les cinq doigts de la main 5

- Par l'auteur HDS Charlotte-la-salope -
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Récit libertin : les cinq doigts de la main 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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les cinq doigts de la main 5
Je n'ai pas bien dormi, toujours tracassée par ce qui m'attend au salon de Claire.
Je me suis renseigné auprès de plusieurs personnes et l'établissement jouit d'une
bonne réputation, le personnel est compétent et serviable. Il y a juste une de
mes copines qui me prévient que c'est très cher et, qu'on lui a dit qu'il y avait un
salon caché.
- Qu'est-ce que tu entends par salon caché ?
- Simplement que la maison rend d'autres services que le traitement
normal.
- Quel genre de services ?
- Je n'en sais rien, mais ce sont des bruits qui courent.
- Bah ! Tu sais avec les bruits qui courent, il faut se méfier. Merci de tes
renseignements, à plus.
J'en ai parlé avec Pierre, mais il m'a laissée seule devant la décision.
- C'est toi qui dois savoir ce que tu veux, m'a-t-il dit, tu veux aller dans une
direction, suis ton chemin et tu verras après.
- Ça ne te dérange pas plus que ça que ta femme aille passer trois heures
dans un institut de beauté aux frais d'un homme que tu ne connais pas.
- Et toi tu sais ce qu'on va te faire ?
- Non !
- Tu vas y aller ?
- Oui!
- Alors que veux-tu que je fasse ou te dise ? Tu as déjà pris ta décision.
Maintenant, laisse-moi regarder le film.
J'ai passé la soirée à me morfondre dans mon coin et j'ai laissé mon mari me
prendre comme une poupée gonflable avant de nous tourner pour dormir. Pierre
s'endort de suite, mais moi, je fixe le plafond en me demandant si je fais bien de
suivre ces vicieux de monsieur Jean et François dans leurs petits jeux. J'ai la
vague impression que je ne serai plus la même demain.
À dix heures, je suis chez Valérie qui est aussi inquiète que moi, mais elle est
toujours décidée à me suivre. Comme moi, elle ne sait pas ce qu'elle doit mettre
comme vêtements.
J'ai fini par me décider à mettre des sous-vêtements, un chemisier et un tailleur.
J'ai toujours pris une petite robe comme les aime monsieur Jean pour le cas où.
Valérie quant à elle, décide de ne pas porter de sous-vêtements et de ne mettre
qu'une petite jupe et un top qui ne cache pas son nombril.
Pour lui faire plaisir, je l'ai suivie dans une brasserie où elle a pris un déjeuner
copieux. Moi, je suis incapable d'avaler quoique ce soit.
Il est onze heures et cinquante-cinq minutes et nous sommes devant l'institut
d'esthétique « La maison de Claire ». J'ai les bras et les jambes qui tremblent,
nous restons une bonne minute devant la porte avant de nous décider à la
pousser pour entrer. Nous sommes accueillies par une douce musique et une
esthéticienne vient directement vers nous.
- Bonjour, mesdames, je suis Françoise. Puis-je vous aider ?
Je me racle la gorge avant de répondre d'une voix enrouée tellement ma gorge
est sèche.
- Heu ! Nous avons rendez-vous.
- Je suis désolée, mais je crois que vous avez dû vous tromper d'heure, car
nous fermons dans cinq minutes.
- Pourtant, ajoute Valérie, nous avons bien rendez-vous pour midi.
La jeune femme hésite et nous prie de nous asseoir et d'attendre quelques
secondes le temps qu'elle se renseigne.
Moins d'une minute plus tard, une autre jeune femme vient.
- C'est de la part de monsieur Jean ?
- Heu ! Oui!
- Alors, suivez-moi, madame Claire vous attend.
Je remarque qu'elle ne nous a pas saluées et que son sourire n'a rien de
commercial. Il ressemble plus au sourire qu'a monsieur Jean quand il me voit
nue sur le seuil de sa porte.
Le cœur battant nous suivons la jeune femme qui nous fait entrer dans une pièce
annexe du salon. La pièce est petite et semble juste servir de vestiaire, car il y a
trois petits tabourets et quelques crochets au mur. Je vois quatre portes
marquées d'un numéro d'un à quatre, en plus de celle que nous venons de
franchir.
On nous fait attendre un bon quart d'heure avant de voir entrer une femme
d'une quarantaine d'années, j'ai l'impression que nous avons l'honneur de voir
madame Claire. Elle ne sourit pas et ne nous salue pas elle non plus.
- Vous n'êtes pas encore déshabillée ? Allez à poil toutes les deux.
Elle ouvre la porte numéro un et me désigne.
- Pour toi c'est la porte un et pour toi, en montrant Valérie, c'est la deux.
Fébrilement je me déshabille et je suis encore en jupe et sous-vêtement que
Valérie est déjà entrée dans sa salle. Elle a à peine franchi le seuil de la porte
que celle-ci se referme. J'ai une furieuse envie de m'enfuir, mais il est trop tard.
Dès que je suis nue, je pousse la porte de la salle numéro un qui se referme
automatiquement quand je suis à l'intérieur. Je me retourne et constate qu'il n'y
a pas de poignée à la porte de ce côté. Il y a bien une autre porte, mais là aussi,
pas de poignée.
La pièce n'est pas très grande, à peine deux mètres sur trois. Contre le mur qui
me fait face, une petite table de bois. Un mètre cinquante de long, mais, ce qui
m'effraie c'est de voir qu'à son extrémité, il y a une sorte de collier attaché à la
table par une courte chaîne, à peine deux ou trois maillons. Un peu plus en avant
deux fines planches partent de part et d'autre de la planche centrale et à
l'extrémité de chaque planche, un bracelet. À vingt centimètres de la fin de la
feuille de la table, une large ceinture est ouverte. Au bord de la table, deux pieds
métalliques avec des étriers, comme chez le gynécologue.
Sur la droite une grande armoire métallique qui est fermée pour le moment. À
côté de l'armoire, une petite desserte vide.
Sur la gauche un siège de coiffeur lui aussi munit de bracelet pour les bras et les
chevilles et d'un collier pour immobilisé celui ou celle qui va s'asseoir.
Je sursaute quand j'entends la porte s'ouvrir et que je vois madame Claire et une
autre jeune femme entrer.
- Couche-toi sur la table, et ouvre les cuisses, me dit-elle d'une voix sèche.
En tremblant comme une feuille, je m'exécute et la jeune femme vient
immédiatement fermer le collier et les différents bracelets tandis que madame
Claire ferme la ceinture à ma taille. Puis, chacune me prend une jambe et l'élève
pour faire poser la cheville dans l'étrier qui est directement fixée par le bracelet
de cuir.
La jeune femme vient s'installer entre mes jambes et je sens ses doigts qui
« chipote » les poils de mon pubis. Entre-temps, madame Claire a ouvert
l'armoire et je l'entends qui sort des objets et les pose sur la desserte qu'elle
vient mettre à côté de la jeune femme qui s'occupe de mon chatte.
Je ne sais pas bouger et, quoi que je fasse, je n'arrive pas à voir ce qu'on me
fait. La jeune femme travaille une bonne demi-heure et la seule sensation que
j'ai, c'est ses doigts qui courent sur mon bas ventre. Elle doit utiliser un appareil,
car j'entends un petit bruissement comme le bruit d'un rasoir, mais plus faible et
j'ai une sensation de chaleur sur mon pubis.
Pendant que la jeune femme opère sur mon ventre, madame Claire, joue avec
mes seins. Elle y a placé des tubes comme ceux de monsieur Jean, mais
légèrement plus fin. Mes tétons y sont aspirés, mais sur une longueur moindre
que par monsieur Jean. Ils font tout au plus un centimètre et demi, juste un peu
plus long que la normale. Ce qui m'inquiète, c'est que madame Claire travaille
avec des gants de chirurgien.
Avant de mettre les tubes, elle a longuement désinfecté à l'éther le bout de mes
seins et elle a posé sur mon ventre deux petits sachets en plastique qui semblent
contenir des anneaux. C'est à peine si j'ai pu les apercevoir quand elle les a sortit
d'une poche.
La jeune femme qui travail entre mes jambes, pousse de temps en temps les
pieds aux étriers et mes jambes se replient vers l'arrière et ouvre mon entre
cuisses d'une manière de plus en plus obscène. Je sens la jeune femme travailler
sur mon anus. Je voudrais bouger, mais je suis incapable de faire le moindre
mouvement.
- Je voudrais savoir ce que vous me faites ?
Je dois être suppliante parce que madame Claire me regarde en souriant. Elle
pose un doigt sur mes lèvres et se penche vers mon oreille.
- Chut! Le silence est de mise dans cette pièce.
- Oui! Mais j'aimerais savoir ce que vous allez me faire, j'ai le droit de
savoir.
- Non, tu n'as pas le droit de savoir, tu es envoyée par monsieur Jean et
c'est lui qui décide. Si tu ne te tais pas, je te mets un bâillon, c'est
compris ?
- Oui! Madame.
On me laisse avec les tubes sur les seins une bonne heure avant que madame
Claire ne vienne les retirer.
Elle ouvre un des petits sachets et en sort un petit anneau qu'elle place sur mon
mamelon, celui-ci est légèrement plus gros que le diamètre intérieur de l'anneau
et elle doit forcer un peu pour le faire entrer. Elle prend une petite pince à épiler
et tire sur le petit bouton de chair pour faire passer l'anneau qui vient se
positionner sur l'auréole du sein. Je serre les dents pour ne pas crier même si la
douleur n'est pas insupportable, elle est quand même là.
Quand le téton est entièrement passé dans l'anneau, elle replace le tube et
aspire légèrement le téton, ce qui a pour conséquence de faire descendre
l'anneau qui se colle parfaitement sur l'auréole. Elle fait la même chose avec
l'autre téton.
Brusquement les deux femmes sortent et me laissent seule dans la pièce. Je ne
sais pas combien de temps je reste ainsi sans pouvoir bouger et je commence à
pleurer en me demandant dans quelle galère j'ai bien pu m'embarquer.
La porte s'ouvre et une autre femme entre, elle habillée comme un chirurgien,
elle a même un masque comme dans les salles d'opération qui pend à son cou.
Elle aussi porte de fins gants de chirurgie. Elle s'installe entre mes jambes et
commence à examiner mon sexe. Elle semble s'intéresser particulièrement à
mon clitoris. Elle le fait sortir plusieurs fois de son capuchon et l'étire dans tous
les sens. Elle tire sur la desserte et je l'entends qui manipule des objets
métalliques.
Elle secoue une bombe spray puis elle asperge mon clitoris. J'ai l'impression que
mon petit bouton est gelé. C'est à peine si je le sens, mais elle doit me faire une
piqûre. Immédiatement j'ai l'impression que mon clitoris à disparu, il est devenu
complètement insensible.
- Que faites-vous ? Je vous en prie dites le moi.
- Ne t'inquiète pas, je vais seulement te circoncire.
- Quoi ? Je ne veux pas que vous me coupiez le clitoris. Au secours, à l'aide !
Elle me donne une petite claque sur l'intérieur de la cuisse.
- Arrête de crier, j'ai dit « circoncire » et pas « excision ». Tu vas le garder
ton précieux clitoris.
- Qu'allez-vous faire alors ?
- Je vais simplement retirer la peau qui recouvre ton clitoris. Tu as déjà vu
un type circoncis, il n'a plus la peau sur le gland de son sexe, je vais faire
la même chose à ton clitoris.
- Mais pourquoi ?
- Parce que c'est ce qui est prévu. Maintenant, reste calme, je ne vais pas te
faire mal. Fais comme ton amie et accepte ton sort. Pour information, je
suis médecin et je sais ce que je fais. Tu peux avoir toutes les garanties
que cette opération se fasse dans les meilleures conditions d'hygiène.
De toute façon, je ne vois pas ce que je pourrais bien faire, je suis saucissonnée
sur une planche sans avoir la possibilité de bouger.
Pendant près de dix minutes, je sens la doctoresse travailler sur mon sexe. Puis,
elle se lève et vient me montrer un petit bout de chaire sanguinolente.
- Je te présente feu le capuchon de ton clitoris, me dit-elle en le faisant
danser au bout de ses doigts.
Je ne peux en supporter plus et je m'évanouis.
Combien de temps suis-je restée inconsciente ? Je n'en sais rien, mais, à mon
réveil, je vois la femme médecin penchée sur ma poitrine. Elle est occupée sur
mon mamelon gauche, mais je ne comprends pas ce qu'elle fait. Elle s'est rendu
compte que je suis consciente, elle interrompt son geste et se tourne vers moi.
- Surtout, ne bouge pas, ce que je fais est assez délicat et je ne voudrais
pas te blesser. Surtout, ne respire pas trop fort. Tu veux que je
t'endorme ?
- Heu ! Non merci, je crois que je préfère savoir ce que vous êtes en train de
me faire.
Elle repose l'objet qu'elle tenait à la main et me désigne mon sein droit.
- Regarde !
Au premier abord, je ne vois rien de particulier. Je me rends bien compte que
quelque chose se passe, car je ressens une petite douleur au bout des seins. Elle
passe un doigt ganté sur mon mamelon gauche et me montre l'anneau.
- On a fixé l'anneau de façon à ce qu'il ne se retire pas et maintienne ton
mamelon en érection. C'est assez délicat à placer parce qu'il faut faire se
croiser deux petites tiges dans la chair et c'est pourquoi, il ne faut pas que
tu respires trop fort quand je vais mettre la deuxième tige sur ton sein
droit.
- Mais comment on enlève ce truc-là ?
- On ne l'enlève pas ma chérie, il doit rester en place. Seule une personne
qui connaît ce genre de petite merveille pourrait te l'enlever, mais je ne
crois pas qu'il pourrait le faire sans te blesser.
- Mais c'est horrible ! Je vais devoir garder cet anneau toute ma vie.
- Probablement, mais je te rassure il est fait dans un matériau qui ne
s'oxyde pas et ne risque donc pas de provoquer de l'infection. Il faudra
juste que tu fasses très attention les trois prochaines semaines. Je vais te
prescrire une pommade et des pansements que tu devras changer trois
fois par jour pendant deux semaines. Après tu devras juste passer un
désinfectant, mais plus par précaution qu'autre chose.
C'est plus fort que moi et je sens une grosse larme couler sur mes joues. La
jeune femme prend un tampon et m'essuie les yeux.
- Là, ne pleure pas, c'est de toute façon trop tard. Tu es circoncise et
annelée, tu vas devoir t'y faire.
- On voit bien que ce n'est pas vous qui avez subi ces horreurs.
Elle sourit et dépose un baiser sur mes lèvres.
- Calme-toi, il faut que je termine l'opération.
Je m'efforce de rester calme pendant qu'elle reprend la pince qu'elle avait posée
sur la desserte dans un bac de désinfectant. Elle se penche sur mon sein droit et
je vois au bout de la pince une petite tige qu'elle enfonce délicatement dans un
minuscule trou de l'anneau qui enserre mon téton.
- J'ai déjà fait les trous avant, me dit-elle pendant qu'elle bouge sa main
délicatement pour faire entrer la tige.
Il lui faut près de deux minutes pour mettre la tige en place.
- Voilà, c'est en place. Tant que j'y pense, je vais aussi te prescrire ce qu'il
faut pour la circoncision. Il va falloir éviter les parties de jambes en l'air
pendant deux semaines. Tes amants devront utiliser l'autre entrée pour se
satisfaire.
Puis, devant mes yeux effarés, la jeune femme se recule et enlève la blouse et
vient me montrer ses seins qui sont annelés comme les miens.
- Tu vois moi aussi je suis passé par monsieur Jean.
Elle écarte se jambes et je vois qu'elle est aussi circoncise.
- Et oui ma jolie, tu n'es pas la seule.
- Vous avez fait la même chose à Valérie ?
- Valérie, c'est ton amie ?
- Oui! Dites-moi, je vous en prie…
- Oui, elle aussi est comme toi et moi.
Je m'en veux un peu d'être responsable de la situation de mon amie même si
c'est elle qui a voulu me suivre.
- Je vais défaire tes liens, me dit la femme médecin, mais interdiction de
toucher les parties opérées avant demain. C'est compris ?
- Oui docteur, je ferai attention.
Après avoir été détachée par le docteur, je peux m'asseoir et bouger enfin. La
doctoresse sort de la pièce et je reste seule quelques minutes avant que
madame Claire ne revienne accompagnée d'une autre jeune femme.
- Je vois que c'est terminer, c'est parfait on va pouvoir passer à la dernière
opération.
À ces mots, je prends peur et me tourne suppliante vers madame Claire.
- Qu'est-ce que vous allez encore me faire ?
- Rassure-toi, rien de bien méchant, on va simplement couper tes cheveux.
Assois-toi dans le fauteuil.
Je fais ce qu'on me dit en me demandant jusqu'où je vais aller. J'ai à peine six
mois de mariage et, au lieu d'être une bonne petite épouse bien sage qui attend
son mari qui doit rentrer du boulot fatigué, je me conduis comme une putain et
même pire encore comme une salope. J'ai beau me dire que c'est Pierre qui m'a
poussé dans les bras de ses amis, je ne crois pas qu'il croyait que j'allais y
prendre du plaisir et dépasser ses désirs.
Dès que je suis assise dans le fauteuil, madame Claire vient m'y attacher les
poignets et les chevilles. Je ne vois pas très bien pourquoi. La coiffeuse place une
large corolle qui doit empêcher les cheveux de toucher mon corps.
J'ai toujours aimé être chez le coiffeur, à chaque fois, je ferme les yeux et
j'attends qu'il ait fini. Cette fois, je fais la même chose et je somnole pendant
que la jeune femme s'active avec ses ciseaux. Quand j'ouvre les yeux, je vois
autour de moi une quantité impressionnante de cheveux. À ce rythme-là, il ne
doit plus en rester beaucoup sur ma tête et ça commence à m'inquiéter.
Quand la coiffeuse se retire après avoir retiré l'espèce de tablier dont j'étais
couverte, madame Claire vient me détacher et me demande de la suivre.
Elle me précède dans la pièce où nous nous sommes déshabillées en arrivant.
Valérie est là qui m'attend.
- Mon Dieu ! Ce n'est pas possible ?
En même temps, nous poussons la même exclamation. Il faut dire que le
contraste entre la Valérie d'avant et celle qui est maintenant devant moi est
saisissant. Plus de poil entre les jambes, un pansement qui lui couvre le clitoris,
un anneau au bout des seins et ses cheveux coupés presque à raz du cuir
chevelu. D'un geste instinctif, je passe une main sur ma tête et je me rends
immédiatement compte que je dois ressembler à la jeune femme qui est devant
moi.
- Je veux vous voir dans une semaine, nous dit madame Claire d'une voix
sèche et autoritaire. Le docteur doit contrôler la cicatrisation et voir si vous
n'avez pas d'infection. Après ce sera toutes les trois semaines pour rendre
l'épilation définitive, sans votre capuchon de clitoris, l'exitation permanente, vous mouillerai au moindre coup de vent! Bonne journée mes petites salopes.
Avant qu'on ait eu l'occasion de faire ou dire quoique ce soit, la porte s'est
refermée et nous nous retrouvons seules. Valérie se jette dans mes bras et se
met à pleurer. Je me rends compte que ces pleurs sont plus nerveux que
réellement tristes. Je crois qu'elle a montré un visage fier et stoïque et, que
maintenant, elle craque nerveusement. Moi, comme j'ai pleuré pendant, je ne
ressens pas le besoin de me défouler et je peux apaiser mon amie le temps
qu'elle se reprenne.
Quand Valérie est calmée, nous allons vers les portemanteaux où se trouvent
nos vêtements. J'ai beau fouiller les poches de mon tailleur, mes sous-vêtements
ont bel et bien disparu, pire encore, mon chemisier a lui aussi été enlevé. Il ne
me reste que la jupe et la veste du tailleur, il va falloir que je fasse attention, car
la veste est assez serrante à la taille et je risque de faire sortit mes nibards au
moindre mouvement brusque.
J'ai un autre problème, l'anesthésie à mon ventre à cesser son effet et une petite
douleur commence à poindre. Valérie est prête avant moi et m'attende devant la
porte, elle semble impatiente de sortir et rentrer chez elle.
La honte me submerge quand je traverse le salon et que j'entends les
conversations qui s'arrêtent brutalement à notre passage.
En regardant mon amie, je me dis que je comprends les gens qui se taisent en
nous regardant passer, car, mis à part le maquillage, Valérie ressemble plus à
une pute qu'à une femme honorable et ce n'est pas parce que je porte un tailleur
que je présente une meilleure image.
Je me dépêche de traverser la grande salle du salon et je pousse un grand soupir
de soulagement dès que j'ai franchi la porte et que je me retrouve sur le trottoir.
Valérie devient rouge pivoine quand elle a l'occasion de voir son reflet dans la
vitrine d'une boutique. Il est vrai que son petit top ne cache rien de sa poitrine
dont les tétons pointent d'une manière insolente. Elle ne sait pas comment se
comporter, cette situation est nouvelle pour elle.
C'est comme des voleuses que nous courons vers la voiture pour nous y réfugier
et nous soustraire aux regards des autres passants.
Je reconduis mon amie chez elle et j'accepte d'entrer chez elle boire un cognac
pour me remettre de mes émotions de la journée.
Pourtant, la première chose que nous faisons, c'est de nous précipiter dans sa
chambre, foutre à poil (enfin maintenant nous somme lisse) et aller nous admirer devant le grand miroir de
sa garde-robe.
La première idée qui me vient à l'esprit en me regardant, c'est de me dire que je
suis vraiment une salope et ceux qui me verront nue le sauront immédiatement.
Le pire c'est que j'en suis fière et, même si je commence à avoir un peu mal
entre les jambes, je ne regrette rien.
- C'est génial non ?
Apparemment, Valérie est du même avis que moi.
- Je ne dirais pas que c'est génial, mais je trouve ça bien et je ne sais pas
pour toi, mais je n'ai aucun regret.
- Moi non plus je ne regrette rien, me répond mon amie en se caressant les
seins devant son miroir.
Elle se précipite sur sa table de nuit et en sort son collier et sa laisse qu'elle met
à son cou.
- C'est encore plus beau comme ça, je suis impatiente d'être montrée ainsi.
- Tu n'as qu'à venir chez moi ce soir, les mousquetaires viennent pour voir
un match de foot et, généralement, cela se termine par une partie de
jambes en l'air.
À peine sortie, je regrette mes paroles, mais il est trop tard. Les yeux de Valérie
pétillent de plaisir.
- Tu serais d'accord que je vienne ?
- Heu ! Excuse-moi, mais j'oubliais que Jacques est ton frère, cela risque de
poser un problème.
Elle me regarde un peu déçue. Elle commence à tourner en rond devant sa
garde-robe puis se tourne vers moi et me regarde avec un air décidé.
- Écoutes, merde pour Jacques, j'ai trop envie
de le faire surtout depuis que tu m'as parlé des mousquetaires et de
monsieur Jean. J'ai passé cette nuit à me réveiller trempée comme jamais
entre les cuisses et mes rêves étaient peuplés de séances chez ton
monsieur Jean que je ne connais même pas. Je sais que je ne suis pas
normale, mais j'ai besoin de changement et ceux que tu m'apportes sont
trop attirants pour que j'y renonce sous prétexte que mon frère pourrait vouloir me sautée,
mettre sa queue dans ma chatte, c'est un homme comme les autres non ?
- Personnellement je n'y vois aucun inconvénient, je disais ça pour toi et
pour lui, on ne sait pas comment il va réagir.
- Moi je le sais ! Depuis qu'il est en âge de se branler, il n'arrête pas nous
espionner ma mère et moi. Il était toujours derrière la porte de la salle de
bain quand je prenais une douche. Alors, je crois qu'il sera content de
voir sa petite sœur acceptée de lui ouvrir les cuisses au moins une fois. On est majeur et vacciné
alors que les mal pensants aillent au diable.
- On va demander son avis à Pierre et s'il n'y voit aucun inconvénient, tu
resteras chez nous ce soir, mais s'il ne veut pas, tu devras rentrer,
d'accord ?
- D'accord !
Pendant une bonne heure, nous rions comme des folles en comparant nos corps.
On passe son temps à essayer une dizaine de tenues les plus aguichantes
possibles. On finit par fixer notre choix sur une petite jupe et un dessus moulant
et suffisamment court que pour laisser notre nombril à l'air. Naturellement pas
de soutien ni de slip. Bras dessus, bras dessous, nous décidons d'aller chez moi
pour préparer la soirée avec les mousquetaires qui vont avoir la surprise de leur
vie.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J’ai adoré ton récit j’attends la suite avec impatience. Lire comment va être accueilli ton amie Valerie. Merci pour le partage. Bises

Histoire Erotique
L'excitation est de plus en plus en plus forte au fur et à mesure de l'évolution de l'histoire ! Vivement la suite... Bravo!
Le nouvel admirateur

Histoire Libertine
Pour celui qui se croit cultivé et aime donner des leçons , on connait histoire d'O et Anais Nin !!! On attends pas après vous !!!!!

Histoire Erotique
J'attends avec impatience l'opus 6, c'est bien écris, vous dites que vous n'êtes pas française, mais votre écriture est bien meilleur que celle de beaucoup d'autres français.es. A propos de fantasmes, pour les coincés et coincées, je leur recommande de lire Histoire d'O ou les écrits d'Anaïs Nin...

Histoire Libertine
Alors mettez réel ou virtuel et non je ne suis pas 1 idiote.
Si vous aviez lu d’autres récits réel vous auriez compris ma remarque.
Vous n’avez pas à faire des commentaires désagréables limite insultant.

La chipie

J’ai moins aimé par contre Charlotte lorsque vous avez traité La Chipie d’idiote.
Il faut respecter les lecteurs et les lecteurs respecteront les auteurs.
Que voulez-vous, l’être humain est comme ça!

Charlotte, pourquoi êtes-vous si sur vos gardes et si expulsive vis à vis les commentaires de vos lecteurs. Vous conviendrez que vos récits ne sont pas approuvés par la majorité.
Vous semblez dire que ces récits ne sont pas des histoires vécues. Franchement, j’en suis bien content pour vous.
Beaucoup ne connaissent pas ( moi inclus ) ce genre de sexualité. Vous comprenez certainement que les yeux peuvent nous écarquiller lors de la lecture de certains paragraphes.
Il y a toutes sortes de personnes qui peuvent lire vos récits, des administrateurs, des médecins, des secrétaires, des avocats etc, etc, etc. Vous comprendrez que lors de la lecture d’un récit un avocat peut sauter au plafond en lisant des paragraphes qu’il juge inadéquat concernant les règles juridiques. Vous comprendrez aussi qu’un médecin pourrait aussi sauter au plafond lorsqu’il lit des absurdités concernant la santé ou l’état mental des sujets mentionnés dans les récits.
J’ai bien apprécié le fait que vous mentionner en réaction au commentaire de La Chipie que ce récit n’était pas nécessairement vrai et qu’il pouvait en fait découler d’un fantasme.
Par contre lorsque vous dites aux lecteurs de ne pas lire s’il ne veulent pas accepter ce qui est écrit dans ces récits, là, je vous trouve vraiment désagréable. Comment voulez-vous que nous sachions si un récit ou sa suite nous conviennent si nous ne lisions pas.
Si au départ sans savoir ce que contient certains récits nous décidons de ne pas les lire, les auteurs seront tres désappointés.
Suite à la lecture de certains récits, comme le votre, ça ce peut que certains fassent le saut et decident de vous tenir au courant de leur état d’âme.
Comme vous l’avez fait auparavant vous avez seulement à expliquer vos propres états d’esprit tout en respectant vos lecteurs.
Par le fait même, ceux-ci seront automatiquement incités à discuter avec vous de vos publications.
De mon coté, je vous ai déjà informé de mes ressentis envers vos récits. Je ne tiens pas a developper d’avantage le sujet.
J’aime bien par contre lire les commentaires et les réactions que vous avez suite aux critiques.
Si vous mettez un peu d’effort je prédis que le plaisir d’écrire et le plaisir de communiquer avec vos lecteurs seront beaucoup plus élevés.
Je tiens à vous dire en terminant que vous écrivez tres bien et que ceux qui aiment ce que vous écrivez doivent s’en délecter.

Sur le premier chapitre, j'ai noté pour que cette histoire ne tombe pas dans l'oublie, car, c'est une très ancienne histoire écrite il y a des années et non que c'était une histoire réelle, ne me faite pas dire ce que je n'est pas dit, trop facile ça
la première histoire, moi Charlotte, oui, celle-là était réelle, je n'ai jamais affirmé que les autres l'étaient

Histoire Libertine
A la base de vos récits vous avez signale que c’était réel !!!
Vous êtes comme les politiciens vous retournez votre veste quand ça vous arrange. 🤦‍♀️

Je n'ai pas très bien comprise le truc des anneaux ;(

Histoire Erotique
J'ai bien aimé, si tu as une adresse pour y envoyer une maitresse...

La chipie, c'est une HISTOIRE, ce n'est pas la vraie vie, enfin, je n'écris pas mes mémoires ici, il faut être sacrément idiote pour que vous croyiez cela.

Histoire Libertine
Donc vous avez été assez folle pour vous faire toucher le clitoris et les seins sérieux comme ça tranquille dans 1 endroit ou ce n'était meme pas 1 bloc opératoire !!!

Vous etes tarée ma parole .

Oui je critique car vous avez cautionné 1 acte limite barbare alors qu'à la base vous n'étiez meme pas au courant.

Si vous n'appreciez pas les critiques négative ne publiez pas sur 1 site public !!!

La ce n'est pas etre coincée du cul comme 1 grenouille de benitier c'est juste etre réaliste.


La chipie



Texte coquin : les cinq doigts de la main 5
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