Les contes de la main gauche : Sophie et Audrey au hammam
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les contes de la main gauche : Sophie et Audrey au hammam
jpj, 10/2012
Depuis qu'elle était allée au Club Med, Sophie était obnubilée par le sauna et le hammam ; elle ne pensait plus qu'à ça.
Au club, il y avait, au sous-sol, un petit complexe piscine-gymnastique avec une aile chaude sauna et hammam. Sophie y avait découvert les plaisirs d’exhibition et de matage réciproques. D'autant qu'au Club Med, il n'y avait pas grandes règles d'accès et une mixité totale et sans contrainte.
Au début, Sophie avait même été surprise car tout le monde s'entassait dans ce sauna, à poil, ou même pire pour les filles en intégral. Les serviettes distribuées généreusement à l'entrée par une GO en string mauve brillant minuscule servaient de matelas mais pas plus. Les mecs exhibaient des attributs velus et demi-bandés, les filles mettaient en valeur leur oigne lisse, ou pour les traditionnelles, leur touffe taillée au carré. Et tout ça était assis ou allongé sur les clayettes en bois à se mater concupicieusement.
De temps à autre, une fille descendait aux pierres et déversait une louchée d'eau parfumée, bien penchée en avant pour faire admirer un fessier qui encadrait les parenthèses charnues d'une fente largement ouverte.
Au sauna, les filles entraient et sortaient pour passer à la douche d'à coté et reprendre des forces avant de poursuivre leur cuisson autoclave.
Au hammam, les vapeurs cachaient les nudités permettant des attitudes troubles, suggestives et même franchement provocantes : cuisses largement écartées des filles assises sur leur serviette, paquets imposants des mecs demi-allongés en présentation.
Pendant une semaine, chaque jour au retour de la journée de ski, Sophie s'était déshabillée dans sa chambre et avait filé en peignoir blanc et tongs jaunes par l'ascenseur direction le sauna. Elle y avait passé de longues fins d'après-midi moites avec des filles et des garçons dans la même disposition d'esprit qu'elle.
Elle s'était dit que ce genre d'endroit devait aussi exister à Montpellier et qu'il s'agissait de pas rater ça...
Comme elle n'osait pas s'aventurer toute seule, elle a convaincu son amie de cœur Audrey de l'accompagner au « Hammam Rose d'Orient » qui fait, ici, autorité. Audrey est une très jolie fille. Svelte mais avec, comme on dit, ce qu'il faut où il faut. Elle est menue avec une forte poitrine, une taille fine mais des hanches larges. Nue elle est vraiment appétissante avec ses fesses musclées et sa chatte très proéminente, très sur le devant, juteuse comme un fruit mûr qu'on a envie de croquer à pleine bouche. Elle n'a pas cédé à la mode du maillot et a gardé sa touffe sauvage. Ca descend un peu sur l'intérieur des cuisses mais personne n'y prend garde tant son sourire capte le regard.
Voilà nos deux copines qui se pointent un soir au hammam. Avec un petit sac de gymnastique, serviettes et maillots au cas où. Sophie avait pourtant dit que normalement on se mettait à poil et que personne n'avait de maillot.
La fille au comptoir leur dit il y a des soirs mecs, des soirs filles et des soirs mixtes. Aujourd'hui c'est un jour mixte. Voulez-vous revenir demain, ce sera entre-nous, les filles. Les deux copines ont dit, on est là, on va pas faire les coincées, on reste.
Le vestiaire était filles d'un coté, garçons de l'autre. Elles se sont drapées dans leurs serviettes serrées sous les bras, au ras des fesses et sont entrées dans la grande salle voutée couverte de mosaïques, obscurcie par la vapeur. Il y avait des mecs partout. Elles ne savaient pas où s'assoir. Deux gars, genre Bagdad-café, leur ont fait signe et elles se sont posées sur une margelle de terre cuite, à coté. La murette en carrelage était chaude à la fesse, c'était bon.
Les mecs n'ont rien dit et regardaient ailleurs.
Les deux filles ont lâché leur serviettes qui sont tombées sur la mosaïque, encadrant leurs fesses comme une écharpe autour du cou. Audrey serrait les cuisses, un peu prude. Sa touffe noire cascadait depuis le nombril jusqu'entre les jambes. On devinait, entre deux volutes de vapeur, un pubis charnu encadrant une fente profonde. Sophie était plus relax, les cuisses en bienvenue, son vague buisson blond fadasse ne cachant rien d'une intimité aux replis sombres, déployés.
Les deux mecs causaient entre eux et ne prêtaient aucune attention aux filles.
Si elles avaient su lire sur les lèvres elles auraient été édifiées.
Le grand disait : je prends la blonde, sa minette dégouline de sa fente que c'en est une merveille, je vais me sucer ça en aspirant bien à fond. J'en aurai plein le gosier et si en plus, elle mouille ce sera paradis.
L'autre préférait la jolie brune . Lui fantasmait sur la toison luxuriante et rêvait d'y plonger le nez et de croquer à pleines lèvres le bulbe gonflé qu'il imaginait ruisselant.
Elles auraient été outrées ou même pire, auraient fondu en déferlantes d'humidités intimes.
Mais rien. Les gars avaient les idées mais pas de vraies convictions. Ils sont restés avachis sur leur banc de carrelage brulant, les couilles ramollies par les chaleurs, l'esprit serein pour ne pas dire pire, conforme aux attitudes contemplatives apprises.
Les deux filles attendaient autre chose. Du dynamisme, de la tonicité...
L'aurait, au moins, fallu qu'ils bandassent !
Mais les deux gars n'étaient pas de cette espèce et rien ne s'est fait.
Audrey râlait. On est tombées sur deux pédés. Viens, on change de quartier. Elles ont repris leurs serviettes sous les bras et sont allées, dandelinant, de l'autre coté, près d'une sorte de piscine de pierre sombre.
Là, l'affaire se présentait mieux. Les gars étaient en ringuette, tous bien dégagés, assis sur leur serviette, les manomètres bien posés sur la cuisse.
Audrey a dit, là on saura tout de suite si on leur fait de l'effet. Elles se sont installées en face, le regard perdu derrière l'horizon, les chattes accortes, le sourire aux lèvres.
Bien entendu les mecs étaient ravis. Mais vu qu'ils savaient se tenir, rien ne se voyait. Les deux filles étaient dépitées.
Alors un gars les a entreprises, aque vous venez d'où, et céti la première fois, et on vous a jamais vues... Elles étaient contentes de se raconter. Les autres ont suivi et bientôt c'était plus un hammam mais un salon thé au jasmin où l'on cause.
Très vite Audrey est partie avec un beau ténébreux dans le bain à remous. Audrey, elle sait qu'il ne faut pas traîner. Elle avait la bite du gars en main et attendait la suite. Ca s'est fait tout seul. Il a plongé en apnée pour lui brouter la foufoune et quand il a eu épuisé son souffle, l'a enfilée d'un seul coup jusqu'à fond. Audrey elle déteste pas. Ils étaient là tous les deux à bouffer des bulles, collés l'un à l'autre en faisant semblant de l'air de rien. Quand le mec a déchargé, Audrey lui a dit, maintenant tu l'auras petite, tu seras pas fier. Mais le mec, l'avait l'air de rien mais il a voulu doubler. Et il l'a fait. Audrey était contente. Elle n'a pas pu s’empêcher de répéter qu'il allait l'avoir petite.
Le mec, il est sorti de la baignoire géante à remous avec sa ficelle ratatinée, fier comme bar-tabac. Il a dit qu'il était content de la prestation de son « ami » Audrey a compris que son ami, c'était sa bite. Si les amis de son ami sont mes amis, alors je suis d'accord pour être son amie... pensait-elle...
Sophie, elle était restée sur le banc et attendait le retour de sa copine. Un des gars s'est approché. Un gars sympa avec
un paquet du tonnerre. On se demandait comment il pouvait rentrer tout ça dans son calbut. Sûr qu'il avait suivi des cours de gestion à l'EAI. Sophie, elle n'a peur de rien. C'est une fille qui aurait pu faire mission Apolo avec Armstong. Elle aurait sucé le LEM, s'il avait fallu, pour le faire revenir sur terre.
Alors Sophie, elle a regardé ça et puis elle a dit, faut voir... En fait c'était tout vu. Sophie est capable d'avaler un grenadier et son cheval pour peu qu'ils la fassent mouiller suffisamment.
Le gars avait de l'autorité, il a pris Sophie par la main puis a replié son bras par derrière à la taille et l'a emmenée derrière les colonnes de pierres, serrée contre lui.
Sophie y est allée à deux mains. Les couilles étaient lourdes, serrées dans un sac à la peau tendue, hérissée de poils noirs. Sophie à genoux léchait en remontant. Elle ne voyait que ça, cette queue au dessus de sa tête, dressée comme le mat d'un drapeau sur un monument officiel. Et Sophie léchait les couilles, léchait les couilles, elle n'en pouvait plus d'ivresse de lécher ces couilles.
Le mec a pas fait de façons, il l'a retournée contre la colonne, l'a attrapée par la taille sous le ventre du bras droit et a présenté son gros gland à l'orée de la fleur ouverte. Elle avait vu que le gars n'était pas circoncis : son gland était couvert d'un prépuce à peine entrebâillé.
Elle a parfaitement senti le gland doux et humide glisser à l'intérieur de son corps, doucement, inexorablement alors que la peau qui le protégeait faisait cache-col et butait sur ses lèvres, limitant la pénétration. Sophie alors se sentit fondre et sa fleur s'ouvrir et le visiteur poursuivre sa route jusqu'au plus profond de son être, du même mouvement lent et régulier.
Quand il a eu été tout entier abuté, serré contre les fesses de Sophie, le gars l'a reposée. Elle était sur la pointe des pieds. Elle avait le sentiment que plus rien ne pourrait rentrer. Et le gars était là et ne bougeait pas. Alors Sophie est doucement descendue jusqu'à avoir les deux pieds bien à plat sur le sol. Elle sentait la bite du gars complètement au fond, coincée contre le dur. Elle sentait que cette bite la maintenait debout alors qu'elle était toute chancelante appuyée des deux mains à la colonne de pierres chaudes.
Ca n'a pas traîné. La bite est sortie deux fois trois fois et s'est mise à gicler dedans dehors, sur les fesses de Sophie, tout au fond, karchérisant son utérus, partout. Et cette bite entrait et sortait arrosant tout sur son passage.
Sophie était contente d'avoir fait autant d'effet à ce gars mais elle restait tout de même sur sa faim. Elle lui dit, c'est bien beau d'avoir la grosse santé mais faudra penser aux copines la prochaine fois.
Sophie pensait, j'ai bien failli m'envoler avec ce chibre géant au fond de moi. Dommage qu'il lui manque la retenue à ce gars. Surtout que maintenant il m'a l'air repu et pas du tout intéressé à y revenir...
Le gars a pris Sophie par la taille et ils ont sauté dans la piscine.
Quand Audrey et Sophie sont sorties du hammam, elles se tenaient par la main et se chuchotaient des choses à l'oreille, chacune une serviette dans l'autre main, les fesses joyeuses.
Depuis qu'elle était allée au Club Med, Sophie était obnubilée par le sauna et le hammam ; elle ne pensait plus qu'à ça.
Au club, il y avait, au sous-sol, un petit complexe piscine-gymnastique avec une aile chaude sauna et hammam. Sophie y avait découvert les plaisirs d’exhibition et de matage réciproques. D'autant qu'au Club Med, il n'y avait pas grandes règles d'accès et une mixité totale et sans contrainte.
Au début, Sophie avait même été surprise car tout le monde s'entassait dans ce sauna, à poil, ou même pire pour les filles en intégral. Les serviettes distribuées généreusement à l'entrée par une GO en string mauve brillant minuscule servaient de matelas mais pas plus. Les mecs exhibaient des attributs velus et demi-bandés, les filles mettaient en valeur leur oigne lisse, ou pour les traditionnelles, leur touffe taillée au carré. Et tout ça était assis ou allongé sur les clayettes en bois à se mater concupicieusement.
De temps à autre, une fille descendait aux pierres et déversait une louchée d'eau parfumée, bien penchée en avant pour faire admirer un fessier qui encadrait les parenthèses charnues d'une fente largement ouverte.
Au sauna, les filles entraient et sortaient pour passer à la douche d'à coté et reprendre des forces avant de poursuivre leur cuisson autoclave.
Au hammam, les vapeurs cachaient les nudités permettant des attitudes troubles, suggestives et même franchement provocantes : cuisses largement écartées des filles assises sur leur serviette, paquets imposants des mecs demi-allongés en présentation.
Pendant une semaine, chaque jour au retour de la journée de ski, Sophie s'était déshabillée dans sa chambre et avait filé en peignoir blanc et tongs jaunes par l'ascenseur direction le sauna. Elle y avait passé de longues fins d'après-midi moites avec des filles et des garçons dans la même disposition d'esprit qu'elle.
Elle s'était dit que ce genre d'endroit devait aussi exister à Montpellier et qu'il s'agissait de pas rater ça...
Comme elle n'osait pas s'aventurer toute seule, elle a convaincu son amie de cœur Audrey de l'accompagner au « Hammam Rose d'Orient » qui fait, ici, autorité. Audrey est une très jolie fille. Svelte mais avec, comme on dit, ce qu'il faut où il faut. Elle est menue avec une forte poitrine, une taille fine mais des hanches larges. Nue elle est vraiment appétissante avec ses fesses musclées et sa chatte très proéminente, très sur le devant, juteuse comme un fruit mûr qu'on a envie de croquer à pleine bouche. Elle n'a pas cédé à la mode du maillot et a gardé sa touffe sauvage. Ca descend un peu sur l'intérieur des cuisses mais personne n'y prend garde tant son sourire capte le regard.
Voilà nos deux copines qui se pointent un soir au hammam. Avec un petit sac de gymnastique, serviettes et maillots au cas où. Sophie avait pourtant dit que normalement on se mettait à poil et que personne n'avait de maillot.
La fille au comptoir leur dit il y a des soirs mecs, des soirs filles et des soirs mixtes. Aujourd'hui c'est un jour mixte. Voulez-vous revenir demain, ce sera entre-nous, les filles. Les deux copines ont dit, on est là, on va pas faire les coincées, on reste.
Le vestiaire était filles d'un coté, garçons de l'autre. Elles se sont drapées dans leurs serviettes serrées sous les bras, au ras des fesses et sont entrées dans la grande salle voutée couverte de mosaïques, obscurcie par la vapeur. Il y avait des mecs partout. Elles ne savaient pas où s'assoir. Deux gars, genre Bagdad-café, leur ont fait signe et elles se sont posées sur une margelle de terre cuite, à coté. La murette en carrelage était chaude à la fesse, c'était bon.
Les mecs n'ont rien dit et regardaient ailleurs.
Les deux filles ont lâché leur serviettes qui sont tombées sur la mosaïque, encadrant leurs fesses comme une écharpe autour du cou. Audrey serrait les cuisses, un peu prude. Sa touffe noire cascadait depuis le nombril jusqu'entre les jambes. On devinait, entre deux volutes de vapeur, un pubis charnu encadrant une fente profonde. Sophie était plus relax, les cuisses en bienvenue, son vague buisson blond fadasse ne cachant rien d'une intimité aux replis sombres, déployés.
Les deux mecs causaient entre eux et ne prêtaient aucune attention aux filles.
Si elles avaient su lire sur les lèvres elles auraient été édifiées.
Le grand disait : je prends la blonde, sa minette dégouline de sa fente que c'en est une merveille, je vais me sucer ça en aspirant bien à fond. J'en aurai plein le gosier et si en plus, elle mouille ce sera paradis.
L'autre préférait la jolie brune . Lui fantasmait sur la toison luxuriante et rêvait d'y plonger le nez et de croquer à pleines lèvres le bulbe gonflé qu'il imaginait ruisselant.
Elles auraient été outrées ou même pire, auraient fondu en déferlantes d'humidités intimes.
Mais rien. Les gars avaient les idées mais pas de vraies convictions. Ils sont restés avachis sur leur banc de carrelage brulant, les couilles ramollies par les chaleurs, l'esprit serein pour ne pas dire pire, conforme aux attitudes contemplatives apprises.
Les deux filles attendaient autre chose. Du dynamisme, de la tonicité...
L'aurait, au moins, fallu qu'ils bandassent !
Mais les deux gars n'étaient pas de cette espèce et rien ne s'est fait.
Audrey râlait. On est tombées sur deux pédés. Viens, on change de quartier. Elles ont repris leurs serviettes sous les bras et sont allées, dandelinant, de l'autre coté, près d'une sorte de piscine de pierre sombre.
Là, l'affaire se présentait mieux. Les gars étaient en ringuette, tous bien dégagés, assis sur leur serviette, les manomètres bien posés sur la cuisse.
Audrey a dit, là on saura tout de suite si on leur fait de l'effet. Elles se sont installées en face, le regard perdu derrière l'horizon, les chattes accortes, le sourire aux lèvres.
Bien entendu les mecs étaient ravis. Mais vu qu'ils savaient se tenir, rien ne se voyait. Les deux filles étaient dépitées.
Alors un gars les a entreprises, aque vous venez d'où, et céti la première fois, et on vous a jamais vues... Elles étaient contentes de se raconter. Les autres ont suivi et bientôt c'était plus un hammam mais un salon thé au jasmin où l'on cause.
Très vite Audrey est partie avec un beau ténébreux dans le bain à remous. Audrey, elle sait qu'il ne faut pas traîner. Elle avait la bite du gars en main et attendait la suite. Ca s'est fait tout seul. Il a plongé en apnée pour lui brouter la foufoune et quand il a eu épuisé son souffle, l'a enfilée d'un seul coup jusqu'à fond. Audrey elle déteste pas. Ils étaient là tous les deux à bouffer des bulles, collés l'un à l'autre en faisant semblant de l'air de rien. Quand le mec a déchargé, Audrey lui a dit, maintenant tu l'auras petite, tu seras pas fier. Mais le mec, l'avait l'air de rien mais il a voulu doubler. Et il l'a fait. Audrey était contente. Elle n'a pas pu s’empêcher de répéter qu'il allait l'avoir petite.
Le mec, il est sorti de la baignoire géante à remous avec sa ficelle ratatinée, fier comme bar-tabac. Il a dit qu'il était content de la prestation de son « ami » Audrey a compris que son ami, c'était sa bite. Si les amis de son ami sont mes amis, alors je suis d'accord pour être son amie... pensait-elle...
Sophie, elle était restée sur le banc et attendait le retour de sa copine. Un des gars s'est approché. Un gars sympa avec
un paquet du tonnerre. On se demandait comment il pouvait rentrer tout ça dans son calbut. Sûr qu'il avait suivi des cours de gestion à l'EAI. Sophie, elle n'a peur de rien. C'est une fille qui aurait pu faire mission Apolo avec Armstong. Elle aurait sucé le LEM, s'il avait fallu, pour le faire revenir sur terre.
Alors Sophie, elle a regardé ça et puis elle a dit, faut voir... En fait c'était tout vu. Sophie est capable d'avaler un grenadier et son cheval pour peu qu'ils la fassent mouiller suffisamment.
Le gars avait de l'autorité, il a pris Sophie par la main puis a replié son bras par derrière à la taille et l'a emmenée derrière les colonnes de pierres, serrée contre lui.
Sophie y est allée à deux mains. Les couilles étaient lourdes, serrées dans un sac à la peau tendue, hérissée de poils noirs. Sophie à genoux léchait en remontant. Elle ne voyait que ça, cette queue au dessus de sa tête, dressée comme le mat d'un drapeau sur un monument officiel. Et Sophie léchait les couilles, léchait les couilles, elle n'en pouvait plus d'ivresse de lécher ces couilles.
Le mec a pas fait de façons, il l'a retournée contre la colonne, l'a attrapée par la taille sous le ventre du bras droit et a présenté son gros gland à l'orée de la fleur ouverte. Elle avait vu que le gars n'était pas circoncis : son gland était couvert d'un prépuce à peine entrebâillé.
Elle a parfaitement senti le gland doux et humide glisser à l'intérieur de son corps, doucement, inexorablement alors que la peau qui le protégeait faisait cache-col et butait sur ses lèvres, limitant la pénétration. Sophie alors se sentit fondre et sa fleur s'ouvrir et le visiteur poursuivre sa route jusqu'au plus profond de son être, du même mouvement lent et régulier.
Quand il a eu été tout entier abuté, serré contre les fesses de Sophie, le gars l'a reposée. Elle était sur la pointe des pieds. Elle avait le sentiment que plus rien ne pourrait rentrer. Et le gars était là et ne bougeait pas. Alors Sophie est doucement descendue jusqu'à avoir les deux pieds bien à plat sur le sol. Elle sentait la bite du gars complètement au fond, coincée contre le dur. Elle sentait que cette bite la maintenait debout alors qu'elle était toute chancelante appuyée des deux mains à la colonne de pierres chaudes.
Ca n'a pas traîné. La bite est sortie deux fois trois fois et s'est mise à gicler dedans dehors, sur les fesses de Sophie, tout au fond, karchérisant son utérus, partout. Et cette bite entrait et sortait arrosant tout sur son passage.
Sophie était contente d'avoir fait autant d'effet à ce gars mais elle restait tout de même sur sa faim. Elle lui dit, c'est bien beau d'avoir la grosse santé mais faudra penser aux copines la prochaine fois.
Sophie pensait, j'ai bien failli m'envoler avec ce chibre géant au fond de moi. Dommage qu'il lui manque la retenue à ce gars. Surtout que maintenant il m'a l'air repu et pas du tout intéressé à y revenir...
Le gars a pris Sophie par la taille et ils ont sauté dans la piscine.
Quand Audrey et Sophie sont sorties du hammam, elles se tenaient par la main et se chuchotaient des choses à l'oreille, chacune une serviette dans l'autre main, les fesses joyeuses.
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