LES COMPLOTEURS.
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LES COMPLOTEURS.
Je viens d’arriver de Lyon à la gare de Lyon par le T.G.V de 17 heures.
J’étais chez ma sœur Carine qui vient d’avoir une jolie petite fille.
Je suis moi-même marié à Paul depuis trois ans et nous attendons que j’aie trente ans pour enfanter.
Mon mari a un poste important dans une société pétrolière et j’ai profité de son voyage à sa maison mère pour partir voir ma filleule.
Je vais pour prendre un taxi et retourné dans mon seizième dans l’immeuble moderne où avec Paul, nous avons acheté un F5 que mes copines m’envient.
Il y a aussi mon homme qu’elle me jalouse, car nous étions quatre à la soirée où il est venu m’inviter à danser alors que nous mouillons toutes pour lui dès que nous l’avons vu entrer.
Grand, brun, carré, halé, les pommettes saillantes, vous lui ajoutez une barbe pour ressembler à l’une de ces statues grecques que l’on voie au Louvre.
Il a cinq ans de plus que moi ce qui lui donne de l’assurance dans la vie.
Nous étions vieille école et nous avons attendu notre nuit de noces pour qu’il me montre son sexe et qu’il brise mon hymen.
J’ai joui du premier coup et toutes les fois qu’il me prend mon corps se tend et je lui fais entendre que je suis heureuse.
Je vis des moments doux, car Paul souhaite assumer seule la gestion de notre couple.
Ce voyage à Lyon a été toute une péripétie, car c’est la première fois que je partais seule sans lui.
Il m’a fait mille recommandations que j’aie suivies scrupuleusement.
Attendre un taxi à l’heure de pointe est pure folie alors je décide de retourner dans la gare et d’aller boire un thé au café de la gare.
Il est 17 heures 30 et c’est l’heure habituelle où je prends mon thé journalier.
Aucune table de libre seul un tabouret au bar me permet de m’asseoir et de commander ma boisson.
Je suis habillé bon chic bon genre dans un tailleur ajusté.
En m’essayant ma jupe, remonte et la partie haute de mes bas apparaît.
J’ai beau tirer sur ma jupe, elle refuse de bouger.
• Jolie poupée, t’as des problèmes, une belle salope comme toi dois aimer qu’on la mate, tu tapines.
• Laissez-moi, j’attends mon mari.
• La réponse classique, je vois que tu as une alliance mais les putes comme vous a souvent une bague qui les unis à leur souteneur !
• Chéri monsieur t’importune.
• Oui, il me prend pour une prostituée.
• Monsieur, nous serions encore au temps de d’Artagnan, c’est sur le pré une épée à la main que je vous châtierais. Veuillez passer votre chemin.
L’importun sentant que celui qui ce dit mon mari parle sérieusement s’éclipse.
• Vicomte Albert de la cramouille huitième du nom.
• Claudine du XVIe arrondissement.
Nous partons d’un grand éclat de rire, mon vicomte est aussi beau que mon vrai mari, mais pour l’heure je m’en contente évitant cet importun.
• Puis-je vous inviter à ma table, attendez, je vais porter votre valise.
• Merci, je vous dois bien cela.
Nous restons presque trois quarts d’heure assis et mon chevalier servant me propose de me raccompagner chez moi dans sa voiture.
D’où l’on ait assis, je peux voir que la queue d’attente des taxis est toujours aussi importante aussi, j’accepte.
• J’appelle mon chauffeur.
Dix minutes et je monte dans une magnifique Jaguar des années trente.
• Votre mari vous attend.
• Non, il est aux États-Unis pour dix jours encore.
Quelle gourde évitée de dire que Paul est en voyage fait partie des recommandations.
Albert est un homme du monde cela se voit bien, je ne crains rien avec lui.
Il m’ouvre la portière et m’aide à monter à l’arrière avant de s’asseoir à mes côtés.
• Vous avez vraiment envie de faire voir vos bas Claudine, ces voitures étaient conçues pour les femmes à longue jupe, mais je suis enchanté de ce que je vois.
• Excusez-moi !
• Tout le plaisir est pour moi.
Si je vous invite à prendre un verre sur les champs, vous accepteriez ?
• Vous m’avez aidé, je suis obligé d’accepter.
• Ma chère, vous me vexez, seulement parce que je vous ai aidé.
• Non, bien sûr, mais je suis marié et j’évite de me trouver dans une situation embêtante.
• Je vous invite en tout bien tout honneur.
• On voit que vous avez de la classe, je vous fais confiance.
Il me prend la main et effleure le dessus de ma main dans un baisemain de la plus pure tradition.
Le chauffeur nous arrête à la hauteur du Fouquet’s et nous nous installons à la terrasse.
Nous prenons un apéritif et au bout d’un moment il me propose de m’emmener dîner dans une rue adjacente.
Le cocktail qu’il m’a fait servir que je pense sans alcool est si doux à boire que c’est en me levant que je m’aperçois qu’il y avait plus que du sirop.
Il me prend le bras et me fait franchir les quelque deux cents mètres qui nous mènent jusque devant un restaurant assez classe.
Repas vite expédié car l’homme du monde semble faire place à un homme pressé.
Au dessert après m’avoir fait boire un peu de vin je suis guillerette.
D’un coup je me souviens que ma valise est restée dans le coffre et que mes clefs sont à l’intérieur.
J’en fais état à Albert qui me dit que son chauffeur l’a déposé à son hôtel qui se situe rue Lincoln dans la rue derrière le restaurant.
Je suis guillerette et il me soutient pour franchir la distance.
Lorsque dans l’ascenseur, il se colle à moi, je lève la tête et je lui présente mes lèvres.
La porte ouverte de la chambre et tout de suite j’accepte sa main sous ma jupe.
Où sont les recommandations de mon mari ?
Je m’en fiche, seule la queue qu’Albert a sortie de son pantalon et que j’ai prise en main m’importe.
• Suce là.
Sucer, la queue de mon mari a juste pratiqué ma chatte et ce mandrin bien plus gros que celui de Paul m’intimide à prendre en bouche.
Pourtant lorsqu’il m’appuie sur les épaules, je tombe à genoux, mes jambes refusent de me porter et je me surprends à faire courir ma langue tout au long de sa tige.
Elle est grosse et a du mal à venir jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mon menton.
En faire entrer autant dans ma bouche, jamais je me serais cru capable de le faire, mais j’aime.
Il me relève me met nue et me jette sur le lit.
Fini l’homme du monde, je suis entre les mains d’un baiseur de très haut vole.
Il demande, je m’exécute, il me dit d’écarter les cuisses, je les écarte,
Il me pénètre, je donne un violent coup de reins pour qu’il soit en moi plus vite encore.
• Vas-y boure moi, L’autre voulait que je sois une pute, c’est toi qui l’as.
Jamais je n’ai été aussi bien mise, mon mari est un petit joueur par rapport à toi.
Est-ce l’alcool, la frustration d’un couple se contentant de petites copulations hygiéniques, mais je bouge mon cul pour le faire aller toujours plus loin en moi dans des mouvements que j’ignorais pouvoir pensé à faire.
• Viens, mets-toi en levrette.
Je dois le regarder d’une manière incrédule jamais je n’ai entendu ce mot.
• Une oie blanche avec cela.
Met toi à quatre pattes.
Qu’a-t-il voulu dire dans sa première phrase, j’analyserais plus tard aussi, je lui sors la queue et je me positionne comme il souhaite que je me place ?
La position est étrange, j’ai l’impression de voir une chienne être en position pour que son mâle vienne la saillir.
Saillir, c’est ce qu’il me fait, sa bite entrant plus profondément en moi que, lorsque je me fais prendre les jambes écartées.
Au moment où je sens mon corps s’éveiller, je suis surprise par la boule qui monte en moi. Moi qui pensais que je jouissais avec mon mari, c’est une rigolade lorsque mon corps devient fou et que je me projette sur le pieu qui me pourfend.
Et la boule éclate en des myriades de petites étoiles et surtout un grand frisson qui me prend depuis le bas de mon dos et qui remonte jusqu’à ma nuque.
Un doigt suivi de deux bizarrement placé m’interpelle.
• Tu t’es déjà faite enculé.
Comment répondre que la phrase qu’il a dite tout à l’heure en parlant d’oie blanche me correspond parfaitement ?
Vite fait et les deux doigts sont remplacés par sa queue et ma rosette éclate sous les coups de boutoir de cet homme qui en peu de temps aura fait de moi une bête de sexe qui accepte tout ce qu’il me propose.
Je me rends compte que je trompe Paul, mais il est sûr que Paul devra changer ses petites habitudes pépères, car ce que me fait découvrir mon amant demande à se renouveler chaque fois qu’il me baisera.
Il place sa main sous moi et me pince durement mon clito que Paul ignore dans nos ébats.
C’est-il au moins qu’il existe ?
La main titillant le clito et sa verge dans le cul, mon corps joui encore.
C’est le moment qu’Albert décide de me remplir le rectum de long trainé de foutre qui lui vide les couilles.
Je suis épuisé et en eau et lorsqu’il me libère, je m’écroule la tête dans l’oreillé.
J’ai soit dormi soit tourné légèrement de l’œil après la puissance de sa décharge.
Lorsque je lève la tête, je suis étonné de voir mon amant habillé et se diriger vers la porte de sortie de la chambre.
• Où vas-tu ?
Il sort et la foudre me tombe sur la tête.
Je l’entends dire.
• Elle est à vous.
Parmi les deux hommes le dragueur de la gare de Lyon s’avance vers moi.
• Habille-toi petite pute, tu nous suis sans essayer de fuir, on a de très belles photos de toi te faisant prendre comme une belle salope.
Ton mari sera très content d’apprendre re que tu le fais cocu.
• Police, personnes bougent.
Le dragueur se retrouve propulsé sur le lit à deux mètre de moi et son complice menotté sur la moquette.
• Habillez-vous madame et suivez-nous ?
Vous allez témoigner.
• Je suis marié.
• On va essayer de vous éviter les dommages collatéraux pour votre couple.
Au commissariat, j’apprends que la police suivait cette bande de proxénètes qui recrutaient des oies blanches comme moi.
Le vicomte avait derrière lui presque vingt ans de prison pour prostitution aggravée alors que le titre qui se donnait faisait bien lorsqu’il intervenait pour sauver une pauvre jeune femme d’un voyou qui l’importunait.
Une équipe suivait le dragueur et est arrivée au moment où Albert quittait la chambre et tout ce joli monde est assis à l’extérieur de bureau où l’on prend ma définition.
Lorsque je sors le vicomte comme je continue à l’appeler me regarde droit dans les yeux.
• Vis ta vie fillette, l’Albert à fait de toi une vraie femme.
Dis-toi que l’Albert chaque fois qu’il se masturbera dans les mois ou années futures, c’est à ta rosette qu’il pensera et soit sûr que chaque fois que tu te feras prendre le petit, c’est à moi que tu rêveras.
A-t-il tors, sûrement pas, il va me falloir du sexe, de la queue, que des mâles me pilonnent chaque fois que j’en aurais envie.
C’est ma valise qui me manque qui va précipiter ma perte lorsqu’un jeune stagiaire étant chargé de me la restituer après qu’il est retrouvé le Jaguar chez un loueur de voitures de luxe, a prévenu mon mari de venir la rechercher et lorsqu’il y a été, il lui a tout recompté sur l’arrestation d’un réseau de proxénètes alors que j’avais été sauvé dans une chambre d’hôtel.
Au lieu de garder une belle cochonne comme moi dans notre lit, il a divorcé.
Toute seule comme une grande, je me suis mise à fréquenter une boîte libertine bien connue des beaux quartiers parisiens.
C’est là que j’ai rencontré Christophe bel homme de presque quarante ans qui m’a fait deux beaux-enfants un garçon et une fille et nos ébats amoureux se passe toujours dans le respect de l’un et de l’autre.
À oui, Albert avait raison, la levrette et la sodomie sont deux passages obligatoires chaque fois que Christophe me désigne un homme à séduire et chaque fois c’est Albert qui me prend et qui fait exploser mon corps…
J’étais chez ma sœur Carine qui vient d’avoir une jolie petite fille.
Je suis moi-même marié à Paul depuis trois ans et nous attendons que j’aie trente ans pour enfanter.
Mon mari a un poste important dans une société pétrolière et j’ai profité de son voyage à sa maison mère pour partir voir ma filleule.
Je vais pour prendre un taxi et retourné dans mon seizième dans l’immeuble moderne où avec Paul, nous avons acheté un F5 que mes copines m’envient.
Il y a aussi mon homme qu’elle me jalouse, car nous étions quatre à la soirée où il est venu m’inviter à danser alors que nous mouillons toutes pour lui dès que nous l’avons vu entrer.
Grand, brun, carré, halé, les pommettes saillantes, vous lui ajoutez une barbe pour ressembler à l’une de ces statues grecques que l’on voie au Louvre.
Il a cinq ans de plus que moi ce qui lui donne de l’assurance dans la vie.
Nous étions vieille école et nous avons attendu notre nuit de noces pour qu’il me montre son sexe et qu’il brise mon hymen.
J’ai joui du premier coup et toutes les fois qu’il me prend mon corps se tend et je lui fais entendre que je suis heureuse.
Je vis des moments doux, car Paul souhaite assumer seule la gestion de notre couple.
Ce voyage à Lyon a été toute une péripétie, car c’est la première fois que je partais seule sans lui.
Il m’a fait mille recommandations que j’aie suivies scrupuleusement.
Attendre un taxi à l’heure de pointe est pure folie alors je décide de retourner dans la gare et d’aller boire un thé au café de la gare.
Il est 17 heures 30 et c’est l’heure habituelle où je prends mon thé journalier.
Aucune table de libre seul un tabouret au bar me permet de m’asseoir et de commander ma boisson.
Je suis habillé bon chic bon genre dans un tailleur ajusté.
En m’essayant ma jupe, remonte et la partie haute de mes bas apparaît.
J’ai beau tirer sur ma jupe, elle refuse de bouger.
• Jolie poupée, t’as des problèmes, une belle salope comme toi dois aimer qu’on la mate, tu tapines.
• Laissez-moi, j’attends mon mari.
• La réponse classique, je vois que tu as une alliance mais les putes comme vous a souvent une bague qui les unis à leur souteneur !
• Chéri monsieur t’importune.
• Oui, il me prend pour une prostituée.
• Monsieur, nous serions encore au temps de d’Artagnan, c’est sur le pré une épée à la main que je vous châtierais. Veuillez passer votre chemin.
L’importun sentant que celui qui ce dit mon mari parle sérieusement s’éclipse.
• Vicomte Albert de la cramouille huitième du nom.
• Claudine du XVIe arrondissement.
Nous partons d’un grand éclat de rire, mon vicomte est aussi beau que mon vrai mari, mais pour l’heure je m’en contente évitant cet importun.
• Puis-je vous inviter à ma table, attendez, je vais porter votre valise.
• Merci, je vous dois bien cela.
Nous restons presque trois quarts d’heure assis et mon chevalier servant me propose de me raccompagner chez moi dans sa voiture.
D’où l’on ait assis, je peux voir que la queue d’attente des taxis est toujours aussi importante aussi, j’accepte.
• J’appelle mon chauffeur.
Dix minutes et je monte dans une magnifique Jaguar des années trente.
• Votre mari vous attend.
• Non, il est aux États-Unis pour dix jours encore.
Quelle gourde évitée de dire que Paul est en voyage fait partie des recommandations.
Albert est un homme du monde cela se voit bien, je ne crains rien avec lui.
Il m’ouvre la portière et m’aide à monter à l’arrière avant de s’asseoir à mes côtés.
• Vous avez vraiment envie de faire voir vos bas Claudine, ces voitures étaient conçues pour les femmes à longue jupe, mais je suis enchanté de ce que je vois.
• Excusez-moi !
• Tout le plaisir est pour moi.
Si je vous invite à prendre un verre sur les champs, vous accepteriez ?
• Vous m’avez aidé, je suis obligé d’accepter.
• Ma chère, vous me vexez, seulement parce que je vous ai aidé.
• Non, bien sûr, mais je suis marié et j’évite de me trouver dans une situation embêtante.
• Je vous invite en tout bien tout honneur.
• On voit que vous avez de la classe, je vous fais confiance.
Il me prend la main et effleure le dessus de ma main dans un baisemain de la plus pure tradition.
Le chauffeur nous arrête à la hauteur du Fouquet’s et nous nous installons à la terrasse.
Nous prenons un apéritif et au bout d’un moment il me propose de m’emmener dîner dans une rue adjacente.
Le cocktail qu’il m’a fait servir que je pense sans alcool est si doux à boire que c’est en me levant que je m’aperçois qu’il y avait plus que du sirop.
Il me prend le bras et me fait franchir les quelque deux cents mètres qui nous mènent jusque devant un restaurant assez classe.
Repas vite expédié car l’homme du monde semble faire place à un homme pressé.
Au dessert après m’avoir fait boire un peu de vin je suis guillerette.
D’un coup je me souviens que ma valise est restée dans le coffre et que mes clefs sont à l’intérieur.
J’en fais état à Albert qui me dit que son chauffeur l’a déposé à son hôtel qui se situe rue Lincoln dans la rue derrière le restaurant.
Je suis guillerette et il me soutient pour franchir la distance.
Lorsque dans l’ascenseur, il se colle à moi, je lève la tête et je lui présente mes lèvres.
La porte ouverte de la chambre et tout de suite j’accepte sa main sous ma jupe.
Où sont les recommandations de mon mari ?
Je m’en fiche, seule la queue qu’Albert a sortie de son pantalon et que j’ai prise en main m’importe.
• Suce là.
Sucer, la queue de mon mari a juste pratiqué ma chatte et ce mandrin bien plus gros que celui de Paul m’intimide à prendre en bouche.
Pourtant lorsqu’il m’appuie sur les épaules, je tombe à genoux, mes jambes refusent de me porter et je me surprends à faire courir ma langue tout au long de sa tige.
Elle est grosse et a du mal à venir jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mon menton.
En faire entrer autant dans ma bouche, jamais je me serais cru capable de le faire, mais j’aime.
Il me relève me met nue et me jette sur le lit.
Fini l’homme du monde, je suis entre les mains d’un baiseur de très haut vole.
Il demande, je m’exécute, il me dit d’écarter les cuisses, je les écarte,
Il me pénètre, je donne un violent coup de reins pour qu’il soit en moi plus vite encore.
• Vas-y boure moi, L’autre voulait que je sois une pute, c’est toi qui l’as.
Jamais je n’ai été aussi bien mise, mon mari est un petit joueur par rapport à toi.
Est-ce l’alcool, la frustration d’un couple se contentant de petites copulations hygiéniques, mais je bouge mon cul pour le faire aller toujours plus loin en moi dans des mouvements que j’ignorais pouvoir pensé à faire.
• Viens, mets-toi en levrette.
Je dois le regarder d’une manière incrédule jamais je n’ai entendu ce mot.
• Une oie blanche avec cela.
Met toi à quatre pattes.
Qu’a-t-il voulu dire dans sa première phrase, j’analyserais plus tard aussi, je lui sors la queue et je me positionne comme il souhaite que je me place ?
La position est étrange, j’ai l’impression de voir une chienne être en position pour que son mâle vienne la saillir.
Saillir, c’est ce qu’il me fait, sa bite entrant plus profondément en moi que, lorsque je me fais prendre les jambes écartées.
Au moment où je sens mon corps s’éveiller, je suis surprise par la boule qui monte en moi. Moi qui pensais que je jouissais avec mon mari, c’est une rigolade lorsque mon corps devient fou et que je me projette sur le pieu qui me pourfend.
Et la boule éclate en des myriades de petites étoiles et surtout un grand frisson qui me prend depuis le bas de mon dos et qui remonte jusqu’à ma nuque.
Un doigt suivi de deux bizarrement placé m’interpelle.
• Tu t’es déjà faite enculé.
Comment répondre que la phrase qu’il a dite tout à l’heure en parlant d’oie blanche me correspond parfaitement ?
Vite fait et les deux doigts sont remplacés par sa queue et ma rosette éclate sous les coups de boutoir de cet homme qui en peu de temps aura fait de moi une bête de sexe qui accepte tout ce qu’il me propose.
Je me rends compte que je trompe Paul, mais il est sûr que Paul devra changer ses petites habitudes pépères, car ce que me fait découvrir mon amant demande à se renouveler chaque fois qu’il me baisera.
Il place sa main sous moi et me pince durement mon clito que Paul ignore dans nos ébats.
C’est-il au moins qu’il existe ?
La main titillant le clito et sa verge dans le cul, mon corps joui encore.
C’est le moment qu’Albert décide de me remplir le rectum de long trainé de foutre qui lui vide les couilles.
Je suis épuisé et en eau et lorsqu’il me libère, je m’écroule la tête dans l’oreillé.
J’ai soit dormi soit tourné légèrement de l’œil après la puissance de sa décharge.
Lorsque je lève la tête, je suis étonné de voir mon amant habillé et se diriger vers la porte de sortie de la chambre.
• Où vas-tu ?
Il sort et la foudre me tombe sur la tête.
Je l’entends dire.
• Elle est à vous.
Parmi les deux hommes le dragueur de la gare de Lyon s’avance vers moi.
• Habille-toi petite pute, tu nous suis sans essayer de fuir, on a de très belles photos de toi te faisant prendre comme une belle salope.
Ton mari sera très content d’apprendre re que tu le fais cocu.
• Police, personnes bougent.
Le dragueur se retrouve propulsé sur le lit à deux mètre de moi et son complice menotté sur la moquette.
• Habillez-vous madame et suivez-nous ?
Vous allez témoigner.
• Je suis marié.
• On va essayer de vous éviter les dommages collatéraux pour votre couple.
Au commissariat, j’apprends que la police suivait cette bande de proxénètes qui recrutaient des oies blanches comme moi.
Le vicomte avait derrière lui presque vingt ans de prison pour prostitution aggravée alors que le titre qui se donnait faisait bien lorsqu’il intervenait pour sauver une pauvre jeune femme d’un voyou qui l’importunait.
Une équipe suivait le dragueur et est arrivée au moment où Albert quittait la chambre et tout ce joli monde est assis à l’extérieur de bureau où l’on prend ma définition.
Lorsque je sors le vicomte comme je continue à l’appeler me regarde droit dans les yeux.
• Vis ta vie fillette, l’Albert à fait de toi une vraie femme.
Dis-toi que l’Albert chaque fois qu’il se masturbera dans les mois ou années futures, c’est à ta rosette qu’il pensera et soit sûr que chaque fois que tu te feras prendre le petit, c’est à moi que tu rêveras.
A-t-il tors, sûrement pas, il va me falloir du sexe, de la queue, que des mâles me pilonnent chaque fois que j’en aurais envie.
C’est ma valise qui me manque qui va précipiter ma perte lorsqu’un jeune stagiaire étant chargé de me la restituer après qu’il est retrouvé le Jaguar chez un loueur de voitures de luxe, a prévenu mon mari de venir la rechercher et lorsqu’il y a été, il lui a tout recompté sur l’arrestation d’un réseau de proxénètes alors que j’avais été sauvé dans une chambre d’hôtel.
Au lieu de garder une belle cochonne comme moi dans notre lit, il a divorcé.
Toute seule comme une grande, je me suis mise à fréquenter une boîte libertine bien connue des beaux quartiers parisiens.
C’est là que j’ai rencontré Christophe bel homme de presque quarante ans qui m’a fait deux beaux-enfants un garçon et une fille et nos ébats amoureux se passe toujours dans le respect de l’un et de l’autre.
À oui, Albert avait raison, la levrette et la sodomie sont deux passages obligatoires chaque fois que Christophe me désigne un homme à séduire et chaque fois c’est Albert qui me prend et qui fait exploser mon corps…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour Chris,
Belle et excitante lecture ! La chute m'a un peu surprise ( sourire )... J'ai hâte de vous lire à nouveau.
Tiphaine
Belle et excitante lecture ! La chute m'a un peu surprise ( sourire )... J'ai hâte de vous lire à nouveau.
Tiphaine
Pour être fidèle a mes lectrices, c'est Libellule qui m'a fait remarquer cette erreur dans un texte que je vais publié et qui avait les mêmes erreurs.
Merci à Elle.
Merci à Elle.
Entièrement d'accord, dans un texte que je viens d'écrire "Femme pour Femme" que je vais proposé à la rédaction je me suis aperçu de ce défaut.
Je vais redoubler de prudence dans le futur.
CHRIST71
Je vais redoubler de prudence dans le futur.
CHRIST71
L'histoire est intéressante, merci.
Juste une remarque à CHRIS71 : quand l'auteur masculin place une femme comme narratrice il doit oublier qu'il est un homme et se mettre dans la peau d'une femme. En conséquence il doit accorder correctement les participes passés des verbes selon les règles requises par chaque auxiliaire. Exemple dans le texte "Vous m’avez aidé(e), je suis obligé(e) d’accepter", les (e) sont ici requis. Nombres d'autres exemples de mauvais accord sont présents dans le texte. Avec de bons accords la narratrice gagnerait en crédibilité, c'est mon point de vue.
Je le donne comme point d’amélioration à l'auteur pour ses prochains récits car je sais qu'il prend plaisir à écrire et ce aussi pour notre plus grand plaisir
Amicalement
Gérard
Juste une remarque à CHRIS71 : quand l'auteur masculin place une femme comme narratrice il doit oublier qu'il est un homme et se mettre dans la peau d'une femme. En conséquence il doit accorder correctement les participes passés des verbes selon les règles requises par chaque auxiliaire. Exemple dans le texte "Vous m’avez aidé(e), je suis obligé(e) d’accepter", les (e) sont ici requis. Nombres d'autres exemples de mauvais accord sont présents dans le texte. Avec de bons accords la narratrice gagnerait en crédibilité, c'est mon point de vue.
Je le donne comme point d’amélioration à l'auteur pour ses prochains récits car je sais qu'il prend plaisir à écrire et ce aussi pour notre plus grand plaisir
Amicalement
Gérard