Les cinq doitgs de la main 6

- Par l'auteur HDS Charlotte-la-salope -
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Récit libertin : Les cinq doitgs de la main 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Salope Epilation
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Les cinq doitgs de la main 6
Pendant que Pierre range sa voiture dans le garage, je décide d'aller à sa
rencontre. Dire qu'il est surpris de me voir serait un mensonge, il est sidéré et
reste un long moment la bouche ouverte et les yeux ouverts comme des
soucoupes.
- Mais… qu'est-ce que… wouah ! C'est… Heu !
Je finis par rire de voir qu'il n'est pas capable d'aligner deux mots en suivants.
- Et encore, tu n'as pas tout vu, lui dis-je en l'embrassant. Le reste il faut
qu'on soit à l'intérieur pour te le montrer, autrement monsieur Craquou va
nous faire une crise cardiaque.

Monsieur Craquou, c'est notre voisin qui est toujours derrière sa fenêtre à épier
les allées et venues chez nous. Pour être honnête, ce ne serait pas la première
fois qu'il me verrait nue puisqu'il m'arrive souvent d'aller accueillir ou reconduire
mes amants mousquetaires à poil, et je les embrasse à pleine bouche en me
frottant comme une chatte contre eux rien que pour faire bander ce vieux
schnock.
En réalité il ne doit pas avoir plus de quarante-cinq ans et, depuis
l'épisode d'Adrien, je pense sérieusement à lui offrir plus, mais on verra ça plus
tard.
Je prends la main de Pierre et l'entraîne au salon où je l'installe confortablement
dans un fauteuil avec un bon verre.
- Tu restes là, je reviens dans deux minutes avec une surprise pour toi.
En principe, il n'est pas au courant de la présence de Valérie et je cours la
rejoindre à la cuisine.
- Valérie, Pierre est là. Je vais aller lui montrer les changements que j'ai
subis. Je lui ai parlé d'une surprise et je veux que tu viennes quand je
mettrai de la musique.
- Je reste habillée ou je viens en chienne ?

J'avoue que je ne sais pas ce qui serait le mieux.
- Je ne sais pas, fait comme te le sens.
- Je vais y réfléchir pendant que tu vas te montrer.
Prestement, j'enlève mes vêtements et mets le collier et la laisse avant de
retourner au salon. Quand il me voit entrer, Pierre est près de lâcher son verre et
il le rattrape de justesse.
- Wouah ! je…

- Non, ne dis rien, regarde et touche. Tu donneras ton avis plus tard.
Je m'approche de mon mari et viens me mettre à genoux à ses pieds pour qu'il
puisse me toucher. Il dépose son verre et tend ses mains vers moi. Longuement
il s'attarde sur mes seins et leurs anneaux puis il me montre mon pubis.
- Qu'est-ce que c'est ce pansement ?
C'est le moment de vérité.
- J'ai été circoncise, mais…
- Quoi ? Tu as été quoi ?
- Ne t'énerve pas, on m'a enlevé le prépuce qui couvrait mon clitoris. Un
peu comme pour les hommes qui sont décalottés. En réalité ; le clitoris
c'est une petite queue qui est comme celle des hommes recouverte d'une
petite peau, c'est cette peau qu'on a enlevée cet après-midi.
- Ça doit faire mal ?
- À peine une petite douleur, le seul vrai inconvénient pour toi et tes amis,
c'est que vous devrez vous passer de me prendre par là pendant une
semaine, le temps que ça cicatrise.
Il passe une main sur mon ventre en faisant attention au pansement.
- Tu n'as plus de poil non plus.
- Non et ça va devenir définitif, je dois retourner plusieurs fois pour achever
le travail. Ça te plaît ?
Il continue de me caresser le ventre et les seins et je vois une bosse révélatrice
se former entre ses jambes.
- Je crois que oui, répond-il en souriant. J'avoue que des surprises comme
celle-là j'en veux bien toutes les semaines.
Pierre se penche vers moi et me chuchote à l'oreille :
- Tu sais ce que j'aimerais que tu me fasses, mon cœur ?
Je lui souris en le repoussant doucement.
- Je crois j'ai une vague idée de ce que tu voudrais, mais j'ai encore une
surprise pour toi, après tu auras ta petite gâterie, je te le promets.
Il est un peu surpris de me voir me lever et me diriger vers la chaîne stéréo que
j'allume. Je fouille un moment dans les Cd pour trouver celui qui m'intéresse,
c'est Joe Cocker et naturellement je n'ai pas besoin de donner le titre de la
chanson, tout le monde connaît « neuf semaines et demie » et le fameux striptease de Kim.

- Tu me fais un strip à l'envers, me demande Pierre ?
Je pose un doigt sur mes lèvres pour lui faire comprendre qu'il doit se taire.
La porte de communication entre la cuisine et le salon s'ouvre lentement et un
pied apparaît. Pierre est fasciné par ce pied et par le genou qui vient
immédiatement après. Au rythme de la chanson, le pied danse puis une main
passe la porte en un geste d'invite. Le tout disparaît et réapparaît plusieurs fois
au fur et à mesure que la chanson avance.
Furtivement un sein et un ventre viennent troubler mon mari qui me regarde
sans comprendre. Quand la chanson prend fin, la main fait apparaître la poignée
de la laisse. Pierre se tourne vers moi avec des yeux interrogateurs. Des yeux, je
lui fais comprendre qu'il doit aller prendre la laisse, car j'ai compris l'idée de
Valérie, elle veut que Pierre la fasse venir au salon en la tenant par la laisse.
Mon mari se lève et va vers la porte, mais ne la passe pas, il se contente de
prendre la poignée de laisse et tire doucement.
Il lui faut quelques secondes pour se rendre compte de la personne qui se trouve
de l'autre côté de la laisse et il ouvre la bouche comme une carpe, mais se remet
bien vite de ses émotions et retourne vers le fauteuil en tenant toujours la laisse
et par la même occasion Valérie.
Il est un peu éberlué et me regarde intensément. Je sens une petite pointe de
jalousie, mais je sais que je n'en ai pas vraiment le droit étant donné que je ne
me prive pas de coucher avec d'autres hommes, devant lui et hors de sa
présence.
Je lui souris pour essayer de lui faire comprendre qu'il ne doit pas se préoccuper
de moi. De toute façon, Valérie, elle n'a pas les mêmes états d'âme que nous et
elle a déjà ouvert la ceinture de Pierre et commence à ouvrir sa braguette. Avec
une certaine impatience, elle sort le sexe de Pierre et le prend en bouche avant
même que mon mari ait le temps de se mettre convenablement dans le fauteuil.
Mon mari est tellement excité par la pipe que lui fait mon amie qu'il ne tarde pas
à lui offrir sa semence en longs jets au fond de sa gorge.
Je ne sais pas si elle est débutante dans ce genre de choses, mais je constate
qu'elle ne fait aucune manière pour avaler le sperme que lui donne
généreusement Pierre.
On attend toutes les deux qu'il reprenne contenance. C'est étrange la façon
qu'ont les hommes à presque s'endormir dès qu'ils jouissent, il leur faut parfois
de longues minutes avant d'être apte à faire autre chose. Une petite fellation de
rien du tout et ils sont dans les choux.
Il vide le verre que Valérie lui a servi. Nous sommes à genoux devant lui à
attendre son bon vouloir. Dès qu'il pose son verre, Valérie lui demande si elle
peut rester pour la soirée.
- Personnellement je ne vois pas ce qui pourrait t'empêcher de rester, donc
tu es notre invitée ce soir.
- Comment doit-on être, lui demande mon amie, nue ou habillée ?
Il nous regarde attentivement, manifestement il ne comprend pas pourquoi on lui
pose cette question. Je suis obligée de lui mettre les points sur les i.
- À titre d'information, Valérie ici présente est la sœur de Jacques.
- Oui et alors ?
- Alors, elle aimerait participer aux petits jeux des mousquetaires et elle ne
voit rien qui puisse empêcher son frère de participer, mais évidemment
nous ne savons pas ce qu'en pense Jacques.
Ça y est cette fois, la pièce est tombée et il a compris le problème.
- Ha ! Mais ça, c'est le problème de Jacques et de Valérie. Le plus simple, c'est que tu décides, de toutes manières, il te verra à poil, il verra tes nichons, et ta fente lisse,donc choisi.
Charlotte - Donc on s'habille ?
Pierre - Je crois que c'est préférable, mais vous n'êtes pas obligées de vous
habiller comme des nonnes.
Valérie - Ho ! Mais j'ai bien l'intention de restée à poil, et si
mon frère est un pète-sec, tant pis pour lui.
Pierre sourit de la répartie de mon amie.
- Bien ! puisque c'est réglé, je vais aller prendre une douche avant que les
autres arrivent.
Il se lève et nous donne une petite tape sur les fesses.
- Et vous, vous allez vous refaire une beauté, je veux être fière de vous ce
soir.

La montagne a accouché d'une souris, Jacques ne s'intéresse pas le moins du
monde à sa sœur. C'est ma bouche qu'il veut pour regarder sa sœur se faire
enculer par ses amis et la voir les sucer.
Quand ils partent, je me sens un peu frustrée d'avoir été laissée pour compte au
profit de mon amie, probablement l'attrait de la nouveauté a-t-elle primé.
Je voudrais me masturber, mais c'est une chose qui m'est interdit pour au moins
une bonne semaine. J'ai bien essayé de le faire par-dessus le pansement, mais je
n'ai réussi qu'à me faire mal et j'ai arrêté.
Je passe près d'une heure dans la salle de bain à essayer de me laver pendant
que Pierre est parti reconduire Valérie chez elle. Je suppose qu'il va en profiter
pour se faire faire une gâterie avant de revenir. Je ressens encore cette petite
pointe de jalousie, mais sans plus.
J'ai fini par trouver une culotte en plastique, je fixe autour de mes cuisses avec
du sparadrap et je fais la même chose autour de la taille. Je me risque sous la
douche, ça à l'air de tenir. Malgré tout, je n'ose pas rester trop longtemps sous le
jet d'eau et, après m'être essuyée, je retire la culotte et continue ma toilette
avec un gant en évitant de toucher au pansement.
C'est Pierre qui me fait un nouveau pansement. Il a tenu à attendre deux jours
avant de retirer celui du médecin. Il a refusé que je regarde avec un miroir pour
voir ce qu'on m'avait fait. Il est doué, car son pansement est aussi bien fait que
celui du docteur.
Je peux me rendre compte de ce que cela donne, car dès qu'il est parti au
boulot, je me précipite chez Valérie et cette fois, c'est moi qui lui change son
pansement.
C'est incroyable de voir un clitoris sans son capuchon protecteur. On dorait
vraiment un sexe d'homme miniature. Ce qui m'inquiète c'est de voir la petite
plaie et le sang séché. Pourtant, tandis que je soigne mon amie, je ne peux
m'empêcher de donner un petit coup de langue sur le petit bouton qui se dresse
immédiatement.
- Continue, me dit mon amie.
Elle est presque suppliante et je me penche à nouveau entre ses cuisses et
recommence ma petite caresse buccale. Très vite Valérie gémit et me demande
d'arrêter.
- Ça fait mal, arrête.
Moi qui avais vaguement espéré que cela lui procurerait du plaisir et qu'elle
pourrait me rendre la pareille, je dois me rendre à l'évidence, il faut qu'on
respecte les instructions de la femme médecin.
Deux fois, avant mon prochain rendez-vous avec monsieur Jean, je me suis
présentée avec Valérie chez madame Claire. On devra encore y aller plus tard
pour continuer l'épilation, mais plus pour les diverses petites opérations que nous
avons subies, les cicatrisations sont parfaites. Nous pouvons reprendre une vie
normale.
En vain je tente de convaincre Valérie de ne pas m'accompagner chez monsieur
Jean, mais elle refuse et je suis bien obligée de la laisser venir avec moi. Au pied
de l'immeuble, je tente une dernière fois de la décourager.
- Tu ne sais pas ce qui t'attend, ce n'est pas une partie de plaisir.
- Je sais, me répond-elle, j'y ai réfléchi depuis un bon mois et je veux aller
avec toi et voir ce que je suis capable de faire.
- Ma chérie, tu ne vas pas avoir l'occasion de faire quoique ce soit, ce sont
eux qui te feront ce dont ils ont envie.
- Alors, je ferai comme toi, je subirai.
Avant de quitter son appartement, je lui ai montré comment elle devait se
préparer. Nous avons quitté son domicile harnachées comme l'a exigé monsieur
Jean. Le plus difficile ça a été de s'enfoncer la poignée de la laisse dans le ventre
et surtout de la faire rester en place. À chaque pas, la poignée a tendance à
sortir de sa cachette, je l'ai donc attaché avec une fine corde que j'ai fait passer
par ma taille. C'est comme si j'avais un string ficelle mis à part que le cache-sexe
est remplacé par un maillon de la laisse.
Elle est un peu pâle quand on arrive sur le palier de monsieur Jean. Elle se met à
côté de moi et c'est ensemble que nous enlevons notre robe qui est roulée en
boule pour être fourrée dans notre sac à main.

On défait la petite corde en forme de string. Je lui prends la main et quand elle
me serre la main plus fort, je pousse sur le bouton de la sonnette. Pour moi, ce
n'est pas une première et j'avoue que je n'ai plus tellement peur d'être surprise
dans cette tenue puisque je sais qu'il n'y a que trois locataires et que les trois
ont eu l'occasion de se servir de mes charmes à leur guise, mais Valérie ne
connaît pas encore Adrien et elle scrute le moindre bruit qui pourrait laisser
entendre que quelqu'un monte les escaliers.
La porte s'ouvre doucement et nous poussons un cri en même temps ; ce n'est
pas monsieur Jean qui vient nous ouvrir. Dans un geste de pudeur inutile, mais
instinctif, nous mettons un bras devant nos seins et une main sur notre pubis.
L'homme ne dit pas avoir plus de trente ans, il n'est pas spécialement beau, on
dirait Charles Bronson. Il est aussi massif et râblé que l'acteur américain. Il
sourit et ses yeux pétillent de malice.
- Caroline et Valérie, je suppose ?
Sa voix est chaude et sensuelle. Je jette un coup d'œil à mon amie qui reste la
bouche ouverte. Le jeune homme ne la quitte pas des yeux, il tend la main pour
prendre la laisse qui pend entre les seins de Valérie et doucement la fait avancer.
Je regarde alternativement les deux jeunes gens et je me rends compte que je
viens d'assister à un coup de foudre.
L'homme ne s'intéresse absolument pas à moi, seule Valérie semble avoir le
pouvoir de retenir son attention. Je les suis au salon où nous attendent, outre
monsieur Jean, Adrien et un autre homme de leur âge.
C'est Adrien qui est le premier à réagir à mon entrée, il se précipite et prend la
laisse qui pend à mon cou et m'entraîne directement dans la petite pièce. Je n'ai
pas le temps de faire ou de dire quoique ce soit que je suis attachée sur la table.
Alors qu'Adrien fixe mon dernier poignet, l'inconnu s'est installé entre mes
jambes et il s'apprête à me baiser quand Adrien crie.
- La capote, mon cher ami, la capote.
L'homme rechigne un peu, mais passe très vite un préservatif et sa queue
s'enfonce en moi tandis qu'Adrien me présente la sienne à sucer.
Je passe une partie de l'après-midi à satisfaire les deux hommes. Pour une fois,
je n'ai pas le plaisir de voir monsieur Jean qui doit être occupé avec mon amie.
Quand il est l'heure de me conduire chez François, je retrouve monsieur Jean, le
jeune homme et Valérie. Elle est à genoux entre les deux hommes et me tourne
le dos. Les fesses de Valérie sont rouges et striées, je suppose qu'elle a reçu une
fessée à la cane.
Adrien et son ami dont je ne connais pas le nom partent en me laissant aux bons
soins de monsieur Jean.
- Ma petite Charlotte, me dit monsieur Jean, je m'excuse de t'avoir laissée
aux mains de ses barbares, mais je devais faire la connaissance de la
charmante Valérie qui semble avoir conquis le cœur de mon cher neveu,
Roger.
- Heu ! Enchantée, dis-je en saluant le jeune homme qui semble toujours
aussi subjugué par mon amie.
- Comme je ne crois pas que notre cher François vous attend toutes les
deux, je crois que Valérie va repartir d'ici avec Roger. Cela ne te dérange
pas, n'est-ce pas Charlotte ?
- Heu ! Non, elle est libre de faire ce qu'elle veut.
- Alors, c'est parfait. Je vais te conduire chez mon locataire, mais avant, la
petite cérémonie de la quittance.
Je sais ce qu'il va faire et je m'accroupis légèrement en écartant les cuisses. Il
enfonce la quittance emballée dans un plastique, dans ma chatte et prend la
laisse et me fait sortir sur le palier. Il s'apprête à sonner quand il change
brusquement d'avis.
- Ha ! Mais j'allais oublier. Comme tu ne sembles ne plus avoir peur d'être surprise
à poil sur le palier, ce que je comprends parfaitement d'ailleurs, j'ai eu une
autre idée pour ta prochaine visite.
Il fouilla quelques secondes dans sa poche et sortit une sorte de carte de crédit.
Il la glissa dans mon sac à main.
- Je te rassure, ce n'est pas une carte de crédit, c'est juste une carte de
parking du sous-sol, le numéro de l'emplacement est noté sur la carte.
- Vous voulez que je me gare dans le parking souterrain de l'immeuble.
- Tu as tout compris, mais, car il y a un mais, tu devras te mettre nue au
sous-sol et laisser tes vêtements dans le coffre de ta voiture.
Naturellement tu seras en chienne comme aujourd'hui et tu devras monter
par les escaliers jusque chez moi, les nichons et la fente à l'air, pour pouvoir être surprise à poil par des habitants d'étages inférieure au mien, car entre chaque étages, tu dois longer le couloir d une cinquantaine de mètre de long, afin de te rendre aux autres escaliers, qui te permettront d'arrivée à l'étage supérieur
Elle est pas belle la vie ?
- Je… Ne sais pas si…
- Mais si tu vas le faire, j'en suis sur.
Il poussa sur le bouton de sonnette de chez François et commença à reculer pour
rentrer chez lui.
- Au fait, j'ai oublié de te dire, il y a des caméras de surveillance
partout dans les parties communes du batiment.

Comme d'habitude, je passe une heure chez François avant qu'il ne me laisse
rentrer chez moi. Il s'est contenté d'une fellation rapide.
À la maison, Pierre n'est pas encore rentré et j'en profite pour prendre une
longue douche bien chaude pour faire partir les restes de sperme qui colle à ma
peau, je me lave même le vagin avec la douche et j'en profite pour me
masturber avec le jet de la douche jusqu'à la jouissance.
Pierre n'est pas du genre curieux et ne me demande jamais de lui raconter mes
après-midi avec ses amis. Parfois j'aimerais pouvoir lui parler de ce que je
ressens, mais cela ne l'intéresse pas le moins du monde. Il sait depuis les
anneaux et la circoncision que mes fantasmes vont bien au-delà de coucher avec
ses amis, mais ça n'a pas vraiment l'air de l'inquiéter. Par contre moi, je suis de
plus en plus perturbée par mes envies qui prennent le pas sur le reste. C'est vrai
qu'à choisir entre quelques heures avec Karim et sa tendresse et deux jours chez
monsieur Jean, je n'hésite pas une seconde à me rendre chez le sadique.
D'ailleurs, je suis un peu en manque puisque je n'ai servi que de putain cet
après-midi, monsieur Jean étant occupé avec mon amie. En parlant de Valérie, je
me demande où elle est et ce qu'elle fait.
Après deux jours sans nouvelle, je me décide à me rendre chez elle pour
entendre sa concierge m'annoncer qu'elle est venue avec un jeune homme
et qu'elle est repartie avec deux grosses valises qui avaient l'air d'être très
lourdes. J'essaye de la contacter par téléphone, mais je tombe chaque fois sur sa
boîte vocale. Je lui laisse des messages, mais elle n'y répond pas, je suis inquiète
pour elle. Je l'imagine tombée aux mains de pervers qui en font leurs jouets
sexuels et qui vont la vendre à un émir du Moyen-Orient ou pire encore.
Je décide donc de me rendre chez monsieur Jean pour avoir des explications sur
son fameux neveu Roger. C'est Jean qui vient m'ouvrir. Je suis prête au combat
et s'il fait une allusion à ma tenue qui n'est pas correcte pour venir chez lui, je lui
casse les dents avec mon parapluie que j'ai pris comme arme.
- Bonjour, madame, comment allez-vous ?
Je suis abasourdie par l'accueil.
- Entrez, je vous en prie !
Muette de stupeur, je le suis dans l'appartement que je commence à connaître.
Valérie est là, tranquillement assise dans un fauteuil du salon, d'une main elle
tient son verre de cognac et de l'autre la main du mystérieux Roger. Elle dépose
son verre et se lève pour venir m'embrasser.
- Je te l'avais bien dit qu'elle remuerait ciel et terre pour me retrouver.
Forcément, elle devait venir chez ton oncle et elle est là.
- Tu pourrais donner de tes nouvelles, lui dis-je en la serrant dans mes
bras. Je t'ai laissé une bonne dizaine de messages et tu ne daignes même
pas y répondre.
- Excuse-moi, mais mon mobile est tombé et il est cassé, je dois en acheter
un nouveau.
Monsieur Jean me présente un fauteuil voisin de celui de Valérie.
- Prenez place, Charlotte. Vous voulez un petit verre pour vous remettre ? Un
cognac peut-être ?
- Heu ! Oui, merci beaucoup.
Je passe un long moment à discuter avec mon amie et les deux hommes comme
s'ils étaient des amis. Valérie m'explique qu'elle a eu le coup de foudre pour
Roger qui est Avocat au barreau de Bordeaux et qu'elle va le suivre pour voir si
elle est capable de vivre avec lui.
Je les quitte une bonne heure plus tard, rassurée pour mon amie et après lui
avoir arraché la promesse de me téléphoner au moins une fois par semaine.

Les avis des lecteurs

Pour être certain que vous lisiez mon
commentaire laissé sur la dernier histoire de Pléonasme, je vous la recopie ici.


@ Charlotte la Salope
J’avais perçu un peux plus de vibrations dans votre cerveau. Vraiment désolé, je me suis trompé

Histoire Erotique
Bonjour Charlotte,
Toujours très excitante, tes histoires!
Vivement la suite avec ton arrivée par le parking du sous-sol !!!
Pour écrire tes histoires, t'es tu inspirée de fantasmes ou de quelques morceaux de réalité ?
En tout cas bravo! J'espère qu'après tes 4 chapitres restants, tu continuera d'écrire...
Le nouvel admirateur

Lecteur, le récit n'est pas fini, il y a encore 4 chapitres

Histoire Erotique
Dommage la fin est u peu rapide et manque de détails sur ton ressenti avec ta circoncision et tes anneaux on aurait pensé qu’ils auraient servi pour leur plaisir. Merci pour ce moment de partage. J’espère que tu auras d’autres fantasmes à nous raconter.

Pléonasme, on ne peut pas être à 100% sur ton les chapitres, désolée

Ça manque un peu de détails, on passe très rapidement d'une action à une autre sans les développer par rapport aux autres chapitres, c'est dommage.



Texte coquin : Les cinq doitgs de la main 6
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