Les culottes de ma maman: début de ma vie de femme (1)
Récit érotique écrit par Alexia44 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2018 dans la catégorie Fétichisme
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Les culottes de ma maman: début de ma vie de femme (1)
Dans ce récit, je vous propose de découvrir comment je suis devenue Alexia.
Tout a commencé lorsque j'avais 16 ans, je ne me sentais pas bien dans mon corps, avec mes longues jambes fines, ma faible pilosité. Un jour, ma mère s'est absenté de la maison pendnat deux jours.J'ai passé mon après midi à visionner des vidéos x sur mon PC. Le soir, excité par ce bon moment, je suis tombé par hasard sur une culotte de ma mère dépassant du panier à linge. Je n'ai pas résister à l'envie de la porter. La sensation de la dentelle et du satin m'ont subjugués. Je me suis caressé au travers de cette culotte toute la nuit en prenant soin de ne pas éjaculer dedans afin de garder secret ce petit moment.
J'ai pris l'habitude de fouiller le tiroir à lingerie de ma mère et de profiter de ses collants et culottes en son absence. Malgré le soin que j'apportai à tout remettre en place. Il faut avouer que ma crainte d'être démasqué augmentait.
Un après-midi où j'étais seul, j'enfila une culotte en satin. J'étais allongé sur le lit sur le ventre. Je me frottais contre l'oreiller tout en me caressant les fesses. Les sensations au travers du tissu étaient délicieuses. Soudain, j'entendis la voiture de ma mère rentrer dans le garage. Je me dépêche de tout remettre à sa place. J'aperçois une goutte de sperme dans la culotte. Trop tard, je la range par-dessus dans son tiroir. Elle ne s'aperçoit de rien le soir et part au travail le lendemain matin. Je me dépêche de me rendre dans sa chambre pour récupérer et laver la culotte. Je panique en voyant qu'elle l'a mise le matin même sans s'apercevoir de rien.
Le soir, elle rentre à la maison dans une colère noire. Elle m'insulte de pervers, qu'elle va me mettre en pension. Je fonds en larme. Je lui explique que je ne fantasme pas sur elle. Elle finit par comprendre que j'aime porter de la lingerie, que je me sens heureux en culotte. J'aime jouir en me frottant au travers du satin et de la dentelle.
Après avoir longuement pleuré, elle quitte la pièce. Je ne sais plus quoi faire. Elle revient en me disant qu'elle me pardonne. Elle me serre dans ses bras. Elle me dit qu'elle accepte mes choix de porter de la lingerie mais je ne dois plus porter ses affaires. Elle me donne donc un budget de 200€ pour commander ce qu'il me plaît. Je suis hyper heureux.
A bientôt pour la suite....
Tout a commencé lorsque j'avais 16 ans, je ne me sentais pas bien dans mon corps, avec mes longues jambes fines, ma faible pilosité. Un jour, ma mère s'est absenté de la maison pendnat deux jours.J'ai passé mon après midi à visionner des vidéos x sur mon PC. Le soir, excité par ce bon moment, je suis tombé par hasard sur une culotte de ma mère dépassant du panier à linge. Je n'ai pas résister à l'envie de la porter. La sensation de la dentelle et du satin m'ont subjugués. Je me suis caressé au travers de cette culotte toute la nuit en prenant soin de ne pas éjaculer dedans afin de garder secret ce petit moment.
J'ai pris l'habitude de fouiller le tiroir à lingerie de ma mère et de profiter de ses collants et culottes en son absence. Malgré le soin que j'apportai à tout remettre en place. Il faut avouer que ma crainte d'être démasqué augmentait.
Un après-midi où j'étais seul, j'enfila une culotte en satin. J'étais allongé sur le lit sur le ventre. Je me frottais contre l'oreiller tout en me caressant les fesses. Les sensations au travers du tissu étaient délicieuses. Soudain, j'entendis la voiture de ma mère rentrer dans le garage. Je me dépêche de tout remettre à sa place. J'aperçois une goutte de sperme dans la culotte. Trop tard, je la range par-dessus dans son tiroir. Elle ne s'aperçoit de rien le soir et part au travail le lendemain matin. Je me dépêche de me rendre dans sa chambre pour récupérer et laver la culotte. Je panique en voyant qu'elle l'a mise le matin même sans s'apercevoir de rien.
Le soir, elle rentre à la maison dans une colère noire. Elle m'insulte de pervers, qu'elle va me mettre en pension. Je fonds en larme. Je lui explique que je ne fantasme pas sur elle. Elle finit par comprendre que j'aime porter de la lingerie, que je me sens heureux en culotte. J'aime jouir en me frottant au travers du satin et de la dentelle.
Après avoir longuement pleuré, elle quitte la pièce. Je ne sais plus quoi faire. Elle revient en me disant qu'elle me pardonne. Elle me serre dans ses bras. Elle me dit qu'elle accepte mes choix de porter de la lingerie mais je ne dois plus porter ses affaires. Elle me donne donc un budget de 200€ pour commander ce qu'il me plaît. Je suis hyper heureux.
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