Les contes de la main gauche : Le gode et l'embouteillage
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les contes de la main gauche : Le gode et l'embouteillage
Quand j'ai proposé à la nouvelle stagiaire de la ramener en voiture, elle m'a souri :
vu le temps pourri de pluie et de vent ma proposition était sympa. La fille était
jeune et appétissante et les gars du bureau râlaient que j'aie été la plus rapide.
J'en ai vu deux qui disaient, c'est dommage de détourner une belle fille comme ça du
droit chemin.
Mais moi je n'avais pas de scrupules. Si la fille, et ce serait normal, préférait les
garçons, une petite diversion apéritive ne pouvait pas faire de mal.. Une mise en
bouche en quelque sorte. Elle aurait toute la durée du stage pour faire affaire avec
les gars.
Ma Mini moderne est plutôt grande et on était comme dans une bulle, un salon, sous les
éléments déchaînés, hors du monde.
La fille était brune, à cheveux au carré. Elle était arrivée dans l'entreprise ce
lundi matin. J'étais contente de l'avoir ferrée la première et j'étais bien décidée à
transformer le soir même. J'étais en train de lui proposer de passer à mon appart et
d'aller diner dans un chinois que j'aime bien, en bas de chez moi.
L'idée avait l'air de lui plaire. C'est alors que l'on a été coincées dans
l'embouteillage. Ca n'avançait plus. Moi, je ne suis pas du genre à papoter pendant
des heures pour rien dire que des bêtises. La radio ou les CD c'est pas mon truc non
plus, alors, comme je m'emmerdais, je lui ai mis la main sur la cuisse.
Faut dire qu'elle était attirante cette cuisse avec la jupe plissée relevée. On était
en mai et on n'avait plus de collants depuis déjà quelques semaines.
Elle a tiré sa jupe par dessus ma main, d'un mouvement pudique, pour cacher mon geste
et ma main sur elle.
Bien sûr ma main a filé entre ses deux cuisses. Sa peau était douce et légèrement
humide. Elle a un peu ouvert ses jambes pour que je puisse glisser. Le coté de mon
petit doigt était tout contre le mouillé de sa culotte et je sentais le dur de sa
boulette. Les autos autour de nous n'avançaient pas. La pluie tapait sur le toit de la
Mini. On restés comme ça quelques minutes sans bouger, ma main contre elle et elle
immobile et chaude et mouillée.
Quand la file d'autos a avancé, j'ai du passer la première. Elle en a profité pour
passer ses deux mains sous la jupe et descendre sa culotte. Elle l'a dégagée des
chaussures et me l'a donnée, en boule. Je l'ai mise sous mon nez et j'ai profondément
humé. Que c'est bon l'odeur d'une jeune stagiaire en fin de journée.
Sa jupe était bien descendue, bien tirée sur ses cuisses. Elle ne parlait pas, moi non
plus. L'embouteillage s'était à nouveau reformé et nous étions immobilisées.
J'ai ouvert la boite à gants, juste devant elle. Dans la Mini, la boite à gants
s'éclaire quand on abaisse la porte. Dans la boite à gants, il n'y avait pas de gants
mais, bien éclairé, comme sur une scène de music-hall, mon gode.
Un beau gode noir avec couilles pour bien l'avoir en main.
La stagiaire l'a pris. Elle a refermé la boite à gants. Elle l'a touché, caressé, a
pris les couilles. Elle a passé une langue timide sur le méat. Un méat caricatural,
bien plus large et plus profond qu'un vrai.
Puis dans un geste lent et tendre, elle me l'a tendu. J'ai gobé le gland de plastique
noir. Mes lèvres serraient le haut de la tige, ma langue s'agitait.
Elle l'a repris, a ouvert largement ses cuisses et l'a passé sous sa jupe.
Sa jupe était bien tirée et cachait tout. Ses deux poignets étaient les seules choses
que je voyais. J'étais bien plus émue que mon attitude réservée pouvait laisser
penser. Ma robe dessinait mes tétons dressés et mon ventre était inondé. Les poignets
de la stagiaire ne bougeaient plus. Elle a refermé ses jambes et posé ses mains sur
ses cuisses. Le gode était en elle, invisible sous la jupe. Elle regardait devant
elle, à travers le pare-brise et les essuie-glace, l'embouteillage.
Les autos ont recommencé à avancer et il m'a fallu m'occuper de conduire.
La stagiaire était ailleurs dans sa tête. Elle pensait à cet os de plastique planté
dans son ventre et se foutait pas mal de l'embouteillage.
Quand les autos se sont enfin à nouveau arrêtées, je me suis tournée vers elle et de
ma main gauche, j'ai balayé son buste en montant descendant sur ses seins. Elle a été
prise d'un spasme violent et a tendu sa tête en arrière sur le skaï noir de l'appui-
tête de la Mini. Je l'ai embrassée, chastement, sans la langue, mais longtemps. Elle
m'a rendu le baiser avec force et passion.
Au bout d'un moment, elle a retiré le gode d'elle et me l'a tendu. Je l'ai longuement
sucé pour n'en rien perdre. Son goût était fort, sur le plastique lisse. Elle a ouvert
la boite à gants et je l'ai remisé, à sa place.
Les voitures ont avancé, l'embouteillage s'est dissout et on est arrivées chez moi.
Elle m'a dit, si ça t'ennuie pas, je préfère rentrer. Ramène moi, s'il te pait. Moi,
j'ai quand même gardé la culotte.
jpj, Montpellier 12/2012
vu le temps pourri de pluie et de vent ma proposition était sympa. La fille était
jeune et appétissante et les gars du bureau râlaient que j'aie été la plus rapide.
J'en ai vu deux qui disaient, c'est dommage de détourner une belle fille comme ça du
droit chemin.
Mais moi je n'avais pas de scrupules. Si la fille, et ce serait normal, préférait les
garçons, une petite diversion apéritive ne pouvait pas faire de mal.. Une mise en
bouche en quelque sorte. Elle aurait toute la durée du stage pour faire affaire avec
les gars.
Ma Mini moderne est plutôt grande et on était comme dans une bulle, un salon, sous les
éléments déchaînés, hors du monde.
La fille était brune, à cheveux au carré. Elle était arrivée dans l'entreprise ce
lundi matin. J'étais contente de l'avoir ferrée la première et j'étais bien décidée à
transformer le soir même. J'étais en train de lui proposer de passer à mon appart et
d'aller diner dans un chinois que j'aime bien, en bas de chez moi.
L'idée avait l'air de lui plaire. C'est alors que l'on a été coincées dans
l'embouteillage. Ca n'avançait plus. Moi, je ne suis pas du genre à papoter pendant
des heures pour rien dire que des bêtises. La radio ou les CD c'est pas mon truc non
plus, alors, comme je m'emmerdais, je lui ai mis la main sur la cuisse.
Faut dire qu'elle était attirante cette cuisse avec la jupe plissée relevée. On était
en mai et on n'avait plus de collants depuis déjà quelques semaines.
Elle a tiré sa jupe par dessus ma main, d'un mouvement pudique, pour cacher mon geste
et ma main sur elle.
Bien sûr ma main a filé entre ses deux cuisses. Sa peau était douce et légèrement
humide. Elle a un peu ouvert ses jambes pour que je puisse glisser. Le coté de mon
petit doigt était tout contre le mouillé de sa culotte et je sentais le dur de sa
boulette. Les autos autour de nous n'avançaient pas. La pluie tapait sur le toit de la
Mini. On restés comme ça quelques minutes sans bouger, ma main contre elle et elle
immobile et chaude et mouillée.
Quand la file d'autos a avancé, j'ai du passer la première. Elle en a profité pour
passer ses deux mains sous la jupe et descendre sa culotte. Elle l'a dégagée des
chaussures et me l'a donnée, en boule. Je l'ai mise sous mon nez et j'ai profondément
humé. Que c'est bon l'odeur d'une jeune stagiaire en fin de journée.
Sa jupe était bien descendue, bien tirée sur ses cuisses. Elle ne parlait pas, moi non
plus. L'embouteillage s'était à nouveau reformé et nous étions immobilisées.
J'ai ouvert la boite à gants, juste devant elle. Dans la Mini, la boite à gants
s'éclaire quand on abaisse la porte. Dans la boite à gants, il n'y avait pas de gants
mais, bien éclairé, comme sur une scène de music-hall, mon gode.
Un beau gode noir avec couilles pour bien l'avoir en main.
La stagiaire l'a pris. Elle a refermé la boite à gants. Elle l'a touché, caressé, a
pris les couilles. Elle a passé une langue timide sur le méat. Un méat caricatural,
bien plus large et plus profond qu'un vrai.
Puis dans un geste lent et tendre, elle me l'a tendu. J'ai gobé le gland de plastique
noir. Mes lèvres serraient le haut de la tige, ma langue s'agitait.
Elle l'a repris, a ouvert largement ses cuisses et l'a passé sous sa jupe.
Sa jupe était bien tirée et cachait tout. Ses deux poignets étaient les seules choses
que je voyais. J'étais bien plus émue que mon attitude réservée pouvait laisser
penser. Ma robe dessinait mes tétons dressés et mon ventre était inondé. Les poignets
de la stagiaire ne bougeaient plus. Elle a refermé ses jambes et posé ses mains sur
ses cuisses. Le gode était en elle, invisible sous la jupe. Elle regardait devant
elle, à travers le pare-brise et les essuie-glace, l'embouteillage.
Les autos ont recommencé à avancer et il m'a fallu m'occuper de conduire.
La stagiaire était ailleurs dans sa tête. Elle pensait à cet os de plastique planté
dans son ventre et se foutait pas mal de l'embouteillage.
Quand les autos se sont enfin à nouveau arrêtées, je me suis tournée vers elle et de
ma main gauche, j'ai balayé son buste en montant descendant sur ses seins. Elle a été
prise d'un spasme violent et a tendu sa tête en arrière sur le skaï noir de l'appui-
tête de la Mini. Je l'ai embrassée, chastement, sans la langue, mais longtemps. Elle
m'a rendu le baiser avec force et passion.
Au bout d'un moment, elle a retiré le gode d'elle et me l'a tendu. Je l'ai longuement
sucé pour n'en rien perdre. Son goût était fort, sur le plastique lisse. Elle a ouvert
la boite à gants et je l'ai remisé, à sa place.
Les voitures ont avancé, l'embouteillage s'est dissout et on est arrivées chez moi.
Elle m'a dit, si ça t'ennuie pas, je préfère rentrer. Ramène moi, s'il te pait. Moi,
j'ai quand même gardé la culotte.
jpj, Montpellier 12/2012
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