les cinq doigts de la main 10
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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les cinq doigts de la main 10
Chap. X — Soirée chez Mamadou.
Je ne sais pas comment les choses vont évoluer avec mon mari, mais je crois qu'il commence à changer d'attitude à mon égard. Par exemple quand nous faisons l'amour, il ne me demande plus si j'ai pris du plaisir, il prend le sien,il m'ouvre les cuisses, me "baise" et ne se préoccupe plus du mien. Avant, il me caressait longuement avant de mettre sa queue en moi et maintenant, il se place devant ou derrière et enfonce son sexe en moi sans la moindre préparation, que je veuille ou non,il me plante sa queue.
Un matin que je m'étais levée avec lui pour lui préparer son petit déjeuner, il me pinça le bout d'une mamelle avant de partir.
- Tu as déjà reçu des nouvelles de Mamadou, me demanda-t-il juste avant de sortir?
- Non! Mais monsieur Jean doit lui donner mon numéro de mobile.
- Alors, quand il téléphonera, tu lui donneras mon numéro en lui disant que c'est avec moi qu'il doit s'arranger.
- Tu vas...
J'étais surprise par cette décision de mon mari et en même temps j'étais ravie. Enfin, il s'intéressait à mes fantasmes.
- Oui, j'ai décidé que maintenant j'allais régler certaines choses pour toi et la soirée chez Mamadou est une des choses dont j'ai envie de m'occuper. Tu n'y vois aucun inconvénient, je suppose?
- Non, aucun mon amour. Au contraire je suis très heureuse que tu prennes ce genre d'initiative.
- Alors, tout va bien, à ce soir, mon cœur. Sois sage.
- Comme toujours!
Je reste un long moment à regarder par la fenêtre alors que Pierre a déjà disparu depuis longtemps. Je me demande ce qui se passe dans la tête de mon homme?
Je voudrais savoir ce qu'il pense de mes aventures, comment il les ressent, mais, avec lui, c'est difficile de savoir ce qu'il pense vraiment. Il a toujours l'air de prendre la vie du bon côté et aime partager ce qu'il a, c'est pourquoi il aime me partager avec d'autres.
Je suis de nouveau passée chez monsieur Jean pour le loyer de François, plus que trois fois à me retrouver à poil au milieu du parking, dans les escaliers, et dans tout de son immeuble. J'ai encore joui comme une chienne sous le fouet de monsieur
Jean et, comme d'habitude, François m'a caressé avec sa pommade avant de se faire tailler une pipe et de me renvoyer chez moi. J'ai encore croisé la concierge dans les
escaliers,
à poil,mais cette fois, je retournais au parking, elle s'est montrée offusquée de me voir nue avec la laisse et la chaînette, mais en plus j'avais le corps strié de balafres rougeâtres. Je suis passée fièrement devant elle, je me suis même amusée à m'enfoncer la poignée de la laisse dans ma chatte sous ses yeux.
Pierre s'est montré amusé de l'épisode avec la concierge. Lui aussi m'a mis de la pommade avant de m'enculer comme une brute, accrochée à l'évier de la cuisine. Dans ma
position, je pouvais voir notre voisin qui nous regardait, mes mamelles balancer d avant en arriére à un rythme fou.
Je n'ai toujours pas eu de nouvelles de Mamadou, j'ai l'impression que sa soirée est tombée à l'eau où il a trouvé une autre attraction plus intéressante. J'avoue que je suis un peu déçue, car je croyais vraiment que je lui plaisais comme
femme et j'aimais à croire qu'il avait envie de me posséder lui aussi.
Décidément, je vais de surprise en surprise avec Pierre, calmement, mais sûrement, il marque des points. Maintenant, il ne veut plus que je mette une robe de nuit pour dormir et je dois me mettre à poil dès que je passe la porte d'entrée. Il m'a fait jeter toutes mes robes de nuit
De même j'aimais particulièrement une robe de chambre informe et longue, mais douillette. Je l'avais depuis plus de dix ans et ce fut un crève-cœur de la mettre dans le box à vêtements pour les sans-abri.
Souvent je pense à Mamadou et j'ai parfois envie de demander son numéro à monsieur Jean. Je sais qu'il me fera subir une humiliation avant de me le donner
et cela m'excite encore plus.
C'est décidé, dans une semaine, je vais demander le numéro de Mamadou à monsieur Jean.
Pierre est souvent au téléphone pour le moment, quand je lui demande à qui il téléphone, il me répond invariablement que c'est pour le boulot. Le problème c'est qu'avant il ne téléphonait jamais en dehors des heures de travail et que maintenant, il est pendu à son mobile au moins dix fois par soirée.
Ce matin, c'est vendredi et un long Week-end se présente. Il est six heures et le réveil de Pierre sonne et il ne semble pas l'entendre. Je le secoue doucement.
- Pierre, il est l'heure que tu te lèves mon amour.
Il se retourne et me sourit d'une manière espiègle.
- Mais non mon cœur, ce n'est pas pour moi aujourd'hui, c'est pour toi.
- Tu veux que je me lève maintenant?
- Oui, va me préparer un bon petit déjeuner avec des œufs et des toasts.
Je suis surprise, mais je ne vois aucune raison de ne pas accéder à sa demande.
- Comme tu voudras, mon amour, mais il faut te lever si tu ne veux pas être en retard.
Il grommelle dans son oreiller, mais je finis par comprendre ce qu'il dit.
- Non... congé aujourd'hui... des choses à faire... toi.
Je comprends qu'il est en congé aujourd'hui et qu'il a des choses à faire avec moi.
- Je veux bien, mais pourquoi se lever à six heures du matin?
- On a rendez-vous à huit heures.
Comme ça je comprends, mais on aurait encore pu dormir une bonne demiheure.
Je sors du lit et m'apprête, par réflexe, à passer un peignoir, mais Pierre m'arrête.
- Non, à poil, ma beauté.
Je ne pense même pas à le contredire et je reste nue pour me rendre à la cuisine. Deux fois je me brûle en cuisant ses œufs. Il arrive quand tout est prêt et s'assied après m'avoir embrassée. Il a passé sa robe de chambre, mais il est nu dessous.
- Suce-moi!
Il faut un certain temps pour que l'information arrive à mon cerveau. Je me tourne vers lui en ouvrant des yeux ronds et interrogatifs.
- Quoi?
- Tu as bien compris, suce-moi, taille-moi une pipe,mais ne me fais pas jouir.
Machinalement, je me laisse glisser au sol et je me mets à quatre pattes pour aller prendre sa queue en bouche. Je dois dire que c'est la première fois que je
fais ce genre de choses au petit déjeuner. Normalement j'aime assez ce genre de caresse buccale, mais je n'ai même pas encore pris une tasse de café et son sexe sent assez fort l'urine. Pourtant, je m'applique à le sucer et à lécher la hampe qui
se dresse fièrement sous ma langue.
Pour une fois, il n'a pas allumé la radio et les seuls bruits que l'on entend, ce sont les bruits de succion de ma bouche sur son sexe et ceux qu'il fait en mangeant, c'est surréaliste à six heures et demie du matin.
Pendant plus d'un quart d'heure, je reste sous la table avec sa bite en bouche pendant qu'il prend son petit déjeuner.
Il me repousse doucement avant de se lever.
- Je vais prendre une douche, me dit-il en souriant alors que je sors de sous la table.
- J'en prendrai une après toi. Si cela ne dérange pas monsieur,
naturellement?
- Non! Cela ne me dérange pas le moins du monde.
Il sort de la cuisine et j'ai la chatte en feu. Je me masturberais bien, mais je dois en premier débarrasser la table et ranger la cuisine avant d'aller à la salle de bain où j'espère qu'il me fera l'amour.
Quand j'arrive à la salle de bain, il est déjà sorti de la douche et se dirige directement vers la chambre pour s'habiller. Juste avant de passer la porte, il se retourne et me sourit.
- Pas se caresser sous la douche, on reste bien excitée.
- Salaud!
- Ha! Ha! Ha!
Ça le fait rire.
Après la douche, je le rejoins dans la chambre, mais, quand je pose la main sur
la porte de la garde-robe, il m'arrête.
- Tss! Pas aujourd'hui!
- Quoi? Je ne peux pas m'habiller pour sortir? Je ne vais pas sortir à poil quand même?
- Non, rassure-toi, il y a tout ce qu'il faut dans le salon. Regarde dans la valise noire qui se trouve derrière le grand canapé.
Je me précipite vers le salon et je trouve la fameuse valise qui me paraît lourde. Il y a en effet une très belle robe de soirée noire. Le plus étonnant c'est le manque de décolleté, elle est fermée à la base du cou et descend jusqu'à mes
pieds. C'est à peine si le bout de mes chaussures dépasse et encore, ce sont des chaussures à très hauts talons, il va falloir que je fasse attention pour pouvoir
marcher avec. J'ai déjà passé la robe quand je me rends compte qu'il y a des sous-vêtements,
une parure complète, soutien-gorge, porte-jarretelles, et string ficelle d'un rouge flamboyant, c'est presque dommage de les cacher avec une robe.
Il me faut un certain temps pour me rendre compte que la robe est au moins deux tailles au-dessus de la mienne, j'en fais la remarque à mon mari qui me répond qu'on ne regarde pas quand on vous donne quelque chose.
Si je comprends bien, la robe, c'est un cadeau et pour le reste?
- Les sous-vêtements sont aussi offerts par un généreux donateur?
- Tu as tout compris, me souffle mon époux en m'embrassant dans le cou.
Je lui ai dit que tu faisais du trente-huit, mais il a tenu à ce que tu mettes du quarante.
Il se recule de quelques pas et me regarde pendant que je fais deux tours sur moi-même pour me faire admirer.
- Je ta rassure, même un sac t'irait comme un gant, tu es magnifique dans cette robe.
J'aimerais lui demander qui a offert les vêtements, mais j'ai comme dans l'idée qu'il refusera de me répondre, je me dis que j'apprendrai bien assez tôt qui est le responsable. Je suppose que c'est celui qui a organisé la réception où nous
allons.
Ce qui m'inquiète un peu, c'est que dans la valise il n'y avait pas que des vêtements. J'y ai vu des pinces, des chaînes, une cravache, un collier de chien et une laisse métallique avec une superbe dragonne en cuir noir. J'ai bien compris que, au cours de cette journée, je risque de me retrouver dans une situation
humiliante et je sais déjà que je vais y prendre du plaisir.
On passe une partie de la journée à faire du lèche-vitrine au centre commercial. Pierre est pendu au portable et il s'isole fréquemment pour répondre aux nombreux coups de fil qu'il reçoit. Je fais souvent le pied de grue à attendre que monsieur soit enfin disponible pour moi. C'est quand même lui qui a voulu que nous passions la journée ensemble.
Quand monsieur vient enfin s'occuper de moi, c'est pour me faire entrer à sa suite dans une boutique de lingeries. Il me fait essayer plusieurs parures et m'oblige à sortie de la cabine uniquement vêtue de sous-vêtements, heureusement qu'il y a peu de monde à cette heure de la journée.
À midi, déjeuner dans un restaurant renommé avec champagne à l'apéritif. Nous sortons à quinze heures complètement repus et gavés de bonnes chaires. Je rentrerais bien faire une sieste, mais Pierre en a décidé autrement et m'entraîne dans le premier cinéma. On passe deux heures à regarder un dessin animé avec
un petit robot qui entasse des cubes de ferraille.
Il y a peu de monde dans la salle et, comme nous sommes au dernier rang, Pierre ouvre son pantalon et sort son sexe. Je ne me fais pas prier pour le prendre en bouche. Je le suce longuement avant qu'il ne jouisse au fond de ma
gorge.
Quand je suis assise, mon mari me fait écarter les cuisses et commence à me caresser le ventre. Ses doigts jouent avec mon clitoris fièrement dressé, mais il s'arrange pour me laisser au bord de la jouissance. Ma chatte dégouline littéralement et je suis sûre que mon siège est imbibé de ma liqueur intime.
Mes seins me font mal d'être gonflés de désir, mais Pierre refuse de me laisser jouir.
C'est frustrée et excitée au possible que je le suis pour sortir de la salle obscure. Mon cœur bat la chamade quand je me rends compte que nous allons chez Mamadou. Je dois être nerveuse, car Pierre me caresse doucement le genou.
- Calme-toi, nous sommes invités à une petite réception d'inauguration.
Mamadou a fait de petits travaux dans sa boîte.
- Je suppose qu'il y aura beaucoup de monde?
- Je n'en sais rien, j'ai juste reçu un carton d'invitation pour nous deux avec la valise. Je n'en sais pas plus que toi.
Pourquoi est-ce que je suis persuadée qu'il ment? Peut-être à cause du sourire qu'il affiche depuis qu'il est levé.
Quand je suis prête, il prend la valise et la met dans le coffre de la voiture. Il m'ouvre la portière du côté passager et m'aide à m'asseoir. Il démarre et prend la direction de la périphérie de la ville. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre où nous allons.
En moins d'un quartd'heure, nous sommes arrivés dans la grande cour de ferme qui sert de parking.
Un des malabars de l'entrée vient aider Pierre et lui prend la valise qu'il emporte à l'intérieur.
Les portiers nous ouvrent la porte en grand et nous sommes bientôt dans la grande salle de la boîte de nuit. Il y fait sombre avec juste quelques lumières tamisées un peu partout près des tables. Devant le bar, ce qui semble être une
piste de danse est, elle, bien éclairé.
Je ne suis pas très étonnée de voir les autres mousquetaires en bonne place au bar. Ils nous accueillent chaleureusement et nous nous retrouvons très vite avec un verre d'alcool en main.
Nous sommes là depuis une bonne demi-heure quand Mamadou vient nous saluer. Courtoisement, il me fait un baise-main digne des meilleurs films de cape et d'épée avant de prendre Pierre par le bras et l'entraîner dans le fond de la
salle. Cela sent le piège à plein nez. Je suis sûre que quelque chose se prépare et je ne peux m'empêcher d'être inquiète même si je sais que je ne me déroberai pas quoiqu'il arrive, j'aimerais être dans la confidence. Je suis tellement prise par
mes pensées que je ne réagis pas quand les mains de François me caressent les fesses.
Les deux hommes discutent longuement avant que Pierre ne revienne près de nous. La curiosité l'emporte et je me penche vers Pierre.
- Qu'est-ce qu'il voulait?
- Pas grand-chose, il voulait savoir si tu étais toujours d'accord pour venir un soir faire un petit spectacle. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter que tu viendrais quand il le voudrait.
- Tu aurais pu me demander mon avis quand même!
Il me donne un petit bisou sur les lèvres.
- Arrête, je n'ai fait que lui répondre ce que tu voulais.
Petit à petit, la salle se remplit avec toute une série de personnalités de la ville. Le député-maire et son épouse, le plus gros constructeur de la région accompagné d'une blonde qui ne doit pas être sa femme, car elle a au moins la moitié de son âge, divers commerçants et entrepreneurs tous accompagnés par
leur épouse ou par une charmante petite jeunette.
Des serveuses apparaissent et c'est le grand silence pendant au moins une bonne minute. Il faut dire que Mamadou a fait fort, elles sont seins nus, uniquement en string miniscule.
Leur tête est rasée de près, les cheveux sont à peine longs d'un demi-centimètre, leur chattes paraissent glabre aussi . Au bout de leur sein droit, un gros anneau noir.
Elles sont maquillées outrageusement comme les putains que l'on croise sur les trottoirs des quartiers chauds de la ville. Toutes portent un grand plateau rempli de verre de champagne. Chacune leur tour, elles viennent devant Mamadou et lui font une petite révérence avant de venir présenter leur plateau aux invités.
Très vite les conversations reprennent et un brouhaha feutré se répand dans la grande salle.
Je reste aux côtés de mon mari qui me présente des gens qui me sont totalement inconnus. Ils ont des titres ronflants puisque j'entends les mots de député, conseiller communal, sous-préfet, chef de clinique, etc., etc. Puis, il se dirige vers une des rares personnalités présentes que je connaisse, de nom et de
visage pour l'avoir souvent vu sur des affiches électorales ; monsieur le maire de la ville et sa charmante épouse.
Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que la femme du maire ne sera jamais mon amie, c'est à peine si nous nous adressons la conversation pendant que les deux hommes discutent de sport et de politique et pourtant tout commence là.
Je n'ai rien compris et je suis abasourdie de constater que la femme du maire vient de recevoir un verre de champagne sur sa robe. Elle se tourne vers moi, les yeux rouges de colère.
- Espèce de petite gourde, tu ne peux pas faire attention!
- Mais!
Rien d'autre ne sort de ma bouche qui reste grande ouverte. Ma tête se tourne dans tous les sens en cherchant de l'aide. Il y a bien quelqu'un qui a dû voir la scène et va venir éclaircir cette situation.
- Qu'y a-t-il ma chérie, demande le maire à son épouse?
- Il se passe que cette maladroite a bousculé une serveuse et que le résultat c'est que ma robe est fichue. Il va falloir que je rentre à la maison pour me changer.
- Je vous assure que je n'y suis pour rien.
Je cherche de l'aide, mais je ne rencontre que des regards réprobateurs.
Pourtant je suis certaine de n'avoir pas touché une des serveuses. C'est vrai que je regardais autour de moi tout en écoutant vaguement la conversation des hommes, mais je n'ai même pas vu venir la serveuse qui a disparu comme par
enchantement. Même Pierre me regarde comme une coupable.
- Pierre, je t'assure que je n'ai pas fait ce dont elle m'accuse.
- Je veux bien te croire, mais, madame, ne s'est quand même pas renverser un verre de champagne sur elle juste pour le plaisir changer de robe ou de t'accuser.
- Je ne sais pas, je ne comprends rien.
Les gens qui se sont attroupés autour de nous s'écartent pour laisser passer Mamadou.
- Qu'est-ce qui se passe ici?
Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche que la femme du maire commence à donner sa version des faits au maître des lieux.
- Figurez-vous que cette petite gourde a bousculé une serveuse et que je me suis retrouvée arrosée au champagne. Ma robe est fichue. Le champagne c'est bon dans la bouche, mais pas sur les vêtements.
- Je veux bien vous croire chère madame.
Énervée par la tournure des évènements, je m'avance pour intervenir.
- Monsieur Mamadou, je vous assure que...
- Je vous en prie Charlotte, d'après monsieur Jean, vous êtes une habituée des maladresses et vous ne voulez jamais le reconnaître.
- Mais je...
En une petite seconde, je viens de réaliser que je me suis fait piéger. Un regard aux deux hommes et je suis sûre que tout a été minutieusement organisé par mon mari et Mamadou.
Je ne sais pas où cela va m'entraîner, mais je n'ai d'autre choix que de m'incliner devant la duplicité des deux instigateurs de cette mascarade.
- De toute façon, vous ne croirez jamais à mon innocence dans cette affaire. Que voulez-vous que je fasse?
La mine réjouie de Mamadou et de Pierre me conforte dans mon opinion qu'ils sont responsables de la situation. Mamadou se tourne vers la femme du maire.
- Croyez-vous que si madame vous donnait sa robe cela arrangerait votre humeur à son égard?
Elle fait mine de réfléchir puis semble se décider à contrecœur.
- Ce sac ne me paraît pas digne de moi, mais je crois que je vais faire contre mauvaise fortune bon cœur et accepter votre proposition Mamadou.
- Bien! Suivez-moi toutes les deux.
Il nous entraîne vers une petite pièce sur la gauche de la salle. Il y a un grand lit et deux chaises pour tout meuble.
- Voilà! Charlotte veuillez retirer votre robe, je vous prie.
Je crois que c'est le moment de jouer la grande scène de l'acte deux de cette parodie.
- Et je vais mettre quoi pendant que cette pétasse met ma robe?
Je n'ai pas fini ma phrase qu'une gifle magistrale me fait violemment tourner la tête.
- La petite gourde, tu vas la fermer et me donner cette foutue robe.
La femme du maire semble vraiment être une femme à poigne, ça ne m'étonnerait qu'à moitié que ce soit elle qui porte la culotte au domicile du maire.
- Et moi je reste à moitié nue pour vous faire plaisir peut-être?
La femme se tourne lentement vers moi et vient me regarder fixement dans les yeux.
- Pas à moitié, complètement à poil.
- Mais...
Une deuxième gifle me fait taire
-Tu me donnes ta robe, tu vires ton soutif, ton string, tes obus et la moule à l air, tu m'as l'air d une prétencieuse, cela te feras une leçon. puis elle me hurle dessus
- A POIL!!!
Je n'ai pas vraiment le choix, il faut que je retire la robe pour la donner à la femme du maire. Dès que la femme a passé la
robe, je me rends compte que j'ai vu juste et que cette robe est faite pour elle.
Elle n'en a pas encore fini avec moi.
Elle s'approche de moi et passe la main dans mon soutien-gorge qu'elle arrache d'une brusque traction. Mon string ne fait pas long feu sous les coups de griffe de
la virago et je me retrouve complètement nue devant Mamadou et la femme du maire. Je sais qu'ils ne vont pas en rester là et je m'attends au pire.
-Y'a que les putains qui se rase la moule comme toi, aussi lisse qu'un enfant, t'aime qu'on mate tous les détails de ta fente, n'est-ce pas grosse pute?
Quelqu'un frappe à la porte et le maître des lieux va ouvrir la porte à une des serveuses qui lui apporte un grand sac de sport qui paraît assez lourd. La serveuse est à peine sortie que Mamadou pose le sac sur une petite table et l'ouvre.
Il en sort un collier et une laisse en chaîne avec une dragonne en cuir. Tandis que Mamadou vient me mettre le collier et la laisse, c'est au tour de la femme du maire de fouiller le sac. Elle vient me montrer sa trouvaille, une chaîne en Y avec, aux extrémités supérieures deux petites pinces tandis que la troisième est terminée par une paire de menottes.
La longueur de la chaîne est telle que je dois maintenir mes bras en suspension à
hauteur de ma taille. Dès que je lève les poignets, je tire sur la chaîne qui à son tour tire sur les pinces qui emprisonnent mes tétons, si je les baisse j'arrive au même résultat. Ma marche de manœuvre est faible.
Comme si mon accoutrement n'est pas encore suffisant, la femme du maire vient décrocher la laisse du collier et accroche le mousqueton de la laisse à un maillon
de la petite chaîne qui sépare les anneaux des menottes. Si elle tire sur la laisse, j'ai intérêt à suivre son mouvement si je ne veux pas que les pinces allongent mes pauvres mamelons qui suivront l'avancement de mes bras.
Pour faire bonne mesure, Mamadou sort de son sac à malice une barre d'acier d'une trentaine de centimètres qui est terminée à chaque bout par un bracelet de cuir. Ils sont fixés à mes chevilles et je me retrouve avec une marche réduite.
Quand je suis harnachée complètement, Mamadou vient devant moi et commence à m'expliquer que suite à ma conduite déplorable et scandaleuse, je vais être punie et que cette punition consistera à rester auprès de la femme du maire et de satisfaire ses moindres envies dans un premier temps, mais, que par la suite il se réserve le droit de me punir d'une autre manière.
Mon sexe est en feu et je sens ma liqueur intime s'écouler lentement de mes lèvres vaginales. Je suis excitée comme une femelle en chaleur par ce qui m'arrive. Je voudrais bien pouvoir revenir en arrière, au temps d'avant mon voyage de noces, le temps où j'étais une femme normale, tout au moins avec
des envies et des besoins normaux. D'un autre point de vue, qu'est-ce que la normalité? Ce n'est jamais qu'un comportement identique à une majorité
d'individus et je reconnais volontiers que ce n'est plus mon cas depuis quelques mois.
La femme du maire me regarde avec un plaisir certain, elle semble très satisfaite de me voir harnachée comme une esclave qu'on même au marché.
Les pinces commencent à me faire moins mal ou c'est moi qui m'habitue à la douleur.
Mamadou referme le sac et le jette dans un coin de la pièce puis, il se dirige vers la porte. Mon cœur s'emballe quand je vois la femme du maire prendre la poignée de la laisse en main. La traction sur mes mamelons est très douloureuse, mais, dans l'immédiat, j'ai un autre problème ; la marche. Je suis
obligée de faire de tout petits pas à cause de la barre qui m'écarte les chevilles.
Au moment de passer la porte, je sens une vague de honte m'envahir, le rouge me monte aux joues quand le silence s'installe au fur et à mesure que nous avançons dans la salle. Même les serveuses en restent abasourdies, elles sont en string, et moi à poil.
J'ai honte d'être exhibée de cette manière et en même temps, je ressens un plaisir incroyable
Je ne sais pas comment les choses vont évoluer avec mon mari, mais je crois qu'il commence à changer d'attitude à mon égard. Par exemple quand nous faisons l'amour, il ne me demande plus si j'ai pris du plaisir, il prend le sien,il m'ouvre les cuisses, me "baise" et ne se préoccupe plus du mien. Avant, il me caressait longuement avant de mettre sa queue en moi et maintenant, il se place devant ou derrière et enfonce son sexe en moi sans la moindre préparation, que je veuille ou non,il me plante sa queue.
Un matin que je m'étais levée avec lui pour lui préparer son petit déjeuner, il me pinça le bout d'une mamelle avant de partir.
- Tu as déjà reçu des nouvelles de Mamadou, me demanda-t-il juste avant de sortir?
- Non! Mais monsieur Jean doit lui donner mon numéro de mobile.
- Alors, quand il téléphonera, tu lui donneras mon numéro en lui disant que c'est avec moi qu'il doit s'arranger.
- Tu vas...
J'étais surprise par cette décision de mon mari et en même temps j'étais ravie. Enfin, il s'intéressait à mes fantasmes.
- Oui, j'ai décidé que maintenant j'allais régler certaines choses pour toi et la soirée chez Mamadou est une des choses dont j'ai envie de m'occuper. Tu n'y vois aucun inconvénient, je suppose?
- Non, aucun mon amour. Au contraire je suis très heureuse que tu prennes ce genre d'initiative.
- Alors, tout va bien, à ce soir, mon cœur. Sois sage.
- Comme toujours!
Je reste un long moment à regarder par la fenêtre alors que Pierre a déjà disparu depuis longtemps. Je me demande ce qui se passe dans la tête de mon homme?
Je voudrais savoir ce qu'il pense de mes aventures, comment il les ressent, mais, avec lui, c'est difficile de savoir ce qu'il pense vraiment. Il a toujours l'air de prendre la vie du bon côté et aime partager ce qu'il a, c'est pourquoi il aime me partager avec d'autres.
Je suis de nouveau passée chez monsieur Jean pour le loyer de François, plus que trois fois à me retrouver à poil au milieu du parking, dans les escaliers, et dans tout de son immeuble. J'ai encore joui comme une chienne sous le fouet de monsieur
Jean et, comme d'habitude, François m'a caressé avec sa pommade avant de se faire tailler une pipe et de me renvoyer chez moi. J'ai encore croisé la concierge dans les
escaliers,
à poil,mais cette fois, je retournais au parking, elle s'est montrée offusquée de me voir nue avec la laisse et la chaînette, mais en plus j'avais le corps strié de balafres rougeâtres. Je suis passée fièrement devant elle, je me suis même amusée à m'enfoncer la poignée de la laisse dans ma chatte sous ses yeux.
Pierre s'est montré amusé de l'épisode avec la concierge. Lui aussi m'a mis de la pommade avant de m'enculer comme une brute, accrochée à l'évier de la cuisine. Dans ma
position, je pouvais voir notre voisin qui nous regardait, mes mamelles balancer d avant en arriére à un rythme fou.
Je n'ai toujours pas eu de nouvelles de Mamadou, j'ai l'impression que sa soirée est tombée à l'eau où il a trouvé une autre attraction plus intéressante. J'avoue que je suis un peu déçue, car je croyais vraiment que je lui plaisais comme
femme et j'aimais à croire qu'il avait envie de me posséder lui aussi.
Décidément, je vais de surprise en surprise avec Pierre, calmement, mais sûrement, il marque des points. Maintenant, il ne veut plus que je mette une robe de nuit pour dormir et je dois me mettre à poil dès que je passe la porte d'entrée. Il m'a fait jeter toutes mes robes de nuit
De même j'aimais particulièrement une robe de chambre informe et longue, mais douillette. Je l'avais depuis plus de dix ans et ce fut un crève-cœur de la mettre dans le box à vêtements pour les sans-abri.
Souvent je pense à Mamadou et j'ai parfois envie de demander son numéro à monsieur Jean. Je sais qu'il me fera subir une humiliation avant de me le donner
et cela m'excite encore plus.
C'est décidé, dans une semaine, je vais demander le numéro de Mamadou à monsieur Jean.
Pierre est souvent au téléphone pour le moment, quand je lui demande à qui il téléphone, il me répond invariablement que c'est pour le boulot. Le problème c'est qu'avant il ne téléphonait jamais en dehors des heures de travail et que maintenant, il est pendu à son mobile au moins dix fois par soirée.
Ce matin, c'est vendredi et un long Week-end se présente. Il est six heures et le réveil de Pierre sonne et il ne semble pas l'entendre. Je le secoue doucement.
- Pierre, il est l'heure que tu te lèves mon amour.
Il se retourne et me sourit d'une manière espiègle.
- Mais non mon cœur, ce n'est pas pour moi aujourd'hui, c'est pour toi.
- Tu veux que je me lève maintenant?
- Oui, va me préparer un bon petit déjeuner avec des œufs et des toasts.
Je suis surprise, mais je ne vois aucune raison de ne pas accéder à sa demande.
- Comme tu voudras, mon amour, mais il faut te lever si tu ne veux pas être en retard.
Il grommelle dans son oreiller, mais je finis par comprendre ce qu'il dit.
- Non... congé aujourd'hui... des choses à faire... toi.
Je comprends qu'il est en congé aujourd'hui et qu'il a des choses à faire avec moi.
- Je veux bien, mais pourquoi se lever à six heures du matin?
- On a rendez-vous à huit heures.
Comme ça je comprends, mais on aurait encore pu dormir une bonne demiheure.
Je sors du lit et m'apprête, par réflexe, à passer un peignoir, mais Pierre m'arrête.
- Non, à poil, ma beauté.
Je ne pense même pas à le contredire et je reste nue pour me rendre à la cuisine. Deux fois je me brûle en cuisant ses œufs. Il arrive quand tout est prêt et s'assied après m'avoir embrassée. Il a passé sa robe de chambre, mais il est nu dessous.
- Suce-moi!
Il faut un certain temps pour que l'information arrive à mon cerveau. Je me tourne vers lui en ouvrant des yeux ronds et interrogatifs.
- Quoi?
- Tu as bien compris, suce-moi, taille-moi une pipe,mais ne me fais pas jouir.
Machinalement, je me laisse glisser au sol et je me mets à quatre pattes pour aller prendre sa queue en bouche. Je dois dire que c'est la première fois que je
fais ce genre de choses au petit déjeuner. Normalement j'aime assez ce genre de caresse buccale, mais je n'ai même pas encore pris une tasse de café et son sexe sent assez fort l'urine. Pourtant, je m'applique à le sucer et à lécher la hampe qui
se dresse fièrement sous ma langue.
Pour une fois, il n'a pas allumé la radio et les seuls bruits que l'on entend, ce sont les bruits de succion de ma bouche sur son sexe et ceux qu'il fait en mangeant, c'est surréaliste à six heures et demie du matin.
Pendant plus d'un quart d'heure, je reste sous la table avec sa bite en bouche pendant qu'il prend son petit déjeuner.
Il me repousse doucement avant de se lever.
- Je vais prendre une douche, me dit-il en souriant alors que je sors de sous la table.
- J'en prendrai une après toi. Si cela ne dérange pas monsieur,
naturellement?
- Non! Cela ne me dérange pas le moins du monde.
Il sort de la cuisine et j'ai la chatte en feu. Je me masturberais bien, mais je dois en premier débarrasser la table et ranger la cuisine avant d'aller à la salle de bain où j'espère qu'il me fera l'amour.
Quand j'arrive à la salle de bain, il est déjà sorti de la douche et se dirige directement vers la chambre pour s'habiller. Juste avant de passer la porte, il se retourne et me sourit.
- Pas se caresser sous la douche, on reste bien excitée.
- Salaud!
- Ha! Ha! Ha!
Ça le fait rire.
Après la douche, je le rejoins dans la chambre, mais, quand je pose la main sur
la porte de la garde-robe, il m'arrête.
- Tss! Pas aujourd'hui!
- Quoi? Je ne peux pas m'habiller pour sortir? Je ne vais pas sortir à poil quand même?
- Non, rassure-toi, il y a tout ce qu'il faut dans le salon. Regarde dans la valise noire qui se trouve derrière le grand canapé.
Je me précipite vers le salon et je trouve la fameuse valise qui me paraît lourde. Il y a en effet une très belle robe de soirée noire. Le plus étonnant c'est le manque de décolleté, elle est fermée à la base du cou et descend jusqu'à mes
pieds. C'est à peine si le bout de mes chaussures dépasse et encore, ce sont des chaussures à très hauts talons, il va falloir que je fasse attention pour pouvoir
marcher avec. J'ai déjà passé la robe quand je me rends compte qu'il y a des sous-vêtements,
une parure complète, soutien-gorge, porte-jarretelles, et string ficelle d'un rouge flamboyant, c'est presque dommage de les cacher avec une robe.
Il me faut un certain temps pour me rendre compte que la robe est au moins deux tailles au-dessus de la mienne, j'en fais la remarque à mon mari qui me répond qu'on ne regarde pas quand on vous donne quelque chose.
Si je comprends bien, la robe, c'est un cadeau et pour le reste?
- Les sous-vêtements sont aussi offerts par un généreux donateur?
- Tu as tout compris, me souffle mon époux en m'embrassant dans le cou.
Je lui ai dit que tu faisais du trente-huit, mais il a tenu à ce que tu mettes du quarante.
Il se recule de quelques pas et me regarde pendant que je fais deux tours sur moi-même pour me faire admirer.
- Je ta rassure, même un sac t'irait comme un gant, tu es magnifique dans cette robe.
J'aimerais lui demander qui a offert les vêtements, mais j'ai comme dans l'idée qu'il refusera de me répondre, je me dis que j'apprendrai bien assez tôt qui est le responsable. Je suppose que c'est celui qui a organisé la réception où nous
allons.
Ce qui m'inquiète un peu, c'est que dans la valise il n'y avait pas que des vêtements. J'y ai vu des pinces, des chaînes, une cravache, un collier de chien et une laisse métallique avec une superbe dragonne en cuir noir. J'ai bien compris que, au cours de cette journée, je risque de me retrouver dans une situation
humiliante et je sais déjà que je vais y prendre du plaisir.
On passe une partie de la journée à faire du lèche-vitrine au centre commercial. Pierre est pendu au portable et il s'isole fréquemment pour répondre aux nombreux coups de fil qu'il reçoit. Je fais souvent le pied de grue à attendre que monsieur soit enfin disponible pour moi. C'est quand même lui qui a voulu que nous passions la journée ensemble.
Quand monsieur vient enfin s'occuper de moi, c'est pour me faire entrer à sa suite dans une boutique de lingeries. Il me fait essayer plusieurs parures et m'oblige à sortie de la cabine uniquement vêtue de sous-vêtements, heureusement qu'il y a peu de monde à cette heure de la journée.
À midi, déjeuner dans un restaurant renommé avec champagne à l'apéritif. Nous sortons à quinze heures complètement repus et gavés de bonnes chaires. Je rentrerais bien faire une sieste, mais Pierre en a décidé autrement et m'entraîne dans le premier cinéma. On passe deux heures à regarder un dessin animé avec
un petit robot qui entasse des cubes de ferraille.
Il y a peu de monde dans la salle et, comme nous sommes au dernier rang, Pierre ouvre son pantalon et sort son sexe. Je ne me fais pas prier pour le prendre en bouche. Je le suce longuement avant qu'il ne jouisse au fond de ma
gorge.
Quand je suis assise, mon mari me fait écarter les cuisses et commence à me caresser le ventre. Ses doigts jouent avec mon clitoris fièrement dressé, mais il s'arrange pour me laisser au bord de la jouissance. Ma chatte dégouline littéralement et je suis sûre que mon siège est imbibé de ma liqueur intime.
Mes seins me font mal d'être gonflés de désir, mais Pierre refuse de me laisser jouir.
C'est frustrée et excitée au possible que je le suis pour sortir de la salle obscure. Mon cœur bat la chamade quand je me rends compte que nous allons chez Mamadou. Je dois être nerveuse, car Pierre me caresse doucement le genou.
- Calme-toi, nous sommes invités à une petite réception d'inauguration.
Mamadou a fait de petits travaux dans sa boîte.
- Je suppose qu'il y aura beaucoup de monde?
- Je n'en sais rien, j'ai juste reçu un carton d'invitation pour nous deux avec la valise. Je n'en sais pas plus que toi.
Pourquoi est-ce que je suis persuadée qu'il ment? Peut-être à cause du sourire qu'il affiche depuis qu'il est levé.
Quand je suis prête, il prend la valise et la met dans le coffre de la voiture. Il m'ouvre la portière du côté passager et m'aide à m'asseoir. Il démarre et prend la direction de la périphérie de la ville. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre où nous allons.
En moins d'un quartd'heure, nous sommes arrivés dans la grande cour de ferme qui sert de parking.
Un des malabars de l'entrée vient aider Pierre et lui prend la valise qu'il emporte à l'intérieur.
Les portiers nous ouvrent la porte en grand et nous sommes bientôt dans la grande salle de la boîte de nuit. Il y fait sombre avec juste quelques lumières tamisées un peu partout près des tables. Devant le bar, ce qui semble être une
piste de danse est, elle, bien éclairé.
Je ne suis pas très étonnée de voir les autres mousquetaires en bonne place au bar. Ils nous accueillent chaleureusement et nous nous retrouvons très vite avec un verre d'alcool en main.
Nous sommes là depuis une bonne demi-heure quand Mamadou vient nous saluer. Courtoisement, il me fait un baise-main digne des meilleurs films de cape et d'épée avant de prendre Pierre par le bras et l'entraîner dans le fond de la
salle. Cela sent le piège à plein nez. Je suis sûre que quelque chose se prépare et je ne peux m'empêcher d'être inquiète même si je sais que je ne me déroberai pas quoiqu'il arrive, j'aimerais être dans la confidence. Je suis tellement prise par
mes pensées que je ne réagis pas quand les mains de François me caressent les fesses.
Les deux hommes discutent longuement avant que Pierre ne revienne près de nous. La curiosité l'emporte et je me penche vers Pierre.
- Qu'est-ce qu'il voulait?
- Pas grand-chose, il voulait savoir si tu étais toujours d'accord pour venir un soir faire un petit spectacle. Je lui ai dit de ne pas s'inquiéter que tu viendrais quand il le voudrait.
- Tu aurais pu me demander mon avis quand même!
Il me donne un petit bisou sur les lèvres.
- Arrête, je n'ai fait que lui répondre ce que tu voulais.
Petit à petit, la salle se remplit avec toute une série de personnalités de la ville. Le député-maire et son épouse, le plus gros constructeur de la région accompagné d'une blonde qui ne doit pas être sa femme, car elle a au moins la moitié de son âge, divers commerçants et entrepreneurs tous accompagnés par
leur épouse ou par une charmante petite jeunette.
Des serveuses apparaissent et c'est le grand silence pendant au moins une bonne minute. Il faut dire que Mamadou a fait fort, elles sont seins nus, uniquement en string miniscule.
Leur tête est rasée de près, les cheveux sont à peine longs d'un demi-centimètre, leur chattes paraissent glabre aussi . Au bout de leur sein droit, un gros anneau noir.
Elles sont maquillées outrageusement comme les putains que l'on croise sur les trottoirs des quartiers chauds de la ville. Toutes portent un grand plateau rempli de verre de champagne. Chacune leur tour, elles viennent devant Mamadou et lui font une petite révérence avant de venir présenter leur plateau aux invités.
Très vite les conversations reprennent et un brouhaha feutré se répand dans la grande salle.
Je reste aux côtés de mon mari qui me présente des gens qui me sont totalement inconnus. Ils ont des titres ronflants puisque j'entends les mots de député, conseiller communal, sous-préfet, chef de clinique, etc., etc. Puis, il se dirige vers une des rares personnalités présentes que je connaisse, de nom et de
visage pour l'avoir souvent vu sur des affiches électorales ; monsieur le maire de la ville et sa charmante épouse.
Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que la femme du maire ne sera jamais mon amie, c'est à peine si nous nous adressons la conversation pendant que les deux hommes discutent de sport et de politique et pourtant tout commence là.
Je n'ai rien compris et je suis abasourdie de constater que la femme du maire vient de recevoir un verre de champagne sur sa robe. Elle se tourne vers moi, les yeux rouges de colère.
- Espèce de petite gourde, tu ne peux pas faire attention!
- Mais!
Rien d'autre ne sort de ma bouche qui reste grande ouverte. Ma tête se tourne dans tous les sens en cherchant de l'aide. Il y a bien quelqu'un qui a dû voir la scène et va venir éclaircir cette situation.
- Qu'y a-t-il ma chérie, demande le maire à son épouse?
- Il se passe que cette maladroite a bousculé une serveuse et que le résultat c'est que ma robe est fichue. Il va falloir que je rentre à la maison pour me changer.
- Je vous assure que je n'y suis pour rien.
Je cherche de l'aide, mais je ne rencontre que des regards réprobateurs.
Pourtant je suis certaine de n'avoir pas touché une des serveuses. C'est vrai que je regardais autour de moi tout en écoutant vaguement la conversation des hommes, mais je n'ai même pas vu venir la serveuse qui a disparu comme par
enchantement. Même Pierre me regarde comme une coupable.
- Pierre, je t'assure que je n'ai pas fait ce dont elle m'accuse.
- Je veux bien te croire, mais, madame, ne s'est quand même pas renverser un verre de champagne sur elle juste pour le plaisir changer de robe ou de t'accuser.
- Je ne sais pas, je ne comprends rien.
Les gens qui se sont attroupés autour de nous s'écartent pour laisser passer Mamadou.
- Qu'est-ce qui se passe ici?
Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche que la femme du maire commence à donner sa version des faits au maître des lieux.
- Figurez-vous que cette petite gourde a bousculé une serveuse et que je me suis retrouvée arrosée au champagne. Ma robe est fichue. Le champagne c'est bon dans la bouche, mais pas sur les vêtements.
- Je veux bien vous croire chère madame.
Énervée par la tournure des évènements, je m'avance pour intervenir.
- Monsieur Mamadou, je vous assure que...
- Je vous en prie Charlotte, d'après monsieur Jean, vous êtes une habituée des maladresses et vous ne voulez jamais le reconnaître.
- Mais je...
En une petite seconde, je viens de réaliser que je me suis fait piéger. Un regard aux deux hommes et je suis sûre que tout a été minutieusement organisé par mon mari et Mamadou.
Je ne sais pas où cela va m'entraîner, mais je n'ai d'autre choix que de m'incliner devant la duplicité des deux instigateurs de cette mascarade.
- De toute façon, vous ne croirez jamais à mon innocence dans cette affaire. Que voulez-vous que je fasse?
La mine réjouie de Mamadou et de Pierre me conforte dans mon opinion qu'ils sont responsables de la situation. Mamadou se tourne vers la femme du maire.
- Croyez-vous que si madame vous donnait sa robe cela arrangerait votre humeur à son égard?
Elle fait mine de réfléchir puis semble se décider à contrecœur.
- Ce sac ne me paraît pas digne de moi, mais je crois que je vais faire contre mauvaise fortune bon cœur et accepter votre proposition Mamadou.
- Bien! Suivez-moi toutes les deux.
Il nous entraîne vers une petite pièce sur la gauche de la salle. Il y a un grand lit et deux chaises pour tout meuble.
- Voilà! Charlotte veuillez retirer votre robe, je vous prie.
Je crois que c'est le moment de jouer la grande scène de l'acte deux de cette parodie.
- Et je vais mettre quoi pendant que cette pétasse met ma robe?
Je n'ai pas fini ma phrase qu'une gifle magistrale me fait violemment tourner la tête.
- La petite gourde, tu vas la fermer et me donner cette foutue robe.
La femme du maire semble vraiment être une femme à poigne, ça ne m'étonnerait qu'à moitié que ce soit elle qui porte la culotte au domicile du maire.
- Et moi je reste à moitié nue pour vous faire plaisir peut-être?
La femme se tourne lentement vers moi et vient me regarder fixement dans les yeux.
- Pas à moitié, complètement à poil.
- Mais...
Une deuxième gifle me fait taire
-Tu me donnes ta robe, tu vires ton soutif, ton string, tes obus et la moule à l air, tu m'as l'air d une prétencieuse, cela te feras une leçon. puis elle me hurle dessus
- A POIL!!!
Je n'ai pas vraiment le choix, il faut que je retire la robe pour la donner à la femme du maire. Dès que la femme a passé la
robe, je me rends compte que j'ai vu juste et que cette robe est faite pour elle.
Elle n'en a pas encore fini avec moi.
Elle s'approche de moi et passe la main dans mon soutien-gorge qu'elle arrache d'une brusque traction. Mon string ne fait pas long feu sous les coups de griffe de
la virago et je me retrouve complètement nue devant Mamadou et la femme du maire. Je sais qu'ils ne vont pas en rester là et je m'attends au pire.
-Y'a que les putains qui se rase la moule comme toi, aussi lisse qu'un enfant, t'aime qu'on mate tous les détails de ta fente, n'est-ce pas grosse pute?
Quelqu'un frappe à la porte et le maître des lieux va ouvrir la porte à une des serveuses qui lui apporte un grand sac de sport qui paraît assez lourd. La serveuse est à peine sortie que Mamadou pose le sac sur une petite table et l'ouvre.
Il en sort un collier et une laisse en chaîne avec une dragonne en cuir. Tandis que Mamadou vient me mettre le collier et la laisse, c'est au tour de la femme du maire de fouiller le sac. Elle vient me montrer sa trouvaille, une chaîne en Y avec, aux extrémités supérieures deux petites pinces tandis que la troisième est terminée par une paire de menottes.
La longueur de la chaîne est telle que je dois maintenir mes bras en suspension à
hauteur de ma taille. Dès que je lève les poignets, je tire sur la chaîne qui à son tour tire sur les pinces qui emprisonnent mes tétons, si je les baisse j'arrive au même résultat. Ma marche de manœuvre est faible.
Comme si mon accoutrement n'est pas encore suffisant, la femme du maire vient décrocher la laisse du collier et accroche le mousqueton de la laisse à un maillon
de la petite chaîne qui sépare les anneaux des menottes. Si elle tire sur la laisse, j'ai intérêt à suivre son mouvement si je ne veux pas que les pinces allongent mes pauvres mamelons qui suivront l'avancement de mes bras.
Pour faire bonne mesure, Mamadou sort de son sac à malice une barre d'acier d'une trentaine de centimètres qui est terminée à chaque bout par un bracelet de cuir. Ils sont fixés à mes chevilles et je me retrouve avec une marche réduite.
Quand je suis harnachée complètement, Mamadou vient devant moi et commence à m'expliquer que suite à ma conduite déplorable et scandaleuse, je vais être punie et que cette punition consistera à rester auprès de la femme du maire et de satisfaire ses moindres envies dans un premier temps, mais, que par la suite il se réserve le droit de me punir d'une autre manière.
Mon sexe est en feu et je sens ma liqueur intime s'écouler lentement de mes lèvres vaginales. Je suis excitée comme une femelle en chaleur par ce qui m'arrive. Je voudrais bien pouvoir revenir en arrière, au temps d'avant mon voyage de noces, le temps où j'étais une femme normale, tout au moins avec
des envies et des besoins normaux. D'un autre point de vue, qu'est-ce que la normalité? Ce n'est jamais qu'un comportement identique à une majorité
d'individus et je reconnais volontiers que ce n'est plus mon cas depuis quelques mois.
La femme du maire me regarde avec un plaisir certain, elle semble très satisfaite de me voir harnachée comme une esclave qu'on même au marché.
Les pinces commencent à me faire moins mal ou c'est moi qui m'habitue à la douleur.
Mamadou referme le sac et le jette dans un coin de la pièce puis, il se dirige vers la porte. Mon cœur s'emballe quand je vois la femme du maire prendre la poignée de la laisse en main. La traction sur mes mamelons est très douloureuse, mais, dans l'immédiat, j'ai un autre problème ; la marche. Je suis
obligée de faire de tout petits pas à cause de la barre qui m'écarte les chevilles.
Au moment de passer la porte, je sens une vague de honte m'envahir, le rouge me monte aux joues quand le silence s'installe au fur et à mesure que nous avançons dans la salle. Même les serveuses en restent abasourdies, elles sont en string, et moi à poil.
J'ai honte d'être exhibée de cette manière et en même temps, je ressens un plaisir incroyable
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette bonne nouvelle, j'ai hâte !!!! A très vite !
LNA
LNA
Suite et dernier chapitre de cette série le 2 juillet, mais d'autre sont déjà en attente
Bonjour Charlotte!
Alors là, chapeau ! Vivement la suite !!!
LNA
Alors là, chapeau ! Vivement la suite !!!
LNA