Les collants de Mathilde
Récit érotique écrit par David K [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Les collants de Mathilde
Après avoir traversé une grande partie de Paris, je me retrouve en bas de son immeuble. Frénétiquement, je me mets à composer le code de la porte d’entrée. Si le code est bon, je pourrai entrer et découvrir mes plaisirs les plus obscurs. Je relis son message plusieurs fois. Je suis ses instructions à la lettre. Je lui envoie un message pour lui dire que je suis arrivé en bas. C’est l’appartement situé au quatrième étage sans ascenseur. Un peu de sport ne me fait pas de mal pour tenter de canaliser mon esprit. Mon cœur bat encore plus vite. Voici arrivé devant son appartement. Je frappe et elle me dit d’entrer, la porte est entrouverte.
Nous nous retrouvâmes tous les deux. J’étais face à elle et elle ne portait qu’un collant épais en laine noir. Les seins pointaient fièrement. Je n’osais presque poser mon regard sur cette poitrine. Mon cœur n’avait jamais battu aussi fort et mon esprit avait du mal à se concentrer. Trop de pensées m’envahissaient au même moment. Je glissais naturellement mon regard vers ses collants. Elle ne semblait pas porter de culotte. Je m’approchais d’elle et me mettait sur les genoux, comme convenu. Je m’approcha dans cette position inconfortable et de ses deux mains elle plaqua mon visage contre son sexe. Une délicieuse odeur se dégageait bien que j’eu du mal à respirer. J’essayai tant bien que mal à l’embrasser et à ne pas rester inerte face à une telle chance. Celle de se retrouver la tête la première dans ses collants.
Cela devait faire plusieurs jours qu’elle portait ce même collant car l’odeur qui s’en dégageait n’était plus celle du linge propre. Elle me laissa respirer un peu puis me plaqua à nouveau contre son con. J’avais déjà mal au sexe tant la situation me convenait. Je me sentais à ma place. Au bout de quelques minutes, elle sembla pourtant en avoir marre, me semble-t-il. Je ne sais pas, tout ceci était tellement nouveau pour moi. Elle se retourna, baissa un peu son collant juste sous ses fesses et me le présenta. Nettoie mes fesses me lança-t-elle, d’un ton qui ne laissait guère la place à la discussion. Elle disposait d’une magnifique paire de fesses bien rebondis. L’odeur qui s’en dégageait était forte. Mais je ne voulais pas la décevoir. Alors je me mis à l’ouvrage. J’écartais gentiment ses fesses et mis ma langue à l’intérieur. Mon sexe était encore plus dur. Mes deux mains tenaient les fesses magnifiques et je ne pouvais les utiliser pour mon plaisir personnel. Je devais laisser mon sexe souffrir seul en silence. Mon intuition était la bonne. Cela faisait plusieurs jours qu’elle portait ce collant épais tant l’odeur qui se dégageait de ses fesses était forte. Le trou de ses fesses n’était pas vraiment propre. Du moins, cela trahissait qu’elle ne s’était pas lavée depuis quelques jours. Je supposais qu’elle l’avait fait exprès. Elle devait se douter de mon amour inconditionnel pour les collants et que pour eux, j’étais prêt à tout, y compris nettoyer de ma langue son sale petit trou du cul. Mais le travail semblait fonctionner car elle se touchait le con de manière beaucoup plus rapide. Je sentais l’odeur de la mouille. Tout ce beau mélange ressemblait au paradis.
Je pensais à peine à reprendre ma respiration. Je voulais surtout nettoyer ses fesses. Je tentais d’entrer le plus loin possible avec ma langue. Mais ses va-et-vient me faisaient régulièrement sortir de ses entrailles. Elle cria soudain et jouissait, ma langue dans ses fesses. Du liquide sorti abondamment de sa chatte et le collant se retrouva trempé. Je me calmai et ralenti mes coups de langue. Ils devenaient maintenant de simples baisers sur ses fesses. Je contemplai mon travail. Ses fesses d’ailleurs étaient redevenues complètement propres.
Elle mit quelques instants à reprendre ses esprits Je la voyais sur le lit, presque inerte, la chatte trempée et le collant sali de son plaisir. J’avais enfin une main que je mettais dans mon caleçon pour me calmer. Tu peux rentrer chez toi ! Me lança-t-elle d’une manière négligée. Je brulai à ce moment. J’avais tellement envie de me finir en elle ou au moins nettoyer tout son jus frais. Je devais me rhabiller complètement. Je fermai la porte de chez elle et me retrouvait à nouveau dans le monde réel. J’étais dans ma bulle et en sortant de son immeuble j’avais oubliai que l’on était dans une des rue animée proche de la gare Saint-Lazare. Je n’osais pas regarder les gens de peur qu’ils ne me dévisagent. J’avais l’impression que ce que j’avais fait était gravé sur mon visage, toute cette mouille, je ne m’était même pas regardé dans le miroir pour vérifier. Je rentrai rapidement chez moi et n’avais plus qu’une seule idée en tête, me terminer tout seul afin de me libérer finalement de tous mes désirs.
Nous nous retrouvâmes tous les deux. J’étais face à elle et elle ne portait qu’un collant épais en laine noir. Les seins pointaient fièrement. Je n’osais presque poser mon regard sur cette poitrine. Mon cœur n’avait jamais battu aussi fort et mon esprit avait du mal à se concentrer. Trop de pensées m’envahissaient au même moment. Je glissais naturellement mon regard vers ses collants. Elle ne semblait pas porter de culotte. Je m’approchais d’elle et me mettait sur les genoux, comme convenu. Je m’approcha dans cette position inconfortable et de ses deux mains elle plaqua mon visage contre son sexe. Une délicieuse odeur se dégageait bien que j’eu du mal à respirer. J’essayai tant bien que mal à l’embrasser et à ne pas rester inerte face à une telle chance. Celle de se retrouver la tête la première dans ses collants.
Cela devait faire plusieurs jours qu’elle portait ce même collant car l’odeur qui s’en dégageait n’était plus celle du linge propre. Elle me laissa respirer un peu puis me plaqua à nouveau contre son con. J’avais déjà mal au sexe tant la situation me convenait. Je me sentais à ma place. Au bout de quelques minutes, elle sembla pourtant en avoir marre, me semble-t-il. Je ne sais pas, tout ceci était tellement nouveau pour moi. Elle se retourna, baissa un peu son collant juste sous ses fesses et me le présenta. Nettoie mes fesses me lança-t-elle, d’un ton qui ne laissait guère la place à la discussion. Elle disposait d’une magnifique paire de fesses bien rebondis. L’odeur qui s’en dégageait était forte. Mais je ne voulais pas la décevoir. Alors je me mis à l’ouvrage. J’écartais gentiment ses fesses et mis ma langue à l’intérieur. Mon sexe était encore plus dur. Mes deux mains tenaient les fesses magnifiques et je ne pouvais les utiliser pour mon plaisir personnel. Je devais laisser mon sexe souffrir seul en silence. Mon intuition était la bonne. Cela faisait plusieurs jours qu’elle portait ce collant épais tant l’odeur qui se dégageait de ses fesses était forte. Le trou de ses fesses n’était pas vraiment propre. Du moins, cela trahissait qu’elle ne s’était pas lavée depuis quelques jours. Je supposais qu’elle l’avait fait exprès. Elle devait se douter de mon amour inconditionnel pour les collants et que pour eux, j’étais prêt à tout, y compris nettoyer de ma langue son sale petit trou du cul. Mais le travail semblait fonctionner car elle se touchait le con de manière beaucoup plus rapide. Je sentais l’odeur de la mouille. Tout ce beau mélange ressemblait au paradis.
Je pensais à peine à reprendre ma respiration. Je voulais surtout nettoyer ses fesses. Je tentais d’entrer le plus loin possible avec ma langue. Mais ses va-et-vient me faisaient régulièrement sortir de ses entrailles. Elle cria soudain et jouissait, ma langue dans ses fesses. Du liquide sorti abondamment de sa chatte et le collant se retrouva trempé. Je me calmai et ralenti mes coups de langue. Ils devenaient maintenant de simples baisers sur ses fesses. Je contemplai mon travail. Ses fesses d’ailleurs étaient redevenues complètement propres.
Elle mit quelques instants à reprendre ses esprits Je la voyais sur le lit, presque inerte, la chatte trempée et le collant sali de son plaisir. J’avais enfin une main que je mettais dans mon caleçon pour me calmer. Tu peux rentrer chez toi ! Me lança-t-elle d’une manière négligée. Je brulai à ce moment. J’avais tellement envie de me finir en elle ou au moins nettoyer tout son jus frais. Je devais me rhabiller complètement. Je fermai la porte de chez elle et me retrouvait à nouveau dans le monde réel. J’étais dans ma bulle et en sortant de son immeuble j’avais oubliai que l’on était dans une des rue animée proche de la gare Saint-Lazare. Je n’osais pas regarder les gens de peur qu’ils ne me dévisagent. J’avais l’impression que ce que j’avais fait était gravé sur mon visage, toute cette mouille, je ne m’était même pas regardé dans le miroir pour vérifier. Je rentrai rapidement chez moi et n’avais plus qu’une seule idée en tête, me terminer tout seul afin de me libérer finalement de tous mes désirs.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beaucoup d'hommes sont fans des collants la preuve ce lecteur et un de mes ex qui dans son appartement m'obligeait à rester en collants et seins nus même devant ses potes
Je m’approcha ? Pas français cette conjugaison !
Putain écrivez correctement !
Mathieu du 7;4
Putain écrivez correctement !
Mathieu du 7;4
sympa l histoire pour ma part j adore les collants j en aurais profiter pour lui prendre et et jouir avec
Pour ma part je n'ai jamais rencontré d'homme ayant un amour inconditionnel des collants en général ces messieurs me préfèrent en bas et porte-jarretelle ça les excitent et les changent de bobonne
Comme dit l'expression, "chacun sa merde"...