier des prostituées, je ne crois pas qu'il n'est une seule pute qui tapine sur le trottoir complétement à poil.
J'enfile un string assez mini, une jupe en jeans à mi-cuisses, un chemisier blanc dont je laisse les deux derniers boutons ouverts, une veste de jeans, j'attrape mes clefs et me voilà partie.
Oui, vous avez bien lu, un chemisier blanc, les derniers boutons ouverts et pas de soutif, mes obus sont libres de se balancer au gré de mes pas, de s'entrechoquer dans les escaliers, Bref,de faire du lait battu si j'en avais dans les nichons.
A entrée dans ce bistrot, je détone un peu, un grand nombre d'hommes et peu de femmes, en tout cas, je suis la seule femme non accompagnée, la testostérone me prend à plein nez, étant privé de sexe depuis trois semaines, ma cicatrice entre les cuisses se réveille, ma chatte ne se trompe pas, elle a faim, et ma fente à très bien compris que des bites étaient présentes, et,elle espère bien que je me laisserai ouvrir les cuisses pour s'en prendre une, pour se faire visiter, utiliser, pour se faire ramoner, la limer la défoncer comme la dernière des chiennes, ma chatte espère vraiment que je lui laisse faire ce pour quoi elle est destinée, à savoir, se prendre des coups de queues bien puissant.
Nos sexes communiquent-ils entre eux ? À peine assise après avoir commandé ma boisson, qu'un type m'accoste, comme s'il avait compris que ma chatte criait famine, le type beauf dans toute sa splendeur.
-- T'est mignonne, toi, t'as pas peur de te balader les mamelles quasi à l'air ? tu pourrais te faire violer, mais peut-être que c'est ce que tu recherches, te faire écarteler les cuisses pour te faire pilonner la chatte sans avoir la possibilité de dire non, c'est un fantasme connu ! J'en ris de sa bêtise
Nous discutons un moment ensemble, les tournées s'enchainent, ainsi que sa main qui remonte entre mes jambes, que je garde au minimum serrer, juste de quoi laisser passer le passage de sa main jusqu'à la fourche du haut de mes cuisses, car oui, j'ai honte, mais mon corps a besoin de ce contact, ma chatte a besoin d'être touchée par une autre main que la mienne qui la caresse depuis trois semaines.
Je commis l'erreur de lui dire que je devais me rendre aux toilettes, après avoir installé du papier hygiénique sur la cuvette, je me retourne afin de fermer la porte, que le type est là dans l'encadrement m'empêchant de la fermer.
-- Vas-y, enlève l'éponge qui te sert de string, tu mouilles depuis que je te parle, on l'a tous compris ici que tu cherches un mâle.
J'ai une bite sous la main là, un mec qui est prêt à me donner ce que je cherche, du sperme à avaler!!
Mon corps a encore répondu pour moi, car dans la seconde, mon string était à mes pieds, et je soulevais la jambe gauche afin de le dégager de mon pied, le laissant, humide comme il était, s'enrouler autour de ma cheville droite, et m'asseoir sur la cuvette.
-- Oui, tu as raison, j'ai envie, j'ai envie de ton sperme dans ma gorge, sort là, sort ta bite ! Je vais te pomper jusqu'à la moelle, je veux gouter la saveur du jus de tes couilles !
-- Je vais t'en donner salope, je vais te remplir l'estomac !
Moi qui m'attendais à une grosse bite, selon ses dires, à table, que chacune de ses partenaires sexuels avait décroché le septième ciel, me retrouvait avec une bite de 14 centimètres à peine en totale érection, mais j'avais trop envie de sperme pour me soucier, peu importe la longueur de la lance, moi, ce que je veux, c'est le jus qu'il y a dans le réservoir, je veux son jus de couilles.
Les mots crus commencèrent
-- Oh oui pompe bien sale pute, on voit que c'est pas ta première turlutte, t'as déjà dû en sucer des tonnes, et prendre des kilomètres de bites dans la chatte toi ! Ça se voit directement avec ta gueule de pute!!!!
Ses mains quittèrent ma tête, avec lesquelles il m'imposait le rythme de la pipe, pour venir dans l'encolure de mon chemisier.
Dans un craquement sinistre de tissus qui s'arrachent et de boutons qui tombent au sol, il venait de me dépoitrailler.
-- T'est bien mieux avec les nibards à l'air, tu devrais vivre comme cela !
Je ris intérieurement en me disant que depuis deux jours, je me mettais nue dès que j'étais à l'appartement.
Comme s'il lisait mes pensées, sa main commença à tirer sur ma jupe
-- Non, une salope comme toi, c'est mieux à poil, mamelles et fente visible de tous!!!
De peur pour ma jupe, (non pas qu'un peu de brutalité me dérange, mais plus par peur de devoir rentrer à poil), je soulevai mes fesses afin de faire glisser ma jupe, me retrouvant ainsi uniquement vêtue de mon string enroulé à ma cheville droite.
Il plaça sa petite queue entre mes seins en me disant de le branler, qu'avec des nichons de cette taille, c'était obligé de faire une cravate de notaire.
Je décidai de l'encourager et de le motiver
-- Vas-y, baise mes nichons de grosse pute, balance-moi ta purée dans ma bouche de salope, vide tes couilles dans ma gorge de putain!!! Vas-y, donne-moi ton jus de couille et je repris son gland en bouche, le reste de sa verge et ses couilles entre mes seins.
Une énorme quantité de sperme gicla dans ma bouche, petite bite, mais couilles bien pleines ! Je me délecte de son nectar, vraiment, j'adore cela, avaler le sperme est réellement mon péché mignon et j'en étais sevrée depuis trois semaines!!
Tenant à peine sur ses jambes (je lui avais dit que je pomperais jusqu'à la moelle), il libéra le passage. Je remarquai que je lui avais taillé une pipe avec la porte ouverte, que n'importe qui serait entré dans les WC nous aurait surpris en plein acte.
Il n'en fut rien, personne ne se pointa, il me semble, et me releva de la cuvette. Lui, il en profita pour se mettre à ma place sur le WC, il était toujours en érection et m'attrapa par les hanches me disant.
-- J'ai deux couilles, sale pute, je vais faire la fête à ta chatte!
En moins de deux secondes, son petit sexe était au fond de moi, enfin au fond de ses capacités à lui, car ma moule avait l'habitude de plus gros et long calibre.
Horreur, la porte d'entrée des WC s'ouvrit, laissant passer un couple de trentenaire
-- Je te l'avais bien dit que c'était une pute, Stéphane ne sait baiser que contre du fric, il m'en a même proposé pour me la mettre quand tu étais partie une semaine chez ta mère.
Pas sûr que ce soit une prostituée, répondit le mari ou le compagnon
-- Mais si, reprit la femme
-- Quelle femme se foutrait à poil, puis se laisserait troncher, la porte ouverte à la vue de n'importe qui, si ce n'est pour du fric ? puis regarde sa minette, aucun poil, signature de toutes les putes pour que les morpions ne s'accrochent pas à leur poil !
Ainsi, dans le bistro, les conversations devaient donc tourner sur le fait que Stéphane (c'est là que j'ai appris le prénom du pénis qui me ramonait la chatte, enfin le prénom de celui qui le portait, et remplacer aussi ramoner par chatouiller) se tapait une fille de joie dans les WC.
Notre affaire terminée, nous nous dirigeâmes vers les lavabos. Il mit le bouchon à l'évier, ce qui n'était absolument pas nécessaire, vu qu'il mit sa main en coupelle pour récupérer l'eau et me nettoyer la chatte, y entrant ses doigts au passage. Je m'essuyai comme je pus avec des serviettes en papier et entreprenais de m'habiller. Mon string avait terminé dans sa poche. Je me demande encore à quel moment il me le prit, mais refusait de me le rendre, pour qu'il garde le plus longtemps possible l'odeur de ma cyprine qui avait trempé ce dernier. Je ne cherchai même pas à discuter et remis ma jupe en gardant ma chatte à l'air.
Pour le chemisier, ce fut plus compliqué, aucun bouton n'avait résisté et il m'était impossible de le refermer.
Je fis comme je pus, et le noua sous mes globes mammaires.
Alors que je me regardais dans le miroir afin de voir si mon visage était présentable, Stéphane m'attira a lui, en me courbant, j'ai ressenti tout de suite un froid sur tout mon buste, cet enfoiré me mit les seins couvert du chemisier dans l'eau du lavabo, rendant celui-ci transparent, me transformant en miss tee-shirt mouiller avec mon 100D bien visible ! je ne pus m'empêcher de lui mettre une gifle qui a dû s'entendre dans la salle, tellement cela avait claqué sur sa face.
Ce à quoi il me répondit
-- Bah quoi ? tu es coordonnée maintenant, quand on promène sans soutif, on ne met pas de couvre-chatte non plus ! Enroule ta jupe sur ta taille pour aller dans la salle, où je la détruis et tu rentres cul nu
Je suis donc repartie en salle rechercher ma veste, les mamelles bien visibles sous mon chemisier trempé qui collait à mes nichons, la jupe relevée, la fente visible pour une trentaine de clients.
L'envie de me venger de Stéphane me prit soudain, et commença à dire tout haut à ceux qui voulaient l'entendre, enfin à ceux qui n'avaient pas les yeux rivés sur mes attributs
-- Je ne suis pas une pute, j'avais envie de sperme, et il était là, il a était une bite sur patte, il a juste été mon objet, j'ai juste pris de lui ce que j'avais besoin, sa semence.
Puis, en regardant Stéphane, je lui dis :
Reste plutot un distributeur de sperme ambulant, car pour ce qui est de niquer une femme, tu ne sais vraiment pas y faire, puis avec 14 centimètres max, il ne faut pas s'attendre à des miracles
Je compris aussi qu'il fallait que je me sauve très vite, sinon, des bites et du sperme, j'en aurai eu plus que voulu, et m'enfoui à toute vitesse.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Charlotte ! Tes fautes sont pardonnées ! Ton histoire m'a tellement excité !!! J'ai adoré !!! Vivement la suite...
LNA
LNA
Désolée, à la relecture, je m'aperçois que j'ai laissé pas mal de fautes d'orthographe