Les cougars
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2011 dans la catégorie Plus on est
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Les cougars
Etre veuve à 45 ans, n’a rien de réjouissant. C’est mon malheur. Pour m’en consoler, si on veut, je
vis avec ma belle sœur, la sœur de feu mon époux. Ce qui manque le plus est l’amour physique. Je
sais parfaitement me donner du plaisir quand j’en crève d’envie. Nicole ma belle sœur est comme moi.
Nous en parlons à mot couverts souvent.
Je dois faire réparer la serrure de la porte d‘entrée.
Bien sur Nicole sait que j’attend le professionnel.
Brusquement elle me dit:
- Et si c’est une bel homme, on se le paie ?
- Allons ça te manque tant que ça une queue ?
- Bien sur, sinon je n’en parlerai pas. Et toi tu n’aimerai pas te faire mettre.
Je crois que c’est la première fois que nous employons un tel langage. Pour tout dire, j’y pensais
sans en parler: comme arriver à baiser avec cet homme sans qu’elle en soit au courant. Je rajoute
pour ne pas nous fâcher, ce qui serait idiot:
- On le partagera.
- Voilà qui est bien parlé.
- J’espère qu’il sera bien monté
- Moi, ça m’est égal, le principal est qu’il ai une bite et qu’il sache sans servir.
Nous ne pouvons continuer à échanger de tels propos: le professionnel arrive.
Après les salutations d’usage, il se met au travail.
Nicole le regarde comme un sauveur. C’est vrai qu’il est bien fait, avec il nous semble un jolie
paquet entre les jambes. Nous ne pouvons nous empêcher de le regarder. J’en arrive à le voir déjà me
faisant l’amour. Je sens que je commence à avoir la culotte un peu humide, signe qui ne me trompe
pas: j’ai envie de me masturber. Je n’en peux plus, je parle à Nicole:
- Il faut que j’aille me soulager, je n’en peux plus, retiens le.
- Je sais où tu vas, j’irai te remplacer tout à l’heure.
Dès mon arrivée aux toilettes, j’enlève ma culotte. Ouf je me sens libérée. Je pose un pied sur la
cuvette,. En passant ma main sur mon clitoris j’arrive vite à avoir un orgasme: je fantasmai sur
lui. Je voyai sa queue bandée venir dans mon vagin au début et ensuite la mettre dans mon petit
trou. C’était bon.
Dès mon arrivée au séjour, c’est Nicole qui part aux toilettes. J’espère qu’elle jouira comme moi.
Elle revient l’air plus reposé au même moment que l’ouvrier. C’est Nicole qui lui offre un café
qu’il accepte volontiers. C’est en le servant que le malheur arrive: je renverse sa tasse sur son
pantalon, juste là où normalement je n’aurai pas du. Il court aux plus pressé, ouvrir son pantalon
pour être à l’abri des brulures. Nicole court chercher un torchon mouillé pour calmer la brulure
éventuelle, sans rien demander elle colle le torchon sur la bite, à travers le caleçon.
Bien sur le malheureux n’a strictement rien. Il n’empêche que Nicole reste avec la main sur une bite
qui d ‘après ce que je vois commence à bander.
Que demander de plus. Je viens au secours: je suis accroupie devant la bite comme au plus jeune âge
quand je faisait des fellations souvent. Je prend la bite pour la faire durcir encore plus. Je vois
Nicole se lever: elle va embrasser le serrurier qui ne se défend pas, au contraire.
Il a affaire, sans doute pour la première fois de sa vie à deux femmes mures qui veulent se payer un
jeunot. Des couguars, quoi. Nicole commence à le déshabiller. Elle caresse son torse avant d’aller
lui frotter le dos en descendant vers les reins.
J’arrive, péniblement, mais j’arrive à lui faire descendre le pantalon et le caleçon. Je peux
maintenant bien le lécher, le sucer, lui caresser les couilles et l’entrejambe. Je cherche à aller
sur son anus pour y mettre un doigt, un seul comme je faisais avant. Quand j’arrive à entrer il me
caresse la tête.
Il est vaincu. Nous n’allons pas le laisser dans cette position. Avec Nicole nous nous mettons nues,
chacune de notre coté, nous n’avons jamais eu d’aventure ensemble ce n’est pas aujourd’hui que nous
allons commencer. Nous nous regardons quand même, c’est forcé en voulant baiser ensemble le même
homme. Je la trouve bien fichue et le lui dit: elle me retourne le compliment.
Nous asseyons l’ouvrier entre nous. Bien sur que nos mains sont attirées par la bite. Nous la
partageons: j’ai la partie basse avec les couilles Nicole a la partir haute avec le gland. Nos
caresses sont légères: nous retrouvons l’une et l’autre les vieux réflexes: ne pas le faire jouir
trop vite. Par contre ses mains doivent s’acquitter de la tache de nous caresser les chattes. Il a
l’habitude de branler les dames: il caresse fort bien les deux clitoris. Je sens mon ventre se
contracter souvent quand sa câlinerie est plus accentuée. Je soupire comme j’entend Nicole le faire.
Quand Nicole le plus chaude sans doute n’en peut plus elle va sur les genoux masculin, cherche à
peine la bite pour s’y assoir dessus. Elle entre la pine dans son ventre. Je la vois monter et
descendre comme si elle avait 25 ans. Je me lève pour aller m’assoir sur le fauteuil en face d’où
j’ai une vue parfaite sur le cul de Nicole et de la bite qui entre et sort de sa chatte. J’ai les
jambes écartées pour mieux me caresser la chatte: je me doigte à dire vrai. Quand Nicole laisse
aller sa tête sur le coté je pense qu’elle vient de jouir.
C’est vrai: elle me laisse la place. Je viens de me branler, j’ai encore dans mon vagin la trace de
mes doigts, je choisis l’autre coté. Je vais bien sur le membre m’y installe en lui tournant le dos.
Sa queue est encore mouillée de la cyprine de Nicole. Je la mets juste à l’entrée de l’anus. Je me
laisse aller complètement. Il me remplit royalement le cul.
Mes seins sont à sa disposition: il en profite: tant mieux. Je regarde Nicole qui se branle en me
regardant. J’ai envie moi aussi de me branler. Que c’est bon de se faire enculer et de se donner du
plaisir. J’avais oublié. Je cris au moment de l’orgasme.
Je jouis une dernière fois quand je sens son sperme jaillir dans mon ventre.
S’il a jouit, nous sommes obligées de le ranimer. Nous avons encore besoin de baiser. Nicole prend
les chose en main, si on peu dire. Elle le caresse sur et sous la bite. Je suis juste derrière elle,
les jambes ouvertes pour me masturber: il ne tient pas longtemps. Il commence enfin à bander. Nicole
le suce presque à fond, sans tenir compte qu’il sort de mon cul. Ce qu’elle cherche maintenant c’est
ce faire enculer à son tour
Elle est en levrette sur le tapis. Elle se mouille bien avec sa cyprine: je le vois bien, elle est à
moins d’un mètre de moi. Il vient sur elle, caresse son cul, entre un, puis jusqu’à trois doigts
dans l’anus. Je regarde tout comme une exposition en donnant des notes mentalement. Il sait bien
faire la sodomie. Il l’encule longtemps. Certainement plus que moi. Comme j’ai fait, Nicole aussi se
branle. Comme moi, elle pousse un cri en jouissant.
Elle jouit plusieurs fois d’affilée. Elle s’écroule quand elle n’en peut plus. Il reste sur elle la
bite toujours dans le cul. Il n’en sort qu’à sa demande.
A mon tour: je le suce un peu come a fait Nicole: c’est bon de sentir les odeurs intimes de ma belle
sœur. Je suis sur le dos, les jambes ouvertes, ma chatte à la disposition du mâle. Il prend sa bite
en main pour me branler encore une fois le clito et me faire jouir encore. Enfin j’ai une queue dans
mon ventre, par devant. Je m’enroule autour de sa taille. Il me lime longtemps, même si je jouis
autour de sa bite. Il en profite totalement jusqu’au moment fatidique: il jouit encore une dernière
fois.
Sans un mot, il s’habille, nous regarde une seule fois pour nous dire merci.
Il ne nous reste plus qu’à nous vêtir avec regret. Nous aurions bien aimer qu’il nous baise encore.
Qui sait, j’aurai sans doute une réparation à faire exécuter
vis avec ma belle sœur, la sœur de feu mon époux. Ce qui manque le plus est l’amour physique. Je
sais parfaitement me donner du plaisir quand j’en crève d’envie. Nicole ma belle sœur est comme moi.
Nous en parlons à mot couverts souvent.
Je dois faire réparer la serrure de la porte d‘entrée.
Bien sur Nicole sait que j’attend le professionnel.
Brusquement elle me dit:
- Et si c’est une bel homme, on se le paie ?
- Allons ça te manque tant que ça une queue ?
- Bien sur, sinon je n’en parlerai pas. Et toi tu n’aimerai pas te faire mettre.
Je crois que c’est la première fois que nous employons un tel langage. Pour tout dire, j’y pensais
sans en parler: comme arriver à baiser avec cet homme sans qu’elle en soit au courant. Je rajoute
pour ne pas nous fâcher, ce qui serait idiot:
- On le partagera.
- Voilà qui est bien parlé.
- J’espère qu’il sera bien monté
- Moi, ça m’est égal, le principal est qu’il ai une bite et qu’il sache sans servir.
Nous ne pouvons continuer à échanger de tels propos: le professionnel arrive.
Après les salutations d’usage, il se met au travail.
Nicole le regarde comme un sauveur. C’est vrai qu’il est bien fait, avec il nous semble un jolie
paquet entre les jambes. Nous ne pouvons nous empêcher de le regarder. J’en arrive à le voir déjà me
faisant l’amour. Je sens que je commence à avoir la culotte un peu humide, signe qui ne me trompe
pas: j’ai envie de me masturber. Je n’en peux plus, je parle à Nicole:
- Il faut que j’aille me soulager, je n’en peux plus, retiens le.
- Je sais où tu vas, j’irai te remplacer tout à l’heure.
Dès mon arrivée aux toilettes, j’enlève ma culotte. Ouf je me sens libérée. Je pose un pied sur la
cuvette,. En passant ma main sur mon clitoris j’arrive vite à avoir un orgasme: je fantasmai sur
lui. Je voyai sa queue bandée venir dans mon vagin au début et ensuite la mettre dans mon petit
trou. C’était bon.
Dès mon arrivée au séjour, c’est Nicole qui part aux toilettes. J’espère qu’elle jouira comme moi.
Elle revient l’air plus reposé au même moment que l’ouvrier. C’est Nicole qui lui offre un café
qu’il accepte volontiers. C’est en le servant que le malheur arrive: je renverse sa tasse sur son
pantalon, juste là où normalement je n’aurai pas du. Il court aux plus pressé, ouvrir son pantalon
pour être à l’abri des brulures. Nicole court chercher un torchon mouillé pour calmer la brulure
éventuelle, sans rien demander elle colle le torchon sur la bite, à travers le caleçon.
Bien sur le malheureux n’a strictement rien. Il n’empêche que Nicole reste avec la main sur une bite
qui d ‘après ce que je vois commence à bander.
Que demander de plus. Je viens au secours: je suis accroupie devant la bite comme au plus jeune âge
quand je faisait des fellations souvent. Je prend la bite pour la faire durcir encore plus. Je vois
Nicole se lever: elle va embrasser le serrurier qui ne se défend pas, au contraire.
Il a affaire, sans doute pour la première fois de sa vie à deux femmes mures qui veulent se payer un
jeunot. Des couguars, quoi. Nicole commence à le déshabiller. Elle caresse son torse avant d’aller
lui frotter le dos en descendant vers les reins.
J’arrive, péniblement, mais j’arrive à lui faire descendre le pantalon et le caleçon. Je peux
maintenant bien le lécher, le sucer, lui caresser les couilles et l’entrejambe. Je cherche à aller
sur son anus pour y mettre un doigt, un seul comme je faisais avant. Quand j’arrive à entrer il me
caresse la tête.
Il est vaincu. Nous n’allons pas le laisser dans cette position. Avec Nicole nous nous mettons nues,
chacune de notre coté, nous n’avons jamais eu d’aventure ensemble ce n’est pas aujourd’hui que nous
allons commencer. Nous nous regardons quand même, c’est forcé en voulant baiser ensemble le même
homme. Je la trouve bien fichue et le lui dit: elle me retourne le compliment.
Nous asseyons l’ouvrier entre nous. Bien sur que nos mains sont attirées par la bite. Nous la
partageons: j’ai la partie basse avec les couilles Nicole a la partir haute avec le gland. Nos
caresses sont légères: nous retrouvons l’une et l’autre les vieux réflexes: ne pas le faire jouir
trop vite. Par contre ses mains doivent s’acquitter de la tache de nous caresser les chattes. Il a
l’habitude de branler les dames: il caresse fort bien les deux clitoris. Je sens mon ventre se
contracter souvent quand sa câlinerie est plus accentuée. Je soupire comme j’entend Nicole le faire.
Quand Nicole le plus chaude sans doute n’en peut plus elle va sur les genoux masculin, cherche à
peine la bite pour s’y assoir dessus. Elle entre la pine dans son ventre. Je la vois monter et
descendre comme si elle avait 25 ans. Je me lève pour aller m’assoir sur le fauteuil en face d’où
j’ai une vue parfaite sur le cul de Nicole et de la bite qui entre et sort de sa chatte. J’ai les
jambes écartées pour mieux me caresser la chatte: je me doigte à dire vrai. Quand Nicole laisse
aller sa tête sur le coté je pense qu’elle vient de jouir.
C’est vrai: elle me laisse la place. Je viens de me branler, j’ai encore dans mon vagin la trace de
mes doigts, je choisis l’autre coté. Je vais bien sur le membre m’y installe en lui tournant le dos.
Sa queue est encore mouillée de la cyprine de Nicole. Je la mets juste à l’entrée de l’anus. Je me
laisse aller complètement. Il me remplit royalement le cul.
Mes seins sont à sa disposition: il en profite: tant mieux. Je regarde Nicole qui se branle en me
regardant. J’ai envie moi aussi de me branler. Que c’est bon de se faire enculer et de se donner du
plaisir. J’avais oublié. Je cris au moment de l’orgasme.
Je jouis une dernière fois quand je sens son sperme jaillir dans mon ventre.
S’il a jouit, nous sommes obligées de le ranimer. Nous avons encore besoin de baiser. Nicole prend
les chose en main, si on peu dire. Elle le caresse sur et sous la bite. Je suis juste derrière elle,
les jambes ouvertes pour me masturber: il ne tient pas longtemps. Il commence enfin à bander. Nicole
le suce presque à fond, sans tenir compte qu’il sort de mon cul. Ce qu’elle cherche maintenant c’est
ce faire enculer à son tour
Elle est en levrette sur le tapis. Elle se mouille bien avec sa cyprine: je le vois bien, elle est à
moins d’un mètre de moi. Il vient sur elle, caresse son cul, entre un, puis jusqu’à trois doigts
dans l’anus. Je regarde tout comme une exposition en donnant des notes mentalement. Il sait bien
faire la sodomie. Il l’encule longtemps. Certainement plus que moi. Comme j’ai fait, Nicole aussi se
branle. Comme moi, elle pousse un cri en jouissant.
Elle jouit plusieurs fois d’affilée. Elle s’écroule quand elle n’en peut plus. Il reste sur elle la
bite toujours dans le cul. Il n’en sort qu’à sa demande.
A mon tour: je le suce un peu come a fait Nicole: c’est bon de sentir les odeurs intimes de ma belle
sœur. Je suis sur le dos, les jambes ouvertes, ma chatte à la disposition du mâle. Il prend sa bite
en main pour me branler encore une fois le clito et me faire jouir encore. Enfin j’ai une queue dans
mon ventre, par devant. Je m’enroule autour de sa taille. Il me lime longtemps, même si je jouis
autour de sa bite. Il en profite totalement jusqu’au moment fatidique: il jouit encore une dernière
fois.
Sans un mot, il s’habille, nous regarde une seule fois pour nous dire merci.
Il ne nous reste plus qu’à nous vêtir avec regret. Nous aurions bien aimer qu’il nous baise encore.
Qui sait, j’aurai sans doute une réparation à faire exécuter
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle aubaine de pouvoir se partager une bonne bite et de pouvoir manger à deux son produit. J
Merci les fautes de frappe
enfin une histoire avec des cougard,HUMMMMMMMM
ce qui a pour effet de me taper une branlette en y repenssent.continuez
cordialement votre willy
ce qui a pour effet de me taper une branlette en y repenssent.continuez
cordialement votre willy
sympa, je serai ravie de faire des reparation chez elle
c'est beau la vie de famille. Elles ont raison d'en profiter