Les conquêtes de Michael - épisode pilote - Agnès

- Par l'auteur HDS Abdul75 -
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Récit libertin : Les conquêtes de Michael - épisode pilote - Agnès Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les conquêtes de Michael - épisode pilote - Agnès
Je m'appelle Mickaël. Je suis dans ma dix-neuvième année et après un bac obtenu sans gloire, j'ai décidé de m'inscrire en fac de sociologie. Je ne vais pas prétendre que ce choix d'études a été mûrement réfléchi. Mais comme il y avait de la place dans cette filière, je me suis dit que ça me permettrait de gagner au moins un an avant de rejoindre le rang des chômeurs.
J'habite en grande banlieue parisienne avec ma belle mère dans la maison de mon père. Ça fait un peu plus de deux ans qu'il a quitté Myriam sa femme pour suivre Hilda une étudiante argentine dont il s'était entiché quelques mois plus tôt.

Quand ma mère qui vit dans le sud de la France a appris que mon père quittait le pays et sa femme pour suivre sa nouvelle conquête, elle a décidé que j'irais habiter dans sa maison avec ma belle mère que je ne connaissais pas.
Ça ne me perturba pas plus que ça et je me suis même dit que c'était pour moi le bon moment pour couper le cordon.

Mon vieux jusque-là n'avait pas fait grand chose pour moi. Il s'était contenté de séduire et d'engrosser ma mère avant de disparaitre sans même prendre le temps d'attendre ma naissance. Accessoirement, il me transmit par la même occasion, les gènes qui me dotèrent des mêmes attributs virils hypertrophiés que lui.

Mon père était un aventurier incapable de se fixer et la réputation de séducteur du "mulet du Vexin" le surnom dont l'avaient affublé ses coéquipiers de foot avait dépassé les frontières.

Mon père ne discuta même pas la décision de ma mère. Ses nombreux périples et ses expériences variées lui avaient permis de se constituer un confortable pécule et à titre de compensation pour l'abandon de sa femme et l'oubli de mon existence, il me fit donation de sa maison du Val d'Oise à condition que Myriam puisse y habiter jusqu'à ce qu'elle décide de partir.
Il ajouta même une petite rente mensuelle qui devrait me permettre selon lui d'être à l'abri du besoin pour les 5 années à venir.

Myriam a désormais 33 ans et elle est employée dans une agence bancaire située à une vingtaine de kilomètres de la maison. C'est une très jolie femme brune plutôt discrète avec qui je m'entends très bien et qui a tout de suite accepté ma présence sous son toit.
Il faut dire que je ne l'embête pas beaucoup. En effet si je passe une bonne partie de la journée à glander à la maison, je suis très souvent absent le soir venu.

En fait le plus gros de mon activité consiste à séduire et à honorer des femmes de tous âges et de toutes conditions. En me léguant son énorme paquet mon père m'a aussi transmis un appétit sexuel en rapport.

Parmi ces femmes, il y en a une pour qui j'ai une tendresse particuliere. J'ai fait connaissance d'Agnès il y a deux mois et Je vais maintenant vous relater les circonstances de cette rencontre.

#============#
Ne voulant pas me retrouver seul dans la maison par ce bel après midi d'automne, j'avais décidé de me rendre à Paris pour me balader dans le quartier du Marais. Apres avoir passé mes vêtements de fils de famille bien sous tous rapports Je pris donc mon scooter pour me rendre à la gare et je montai dans le premier train à destination de la capitale.

Une belle femme châtain clair la quarantaine révolue vint s'asseoir sur la banquette située en face de moi et choisit un emplacement lui permettant d'étendre ses jolies jambes. Elle était vêtue d'une courte veste en cuir gris d'un pull en V bien décolleté sur ses seins appétissants, d'une courte jupe plissée qui dévoilait ses cuisses fermes et ses jambes bien galbées, d'un fin collant beige et d'escarpins à talons hauts et élancés.
Je lui fis un large sourire auquel elle répondit spontanément.
- Je profite de ce bel après midi pour aller me promener à Paris lui déclarai-je. Voyant qu'elle ne fuyait pas ma conversation, je me présentai avant de poursuivre: - laissez moi deviner... vous allez courir les boutiques de mode à la capitale.
- En effet jeune homme admit elle vous êtes fin psychologue.
- J'ai simplement remarqué que vous étiez très élégante et j'ai supposé que vous alliez vous livrer à une de vos activités préférées.
- Je vous remercie pour le compliment dit-elle. Je fais juste en sorte de me maintenir et d'affronter au mieux les années qui se succèdent.

Sentant qu'elle était prête à s'épancher, je me déplaçai en face de la voyageuse. A priori, elle n'attendait que ça pour se lancer.

Je pus donc l'écouter avec intérêt me parler de sa famille, de ses enfants étudiants qui devaient avoir mon âge selon elle et de son mari qui travaillait beaucoup et la négligeait un peu. J'étais touché par cette femme qui s'entretenait et qui avait enfoui au fond d'elle un tempérament qu'on imaginait explosif.

Lorsque que le train s'arrêta enfin dans la gare parisienne, je la remerciai pour sa compagnie et lui affirmai que grâce à elle je n'avais pas vu passer le voyage. Elle me sourit et me fit un aveu:- C'est vrai. Ça m'a fait plaisir de vous parler et c'est plutôt étrange car ça ne me ressemble pas de me confier aux gens que je ne connais pas.
- C'est que je ne suis pas n'importe quel inconnu rétorquai je avant de préciser: j'ai l'intention d'aller me promener dans le quartier du Marais. En semaine c'est très agréable.
- Vous avez raison me répondit elle c'est aussi le bon endroit pour les boutiques de créateurs de mode. Et c'est là bas que je compte me rendre.
- Dans ce cas dis-je allons y ensemble. La solitude est moins pesante à deux. Ma remarque la fit rire. Vous êtes très belle quand vous riez lui déclarai je. Elle me regarda avec un air circonspect. - Dîtes moi jeune homme vous ne seriez pas en train de me draguer.
Je ne me démontai pas.
- Comment le pourrais-je. je ne connais même pas votre prénom alors que je vous ai donné le mien dis je en lui proposant mon bras droit plié. Elle rit de nouveau; - vous êtes un coquin et un séducteur Mickaël. Je m'appelle Agnès ajouta t'elle en glissant son avant-bras dans l'ouverture. Nous descendimes dans le Métro. Lorsque les portes de la rame s'ouvrirent, j'emmenai Agnès sur un carré et je m'installai en face d'elle près de la fenêtre. Nous avons discuté de tout et de rien jusqu'à notre destination. Elle était beaucoup plus détendue et je me laissais envelopper par le charme presque voluptueux qui émanait de sa personne.
- Alors dis je quand nous fûmes enfin dans le quartier désiré. Par quoi veux tu commencer? J'avais machinalement utilisé le tutoiement avant de me reprendre.
- Pardon... que voulez vous faire dans un premier temps. Elle me sourit.
- On peut très bien se tutoyer Mickaël si c'est plus simple pour toi.
- Avec plaisir Agnès. Nous sommes de vieux complices maintenant. Elle sourit à pleines dents.
- Vous... Pardon tu es un drôle de phénomène Mickaël mais j'apprécie ta compagnie. Nous progressions lentement bras dessus bras dessous lorsqu'elle repéra un de ses magasins fétiche.
- J'ai envie d'aller voir les nouveaux modèles proposés par cette boutique. Tu n'es pas obligé de venir avec toi.
- Pas obligé peut-être mais je tiens à t'accompagner. Je suis moi aussi un grand amateur de vêtements féminins.
- Comme tu voudras jeune homme lâcha t'elle. Elle me montra une robe noire et ample. Qu'en penses-tu me demanda t-elle.
- Je trouve ça un peu trop sage affirmai-je. C'est bien pour les femmes qui veulent cacher leurs rondeurs. Mais franchement toi tu es vraiment très bien foutue. Et tu le sais. Sinon tu ne serais pas habillée comme tu l'es aujourd'hui. Je la vis rosir légèrement. Mon compliment avait porté.
- Tu préfères sans doute ce top décolleté proposa t'elle ensuite.
- Je constate que tu m'as vite cerné dis je d'un air penaud ce qui la fit rigoler.
- Et bien comme je le trouve pas mal moi aussi je vais aller l'essayer. Je la suivis vers une des cabines. Alors qu'elle venait à peine de tirer le rideau je m'adressai à elle.
- Coucou Agnès je peux voir.
- Allons sois sage. Je sortirai quand je serai prête. Une minute plus tard elle ouvrit le rideau avec le top sur le dos qui découvrait ses bras.
- Magnifique fis je emballé.
- Il est un peu trop décolleté à mon goût protesta t'elle.
- Tu dis ça parce que on aperçoit ton soutien gorge. La solution c'est que tu n'en portes pas avec ce top.
- Tu vas me faire regretter de t'avoir permis de m'accompagner petit coquin me répondit elle en riant.

Elle m'emmena ainsi dans trois autres boutiques et acheta finalement le top et une jupe crayon qui selon ses propres propos allaient s'accorder parfaitement lorsqu'elle les porteraient.
Je lui proposai ensuite de lui offrir un verre dans un des bars cossus du quartier. Confortablement installée sur la banquette elle me faisait face en sirotant son mojito pendant que je buvais ma pinte de bière.
- Alors contente de tes achats ? La questionnai je.
- Je suis ravie m'avoua t'elle.
- Tu as raison confirmai-je. Les hommes vont se retourner sur ton passage avec cet ensemble. Nous avons passé ainsi une demi heure à badiner avant de retourner à la station de métro la plus proche.

Lorsque nous eûmes rejoint notre gare de départ, je donnai mon numéro de téléphone à Agnès lui recommandant de m'appeler si elle avait envie de faire une autre virée à la capitale. Puis je lui fis une bise avant de me diriger vers mon scooter. Une heure plus tard, je reçus un texto de sa part dans lequel elle me remerciait pour le délicieux après midi passé en ma compagnie.

J'utilisai la journée suivante pour aller faire un tour à la fac. Simple précaution pour limiter le risque d'être rayé prématurément de la liste des étudiants inscrits.

Le lendemain, je décidai donc de profiter du beau soleil pour pousser mon avantage auprès d'Agnès et lui proposer une balade au jardin des Tuileries. J'avais envoyé mon SMS peu avant midi. Je reçus une réponse positive vers 13:30. Agnès m'attendait à la gare habillée des vêtements achetés l'avant veille en ma compagnie. Je m'approchai discrètement d'elle et plaquai mes mains sur ses yeux.
- Coucou qui est ce lançai je finement. Elle sursauta.
- Quel idiot me dit elle. Tu m'as filé une sacrée trouille.
- Rien à voir avec moi alors car quand je te vois comme ça c'est pas vraiment de la peur que je ressens. Elle posa son doigt sur mes lèvres.
- Je sens que tu vas dire une bêtise. Je préfère t'arrêter tout de suite.
- Dommage que tu n'aies pas conscience de l'effet que tu produis sur les jeunes hommes sensibles comme moi.
Elle éclata de rire.

Nous avons fait le trajet côte à côte sur une banquette du train en racontant n'importe quoi. puis nous avons pris le métro pour la Concorde.

Une fois dans le jardin des Tuileries, je pris la main d'Agnès et nous nous promenâmes ainsi pendant une vingtaine de minutes avant de nous installer sur un banc tranquille.

- Je peux te poser une question dis-je à mon accompagnatrice. Elle me regarda dans les yeux.
- Ça dépend... de quoi s'agit il ?
- Est-ce que tu m'autorises à t'embrasser.
- Bien sûr fit elle les yeux rieurs et elle me tendit la joue. Je contournai alors sa tête et posai mes lèvres sur les siennes. elle leva les bras et je me demandai si elle allait me gifler mais au contraire elle me serra et mêla sa langue à la mienne pour un baiser torride.
- Je suis complètement folle lâcha t'elle après que nous nous soyons decollés. Qu'est ce qui m'arrive ? Pour toute réponse j'embrassai Agnès une seconde fois en glissant ma main sous son top au bas de son dos. Elle m'offrit ses lèvres sans retenue. Nous avons ainsi passé de longues minutes à échanger des baisers passionnés en nous caressant mutuellement. Je finis par lui mordiller l'oreille tendrement en chuchotant.
- Tu sens merveilleusement bon ravissante Agnès.
- je me sens si bien dans tes bras, Mickaël. Ce qui m'arrive est délicieux. - Veux tu que nous marchions un peu lui proposais je.
- Pourquoi pas.

Nous empruntâmes l'avenue de l'Opéra enlacés et je la conduisis jusqu'au boulevard Haussmann.
- Tu sais ce qui me ferait plaisir lui demandais je.
- Vas-y dis moi mon chéri.
- J'adorerais t'offrir des bas et un porte-jarretelles; je ne suis pas fan des collants me justifiais je.
- Ah bon... Agnès fit la moue. Et c'est tout ajouta t'elle. Je me mis à rire et lui pris la main. Nous remontâmes la rue de la chaussée d'Antin passant devant ses boutiques spécialisées dans les tenues provocantes.
- Je te verrais bien dans cette robe en vinyle courte et moulante juchée sur ces talons aiguilles lançais je en m'arrêtant devant une vitrine particulièrement évocatrice.
- J'aurais un succès fou dans le train avec ça s'amusa t'elle. Après avoir rejoint la rue Lafayette j'aperçus enfin l'enseigne que j'espèrais. Celle d'un charmant petit hôtel propret. Sans rien dire, j'amenai Agnès devant le comptoir. Elle avait rosi et montrait une certaine appréhension.
Je m'adressai à l'hôtesse, une jeune femme originaire d'Europe de l'est très maquillée, pour réserver une chambre.
- Combien de temps comptez vous rester nous demanda-t-elle.
- Ça dépend de madame dis-je en souriant.
- Très bien comme vous n'avez pas de bagage, je vais vous demander de régler une nuit dès maintenant.

Je lui tendis la carte bancaire offerte par mon père et en échange reçus la clé d'une chambre située au dernier étage. Agnès ne semblait plus aussi sûre d'elle mais je la pris par la taille et l'emmenai vers l'escalier. Nous avons gravi les marches lentement avant d'atteindre la porte convoitée. Puis j'ouvris et poussai doucement ma conquête dans la pièce avant de refermer. Elle enroula alors ses bras autour de moi et m'embrassa avec passion.

Notre baiser dura longtemps.

J'en profitai pour lui retirer sa veste et baisser la fermeture de sa jupe. Elle s'écarta alors pour que je puisse continuer son déshabillage. Lorsqu'elle se retrouva seulement vêtue de son slip tentant de cacher ses beaux seins fermes avec ses bras je la portai et l'étendis dos sur le lit. Puis je retirai mes vêtements ne conservant que mon caleçon avant de venir entre ses jambes.
Doucement je fis glisser son slip le long de ses jambes magnifiques. J'entendais son cœur battre la chamade.
Lentement j'approchai ma bouche de son minou parfumé. Puis j'entamai un cunnilingus délicat qui la détendit rapidement jusqu'à ce qu'elle jouisse en serrant fortement les cuisses.
- C'était délicieux Mickaël me dit elle avec émotion. Ça fait si longtemps qu'un homme m'a fait jouir. A mon tour maintenant. Viens t'allonger près de moi.
Je la rejoignis et la pris dans mes bras pour l'embrasser passionnément.
- C'est dingue l'effet que me font tes lèvres dis-je. J'ai l'impression de flotter.
- Je ressens la même chose Mickaël chéri me dit elle en plongeant sa main dans mon caleçon pour attraper ma verge. Elle poussa alors un cri de surprise.
- Mon dieu mais qu'est ce que tu caches entre tes jambes. Elle se redressa alors pour m'enlever mon sous vêtement faisant jaillir ma tige qui avait commencé à prendre pas mal d'ampleur.
- C'est incroyable lâcha t'elle. Je n'ai pas eu beaucoup d'hommes dans ma vie mais je ne pensais pas qu'il y en avaient avec un pareil engin.
- N'aie pas peur ma chérie lui dis je. Je ne veux te faire que du bien.
- Je ne suis pas sûre de pouvoir te sucer mais je vais quand même essayer répliqua t-elle pleine de bonne volonté. Elle s'appliqua et finit par emboucher une bonne partie de ma tige.
- Tu t'en sors très bien lui dis je.
- La crainte éprouvée de prime abord avait fait place à une forte excitation et Agnès était aux anges.
Je ne tardai pas à éjaculer dans sa bouche si douce et elle fit de son mieux pour avaler mon jus.
- Bravo ma chérie lui dis je. C'était très bien. Je verifiai alors l'écartement de sa chatte avec mes doigts. Elle était littéralement trempée. Je vins m'allonger sur elle et lui demandai d'introduire elle même mon pieu turgescent dans son fourreau lubrifié. Elle attrapa ma tige, appuya mon gland contre son minou et j'entamai une lente pénétration écartelant ses chairs intimes qui n'avaient jamais accueilli un tel calibre. Lorsqu'enfin je percutai sa matrice elle fut transportée par un orgasme fulgurant.
J'attendis qu'elle reprenne son souffle et je me mis à coulisser dans son fourreau trempé de cyprine.

Peu à peu elle se mit à gémir de plus en fort alors que j'accélérai le rythme jusqu'à ce que ma tige grossisse prémice à une nouvelle éjaculation abondante.
Elle cria juste après sujette à un orgasme d'une intensité inconnue jusqu'alors. Agnès se découvrait femme sensuelle avide d'étreintes débridées. Je l'honorai de nouveau à plusieurs reprises lui faisant découvrir des positions qu'elle ne soupçonnait même pas, lui procurant plus d'orgasmes qu'elle n'en avait jamais espérés.

Elle était insatiable et je finis par crier grâce pour qu'elle revienne sur terre. Il était plus de 18:00 et nous avions tout le voyage de retour à faire avant de réintégrer nos pénates.
Nous avons pris néanmoins le temps d'une douche réparatrice et quitté à regret cette chambre qui nous avait permis d'éprouver tant de plaisir.

- Je pars en Normandie pour quelques jours m'apprit Agnès dans le train du retour. Je t'appellerai la semaine prochaine pour te proposer une nouvelle virée à Paris. Et je te ferai une surprise qui devrait te plaire.
Avant de la quitter je passai un petit moment dans sa voiture pour que nous puissions échanger quelques baisers langoureux.

Je reçus le lendemain matin avant son départ pour l'ouest un message d'Agnès me disant qu'elle avait eu envie de moi toute la nuit et qu'elle avait fini par se masturber pour se calmer ce qui ne lui était pas arrivé depuis des années.

#=================#
Agnès était rentrée le mercredi de son séjour en Normandie avec plein de bonnes intentions pour moi. Nous avions prévu de nous retrouver le lendemain matin vers 11:00 afin d'être à Paris pour le déjeuner.

Elle portait la mignonne jupe plissée qu'elle avait le jour de notre rencontre. Mais les sages collants beige avaient été remplacés par des vrais bas fantaisie à jarretières. Avec son gilet à boutons en laine qu'elle portait sans soutien-gorge largement décolleté sur ses seins adorables et ses nouvelles bottines à talons aiguilles en cuir noir, elle était absolument craquante et fort bandante.

Cette fois ci nous avions pris sa voiture pour éviter d'exciter tous les lourdauds qui auraient pu se trouver dans notre train.
- Tu sais que tu es tout à fait mon type de femme lui avouais je après avoir posé ma main sur la partie dénudée de sa cuisse. Enfin presque tout à fait ajoutai-je après avoir laissé mes doigts explorer son entrejambe.
- Pourquoi presque jeune étalon? s'insurgea t'elle.
- Car la femme comblée ne porte pas de culotte quand elle va retrouver son amant répondis-je aussitôt. Agnès sourit d'un air entendu.
- Si tu es aussi performant que la semaine dernière, je pense que je n'en mettrai plus mon chéri.
- Voilà un défi qui me plaît ma belle Agnès lui dis je.

Elle nous conduisit alors dans le Parking d'un immeuble moderne du 14eme arrondissement.
- Ma fille aînée Amandine habite un deux pièces dans ce bâtiment pendant la durée de ses études. Mais comme elle vient de partir aux USA pour un stage de 4 mois, il est inoccupé pour l'instant. Je lui ai dit que j'allais essayer de le louer sur Airbnb mais en attendant j'ai bien l'intention d'en profiter.
- Ah bon et avec qui ravissante Agnès demandais je?
- Avec de jeunes étalons bien vigoureux évidemment.
- Tu veux dire des jeunes mâles montés comme des ânes qui te feront subir les pires outrages.
- Exactement mon chéri. Ces jeunes si fiers de leurs attributs qui font tant de bien aux femelles de la meute.
- Je te fais donc du bien ma chérie dis-je avant de lui donner un baiser passionné.
- Tu n'imagines pas mon cœur. Grâce à toi je suis de nouveau une femme séduisante et disponible pour une belle aventure.

Je l'embrassai encore avant de lui déclarer.
- Fais moi vite découvrir ta garçonnière, j'ai envie de toi.

Dans l'ascenseur je lui retirai son slip. Puis je dégrafai les boutons de son gilet et embrassai ses beaux seins à pleine bouche me délectant de leur pointe durcie et tendue par le désir. Je ne sais pas comment elle fit pour ouvrir la porte et m'enlever mon pantalon. Mais en deux temps trois mouvements je me retrouvai couché sur Agnès ma poutre raide à en être douloureuse fichée dans son fourreau ruisselant de cyprine. Je la baisai bestialement me repaissant de ses cris de femelle en chaleur au paroxysme du plaisir. Lorsqu'elle atteignit l'orgasme, sa respiration s'arrêta d'un coup et elle cessa tout mouvement consciente malgré tout du flot abondant de semence que je déversais dans son vagin.
- Oh mon chéri c'était fantastique me félicita t elle après un long silence. Tu me fais atteindre des plaisirs inespérés, c'est tellement bon.
- Je suis d'accord avec toi Agnès chérie. C'est tellement bon. Te sens tu prête à découvrir un nouveau plaisir.
- Que veux tu dire lâcha t'elle avec inquiétude.
- En clair es tu prête à m'ouvrir ta porte de derrière. Elle me regarda avec épouvante. Tu es beaucoup trop gros. Ta poutre n'est pas conçue pour déflorer ce chemin encore vierge.
- N'aie pas peur ma chérie dis je avec tendresse. J'explorerai avec bienveillance cette terre inconnue. Et tu comprendras à cette occasion qu'un gros tunnelier est préférable à une barre à mine. Ele eclata de rire.
- Que de poésie pour evoquer ton désir de me sodomiser.
- Tu n'y es pas du tout retorquai je. Nulle question de sodomie ici. Je souhaite juste t'enculer jusqu'a la garde et vider mon jus dans tes intestins et te prouver à l'occasion que tu peux aussi jouir par cet orifice.
- Très bien je suis prête à tenter le coup fit elle avec appréhension mais je compte sur toi pour être très doux.
- Bien sûr ma chérie. Mais après notre partie de jambes en l'air de tout à l'heure , j'ai l'impression qu'un peu de sauvagerie ne te déplaît pas. Je vis le trouble la gagner.

- Allez belle pouliche fais moi bander et après je te saillirai.
Je la pris en levrette après avoir biffé ses fesses avec ma tige déployée par ses délicieuses caresses.
- Vas-y mon chéri suppliait elle. J'aime que tu me prennes par derrière. Je sens si bien ta matraque me remplir jusqu'au fond.

Je la bourrai énergiquement jusqu'à ce qu'elle se tende comme un arc submergée par le plaisir. Je m'extirpai alors de sa grotte et me finis à la main en éjaculant une énorme dose de foutre sur la raie de ses fesses. J'avais désormais le lubrifiant qui allait me permettre de lui péter le cul .

J'enduisis son petit trou de mon jus et commençai à l'aléser avec mes doigts. Bien vite je pus insérer trois doigts dans son anus tout en lui malaxant doucement la rondelle. Mes actions semblaient lui plaire car elle poussait de petits gémissements. À l'idée de déflorer son joli petit oeillet ma tige était dure et raide comme l'acier. Je posai mon gland turgescent sur le trou patiemment élargi et j'appuyai avec force pour pénétrer l'étroit conduit inviolé. Agnès serrait les dents. Des larmes de douleur naissaient au coin de ses yeux tandis que mon pieu s'introduisait de plus en plus profondément. Lorsque je fus enfoncé jusqu'à la garde je marquai un temps d'arrêt pour laisser le temps à son boyau de s'adapter au diamètre de ma matraque.
- C'est fait ma chérie lui dis-je alors. Tu as accepté toute ma poutre dans ton fondement. Elle laissa échapper un soupir de soulagement.
- Enfin! j'ai l'impression d'avoir le cul déchiré geignit-t-elle- Laisse toi aller lui dis je en titillant son clitoris. Tu es trop crispée. Je commençai mon lent ramonage tout en continuant à lui chatouiller le bouton. Peu à peu elle se détendait et mon pieu glissait avec de plus en plus de facilité dans son étroit fourreau. Agnès se mit alors à gémir et j'accélérai la cadence. Le volume de ses gémissements augmentait avec le rythme de mes coups de boutoir. J'etais devenu un marteau piqueur et elle s'était mise à gueuler de plus en plus fort jusqu'à ce que l'orgasme nous terrasse tous les deux.

Étendue sur le dos, Agnès me caressait les cheveux avec douceur.
- Alors jeune étalon me dit elle. Tu es content. Tu as eu ce que tu voulais.
- Pourquoi dis-je d'une voix sévère. Tu n'es pas contente toi. Tu aurais peut être préféré que je te force le cul sans te demander ton avis. Elle eut un mouvement de stupeur.
- Pourquoi es tu méchant tout à coup me demanda t elle surprise. Je me mis à rire.
- Tu y as cru n'est ce pas. Évidemment que je suis content. Je sentis qu'elle se détendait.
- Non pas parce que je t'ai enculée mais parce que tu y as éprouvé du plaisir.
- Tu es fou ! me dit elle avec tendresse. Mais tu me fais tant de bien.
- On en oublie même de manger ajoutai-je. Veux tu que je t'invite dans une brasserie du quartier. Il est plus de 14:30.
- Avec plaisir mon cœur. Elle se leva pour se rhabiller. Je l'arrêtai au moment où elle allait remettre sa culotte.
- Tututt fis-je n'oublie pas ta promesse.
- Tu y tiens vraiment dit elle avec un air de chien battu.
- Oui ma chérie et je suis sûr que tu vas adorer. Une fois installés côte à côte sur la banquette de la brasserie deux pintes de bière entamées devant nous, je serrai Agnès contre moi.

- Tu as vu tout le chemin parcouru depuis que tu m'as rencontré. Adieu la brave et sage mère de famille effacée et coincée. Et bonjour à la belle femme épanouie, sexy et avide de sexe, de jouissance et surtout d'amour partagé.
- C'est vrai. Ça m'effraie un peu. J'ai peur de tomber amoureuse de toi.
- Tu sais lui dis je. Pour moi l'amour c'est très abstrait. Je connais l'envie le désir l'excitation le plaisir... Mais pour l'amour je subodore, j'imagine, je spécule... Je suppose que lorsqu'on est amoureux l'autre nous manque dès qu'il n'est pas là, on pense sans arrêt à lui et aux moments délicieux qu'on va partager.
- Comme ce que je ressens lorsque je ne suis pas avec toi continua t elle. Je ne la contredis pas mais la mis en garde.
- Méfie toi l'amour c'est comme les langues étrangères. Il y a plein de faux amis. Tu as plus évolué en deux semaines avec moi qu'en 20 ans avec ton mari. Alors tu peux croire que c'est parce-que tu es tombée amoureuse. Mais je pense que ça n'a rien à voir. Je suis juste un catalyseur qui t'a fait prendre conscience de ton état. Tu étais prête à changer et tu as eu la chance de tomber sur un jeune homme hors norme qui est prêt à t'accompagner dans cette démarche. Mais je suis comme toi en pleine mutation et tu m'apportes énormément. Elle m'embrassa avec passion lorsque j'eus fini mon discours.
- Déjeunons vite dit-elle. J'ai encore très envie de partager des tas de choses avec toi. Je glissai ma main sous sa jupe et je pus constater qu'elle avait en effet très envie. Une demi heure plus tard je la prenais en levrette, puis la couchai sur moi pour la baiser dans la position de la cuillère. Elle m'avoua ensuite avoir consulté le kamasutra sur internet et elle souhaitait en expérimenter toutes les positions avec moi.

Avant de prendre la route du retour, Agnès m'avait exaucé et n'avait pas remis de culotte mais je ne le lui fis pas remarquer. Nous avons échangé quelques baisers passionnés avant que je la quitte pour récupérer mon scooter et rentrer chez moi.

Une demi-heure plus tard, je reçus un SMS de ma conquête qui me remerciait pour les délicieux moments partagés le jour même. Elle prenait conscience de sa sensualité et était avide d'expériences nouvelles avec son jeune étalon. Elle me précisa que son mari partait en déplacement le lendemain et qu'elle serait seule chez elle toute la journée et même la nuit suivante.

Espérait elle en profiter pour s'éclater avec son jeune amant...

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