Les cinq doigts de la main 8
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les cinq doigts de la main 8
La grande porte d'entrée est gardée par deux géants noirs. J'ai l'impression que s'ils ne veulent pas que quelqu'un entre, ils sauront se montrer persuasifs. Il y a d'autres voitures garées et je me demande si ce sont celles des gens qui vont me voir fouettée tout à l'heure? Avant de descendre de la voiture, je me
tourne vers monsieur Jean.
- Vous avez prévu une sorte de scénario?
- Non! Mais si tu préfères, on peut en mettre un au point maintenant?
- Heu! Non je crois que je préfère vous laisser décider comment cela va se passer.
- Tu as peur?
- Oui! Terriblement, mais j'en ai envie en même temps. C'est difficile à comprendre et à vivre croyez-moi.
- Ce ne sera pas pire que la dernière fois. Maintenant, il faut qu'on mette au point un système pour que tu me fasses comprendre que tu es d'accord ou non pour que les spectateurs participent au petit spectacle que nous allons leur donner.
- Vous n'avez qu'à me poser la question et je vous répondrai par oui ou non.
Je crois que c'est le plus simple non?
- En effet, c'est plus simple comme ça.
Il est le premier à sortir et vient m'ouvrir la portière et m'aide à m'extraire de sa limousine. Un des malabars semble bien le connaître, car il s'avance et prend le sac de sport des mains de monsieur Jean. L'autre garde nous ouvre la porte et la tient.
Il me faut quelques secondes pour me faire à la pénombre ambiante. C'est vraiment un bar de boîte de nuit avec une grande salle, des tables partout sauf au centre devant une table de disc-jockey. Il y a quelques tables qui sont occupées dans le fond de la pièce qui est mieux éclairée. Je suis toujours monsieur Jean qui se dirige vers les tables qui sont occupées. Le malabar jette le sac dans un coin, dit quelque chose à monsieur Jean et quitte la salle, certainement pour reprendre son poste à l'entrée. En arrivant dans la partie éclairée de la salle, je marque un temps d'arrêt, il y a une quinzaine de personnes qui attendent en buvant un verre. Monsieur Jean m'avait annoncé quatre personnes, au plus six et là, ça me paraît être une foule.
Je me tourne vers monsieur Jean qui comprend ce que je ressens et vient près de moi pour me calmer.
- Rassure-toi, ça va bien se passer.
- Vous aviez dit six personnes au maximum et là il y en a au moins vingt.
- Que ce soit six ou vingt, cela ne change rien pour toi.
- Ho, mais si que cela change! Vous avez vu le nombre d'hommes?
- Mais ma parole, tu as peur?
- Oui j'ai peur et c'est normal non?
- Ne t'inquiète pas, la plupart seront partis après le dessert.
- Le dessert? Il y a un repas?
- Mais oui, c'est une petite réception que donne Mamadou pour quelques amis à lui. Le spectacle se fera dans une autre pièce et en petit comité. Tu es satisfaite?
Même si je me sens nettement mieux, je suis loin d'être rassurée d'autant que je sens le regard des hommes qui me déshabillent des yeux. Un serveur passe avec un plateau et des verres de champagne, je n'ose pas en prendre et je reste collé
à monsieur Jean comme une sangsue. Il se dirige directement vers un groupe d'homme en pleine discussion avec une espèce d'armoire à glace, mais plus grand.
C'est un énorme noir qui doit bien faire dans les deux mètres et quelques centimètres et peser dans les cent vingt kilos. Jamais je n'ai vu d'homme aussi grand et aussi costaud, il est tellement grand que je me demande pourquoi il ne joue pas au basket.
Quand il me prend la main pour me faire le baise-main, j'ai l'impression d'être une toute petite fille devant un géant, ma main a complètement disparu dans la grosse paluche et j'ai une peur bleue qu'il ne ferme sa main sur la mienne.
- Charlotte, je te présente Mamadou le propriétaire des lieux. C'est pour son anniversaire que nous sommes là.
- Heu! Bon... Jour... Monsieur Mamadou et... Bon anniversaire.
- Ma chère, vous êtes une vraie beauté et je remercie mon ami Jean de vous avoir amené pour égailler cet après-midi. Vous êtes la bienvenue en ces lieux.
J'avoue que je suis surprise par le français de Mamadou, c'est étrange comme chaque fois que l'on rencontre un africain on s'attend à l'entendre parler avec un accent.
L'homme se tourne vers monsieur Jean et le prend par l'épaule pour discuter en particulier avec lui. Je me retrouve seule et je jette un rapide coup d'œil autour de moi. Mon regard est surtout attiré par les femmes présentes étant donné qu'elles sont peu nombreuses. Je remarque immédiatement, madame Claire, la femme médecin à qui je dois les modifications de mon corps, une très jolie rousse d'une quarantaine d'années qui possède un magasin de vêtement en ville, une conseillère municipale que je reconnais grâce aux affiches des dernières élections et enfin une femme de mon âge qui doit s'appeler Cécile ou Céline et qui a été en classe avec moi.
Parmi les hommes j'en reconnais quelques-uns parce qu'ils font partie des édiles de la ville. Le seul que je connaisse vraiment, c'est Adrien qui me paraît encore plus perdu que moi au milieu de cette foule. Je cherche monsieur Jean qui semble avoir disparu.
- Excusez-moi! Enlevez-moi un doute, vous êtes bien Charlotte L?
Merde, malgré la perruque elle m'a reconnu. J'essaye de faire bonne figure et je lui souris de toutes mes dents.
- Heu! Oui! Et vous, vous êtes... Attendez, ça va me revenir... Cécile V. On a été scolarisée ensemble non?
- Oui pour l'école et non pour le prénom, en réalité je m'appelle Céline.
- Avouez que je n'étais pas loin.
Elle attrape au vol deux verres de champagne et m'en tend un.
- Vous êtes une amie de Mamadou?
Je ne sais pas quoi lui répondre, je préfère lui dire la vérité.
- Non, je suis venue avec quelqu'un qui lui connaît très bien Mamadou. Et vous, vous êtes invitées?
- Oui! Je connais Mamadou depuis des années, bien avant qu'il ne devienne propriétaire de ces lieux, quand il jouait encore au basket. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens vraiment mal à l'aise devant cette femme qui m'as connus en primaire, lorsque j avais 5 ou 6 ans, elle me regarde comme si j'étais une moins que rien, j'ai l'impression d'être une petite merde à ses yeux. Cette impression est confirmée par les paroles qui suivent.
- C'est donc toi qui vas nous donner un petit spectacle à poil après le repas. Je sens que je vais en apprécier chaque moment depuis notre plus jeune âge, je voulais déja t'arracher la culotte, te mettre cul nu et voir ta fente!!!
Je reste bouche bée et je sens le rouge de la honte me monter aux joues. Je voudrais dire quelque chose, mais aucun son ne sort de ma bouche.
- Rassure-toi, ta perruque joue bien son rôle et je ne t'avais pas reconnu, c'est mon père qui m'a parlé de toi.
- Votre père?
- Oui, tu le connais bien, c'est l'homme qui est là près de la fenêtre, celui qui te fait signe.
- C'est Adrien!
- Hé oui, mais c'est aussi mon père et c'est lui qui à demander à Jean de nous présenter une salope qui accepterait de se faire fouetter à poil en public.
La, je suis morte de honte et en même temps je sens ma chatte qui s'ouvre et se tremper. Jamais je n'ai été aussi humiliée de ma vie et en même temps, je n'ai jamais été aussi heureuse d'être rabaissée de cette manière par une ancienne copine. Je crois que si elle me demandait de lui baisser les pieds, je n'hésiterais pas une seconde pour me prosterner.
Toujours la bouche ouverte de stupeur, je la vois partir et rejoindre Adrien qui me montre son verre et me fait un clin d'œil. Le reste de l'après-midi, du moins tant que je reste dans cette salle, je ne pense qu'a une seule chose ; que le repas se termine et que la fête commence. Je suis sûre que si je dis à monsieur Jean que j'ai changé d'avis, il me reconduira chez lui et je pourrai rentrer chez moi, mais je n'en ai pas envie, je veux participer au spectacle et en être l'actrice principale.
Assise à la table de monsieur Jean, je laisse les plats défiler devant mes yeux sans jamais rien prendre, je suis incapable d'avaler ne fut-ce qu'une feuille de salade. Je suis perdue dans mes pensées et je ne vois rien de ce qui m'entoure.
je n'attends qu'une chose c'est que monsieur Jean me dise qu'il est l'heure et que je dois me préparer. Toutes mes pensées vont vers Céline et son regard froid pour me regarder. Je suis sûre qu'avec elle je pourrais vivre quelque chose ,pas d'extrême, mais d'extraordinaire. Je viens de vivre une sorte de coup de foudre, mais au lieu de trouver l'homme ou la femme de ma vie je viens de trouver celle qui va me mettre à ma place et me guider dans ma nouvelle vie. Je ne crois pas qu'elle en soit consciente et ce n'est pas moi qui vais le lui dire, je crois qu'elle
doit découvrir elle-même sa voie comme moi j'ai découvert la mienne avec monsieur Jean.
On est arrivé au pousse-café et il y a des gens qui commencent à partir. Tous saluent Mamadou et s'excusent de ne pas pouvoir rester, mais ils ont d'autres obligations. Petit à petit les personnes diminuent de plus en plus et bientôt
monsieur Jean me prend la main et la secoue un peu.
- Holà! Charlotte, réveille-toi, il va être l'heure de se préparer.
- Je suis prête, monsieur Jean. C'est quand vous voulez.
Il se lève et me fait signe de le suivre. Nous nous dirigeons vers une porte qui s'ouvre dès que monsieur Jean s'annonce.
Nous entrons dans une petite pièce avec une petite estrade au centre. Trois tables sont disposées en arc de cercle devant l'estrade et deux chaises sont placées à chaque table.
Derrière l'estrade, une tenture cache une porte par laquelle je devrai passer pour venir rejoindre monsieur Jean quand il m'appellera. Il m'explique que à chaque table, une personne viendra m'enlever une partie de mes vêtements, le compte est vite fait, une robe, un soutien-gorge et une petite culotte, cela fait trois pièces à retirer.
Je veux ouvrir la bouche pour lui demander comment se déroulera la suite, mais la porte s'ouvre et Céline est la première à entrer suivie de Mamadou. Je me dépêche d'aller me réfugier derrière la tenture et là, je pousse un cri quand je me rends compte que je ne suis pas seule, deux jeunes africains bien musclés attendent derrière la tenture.
- N'ayez pas peur madame, nous allons jouer les assistants pour monsieur Jean. S'ils croient que leurs paroles vont me rassurer, ils se trompent lourdement, elles m'inquiètent. D'autant plus qu'eux,ils ont l'accent africain. Je n'ai plus le choix maintenant, je suis allée trop loin et impossible de reculer. Je n'en d'ailleurs pas envie. J'écoute avec attention pour entendre monsieur Jean m'appeler, je n'entends qu'un brouhaha de voix entremêlées et je n'arrive pas à distinguer ne fut-ce que quelques mots qui me permettraient de comprendre de quoi ils parlent.
De toute façon, je suis confrontée à un autre problème, car les deux jeunes noirs se frottent contre moi et je sens leur sexe bien tendu contre mes fesses. Je commence à comprendre que je ne vais pas seulement être fouettée, mais aussi baisée par les deux noirs. Le pire c'est que j'espère qu'ils vont me prendre en sandwich et, au lieu d'éviter leurs caresses, je me laisse aller contre eux et bientôt leurs mains partent à la découverte de mon corps. Ma robe est remontée à la taille et des doigts se frottent contre le fin tissu de ma culotte qui est imprégnée de ma liqueur intime. Cette fois, il n'y a plus le moindre doute, je suis une belle salope et j'aime ça.
Trop absorbée par les douces caresses des deux hommes, je n'entends pas monsieur Jean m'appeler, heureusement, un des hommes à une bonne ouïe et il remet ma robe en place et me pousse doucement vers la salle.
Je suis rouge d'excitation, mais heureusement cela passera pour de la timidité auprès des spectateurs.
Monsieur Jean vient me prendre par la main et me fait monter sur l'estrade.
Comme si nous dansions, il me fait tourner deux fois sur moi-même et je sens le bas de ma robe voler et découvrir mes fesses.
Les deux noirs nous ont suivis et se tiennent juste derrière l'estrade sur laquelle je me trouve. Monsieur Jean se tourne vers les hommes et les femmes installés aux tables.
- Mesdames et messieurs, je vous présente Charlotte. Elle va être le clou du spectacle que nous allons donner devant vous.
On entend déjà dans la salle des:"à poil, à poil, à poil"
Il passe devant moi pour aller se positionner de l'autre côté, c'est vraiment un cabotin.
- Il faut que vous sachiez que quoi que vous voyiez cet après-midi, rien ne sera truqué, tout est vrai.
Il vient vers moi et me demande si je suis prête. J'ai le cœur qui bat comme une locomotive lancer à cent à l'heure, mais, je lui fais signe que je suis prête et qu'il peut lancer le spectacle.
Il claque dans ses doigts et fait un petit signe de la tête aux deux hommes qui se trouvent derrière moi. Je les entends bouger et je sens leurs mains qui se posent sur mon corps. J'ai à peine le temps de me rendre compte de ce qu'il arrive, que ma robe m'est arracher, je suis en petite tenue, ma robe est lancée sur le côté de l'estrade.Paradoxalement, ils prennent plus de temps pour m'enlever mon soutien-gorge en tanchant avec un couteau, les bretelles, et la partie centrale qui de toute manière ne cachait pas grand-chose de mes gros nichons. Quant à la culotte, ils ne la font pas descendre le long de mes jambes et préfèrent l'arracher,elle aussi l'un tirant devant et l'autre par derrière. Ils se retrouvent chacun avec un petit morceau de la soie qu'il porte à leur nez et font une petite grimace pour le plus grand plaisir des spectateurs.
-elle coule déjà de la moule cette pute!
Et dire que monsieur Jean m'avait dit que ce serait des spectateurs qui viendraient me déshabiller.
- Maintenant, mesdames et messieurs, Charlotte va venir se présenter à vous.
Je commence à paniquer un peu, il n'était pas prévu que j'aille, complètement nue, devant ces gens. Comme j'hésite à descendre de l'estrade, monsieur Jean fait un petit geste et l'un des noirs s'approche et me prend par le bout d'un sein et tire pour me faire avancer vers la première table où se trouvent madame Claire et son amie la doctoresse.
En fait, ce n'est pas une simple présentation, car monsieur Jean s'approche de la table et présente une boîte en carton à madame Claire qui plonge une main dans la boîte. Elle en sort une petite pince avec un poids accroché. Elle montre son trophée à l'assistance qui applaudit.
Je reste figée face à madame Claire qui se penche vers mon sexe et me fait écarter les jambes. Elle tire légèrement sur la lèvre gauche de ma chatte. Son regard croise le mien et je lis dans ses yeux ce qu'elle me murmure en refermant la pince sur la chair tendre de mon sexe.
- Tu es une sacrée salope, tu es trempée.
Je baisse les yeux et je serre les dents, mais cela fait moins mal que je l'imaginais. Comme monsieur Jean, je me tourne vers la femme médecin qui elle aussi prend une pince dans la boîte. Cette fois, c'est la lèvre droite qui a droit à la pince.
Les jambes écartées, marchant comme un canard, je suis monsieur Jean qui s'arrête devant Adrien qui lui aussi prend une pince avec son poids dans la boîte.
Lui aussi se penche sur mon sexe et il accroche une deuxième pince à la lèvre gauche.
La personne suivante est Céline qui, après avoir pris une pince, regarde vers monsieur Jean et approche la pince de mon mamelon droit.
- Je peux, demande-t-elle?
- Si vous voulez, lui répond monsieur Jean.
Je tends mes seins et Céline referme sa pince sur le bout de ma mamelle. Cette fois, cela fait un plus mal et je dois serrer les dents pour ne pas gémir surtout quand elle lâche le poids qui tire le mamelon vers le bas en serrant plus encore la pince.
De ma démarche de canard, je me retrouve devant la dernière table, en face du géant Mamadou. À ses côtés une jeune femme que je n'ai pas vue dans l'autre salle. Elle ne doit pas avoir plus de vingt ans et paraît mal à l'aise. Quand monsieur Jean lui présente la boîte, elle prend la pince, mais elle ne veut pas me la mettre et tend l'objet à un des noirs qui nous suit depuis le début. C'est lui qui me place une quatrième pince au sexe.
Mamadou est le dernier chez qui je dois me présenter. Les autres se sont contentés de mettre la pince, mais lui, il commence par me caresser partout, les seins, le ventre et même le visage. Il enfonce un de ses gros doigts dans ma bouche et instinctivement je le suce comme si c'était une bite.
L'homme ouvre la pince et, tandis que je lui suce toujours le doigt, il la referme sur mon mamelon. Cette fois, je ne peux pas serrer les dents pour ne pas risquer de lui faire mal. Il lâche la pince qui étire mon téton à cause du poids et vient me caresser les cheveux.
- C'est bien, tu es une bonne salope.
Lentement, il baisse son doigt et je me retrouve à quatre pattes devant lui suçant toujours son pouce. Monsieur Jean s'est mis derrière moi et commence à faire claquer son petit fouet. J'ai des frissons partout de peur et d'excitation mélangées. Un autre claquement plus sec et une fulgurante douleur sur les fesses, monsieur Jean vient de me donner un premier coup qui est bientôt suivit d'un deuxième et les autres suivent. À chaque coup, je me cabre légèrement, mais je continue à sucer le pouce de Mamadou.
Sa voisine de table se lève et vient ouvrir la braguette de Mamadou. Je n'en crois pas mes yeux, j'ai devant moi un sexe comme je n'en ai jamais vu de ma vie, il est énorme. Pas loin de trente centimètres de long et presque aussi gros que mon poignet. Je me demande comment il fait avec les femmes. Elles doivent hurler chaque fois qu'il veut leur enfoncer son membre dans la chatte. Dans le cul,cela doit être impossible sans se faire fissurer de l'anus.
Monsieur Jean reprend sa cadence de cinq coups en visant mes cuisses. Mamadou retire doucement son pouce et j'ouvre la bouche aussi grande que je le peux et embouche le gland de l'énorme bite. Mes mâchoires s'écartent pour faire entrer la grosse queue. Ma langue commence à s'activer sur la tête de l'engin. J'alterne succion et léchage en faisant attention de ne pas mordre la queue quand les coups de monsieur Jean sont trop appuyés. Mes fesses me brûlent et j'ai l'impression que mes mâchoires vont se déboîter.
Je sens la bite se cabrer légèrement sous mes caresses buccales. Mamadou m'attrape par les cheveux pour m'attirer à lui, il n'a pas vu c'est une perruque et il se retrouve avec une grosse touffe de cheveux dans la main tandis que mes cheveux courts apparaissent. Il a un instant de flottement et je sens son sexe se détendre, mais il reprend très vite sa vigueur. Il se contente de me pousser la tête sur sa bite qu'il fait aller lentement dans ma bouche. La pression de sa main se fait plus forte, il va jouir et, manifestement, il ne veut pas que je me retire.
Les coups de fouet continuent de pleuvoir sur mes fesses, mes cuisses et le bas des reins.
L'homme pousse encore plus fort sur ma tête et je sens la queue s'enfoncer encore plus loin dans ma bouche. Un tressautement plus marquer et je sens un long jet de sperme qui m'envahit la bouche. Je veux bien avaler, mais il faut qu'il se retire pour ne pas que j'étouffe. Tant bien que mal, j'arrive à repousser l'énorme engin et je peux avaler le sperme qui continue de sortir de la grosse tige de chair qui gonfle et se tend à chaque jet. Le surplus de sperme coule à la commissure de mes lèvres, j'ai de plus en plus de mal à suivre pour avaler ce qui sort de cette queue.
Quand enfin cela cesse, je m'occupe à nettoyer la queue avant de me reculer. Ce n'est qu'alors que je commence à ressentir les effets des pinces sur mes nibards et ma chatte. Les poids se balancent et tirent de plus en plus fort sur mes chairs meurtries pars les mâchoires des pinces. Les coups de fouet ont cessé et un des assistants de monsieur Jean vient me prendre par le bras pour me reconduire sur l'estrade. Du sperme coule sur mon menton et vient terminer sa course sur mes nichons.
Un des noirs fait descendre une chaîne munie d'un crochet du plafond tandis que l'autre apporte une barre de fer qu'il accroche en son centre au crochet de la chaîne. Aux extrémités de la barre de fer, il y a deux grosses dragonnes en cuirs noirs. Je lève mes bras et on passe mes poignets dans les dragonnes que je saisis à pleine main.
On me met une barre d'écartement entre les chevilles et un des assistants fait remonter la chaîne jusqu'à ce que je sois sur la pointe des pieds bien tendue.
- Comme vous pouvez le voir, elle n'est pas vraiment attachée, c'est elle qui se tient en serrant les dragonnes dans ses mains. Dès qu'elle estimera qu'elle ne peut plus en supporter plus, elle lâchera les dragonnes et je vous demanderai de respecter sa décision. Chacun approuve de la tête. Monsieur Jean réserve encore une surprise aux spectateurs.
- Y a-t-il un volontaire pour donner quelques coups de fouet?
Je frémis de peur, car je sais que monsieur Jean n'appuie pas vraiment ses coups et que même si cela me brûle d'une manière infernale, il ne risque pas de faire éclater la peau.
Naturellement, Céline est la première et la seule à se lever. Elle prend le petit fouet des mains de monsieur Jean et vient se placer derrière moi. Mon corps se cabre sous le premier coup de Céline qui vient de frapper mes fesses déjà marquées par les coups de monsieur Jean.
- Aaaarghh!... Huuummm!
Céline continue à frapper en espaçant ses coups d'une ou deux secondes. Les poids continuent à se balancer et à étirer mes chairs. Lentement la jeune femme remonte sur mon dos et après une bonne dizaine de coups, la lanière du fouet vient s'écraser sur mes omoplates.
Monsieur Jean reprend le fouet des mains de Céline qui semble déçue, mais ne proteste pas et retourne s'asseoir à sa place. Pendant ce temps, un des noirs vient retirer les pinces une à une. À chaque fois qu'il ouvre les mâchoires d'une pince, je sens le sang affluer et mes chairs se gonfler pour reprendre leur dimension d'origine en m'arrachant des cris de douleur, c'est horrible comme cela fait mal, encore plus que quand on les met. Je sais ce qui m'attend et je me demande si je vais pouvoir le supporter.
Pourtant, alors que je croyais recevoir un premier coup sur les cuisses par devant, l'autre noir vient donner des élastiques à monsieur Jean qui monte sur l'estrade et vient les mettre à mes seins qui se transforment directement en boules. Cela accentue encore la douleur dans mes mamelons.
On me laisse quelques minutes dans cette position et chacun en profite pour venir voir de plus près les dégâts occasionnés par les pinces et surtout par le fouet sur mon dos.
Céline est la plus vicieuse, car elle passe une main entre mes cuisses et la ressort trempée de ma liqueur intime qui coule le long de mes jambes. Elle s'approche encore plus de moi et vient me chuchoter à l'oreille.
- Tu es une vraie chienne. Je veux que tu viennes chez moi la semaine prochaine, disons mardi à huit heures du matin, j'ai trop envie de te bouffer la chatte avant de te l'éclater avec ma ceinture hardtoys de 30cm par 12.5cm, mais avec un gland de 15 cm, j espére que tu lubrifie bien, car ensuite tu l'aura dans le cul.
Elle n'attend pas de réponse, c'est un ordre qu'elle vient de me donner. De toute façon, je n'ai pas l'occasion de répondre, car elle m'enfonce ses doigts trempés de ma cyprine dans la bouche et je les lèche.
Dès que Céline s'écarte de moi, un noir arrive avec un bâillon balle qu'il m'enfonce dans la bouche. Je déteste ce genre de bâillon parce que je vais bave sur mes seins. C'est effectivement ce qui se passe en moins de dix minutes.
L'entracte est terminé et monsieur Jean frappe dans ses mains pour demander le silence.
- Mesdames et messieurs, nous allons reprendre le spectacle, veuillez rejoindre vos places, je vous prie.
J'ai peur qu'il ne demande encore un volontaire, mais il ne semble pas en avoir l'intention et, tandis que tout le monde reprend sa place, il fait claquer son fouet dans le vide. C'est terrible parce que cela me fait presque autant d'effet qu'un coup véritable.
Quand tout le monde est en place, monsieur Jean se place sur le côté de façon à ne pas gâcher la vue des spectateurs et lève son bras. Dès que je le vois l'abaisser, je ferme les yeux en priant pour ne pas hurler. De toute façon avec le bâillon, impossible de crier, je peux juste pousser des gémissements, car mes hurlements vont être étouffés par la balle qui entre dans ma bouche.
Le bruit sinistre de la lanière qui s'écrase sur ma peau et une douleur fulgurante sur les cuisses me fait me tordre et gémir.
Comme à son habitude, monsieur Jean frappe par série de cinq coups qui remonte lentement sur mon corps. Il part des cuisses et avance coup après coup vers mes seins. Quand il est arrivé à hauteur du nombril, il fait un petit signe de tête à ceux qui sont derrière moi, c'est-à-dire les deux noirs. L'un d'eux monte sur l'estrade, se place derrière moi, écarte mes fesses encore douloureuses et enfonce son engin dans mon anus. Je n'ai jamais eu une aussi grosse queue dans mon fondement et je me trémousse comme une furie pendant que l'homme s'enfonce au plus profond en moi.
Quand l'homme est en place, monsieur Jean reprend la fouettée et cette fois, il ne s'arrête qu'après m'avoir copieusement fouetté les mamelles. Je hurle dans mon bâillon, je me tords de douleur et l'homme qui m'encule doit me tenir par les hanches pour ne pas sortir de mon anus dilaté.
Deux fois je suis prête à lâcher les dragonnes quand la lanière vient s'écraser sur un téton. C'est le plaisir futur qui se prépare dans mon ventre qui me fait ternir le coup. Ma chatte dégouline tellement je suis excitée et au bord de l'explosion.
Je supporte toutes ces souffrances dans l'espoir insensé que monsieur Jean permette à l'autre noir de venir me baiser quand il cessera de me fouetter.
C'est avec un plaisir évident pour tous que je vois l'autre noir venir se mettre devant moi avec sa grosse queue bien dressée. Il n'a aucun effort à faire pour s'enfoncer dans ma chatte. La douleur et le plaisir se mélangent en moi tandis que les deux hommes se font aller en moi. Leur corps qui se frotte à moi me fait mal à cause des coups de fouet, mais leur sexe bien dur qui entre et sort de moi fait monter le plaisir qui est prêt à exploser dans mon ventre.
Quand je sens le noir derrière moi qui s'enfonce brutalement en moi et me tire par les hanches, je comprends qu'il va jouir. Un long jet de sperme chaud se répand dans mes intestins et cela provoque une réaction en chaîne dans mon corps. La petite bulle de plaisir éclate dans mon ventre et tous mes organes se contractent et le plaisir jaillit. Je me trémousse de plus en plus fort en hurlant mon plaisir. Je jouis tellement fort que mes dents s'incrustent dans la balle bâillon. Je me tords de plaisir sous les coups de boutoir des deux hommes qui se déchaînent pour eux aussi jouir en moi. Nos trois gémissements de plaisir se mélangent et je lâche les dragonnes pour m'accrocher au cou de mon baiseur.
Celui qui m'encule se retire de moi, mais je continue à me faire aller comme une forcenée sur la queue qui emplit ma moule. Le plaisir est tellement violent que je m'écroule sur l'estrade en poussant des cris de plaisirs étouffés par le bâillon avant de perdre conscience.
C'est la deuxième fois que je jouis aussi fort. Quand j'ouvre les yeux, je suis étendue sur une table et la femme médecin m'ausculte.
- Ça va, ce n'est rien, elle a jouir très fort. Elle n'a rien.
On m'apporte un verre d'alcool que je vide d'un trait avant de me laisser tomber les bras en croix sur la table.
Il me faut une bonne demi-heure pour me remettre un peu et reprendre figure humaine.
Les spectateurs se pressent autour de moi et certains viennent même m'embrasser sur la joue et me remercient pour le spectacle que je leur ai offert.
- Si ça t'intéresse, je suis prêt à organiser une soirée, mais il y aura beaucoup plus de monde, me dit Mamadou en me caressant les seins et le ventre. Tu es géniale et j'ai apprécié chaque moment de cet après-midi.
Quand je suis à nouveau sur pied, les deux noirs m'entraînent dans une autre pièce et là, je peux prendre une douche. Mon corps me fait mal de la tête aux pieds et l'eau qui sort du pommeau accentue encore la douleur, mais cela me fait malgré tout du bien de me laver.
Dès que je sors de la douche, les deux hommes commencent à me caresser avec de la pommade. Du cou aux genoux, ils couvrent mon corps d'une épaisse couche de crème qu'ils font entrer dans la peau. Quand ils ont fini, je peux me regarder dans un grand miroir et je constate que mon corps est strié de bas en haut et rougeâtre. Comme d'habitude, j'ai deux grosses marques autour de mes
seins dues aux élastiques.
Je cherche mon soutien-gorge, mais c'est vrai, ils l'ont détruit.
La culotte n'en parlons pas, elle en miette, il me reste juste la robe,qui est fendue dans toute sa longueur, et que je ne peux rattachéz qu'en faisant un noeud au dessus de ma poitrine,
Dans mes déplacement, j'ai les mamelles et la fente apparente.
C'est légèrement titubante que je reviens dans la salle où attendent toujours ceux qui viennent d'assister au spectacle de mon corps martyrisé. Je voudrais bien rester et discuter avec les gens, mais j'en suis incapable, je n'ai plus de force en moi et je dois aller me reposer. Je dis au revoir aux personnes présentes et je suis monsieur Jean. Une chose m'intrigue, je n'ai pas vu Céline qui doit être retournée chez elle.
Au retour chez moi en ce début de soirée, un rassemblement de jeunes est près d'un arret de bus qu ils squattent chaque soir, ils n'en reviennent pas de voir une femme se proméner quaiment à poil en rue.
nulle doutes, qu'a la moindre occassions, ils viendront m'acostée
tourne vers monsieur Jean.
- Vous avez prévu une sorte de scénario?
- Non! Mais si tu préfères, on peut en mettre un au point maintenant?
- Heu! Non je crois que je préfère vous laisser décider comment cela va se passer.
- Tu as peur?
- Oui! Terriblement, mais j'en ai envie en même temps. C'est difficile à comprendre et à vivre croyez-moi.
- Ce ne sera pas pire que la dernière fois. Maintenant, il faut qu'on mette au point un système pour que tu me fasses comprendre que tu es d'accord ou non pour que les spectateurs participent au petit spectacle que nous allons leur donner.
- Vous n'avez qu'à me poser la question et je vous répondrai par oui ou non.
Je crois que c'est le plus simple non?
- En effet, c'est plus simple comme ça.
Il est le premier à sortir et vient m'ouvrir la portière et m'aide à m'extraire de sa limousine. Un des malabars semble bien le connaître, car il s'avance et prend le sac de sport des mains de monsieur Jean. L'autre garde nous ouvre la porte et la tient.
Il me faut quelques secondes pour me faire à la pénombre ambiante. C'est vraiment un bar de boîte de nuit avec une grande salle, des tables partout sauf au centre devant une table de disc-jockey. Il y a quelques tables qui sont occupées dans le fond de la pièce qui est mieux éclairée. Je suis toujours monsieur Jean qui se dirige vers les tables qui sont occupées. Le malabar jette le sac dans un coin, dit quelque chose à monsieur Jean et quitte la salle, certainement pour reprendre son poste à l'entrée. En arrivant dans la partie éclairée de la salle, je marque un temps d'arrêt, il y a une quinzaine de personnes qui attendent en buvant un verre. Monsieur Jean m'avait annoncé quatre personnes, au plus six et là, ça me paraît être une foule.
Je me tourne vers monsieur Jean qui comprend ce que je ressens et vient près de moi pour me calmer.
- Rassure-toi, ça va bien se passer.
- Vous aviez dit six personnes au maximum et là il y en a au moins vingt.
- Que ce soit six ou vingt, cela ne change rien pour toi.
- Ho, mais si que cela change! Vous avez vu le nombre d'hommes?
- Mais ma parole, tu as peur?
- Oui j'ai peur et c'est normal non?
- Ne t'inquiète pas, la plupart seront partis après le dessert.
- Le dessert? Il y a un repas?
- Mais oui, c'est une petite réception que donne Mamadou pour quelques amis à lui. Le spectacle se fera dans une autre pièce et en petit comité. Tu es satisfaite?
Même si je me sens nettement mieux, je suis loin d'être rassurée d'autant que je sens le regard des hommes qui me déshabillent des yeux. Un serveur passe avec un plateau et des verres de champagne, je n'ose pas en prendre et je reste collé
à monsieur Jean comme une sangsue. Il se dirige directement vers un groupe d'homme en pleine discussion avec une espèce d'armoire à glace, mais plus grand.
C'est un énorme noir qui doit bien faire dans les deux mètres et quelques centimètres et peser dans les cent vingt kilos. Jamais je n'ai vu d'homme aussi grand et aussi costaud, il est tellement grand que je me demande pourquoi il ne joue pas au basket.
Quand il me prend la main pour me faire le baise-main, j'ai l'impression d'être une toute petite fille devant un géant, ma main a complètement disparu dans la grosse paluche et j'ai une peur bleue qu'il ne ferme sa main sur la mienne.
- Charlotte, je te présente Mamadou le propriétaire des lieux. C'est pour son anniversaire que nous sommes là.
- Heu! Bon... Jour... Monsieur Mamadou et... Bon anniversaire.
- Ma chère, vous êtes une vraie beauté et je remercie mon ami Jean de vous avoir amené pour égailler cet après-midi. Vous êtes la bienvenue en ces lieux.
J'avoue que je suis surprise par le français de Mamadou, c'est étrange comme chaque fois que l'on rencontre un africain on s'attend à l'entendre parler avec un accent.
L'homme se tourne vers monsieur Jean et le prend par l'épaule pour discuter en particulier avec lui. Je me retrouve seule et je jette un rapide coup d'œil autour de moi. Mon regard est surtout attiré par les femmes présentes étant donné qu'elles sont peu nombreuses. Je remarque immédiatement, madame Claire, la femme médecin à qui je dois les modifications de mon corps, une très jolie rousse d'une quarantaine d'années qui possède un magasin de vêtement en ville, une conseillère municipale que je reconnais grâce aux affiches des dernières élections et enfin une femme de mon âge qui doit s'appeler Cécile ou Céline et qui a été en classe avec moi.
Parmi les hommes j'en reconnais quelques-uns parce qu'ils font partie des édiles de la ville. Le seul que je connaisse vraiment, c'est Adrien qui me paraît encore plus perdu que moi au milieu de cette foule. Je cherche monsieur Jean qui semble avoir disparu.
- Excusez-moi! Enlevez-moi un doute, vous êtes bien Charlotte L?
Merde, malgré la perruque elle m'a reconnu. J'essaye de faire bonne figure et je lui souris de toutes mes dents.
- Heu! Oui! Et vous, vous êtes... Attendez, ça va me revenir... Cécile V. On a été scolarisée ensemble non?
- Oui pour l'école et non pour le prénom, en réalité je m'appelle Céline.
- Avouez que je n'étais pas loin.
Elle attrape au vol deux verres de champagne et m'en tend un.
- Vous êtes une amie de Mamadou?
Je ne sais pas quoi lui répondre, je préfère lui dire la vérité.
- Non, je suis venue avec quelqu'un qui lui connaît très bien Mamadou. Et vous, vous êtes invitées?
- Oui! Je connais Mamadou depuis des années, bien avant qu'il ne devienne propriétaire de ces lieux, quand il jouait encore au basket. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens vraiment mal à l'aise devant cette femme qui m'as connus en primaire, lorsque j avais 5 ou 6 ans, elle me regarde comme si j'étais une moins que rien, j'ai l'impression d'être une petite merde à ses yeux. Cette impression est confirmée par les paroles qui suivent.
- C'est donc toi qui vas nous donner un petit spectacle à poil après le repas. Je sens que je vais en apprécier chaque moment depuis notre plus jeune âge, je voulais déja t'arracher la culotte, te mettre cul nu et voir ta fente!!!
Je reste bouche bée et je sens le rouge de la honte me monter aux joues. Je voudrais dire quelque chose, mais aucun son ne sort de ma bouche.
- Rassure-toi, ta perruque joue bien son rôle et je ne t'avais pas reconnu, c'est mon père qui m'a parlé de toi.
- Votre père?
- Oui, tu le connais bien, c'est l'homme qui est là près de la fenêtre, celui qui te fait signe.
- C'est Adrien!
- Hé oui, mais c'est aussi mon père et c'est lui qui à demander à Jean de nous présenter une salope qui accepterait de se faire fouetter à poil en public.
La, je suis morte de honte et en même temps je sens ma chatte qui s'ouvre et se tremper. Jamais je n'ai été aussi humiliée de ma vie et en même temps, je n'ai jamais été aussi heureuse d'être rabaissée de cette manière par une ancienne copine. Je crois que si elle me demandait de lui baisser les pieds, je n'hésiterais pas une seconde pour me prosterner.
Toujours la bouche ouverte de stupeur, je la vois partir et rejoindre Adrien qui me montre son verre et me fait un clin d'œil. Le reste de l'après-midi, du moins tant que je reste dans cette salle, je ne pense qu'a une seule chose ; que le repas se termine et que la fête commence. Je suis sûre que si je dis à monsieur Jean que j'ai changé d'avis, il me reconduira chez lui et je pourrai rentrer chez moi, mais je n'en ai pas envie, je veux participer au spectacle et en être l'actrice principale.
Assise à la table de monsieur Jean, je laisse les plats défiler devant mes yeux sans jamais rien prendre, je suis incapable d'avaler ne fut-ce qu'une feuille de salade. Je suis perdue dans mes pensées et je ne vois rien de ce qui m'entoure.
je n'attends qu'une chose c'est que monsieur Jean me dise qu'il est l'heure et que je dois me préparer. Toutes mes pensées vont vers Céline et son regard froid pour me regarder. Je suis sûre qu'avec elle je pourrais vivre quelque chose ,pas d'extrême, mais d'extraordinaire. Je viens de vivre une sorte de coup de foudre, mais au lieu de trouver l'homme ou la femme de ma vie je viens de trouver celle qui va me mettre à ma place et me guider dans ma nouvelle vie. Je ne crois pas qu'elle en soit consciente et ce n'est pas moi qui vais le lui dire, je crois qu'elle
doit découvrir elle-même sa voie comme moi j'ai découvert la mienne avec monsieur Jean.
On est arrivé au pousse-café et il y a des gens qui commencent à partir. Tous saluent Mamadou et s'excusent de ne pas pouvoir rester, mais ils ont d'autres obligations. Petit à petit les personnes diminuent de plus en plus et bientôt
monsieur Jean me prend la main et la secoue un peu.
- Holà! Charlotte, réveille-toi, il va être l'heure de se préparer.
- Je suis prête, monsieur Jean. C'est quand vous voulez.
Il se lève et me fait signe de le suivre. Nous nous dirigeons vers une porte qui s'ouvre dès que monsieur Jean s'annonce.
Nous entrons dans une petite pièce avec une petite estrade au centre. Trois tables sont disposées en arc de cercle devant l'estrade et deux chaises sont placées à chaque table.
Derrière l'estrade, une tenture cache une porte par laquelle je devrai passer pour venir rejoindre monsieur Jean quand il m'appellera. Il m'explique que à chaque table, une personne viendra m'enlever une partie de mes vêtements, le compte est vite fait, une robe, un soutien-gorge et une petite culotte, cela fait trois pièces à retirer.
Je veux ouvrir la bouche pour lui demander comment se déroulera la suite, mais la porte s'ouvre et Céline est la première à entrer suivie de Mamadou. Je me dépêche d'aller me réfugier derrière la tenture et là, je pousse un cri quand je me rends compte que je ne suis pas seule, deux jeunes africains bien musclés attendent derrière la tenture.
- N'ayez pas peur madame, nous allons jouer les assistants pour monsieur Jean. S'ils croient que leurs paroles vont me rassurer, ils se trompent lourdement, elles m'inquiètent. D'autant plus qu'eux,ils ont l'accent africain. Je n'ai plus le choix maintenant, je suis allée trop loin et impossible de reculer. Je n'en d'ailleurs pas envie. J'écoute avec attention pour entendre monsieur Jean m'appeler, je n'entends qu'un brouhaha de voix entremêlées et je n'arrive pas à distinguer ne fut-ce que quelques mots qui me permettraient de comprendre de quoi ils parlent.
De toute façon, je suis confrontée à un autre problème, car les deux jeunes noirs se frottent contre moi et je sens leur sexe bien tendu contre mes fesses. Je commence à comprendre que je ne vais pas seulement être fouettée, mais aussi baisée par les deux noirs. Le pire c'est que j'espère qu'ils vont me prendre en sandwich et, au lieu d'éviter leurs caresses, je me laisse aller contre eux et bientôt leurs mains partent à la découverte de mon corps. Ma robe est remontée à la taille et des doigts se frottent contre le fin tissu de ma culotte qui est imprégnée de ma liqueur intime. Cette fois, il n'y a plus le moindre doute, je suis une belle salope et j'aime ça.
Trop absorbée par les douces caresses des deux hommes, je n'entends pas monsieur Jean m'appeler, heureusement, un des hommes à une bonne ouïe et il remet ma robe en place et me pousse doucement vers la salle.
Je suis rouge d'excitation, mais heureusement cela passera pour de la timidité auprès des spectateurs.
Monsieur Jean vient me prendre par la main et me fait monter sur l'estrade.
Comme si nous dansions, il me fait tourner deux fois sur moi-même et je sens le bas de ma robe voler et découvrir mes fesses.
Les deux noirs nous ont suivis et se tiennent juste derrière l'estrade sur laquelle je me trouve. Monsieur Jean se tourne vers les hommes et les femmes installés aux tables.
- Mesdames et messieurs, je vous présente Charlotte. Elle va être le clou du spectacle que nous allons donner devant vous.
On entend déjà dans la salle des:"à poil, à poil, à poil"
Il passe devant moi pour aller se positionner de l'autre côté, c'est vraiment un cabotin.
- Il faut que vous sachiez que quoi que vous voyiez cet après-midi, rien ne sera truqué, tout est vrai.
Il vient vers moi et me demande si je suis prête. J'ai le cœur qui bat comme une locomotive lancer à cent à l'heure, mais, je lui fais signe que je suis prête et qu'il peut lancer le spectacle.
Il claque dans ses doigts et fait un petit signe de la tête aux deux hommes qui se trouvent derrière moi. Je les entends bouger et je sens leurs mains qui se posent sur mon corps. J'ai à peine le temps de me rendre compte de ce qu'il arrive, que ma robe m'est arracher, je suis en petite tenue, ma robe est lancée sur le côté de l'estrade.Paradoxalement, ils prennent plus de temps pour m'enlever mon soutien-gorge en tanchant avec un couteau, les bretelles, et la partie centrale qui de toute manière ne cachait pas grand-chose de mes gros nichons. Quant à la culotte, ils ne la font pas descendre le long de mes jambes et préfèrent l'arracher,elle aussi l'un tirant devant et l'autre par derrière. Ils se retrouvent chacun avec un petit morceau de la soie qu'il porte à leur nez et font une petite grimace pour le plus grand plaisir des spectateurs.
-elle coule déjà de la moule cette pute!
Et dire que monsieur Jean m'avait dit que ce serait des spectateurs qui viendraient me déshabiller.
- Maintenant, mesdames et messieurs, Charlotte va venir se présenter à vous.
Je commence à paniquer un peu, il n'était pas prévu que j'aille, complètement nue, devant ces gens. Comme j'hésite à descendre de l'estrade, monsieur Jean fait un petit geste et l'un des noirs s'approche et me prend par le bout d'un sein et tire pour me faire avancer vers la première table où se trouvent madame Claire et son amie la doctoresse.
En fait, ce n'est pas une simple présentation, car monsieur Jean s'approche de la table et présente une boîte en carton à madame Claire qui plonge une main dans la boîte. Elle en sort une petite pince avec un poids accroché. Elle montre son trophée à l'assistance qui applaudit.
Je reste figée face à madame Claire qui se penche vers mon sexe et me fait écarter les jambes. Elle tire légèrement sur la lèvre gauche de ma chatte. Son regard croise le mien et je lis dans ses yeux ce qu'elle me murmure en refermant la pince sur la chair tendre de mon sexe.
- Tu es une sacrée salope, tu es trempée.
Je baisse les yeux et je serre les dents, mais cela fait moins mal que je l'imaginais. Comme monsieur Jean, je me tourne vers la femme médecin qui elle aussi prend une pince dans la boîte. Cette fois, c'est la lèvre droite qui a droit à la pince.
Les jambes écartées, marchant comme un canard, je suis monsieur Jean qui s'arrête devant Adrien qui lui aussi prend une pince avec son poids dans la boîte.
Lui aussi se penche sur mon sexe et il accroche une deuxième pince à la lèvre gauche.
La personne suivante est Céline qui, après avoir pris une pince, regarde vers monsieur Jean et approche la pince de mon mamelon droit.
- Je peux, demande-t-elle?
- Si vous voulez, lui répond monsieur Jean.
Je tends mes seins et Céline referme sa pince sur le bout de ma mamelle. Cette fois, cela fait un plus mal et je dois serrer les dents pour ne pas gémir surtout quand elle lâche le poids qui tire le mamelon vers le bas en serrant plus encore la pince.
De ma démarche de canard, je me retrouve devant la dernière table, en face du géant Mamadou. À ses côtés une jeune femme que je n'ai pas vue dans l'autre salle. Elle ne doit pas avoir plus de vingt ans et paraît mal à l'aise. Quand monsieur Jean lui présente la boîte, elle prend la pince, mais elle ne veut pas me la mettre et tend l'objet à un des noirs qui nous suit depuis le début. C'est lui qui me place une quatrième pince au sexe.
Mamadou est le dernier chez qui je dois me présenter. Les autres se sont contentés de mettre la pince, mais lui, il commence par me caresser partout, les seins, le ventre et même le visage. Il enfonce un de ses gros doigts dans ma bouche et instinctivement je le suce comme si c'était une bite.
L'homme ouvre la pince et, tandis que je lui suce toujours le doigt, il la referme sur mon mamelon. Cette fois, je ne peux pas serrer les dents pour ne pas risquer de lui faire mal. Il lâche la pince qui étire mon téton à cause du poids et vient me caresser les cheveux.
- C'est bien, tu es une bonne salope.
Lentement, il baisse son doigt et je me retrouve à quatre pattes devant lui suçant toujours son pouce. Monsieur Jean s'est mis derrière moi et commence à faire claquer son petit fouet. J'ai des frissons partout de peur et d'excitation mélangées. Un autre claquement plus sec et une fulgurante douleur sur les fesses, monsieur Jean vient de me donner un premier coup qui est bientôt suivit d'un deuxième et les autres suivent. À chaque coup, je me cabre légèrement, mais je continue à sucer le pouce de Mamadou.
Sa voisine de table se lève et vient ouvrir la braguette de Mamadou. Je n'en crois pas mes yeux, j'ai devant moi un sexe comme je n'en ai jamais vu de ma vie, il est énorme. Pas loin de trente centimètres de long et presque aussi gros que mon poignet. Je me demande comment il fait avec les femmes. Elles doivent hurler chaque fois qu'il veut leur enfoncer son membre dans la chatte. Dans le cul,cela doit être impossible sans se faire fissurer de l'anus.
Monsieur Jean reprend sa cadence de cinq coups en visant mes cuisses. Mamadou retire doucement son pouce et j'ouvre la bouche aussi grande que je le peux et embouche le gland de l'énorme bite. Mes mâchoires s'écartent pour faire entrer la grosse queue. Ma langue commence à s'activer sur la tête de l'engin. J'alterne succion et léchage en faisant attention de ne pas mordre la queue quand les coups de monsieur Jean sont trop appuyés. Mes fesses me brûlent et j'ai l'impression que mes mâchoires vont se déboîter.
Je sens la bite se cabrer légèrement sous mes caresses buccales. Mamadou m'attrape par les cheveux pour m'attirer à lui, il n'a pas vu c'est une perruque et il se retrouve avec une grosse touffe de cheveux dans la main tandis que mes cheveux courts apparaissent. Il a un instant de flottement et je sens son sexe se détendre, mais il reprend très vite sa vigueur. Il se contente de me pousser la tête sur sa bite qu'il fait aller lentement dans ma bouche. La pression de sa main se fait plus forte, il va jouir et, manifestement, il ne veut pas que je me retire.
Les coups de fouet continuent de pleuvoir sur mes fesses, mes cuisses et le bas des reins.
L'homme pousse encore plus fort sur ma tête et je sens la queue s'enfoncer encore plus loin dans ma bouche. Un tressautement plus marquer et je sens un long jet de sperme qui m'envahit la bouche. Je veux bien avaler, mais il faut qu'il se retire pour ne pas que j'étouffe. Tant bien que mal, j'arrive à repousser l'énorme engin et je peux avaler le sperme qui continue de sortir de la grosse tige de chair qui gonfle et se tend à chaque jet. Le surplus de sperme coule à la commissure de mes lèvres, j'ai de plus en plus de mal à suivre pour avaler ce qui sort de cette queue.
Quand enfin cela cesse, je m'occupe à nettoyer la queue avant de me reculer. Ce n'est qu'alors que je commence à ressentir les effets des pinces sur mes nibards et ma chatte. Les poids se balancent et tirent de plus en plus fort sur mes chairs meurtries pars les mâchoires des pinces. Les coups de fouet ont cessé et un des assistants de monsieur Jean vient me prendre par le bras pour me reconduire sur l'estrade. Du sperme coule sur mon menton et vient terminer sa course sur mes nichons.
Un des noirs fait descendre une chaîne munie d'un crochet du plafond tandis que l'autre apporte une barre de fer qu'il accroche en son centre au crochet de la chaîne. Aux extrémités de la barre de fer, il y a deux grosses dragonnes en cuirs noirs. Je lève mes bras et on passe mes poignets dans les dragonnes que je saisis à pleine main.
On me met une barre d'écartement entre les chevilles et un des assistants fait remonter la chaîne jusqu'à ce que je sois sur la pointe des pieds bien tendue.
- Comme vous pouvez le voir, elle n'est pas vraiment attachée, c'est elle qui se tient en serrant les dragonnes dans ses mains. Dès qu'elle estimera qu'elle ne peut plus en supporter plus, elle lâchera les dragonnes et je vous demanderai de respecter sa décision. Chacun approuve de la tête. Monsieur Jean réserve encore une surprise aux spectateurs.
- Y a-t-il un volontaire pour donner quelques coups de fouet?
Je frémis de peur, car je sais que monsieur Jean n'appuie pas vraiment ses coups et que même si cela me brûle d'une manière infernale, il ne risque pas de faire éclater la peau.
Naturellement, Céline est la première et la seule à se lever. Elle prend le petit fouet des mains de monsieur Jean et vient se placer derrière moi. Mon corps se cabre sous le premier coup de Céline qui vient de frapper mes fesses déjà marquées par les coups de monsieur Jean.
- Aaaarghh!... Huuummm!
Céline continue à frapper en espaçant ses coups d'une ou deux secondes. Les poids continuent à se balancer et à étirer mes chairs. Lentement la jeune femme remonte sur mon dos et après une bonne dizaine de coups, la lanière du fouet vient s'écraser sur mes omoplates.
Monsieur Jean reprend le fouet des mains de Céline qui semble déçue, mais ne proteste pas et retourne s'asseoir à sa place. Pendant ce temps, un des noirs vient retirer les pinces une à une. À chaque fois qu'il ouvre les mâchoires d'une pince, je sens le sang affluer et mes chairs se gonfler pour reprendre leur dimension d'origine en m'arrachant des cris de douleur, c'est horrible comme cela fait mal, encore plus que quand on les met. Je sais ce qui m'attend et je me demande si je vais pouvoir le supporter.
Pourtant, alors que je croyais recevoir un premier coup sur les cuisses par devant, l'autre noir vient donner des élastiques à monsieur Jean qui monte sur l'estrade et vient les mettre à mes seins qui se transforment directement en boules. Cela accentue encore la douleur dans mes mamelons.
On me laisse quelques minutes dans cette position et chacun en profite pour venir voir de plus près les dégâts occasionnés par les pinces et surtout par le fouet sur mon dos.
Céline est la plus vicieuse, car elle passe une main entre mes cuisses et la ressort trempée de ma liqueur intime qui coule le long de mes jambes. Elle s'approche encore plus de moi et vient me chuchoter à l'oreille.
- Tu es une vraie chienne. Je veux que tu viennes chez moi la semaine prochaine, disons mardi à huit heures du matin, j'ai trop envie de te bouffer la chatte avant de te l'éclater avec ma ceinture hardtoys de 30cm par 12.5cm, mais avec un gland de 15 cm, j espére que tu lubrifie bien, car ensuite tu l'aura dans le cul.
Elle n'attend pas de réponse, c'est un ordre qu'elle vient de me donner. De toute façon, je n'ai pas l'occasion de répondre, car elle m'enfonce ses doigts trempés de ma cyprine dans la bouche et je les lèche.
Dès que Céline s'écarte de moi, un noir arrive avec un bâillon balle qu'il m'enfonce dans la bouche. Je déteste ce genre de bâillon parce que je vais bave sur mes seins. C'est effectivement ce qui se passe en moins de dix minutes.
L'entracte est terminé et monsieur Jean frappe dans ses mains pour demander le silence.
- Mesdames et messieurs, nous allons reprendre le spectacle, veuillez rejoindre vos places, je vous prie.
J'ai peur qu'il ne demande encore un volontaire, mais il ne semble pas en avoir l'intention et, tandis que tout le monde reprend sa place, il fait claquer son fouet dans le vide. C'est terrible parce que cela me fait presque autant d'effet qu'un coup véritable.
Quand tout le monde est en place, monsieur Jean se place sur le côté de façon à ne pas gâcher la vue des spectateurs et lève son bras. Dès que je le vois l'abaisser, je ferme les yeux en priant pour ne pas hurler. De toute façon avec le bâillon, impossible de crier, je peux juste pousser des gémissements, car mes hurlements vont être étouffés par la balle qui entre dans ma bouche.
Le bruit sinistre de la lanière qui s'écrase sur ma peau et une douleur fulgurante sur les cuisses me fait me tordre et gémir.
Comme à son habitude, monsieur Jean frappe par série de cinq coups qui remonte lentement sur mon corps. Il part des cuisses et avance coup après coup vers mes seins. Quand il est arrivé à hauteur du nombril, il fait un petit signe de tête à ceux qui sont derrière moi, c'est-à-dire les deux noirs. L'un d'eux monte sur l'estrade, se place derrière moi, écarte mes fesses encore douloureuses et enfonce son engin dans mon anus. Je n'ai jamais eu une aussi grosse queue dans mon fondement et je me trémousse comme une furie pendant que l'homme s'enfonce au plus profond en moi.
Quand l'homme est en place, monsieur Jean reprend la fouettée et cette fois, il ne s'arrête qu'après m'avoir copieusement fouetté les mamelles. Je hurle dans mon bâillon, je me tords de douleur et l'homme qui m'encule doit me tenir par les hanches pour ne pas sortir de mon anus dilaté.
Deux fois je suis prête à lâcher les dragonnes quand la lanière vient s'écraser sur un téton. C'est le plaisir futur qui se prépare dans mon ventre qui me fait ternir le coup. Ma chatte dégouline tellement je suis excitée et au bord de l'explosion.
Je supporte toutes ces souffrances dans l'espoir insensé que monsieur Jean permette à l'autre noir de venir me baiser quand il cessera de me fouetter.
C'est avec un plaisir évident pour tous que je vois l'autre noir venir se mettre devant moi avec sa grosse queue bien dressée. Il n'a aucun effort à faire pour s'enfoncer dans ma chatte. La douleur et le plaisir se mélangent en moi tandis que les deux hommes se font aller en moi. Leur corps qui se frotte à moi me fait mal à cause des coups de fouet, mais leur sexe bien dur qui entre et sort de moi fait monter le plaisir qui est prêt à exploser dans mon ventre.
Quand je sens le noir derrière moi qui s'enfonce brutalement en moi et me tire par les hanches, je comprends qu'il va jouir. Un long jet de sperme chaud se répand dans mes intestins et cela provoque une réaction en chaîne dans mon corps. La petite bulle de plaisir éclate dans mon ventre et tous mes organes se contractent et le plaisir jaillit. Je me trémousse de plus en plus fort en hurlant mon plaisir. Je jouis tellement fort que mes dents s'incrustent dans la balle bâillon. Je me tords de plaisir sous les coups de boutoir des deux hommes qui se déchaînent pour eux aussi jouir en moi. Nos trois gémissements de plaisir se mélangent et je lâche les dragonnes pour m'accrocher au cou de mon baiseur.
Celui qui m'encule se retire de moi, mais je continue à me faire aller comme une forcenée sur la queue qui emplit ma moule. Le plaisir est tellement violent que je m'écroule sur l'estrade en poussant des cris de plaisirs étouffés par le bâillon avant de perdre conscience.
C'est la deuxième fois que je jouis aussi fort. Quand j'ouvre les yeux, je suis étendue sur une table et la femme médecin m'ausculte.
- Ça va, ce n'est rien, elle a jouir très fort. Elle n'a rien.
On m'apporte un verre d'alcool que je vide d'un trait avant de me laisser tomber les bras en croix sur la table.
Il me faut une bonne demi-heure pour me remettre un peu et reprendre figure humaine.
Les spectateurs se pressent autour de moi et certains viennent même m'embrasser sur la joue et me remercient pour le spectacle que je leur ai offert.
- Si ça t'intéresse, je suis prêt à organiser une soirée, mais il y aura beaucoup plus de monde, me dit Mamadou en me caressant les seins et le ventre. Tu es géniale et j'ai apprécié chaque moment de cet après-midi.
Quand je suis à nouveau sur pied, les deux noirs m'entraînent dans une autre pièce et là, je peux prendre une douche. Mon corps me fait mal de la tête aux pieds et l'eau qui sort du pommeau accentue encore la douleur, mais cela me fait malgré tout du bien de me laver.
Dès que je sors de la douche, les deux hommes commencent à me caresser avec de la pommade. Du cou aux genoux, ils couvrent mon corps d'une épaisse couche de crème qu'ils font entrer dans la peau. Quand ils ont fini, je peux me regarder dans un grand miroir et je constate que mon corps est strié de bas en haut et rougeâtre. Comme d'habitude, j'ai deux grosses marques autour de mes
seins dues aux élastiques.
Je cherche mon soutien-gorge, mais c'est vrai, ils l'ont détruit.
La culotte n'en parlons pas, elle en miette, il me reste juste la robe,qui est fendue dans toute sa longueur, et que je ne peux rattachéz qu'en faisant un noeud au dessus de ma poitrine,
Dans mes déplacement, j'ai les mamelles et la fente apparente.
C'est légèrement titubante que je reviens dans la salle où attendent toujours ceux qui viennent d'assister au spectacle de mon corps martyrisé. Je voudrais bien rester et discuter avec les gens, mais j'en suis incapable, je n'ai plus de force en moi et je dois aller me reposer. Je dis au revoir aux personnes présentes et je suis monsieur Jean. Une chose m'intrigue, je n'ai pas vu Céline qui doit être retournée chez elle.
Au retour chez moi en ce début de soirée, un rassemblement de jeunes est près d'un arret de bus qu ils squattent chaque soir, ils n'en reviennent pas de voir une femme se proméner quaiment à poil en rue.
nulle doutes, qu'a la moindre occassions, ils viendront m'acostée
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13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chère lectrice, il est vrai que pour ma part, il n'est pas courant d'avoir une réponse telle que la vôtre suite à l'écriture d'un commentaire !!!
Dommage que vous n'ecriviez pas d'histoire sur ce site!
LNA
Dommage que vous n'ecriviez pas d'histoire sur ce site!
LNA
Cher LNA, je n'ai pas vocation à écrire sur ce site mais suis heureuse d'avoir provoqué chez vous par mes commentaires une réaction masculine naturelle facile à deviner
Super👍! Merci! J'ai hâte de lire la suite et d'autres histoires !A très vite !
P.S: tu peux me tutoyer...
LNA
P.S: tu peux me tutoyer...
LNA
Cher lectrice qui s'exhiberai avec plaisir je ne pense pas que vous aurez du mal à trouvait. Vous pouvez même trouver un petit plan pour lieux insolite/ club avec public car en public ou avec du danger de se faire prendre je sa encore plus existant
Je ne suis pas jalouse du tout, tous les chapitres du récit sont envoyés au site, le prochain paraitra le 22 il me semble, vous allez être servi jusqu'à début juillet, je ferai une petite pause, et ensuite, je posterai d'autre histoire.
Chère lectrice qui m'a répondu, mon pseudo est LNA (le nouvel admirateur). Chère Charlotte, ne soit pas jalouse... Je continuerai à lire tes histoires très excitantes!
Chère lectrice qui m'a répondu, je ne cache pas mon excitation à la lecteur de votre commentaire. Je serais curieux de voir ce que vous pourriez écrire comme récit sur ce site sur le même sujet que votre commentaire!!! Un pseudo, peut être ?
Pardon lecteur ? je pense faire beaucoup moins de fautes de français ici que certain autre auteur(re) et pourtant je ne suis pas française
De grâce, passe ton texte à la correction automatique, ça gâche le récit...
Cher lecteur, je ne suis pas "Charlotte la salope" mais m'exhiberai volontiers pour toi en public, par la pensée pour me faire pardonner je te fais bisous et caresses partout où tu veux
Chère lectrice qui m'a répondu, je suis certain que la situation ne te déplairait pas !!! Mais ce que je préfère, c'est le côté exhib en public....
Je n'aimerai pas être ta petite amie cher lecteur qui attend la suite de cette histoire, j'aurais trop peur que tu cravaches mes jolis seins si sensibles et fragiles
Charlotte la Salope, c'est un nom tout à fait approprié ! Vivement la suite!!!