les cinq doigts de la main 11/10

- Par l'auteur HDS Charlotte-la-salope -
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Récit libertin : les cinq doigts de la main 11/10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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les cinq doigts de la main 11/10
Chap. 11 – La femme du maire
La femme du maire prend un plaisir certain de me précéder dans la grande salle de réception. Elle s’amuse à tirer sur la laisse à chaque fois qu’elle veut me faire
avancer plus vite. Je serre les dents pour ne pas hurler à chaque traction de la laisse qui allonge mes pauvres tétons. Les larmes coulent de mes yeux, je commence à ne plus voir les gens autour de moi que flous.
Une serveuse présente un plateau rempli de verre de champagne et la femme du maire en profite pour en prendre directement deux qu’elle place dans mes mains.
- Tu as intérêt à ne pas les renverser si tu ne veux pas être victime de ma colère, me dit-elle en souriant.
Franchement, vu mon harnachement, je ne vois pas comment je vais pouvoir tenir les verres pleins, il lui suffira de donner un petit coup sur la laisse et je vais immanquablement faire tomber le champagne sur le sol. Ce qui ne manque pas d’arriver dans la minute qui suit.
La femme du maire appelle une serveuse.
- Apporte-moi une cravache, lui dit-elle sèchement.
- Bien madame !
Je sais que c’est pour moi et j’ai peur.
Nous sommes entourées d’une grande partie des invités qui viennent se rendre compte de mon harnachement. Certains s’amusent à bouger la chaîne de la laisse juste pour voir mes contorsions pour éviter l’étirement de mes mamelons.
Quand la jeune serveuse revient avec une longue cravache de dressage, la femme du maire demande à ses amis de reculer et je me retrouve seule au centre d’un cercle d’hommes et de femmes. La jeune femme lève son bras et
abat la cravache sur mes fesses. Naturellement je me cabre sous la douleur en poussant un cri de souffrance. Les fesses ne me font pas vraiment mal, mais ce sont mes seins qui m’occasionnent la plus grande douleur parce
qu’instinctivement j’ai tendu les chaînes qui relient mes poignets à mes mamelons et les pinces ont étiré les petits boutons de chair.
Les invités de Mamadou se sont rassemblés autour de nous et ils forment un cercle dont je suis le centre. Il y a des flashs d’appareil photo et, du regard, je cherche désespérément mon mari.
Il faut qu’il arrête les photos, je ne veux pas me retrouver dans cet accoutrement sur Internet ou même dans les ordinateurs de vieux malades du sexe.
Malheureusement cela ne semble pas gêner mon cher et tendre qui se recule même pour permettre à un des photographes amateurs d’avoir un meilleur angle de prise de vue.
De toute façon, je n’ai plus vraiment la possibilité de faire la fine bouche, la femme du maire continue de me frapper les fesses avec sa cravache et je dois faire attention de ne pas m’arracher les tétons. Heureusement pour moi, les coups de cravache ne sont pas violents et sont supportables, c’est surtout mon
ego qui en prend un bon coup d’être exhibée de cette manière devant mes amants et amis.
Mamadou s’approche de la femme du maire et tente de la calmer.
- Arrêtez, elle doit encore servir pour un petit spectacle dans une bonne heure. Ne l’abîmez pas.
- Vous remarquerez que je n’ai pas frappé trop fort. Mais vous avez raison, il faut qu’elle garde des forces.
Elle se penche vers moi et retire les petites pinces de mes tétons. À peine les mâchoires sont-elles ouvertes que je pousse un long feulement de douleur. Les pinces font mal trois fois, quand on les met, pendant qu’on les a surtout si on y
touche, mais ce n’est rien à côté de la douleur que l’on ressent quand on les enlève et quand le sang essaye de frayer un passage dans les petites veines qui
ont été compressées un long moment.
Je pousse à nouveau un cri de souffrance quand la jeune femme s’amuse à masser mes mamelons entre ses doigts. Longuement elle les fait tourner entre ses doigts et je dois serrer les dents pour ne pas crier.
Mamadou claque des doigts et immédiatement deux serveuses se présentent à lui. Il ne parle pas et se contente de me désigner. L’une d’elles me prend par le bras et m’entraîne vers la petite salle où j’ai été accoutrée de cette manière.
Très vite, je suis débarrassée de mon harnachement et couchée sur une table de massage.
Une des serveuses prend un petit bidon d’huile parfumée et commence à en verser sur mon corps tandis que l’autre pose ses mains sur mon dos et me masse longuement. Tout mon corps y passe, la jeune femme insiste lourdement
sur mes seins et mon ventre.
On me laisse me reposer un long moment avant de m’habiller comme une bourgeoise avec des dessous chics, un chemisier et un tailleur. Je passe une bonne demi-heure à me faire maquiller et coiffer d’une perruque blonde.
Dès que je suis prête, la jeune femme qui me maquille pousse sur un bouton et moins d’une minute plus tard deux hommes entrent. Je les reconnais immédiatement, ce sont les deux noirs qui ont officié lors de mon premier passage chez Mamadou. Ils ne sont pas plus vêtus que la première fois, juste un pagne qui couvre leur sexe.
Ils m’accompagnent vers une petite pièce qui doit donner sur la grande salle, car j’entends un brouhaha de voix de l’autre côté de la porte. Nous attendons un long moment devant la porte. Ce n’est que lorsqu’une petite lampe, placée audessus du chambranle, s’allume que les des sbires de Mamadou m’attrapent par les bras et me poussent sans ménagement dans la salle.
C’est à peine si mes pieds touchent le sol tandis que les deux noirs me portent littéralement devant Mamadou. Je décide de jouer le jeu et de me débattre en hurlant.
- Lâchez-moi ! Vous n’avez pas le droit de me traiter de cette façon.
Le silence se fait peu à peu et je suis jetée aux pieds du maître de maison.
- Nous avons trouvé cette femme dans les couloirs, elle tentait d’ouvrir la porte de votre bureau. Elle ne veut pas parler.
Mamadou se penche vers moi et m’aide à me relever.
- Vous vouliez entrer dans mon bureau ? Me demande-t-il d’une voix suave.
J’hésite un peu parce que nous n’avons rien décidé avant. Je sens les yeux des invités se fixer sur moi. J’ai commencé, je continue, à Dieu va !
- Je ne vous dirai rien !
- Comme vous voudrez me rétorque le grand noir, nous allons donc user de moyens spéciaux pour vous faire parler mademoiselle.
Il se tourne vers ses acolytes et me pousse vers eux.
- Emmenez-la sur l’estrade, nous allons réjouir nos invités par un petit spectacle imprévu, mais le bienvenu.
Les deux noirs me traînent vers la petite estrade que je connais bien. Les pilasses ont été retirées. Un des hommes pousse sur un petit bouton et une chaîne munie d’un crochet descend du plafond. On me passe des bracelets,
réunis par une chaîne d’acier, aux poignets. La chaîne est passée dans le crochet et l’homme pousse à nouveau sur le bouton pour la faire remonter.
L’autre noir se penche vers un grand sac de sport et en sort une barre munie de bracelet de cuir. Les bracelets sont fixés à mes chevilles pour m’écarter les jambes de plus d’un mètre.
La chaîne supérieure est de nouveau actionnée pour que je sois bien tendue avec les pieds qui touchent à peine le sol.
Je suis toujours habillée de pied en cape et je me demande comment ils vont faire pour m’enlever la veste du tailleur. Je ne me pose pas la question longtemps.
- Alors, on fait moins la fière. Tu as une dernière chance de parler.
Me prenant au jeu, je réponds par un crachat en pleine figure. Une violente gifle me fait regretter mon geste futile et idiot. De colère l’homme attrape les pans de la veste de tailleur et d’un geste brusque ouvre la veste en arrachant les petits boutons qui la fermaient tandis que l’autre fait encore remonter la chaîne et je me retrouve que la pointe des pieds, les bras tendus vers le haut.
- Vous permettez cher ami, je voudrais m’occuper moi-même de
mademoiselle ?
Mon cœur rate un battement, car c’est la femme du maire qui vient de parler.
Cette femme me fait peur, je sens que je ne vais pas trop aimer la suite du programme. Pendant que la femme du maire avance vers moi, le noir continue de déchirer ma veste. Il est déchaîné et il ne reste bientôt que des lambeaux de
tissus qu’il arrache et jette furieusement à terre. L’homme me jette un regard noir, il est vraiment en colère contre moi et je peux le comprendre.
Avec la barre entre mes chevilles, ma jupe est remontée et certains peuvent voir la petite culotte qui couvre à peine mon ventre. Avec ma veste en lambeau, je me retrouve en soutien-gorge devant ma tortionnaire.
Elle avance une main pour attraper mon soutien et tire de toutes ses forces pour l’arracher. Ce doit être de la camelote, car l’agrafe du soutien se défait très vite et la jeune femme se retrouve avec les deux bonnets en main tandis que mes nichons s’offrent à la vue des invités de la fête. Les appareils photo n’arrêtent pas de déclencher leur flash. Je me sens envahie par un sentiment de honte, car je sais que je vais me retrouver sur des sites pornos, par contre mon côté exhibitionniste provoque en moi une excitation extraordinaire à la pensée que quelqu’un va se servir de mon corps pour son plaisir sans compter le plaisir des spectateurs.
Je tente de voir mon mari, mais la masse de gens devant l’estrade m’en empêche. De toute façon, il ne peut rien pour moi, je suis une femme dépravée et il va en avoir la preuve de visu.
Françoise jette mon soutien aux spectateurs et fait signe aux deux noirs de continuer à m’ôter les vêtements.
Un bruit de déchirure et la jupe vole dans les airs. Je suis en petite culotte et les flashs redoublent. Un des hommes s’avance pour arracher le dernier rempart de
ma petite vertu, mais Françoise l’arrête, elle veut le faire elle-même.
Ça ne traîne pas, elle ne s’embarrasse pas de fioriture et empoigne le slip d’une
main ferme et l’arrache d’un coup sec. Cette fois, je suis à poil comme un ver face à une furie et une foule en délire. Ils m’ont déjà vue nue une heure avant, mais c’est comme s’ils me découvraient. Les coups de sifflet et les cris envahissent la
salle, qu’est-ce que ce sera quand le fouet me marquera la peau?
La femme du maire m’attrape le bout d’une mamelle et tord méchamment avec un sourire sadique aux lèvres.
- Je vais t’en faire baver, crois moi.
Je pourrais me taire, mais c’est plus fort que moi.
- Va te faire voir !
- Et rebelle avec ça ! N’oublie pas que je suis du bon côté du manche. Me dit-elle en se dirigeant vers le grand sac noir.
Elle en sort un petit fouet à chien, j’ai un frisson de crainte, mal manié il peut faire très mal. Heureusement pour moi, monsieur Jean est dans la salle et intervient avant que la femme du maire ne donne son premier coup.
- Holà ! Madame, il ne faut pas jouer avec ce genre de chose. Vous allez la blesser, prenez plutôt le martinet. Elle va le sentir passer croyez moi.
- Comme vous voudrez, moi ce qui m’intéresse c’est de l’entendre gueuler et supplier.
J’ai l’air de prendre les choses avec désinvolture, mais ce n’est qu’une apparence, en réalité je suis effrayée et mon cœur bat à cent à l’heure dans ma poitrine. Je sais que je vais crier, pleurer, hurler et même supplier qu’on arrête de me faire mal et d’un autre côté je serai excitée et je n’aurai qu’une envie ;
que les deux noirs me prennent ensemble, un devant et l’autre derrière pendant qu’on me fouette les nibards même si c’est impossible.
Le souffle de la femme du maire me paraît plus assourdissant que les cris des invités de Mamadou. Je sens qu’elle lève le bras et qu’elle va l’abattre vers mes fesses. Je voudrais déjà hurler qu’elle arrête et en même temps j’ai envie de lui
crier de frapper plus fort. Je serre les fesses quand j’entends le sifflement des lanières dans l’air. Je me cabre, tendue comme un arc vers l’avant pour retarder
le moment de la collision des lianes de cuir sur mon épiderme.
La brûlure est atroce et paradoxalement comme une caresse. Il faut une bonne seconde pour que mon cerveau enregistre que des lanières de cuir viennent de frapper ma peau avec violence et que cela fait mal.
- Haaaa !
Juste un petit cri, un souffle rauque. Cela fait moins mal que je ne l’imaginais, mais ce n’est qu’une illusion, le temps reprendre mon souffle et la deuxième vague de chaleur embrase mes fesses et mes cuisses. Mon ventre se projet vers
l’avant comme s’il allait à la rencontre d’un sexe imaginaire, je sens ma liqueur intime s’écouler à l’intérieur de mes cuisses. Je voudrais être sèche comme le désert, mais c’est plus fort que moi, j’ai mal et je suis excitée comme une chienne en chaleur. Pourtant j’ai honte d’être exposée et fouettée en public, mais
je ne donnerais ma place à personne.
Les coups pleuvent sur mes reins et mes fesses. Mon postérieur est en feu comme mes cuisses. Il y a le feu des lanières qui me brûle à l’extérieur et le feu de mon corps qui se consume de l’intérieur. J’ai envie de crier que quelqu’un vienne s’occuper de mon ventre en fusion, de mes seins qui gonflent de désir,
bref j’ai besoin de me conduire comme la dernière des putains, mais personne ne semble s’en préoccuper.
La femme du maire frappe fort et je sens les lanières s’écraser sur ma peau puis glisser en laissant une marque brûlante. Lentement mais sûrement la jeune
femme tourne autour de mon corps et irrésistiblement les lanières de cuir se rapprochent de mes seins et de mon ventre.
Je crie, je hurle ma souffrance, mais rien n’arrête le bras qui me fouette. Je sens que je vais bientôt supplier comme la dernière des lâches d’un autre côté
j’espère que cela n’aura aucun effet sur ma tortionnaire.
Quand les premiers coups tombent sur le côté de ma poitrine, je ne peux m’empêcher de crier qu’on arrête de me maltraiter.
- Nooonnn ! Je vous en supp…… lies arrêt…ez, je ne vais plus pouvoir supporter. Haaarghh !
La foule qui se presse devant l’estrade exulte. Certains encouragent la fouetteuse tandis que d’autres me traitent de tous les noms.
- Vas-y Françoise, fais la gueuler cette pute.
- Putain ! Salope !
- Regarde ça luit entre ses cuisses, je suis sûre qu’elle mouille comme fontaine cette pouffiasse.
Je suis horrifiée d’entendre ces commentaires, mais je ne peux pas blâmer ceux et celles qui les font. Il y a une grande part de vérité dans leur dire.
- Haaaghr ! Noooonnn !
Cette fois, les lanières sont arrivées sur mon sein droit et mon mamelon vient d’être touché pour la première fois. Ça fait un mal de chien et j’aimerais avoir une pose, mais la femme continue inexorablement et méthodiquement ses
frappes sur mon corps offert. Plus personne ne semble se préoccuper du prétexte utilisé pour débuter le spectacle, si on me demandait de parler maintenant je raconterais ma vie pour faire cesser la brûlure des lanières du martinet.
Pourtant, malgré la douleur, je suis au bord de la jouissance, il suffirait de toucher mon petit bouton et j’exploserais de plaisir. Au train où vont les choses quand on touchera mon clitoris, ce sera avec les lames de cuir.
De fait, la femme tourne de plus en plus vite, on dirait qu’elle a hâte d’être face à moi avec son engin de torture.
- Houuuu ! Haaaaargh ! Je… vous en… prie….. Haaghr ! arrêtez ! Ça fait…Trop… mal.
Rien ne semble calmer ni affaiblir la femme du maire qui frappe avec méthode.
Elle a commencé par les fesses, est descendue sur mes cuisses avant de remonter vers les reins et le dos sans jamais que les lanières soient tombées au même endroit. Son bras ne faiblit pas et les coups ont tous plus ou moins la même force. Elle vient de finir le dos et elle s’apprête à faire la même chose de
face.
Je me tendais comme un arc vers l’avant, maintenant je tends les fesses le plus possible pour tenter, en vain bien sûr, les morsures du martinet.
Elle vise mes cuisses pour commencer, Françoise veut finir par mes seins.
- Haa ! Hooo ! Mais….
Pendant que j’essaye d’éviter les lanières qui viennent mordre ma peau ; il y a quelqu’un, derrière moi, qui tente de forcer le passage vers mon fondement.
C’est trop dur que pour être un doigt, j’en oublie presque la douleur des coups qui continuent de pleuvoir sur mon corps. Des mains viennent écarter mes fesses
et je sens une tige, comme un manche de fouet, s’enfoncer lentement en moi.
- Haa ! Houuu ! Haaagh ! Oui, non. Arrêtez, non pas vous continuez.
Je ne sais plus où j’en suis, je perds vraiment la tête, la folie de l’excitation prend possession de moi.
La femme du maire continue sans se laisser distraire de cuire la face avant de mon corps comme elle a cuit la face arrière, méthodiquement les lanières alterne lentement, un coup sur ma poitrine, un coup de martinet sur la chatte,
Derrière, on enfonce l’engin en moi et on le retire lentement, je sens que je vais finir par jouir même si je voudrais avoir quelque chose de plus gros en moi. Comme si elle l’avait compris, Françoise arrête de me frapper et fait un signe à un des noirs qui monte sur l’estrade et arrache sans douceur le manche du fouet.
Il écarte mes globes fessiers et pousse son énorme membre sur mes sphincters qui s’écartent sous la poussée de l’homme. Je sens son engin entrer en moi pendant que les grosses mains du noir s’emparent de mes pis de vache qu’il malaxe sans la moindre douceur.
Par la force des choses, je me suis redressée et j’offre une plus grande surface comme cible aux lanières du martinet que la jeune femme recommence à lancer vers moi.
Je pousse parfois des cris inhumains tandis que la queue du noir se fraye un chemin dans mon cul et que Françoise continue de cuire la peau du ventre et des seins. Pourtant je ne peux m’empêcher de me faire aller en cadence avec l’homme qui m’encule.
Mon corps me brûle de partout, il n’y a plus un centimètre carré entre mon cou
et mes genoux qui ne soit en feu. Sans parler du feu intérieur qui me consume.
La femme du maire à enfin cesser les coups de martinet, et les spectateurs s’approche de l’estrade et certains n’hésitent pas à monter dessus et viennent me pincer le bout des seins. Les plus hardis osent mettre leurs doigts entre les lèvres de ma chatte, mais aucun ne prend mon clitoris entre ses doigts pour me
donner enfin le plaisir que j’attends avec impatience.
L’autre noir écarte les hommes et les femmes qui commencent à se presser autour de moi. Il soulève son pagne et présente sa queue à l’entrée de ma fente. C’est moi qui m’empale sur la grosse tige de chair.
Prise en sandwich entre les deux hommes de main de Mamadou, je me trémousse comme une furie, il faut que j’extériorise la tension sexuelle qui ne demande qu’à exploser. Je pousse des râles de plaisir tandis que les membres se
font aller en moi.
C’est un brouhaha de mots et de cris qui me parvient aux oreilles, mais rien d’intelligible, j’ai dépassé le stade de la raison et c’est mon cul qui domine, je veux jouir, le reste n’a plus d’importance.
Trois fois, ils me font jouir avant qu’ils se retirent me laissant pantelante, au bord de l’évanouissement. Mes épaules et mes bras deviennent douloureux d’être restés en extension sous le poids de mon corps.
C’est Pierre en personne qui vient faire descendre la chaîne et me libérer. Sans ses bras vigoureux, je me serais écroulée sur l’estrade.
- Ma chérie, me dit-il en me serrant dans ses bras, je suis fier de toi.
Une des serveuses s’approcha de nous en tenant un plateau. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine quand je vis ce qui était posé dessus ; un collier de chienne et une laisse en maillon d’acier. Avant qu’il ne parle, je compris qu’il allait enfin
s’occuper de moi.
- Mon cœur, je voudrais que tu acceptes de porter ce collier et cette chaîne.J’ai des projets pour toi, mais je veux que tu sois consentante. Je veux que ce soit librement que tu te soumettes à mes envies et mes exigences, que tu me laisses te guider vers des plaisirs encore inconnus.
Autour de nous, les invités se pressaient et un lourd silence se fit, chacun attendait la réponse que j’allais faire.
Je souris à mon mari et, prenant le collier, je le passai autour de mon cou.
- J’accepte et je promets d’obéir à toutes tes demandes ou ordres sans me plaindre et discuter.
Il posa un baiser léger sur mes lèvres.
- Je dois te prévenir que je serai exigeant et intransigeant, mais je suis sûr que tu vas prendre beaucoup de plaisir.
La jeune serveuse accrocha la laisse au collier et tendit la poignée à mon mari.
Instinctivement, je plaçai les mains dans le dos, sur le bas des reins et je suivis Pierre quand il m’entraîna vers notre hôte.
Mamadou, en digne hôte, passait d’un invité à l’autre, suivi comme son ombre par la femme du maire.
Il accueillit Pierre avec un grand sourire.
- Je vous l’avais bien dit que Charlotte accepterait sans discuter. Si vous êtes d’accord, je suis prêt à en faire une sorte de Messaline en plus "PUTE" en deux mois.
Mon cœur rata un battement et je retins mon souffle en attendant la réponse de mon nouveau maître. Il tira sur la laisse pour me faire avancer et me placer au milieu du groupe qui comprenait Mamadou, François (ce qui ne m’étonnait qu’à
moitié) Françoise, la femme du maire qui fixait Pierre avec intérêt et Mamadou qui souriait de toutes ses dents en me regardant.
- Je crois que je vais me laisser tenter par votre offre, mais pas aujourd’hui, mais dans deux mois je vous l’amènerai faire un stage dans votre établissement. je pense qu il est bon pour elle de connaître le sentiment humiliant de devoir se mettre à poil et ouvrir les cuisses, pour se faire "sautée" une trentaine de fois par jour, contre de l'argent.
En attendant, je vais profiter des nouvelles dispositions de
mon épouse avec mes amis et prendre un bon mois de vacances que j’ai bien mérité.
Il se tourna vers Françoise.
- Vous aussi, je retiens votre proposition et je vous la confierai pour parfaire son éducation. Je veux qu’elle soit une pute parfaite, obéissante, qui n'hésitera jamais à faire une passe, même si le client se trouve être son père ou son frère, qu'elle sois bien consciente que tous le monde puissent utilisé sa moule, et formatée pour toutes les tâches de sa future existence.
Mamadou se pencha vers moi et me saisit un mamelon entre ses gros doigts.
- Mes amis et moi sommes impatients de vous compter parmi nos femelles.
Nous allons bientôt nous revoir ma chère Charlotte. Et quand vous en aurez fini avec moi, notre amie Françoise se fera un plaisir de terminer votre formation.
Ce que je venais d’entendre me faisait terriblement peur, mais je savais que quoiqu’exige de moi mon cher et tendre maître je lui obéirais.
Passer deux mois dans le cheptel de Mamadou ne m’enchantait guère, mais je n’avais plus le choix, j’avais abandonné mes droits dix minutes plus tôt en acceptant le collier de Pierre.
un bon demi millier de sexe m'ont pénètrée pendant se stage, où de 11h à 2h du matin, je faisait la pute.....


FIN

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J’ai eu des prostituees comme patientes donc oui je connais le milieu mais surtout le fait que les gamines n’ont pas choisi de finir sur le trottoir ou dans les baraquements là où elles sont niquees à la chaîne comme du bétail.

Votre histoire est hors charte vu que faire l’apanage de la prostitution est interdit !!!! 🤷‍♀️

Je tiens à dire aux lectrices que je ne vous force pas à lire les histoire dont vous voyez que je suis l'auteure.

Histoire Libertine
Je suis aussi une lectrice mécontente, comment Charlotte peut elle écrire de telles horreurs ? peut être pour des mâles frustrés en manque de femmes n'est ce pas LNA

Histoire Erotique
Pour la lectrice mécontente:
Vous avez l'air d'avoir une certaine expérience sur la chose pour vous permettre d'écrire ce genre de commentaire...🤔
LNA

Je vois que vous avez beaucoup de succès. Félicitations

Histoire Libertine
1 énorme pas ah bon faire la pute , allez dans les baraquements et vous verrez si elles adorent ça. 🤦‍♀️😡
Il n’y a qu’une bourgeoise coincée du cul pour avoir ce genre de fantasme. 😂🤣

Histoire Erotique
Bonjour Charlotte,
Quand on pense d'où est partie ton héroïne au premier chapitre, et ce à quoi elle est arrivée à la fin, un énorme pas a été franchi...bravo pour cette histoire!
LNA

Histoire Libertine
Beueueurrrkkk..........



Texte coquin : les cinq doigts de la main 11/10
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