Les contes de la main gauche : spéléo

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Récit libertin : Les contes de la main gauche : spéléo Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les contes de la main gauche : spéléo
jpj, Cévennes 10/2012

On était une dizaine, en slip, à enfiler des combinaisons terreuses dans une baraque en planches noires de pluie au fin fond des Cévennes. Les trois ou quatre filles ne montraient pas de pudeur mal placée, débranchées des choses du sexe qu'elles étaient, bien qu'en culotte et soutif au milieu des garçons.
Personne ne s'occupait de personne, inquiets que nous étions tous de ce voyage au centre de la terre.

Pourtant il y avait à mater et à se régaler : des quatre filles, l'une était nue sous un teeshirt blanc léger serré qui dessinait ses petits seins mobiles. Deux autres avaient un soutif généreusement rempli et la quatrième une brassière fine qui ne cachait rien de ses grandes aréoles et de ses tétons sombres.
Moi c'est la brassière de cette fille qui me plaisait. Je n'ai même pas regardé ses fesses ni ses cuisses. J'avais les yeux rivés sur les deux tétons et mes lèvres frémissaient déjà à l'idée de, peut être, les sucer pour les faire venir.

On s'est équipés du casque et de la lampe frontale ; on a chargé le petit réservoir de carbure et d'eau, on l'a accroché à la ceinture et on a allumé au briquet le bruleur des lampes pour tester. Chacun un briquet en poche. On a écouté le moniteur faire le briefing. On était tous des bleus, jamais aucun de nous n'avait fait de spéléo. La fille à la brassière s'appelait Marie. Sous la combinaison, sa poitrine ne se voyait pas ou presque pas mais moi je n'avais pas besoin de voir, je savais.
Le moniteur nous expliquait que c'était sans danger mais qu'il fallait faire attention à la respiration pour ne pas paniquer.
Les deux filles en soutif, elles, étaient avantagées par la combinaison qui dessinait leurs formes.
On allait commencer par une balade d'un quart d'heure dans les sous-bois, sous les marronniers, avant d'accéder à la grotte.
La fille en teeshirt non plus ne remplissait pas la combinaison et on se demandait même où étaient passés les deux petits seins fluides que j'avais aperçus au vestiaire.
On est entrés par un long tunnel humide et très vite sombre. On a fait une pause pour allumer les lampes, chacun avec son briquet.
Finalement je me suis intéressé aux fesses de ces filles. Normal, quand j'ai vu le boyau étroit dans lequel il allait falloir se faufiler, je me suis demandé laquelle allait rester coincée. Et je me suis dit qu'il vaudrait mieux ne pas se retrouver derrière à plus pouvoir avancer. La fille à la brassière, Marie, était svelte et sportive. Ses cuisses étaient musclées et on les voyait jouer à chaque effort sous le tissu sombre.
Je suis resté derrière Marie.
Quand elle a fait un rétablissement pour atteindre la petite plateforme, j'ai vu ses fesses tendre le tissu de la combi, la couture profondément enfouie.
Le passage était tellement étroit qu'il fallait avancer un bras en avant, l'autre le long du corps, en poussant devant soi le casque, la lampe et le réservoir de carbure. C'était long de 15 mètres avec des passages où mes épaules restaient coincées.
Le moniteur, à l'autre bout disait des encouragements pour ne pas qu'on panique. Quand les épaules sont coincées, il faut vider ses poumons et ça passe.
Moi je pensais à l'autre blonde avec ses gros nichons et ses hanches de Batave. Je me disais celle-là elle passera jamais.

Au bout il y avait une salle assez grande, genre igloo où les premiers arrivés étaient assis, sur de grosses pierres. Personne ne parlait. Je me suis assis à coté de Marie. On était déjà en couple, de trouille et d'inquiétudes.

Bien entendu, c'est la fille la mieux faite qui a posé des problèmes. Une grande fille solide dont on voyait bien qu'elle passait ses soirées et ses dimanches dans les salles de gymnastique. Le moniteur a dit, c'est toujours pareil, c'est la dernière à passer qui reste coincée. En plus quand on est fichue comme ça on fait pas de la spéléo avec un cœur croisé playtex gros bonnets à baleines. Il est parti à l'envers, sans sa lampe tirer la nana. Ils sont arrivés, lui à reculons, la fille complètement hirsute et défaite.

Dans l'igloo, le moniteur a fait un nouveau briefing. Il nous a expliqué qu'on allait descendre une cheminée et que, à un moment il faudrait remonter d'une dizaine de centimètres pour tourner les épaules après avoir passé les hanches. Marie et moi on a commencé à plus être bien. Nos mains se sont touchées et on est restés main dans la main. Marie m'a dit je reste avec toi et je te guiderai. J'ai vu que t'étais baraqué et coincé des épaules dans le boyau . Moi, je suis étroite des hanches et souple, je passerai. Cette Marie était vraiment sympa.

Le moniteur, il est allé avec la grande et il lui a fait sortir, discrètement le playtex qu'il a remisé dans son sac à dos. La fille a remonté le zip de la combi avec un air coquin. Elle s'était vite remise !!!
Je crois que le moniteur, il aime bien les grandes filles bonnets D. Je ne sais pas ce qu'il lui a raconté quand ils étaient tête à tête dans le noir pour lui redonner le moral et la faire avancer. Mais ce qui est sûr c'est qu'il avait marqué un point.

J'étais devant, Marie derrière. Je descendais la cheminée en me demandant ce qu'on allait trouver au fond de la terre. Marie descendait tranquillement derrière moi. Je levai les yeux et ma lampe acétylène a éclairé ses cuisses, la combi tendue remontée, moulant profondément ses lèvres charnues, dessinant ombres et lumières sa fente en contrastes violents.
Je me suis senti submergé par l'érection. J'ai paniqué : je vais rester bloquer, je ne pourrai plus me dégager et Marie ne me sera d'aucun secours car je ne pourrai plus débander.

Heureusement ou malheureusement, ma bite reste de taille modeste même en expansion totale. Et rien n'est venu entraver ma progression. Sauf que tout de même, je ne débandais plus... Je n'ai pas osé m'ouvrir du problème au moniteur, j'avais trop peur qu'il me fasse lui-même un pompier pour me calmer.

Un peu plus bas la cheminée s'est élargie et debout sur une corniche j'ai laissé Marie descendre à mon niveau. J'ai tourné son robinet puis j'ai tourné le mien. Les lumières se sont éteintes. Les gars de devant étaient loin en bas, on ne les entendait plus. Les gars de derrière trainaient coincés quelque part. Marie et moi on était seuls au monde. Marie a touché ma main et moi j'ai amené sa main à ma bite. Je lui ai dit, regarde comme je suis depuis que je t'ai regardée tout à l'heure. Elle m'a embrassé d'un gros palot impromptu que j'ai pas vu venir vu qu'on était dans le noir total. Long le palot, qui n'en finissait pas. Tant si long que les autres ont fini par arriver avec leur lampes tremblotantes et ils ont dit qu'est ce que vous faites là à bouchonner ?

Marie et moi, de ce moment, on était ensemble. C'était évident pour nous mais aussi pour tous les autres du groupe.

On a continué, après avoir rallumé nos lampettes au briquet. En bas il y avait un petit lac et les gars étaient assis là. On attendait le moniteur. Le moniteur n'arrivait pas. Et la grande fille non plus.
Marie dans le noir me chuchotait à l'oreille, il est en train de la baiser. Je le sais, c'est ma coloc, elle ne peut pas laisser passer une occasion, elle aime ça. Je te dis pas les gars qui défilent chez nous, elle a la santé.
Moi j'ai rien répondu mais dans le noir j'ai passé mes mains sous ses bras et j'ai empaumé ces seins qui me faisaient rêver dans la brassière.

Les brassières, c'est bien pour les seins. On peut les toucher, les tâter, les soulever, les soupeser, triturer les tétons. Ca gêne pas les brassières. Moi j'aime bien les seins des filles qui portent des brassières.

Quand la grande est arrivée, avec le moniteur, on a tous compris qu'elle y était passée : elle avait cet air alangui des lendemains chocolat-croissants sur la table de la cuisine. Tout le monde souriait complice. Le moniteur a dit, avant d'y aller on va faire une pause. Nous on pensait, la pause on l'a déjà faite, c'est plutôt toi et ta greluche qui en avez besoin. Il a sorti de son sac à dos des Kinder Bueno et des Nut's. Et on a fait pique nique assis au bord du lac. Moi j'ai vu qu'il avait un deuxième trophée dans son sac à dos, la culotte de la fille...

On a fait le tour du lac sur une corniche glissante et j'apercevais des poissons dans l'eau noire. Le moniteur a dit ce sont des piranhas, évitez de tomber. Je crois qu'il plaisantait. De l'autre coté une grande falaise dans une pièce immense avec plein de stalactites et de stalagmites. Les stalactites sont ceux qui pendent du plafond, et les mites ceux qui montent, comme leur nom l'indique. Bien sûr on n'y voyait rien vu que les lampes portaient à peine à quelques mètres. Le moniteur a sorti un pétard de son sac, l'a allumé à sa lampette et l'a jeté à mi-pente. Toute la pièce a été illuminée d'un blanc terne.

On a vu l'échelle et il a fallu monter. D'abord l'échelle pendait, tournait, balançait . Il fallait monter à l'envers, les talons dans chaque barreau, l’échelle entre les cuisses, en levant haut les jambes, presque sous le menton. A chaque échelon, le câble, d'un coté de l'autre, racle l'entre-jambe en te ravageant les couilles. Mais c'était la partie facile. Car en haut, l’échelle était plaquée à la falaise et c'était coton d'attraper les barreaux avec les mains et encore plus d'y passer les pieds. Sans compter que le dessus était tout glaiseux zippant comme de la glace.
Quand Marie est arrivée derrière moi je l'ai chopée au bras et j'ai tiré. Heureusement car elle avait perdu l'échelon et partait en arrière.
En haut on était sur un plan incliné sans ancrages. Et on savait le précipice et le lac au fond. Avec les piranhas. Je vous assure qu'on a trouvé le grip, le moindre caillou, la moindre trace de sable au milieu de l'argile.

Et c'était pas fini. Il a fallu encore sauter un autre abime tout noir et le moniteur nous disait que l'on jetterait une pièce après et qu'on verrait, on entend pas le bruit de l'arrivée tant c'est profond.

Quand on est reparti dans les galeries étroites, Marie et moi on trouvait que c'était le bonheur. Plutôt rester coincés, ensemble, entre deux rochers que de se faire bouffer par les poissons troglodytes après 50 m de chute dans le noir.
A chaque occasion, je passais ma main entre les cuisses de Marie et je palpais son sexe charnu à travers la combi. Elle n'était pas de reste et je n'ai pas débandé de tout le temps qu'a duré le raid souterrain. J'avais la bite comme un étendard. Et dans le mot étendard, l'important c'est le suffixe dard.

La fin du périple a été odieuse.

On est arrivé à un endroit où il y avait une profonde flaque d'eau. Le moniteur a dit, c'est le siphon de la sortie., il s'est assis dans l'eau boueuse et est parti en arrière, la tête sous l'eau. On a vu qu'il poussait avec ses pieds et il a disparu.
La grande fille, dont on était persuadés qu'il l'avait copieusement tirée, a fait montre de sa soumission. Elle a fait pareil et a disparu à son tour dans la bouillasse sombre.
Un des gars a dit, non, moi je refais tout le périple à l'envers. Jamais on me fera passer par là.
Marie a dit, j'y vais, si ma coloc y arrive moi je peux aussi.
Je me suis dit que si ce que la coloc faisait, Marie le faisait aussi, je serais bien bête de m'en priver.

De l'autre coté on arrivait dans la grotte des demoiselles, bien connue des touristes. Et effectivement une bande de touristes japonais faisait cercle autour de la flaque du siphon, applaudissant à chaque apparition. On était des stars. Bien entendu, il en manquait un et le moniteur a du y retourner pour l'exhorter.

On a pris un petit funiculaire. On était tous trempés de l’anecdote du siphon. Marie se serrait contre moi et avait posé sa main sur ma bite pour la réchauffer, ou pour marquer sa propriété. Moi je me laissais faire et je pensais qu'il était préférable d'aller chez elle plutôt que de la ramener chez moi. Des fois que la coloc ait récupéré.

Bien entendu le moniteur n'a rien voulu savoir pour restituer ses trophées.

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