Les copines

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les copines Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Les copines
Nous sommes une bande de copines qui nous entendons fort bien, trop bien diront certains. Nous habitons dans un rayon de moins de 500 mètres. Nous avons les mêmes pôles d'attractions. Entre autre nous aimons baiser entre nous souvent si aucun homme n'est en vue.
La dernière fois que nous avons pu baiser avec un mec, il ne pouvait pas tenir le coup. Je crois me souvenir qu'il n'a pu honorer que 5 d'entre nous. Pour nous c'est peu. Nous avons toutes une belle collection de jouets. Certains tiennent dans nos sacs, les autres sont souvent en nous, surtout moi qui aime les boules de geishas.
Nous nous retrouvons pratiquement deux fois pas semaine, soit chez l'une soit chez l'autre. Quelque fois, comme la dernière nous n'étions que trois. Ce nombre impair ne nous gêne pas : la preuve. Après le thé qui commence toujours nos "conversations", nous nous sommes embrassées les trois langues hors de la bouche. Nous ne cherchions qu'à nous exciter. Nous nous sommes mises nues en "streaptisant" un peu. Je me trouvais la première comme notre mère Ève. Les autres se sont ruées sur moi. Il a fallut que je les arrête. J'aime mieux baiser dans ces cas dans un lit. Elles m'ont couchée et écartée les jambes. J'exposais sans honte tout mon corps, après tout elles le connaissaient. J'étais assise sur le matelas, les jambes écartées quand une bouche s'est posée sur mon sexe. Je la regardais me sucer. C'est agréable de voir une tête sur son con, de voir une langue sortir d'une bouche qui s'approche lentement de son bouton, et enfin de la sentir passer sur mon clitoris. Quelque fois, elle descendait là bas, tout là bas vers mon petit trou. Elle l'enfonçait un peu avant de remonter vers ma vulve. Elle la faisait aller et venir. Je ne pouvais tenir : je jouissais dans sa bouche.
Elle n'arrêtait pas là; je finissais à peine de jouir qu'elle avait déjà sa langue sur mon clitoris. Elle le prenait entre ses lèvres, me le mordait à peine, puis me léchait largement.
Notre autre amie, s'attaquait à ma poitrine; elle me caressait les seins, en ne cherchant rien d'autre qu'une simple caresse. Ensuite elle me mordillait un peu les tétons, avant d'en prendre un dans la bouche, elle me le suçais avant de tirer dessus avec ses dents. Dès qu'elle arrêtait, elle me léchait à nouveaux les tétons pour finir pas me téter.
Inutile de dire que ces deux amies me donnaient un plaisir comme j'aime. Pour que j'en ai d'avantage, elles se remplaçaient. Au passage j'avais droit à un baiser très profond, baiser qu'il fallait arrêter pour respirer.
Nous y passions toutes: je me régalais particulièrement de sucer les cons. J'aime la cyprine, je m'en pourlèche. Par contre j'insistais surtout sur les anus. J'aime rentrer ma langue dans ce trou. Ça m'excite encore plus. Je devais me branler en suçant ainsi. Pour finir nous nous sucions difficilement les sexes, à trois se n'est pas évident.
Après ces préliminaires nous passions aux choses sérieuses. J'installais une des deux autre sur le lit, avec un oreiller sous la tête pour qu'elle puisse bien voir. Je sortait mon gode, celui que je réserve pour moi en principe, La deuxième commence à branler celle qui est couchée, elle la suce un peu pour préparer le terrain. Je posais le bout du gode sur le clitoris. Je le poussais légèrement pour qu'elle le sente bien. Quand elle n'en pouvait plus, je la baisais avec mon engin. La deuxième me regardait faire en se branlant. Il lui tardait à elle aussi de l'avoir en elle. Je faisait aller et venir le gode de plus en plus vite. J'aime voir un con qui se fait mettre. L'excitation ne me quittait pas. Je devais moi aussi me masturber devant cette fausse queue qui baisait et donnait du plaisir.
Une des fois où nous étions quatre nous inventions des formes nouvelles. Nous aurions pu nous mettre en couple. C'était déjà fait. Aussi nous en avons levée une, Je passais derrière elle, lui écartais les fesses, Je la tenais par la taille. Une autre accroupie devant prenait en entier le sexe dans la bouche, pendant que la dernière passait une main vers le sexe occupé, en lui suçant les seins. Nous la sentions jouir plusieurs fois avant de changer de position. Elle répétait sans arrêt des "oui, oui, encore, plus fort, je jouiiiiiiiiiis". Elles nous donnaient envie de passer toutes les unes après les autres comme elle. Je me suis laissée aller à jouir moi aussi comme une folle.
Quelques fois je me trouvais seule avec une copine. J'aimais la mettre sur le lit, pas couchée, seulement à moitié assise, les jambes ouvertes. Je lui embrassais le pubis avant de lui mettre ma langue sur le clitoris. J'aimais la mettre ainsi: elle pouvait voir ma langue tendue sur son clitoris. Elle ne pouvait tenir ainsi au moment de son orgasme. Elle s'allongeait complètement et je ne me contentais pas de son bouton: je lui passais la langue sur le cul. J'y rentrais même. Je savais qu'elle n'aimait pas la sodomie, elle acceptait par contre une langue là où aucun homme n'avaient jamais pu aller. Ensuite je léchais toute sa fente. Je la faisais jouir encore et encore. Pour la finir, je la doigtais et du con et du cul. Elle en jouissait toujours. En retour je me mettais debout, une jambe sur le lit, mon entrejambe offerte. Elle me léchait le bouton, me faisait jouir ainsi, simplement. Comme elle savait que j'aimais ça, elle me léchait le petit trou, y rentrait sa langue. Quand elle l'avait bien rentrée, elle me baisait avec mon gode. Elle me baisait fort bien, mieux que ne l'aurai fait un homme, en variant la vitesse et la profondeur. Elle n'arrêtait même pas quand je jouissais.
Il nous arrivait rarement de trouver des étalons. Nous les faisions nous baiser dans des partouzes particulièrement jouissives. Nous étions quatre filles, pour trois hommes. Devant moi je voyais une de mes copines avec une bonne grosse bite dans son sexe. Il la baisait longtemps, sans être tout à fait sur elle. Une de mes copines avait posé sa fente sur la bouche de la baisée. Tournée comme elle était elle profitait des baisés de leur amant. Juste à mes cotés, un peu à gauche, je pouvais voir une autre queue qui baisait : je la voyais entrer et sortir presque complètement. Je me souviens des gémissements poussés. Moi, j'étais en levrette, avec une pine au cul. Il m'avait demandé ce que j'aimais : c'est pourquoi il me sodomisait. En plus il passait une main dessous pour me branler.
Nous étions toute la bande ensemble à une soirée normale : il y avait de tout, y compris autant d'hommes que de femmes. A la suite d'un pari idiot comme souvent, nous nous retrouvions nues devant tout le monde, en file. La première était sur le dos, les jambes ouvertes pour accueillir la bouche d'une autre qui était à quatre pattes derrière elle et elle la suçait, elle-même était sucée par une autre couchée sur le dos et ainsi de suite jusqu'à la fin ou heureusement pour elle, la dernière était sur le dos. Cette dernière excitée comme les autres se branlait. Nous jouissions longtemps. J'étais donc la dernière, je pouvais voir des braguettes s'ouvrir et des queues sortir : la plus part des hommes nous regardaient en se branlant, pratiquement toutes les filles recevaient du sperme sur leur corps.
J'aime la sodomie. Je pouvais souvent la pratiquer seule. J'aimais mieux le faire avec quelqu'un. Je trouvais un jour un voisin que je ne connaissais pas encore. Je devait lui plaire: il me faisait dans l'ascenseur des propositions particulièrement salaces. Un jour, simplement pour voir ma réaction il me disait que j'avais des fesses qui attiraient une bite pour mettre dans le cul. Il pensait me vexer : raté ! Je lui prenais la bite à travers le pantalon, la massait : il bandait quand nous étions à son étage. Il avait réellement envie de baiser. Il ne m'invitait pas à rentrer; je le faisais seule, remontais ma robe pour lui montrer que je n'avais rien dessous, lui reprenais la queue et le branlais un peu. Il osait enfin venir me caresser le clitoris. Il ne branlait pas mal, moins bien que mes copines, il me faisait jouir quand même. Je me penchais en avant, le cul bien ouvert à sa disposition il venait m'enculer. Je jouissais très bien, mieux qu'avec un gode: c'était vivant. Il ne jouissait pas vite, je pouvais ainsi avoir plusieurs orgasmes. Il aurait voulu que nous devenions amants: j'étais d'accord seulement s'il m'enculait, le reste je ne voulais pas du tout.
Ainsi j'ai mes doses de jouissances avec mes copines et mon cul a deux fois par semaine une bite.

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Texte coquin : Les copines
Histoire sexe : Une rose rouge
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