Les contes de la main gauche : les laborantines
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2012 dans la catégorie Plus on est
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Les contes de la main gauche : les laborantines
jpj, Lavérune 11/2012
Quand je suis arrivé dans cette usine de torréfaction de café près de Montpellier
j'avais vingt deux ans et j'étais un bleu. C'était mon premier job et je ne
connaissais rien au monde de l'entreprise et aux règles qui le mènent.
Il y avait, près des gros torréfacteurs, dans un coin sombre et poussiéreux un
laboratoire de dégustation. Le gars qui trônait là avait tous les pouvoirs. C'était un
petit gars au faciès oriental et à la peau dorée avec des yeux verts extraordinaires.
Une couleur à couper le souffle. Il était Perse et passait ses journées à boire du
café. Quand on lui serrait la main on sentait bien qu'il était sous pression car sa
main vibrait comme une machine à laver au moment de l'essorage.
Il avait dans son antre des machines sophistiquées. On se serait cru chez Frankenstein
avec un désordre rare et des fils partout qui pendaient du plafond et allaient à des
appareils étranges, assez crades, tannés de saleté, la peinture usée par les
manipulations, les fonds des pots culottés des tanins. L'odeur elle-même était
surprenante : au delà de celle puissante du café, on ressentait des humeurs de
solvants, de trichlo, de lessives, de dissolution...
C'était Ali Baba dans sa caverne avec des chaleurs en nappes et les obscurités
troublantes.
Mais ce qui troublait surtout c'était ses deux laborantines. On les aurait dit sorties
du même moule : grandes, minces, inaccessibles avec des regards de diva orgueilleuses
qui ne se mêlent pas au petit peuple. On ne savait pas très bien ce qu'elles faisaient
dans le labo mais on les voyait tous les jours dans l'usine car elles « distribuaient
le café » pour le test statistique.
On disait d'elles que c'étaient de vraies rousses et même que l'été elles étaient nues
sous leur longue blouse blanche.
Elles passaient vers 10h le matin avec un grand chariot et des cafetières isothermes
en métal brillant. L'une nous servait dans de petites tasses sans sucre et l'autre
notait les commentaires sur un papier fixé avec une pince sur une planchette.
L'hiver aussi on avait le sentiment qu'elles n'avaient pas grand chose sous leur
blouse blanche. On respirait le café des tasses en s'approchant pour humer l'odeur de
leur cou.
On regardait le plastron de la blouse avec les boutons de coté, bien tendu sur un
devant imposant de seins lourds implantés bas dont on devinait les tétons sous l'épais
tissu blanc.
Quand elles avaient passé le portail de l'atelier on faisait nos commentaires et le
goût du café nous avait moins remué que l'odeur de femelle des deux laborantines. Je
puis vous dire que les adjectifs que nous utilisions ne le cédaient en rien au
vocabulaire pourtant riche de l’œnologie.
Les filles de l'usine ne pouvaient pas piffrer ces pimbèches et crachaient qu'elles ne
portaient aucun dessous. Nous ça nous émoustillait...
Le Perse avait pour job de « faire les mélanges » des divers cafés verts pour
harmoniser les arômes des cafés torréfiés. Mon boulot m'a amené à travailler avec lui.
Et donc à être « admis » au laboratoire. C'est ainsi que je suis devenu intime.
Intime du Perse et surtout de ses deux laborantines.
Le dégustateur, c'est ainsi qu'il se faisait appeler, m'a dit tout de suite, te
fatigue pas ce sont deux copines, ya rien à tirer.
Moi je lui disais mais comment peux-tu les supporter avec cette odeur de chatte
qu'elles baladent partout où elles passent ?
Il me dit, tu sais les odeurs c'est spécial. Pour bien sentir il te faut « un fond »,
une odeur de base qui meuble le paysage olfactif. Et cette odeur de base elle doit
être complexe, avec un large panel d'odeurs variées afin que le truc que tu testes ait
un contraste clair sur le fond de base.
Bon, je ne comprenais pas bien mais le fond de l'histoire c'est qu'il avait besoin de
ses deux rousses et de leur fumet puissant de gonzesses en chaleur pour faire son
boulot.
Je suis resté discret et je n'ai rien révélé du secret de notre dégustateur perse aux
yeux verts.
Mais les deux laborantines me faisaient fantasmer un max et je rêvais de leur apporter
révélation aque ya pas que le cul dans la vie, ya aussi la bite.
J'étais jeune et plein d'ardeur et un jour ou plutôt un soir j'ai ramené les deux
filles chez moi après un petit diner en ville à trois.
Les filles étaient en fait tout à fait normales. Elles avaient des soutifs et des
culottes comme toute une chacune et c'était rien que fantasmes ce qui se racontait à
leur sujet sous leur blouse à l'usine.
En revanche elles ont passé la soirée dans mon lit à se pourlécher sans trop s'occuper
de moi. Et ça ça m'a plutôt contrarié.
Mais j'ai joué au même jeu et quand elles ont vu que je savais sucer la languette en
enfilant le doigt au fond du cul elles m'ont admis comme partenaire.
Le reste est venu tout seul et faut reconnaître qu'une bonne bite ça n'a pas son
pareil pour te mener une vraie jeune-fille là où elle veut aller.
Au matin j'avais vidé mes réserves et les deux laborantines dormaient du sommeil du
juste, les têtes sur mon oreiller.
Quand vers dix heures j'ai vu entrer mon copain perse dans le bureau, je me suis caché
derrière la table à dessin car il était furax.
Il m'a dit, le café de la journée est foutu. Tu as tout gâché la production de l'usine
d'aujourd'hui. Tu crois que je te reconnais pas ! Et en plus tu les as mises toutes
les deux, salaud. Ton foutre efface toutes les odeurs que j'ai tant de mal à sérier.
T'avise pas de recommencer, j'en ai le cœur qui chavire, j'ai plus mes références,
c'est le vertige.
Il m'a dit aussi, mais quand même ton foutre sent le suave et le foin coupé. On
pourrait voir ça de plus prés.
Mais moi je n'étais pas prêt, alors ça s'est pas fait...
Quand je suis arrivé dans cette usine de torréfaction de café près de Montpellier
j'avais vingt deux ans et j'étais un bleu. C'était mon premier job et je ne
connaissais rien au monde de l'entreprise et aux règles qui le mènent.
Il y avait, près des gros torréfacteurs, dans un coin sombre et poussiéreux un
laboratoire de dégustation. Le gars qui trônait là avait tous les pouvoirs. C'était un
petit gars au faciès oriental et à la peau dorée avec des yeux verts extraordinaires.
Une couleur à couper le souffle. Il était Perse et passait ses journées à boire du
café. Quand on lui serrait la main on sentait bien qu'il était sous pression car sa
main vibrait comme une machine à laver au moment de l'essorage.
Il avait dans son antre des machines sophistiquées. On se serait cru chez Frankenstein
avec un désordre rare et des fils partout qui pendaient du plafond et allaient à des
appareils étranges, assez crades, tannés de saleté, la peinture usée par les
manipulations, les fonds des pots culottés des tanins. L'odeur elle-même était
surprenante : au delà de celle puissante du café, on ressentait des humeurs de
solvants, de trichlo, de lessives, de dissolution...
C'était Ali Baba dans sa caverne avec des chaleurs en nappes et les obscurités
troublantes.
Mais ce qui troublait surtout c'était ses deux laborantines. On les aurait dit sorties
du même moule : grandes, minces, inaccessibles avec des regards de diva orgueilleuses
qui ne se mêlent pas au petit peuple. On ne savait pas très bien ce qu'elles faisaient
dans le labo mais on les voyait tous les jours dans l'usine car elles « distribuaient
le café » pour le test statistique.
On disait d'elles que c'étaient de vraies rousses et même que l'été elles étaient nues
sous leur longue blouse blanche.
Elles passaient vers 10h le matin avec un grand chariot et des cafetières isothermes
en métal brillant. L'une nous servait dans de petites tasses sans sucre et l'autre
notait les commentaires sur un papier fixé avec une pince sur une planchette.
L'hiver aussi on avait le sentiment qu'elles n'avaient pas grand chose sous leur
blouse blanche. On respirait le café des tasses en s'approchant pour humer l'odeur de
leur cou.
On regardait le plastron de la blouse avec les boutons de coté, bien tendu sur un
devant imposant de seins lourds implantés bas dont on devinait les tétons sous l'épais
tissu blanc.
Quand elles avaient passé le portail de l'atelier on faisait nos commentaires et le
goût du café nous avait moins remué que l'odeur de femelle des deux laborantines. Je
puis vous dire que les adjectifs que nous utilisions ne le cédaient en rien au
vocabulaire pourtant riche de l’œnologie.
Les filles de l'usine ne pouvaient pas piffrer ces pimbèches et crachaient qu'elles ne
portaient aucun dessous. Nous ça nous émoustillait...
Le Perse avait pour job de « faire les mélanges » des divers cafés verts pour
harmoniser les arômes des cafés torréfiés. Mon boulot m'a amené à travailler avec lui.
Et donc à être « admis » au laboratoire. C'est ainsi que je suis devenu intime.
Intime du Perse et surtout de ses deux laborantines.
Le dégustateur, c'est ainsi qu'il se faisait appeler, m'a dit tout de suite, te
fatigue pas ce sont deux copines, ya rien à tirer.
Moi je lui disais mais comment peux-tu les supporter avec cette odeur de chatte
qu'elles baladent partout où elles passent ?
Il me dit, tu sais les odeurs c'est spécial. Pour bien sentir il te faut « un fond »,
une odeur de base qui meuble le paysage olfactif. Et cette odeur de base elle doit
être complexe, avec un large panel d'odeurs variées afin que le truc que tu testes ait
un contraste clair sur le fond de base.
Bon, je ne comprenais pas bien mais le fond de l'histoire c'est qu'il avait besoin de
ses deux rousses et de leur fumet puissant de gonzesses en chaleur pour faire son
boulot.
Je suis resté discret et je n'ai rien révélé du secret de notre dégustateur perse aux
yeux verts.
Mais les deux laborantines me faisaient fantasmer un max et je rêvais de leur apporter
révélation aque ya pas que le cul dans la vie, ya aussi la bite.
J'étais jeune et plein d'ardeur et un jour ou plutôt un soir j'ai ramené les deux
filles chez moi après un petit diner en ville à trois.
Les filles étaient en fait tout à fait normales. Elles avaient des soutifs et des
culottes comme toute une chacune et c'était rien que fantasmes ce qui se racontait à
leur sujet sous leur blouse à l'usine.
En revanche elles ont passé la soirée dans mon lit à se pourlécher sans trop s'occuper
de moi. Et ça ça m'a plutôt contrarié.
Mais j'ai joué au même jeu et quand elles ont vu que je savais sucer la languette en
enfilant le doigt au fond du cul elles m'ont admis comme partenaire.
Le reste est venu tout seul et faut reconnaître qu'une bonne bite ça n'a pas son
pareil pour te mener une vraie jeune-fille là où elle veut aller.
Au matin j'avais vidé mes réserves et les deux laborantines dormaient du sommeil du
juste, les têtes sur mon oreiller.
Quand vers dix heures j'ai vu entrer mon copain perse dans le bureau, je me suis caché
derrière la table à dessin car il était furax.
Il m'a dit, le café de la journée est foutu. Tu as tout gâché la production de l'usine
d'aujourd'hui. Tu crois que je te reconnais pas ! Et en plus tu les as mises toutes
les deux, salaud. Ton foutre efface toutes les odeurs que j'ai tant de mal à sérier.
T'avise pas de recommencer, j'en ai le cœur qui chavire, j'ai plus mes références,
c'est le vertige.
Il m'a dit aussi, mais quand même ton foutre sent le suave et le foin coupé. On
pourrait voir ça de plus prés.
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