Les dangers du candaulisme
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2018 dans la catégorie Plus on est
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Les dangers du candaulisme
Elle n’a pas changé, je dirais même que Laurine est plus belle qu’il y a trois ans, plus femme, je ne l’avais pas revue depuis notre séparation, a vrai dire, ‘MA’ fuite
Je l’avais bien cherché aussi … mon sport favori était le la jeter dans les bras de mecs afin qu’ils là baisent sous mes yeux dans un club libertin ou autres endroits douteux, elle m’obéissait et donnait volontiers sa petite culotte toute chaude et odorante à celui que nous avions choisi pour la prendre dans une alcôve, sitôt fait, la culotte remise, nous rentrions vite à la maison afin de faire l’amour intensément … sans qu’elle ait eu fait sa toilette intime …
J’étais sûr de moi, de ma virilité et mon emprise sur elle, et, fatalement un jour il y a eu un homme qui l’a faite jouir très facilement, ça aurait dût me mettre la puce à l’oreille, au lieu de cela je l’ai invité maintes et maintes fois à la maison, j’ai même poussé le vice à les filmer faisant l’amour, car il ne la baisait pas, il lui faisait l’amour en lui susurrant des mots que je ne saisissais pas mais que je devinais tendres
Puis, un matin, juste avant que je parte au boulot le téléphone a sonné, c’était lui qui me croyant parti s’est trouvé con en prétextant un faux numéro, je lui ai fait comprendre que je l’avais reconnu… depuis plus de nouvelles…. enfin, un vendredi soir après la débauche nous devions rendre visite à ses parents pour le weekend, résidant a deux cent kilomètres
Laurine à cette occasion a pris son après-midi afin de préparer les bagages… une fois sur l’autoroute, comme à l’accoutumée, je lui retroussais la robe tout en conduisant ‘prudemment’, elle écartait volontiers les cuisses afin que je la doigte jusqu'à la jouissance, pour le plus grands plaisir des routiers que je doublais exprès lentement et qui commentaient à grands coups de klaxon ce qu’il avaient vu, dans les embouteillages elle ôtait sa petite culotte et ne resserrait pas les cuisses, combien de propositions avons-nous eus dans toutes les langues !
Donc, ce soir-là, dès que je l’ai pénétrée de deux doigts j’ai tout de suite ressenti que son vagin n’était pas ‘normal’ … l’intérieur me paraissais tapissé, poisseux, une certaine humidité régnait, ça ne ressemblait pas à sa mouille habituelle, j’ai retiré mes doigts et les aient portés à mes narines … ça sentait indiscutablement le sperme … je lui ai fait remarquer, elle est restée silencieuse, j’ai tout de suite compris ce qui s’était passé l’après-midi en mon absence….
Pour ne pas gâcher le weekend et nous expliquer devant ses parents j’ai pris sur moi sans chercher a approfondir le mystère, mais ma fierté en avait pris un coup, le lundi je ne suis pas rentré à la maison, les jours suivant non plus, et ce soir elle est là a dix mètres de moi dans une robe bleue très courte, sexy de la tête aux pieds… main dans la main avec Michel, le même mec … nos regards se sont obligatoirement croisés et restés accrochés de longues secondes, la bouche ouverte d’étonnement le cœur cognant fort dans la poitrine, la boule au ventre je suis allé ver le bar improvisé pour la circonstance boire un double whisky
- Tu comptes m’éviter toute la soirée Florent ?
- Beeeennnn jeeeeee …. Tu es toujours aussi belle Laurine …je dirais même encore plus, tu fais plus femme
- Il y a peut-être des raisons à cela … toi tu n’as pas changé, toujours aussi séduisant
- Tu vis avec ‘lui’ ?
- Michel ? non, c’est juste un bon copain qui m’a beaucoup aidée dans des moments difficiles
- Je vois... tu veux que je lui dise bonjour ?
- Il est parti en te voyant, à présent je suis seule et à pieds pour rentrer!
- Si tu veux je te raccompagne ?
- Plus tard peut être pour l’instant j’ai envie de m’amuser
- T’amuser … comme autrefois ?
- Hélas ça ne m’est plus arrivé depuis ton départ
- Ça te manque ?
- Difficile question …tu es venu seul ?
- Je n’ai personne depuis toi …
- Met toi devant moi que personne ne voit ce que je vais faire …
- Hein ? …. Que fais-tu Laurine ?
Elle vient de passer ses mains sous sa robe pour retirer en une fraction de seconde une mini culotte bleue assortie a sa robe qu’elle me met d’office dans la main
- Tu comprends ce que ça veut dire ?
- Queeeeeee … ??
- Cherche un coin pour me baiser tout de suite
- Tu es sûre ?
- Ma chatte n’a jamais cessé de rêver de ta queue
- Dis-moi d’abord s’il est venu te baiser à la maison ce fameux vendredi ?
- Oui … il est arrivé sans prévenir, je lui ai ouvert par politesse, il a été tout de suite entreprenant, il m’a montré qu’il bandait pour moi, il m’a enlacée et sa main est venue naturellement entre mes cuisses, tu me connais dès que l’on me touche le clitoris je ne peux plus rien refuser, je l’ai laissé faire lorsqu’il a baissé ma petite culotte…
- Je me souviens que tu adorais être baisée par ce connard en ma présence, combien de fois l’as-t-il fait ?
- Deux …
- Dans notre lit ?
- Non, sur la table et le canapé
- L’enfoiré … suit moi !
Je bandais tellement après son récit que je ne pouvais plus attendre, j’ai refermé au hasard une porte à clé sur nous et j’ai collé Laurine sur le mur, la robe roulée sur ses hanches, dépoitraillée, je l’ai crucifiée en un coup de rein autant rageur qu’ardemment désiré dans un hurlement libérateur commun
- Ooooooooohhhhhhhhoooooouuuuuuuiiiiii salaud défonce moi comme avant !
- Prend ça salope, je te promets que je te ferais encore baiser par des mecs
- Ouuuuuuuiiiiii ! mais nous ne les reverront jamais deux fois ! je jouuuuuuuuiiiiiiiiiiiis
- Je décharge !!! j’avais presqu’oublié que ta chatte était aussi bonne bordel !
- Redonne-moi ma culotte viiiiite !
- Tu ne veux pas te laver ?
- Nous rentrons à la maison, c’est ta langue qui va nettoyer mon vagin
La première chose que j’ai vue en entrant dans le salon c’est des jouets de gamin et une adorable photo de fillette
- C’est ma petite nièce, vient vite me bouffer dans la chambre ça commence à dégouliner partout
- Garde ton slip je vais le déchirer avec mes dents
- Vas-y mon ogre, fais-moi du bien
La voir ainsi écartelée, impudique, me rappelle une position qu’elle prenait avec son amant mais le désir de la retrouver est plus fort, je m’allonge précipitamment entre ses cuisses maculées de foutre, très vite j’en ai des oreilles au menton, je lape mon propre sperme en marquant toutefois des poses pour remonter l’embrasser a pleine bouche
- Ooooooohhhhh mon amour, si tu te voyais, tu es tout barbouillé !
- Embrase-moi, passe ta langue dans ma bouche
- Je boirais volontiers des litres de ta semence Florent, redescend entre mes cuisses pour m’embrocher comme une chienne
- Comment s’appelle ta petite nièce ?
- Ça te travaille tant que ça ? elle s’appelle Florine
- Florine ? quasiment comme moi ?
- Bon, tu veux tout savoir ?
- Que me caches-tu ?
- C’est ta fille ! NOTRE fille
- QUOI ?
- La semaine qui a suivi ton départ je me suis doutée que j’étais enceinte, je n’avais pas eues mes règles du mois précédent
- Enceinte de moi ou de Michel ?
- C’est ce que j’ai cru, c’est pour cela que j’ai fait faire un test de paternité, j’avais suffisamment de ton ADN partout dans la maison, c’est bien ‘TA’ fille, le résultat est encadré près de la photo de notre Florine
- Où est-elle ?
- Chez la voisine
- Va la chercher
- A cette heure-ci ? tu plaisante ! tu as d’autre chose à finir d’ici demain matin, regarde …
- Une levrette ? tu te souviens comment ça finissait ?
- Par être prise par les deux trous ? mmmuuuuuuuuuuuummmmmmm !
Je ne vois que sa chatte et son anus gonflé qui se serre et se desserre comme pour m’inciter à ne pas l’oublier, je me décalotte en approchant ma langue de ses deux bouches avides de foutre, je la fait pointue et longue pour l’un, large et souple pour le vagin visqueux, mes deux pouces écartent les lobes fessiers, ondulant du cul Laurine s’impatiente et me supplie d’une petite voix de la prendre
- Baise-moi putain ! mais baise-moi donc !
- A une condition …
- Laquelle ? viiiiite !!
- Demain je vais te donner en pâture à un mec de mon choix
- Tout ce que tu veux mais embroche moi maintenant !
Ma queue disparait lentement dans la vulve, une fois bien calé au fond je me retire aussi lentement et vise son voisin, Laurine a compris, ses doigts se crispent dans le drap, elle se cambre prête à subir la brulure inévitable de la première pénétration anale, mon sexe largement lubrifié par son vagin disparait a la même allure dans son fondement qui se crispe me faisant ainsi ressentir son bonheur
- Je suis prête …
- Ça va secouer ….
Quelques coups dans l’anus, quelques autres dans la chatte, j’alterne puissance et vitesse, elle est comme folle se jetant sur moi afin que je brutalise ses orifices, je l’ai laissée jouir deux fois avant de m’épancher dans un râle interminable, essayant de partager ma semence dans les trous qui restent longtemps béants recrachant un jus immonde
- Tu m’as tuée, je n’arrive pas à reprendre respiration
- Allons prendre une douche, la sueur coule dans mes yeux
- Moi c’est autre chose qui coule jusqu'à mes chevilles !
- Tu es si belle pendant et après l’amour …
- Tu es bête d’être parti autant de temps …
- Je le reconnais et le regrette amèrement … demain tu appelles Michel …
- Pour quoi faire ?
- Pour qu’il vienne te baiser avec moi ….
- Maso …je t’aime ! j’accepte à une condition
- Laquelle ?
- Ne me laisse pas baiser seule avec lui, je vous veux tous les deux ensembles dans mes trous
- Le jour se lève allons chercher Florine …
Je l’avais bien cherché aussi … mon sport favori était le la jeter dans les bras de mecs afin qu’ils là baisent sous mes yeux dans un club libertin ou autres endroits douteux, elle m’obéissait et donnait volontiers sa petite culotte toute chaude et odorante à celui que nous avions choisi pour la prendre dans une alcôve, sitôt fait, la culotte remise, nous rentrions vite à la maison afin de faire l’amour intensément … sans qu’elle ait eu fait sa toilette intime …
J’étais sûr de moi, de ma virilité et mon emprise sur elle, et, fatalement un jour il y a eu un homme qui l’a faite jouir très facilement, ça aurait dût me mettre la puce à l’oreille, au lieu de cela je l’ai invité maintes et maintes fois à la maison, j’ai même poussé le vice à les filmer faisant l’amour, car il ne la baisait pas, il lui faisait l’amour en lui susurrant des mots que je ne saisissais pas mais que je devinais tendres
Puis, un matin, juste avant que je parte au boulot le téléphone a sonné, c’était lui qui me croyant parti s’est trouvé con en prétextant un faux numéro, je lui ai fait comprendre que je l’avais reconnu… depuis plus de nouvelles…. enfin, un vendredi soir après la débauche nous devions rendre visite à ses parents pour le weekend, résidant a deux cent kilomètres
Laurine à cette occasion a pris son après-midi afin de préparer les bagages… une fois sur l’autoroute, comme à l’accoutumée, je lui retroussais la robe tout en conduisant ‘prudemment’, elle écartait volontiers les cuisses afin que je la doigte jusqu'à la jouissance, pour le plus grands plaisir des routiers que je doublais exprès lentement et qui commentaient à grands coups de klaxon ce qu’il avaient vu, dans les embouteillages elle ôtait sa petite culotte et ne resserrait pas les cuisses, combien de propositions avons-nous eus dans toutes les langues !
Donc, ce soir-là, dès que je l’ai pénétrée de deux doigts j’ai tout de suite ressenti que son vagin n’était pas ‘normal’ … l’intérieur me paraissais tapissé, poisseux, une certaine humidité régnait, ça ne ressemblait pas à sa mouille habituelle, j’ai retiré mes doigts et les aient portés à mes narines … ça sentait indiscutablement le sperme … je lui ai fait remarquer, elle est restée silencieuse, j’ai tout de suite compris ce qui s’était passé l’après-midi en mon absence….
Pour ne pas gâcher le weekend et nous expliquer devant ses parents j’ai pris sur moi sans chercher a approfondir le mystère, mais ma fierté en avait pris un coup, le lundi je ne suis pas rentré à la maison, les jours suivant non plus, et ce soir elle est là a dix mètres de moi dans une robe bleue très courte, sexy de la tête aux pieds… main dans la main avec Michel, le même mec … nos regards se sont obligatoirement croisés et restés accrochés de longues secondes, la bouche ouverte d’étonnement le cœur cognant fort dans la poitrine, la boule au ventre je suis allé ver le bar improvisé pour la circonstance boire un double whisky
- Tu comptes m’éviter toute la soirée Florent ?
- Beeeennnn jeeeeee …. Tu es toujours aussi belle Laurine …je dirais même encore plus, tu fais plus femme
- Il y a peut-être des raisons à cela … toi tu n’as pas changé, toujours aussi séduisant
- Tu vis avec ‘lui’ ?
- Michel ? non, c’est juste un bon copain qui m’a beaucoup aidée dans des moments difficiles
- Je vois... tu veux que je lui dise bonjour ?
- Il est parti en te voyant, à présent je suis seule et à pieds pour rentrer!
- Si tu veux je te raccompagne ?
- Plus tard peut être pour l’instant j’ai envie de m’amuser
- T’amuser … comme autrefois ?
- Hélas ça ne m’est plus arrivé depuis ton départ
- Ça te manque ?
- Difficile question …tu es venu seul ?
- Je n’ai personne depuis toi …
- Met toi devant moi que personne ne voit ce que je vais faire …
- Hein ? …. Que fais-tu Laurine ?
Elle vient de passer ses mains sous sa robe pour retirer en une fraction de seconde une mini culotte bleue assortie a sa robe qu’elle me met d’office dans la main
- Tu comprends ce que ça veut dire ?
- Queeeeeee … ??
- Cherche un coin pour me baiser tout de suite
- Tu es sûre ?
- Ma chatte n’a jamais cessé de rêver de ta queue
- Dis-moi d’abord s’il est venu te baiser à la maison ce fameux vendredi ?
- Oui … il est arrivé sans prévenir, je lui ai ouvert par politesse, il a été tout de suite entreprenant, il m’a montré qu’il bandait pour moi, il m’a enlacée et sa main est venue naturellement entre mes cuisses, tu me connais dès que l’on me touche le clitoris je ne peux plus rien refuser, je l’ai laissé faire lorsqu’il a baissé ma petite culotte…
- Je me souviens que tu adorais être baisée par ce connard en ma présence, combien de fois l’as-t-il fait ?
- Deux …
- Dans notre lit ?
- Non, sur la table et le canapé
- L’enfoiré … suit moi !
Je bandais tellement après son récit que je ne pouvais plus attendre, j’ai refermé au hasard une porte à clé sur nous et j’ai collé Laurine sur le mur, la robe roulée sur ses hanches, dépoitraillée, je l’ai crucifiée en un coup de rein autant rageur qu’ardemment désiré dans un hurlement libérateur commun
- Ooooooooohhhhhhhhoooooouuuuuuuiiiiii salaud défonce moi comme avant !
- Prend ça salope, je te promets que je te ferais encore baiser par des mecs
- Ouuuuuuuiiiiii ! mais nous ne les reverront jamais deux fois ! je jouuuuuuuuiiiiiiiiiiiis
- Je décharge !!! j’avais presqu’oublié que ta chatte était aussi bonne bordel !
- Redonne-moi ma culotte viiiiite !
- Tu ne veux pas te laver ?
- Nous rentrons à la maison, c’est ta langue qui va nettoyer mon vagin
La première chose que j’ai vue en entrant dans le salon c’est des jouets de gamin et une adorable photo de fillette
- C’est ma petite nièce, vient vite me bouffer dans la chambre ça commence à dégouliner partout
- Garde ton slip je vais le déchirer avec mes dents
- Vas-y mon ogre, fais-moi du bien
La voir ainsi écartelée, impudique, me rappelle une position qu’elle prenait avec son amant mais le désir de la retrouver est plus fort, je m’allonge précipitamment entre ses cuisses maculées de foutre, très vite j’en ai des oreilles au menton, je lape mon propre sperme en marquant toutefois des poses pour remonter l’embrasser a pleine bouche
- Ooooooohhhhh mon amour, si tu te voyais, tu es tout barbouillé !
- Embrase-moi, passe ta langue dans ma bouche
- Je boirais volontiers des litres de ta semence Florent, redescend entre mes cuisses pour m’embrocher comme une chienne
- Comment s’appelle ta petite nièce ?
- Ça te travaille tant que ça ? elle s’appelle Florine
- Florine ? quasiment comme moi ?
- Bon, tu veux tout savoir ?
- Que me caches-tu ?
- C’est ta fille ! NOTRE fille
- QUOI ?
- La semaine qui a suivi ton départ je me suis doutée que j’étais enceinte, je n’avais pas eues mes règles du mois précédent
- Enceinte de moi ou de Michel ?
- C’est ce que j’ai cru, c’est pour cela que j’ai fait faire un test de paternité, j’avais suffisamment de ton ADN partout dans la maison, c’est bien ‘TA’ fille, le résultat est encadré près de la photo de notre Florine
- Où est-elle ?
- Chez la voisine
- Va la chercher
- A cette heure-ci ? tu plaisante ! tu as d’autre chose à finir d’ici demain matin, regarde …
- Une levrette ? tu te souviens comment ça finissait ?
- Par être prise par les deux trous ? mmmuuuuuuuuuuuummmmmmm !
Je ne vois que sa chatte et son anus gonflé qui se serre et se desserre comme pour m’inciter à ne pas l’oublier, je me décalotte en approchant ma langue de ses deux bouches avides de foutre, je la fait pointue et longue pour l’un, large et souple pour le vagin visqueux, mes deux pouces écartent les lobes fessiers, ondulant du cul Laurine s’impatiente et me supplie d’une petite voix de la prendre
- Baise-moi putain ! mais baise-moi donc !
- A une condition …
- Laquelle ? viiiiite !!
- Demain je vais te donner en pâture à un mec de mon choix
- Tout ce que tu veux mais embroche moi maintenant !
Ma queue disparait lentement dans la vulve, une fois bien calé au fond je me retire aussi lentement et vise son voisin, Laurine a compris, ses doigts se crispent dans le drap, elle se cambre prête à subir la brulure inévitable de la première pénétration anale, mon sexe largement lubrifié par son vagin disparait a la même allure dans son fondement qui se crispe me faisant ainsi ressentir son bonheur
- Je suis prête …
- Ça va secouer ….
Quelques coups dans l’anus, quelques autres dans la chatte, j’alterne puissance et vitesse, elle est comme folle se jetant sur moi afin que je brutalise ses orifices, je l’ai laissée jouir deux fois avant de m’épancher dans un râle interminable, essayant de partager ma semence dans les trous qui restent longtemps béants recrachant un jus immonde
- Tu m’as tuée, je n’arrive pas à reprendre respiration
- Allons prendre une douche, la sueur coule dans mes yeux
- Moi c’est autre chose qui coule jusqu'à mes chevilles !
- Tu es si belle pendant et après l’amour …
- Tu es bête d’être parti autant de temps …
- Je le reconnais et le regrette amèrement … demain tu appelles Michel …
- Pour quoi faire ?
- Pour qu’il vienne te baiser avec moi ….
- Maso …je t’aime ! j’accepte à une condition
- Laquelle ?
- Ne me laisse pas baiser seule avec lui, je vous veux tous les deux ensembles dans mes trous
- Le jour se lève allons chercher Florine …
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Nina
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