Les circonstances font que ... 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les circonstances font que ... 2
Les jours passent, Arnaud doit se forcer pour honorer sexuellement sa femme. Justine le trouve de moins en moins ardent. Elle soupçonne qu'il lui cache quelque chose. Jamais entre eux, il n'y a eu de secrets, ils se sont toujours tout dits. Une fois au lit, Justine se lance :
-Qu'est-ce que tu as mon chéri, depuis quelque temps, tu n'es plus le même, tu me caches quelque chose avoue !
C'est en se raclant la gorge bruyamment qu'Arnaud, honteux, lui dit, que son patron est à Paris, et lui raconte, tout ce qui se passe à la ferme depuis l'absence du boss. Justine n'en croit pas ses oreilles, ses yeux s'emplissent de larmes. Arnaud lui demande pardon, de cet écart, elle se met sur le flanc en reniflant. Il se colle tendrement contre elle, la serre contre lui et lui murmure des mots tendres à l'oreille. Comme par miracle, sa queue devient dure.
Justine sent contre ses fesses le membre dur, inconsciemment, elle agite sa croupe. Lentement, le mari infidèle, remonte doucement la nuisette sur les hanches de sa femme, comme elle ne porte pas de sous-vêtement pour dormir. Il fait glisser sa verge dans le large sillon. Son gland butte plusieurs fois contre l'anneau ridé, mais le coquin résiste aux pressions constantes du gland qui veut le forcer. Justine souffle en s'arcboutant fortement. La verge descend de quelques centimètres et prend la direction du temple de Vénus.
Le gland glisse contre les grandes lèvres, Arnaud le maintient contre la fente puis pousse doucement. Justine pousse un long râle pendant toute la pénétration. Arnaud commence un doux va-et-vient comme pour se faire pardonner. Justine commence à gémir, bien qu'elle en veuille à l'homme qui la cocufie, elle agite doucement sa croupe. Rapidement Justine jouit, son souffle est haletant. Arnaud se bloque en poussant un grognement rauque, et remplit de sa semence le ventre de la femme de sa vie.
C'est le week-end, Justine et son mari sont invités chez Mathilde et Gaston pour le déjeuner. Justine semble avoir pardonné à son mari son écart, car elle ne lui en parle pas. Sans la salle de bain, elle se plaque contre ses fesses, passe sa main entre ses cuisses et saisit le membre qu'elle sait faire rapidement durcir. La verge d'Arnaud et tendue comme un mât de cocagne. Les deux entrent dans la douche, Justine ouvre le robinet et les corps rapidement sont couverts de gouttelettes de rosées fumantes.
Arnaud savonne longuement le corps magnifique de sa femme, le coquin s'attarde sur les parties intimes. Justine lui rend le même service. Elle savonne longuement la verge toute en la branlant, de sa main libre, elle lui caresse les fesses. Ses doigts glissent dans la raie, deux doigts appuient sur l'anus. Arnaud se raidit légèrement, Justine appuie plus fort, les deux doigts s'enfoncent profondément dans le fondement de son mari, qui est surprit par cet attouchement rectal. Justine ramone la gaine étroite en accélérant le rythme. Elle délaisse la bite pour se consacrer uniquement au rectum qu'elle fouille rageusement. La coquine prend plaisir à faire subir à son mari un enculage digital vigoureux.
Arnaud se cabre, en jouissant, il envoie un jet de sperme contre la paroi de la douche. Le sperme glisse sur la vitre embuée. Justine accélère, une nouvelle giclée rejoint la première. Elle retire ses doigts du rectum, saisit la verge et commence à donner plusieurs tapes sur les couilles. Arnaud se cabre en grimaçant. Justine frappe plus fort, une jouissance terrible fait gémir Arnaud. Il tombe à genoux, et plaque sa bouche sur la vulve de sa femme, il lui dévore jusqu'à ce qu'elle jouisse. Son corps tremble, elle jouit plusieurs fois en geignant comme une bête malade.
Enfin, ils sortent de la salle d'eau. Justine enfile une jupe mi-cuisses, ses jolies jambes le permettent. Elle passe sur son torse un top court qui lui couvre juste les seins. Arnaud, lui, opte pour un pantalon de toile et d'un t-shirt.
Ils arrivent chez leurs amis, qui sont heureux de les voir, bien qu'ils se voient souvent, les embrassades sont toujours interminables. Mathilde porte une robe avec de fines bretelles, fermée dans le dos avec une fermeture Éclair. La coquine ne doit pas porter de soutien-gorge, car en voient nettement les mamelons appuyer fortement sur le fin tissu. Gaston lui est en short et un marcel sur le torse. Mathilde et Justine sont très tactiles, elles ne cessent de se caresser le dos et les hanches en souriant. Le bouchon de champagne saute pour l'apéro, Justine adore de breuvage pétillant, qui enivre. Mathilde et Gaston, ne lui laissent jamais le verre vide.
Pendant que les hommes se lancent dans une discution sportive, les femmes se caressent les mains en comparant leur grain de peau. Elles se complimentent sur leur tenue, ne cessent de se sourire en s'envoyant des œillades qui veulent dit beaucoup de choses. Justine et Mathilde en sont à leur quatrième verre de champagne. Les deux commencent à être un peu euphoriques. Les deux hommes ne cessent de trinquer, ils cherchent sûrement à les enivrer. Enfin, l'apéro prend fin. Les deux femmes dressent la table, en riant comme des enfants. Gaston verse un verre de bon vin, pendant que Mathilde demande à Justine de l'aider, elles se rendent à la cuisine.
En prenant les plats d'entrées, leurs corps se frôlent, le bassin de l'une d'elle glisse contre les fesses de l'autre, elles se regardent, leurs yeux brillent. Soudain Mathilde, pose le plat et enlace Justine, elle la serre très fort, elle ondule du bassin en se frottant contre le fessier de son amie. Elle lui dit :
-Ma chérie, tu as un cul d'enfer, tu ne peux pas savoir comme tu m'excites hum si seulement tu le voulais, je suis capable de devenir lesbienne !
Justine, habilement, se dégage et en souriant lui répond :
-Ma chérie, je ne suis pas encore prête à sauter le pas !
Et en lui donnant un baiser bruyant sur les lèvres, ajoute :
-On ne sait pas ce que l'avenir nous réserve ma chérie !
Le repas est délicieux, Gaston est un vrai chef cuisinier. À chaque plat, un vin différent. Les femmes sont plus grisées que les hommes. Mathilde fait les doux yeux à Justine, la coquine lui répond en lui faisant des clins d'œil. À chaque fois qu'elles se rendent à la cuisine, Mathilde l'enlace, la serre fortement contre elle et cherche ses lèvres. Pendant un moment, Justine résiste aux lèvres gourmandes de son amie. Mais les caresses, de plus en plus précisent, de Mathilde sur son corps, commence à porter leurs fruits. Leurs lèvres finissent par se joindre pour un long baiser. Les langues se nouent, les salives se mêlent.
Mathilde est heureuse, elle passe sa main sous la jupe de Justine et lui caresse doucement l'entrejambe. Sans lui lâcher les lèvres, la coquine frotte à travers la culotte la fente qui commence à fuir. La culotte s'humidifie rapidement. La tension monte dans les corps. Justine doucement repousse Mathilde et revient avec un plat. Mathilde la suit de très près, elle remplit son verre et celui de Justine. L'alcool fait son effet, maladroitement Mathilde casse un verre. Gaston la regarde en souriant et lui dit, pour ça, tu mérites une fessée ma chérie !
Tous se regardent, et en cœur scandent :
-Chiche, la fessée, la fessée, la fessée !
Gaston saisit sa femme par le bras et la place sur ses genoux, et sans gêne, lui retrousse la robe, il lui baisse la culotte à mi-cuisses et commence à frapper, la fessée, n'est pas violente. Gaston invite Justine à venir corriger sa femme maladroite. Justine, avant de frapper, caresse les fesses qui commencent à rougir. Elle donne deux tapes, puis reprend ses caresses. Mathilde agite doucement sa croupe. Gaston en riant dit :
-Mais c'est qu'elle aime ça la salope, je suis sûr qu'elle mouille !
Il lui glisse sa main entre les cuisses, puis il éclate de rire :
-Mais oui, elle mouille, oh la vache !
Justine veut en avoir le cœur net. Elle glisse sa main et frotte vicieusement la chatte de son amie qui est trempée. Elle retire sa main et dit en souriant :
-Je le confirme, Mathilde mouille !
-Qu'est-ce que tu as mon chéri, depuis quelque temps, tu n'es plus le même, tu me caches quelque chose avoue !
C'est en se raclant la gorge bruyamment qu'Arnaud, honteux, lui dit, que son patron est à Paris, et lui raconte, tout ce qui se passe à la ferme depuis l'absence du boss. Justine n'en croit pas ses oreilles, ses yeux s'emplissent de larmes. Arnaud lui demande pardon, de cet écart, elle se met sur le flanc en reniflant. Il se colle tendrement contre elle, la serre contre lui et lui murmure des mots tendres à l'oreille. Comme par miracle, sa queue devient dure.
Justine sent contre ses fesses le membre dur, inconsciemment, elle agite sa croupe. Lentement, le mari infidèle, remonte doucement la nuisette sur les hanches de sa femme, comme elle ne porte pas de sous-vêtement pour dormir. Il fait glisser sa verge dans le large sillon. Son gland butte plusieurs fois contre l'anneau ridé, mais le coquin résiste aux pressions constantes du gland qui veut le forcer. Justine souffle en s'arcboutant fortement. La verge descend de quelques centimètres et prend la direction du temple de Vénus.
Le gland glisse contre les grandes lèvres, Arnaud le maintient contre la fente puis pousse doucement. Justine pousse un long râle pendant toute la pénétration. Arnaud commence un doux va-et-vient comme pour se faire pardonner. Justine commence à gémir, bien qu'elle en veuille à l'homme qui la cocufie, elle agite doucement sa croupe. Rapidement Justine jouit, son souffle est haletant. Arnaud se bloque en poussant un grognement rauque, et remplit de sa semence le ventre de la femme de sa vie.
C'est le week-end, Justine et son mari sont invités chez Mathilde et Gaston pour le déjeuner. Justine semble avoir pardonné à son mari son écart, car elle ne lui en parle pas. Sans la salle de bain, elle se plaque contre ses fesses, passe sa main entre ses cuisses et saisit le membre qu'elle sait faire rapidement durcir. La verge d'Arnaud et tendue comme un mât de cocagne. Les deux entrent dans la douche, Justine ouvre le robinet et les corps rapidement sont couverts de gouttelettes de rosées fumantes.
Arnaud savonne longuement le corps magnifique de sa femme, le coquin s'attarde sur les parties intimes. Justine lui rend le même service. Elle savonne longuement la verge toute en la branlant, de sa main libre, elle lui caresse les fesses. Ses doigts glissent dans la raie, deux doigts appuient sur l'anus. Arnaud se raidit légèrement, Justine appuie plus fort, les deux doigts s'enfoncent profondément dans le fondement de son mari, qui est surprit par cet attouchement rectal. Justine ramone la gaine étroite en accélérant le rythme. Elle délaisse la bite pour se consacrer uniquement au rectum qu'elle fouille rageusement. La coquine prend plaisir à faire subir à son mari un enculage digital vigoureux.
Arnaud se cabre, en jouissant, il envoie un jet de sperme contre la paroi de la douche. Le sperme glisse sur la vitre embuée. Justine accélère, une nouvelle giclée rejoint la première. Elle retire ses doigts du rectum, saisit la verge et commence à donner plusieurs tapes sur les couilles. Arnaud se cabre en grimaçant. Justine frappe plus fort, une jouissance terrible fait gémir Arnaud. Il tombe à genoux, et plaque sa bouche sur la vulve de sa femme, il lui dévore jusqu'à ce qu'elle jouisse. Son corps tremble, elle jouit plusieurs fois en geignant comme une bête malade.
Enfin, ils sortent de la salle d'eau. Justine enfile une jupe mi-cuisses, ses jolies jambes le permettent. Elle passe sur son torse un top court qui lui couvre juste les seins. Arnaud, lui, opte pour un pantalon de toile et d'un t-shirt.
Ils arrivent chez leurs amis, qui sont heureux de les voir, bien qu'ils se voient souvent, les embrassades sont toujours interminables. Mathilde porte une robe avec de fines bretelles, fermée dans le dos avec une fermeture Éclair. La coquine ne doit pas porter de soutien-gorge, car en voient nettement les mamelons appuyer fortement sur le fin tissu. Gaston lui est en short et un marcel sur le torse. Mathilde et Justine sont très tactiles, elles ne cessent de se caresser le dos et les hanches en souriant. Le bouchon de champagne saute pour l'apéro, Justine adore de breuvage pétillant, qui enivre. Mathilde et Gaston, ne lui laissent jamais le verre vide.
Pendant que les hommes se lancent dans une discution sportive, les femmes se caressent les mains en comparant leur grain de peau. Elles se complimentent sur leur tenue, ne cessent de se sourire en s'envoyant des œillades qui veulent dit beaucoup de choses. Justine et Mathilde en sont à leur quatrième verre de champagne. Les deux commencent à être un peu euphoriques. Les deux hommes ne cessent de trinquer, ils cherchent sûrement à les enivrer. Enfin, l'apéro prend fin. Les deux femmes dressent la table, en riant comme des enfants. Gaston verse un verre de bon vin, pendant que Mathilde demande à Justine de l'aider, elles se rendent à la cuisine.
En prenant les plats d'entrées, leurs corps se frôlent, le bassin de l'une d'elle glisse contre les fesses de l'autre, elles se regardent, leurs yeux brillent. Soudain Mathilde, pose le plat et enlace Justine, elle la serre très fort, elle ondule du bassin en se frottant contre le fessier de son amie. Elle lui dit :
-Ma chérie, tu as un cul d'enfer, tu ne peux pas savoir comme tu m'excites hum si seulement tu le voulais, je suis capable de devenir lesbienne !
Justine, habilement, se dégage et en souriant lui répond :
-Ma chérie, je ne suis pas encore prête à sauter le pas !
Et en lui donnant un baiser bruyant sur les lèvres, ajoute :
-On ne sait pas ce que l'avenir nous réserve ma chérie !
Le repas est délicieux, Gaston est un vrai chef cuisinier. À chaque plat, un vin différent. Les femmes sont plus grisées que les hommes. Mathilde fait les doux yeux à Justine, la coquine lui répond en lui faisant des clins d'œil. À chaque fois qu'elles se rendent à la cuisine, Mathilde l'enlace, la serre fortement contre elle et cherche ses lèvres. Pendant un moment, Justine résiste aux lèvres gourmandes de son amie. Mais les caresses, de plus en plus précisent, de Mathilde sur son corps, commence à porter leurs fruits. Leurs lèvres finissent par se joindre pour un long baiser. Les langues se nouent, les salives se mêlent.
Mathilde est heureuse, elle passe sa main sous la jupe de Justine et lui caresse doucement l'entrejambe. Sans lui lâcher les lèvres, la coquine frotte à travers la culotte la fente qui commence à fuir. La culotte s'humidifie rapidement. La tension monte dans les corps. Justine doucement repousse Mathilde et revient avec un plat. Mathilde la suit de très près, elle remplit son verre et celui de Justine. L'alcool fait son effet, maladroitement Mathilde casse un verre. Gaston la regarde en souriant et lui dit, pour ça, tu mérites une fessée ma chérie !
Tous se regardent, et en cœur scandent :
-Chiche, la fessée, la fessée, la fessée !
Gaston saisit sa femme par le bras et la place sur ses genoux, et sans gêne, lui retrousse la robe, il lui baisse la culotte à mi-cuisses et commence à frapper, la fessée, n'est pas violente. Gaston invite Justine à venir corriger sa femme maladroite. Justine, avant de frapper, caresse les fesses qui commencent à rougir. Elle donne deux tapes, puis reprend ses caresses. Mathilde agite doucement sa croupe. Gaston en riant dit :
-Mais c'est qu'elle aime ça la salope, je suis sûr qu'elle mouille !
Il lui glisse sa main entre les cuisses, puis il éclate de rire :
-Mais oui, elle mouille, oh la vache !
Justine veut en avoir le cœur net. Elle glisse sa main et frotte vicieusement la chatte de son amie qui est trempée. Elle retire sa main et dit en souriant :
-Je le confirme, Mathilde mouille !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la suite!
Merci pour vos commentaires
Vivement la suite !!!!
Linsee vous être une auteure prolifique mais aussi très imaginative...
Lolo.
Linsee vous être une auteure prolifique mais aussi très imaginative...
Lolo.
Toujours aussi excitantes tes histoires ma chère Linsee
Cyrille
Cyrille