Les choses de la vie 4 - histoire érotique

Fin du chapitre 3

L'envie de me venger de Stéphane me prit soudain, et commença à dire tout haut à ceux qui voulaient l'entendre, enfin à ceux qui n'avaient pas les yeux rivés sur mes attributs.
-- Je ne suis pas une pute, j'avais envie de sperme, et il était là. Il a été une bite sur patte, il a juste été mon objet, j'ai juste pris de lui ce dont j'avais besoin, sa semence.

Puis, en regardant Stéphane, je lui dis :

Reste plutôt un distributeur de sperme ambulant, car pour ce qui est de niquer une femme, tu ne sais vraiment pas y faire, puis avec 14 centimètres max, il ne faut pas s'attendre à des miracles

Je compris aussi qu'il fallait que je me sauve très vite, sinon, des bites et du sperme, j'en aurai eu plus que voulu et m'enfoui à toute vitesse.


Chapitre 4

Sur la route pour rentrer chez Fred, mes sens étaient encore en ébullitions, quasiment seins nus, en mini-jupe sans culotte, je courus jusqu'à l'appartement, j'avais l'impression d'être à poil même si j'étais peu habillée, la sensation était pareille, c'était la première fois que je sortais en rue avec la chatte à air sous une mini, en mon chemisier noué sous ma poitrine, en courant bien sur mes nichons ne pensaient qu'à une chose, se faire la malle de mon chemisier, ce qui arriva deux fois sur le chemin.

Une fois rentrée, je me suis comme d'habitude déshabillée, mais cette fois, je me suis jeté à califourchon sur l'accoudoir du canapé, et je m'y suis frotté comme une chienne se frotte sur la jambe de son maitre.
Une fois mon plaisir pris, je nettoie le cuir de ce pauvre canapé qui ne se serait jamais douté de devoir subir un jour un tel traitement, je pense, puis, je me sers un petit rosé qui va augmenter mon taux d'alcool avec les verres que j'ai déjà pris dans le bar, avec le recul maintenant, je savais que cela était mal, mais je ne me rendais pas compte que j'étais au sommet d'une pente qui allait me détruire. Pour l'instant, je ne pensais plus à rien, à la liberté d'être nue et de m'enivrer d'alcool, je me pris une douche bien chaude, et m'endormais complètement ivre.

9h du matin, je me réveille un peu pâteuse, je dois absolument m'assurer que l'appartement soit impeccable, car Fred rentre de l'hôpital cette après-midi, il m'a laissé un appartement nickel, je ne voudrais pas que ce soit en bazar quand il rentre, c'est une question de respect, je trouve.
J'arrive dans la pièce de vie, je constate que les lumières sont restées allumées toute la nuit. J'ai eu comme un réflexe de regarder vers les vitres, et merde, les stores ne sont pas baissés, ce qui veut dire que les voisins de l'immeuble en face ont encore eu un spectacle de moi nue, et peut-être même de ma chevauchée fantastique sur le canapé, surement un reste d'alcool me reste dans le sang, car je m'en fous royalement, et me dis même que si certain se sont branlé la queue et que certaine ont doigté leur chatte, j'en suis heureuse et leur souhaite qu'ils/elles aient pris autant de plaisir que moi.

Je reprends une petite douche vite faite pour me remettre les idées en place, puis me décide d'aller voir mon homme à son bureau pour qu'on ait une petite discussion sur notre avenir ensemble. Petite petite, je n'aurais pas cru que la discussion serait si courte. J'ai bien sûr ouvert la porte sans frapper, c'est une de mes mauvaises manies. Une collègue était nue sur son bureau, les cuisses ouvertes, et monsieur, à poil également, lui mangeait l'abricot.
Entre ses genoux à lui, une deuxième collègue tout aussi peu habillée faisait monter et descendre sa tête sur la colonne de chair de monsieur.
— Ça va, on s'amuse bien ici entre l'autre qui se fait bouffer la chatte et la deuxième qui te pompe la bite. Tu travailles un peu ? ou comment ça se passe ? Je ne lui laissai même pas le temps de parler que je claquais la porte (je vous ai dit que la discussion serait courte) il remontât surement son pantalon à la hâte, pour me rattraper dans le couloir, mais dans la vitesse, sa queue en érection n'était pas remise à l'intérieur du pantalon, je lui claquais une gifle, ses collèges éclatèrent de rire pour la gifle surement, mais aussi du fait qu'il avait encore la bite à l'air devant tout le monde dans ce couloir, ne me demandez pas comment ça s'est passé à son boulot après, je n'en sais rien, je ne lui ai plus jamais parlé, nous nous sommes revus par la suite, mais dans d'autres circonstances, j'ai repris mes affaires en son absence une semaine plus tard.

À 14 h, Fred est sorti de prison, enfin de l'hôpital, lui a pris cela comme un séjour en prison mdr. Nous avons fait une petite fiesta chez lui, mais rien qu'à deux, lui a pris pas mal de bière, j'en ai bu pas mal aussi, nous avons commandé des plats chinois pour le soir, en attendant, nous nous organisons pour la coloc un peu forcée. Je lui assure que je serai là pour lui, comme il a toujours été là pour moi. Un infirmier viendra lui faire une piqûre de Clexane tous les jours tant qu'il sera plâtré, mais dans ma bêtise et pour lui faire économiser de l'argent, j'assure que je m'occupe du reste.
On ne pense jamais à tout quand on dit cela, et Fred va me le prouver dans les 15 minutes qui suivent, et là, messieurs, vous pourrez confirmer.
Quand on boit assez bien de bière, cette boisson a une fâcheuse tendance à vous remplir la vessie, vous voyez où je veux en venir ? dans quelques minutes, je serais dans le dos de mon plus vieil ami, en train d'ouvrir son pantalon, fouille dans son caleçon, pour lui sortir et tenir la bite pour qu'il puisse pisser, lui ne sachant pas le faire avec ses deux bras dans le plâtre.
C'est surréaliste, le mec avec qui il ne s'est jamais rien passé et qu'aucune allusion d'un moment sexuel entre nous n'a jamais germé dans mon esprit, et pourtant, je suis là, dans son dos, avec sa bite dans la main, que je décalotte pour lui pisser. (au passage, bravo messieurs, pas évident de ne pas en mettre partout, car oui, il n'a pas dû pisser qu'une fois en trois mois, on ne sait jamais comment ça va sortir cette affaire-là, quelques gouttes ? un jet puissant ?, bref, bravo à vous)
le soir venu, après nos plats chinois, viens l'heure de la douche (je vous ai dit que je n'avais pas pensé à tout quand je me suis proposée de l'aider).
Je passe dans la chambre, enfile en maillot de bain une pièce (Fred voulait prendre une douche... bien jouer copain, t'espérait me voir à poil dans la douche avec toi ? raté).
Par contre, lui, j'ai dû le mettre à poil, encore une première pour nous, aucun n'a vu l'autre nu avant cela, et je dois avouer que c'est un beau mec, musclé, mais pas trop, juste ce qu'il faut, j'ai aussi en face de moi cette queue que j'ai tenue plusieurs fois dans la journée pour lui uriner, mais je ne m'attendais pas en tout cas à ça, je n'avais pas réalisé, le format, la taille, la longueur de l'engin, j'avais une petite idée, mais là, je l'ai de visu.

Ainsi commence le premier jour de notre cohabitation