Les confidences cochonnes de Laurence
Récit érotique écrit par Zagalle [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Les confidences cochonnes de Laurence
L’ambiance cosy est propice à la thématique On s’installe dans le bar de ce luxueux hôtel parisien afin de mener l’interview dont nous avions convenu des termes il y a quelques jours. Laurence a accepté cette entrevue dans le but de la publier sur un blog de charme retraçant son parcours de « salope », « chaudasse », « pute à porno », « chienne à partouze » m’avait-elle confié par SMS lors de l’organisation de la rencontre.
Etant arrivée la première au rendez-vous, elle m’a indiqué avoir eu le temps de s’isoler un instant pour se mettre en conditions. Nous nous installons... Face à moi, elle s’assied dans un fauteuil club confortable, croisant et décroisant les jambes. Malgré la lumière tamisée, donnant une touche d’intimité à l’instant précis, on aperçoit nettement la limite nue de ses cuisses avec le haut des bas résilles blancs. Chaussée d’escarpins au talon de 13 cm (selon Laurence), elle nous offre ainsi un supplément de sensualité.
Difficile de ne pas jeter un œil curieux au plongeant décolleté qui laisse deviner sous le chemisier croisé blanc des pointes de seins qui semblent bien fières. J’apprécie qu’une femme se dispense de porter un soutien-gorge, surtout lorsque les globes semblent assez lourds. Pas exagérément mais juste ce qu’il faut pour les voir rebondir au moindre mouvement. Un régal. Elle sait quel effet cela produit sur les hommes. Certains ont pris place non loin de nous, essayant de garder un œil mateur sur Laurence.
Moi : Pour que nos lecteurs fassent mieux connaissance avec vous, quelle est votre situation privée personnelle ?
Laurence : Je suis veuve depuis cet été, mon conjoint a été happé par un infarctus. Je suis dévastée parce que nous étions complices en toutes circonstances. Il aimait que mon plaisir soit total et je l’en remercierai jamais assez. Je dois dire que de ce côté-là, j’ai profité d’une vie sexuelle riche et débridée. Il m’a vue me faire sauter plus qu’à mon tour, il aimait se branler en me regardant sucer des bites, il me félicitait chaudement lorsque je prenais des faciales de sperme abondant... bref, un mari tel que toute nympho devrait avoir.
Moi : Qu’aurait-il pensé de cette interview ?
Laurence : Du bien certainement. Il m’aurait sûrement fait répéter et surtout aidée à choisir ma tenue. Il aurait validé cette petite jupe rouge, mes bas résilles blancs pour mieux ouvrir mes jambes et attirer les regards masculins.
Elle s’avance sur le bord du fauteuil en écartant les genoux avec ses mains... je ne loupe rien de cette scène hommage à son défunt mari. Bien ouverte, Laurence me montre son entrejambe superbement gainé dans ses bas. Pas d’autre tissu, elle me défie du regard et d’un sourire mutin. Elle tente de me faire comprendre que sa chatte est toute ouverte et ses lèvres présentent un dessin bien accueillant. Je constate qu’elle est parfaitement épilée. Des bas résilles, une chatte à l’air, pas de soutien-gorge. Le ton est donné.
Moi : Si nous revenions sur les quatre qualificatifs (salope, chaudasse, pute à porno et chienne à partouze) que vous avez utilisé lors de nos échanges préparatoires à cette rencontre.
Laurence : Ce sont des qualificatifs que j’adore prononcer quand je baise. Mais j’ai aussi besoin de les entendre, tellement ça m’excite. Cela décuple mon imagination, agit sur mon cerveau qui commande mon corps assoiffé de baise. Plus rien ne me retient, tout est possible, je suis à la merci de mes propres envies et de celles de mes partenaires. Je suis tous ces qualificatifs à la fois. Qu’on me traite de salope ou de pute, cela me rend folle. Je crois que ce sont deux formidables déclencheurs sexuels. Et là, on peut tout me faire. Croyez-moi...
Elle entrouvre son chemisier... le décolleté est plus évident laissant apparaitre la naissance de sa belle poitrine...
Moi : Jolis nibards, dites-moi. Donc si on vous traite de salope, cela vous excite vraiment. Mais pourquoi salope en fait ?
Laurence : Ces nibards-là comme vous dites, se sont fait pincer les pointes bien souvent. Là encore cela me fait décoller comme une furieuse. Quand je repense à ces moments, je suis une vraie salope et j’aime ça. Par exemple : il y a quelques années, un certain voisin attendait que je rentre pour savoir si je m'étais fait baiser et que ça excitait de me sauter en le sachant. Tout comme ça me plaisait de savoir que je les enchaînais dans la soirée comme toute salope qui se respecte... Couilles bien vidées d'un côté, savoir qu'une autre bite m'attendait avec impatience pour tout savoir et décharger en sachant qu'il passait derrière, excitant pour moi aussi, ça faisait bien salope. L'idée de faire ma pute, c'était pas mal je dois dire...
Petite indiscrétion, je commence à mouiller en évoquant ces souvenirs.
Moi : Ah oui, mais c’est normal que cela vous excite... c’est en effet incitatif. C’était votre mode de vie que d’enchaîner les plans cul de la sorte ?
Laurence : Je n‘ai pas souvent laissé ma part, c’est certain. Je me suis fait montée et démontée plus qu'à mon tour. Qui à limer ma chatte, qui à me plomber le cul, avec parfois d'énormes membres très très exigeants qui ne voulaient rien savoir d'autres que de la perforer profond... Sans compter toutes les pipes que je me suis offerte parce que là, les salauds, ils ont toujours la bite à la main, prêts à l'engorger et croyez-moi, y'a du monde...
On peut dire que je suis un vrai garage à bite qui s'est fait déverser des litres et des litres de sperme, réputation de bon plan cul, grosse baiseuse mais à qui fallait pas en promettre non plus... Je repense notamment à ces nombreux scénarios : le mec que je viens de me taper qui appelle son copain pour lui refiler le bon plan... et moi qui décidait si je me le faisais aussi...
Si avec cela le qualificatif de salope ou pute n’est pas adapté, je ne comprends plus... Et vous, j’espère que cela vous excite un peu d’imaginer tout ce que je me suis tapée...
Moi : C’est... à vrai dire... bandant (elle le regarde dans les yeux, se pince les lèvres et jette un œil vicieux à l’endroit de la braguette qui semble changer d’état). Et pour le qualificatif de chaudasse, comment le faire comprendre à nos lecteurs ?
Laurence : Que ce soit avec mon conjoint ou avec mes amants, voilà ce qui pouvait arriver... Comme vous l’avez constaté, oublier de porter une culotte m’arrive très régulièrement. Il me revient une scène avec un gars qui aimait me traiter en salope chaudasse. Nous étions au travail et je lui envoyais un message récapitulatif de ce que j’aimais subir avec lui.
« Oui j'adore quand tu me pinces les pointes et que ces nibards de cochonne tu vois ils sont tout à toi, je te les mettrais sous le nez autant de fois qu'il faut pour que tu t'en occupes, avec de petites tapes aussi ça marche. Du coup faut pas hésiter à décharger dessus aussi, pour qu'ils continuent à avoir leur part de sperme. Pendant ce temps j’ai adoré me branler le clito à me faire jouir en même temps, doublement emmanchée par les jouets. Tu as vu comme j'aime me les enfiler mais j'aime aussi quand c'est toi. Tu sais pourquoi ? Parce que tu as un regard d'accro à mon cul quand tu le fais, tu les plantes, bien vicieusement, le regard brillant et tu enfonces, tu enfonces, tu pousses et tu me regardes pour voir l'effet produit. T'aimes bien me mater quand je m'en prends hein ? T'es un vrai mec en rut avec ta bite tendue et tu gardes une main pour t'astiquer pendant que tu continues de tourner et retourner le gode ou le plug dans les profondeurs de ta petite cochonne de porno... J'adore te regarder comme ça... Et vas-y, je suis une partouzeuse oui, que tu me le répètes, je le mérite et j’aime ça... Petite pute de gang bang qui taille, qui offre ses trous, qui baise, qui s'exhibe, qui se prend des douches en rafale.. tout cela me plait ».
Moi : Vous étiez mariée avec votre défunt conjoint ?
Laurence : oui... J’ai souvent fait ma petite garce en faisant monter ta température (et la queue) de mon amant ou mari, en lui faisant savoir... par exemple, au restaurant, entre deux bouchées, je le regardais comme une salope et murmurait que ma petite chatte a senti le vent la caresser en venant... que j'ai "oublié'" de mettre une petite culotte ce matin. Il pouvait alors sentir mes jambes s'écarter sous la table en même temps et il me disait "mais quelle garce c'est pas possible hein, elle va voir !" Le faire bander à savoir mon petit trou si accessible et puis moi ça me donne envie de me faire fourrer de le voir me regarder avec cette promesse de me démolir pour me punir de cette provocation...
Il me fouillait un peu dans la voiture avant de partir... Juste de quoi m'enfoncer un doigt ou deux et les goûter dans la foulée... Chacun retournant au travail, il pensait toute la journée que je suis au bureau avec mon air sérieux et professionnel, mais qu'en réalité je suis une bonne pute avec ma chatte à l'air...
Sûr qu'avec ma jupe courte, lorsque je me penchais on devinait les bords de mon petit cul. Le soir je rentrais avant lui et il se dépêcherait de rentrer aussi pour découvrir que sa baiseuse est toujours branchée cul. Assise innocemment sur le canapé, cuisses entrouvertes, il me devinait, légèrement juteuse... talons aiguilles, langue passée sur les lèvres, les yeux qui sentent le cul... chaudasse, non ?
Moi : Sans contestation, vous l’êtes. Vous avez parlé aussi de chienne à partouze. Alors, c’est une pratique courante chez vous ?
Laurence : mmmhhh... j’adore... c’est là que je me sens encore plus salope et désirable. Je sens mon pouvoir sur les hommes et je leur vide les couilles comme jamais.
Il me revient mon anniversaire que nous avons fêté avec mon conjoint. C’était l’année dernière. Week-end en Bretagne, nous avions pris un hôtel face à la mer. On se préparait pour sortir, il était 17h environ. J’avais ma tenue du soir : petite jupe courte, bas résilles noirs, mules à talon, pas de culotte, fraîchement épilée du matin, cache-cœur sans soutien-gorge... bref un vrai pousse au crime. Mon conjoint avait visiblement envie de se vider les couilles avant de prendre la voiture. Je lui taille une pipe comme jamais, en lui mettant un doigt dans l’anus. Il en bande deux fois plu dur et moi cela me plait... On a fini par baiser dans la chambre. Moi, habillée comme une pute à porno avec mes mules, j’étais excitée et commençais à couiner. De plus en plus fort au fur et à mesure qu’il me fourrait la chatte et même le cul. Car j’adore la sodomie. Et pas que...
Moi : C’est-à-dire ?
Laurence : Un des employés est entré pendant notre partie de baise, entendant mes cris, il pensait qu’un danger était en train de se produire. Mais je me faisais copieusement tringler comme une pute. Mon conjoint l’a invité à se farcir sa chienne... moi ça m’excitait. Tu veux l’enculer ?
Tut tut tut... il me faut corriger une erreur, ai-je dit à ce moment-là. Ce monsieur qu’il invitait à notre séance de cul pour voir sa chérie se faire démonter, je décidais de ne pas le tutoyer. C'est donc un "enculez-moi !" que je prononçais, voyez-vous ?
Sinon tout le reste m’allait ! Il savait ce qu'il me faut, il se tapait sa pute en fournissant déjà de tout côté mais il était le premier à l'offrir à un mec qui passait par là et dont la queue bandait en me voyant ! Il aimait mater sa petite partouzeuse. Alors pourquoi s'arrêter là ? Il doit bien avoir un ou deux autres collègues intéressés non ? Et... une collègue aussi qui sait ? Je disais à mon conjoint : « Dis-lui à ce salaud en train de me démolir le cul comme un dingue, pendant que tu absorbes le choc par ma chatte, que c'est mon anniversaire et qu'il doit inviter des collègues d'accord ? » Il s’est s'empressé de passer un coup de fil pour faire savoir que dans la chambre 232, il y avait de la cochonne et de la bonne, que son mec la prêtait à qui voulait tringler et qu'ils devaient se dépêcher d'en profiter ! Ça a fait vite le tour et ça se faisait pas prier !!! Voilà le défilé dans la chambre, des salauds bite à la main, juste sortie du pantalon, ils ne pouvaient pas rester, ils bossaient. Ils étaient juste venus tirer un coup et se mettaient en ligne. Je suis arrivée à 4 pattes et je commençais par tailler le 1er pendant que mon conjoint me maintenais la tête en m'encourageant "vas-y ma petite chienne oui ! c'est bien ! allez au suivant maintenant ! pompe bien oui, encore, allez au suivant !!! » Ouh la ! Le suivant me mettait ma douche de sperme, il n’a pas pu résister ! "Bien joué mec quand même, allez au suivant encore ! Elle est pas bonne ma petite nympho les gars ? Ca vous branche de vous la faire ?".
Assez joué, ça faisait de la branlette, ça taillait des grosses pipes mais fallait ramoner maintenant et sévère. Mon mari s’était poster dans un fauteuil et il se branlait comme un fou les yeux rivés sur sa nympho qui se déchainait. Il s'astiquait à tirer dessus comme un malade en se disant que la chiennasse là qu'est en train de se faire partouzer, c'est la sienne !!!
Et elle réclamait : "Allez les mecs merde ! Putain mais allez-y ! explosez-moi la chatte et le cul là... Et ça limait, et ça défilait et ça se remplaçait... jusqu'à l'arrivée d'une jolie gouinasse qui venait voir si elle pouvait pas s'en mêler. Oh que oui ! Elle est venue me rouler de grosses pelles mouillées en me pinçant sévèrement les nibards, ce que je lui rendais et nous étions toutes deux accrochées à nos tétons en nous pinçant comme ça... Je chopais une bite et je la dirigeais vers sa chatte à sec.
Elle couinait la vilaine. Parfait. J'en topais une seconde et cette fois, je la salivais un peu et je la présentais carrément au bord de son petit cul encore plus à sec. Et c'était parti pour elle ! Tandis que moi je revenais docilement vers mon conjoint. Sa bite était toujours aussi belle et aussi pleine. J’allais me les faire ses 20 cm, j'arrivais pile pour qu’il me gicle dessus en me tenant par les cheveux tellement il avait aimé le spectacle, d'autant qu'un salaud m'avait suivi et me réenfilait le cul pendant que je prenais ma douche !! Il n’en pouvais plus, il m'insultait en crachant tout ton sperme et le mec aussi en fait, qui m'arrosait le cul en parfaite synchro...
Moi : Un anniversaire dont on se souvient...
Laurence : Ah oui, je confirme et dans les moindres détails. Cela ravive bien des envies tout cela. On est à l’hôtel, vous sentez pas une sorte de tension là ? Vous appréciez que j’écarte les jambes, on dirait...
Laurence se passe la langue sur les lèvres, passe sa main sous sa jupe pour atteindre sa chatte. Quelques va-et-vient sur le clito humide et gonflé avec deux doigts qu’elle porte à sa bouche.
Laurence : Je sens que j’ai très envie de faire ma pute, ma salope, ma chienne à partouze... Combien de queues peut-on réunir là avec tous ces mecs qui me tournent autour ?
Etant arrivée la première au rendez-vous, elle m’a indiqué avoir eu le temps de s’isoler un instant pour se mettre en conditions. Nous nous installons... Face à moi, elle s’assied dans un fauteuil club confortable, croisant et décroisant les jambes. Malgré la lumière tamisée, donnant une touche d’intimité à l’instant précis, on aperçoit nettement la limite nue de ses cuisses avec le haut des bas résilles blancs. Chaussée d’escarpins au talon de 13 cm (selon Laurence), elle nous offre ainsi un supplément de sensualité.
Difficile de ne pas jeter un œil curieux au plongeant décolleté qui laisse deviner sous le chemisier croisé blanc des pointes de seins qui semblent bien fières. J’apprécie qu’une femme se dispense de porter un soutien-gorge, surtout lorsque les globes semblent assez lourds. Pas exagérément mais juste ce qu’il faut pour les voir rebondir au moindre mouvement. Un régal. Elle sait quel effet cela produit sur les hommes. Certains ont pris place non loin de nous, essayant de garder un œil mateur sur Laurence.
Moi : Pour que nos lecteurs fassent mieux connaissance avec vous, quelle est votre situation privée personnelle ?
Laurence : Je suis veuve depuis cet été, mon conjoint a été happé par un infarctus. Je suis dévastée parce que nous étions complices en toutes circonstances. Il aimait que mon plaisir soit total et je l’en remercierai jamais assez. Je dois dire que de ce côté-là, j’ai profité d’une vie sexuelle riche et débridée. Il m’a vue me faire sauter plus qu’à mon tour, il aimait se branler en me regardant sucer des bites, il me félicitait chaudement lorsque je prenais des faciales de sperme abondant... bref, un mari tel que toute nympho devrait avoir.
Moi : Qu’aurait-il pensé de cette interview ?
Laurence : Du bien certainement. Il m’aurait sûrement fait répéter et surtout aidée à choisir ma tenue. Il aurait validé cette petite jupe rouge, mes bas résilles blancs pour mieux ouvrir mes jambes et attirer les regards masculins.
Elle s’avance sur le bord du fauteuil en écartant les genoux avec ses mains... je ne loupe rien de cette scène hommage à son défunt mari. Bien ouverte, Laurence me montre son entrejambe superbement gainé dans ses bas. Pas d’autre tissu, elle me défie du regard et d’un sourire mutin. Elle tente de me faire comprendre que sa chatte est toute ouverte et ses lèvres présentent un dessin bien accueillant. Je constate qu’elle est parfaitement épilée. Des bas résilles, une chatte à l’air, pas de soutien-gorge. Le ton est donné.
Moi : Si nous revenions sur les quatre qualificatifs (salope, chaudasse, pute à porno et chienne à partouze) que vous avez utilisé lors de nos échanges préparatoires à cette rencontre.
Laurence : Ce sont des qualificatifs que j’adore prononcer quand je baise. Mais j’ai aussi besoin de les entendre, tellement ça m’excite. Cela décuple mon imagination, agit sur mon cerveau qui commande mon corps assoiffé de baise. Plus rien ne me retient, tout est possible, je suis à la merci de mes propres envies et de celles de mes partenaires. Je suis tous ces qualificatifs à la fois. Qu’on me traite de salope ou de pute, cela me rend folle. Je crois que ce sont deux formidables déclencheurs sexuels. Et là, on peut tout me faire. Croyez-moi...
Elle entrouvre son chemisier... le décolleté est plus évident laissant apparaitre la naissance de sa belle poitrine...
Moi : Jolis nibards, dites-moi. Donc si on vous traite de salope, cela vous excite vraiment. Mais pourquoi salope en fait ?
Laurence : Ces nibards-là comme vous dites, se sont fait pincer les pointes bien souvent. Là encore cela me fait décoller comme une furieuse. Quand je repense à ces moments, je suis une vraie salope et j’aime ça. Par exemple : il y a quelques années, un certain voisin attendait que je rentre pour savoir si je m'étais fait baiser et que ça excitait de me sauter en le sachant. Tout comme ça me plaisait de savoir que je les enchaînais dans la soirée comme toute salope qui se respecte... Couilles bien vidées d'un côté, savoir qu'une autre bite m'attendait avec impatience pour tout savoir et décharger en sachant qu'il passait derrière, excitant pour moi aussi, ça faisait bien salope. L'idée de faire ma pute, c'était pas mal je dois dire...
Petite indiscrétion, je commence à mouiller en évoquant ces souvenirs.
Moi : Ah oui, mais c’est normal que cela vous excite... c’est en effet incitatif. C’était votre mode de vie que d’enchaîner les plans cul de la sorte ?
Laurence : Je n‘ai pas souvent laissé ma part, c’est certain. Je me suis fait montée et démontée plus qu'à mon tour. Qui à limer ma chatte, qui à me plomber le cul, avec parfois d'énormes membres très très exigeants qui ne voulaient rien savoir d'autres que de la perforer profond... Sans compter toutes les pipes que je me suis offerte parce que là, les salauds, ils ont toujours la bite à la main, prêts à l'engorger et croyez-moi, y'a du monde...
On peut dire que je suis un vrai garage à bite qui s'est fait déverser des litres et des litres de sperme, réputation de bon plan cul, grosse baiseuse mais à qui fallait pas en promettre non plus... Je repense notamment à ces nombreux scénarios : le mec que je viens de me taper qui appelle son copain pour lui refiler le bon plan... et moi qui décidait si je me le faisais aussi...
Si avec cela le qualificatif de salope ou pute n’est pas adapté, je ne comprends plus... Et vous, j’espère que cela vous excite un peu d’imaginer tout ce que je me suis tapée...
Moi : C’est... à vrai dire... bandant (elle le regarde dans les yeux, se pince les lèvres et jette un œil vicieux à l’endroit de la braguette qui semble changer d’état). Et pour le qualificatif de chaudasse, comment le faire comprendre à nos lecteurs ?
Laurence : Que ce soit avec mon conjoint ou avec mes amants, voilà ce qui pouvait arriver... Comme vous l’avez constaté, oublier de porter une culotte m’arrive très régulièrement. Il me revient une scène avec un gars qui aimait me traiter en salope chaudasse. Nous étions au travail et je lui envoyais un message récapitulatif de ce que j’aimais subir avec lui.
« Oui j'adore quand tu me pinces les pointes et que ces nibards de cochonne tu vois ils sont tout à toi, je te les mettrais sous le nez autant de fois qu'il faut pour que tu t'en occupes, avec de petites tapes aussi ça marche. Du coup faut pas hésiter à décharger dessus aussi, pour qu'ils continuent à avoir leur part de sperme. Pendant ce temps j’ai adoré me branler le clito à me faire jouir en même temps, doublement emmanchée par les jouets. Tu as vu comme j'aime me les enfiler mais j'aime aussi quand c'est toi. Tu sais pourquoi ? Parce que tu as un regard d'accro à mon cul quand tu le fais, tu les plantes, bien vicieusement, le regard brillant et tu enfonces, tu enfonces, tu pousses et tu me regardes pour voir l'effet produit. T'aimes bien me mater quand je m'en prends hein ? T'es un vrai mec en rut avec ta bite tendue et tu gardes une main pour t'astiquer pendant que tu continues de tourner et retourner le gode ou le plug dans les profondeurs de ta petite cochonne de porno... J'adore te regarder comme ça... Et vas-y, je suis une partouzeuse oui, que tu me le répètes, je le mérite et j’aime ça... Petite pute de gang bang qui taille, qui offre ses trous, qui baise, qui s'exhibe, qui se prend des douches en rafale.. tout cela me plait ».
Moi : Vous étiez mariée avec votre défunt conjoint ?
Laurence : oui... J’ai souvent fait ma petite garce en faisant monter ta température (et la queue) de mon amant ou mari, en lui faisant savoir... par exemple, au restaurant, entre deux bouchées, je le regardais comme une salope et murmurait que ma petite chatte a senti le vent la caresser en venant... que j'ai "oublié'" de mettre une petite culotte ce matin. Il pouvait alors sentir mes jambes s'écarter sous la table en même temps et il me disait "mais quelle garce c'est pas possible hein, elle va voir !" Le faire bander à savoir mon petit trou si accessible et puis moi ça me donne envie de me faire fourrer de le voir me regarder avec cette promesse de me démolir pour me punir de cette provocation...
Il me fouillait un peu dans la voiture avant de partir... Juste de quoi m'enfoncer un doigt ou deux et les goûter dans la foulée... Chacun retournant au travail, il pensait toute la journée que je suis au bureau avec mon air sérieux et professionnel, mais qu'en réalité je suis une bonne pute avec ma chatte à l'air...
Sûr qu'avec ma jupe courte, lorsque je me penchais on devinait les bords de mon petit cul. Le soir je rentrais avant lui et il se dépêcherait de rentrer aussi pour découvrir que sa baiseuse est toujours branchée cul. Assise innocemment sur le canapé, cuisses entrouvertes, il me devinait, légèrement juteuse... talons aiguilles, langue passée sur les lèvres, les yeux qui sentent le cul... chaudasse, non ?
Moi : Sans contestation, vous l’êtes. Vous avez parlé aussi de chienne à partouze. Alors, c’est une pratique courante chez vous ?
Laurence : mmmhhh... j’adore... c’est là que je me sens encore plus salope et désirable. Je sens mon pouvoir sur les hommes et je leur vide les couilles comme jamais.
Il me revient mon anniversaire que nous avons fêté avec mon conjoint. C’était l’année dernière. Week-end en Bretagne, nous avions pris un hôtel face à la mer. On se préparait pour sortir, il était 17h environ. J’avais ma tenue du soir : petite jupe courte, bas résilles noirs, mules à talon, pas de culotte, fraîchement épilée du matin, cache-cœur sans soutien-gorge... bref un vrai pousse au crime. Mon conjoint avait visiblement envie de se vider les couilles avant de prendre la voiture. Je lui taille une pipe comme jamais, en lui mettant un doigt dans l’anus. Il en bande deux fois plu dur et moi cela me plait... On a fini par baiser dans la chambre. Moi, habillée comme une pute à porno avec mes mules, j’étais excitée et commençais à couiner. De plus en plus fort au fur et à mesure qu’il me fourrait la chatte et même le cul. Car j’adore la sodomie. Et pas que...
Moi : C’est-à-dire ?
Laurence : Un des employés est entré pendant notre partie de baise, entendant mes cris, il pensait qu’un danger était en train de se produire. Mais je me faisais copieusement tringler comme une pute. Mon conjoint l’a invité à se farcir sa chienne... moi ça m’excitait. Tu veux l’enculer ?
Tut tut tut... il me faut corriger une erreur, ai-je dit à ce moment-là. Ce monsieur qu’il invitait à notre séance de cul pour voir sa chérie se faire démonter, je décidais de ne pas le tutoyer. C'est donc un "enculez-moi !" que je prononçais, voyez-vous ?
Sinon tout le reste m’allait ! Il savait ce qu'il me faut, il se tapait sa pute en fournissant déjà de tout côté mais il était le premier à l'offrir à un mec qui passait par là et dont la queue bandait en me voyant ! Il aimait mater sa petite partouzeuse. Alors pourquoi s'arrêter là ? Il doit bien avoir un ou deux autres collègues intéressés non ? Et... une collègue aussi qui sait ? Je disais à mon conjoint : « Dis-lui à ce salaud en train de me démolir le cul comme un dingue, pendant que tu absorbes le choc par ma chatte, que c'est mon anniversaire et qu'il doit inviter des collègues d'accord ? » Il s’est s'empressé de passer un coup de fil pour faire savoir que dans la chambre 232, il y avait de la cochonne et de la bonne, que son mec la prêtait à qui voulait tringler et qu'ils devaient se dépêcher d'en profiter ! Ça a fait vite le tour et ça se faisait pas prier !!! Voilà le défilé dans la chambre, des salauds bite à la main, juste sortie du pantalon, ils ne pouvaient pas rester, ils bossaient. Ils étaient juste venus tirer un coup et se mettaient en ligne. Je suis arrivée à 4 pattes et je commençais par tailler le 1er pendant que mon conjoint me maintenais la tête en m'encourageant "vas-y ma petite chienne oui ! c'est bien ! allez au suivant maintenant ! pompe bien oui, encore, allez au suivant !!! » Ouh la ! Le suivant me mettait ma douche de sperme, il n’a pas pu résister ! "Bien joué mec quand même, allez au suivant encore ! Elle est pas bonne ma petite nympho les gars ? Ca vous branche de vous la faire ?".
Assez joué, ça faisait de la branlette, ça taillait des grosses pipes mais fallait ramoner maintenant et sévère. Mon mari s’était poster dans un fauteuil et il se branlait comme un fou les yeux rivés sur sa nympho qui se déchainait. Il s'astiquait à tirer dessus comme un malade en se disant que la chiennasse là qu'est en train de se faire partouzer, c'est la sienne !!!
Et elle réclamait : "Allez les mecs merde ! Putain mais allez-y ! explosez-moi la chatte et le cul là... Et ça limait, et ça défilait et ça se remplaçait... jusqu'à l'arrivée d'une jolie gouinasse qui venait voir si elle pouvait pas s'en mêler. Oh que oui ! Elle est venue me rouler de grosses pelles mouillées en me pinçant sévèrement les nibards, ce que je lui rendais et nous étions toutes deux accrochées à nos tétons en nous pinçant comme ça... Je chopais une bite et je la dirigeais vers sa chatte à sec.
Elle couinait la vilaine. Parfait. J'en topais une seconde et cette fois, je la salivais un peu et je la présentais carrément au bord de son petit cul encore plus à sec. Et c'était parti pour elle ! Tandis que moi je revenais docilement vers mon conjoint. Sa bite était toujours aussi belle et aussi pleine. J’allais me les faire ses 20 cm, j'arrivais pile pour qu’il me gicle dessus en me tenant par les cheveux tellement il avait aimé le spectacle, d'autant qu'un salaud m'avait suivi et me réenfilait le cul pendant que je prenais ma douche !! Il n’en pouvais plus, il m'insultait en crachant tout ton sperme et le mec aussi en fait, qui m'arrosait le cul en parfaite synchro...
Moi : Un anniversaire dont on se souvient...
Laurence : Ah oui, je confirme et dans les moindres détails. Cela ravive bien des envies tout cela. On est à l’hôtel, vous sentez pas une sorte de tension là ? Vous appréciez que j’écarte les jambes, on dirait...
Laurence se passe la langue sur les lèvres, passe sa main sous sa jupe pour atteindre sa chatte. Quelques va-et-vient sur le clito humide et gonflé avec deux doigts qu’elle porte à sa bouche.
Laurence : Je sens que j’ai très envie de faire ma pute, ma salope, ma chienne à partouze... Combien de queues peut-on réunir là avec tous ces mecs qui me tournent autour ?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@olga T
Merci beaucoup… pour Laurence chaque situation est un matériau potentiel à une partie de baise.
Apprendre qu’elle allait au travail avec un plug enfoncé.
Inspirant.
Bonne suite de lecture :)
Merci beaucoup… pour Laurence chaque situation est un matériau potentiel à une partie de baise.
Apprendre qu’elle allait au travail avec un plug enfoncé.
Inspirant.
Bonne suite de lecture :)
Hum très chaud! Cette série m'avait échappé, je vais m'empresser d'aller découvrir tes textes