Les cochonnes d'entre deux

- Par l'auteur HDS Nelson52 -
Récit érotique écrit par Nelson52 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les cochonnes d'entre deux Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Les cochonnes d'entre deux
Mon dernier récit expliquait la fin de ma relation avec Aurore.

http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=18206

Depuis mes expérience vécues avec Claire et sa mère, Aurore, sa copine et sa demi sœur, j'étais devenu littéralement accro au sexe. Je me réveillais en y pensant, je me couchais en y pensais. Cette nouvelle drogue avait changé mon comportement et j'étais devenu plus sûr de moi.
Je n'avais plus peur d'aborder les filles, ce qui était très pratique. Par contre, je découvris les joies du râteau car la "drague" en boite entre pote n'était pas mon fort. Faire le malin en public ne fonctionnait pas alors il me fallait autre chose.
Cette chose fut l'écoute (mais aussi la patience). Désormais je travaillais à nouer des liens d'amitiés forts avec mes connaissances féminines pour en tirer le saint Graal. J'avais maintenant 20 ans.

Ma première "conquête" n'était pas glorieuse. Après avoir passé des soirées entière à écouter Amélie me parler de ses problèmes familiaux et de sa dépendance au cannabis, je réussi à tirer quelque faveurs sexuelles contre un cotisation afin que la jeune fille se paye ses mégots.
Contre 10€ et mon silence, Amélie me faisait des fellations. 20€ et je pouvais la pénétrer avec préservatif (il valait mieux). A l'époque j'étais en train d’abandonner mes études supérieures avec dans l'idée de rentrer dans l'armée. Mes premières paies d’intérim ont largement contribué à me payer ces petits plaisir. J'y allais 2 à 3 fois par semaine jusqu'à ce que l'intéressée décide d’arrêter ses conneries et prenne sa vie en main.

Je n'avais donc plus de femme sous la main, et d’ailleurs plus de travail. Je glandais en attendant mon concours pour l'armée. Les nuits passées avec mes potes à picoler et jouer aux jeux vidéos ne comblaient pas mes attentes. De plus le fait de rentrer me coucher quand mon père se levait pour aller au boulot n'arrangeait pas l'ambiance à la maison. Je décidais donc de me rapprocher d'une mes copine d'enfance, une voisine, qui avait "profité" de son handicap pour quitter l'école à 14 ans pour rester chez ses parents à rien faire. On avait été à l'école ensemble et on avait eu quelques rapprochement à l'age de 15ans lors de notre première cuite à la bière. On en riait souvent dès qu'on se voyait mais vu mon état de manque, il fallait que je passe à la vitesse supérieure.
Après plusieurs jours passés dans sa chambre à écouter ses problèmes de fille, à écouter des chansons des années 80, quelque chose était né entre nous. On était des confidents. Bien sur elle voulait qu'on reste ami...
Elle m'avait confié comment s'était passé son dépucelage contre l'histoire du mien. J'avais accepté ses conditions de simple ami pour retenter une approche plus tard mais le temps commençait à paraitre long.
Un jour, une de ses proposition allait me délivrer de l'attente. Sandy voulait faire des photos de nue ! Elle n'avait confiance qu'en moi pour être discret. C'était des clichés pour elle pour se rappeler comment elle était étant jeune... du nu artiste quoi...
Voici comment s'est déroulé la séance.

Sandy : Bon Nelson, il faut que je te demande quelque chose.

Nelson : Oui, qu'est ce qu'il y a ?

S : D'abord tu dois me promettre que cela restera entre nous et que tu n'en parlera pas aux autres, même si on devait se brouiller un jour.

N : Wouaw, c'est pas grave quand même ?

S : Non... (Sandy hésita un petit moment avant de poursuivre)
Je voudrais faire des photos de moi...

N : Ouais ok, je pense avoir compris. Tu veux dire du nu c'est ça ?

S : Oui (et elle m'expliqua pourquoi en me faisant promettre etc etc )

N : Heu tes parents ne risquent pas de nous déranger ?

S : Est ce que ma mère est déjà monté dans ma chambre ? (j'étais tout bête. Son père était en fauteuil et sa mère avec des soucis à la hanche )

N : Non...

S : Bon je veux faire quelques photos avec des dessous pour commencer.

Sandy se déshabilla devant moi sans gène. Je l'aidais même à ôter son pantalon car elle avait les mêmes problèmes de jambes que son père, mais à un stade encore pas trop évolué. Elle enleva ses sous vêtement "normaux" pour passer un ensemble très sexy. Au passage je pu admirer son sexe taillé en ticket de métro et ses adorables petits seins bien fermes. Sandy avait un corps très mince, ce qui me changeait de mes dernières conquêtes (sans compter Amélie).

S : Bon tu me trouve comment ?

N : Tu es carrément trop belle ! Je comprends que ton ex avait envie de te chopper tous les jours !

S : Hahaha ! T'es con ! Bon je prends des pauses.

Après plusieurs photos assez soft, Sandy essaya un autre ensemble, cette fois ci assez coquin. Le soutient gorge ne cachait pas les tétons et le string faisait seulement office de ficelle sur les cotés tellement la bande de tissu centrale était étroite.

N : Oh la vache, c'est pas le genre de truc qu'on met pour aller faire les courses ça !

S : C'est mon ex qui me l'a offert celui là. Et je le met pour sortir mais personne ne le sait, hihihi !

N : Ben moi maintenant je sais !

S : Aller on fait des pauses.

Cette fois ci les positions étaient tout de même plus osées. On sortait doucement du nu artistique pour entrer dans la provocation. Sandy se mis à genoux pour que je prenne un cliché de ses fesses. Le tissu du string était à la limite de se faire avaler par sa fente. Je ne vous parle même pas de son anus qui ne demander qu'à être libéré de cette ficelle. La bande de tissu finissait très (trop) rapidement en ficelle et j'avais donc un anus avec seulement un trait par dessus.

N : Il cache pas grand chose ton machin là.

S : Ah bon ?

N : Tiens regardes.

Je passais l'appareil photo numérique (un des premiers) à Sandy pour qu'elle s'aperçoive du spectacle que je venais de voir. Elle explosa de rire et moi avec.

S : je pensais vraiment pas qu'il était si petit au niveau du cul ! Bon ben tu viens de voir mon trou en gros plan !

N : Tu parles, la ficelle me fait louché !

On riait de bon cœur. L'ambiance joviale allait me permettre de demander un peu plus à Sandy.

N : Je suis sur que si tu fais le grand écart, tu arriveras à avaler ton string !

S : Oh t'es con ! En plus je suis pas assez souple !

N : Ben essaies pour voir ! En plus je suis sur que cela t'ai déjà arriver en t'asseyant !


Sandy tenta de faire le grand écart sur son lit jusqu'à se laisser tomber sur les fesses, de fatigue. Le string avait effectivement disparu entre ses lèvres. Sandy se mis debout en riant et conclu qu'il était temps de passer aux photos de nu. Elle se mis nue et s'essaya sur le bord de son lit. L'ambiance était maintenant tendu. A force de rire, on avait chaud, et moi j'étais de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon.
Sandy s'en aperçu et me propose de me mettre à l'aise.

S : Bon Nelson, je vois bien que ça te fait mal et que tu te plie dans tous les sens, je suis si belle que ça ?

N : Oh que oui et j'avoue être en train de prendre feu en bas !

S : Ben écoutes, mets toi à l'aise pour les dernière photos, comme ça on se sera à égalité.

N : Tu n'as pas peur que je te saute dessus ?

S : A ce point là ?

N : Oui, carrément !

S : Ben écoutes, fais les photos et si tu es sage, tu pourras te masturber quand tu auras fini ! (Sandy semblait jouer avec mes émotions, ce qui m’excitait doublement )

N : Ok je vais essayer de bien me tenir !

Sandy pris des pauses plutôt soft. Je la photographiais sous tous les angles et de plus en plus près. Mon sexe était en ébullition et guettait la moindre ouverture de jambe. Sandy ne semblait pas vouloir faire de photos hard ou alors elle jouait avec mes nerfs.

N : Tu veux pas faire de gros plans, Sandy ?

S : Je sais pas trop, ça te plairait toi hein ?

N : Après l’aperçu de tout à l'heure oui.

S : Je sais pas... quel est l'intérêt de regarder mes photos plus tard et de voir ma chatte en gros plan...

N : Ben tu pourrais te rappeler à quel point tu étais fonceuse, et aussi te rappeler de l'instant.

S : C'est vrai ça ! Ça me fera un bon souvenir. Bon... je suis à toi l'artiste !

N : Je peux te driver comme je veux ou bien c'est toi qui décide ?

S : Je te suis, du moment que tu restes un minimum convenable, ok ?

Sandy allait donc être mon modèle rien qu'à moi. Je la fis s'allonger sur le dos et il s'en suis un monologue de photographe... nu et le sexe toujours prêt à exploser !

N : Bien...Commences par écarter les jambes... Voilà (hop photo)... Maintenant écartes un peu ta chatte pour décoller les lèvres et mets ton buste en arrière... Ok... Est ce que tu peux prendre un air coquine en mettant un doigt dans la bouche ?... Parfait... Maintenant écartes franchement ta chatte avec tes deux mains et plisses les yeux... MMM très jolie... Caresses un peu ton clitos... Mets un doigt...
Tu peux en mettre combien ?

S : J'ai un god si tu veux, tiens regardes. (Sandy sorti un modèle en plastique rose fluo de taille raisonnable)

N : Ah ouais, c'est cool ça. Vas y mets toi le... Caresses tes seins en même temps... t'es trop trop belle ! Tu peux sucer le god ?

S : Parce que c'est toi alors !

Sandy suça son god quelle venait de s’enfiler. Machinalement, j'avais commencé à me masturber. Sandy écartait son vagin sur ma demande et j'avais une irrésistible envie de l'embrasser.

N : Sandy, est ce que je peux prendre une photo de mes doigts dans ta chatte s'il te plais ?

S : Là tu commences à déraper, tu devais attendre la fin pour te finir tout seul !

N : Aller s'il te plais, et puis tu auras la photo en souvenir !

S : Ahahahah ! Ah celui là... Aller va tu en meurs d'envie ! ( J'avais maintenant la confirmation que Sandy jouait avec mes nerfs et j'allais maintenant passer à la vitesse supérieure. )

Après quelques instant sur la chatte de Sandy, je lui proposais une "selfie" de moi même en train de la lécher. Elle avait changé de ton et répondit par l'affirmative avec entrain. Je rentrais littéralement ma langue dans sa chatte. Sandy soufflait de plus en plus fort.

N : Et une photo de ma queue dans ta bouche tu veux ?

S : Viens !

Sandy était allongé et je lui baisais lentement la bouche. Le spectacle était tellement "pro" qu'il fallu immortalisé ce moment d'une autre façon.

N : La vache tu suces comme une déesse Sandy, je vais mettre l'appareil en vidéo, tu veux ?

S: Moui vas y, il y a de la place sur la carte mémoire !

N : MMM... j'adore comment tu me regardes ! Vas y parles à la caméra !

S : MMM... J'adore sucer des bites ! MMM... Baises moi la bouche ! 5on aurait cru une vraie pro)

N : Tu aimes le sperme ?

S : Han oui j'adore ça !

N : T'aimes ça avaler cochonne ?

S : Oh oui, mais j'avalerai après que tu m’aies baisé, comme je sais que tu aimes bien !

Je nous filmais en train de faire l'amour comme des acteurs pornos. La vidéo allait promettre de très bons souvenirs. On s'échangeait l'appareil à tour de rôle mais pour le bouquet final, c'était à moi de filmer. Sandy s'est mise à genoux face à moi sur son lit. Moi, j'étais debout sur le sol en train de lui frotter le visage avec mon gland.

S : Aller vas y remplis moi la bouche !

N : Tiens !

Je me vidais entièrement dans sa bouche largement ouverte, le tout dans un râle de plaisir retenu pour ne pas faire trop de bruit. A moi grand surprise; Sandy fit la moue devant la caméra pour montrer que sa bouche était bien pleine de sperme. Elle l'avala en passant sa langue sur ses lèvres pour finir par un plissement des yeux très coquin.

S : T'as vu j'ai tout avaler !

N : MMM... Tu es une vrai cochonne toi !

S : Il n'y a pas que les mec qui regarde des film de cul !

N : Je vois que tu as bien appris !

La séance était fini. Sandy me proposa de coucher avec moi comme une amie, dès que j'en aurais l'envie où le temps. Nous avons fait de nombreuses photos et vidéos de nos ébats. On s'est promis de ne jamais les partager sur le net où avec qui que ce soit. Sandy n'était pas jalouse que je "chasse" ailleurs puisque nous étions simplement amis. Je n'ai eu aucun scrupules à aller tourner autour d'une autre amie. Par la suite,
Sandy a quitté la région pour revenir plusieurs années plus tard avec une petit fille qu'elle a élever seule, au début. Ensuite elle s'est retrouvé un Jules avec qui elle a eu un autre enfant. Je la croise à l'école quand je vais chercher mes enfants à moi et on se sourit...


Une autre amie était donc dans mon viseur. A ce moment de l'histoire, j'avais convaincu mes parents que j'allais faire du sport en attendant mon concours pour l'armée. Cela me faisait une bonne excuse pour ne pas aller à l'école et pour m'y désinscrire définitivement. Cette amie s'appelait Sonia. Elle était plus jeune que moi (18 ans il me semble) mais était dans le même cas que moi. Elle zonait et je ne sais même plus ce qu'elle comptait faire de sa vie. Elle voulu m'accompagner faire de la randonner pour se changer les idées. Elle était "en couple" avec un copain donc je me dis "sois c'est une salope, sois elle veut juste marcher..."
Le manège dura trois jours. On faisait le tour de notre campagne en passant par des chemins de plusen plus escarpés. Sonia me parler de tout.
Sa mère qui voulait divorcer. Les caprices de cette dernières qui voulait aller en boite pour faire la jeune. C'était toujours bon à savoir.
Elle me parlait aussi de son copain, de ses penchant de guerrier moitié fou (je crois qu'il est dans l'armée aujourd'hui). Là où cela à commencer à devenir intéressant, c'est quand elle a commencer à me parler de sexe. C'était très soft mais elle m'en parlait quand même.
Évidemment elle voulu connaitre mon histoire avec Aurore, puisqu’elle l'a connaissais. J'ai gardé pour moi la partie trio et demi sœur car Sonia était du genre grande gueule. Cela m'étais égal car j'avais envie de la prendre à chaque montée de côte, chaque virages, chaque champs.
Sonia avait toujours une sucette à la bouche, c'était agaçant et malgré mes mise en garde en cas de chute, elle s’entêtait à sucer ce corps étranger devant moi.
Soudain, ce fut le drame (mon expression préféré du moment quand j'y repense).
Sonia bascula en arrière en montant un plan incliné. Je la rattrapais dans mes bras et c'est au sol que la chute se termina.

Sonia : Merde ! Ça va Nelson ?

Nelson : Oui je crois que ça va, mais tu m'as mis un coup de coude dans les côtes...

S : Je suis vraiment désolé, j'ai glissé comme une conne.

N : En plus tu as faillit avaler ta sucette de travers ! Je te l'avais bien dis !

S : Ouais la vache, j'ai été trop surprise...

En se relevant Sonia fut prise d'une douleur dans la cuisse. C'était une sorte de crampe qu'elle avait l'habitude d'avoir quand elle faisait des efforts. Celle ci était plus forte que les autres et elle cloua Sonia au sol. J'étais bien emmerdé. On était à 10 Km du village et Sonia pleurait de douleur (elle été un peu chochotte quand même).

N : Qu'est ce que je peux faire Sonia ? Putain on a pas de réseau ici ! Tu veux que je te porte ?

S : Non, non, ça va passer...aie !

N : Arrêtes, tu pleures et tout ! T'es sur ?

S : Oui, oui. Il faut que je me masse le quadriceps, il est plein d'acide ! (Droitement scientifique pour une inculte !)

N : Heu ouais...

S : Tu veux pas m'aider s'il te plais ? Masses moi de haut en bas et n'est pas peur d'appuyer.

Je m’exécutais. J'étais un peu gauche, et pour le coup j'avais oublié toutes mes envies de sexe. Sonia souffrait encore. Son espèce de jogging (leggings) n'arrêtait pas de plisser. Avec la transpiration, il coller à sa cuisse par "saccade" et gênait le massage.

S : Putain ! Faut que je le vire !

Sonia baissa son leggings jusqu'aux genoux. Elle était assise sur le plan incliné et avait les jambes légèrement recroquevillées vers son buste.
Je pouvais donc voir sa petite culotte blanche qui rentrait un peu dans ses fesses. Cette fois mes envies étaient claires... Je la masse et on verra pour la suite.

S : Appuies bien sur le muscle s'il te plais ! Oui comme ça...

N : Et ben tu m'as foutu la trouille !

S : Attends c'est pas fini, j'arrive à être bloqué pendant au moins 10 minutes des fois.

N : OK et ben on a tout notre temps. Ça va comme ça ?

Je massai méticuleusement la cuisse de Sonia jusqu'à ce qu'elle se sente mieux. Fatiguée de sa montée d'adrénaline, elle était appuyée contre moi avec sa tête sur mon épaule. Le silence régnait. Seul le bruit de la sucette de Sonia se faisait entendre.
J'avais envie de me lancer sans réfléchir.
Ma main sur l'intérieur de la cuisse de Sonia descendit de plus en plus bas. Avec l'absence de réaction de sa part, je descendais d'aller m'attarder entre ses jambes, sur sa petite culotte blanche.

S : Hii ! Tu fais quoi là ? (Sonia sursauta d'un seul coup)

N : Ben je te masse...

S : C'est pas là que j'ai mal hein !

N : Tu es sur ?

S : Ben oui !

N : Et si j'ai envie de te masser là quand même ?

S : Attends Nelson, j'ai un copain tu sais bien.

N : Et alors, il est pas là non ?

S : Non arrêtes, c'est pas bien... Je vais me rhabiller...

N : Attends voir, qui c'est qui vient de te masser ? C'est pas ton copain ? Et qui c'est qui me parle de cul depuis 3 jours ?

S : Tu m'as raconter pour Aurore aussi hein !

N : Parce que tu m'as demandé ! Et puis ça à l'air de t'avoir plu ce que je t'ai raconté !

S : C'est pas une raison pour vouloir me baiser alors que j'ai un copain !

N : Et si tu n'en n'avais pas eu un ?

S : ... ouais... pourquoi pas ... mais là non !

N : Si tu en as envie, saisis l'occasion maintenant ! Sinon plus tard on regrettera surement !

S : Putain toi tu as envie de me baiser !

N : Bien sur ! Alors tu es partante ?

S : Est ce que j'ai le choix ?

N : Évidemment, je vais pas te violer !

S : On dit rien ok ?

N : Rien du tout !

Je saisissais la tête de Sonia pour l'embrasser à pleine bouche. Le baiser dura bien 5 bonnes minutes. Sonia était du genre "femme de magazine" mais en plus petite. Un corps de rêve donc (enfin le rêve de la société moderne). Je soulevais son tee shirt pour tomber sur un petit soutient gorge de sport. Sonia l'enleva ainsi que son tee shirt pour me dévoiler une jolie paire de seins plutôt gros pour la taille de Sonia.
Je les embrassais, les suçais et mordais les tétons. Sonia avait glissé une main dans mon short.

S : Hey on a pas de capote !

N : T'es clean ?

S : Comment ça ?

N : ...t'es une grosse salope qui couche avec tout le monde ?

S : Non !

N : Tu prends la pilule ?

S : Oui.

N : Tu avales (Je riais à cette question)

S : Bien essayé ! Et non !

C'était tout vu. Il faudra composer pour le final. Je décidais de baisser la culotte de Sonia. Sa petite fente était toute lisse, fraichement rasée avec des petites rougeurs dans les plis.

N : C'est mignon tout ça ! Je vais te la lécher.

S : Attends, j'ai transpiré... je suis pas fraiche.

N : C'est rien ça, tu sentiras bon la femme !

S : T'es cash toi !

Je soulevais les jambes de Sonia sur lesquels le pantalon et la culotte étaient aux chevilles. La chatte de Sonia sentait effectivement le femme. J'avais un petit mélange de transpiration et de mouille. J'écartais largement sa chatte pour balader ma langue un peu partout. Sonia tenait ses jambes sans rien dire.
Mes doigts dans sa chatte, lui on fait esquisser une petite grimace. Il semblerai que mademoiselle soit étroite. Je suis resté 10 minutes à lui dilater la chatte avec toujours plus de doigt, jusqu’à ce qu'elle se mette à mouiller abondamment.

N : La vache !

S : Oui je suis un peu fontaine.

N : Un peu comment?

S : J'en sais rien moi !

N : Tu arrives à faire des jets comme dans les films de boules ? (On riait ensemble)

S : Mais j'en sais rien j'ai jamais essayé moi !

N : Faut qu'on essaye ça !

Ni une ni deux, je me suis mis à la pistonner avec 3 doigts pendant que mon autre main frottait son clitoris. Sonia eu des spasmes et sa respiration était très rapide. Elle se mordit la lèvre inférieure puis ouvrit la bouche pour crier sans faire un bruit. Un long jet s'échappa de sa chatte. Il dura au moins 3 seconde et j’eus le réflexe d'y porter ma bouche. Je bus une grosse gorgée de se liquide d'amour pour ensuite retourner lécher frénétiquement Sonia.
Celle ci gémissait comme elle pleurait. Je me redressais pour la prendre directe. Elle fut surprise et cria pour ensuite gémir. C'était vraiment bizarre comme son...
Au bout de 30 secondes de missionnaire intense, je n'en pouvait plus. Je me redressais pour lui présenter mon sexe. Elle était prise au piège entre le plan incliné et ma queue luisante de sa mouille.

S : Non, je suce pas après ça ! (Sonia formula cette injonction d'une voie très fatiguée)

N : Oh que si ma chérie ! J'ai bus ton jus et toi tu vas boire le mien.

S : Non !

Le "non" fut ma porte d'entrée. Sonia n’eut pas le temps de finir son mot que j'éjaculais tout en rentrant mon sexe dans sa bouche. J'attrapais sa tête pour la guider dans son ultime travail. La fatigue et la surprise lui ont surement fait oublier de me mordre car elle aurait pu !
Je ressortais lentement.

N : Ahhhh ! Tu vois petite cochonne c'est pas si terrible !

S : Putain t'es con ! (Sonia cracha tout mon sperme par terre)

Ce fut la seule fois que Sonia et moi avons eu des rapports sexuels. Elle eu trop honte de tromper son copain et mes méthodes brutales, je l'avoue, lui ont fait peur. Ce jour là je me suis rendu compte que mon addiction était en train de prendre le dessus sur ma raison.
Cela ne m’empêcha pourtant pas d'aller courtiser la mère de Sonia, fraichement divorcée. Mais ceci sera l'objet d'un autre récit.

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Texte coquin : Les cochonnes d'entre deux
Histoire sexe : Une rose rouge
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