Les découvertes de Charline
Récit érotique écrit par Evelyne De G [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Les découvertes de Charline
Jour 1: déjeuner & piscine
Depuis son divorce, Julian n’était pas retourné se balader sur ce marché hebdomadaire où il avait l’habitude d’aller faire les courses. Ce rituel se tenait tous les samedis matin. C’était une agréable façon de commencer le week-end. L’église sonna douze coups, il faisait beau et c’était bondé de monde. Julian et Sylvia se baladaient après une grasse matinée bien méritée car la semaine fut longue. Ils chargeaient leur panier de produits bio circuit court, assumant leur côté bobo. Ils faisaient la queue pour un poulet rôti label rouge en direct de la ferme quand une jeune fille les croisa :
Julian ?
Il reconnut cette petite voix d’entre mille
Charline, comment va tu ? Mon Dieu comme tu as bien grandit !
Des larmes montèrent aux yeux de Charline en une milliseconde. Pour cacher son trouble elle ne pu se retenir de foncer se blottir dans les bras protecteurs de Julian. Elle fondit en larmes serrée tout contre lui. Il sentit les petits seins de l'adolescente se coller à son torse. Elle avait bien poussée et devait faire un bon mètre quatre vingt maintenant. C’était toujours un poids plume, si elle faisait cinquante kilos c'était un maximum. Ses longs cheveux roux si caractéristiques lui arrivaient désormais aux fesses. Son visage, parsemé de taches de rousseur, était moins androgyne. Ses grands yeux noisettes étaient pétillants de fraîcheur. Cela faisait bien deux ans que Julian ne l’avait pas vu. Par élégance envers sa compagne, Julian s’écarta un peu de Charline afin de remettre une distance plus raisonnable entre eux.
Je te présente Sylvia ma nouvelle compagne. Julian la pris par la main pour la mettre en avant.
Ah enchanté, j’avais entendu dire que tu étais séparé d’Isabelle.
Charline salua d’une main molle et timide cette très belle brune, probablement d’origine italienne, autours des 35 ans, cheveux noirs, yeux verts malicieux, belle poitrine.
Charline se laissa toiser de haut en bas par Sylvia, se doutant bien que son incursion spontanée dans leur jeune couple devait lui poser problème. Peut être n’aurait elle pas du enlacer ainsi Julian et garder un peu plus de retenue. Mais le croiser lui avait fait remonter plein d’émotions et de frustrations et son coeur d'adolescente avait parlé.
Charline est la fille d’un couple d’amis avec qui mon ex s’est fâchée à mort il y a deux ans. Tu sais je t’en avais parlé.
Sylvia hocha la tête, en effet Julian lui avait parlé de ce couple. L’histoire de cette fâcherie était un élément de plus qui avait décidé Julian à divorcer. Les deux couples d’amis se voyaient souvent et partaient souvent en congés ensemble car leurs filles avaient le même âge et étaient les meilleures amies au lycée. Mais depuis ce clash, ils avaient rompus tout contact. Continuant d’observer Charline, elle ne pu s'empêcher de constater qu’elle ressemblait à Isabelle, l’ex de son chéri.
Charline, visiblement troublée de revoir Julian, commença à déballer tout ce qu’elle avait essayé de faire pour réconcilier les mères, mais que rien n'y avait fait. Sylvia paya le poulet tout en écoutant la conversation avec beaucoup d’attention. Elle pris l’air d’être sincèrement touchée par la souffrance de Charline et son besoin impératif d’en parler. Elle interrompit le flot de paroles qui sortait de sa bouche.
Charline, viens déjeuner avec nous si tu es libre? Je suis sûre que vous avez plein de bons souvenirs à échanger avec Julian.
Julian regarda Sylvia en se doutant bien de quelque chose. Sa compagne n’était pas femme à lancer ainsi une invitation non intéressée. Julian leva son sourcil interrogateur et compris au regard qu’elle posait sur Charline qu’elle avait une idée coquine en tête. Julian connaissait bien sa chérie et se dit que décidément les gens ne changent pas. Voilà maintenant que Sylvia s’autorisait à chasser sur les terres du cercle proche de Julian. C’était pourtant interdit dans les règles.
Trop cool! Justement j’arrivais au marché pour me trouver de quoi déjeuner, mes parents viennent de partir au Portugal avec ma petite soeur pour trois semaines.
Julian fit une moue de reproche à Sylvia pour lui faire comprendre qu’il la voyait venir de loin. Il l’attira à elle pour la serrer à lui et lui redonner sa place de compagne.
C’est marrant les hasards, nous aussi nous sommes en congés jusqu’à la fin du mois. Viens on t'emmène en voiture puis on te ramènera chez toi. Tu as un peu de temps pour déjeuner?
Oui plein. Cette après midi j’allais me plonger dans les annonces car je cherche un job d’étudiant. J’arrive pas à trouver, je m’y suis prise trop tard je crois.
our ellIls marchèrent jusqu’à la voiture et Sylvia sortit les clés d’une vieille Mercedes décapotable de collection, une 190 SL. Charline se fit la réflexion que la voiture était bien assortie avec le personnage sexy et classe de Sylvia.
Charline avait bien trop besoin de parler et ne s'arrêta pas de tout le trajet. Elle avait tout fait pour tenter une réconciliation entre Isabelle et sa mère mais c’était devenu mission impossible. Elle avait l’impression de parler à des murs. Elle expliqua toutes ses tentatives dans le détail et poursuivit même son récit jusqu’à ce qu’ils finissent de boire l’apéritif en terrasse. Parler lui fit le plus grand bien et elle vida littéralement son sac.
Charline était ravie de retrouver la maison qu’elle avait fréquentée gamine. Suite au divorce Julian venait d’en reprendre la propriété. La villa était toujours aussi belle avec sa piscine à débordement et son parc paysagé, ses grandes arches en brique foraines traditionnelles.
Etant arrivé au bout du sujet de la fâcherie, Sylvia interrogea Charline sur ses passions et ses études, des sujets bien classiques. Son objectif était de la faire parler au maximum pour mieux l’amadouer. Charline expliqua avoir passé son bac à 16 ans et obtenue une mention très bien. Elle avait une passion pour la cuisine que sa grand mère lui avait appris. Mais les horaires de la restauration du soir et du week end ne lui correspondaient pas. En parlant avec une conseillère d’orientation elle avait choisi une carrière de diététicienne. Charline du haut de ses 18 ans rentrerait dans quelque semaines en troisième année. Elle avait découvert les bases de l’équilibre alimentaire et cela la passionnait. Elle leur parla des bienfaits des recettes végétariennes, des alicaments, centre d’intérêt qu’elle partageait avec Julian. Lui était devenu flexitarien.
Voyant que son chéri et Charline venait de se trouver un nouveau point commun, Sylvia en chercha d’autres, histoire de férer ce petit poisson qui ne se débattait déjà pas beaucoup et semblait déjà être tombé dans le piège. Alors elle changea de sujet et leur demanda des souvenirs ou des anecdotes. C’est Julian qui trouva la première:
Charline est une grande prématurée qui a failli mourir trois fois. Sa seule et unique séquelle est une malformation congénitale de l’estomac qui est moitié plus petit que la normale
Je me disais aussi que tu étais très mince, lâcha Sylvia essayant de masquer sa jalousie
Du coup je mange peu au cours d’un repas mais je doit manger régulièrement expliqua Charline
De mémoire tu as aussi deux ans d’avance sur ta scolarité non? demanda Julian
Cela se voit de suite que tu es très intelligente Charline, lâcha Sylvia. Voyant que les deux réfléchissaient, Sylvia poursuivit. Vous n’avez pas des trucs marrants sinon? Les yeux de Charline scintillèrent
Julian s’est permis de me donner une fessée, j’avais 13 ans et il m’a surpris en train de cogner ma petite soeur avec un seau de plage
Comme je ne suis pas surprise, lâcha Sylvia mystérieusement
Attends, elle la cognait comme une folle, se justifia Julian
Mes parents sont trop cool alors je faisais un peu n’importe quoi. Heureusement Julian m’a remis un peu de plomb dans la tête, expliqua Charline
Julian a toujours cru aux éducations encadrées. Sylvia lui fit un clin d’oeil appuyé
Je le comprends aussi car cela a bien fonctionné pour ses filles.
C’est vrai qu’elle étaient belles, intelligentes, sportives, classes, chose que Charline avait toujours un peu jalousée secrètement. Julian s’était occupé bien plus de ses filles que son père avec elle. Charline avait eu un père souvent absent.
Et tu te souviens du plongeon du haut rocher ? On était où déjà ?
Ah oui je me souviens Princesse, c’était à Cadaquès en Espagne
Sylvia nota que Julian venait d'appeler Charline, Princesse.
Le rocher devait faire cinq ou six mètres de haut, tu arrêtais pas de plonger, de remonter pour plonger et je t’ai demandé de m'emmener avec toi. Tu m’a prise par la main et on l’a escaladé ensemble.
Tu avais peur et faisait pas la fière, tu as même glissé à un moment
Tu m’a expliqué comment plonger et quand je t’ai dis que j'étais prête, tu m’a pris la main en me disant de ne pas te lâcher et on a sauté.
Du coup tu m’a jamais lâchée la main, espèce de boulet !
J’ai eu l’impression que le saut dura une heure avant que l’on touche l’eau ! Quand on est rentré dedans, on a du descendre à dix mètres sous l’eau au moins ! On n'arrêtait pas de s’enfoncer, un vrai cauchemar.
Quand je te disais que tu étais un boulet !
Heureusement j’ai senti la force de Julian qui me tirait par le bras pour m’aider à remonter; J’ai ouvert mes yeux sous l’eau et je l’ai vu qui remontait vers la surface en s’aidant de l’autre bras et en faisant des battements de jambes. Je l’ai imité mais j’ai trouvé que la remontée jusqu’à la surface était interminable. J’ai paniquée et j’ai cru que j’allais mourir noyée ! Quand on est sorti de l’eau, j’avais bu la tasse et n’arrivais pas à trouver ma respiration. Alors il m’a pris dans ses bras et m’a ramenée sur la berge!
Oh il est trop mignon mon sauveur de chéri lâcha Julia
Tu exagères Charline, fit Julian un peu gêné, expliquant à Sylvia, sa version du plongeon.
N'empêche après l’expérience de ce plongeon j’ai décidée d'intégrer une équipe pour participer à des compétitions.
Puis Charline enchaîna sur un autre souvenir un peu plus intime. Elle avait un peu hésitée à lâcher cette info. C’était la première anecdote à laquelle elle avait pensée mais l’avait retenue quelque temps avant de se décider à l’évoquer. L’ambiance étant sympa, elle lança la bombe.
C’est aussi Julian qui ma sauvé le premier jour de mes règles.
Sylvia dressa l’oreille, connaissant l’importance de ce jour là dans la vie d’une femme. Charline expliqua que sa mère n’avait pas encore évoqué le sujet avec elle. Dans le lycée privé catholique cette thématique n’avait été que très légèrement abordée bien que inscrite au programme scolaire. En plus elle était la première de ses copines à les avoir.
Oh mon Dieu, ma pauvre petite, lâcha Sylvia compatissante
Ah oui je me rappelle, nous étions en Espagne enchaîna Julian. Charline et moi sommes malade en bateau. Alors nous étions restés à la villa tandis que les autres étaient partis en excursion pour la journée.
Charline expliqua sa grande peur en se réveillant toute en sang. Elle fonça voir Julian en pleurs et lui ne parut pas du tout surpris. Tranquillement il la guida vers la salle de bain, lui fit prendre une petite douche, fouilla dans les armoires pour trouver des serviettes hygiénique. Il lui montra comment la mettre à l’intérieur d’une culotte propre et jeta la sale dans la corbeille à linge après l’avoir rincée.
Tu as du avoir la peur de ta life insista Julia
Charline expliqua que la tranquillité de Julian l’avait énormément rassuré. En plus il lui expliqua tout calmement, avec beaucoup de pédagogie et elle pu poser tout un tas de questions auxquelles il prit tout le temps de répondre.
Je reconnais bien là ton côté Professeur mon chéri, se moqua Sylvia
En parlant de ses anecdotes de vie, Charline venait de prendre conscience que Julian avait été présent pe dans des étapes importantes: ses premières règles, son premier grand plongeon, son premier grand voyage aux USA, sa première fessée, .... Il était une sorte de confident, de père de substitution, de professeur, de superman protecteur...
Sylvia de l’autre côté de la table elle aussi était dans ses pensées. A la façon dont Charline fondit en pleurs dans les bras de Julian en le croisant au marché, elle savait qu’elle en pinçait pour son compagnon. L’attrait naturel des hommes d’expérience pour les jeunes filles. Charline posait sur Julian un regard d’admiration depuis leur retrouvailles, et elle le mettait sur un piédestal, trahissant l’émotion qu’elle avait d’avoir recroisé son chemin.
Même si elle n’en avait pas conscience, Sylvia savait que Charline exprimait là une forme pure d’amour. La rupture de communication brutale avec Julian alors que Charline était en pleine crise ado, avait dû créer un fort sentiment de manque. Ne plus le voir avait amplifié cette vénération qu’elle ressentait pour lui. Sylvia décida donc de profiter de cette opportunité qui se présentait à elle pour renforcer son jeune couple. Après tout pourquoi ne pas offrir cette petite pucelle à son compagnon et la lui amener sur un plateau.
J’irai bien me baigner, qui me rejoint ? lâcha Sylvia
Julian leva la main. Charline se retrouva un peu toute bête n’ayant pas de maillot sur elle.
Viens avec moi choisir un maillot Charline
Elle la prit par la main, son sourire s’éclaira et les filles partirent vers le dressing tandis que Julian rangeait la table. Il était ravi de les voir se créer une complicité, sachant bien où Sylvia embarquait la petite Charline qui ne voyait rien venir. Tout en organisant le lave vaisselle Julian ouvrit son laptop et se connecta au système de caméra de surveillance. Il visionna celle de la chambre et du dressing. Sylvia vit la caméra bouger silencieusement et compris que Julian était à la manoeuvre.
Sylvia montra à Charline les derniers maillots de sa collection.
On a pas la même poitrine, donc a mon avis aucun de mes hauts ne vont t’aller, tu vas flotter dedans. A ta place je choisirai de porter juste un bas.
Elle la laissa choisir et en attendant, se déshabilla sans tabou à ses côtés, le plus naturellement possible comme si de rien n’était, tout en souriant à Julian face à la caméra. En se mettant nue au cotés de Charline, Sylvia savait bien qu’elle opérait un rapprochement de copine vers elle.
Charline retira ses tennis et ses socquettes, jetant des regards en coin sur Sylvia. C’était une belle femme, libre et cool, probablement féministe. Comme Sylvia était nue Charline en toute confiance retira son petit haut qu’elle portait sans soutien gorge. Sylvia avait déjà devinée cela car pendant le repas elle avait vu les tétons pointer sous le tissus léger. Les joues de Charline s'empourprèrent quand elle croisa le regard de Sylvia posé sur elle.
Tu as une poitrine magnifique, Julian adore les petits seins, tu vas lui faire très plaisir si tu les garde nus.
Charline n’osa pas répondre et se retourna pour cacher ses joues rouges cramoisies. Elle essaya de gagner du temps en défaisant son short. Elle resta de dos pour choisir un bas de maillot fluo rose et vert sympa qui tenait grâce à des ficelles latérales qu’elle pourrait ajuster à sa taille. Sylvia sourit au fond d’elle, sachant que Charline inconsciemment cherchait à attirer le regard de Julian sur elle en choisissant cette couleur. Le fluo sur les hommes ont un peu le même effet que le rouge sur le taureau. Charline ignorait peut être que la texture et la couleur de ce tissus ne cacherait rien si elle se mettait à mouiller d’excitation, mais Silvia le savait.
A la camera Julian vit que les formes de Charline s’étaient faites plus femme. Elle avait des petites fesses creuses sur le côté mais bombées à l'extérieur, plus prononcées que lorsqu'elle était plus jeune. Sa minceur lui laissait un thigh gap, laissant le soleil passer entre ses cuisses qui ne se touchaient pas. Son ventre était incurvé en creux compte tenu de sa grande taille pour son petit poids plume. Petite elle se faisait moquer dans les cours d’école où on la surnommait la planche à repasser, la girafe ou skeletor. La chrysalide s’était changée en papillon. Pleine de complexes dans sa tête, elle n’assumait pas encore cette transformation et était en pleine construction post adolescente.
Sylvia enfila un maillot de bain noir classique et classe qu’elle assortit à un chapeau élégant et à de grandes lunettes de soleil. Charline se sentie toute moche aux côté de cette femme, alors que Sylvia savait que sa jeunesse, son inexpérience et sa beauté crevait les yeux de tous les gens qui savaient voir le potentiel de cette jeune fille.
Elle se retourna vers Charline qui avait discrètement retirée sa culotte de coton de gamine pour enfiler à la va vite le maillot de bain. Sylvia lui ajusta son maillot une pièce comme l’aurait fait un mère. C'était la première fois que Sylvia la touchait mais cela se fit tout naturellement. Charline n’osa pas bouger mais ne sentit pas le danger qui pourtant la guettait. Sylvia vit des poils rebelles qui s’échappaient de l'échancrure du maillot. Son minou formait un bosse un peu accentuée par la présence de poils.
Faudrait te raser cela vite fait, Julian aime pas trop le côté négligé, tu sais comment il est, un peu perfectionniste.
Oui je sais oui
J’espère que tu es prête à te faire belle pour lui plaire.
Oh Oui ! Charline rougit se s’entendre répondre ce oui franc et massif à cette affirmation. Oui elle voulait se faire belle pour lui. Sylvia ne s’attarda pas sur cet aveux si clairement exprimé.
Tiens je te prête une petite tondeuse intime. Tu sais t’en servir ? Charline fit signe que non.
Elles allèrent dans la grande salle de bain. La pièce avait été entièrement refaite comme dans les magazines : baignoire à bulles, grande douche à l’italienne, nouveaux meubles. Un tout petit escalier en colimaçon qui n’existait pas avant descendait vers une cave. Probablement un endroit où Julian devait stocker des vins fins, connaissant sa passion pour l’oenologie. Drôle d’endroit pour une cave.
La caméra tourna vers le miroir et Sylvia sourit de toutes ses dents pour bien montrer à Julian qu’elle était entrée dans le jeu Elle ouvrit un placard pour sortir la tondeuse et Charline put voir une collection de sex toys. Ses joues s’empourprèrent à nouveau et elle se sentie toute conne de s'immiscer comme cela dans l’intimité des gens.
Il y a plein de choses pour s’amuser ici, Julian est très joueur, tu dois t’en douter, il l’a toujours été.
Oui il m’a toujours fait rire, lâcha Charline hyper gênée
Sylvia laissa la porte ouverte, attrapa la mini tondeuse, baissa son maillot et expliqua le fonctionnement de la machine, en simulant au dessus de son sexe le sens de coupe. Cette tondeuse n’était donc pas la sienne, Sylia était totalement épilée Charline eut un doute
C’est pas ta tondeuse?
Non, c’est celle de Julian.
Charline n’imagina pas une seule seconde que son père puisse utiliser un outil de ce type. Mais elle ne fut pas surprise que Julian en utilise une. Julian faisait attention à lui et avait un côté metro sexuel.
Une fois que tu as passé la tondeuse tu ramasses les poils avec les mouchoirs et tu mets tout dans cette petite poubelle là une fois fini.
Sylvia laissa Charline seule face à la caméra de Julian et s’éclipsa de la salle de bain.
Une fois la porte refermée Charline retira le maillot se retrouvant nue face au miroir. Elle posa son regard sur les étagères de l’armoire, intriguée de voir autant d’objets intimes dans une si petite armoire. Elle ne put résister au plaisir interdit de regarder ces premiers sex toys de sa vie, n’osant pas les toucher. Elle en avait vu sur internet et en avait parlée avec des copines mais en voir pour de vrai était une première pour elle.
Sylvia était de retour en cuisine et posa son épaule sur celle de Julian qui regardait son écran
Je vois que Monsieur ne s’ennuie pas. Elle a le béguin pour toi cette petite nymphette.
Julian tendis un café à Sylvia
Je savais que tu viendrais me rejoindre pour mieux la mater à l’écran sans devoir faire tes coups d’oeil en coin de perverse. Tiens ton café. Charline a peut être le béguin pour moi mais je te vois venir depuis ce matin avec ta gentillesse compréhensive si bien intentionnée. En fait je crois que tu vas la croquer en ta qualité de petite dévoreuse de vierges inexpérimentées. Avoues qu’elle te fait de l’effet !
J’avoue, cette petite est magnifique, regarde là comme elle est sublime Et puis tu adores les petits seins. En plus elle est rousse, grande et ressemble à ton ex en plus jeune. Ppppfffff
Sylvia faisait sa pleureuse. La sentant un peu jalouse Julian prit Sylvia dans ses bras et ils s’embrassèrent avec la passion des vrais amoureux.
Je n’aime que toi mon amour, lâcha Julian. Puis il laissa sa main glisser sous le maillot de bain de Sylvia
Elle te fait un sacré effet cette petite, tu es toute mouillée
Sylvia posa sa main sur le sexe de son chéri
Et toi tu bandes mon salaud
C’est toi qui me fait de l’effet mon amour
Menteur
Dans la salle de bain, Charline s’attaqua à la découpe de ses poils pubiens, y allant doucement. Elle ne put s’empécher d’imaginer Julian utilisant ce rasoir autours de sa queue. Un frisson la parcourut à cette idée. Il ne lui fallut même pas une minute pour tout raser. Elle se pencha pour ramasser ses poils dos à la caméra, donnant un belle vue plongeant style levrette aux voyeurs qui s'extasièrent d’un si joli petit cul. En reposant la tondeuse à sa place, Charline ne put résister à caresser le sex toy le plus imposant. Sylvia lâcha
Elle est bien gourmande pour son âge non ? A mon avis, c’est une petite étudiante qui ne demande qu’à apprendre.
Charline s’aventura vers d’autres sex toys mais avant, ferma sans bruit le loquet de la salle de bain histoire de ne pas se faire surprendre. Elle pris cette fois ci le plus petit jouet sans savoir qu’il s’agissait d’un petit plug anal. Elle le regarda comme une pie devant une clé. Ne sachant pas encore son utilité Charline le porta à ses lèvres.
Tu l’a nettoyé avant de le ranger? C’est pas celui que tu portais ce matin au marché? Julian rigola de sa blague
Mais bien sûr que tout est propre ! Mais plus pour très longtemps si tu veux mon avis.
En effet Charline porta l’objet à ses lèvres qui se refermèrent dessus, elle le fit tourner, entrer et sortir, ses joues se creusaient sous l’effet de succion, elle se regardait dans le miroir de la salle de bain modifiant la tenue de ses lèvres sur le plug.
Ben dis donc Mademoiselle Charline s’extasia Julian, elle est chaude la petite !
Une fois l’objet bien mouillé, Charline le fit descendre entre ses cuisses et s’en servit pour venir maladroitement caresser son clitoris.
Oui elle est bien gourmande notre jeune protégée rajouta Sylvia
Tiens elle est ta protégée?
Absolument Monsieur le chasseur ! Moi je rabats le gibier pour votre plus grand plaisir.
On ne parle pas ici que du mien, je crois bien que cela t’excite aussi. Julian embrassa Sylvia avec avidité et glissa à nouveau un doigt sous son maillot. Sylvia fit de même et se faufila sous le short de Julian pour lui attraper la queue.
Dans la salle de bain, Charline pressée par le temps au cas où Sylvia revienne, frotta cet objet à son clito en mode excitation extrême et se fit jouir en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. A peine se pinça t’elle son sein droit que l’orgasme l’envahit.
Ah ces jeunes !!! Toujours hyper rapide, lâcha Julian
Charline, la main crispée sur le lavabo, émergea rapidement de son plaisir et se redressa, elle s’était caressé avec un sex toy pour la première fois. Une fois de plus il fallait que cette nouvelle étape importante de sa vie se passe avec la présence de Julian auprès d’elle.
Cette gamine est une superbe exhibitionniste pleine de talent dit Julian
Je crois qu’elle nous réserve plein de belles surprises, ajouta Sylvia
Charline suça une dernière fois le plug et le replaça dans l’armoire, mais le repris, le passa sous l’eau et le sécha avec des kleenex avant de le remettre en place. Elle le posa mais s’inquiéta de sa position initiale exacte, ne se souvenant plus très bien où elle l’avait pris. Elle se maudit de sa stupidité. Elle referma l’armoire à plaisir, essuya sa mouille avec du papier WC et tira la chasse d’eau pour évacuer toutes les preuves. Charline vérifia que tous ses poils avaient bien été taillés, rentrant son ventre en le faisant encore plus creux devant la caméra
Toi tu va adorer son petit minou tout beau, ma chérie.
Sylvia hocha la tête ne pouvant que confirmer ce que Julian savait déjà. Julian l’avait rencontré dans une soirée et leur regards s’étaient croisés pour la première fois justement quand elle était en train de lécher le sexe d’une jeune femme. C’est pour cela qu’ils rigolaient un peu tous les deux quand une personne leur demandait comment ils s’étaient connus.
Elle est vierge j’en suis sure, lâcha Sylvia en mode affirmation prémonitoire
Charline enfila le maillot de bain, l’ajusta, déverrouilla la porte sans bruit, sortie de la salle de bain et chercha où pouvait bien être Julian et Sylvia. Elle les retrouva à la piscine, ils étaient dans l’eau tous les deux et la regardaient venir les coudes appuyés sur les margelles.
Charline trouvait que c’était bien plus simple d’être seins nus dans le confort de l’obscurité du dressing. Mais là dehors, en plein soleil, face à ce couple qui la regardait, elle eut pour réflexe d’avancer vers eux en recouvrant ses seins de ses bras croisés, le visage tout rouge, Sa timidité maladive reprenait le dessus. Elle avançait quasiment nue vers l’homme qu’elle désirait le plus au monde mais qui avait malheureusement une compagne. Elle était loin de se douter de ce qui allait lui arriver dans les jours qui venaient.
Ca y est tu es prête dit Sylvia ?
Tu as été bien longue Princesse dit Julian ?
Charline espéra au plus profond d’elle même que Sylvia n’ai rien dit à Julien sur sa toison tondue. Sylvia fit un clin d’oeil complice à Charline pour la rassurer sur le fait qu’elle était parfaite et lui fit le petit geste que l’on fait pour dire bouche cousue.
Je ne savais pas quel maillot choisir, Sylvia en a tellement, les uns plus beaux que les autres, elle a de la chance ….
Charline fit ses derniers pas en courant et plongea en sautant au dessus d’eux, les éclaboussant puis en traversant la piscine sur toute sa longueur sous l’eau. Elle faisait souvent cela quand elle était invitée dans les belles années de l’amitié avec ses parents.
Le contact de l’eau avec son minou glabre était une sensation étrange et très agréable. Elle fit demi tour et un peu à la façon des enfants vint se placer entre eux comme pour les séparer.
Julian la fit couler comme quand elle était gamine. Dans cette première bataille d’eau la main de Charline effleura la queue dressée de Julian sous son maillot. Jamais gamine elle ne s’était rendu compte de cette partie des hommes mais là elle ne pouvait ignorer que Julian bandait. Alors leur partie de je te coule tu me coules, prit une sensualité d’une autre tournure que dans le passé. Charline en poussant Julian dans l’eau senti son corps effleurer et glisser contre le sien. Une vague de chaleur l'envahit comme tout à l’heure dans le dressing avec la présence sexy et bienveillante de Sylvia.
La baignade finit par arriver à son terme. Quand Sylvia proposa de l’inviter à se baigner le lendemain Charline accepta avec une joie et un enthousiasme non dissimulé.
On dit 16h00?
Oui parfait je te ramènerai le maillot.
Charline remit juste son petit haut. Le maillot avait séché mais comme Sylvia le suspectait une zone restait humide, celle entre les jeunes cuisses de l'adolescente.
C’est Julian qui accompagna Charline chez elle. Ils n’étaient qu’à cinq minutes en voiture. Assise dans la belle Audi Q7, seule avec lui, Charline sentit son coeur battre la chamade. Il bandait en s’asseyant à côté d’elle et bandait toujours quand il la quitta. Certes elle n’aurait jamais dû regarder cette partie de son corps mais cela avait été plus fort qu’elle. La vision de Julian en train de se raser sa queue et le contact qu’elle avait eu avec lui dans la piscine l’avait sacrément excitée. La tension était telle qu’un grand silence se fit pendant tout le trajet. Le baiser chaste électrique qu’ils se firent parlait de lui même. Charline en frissonna.
Elle le regarda s’éloigner avec tristesse. Une fois seule chez elle, à peine cinq minute plus tard, elle venait déjà d’orgasmer en repensant à cette journée incroyable et leurs retrouvailles.
Depuis son divorce, Julian n’était pas retourné se balader sur ce marché hebdomadaire où il avait l’habitude d’aller faire les courses. Ce rituel se tenait tous les samedis matin. C’était une agréable façon de commencer le week-end. L’église sonna douze coups, il faisait beau et c’était bondé de monde. Julian et Sylvia se baladaient après une grasse matinée bien méritée car la semaine fut longue. Ils chargeaient leur panier de produits bio circuit court, assumant leur côté bobo. Ils faisaient la queue pour un poulet rôti label rouge en direct de la ferme quand une jeune fille les croisa :
Julian ?
Il reconnut cette petite voix d’entre mille
Charline, comment va tu ? Mon Dieu comme tu as bien grandit !
Des larmes montèrent aux yeux de Charline en une milliseconde. Pour cacher son trouble elle ne pu se retenir de foncer se blottir dans les bras protecteurs de Julian. Elle fondit en larmes serrée tout contre lui. Il sentit les petits seins de l'adolescente se coller à son torse. Elle avait bien poussée et devait faire un bon mètre quatre vingt maintenant. C’était toujours un poids plume, si elle faisait cinquante kilos c'était un maximum. Ses longs cheveux roux si caractéristiques lui arrivaient désormais aux fesses. Son visage, parsemé de taches de rousseur, était moins androgyne. Ses grands yeux noisettes étaient pétillants de fraîcheur. Cela faisait bien deux ans que Julian ne l’avait pas vu. Par élégance envers sa compagne, Julian s’écarta un peu de Charline afin de remettre une distance plus raisonnable entre eux.
Je te présente Sylvia ma nouvelle compagne. Julian la pris par la main pour la mettre en avant.
Ah enchanté, j’avais entendu dire que tu étais séparé d’Isabelle.
Charline salua d’une main molle et timide cette très belle brune, probablement d’origine italienne, autours des 35 ans, cheveux noirs, yeux verts malicieux, belle poitrine.
Charline se laissa toiser de haut en bas par Sylvia, se doutant bien que son incursion spontanée dans leur jeune couple devait lui poser problème. Peut être n’aurait elle pas du enlacer ainsi Julian et garder un peu plus de retenue. Mais le croiser lui avait fait remonter plein d’émotions et de frustrations et son coeur d'adolescente avait parlé.
Charline est la fille d’un couple d’amis avec qui mon ex s’est fâchée à mort il y a deux ans. Tu sais je t’en avais parlé.
Sylvia hocha la tête, en effet Julian lui avait parlé de ce couple. L’histoire de cette fâcherie était un élément de plus qui avait décidé Julian à divorcer. Les deux couples d’amis se voyaient souvent et partaient souvent en congés ensemble car leurs filles avaient le même âge et étaient les meilleures amies au lycée. Mais depuis ce clash, ils avaient rompus tout contact. Continuant d’observer Charline, elle ne pu s'empêcher de constater qu’elle ressemblait à Isabelle, l’ex de son chéri.
Charline, visiblement troublée de revoir Julian, commença à déballer tout ce qu’elle avait essayé de faire pour réconcilier les mères, mais que rien n'y avait fait. Sylvia paya le poulet tout en écoutant la conversation avec beaucoup d’attention. Elle pris l’air d’être sincèrement touchée par la souffrance de Charline et son besoin impératif d’en parler. Elle interrompit le flot de paroles qui sortait de sa bouche.
Charline, viens déjeuner avec nous si tu es libre? Je suis sûre que vous avez plein de bons souvenirs à échanger avec Julian.
Julian regarda Sylvia en se doutant bien de quelque chose. Sa compagne n’était pas femme à lancer ainsi une invitation non intéressée. Julian leva son sourcil interrogateur et compris au regard qu’elle posait sur Charline qu’elle avait une idée coquine en tête. Julian connaissait bien sa chérie et se dit que décidément les gens ne changent pas. Voilà maintenant que Sylvia s’autorisait à chasser sur les terres du cercle proche de Julian. C’était pourtant interdit dans les règles.
Trop cool! Justement j’arrivais au marché pour me trouver de quoi déjeuner, mes parents viennent de partir au Portugal avec ma petite soeur pour trois semaines.
Julian fit une moue de reproche à Sylvia pour lui faire comprendre qu’il la voyait venir de loin. Il l’attira à elle pour la serrer à lui et lui redonner sa place de compagne.
C’est marrant les hasards, nous aussi nous sommes en congés jusqu’à la fin du mois. Viens on t'emmène en voiture puis on te ramènera chez toi. Tu as un peu de temps pour déjeuner?
Oui plein. Cette après midi j’allais me plonger dans les annonces car je cherche un job d’étudiant. J’arrive pas à trouver, je m’y suis prise trop tard je crois.
our ellIls marchèrent jusqu’à la voiture et Sylvia sortit les clés d’une vieille Mercedes décapotable de collection, une 190 SL. Charline se fit la réflexion que la voiture était bien assortie avec le personnage sexy et classe de Sylvia.
Charline avait bien trop besoin de parler et ne s'arrêta pas de tout le trajet. Elle avait tout fait pour tenter une réconciliation entre Isabelle et sa mère mais c’était devenu mission impossible. Elle avait l’impression de parler à des murs. Elle expliqua toutes ses tentatives dans le détail et poursuivit même son récit jusqu’à ce qu’ils finissent de boire l’apéritif en terrasse. Parler lui fit le plus grand bien et elle vida littéralement son sac.
Charline était ravie de retrouver la maison qu’elle avait fréquentée gamine. Suite au divorce Julian venait d’en reprendre la propriété. La villa était toujours aussi belle avec sa piscine à débordement et son parc paysagé, ses grandes arches en brique foraines traditionnelles.
Etant arrivé au bout du sujet de la fâcherie, Sylvia interrogea Charline sur ses passions et ses études, des sujets bien classiques. Son objectif était de la faire parler au maximum pour mieux l’amadouer. Charline expliqua avoir passé son bac à 16 ans et obtenue une mention très bien. Elle avait une passion pour la cuisine que sa grand mère lui avait appris. Mais les horaires de la restauration du soir et du week end ne lui correspondaient pas. En parlant avec une conseillère d’orientation elle avait choisi une carrière de diététicienne. Charline du haut de ses 18 ans rentrerait dans quelque semaines en troisième année. Elle avait découvert les bases de l’équilibre alimentaire et cela la passionnait. Elle leur parla des bienfaits des recettes végétariennes, des alicaments, centre d’intérêt qu’elle partageait avec Julian. Lui était devenu flexitarien.
Voyant que son chéri et Charline venait de se trouver un nouveau point commun, Sylvia en chercha d’autres, histoire de férer ce petit poisson qui ne se débattait déjà pas beaucoup et semblait déjà être tombé dans le piège. Alors elle changea de sujet et leur demanda des souvenirs ou des anecdotes. C’est Julian qui trouva la première:
Charline est une grande prématurée qui a failli mourir trois fois. Sa seule et unique séquelle est une malformation congénitale de l’estomac qui est moitié plus petit que la normale
Je me disais aussi que tu étais très mince, lâcha Sylvia essayant de masquer sa jalousie
Du coup je mange peu au cours d’un repas mais je doit manger régulièrement expliqua Charline
De mémoire tu as aussi deux ans d’avance sur ta scolarité non? demanda Julian
Cela se voit de suite que tu es très intelligente Charline, lâcha Sylvia. Voyant que les deux réfléchissaient, Sylvia poursuivit. Vous n’avez pas des trucs marrants sinon? Les yeux de Charline scintillèrent
Julian s’est permis de me donner une fessée, j’avais 13 ans et il m’a surpris en train de cogner ma petite soeur avec un seau de plage
Comme je ne suis pas surprise, lâcha Sylvia mystérieusement
Attends, elle la cognait comme une folle, se justifia Julian
Mes parents sont trop cool alors je faisais un peu n’importe quoi. Heureusement Julian m’a remis un peu de plomb dans la tête, expliqua Charline
Julian a toujours cru aux éducations encadrées. Sylvia lui fit un clin d’oeil appuyé
Je le comprends aussi car cela a bien fonctionné pour ses filles.
C’est vrai qu’elle étaient belles, intelligentes, sportives, classes, chose que Charline avait toujours un peu jalousée secrètement. Julian s’était occupé bien plus de ses filles que son père avec elle. Charline avait eu un père souvent absent.
Et tu te souviens du plongeon du haut rocher ? On était où déjà ?
Ah oui je me souviens Princesse, c’était à Cadaquès en Espagne
Sylvia nota que Julian venait d'appeler Charline, Princesse.
Le rocher devait faire cinq ou six mètres de haut, tu arrêtais pas de plonger, de remonter pour plonger et je t’ai demandé de m'emmener avec toi. Tu m’a prise par la main et on l’a escaladé ensemble.
Tu avais peur et faisait pas la fière, tu as même glissé à un moment
Tu m’a expliqué comment plonger et quand je t’ai dis que j'étais prête, tu m’a pris la main en me disant de ne pas te lâcher et on a sauté.
Du coup tu m’a jamais lâchée la main, espèce de boulet !
J’ai eu l’impression que le saut dura une heure avant que l’on touche l’eau ! Quand on est rentré dedans, on a du descendre à dix mètres sous l’eau au moins ! On n'arrêtait pas de s’enfoncer, un vrai cauchemar.
Quand je te disais que tu étais un boulet !
Heureusement j’ai senti la force de Julian qui me tirait par le bras pour m’aider à remonter; J’ai ouvert mes yeux sous l’eau et je l’ai vu qui remontait vers la surface en s’aidant de l’autre bras et en faisant des battements de jambes. Je l’ai imité mais j’ai trouvé que la remontée jusqu’à la surface était interminable. J’ai paniquée et j’ai cru que j’allais mourir noyée ! Quand on est sorti de l’eau, j’avais bu la tasse et n’arrivais pas à trouver ma respiration. Alors il m’a pris dans ses bras et m’a ramenée sur la berge!
Oh il est trop mignon mon sauveur de chéri lâcha Julia
Tu exagères Charline, fit Julian un peu gêné, expliquant à Sylvia, sa version du plongeon.
N'empêche après l’expérience de ce plongeon j’ai décidée d'intégrer une équipe pour participer à des compétitions.
Puis Charline enchaîna sur un autre souvenir un peu plus intime. Elle avait un peu hésitée à lâcher cette info. C’était la première anecdote à laquelle elle avait pensée mais l’avait retenue quelque temps avant de se décider à l’évoquer. L’ambiance étant sympa, elle lança la bombe.
C’est aussi Julian qui ma sauvé le premier jour de mes règles.
Sylvia dressa l’oreille, connaissant l’importance de ce jour là dans la vie d’une femme. Charline expliqua que sa mère n’avait pas encore évoqué le sujet avec elle. Dans le lycée privé catholique cette thématique n’avait été que très légèrement abordée bien que inscrite au programme scolaire. En plus elle était la première de ses copines à les avoir.
Oh mon Dieu, ma pauvre petite, lâcha Sylvia compatissante
Ah oui je me rappelle, nous étions en Espagne enchaîna Julian. Charline et moi sommes malade en bateau. Alors nous étions restés à la villa tandis que les autres étaient partis en excursion pour la journée.
Charline expliqua sa grande peur en se réveillant toute en sang. Elle fonça voir Julian en pleurs et lui ne parut pas du tout surpris. Tranquillement il la guida vers la salle de bain, lui fit prendre une petite douche, fouilla dans les armoires pour trouver des serviettes hygiénique. Il lui montra comment la mettre à l’intérieur d’une culotte propre et jeta la sale dans la corbeille à linge après l’avoir rincée.
Tu as du avoir la peur de ta life insista Julia
Charline expliqua que la tranquillité de Julian l’avait énormément rassuré. En plus il lui expliqua tout calmement, avec beaucoup de pédagogie et elle pu poser tout un tas de questions auxquelles il prit tout le temps de répondre.
Je reconnais bien là ton côté Professeur mon chéri, se moqua Sylvia
En parlant de ses anecdotes de vie, Charline venait de prendre conscience que Julian avait été présent pe dans des étapes importantes: ses premières règles, son premier grand plongeon, son premier grand voyage aux USA, sa première fessée, .... Il était une sorte de confident, de père de substitution, de professeur, de superman protecteur...
Sylvia de l’autre côté de la table elle aussi était dans ses pensées. A la façon dont Charline fondit en pleurs dans les bras de Julian en le croisant au marché, elle savait qu’elle en pinçait pour son compagnon. L’attrait naturel des hommes d’expérience pour les jeunes filles. Charline posait sur Julian un regard d’admiration depuis leur retrouvailles, et elle le mettait sur un piédestal, trahissant l’émotion qu’elle avait d’avoir recroisé son chemin.
Même si elle n’en avait pas conscience, Sylvia savait que Charline exprimait là une forme pure d’amour. La rupture de communication brutale avec Julian alors que Charline était en pleine crise ado, avait dû créer un fort sentiment de manque. Ne plus le voir avait amplifié cette vénération qu’elle ressentait pour lui. Sylvia décida donc de profiter de cette opportunité qui se présentait à elle pour renforcer son jeune couple. Après tout pourquoi ne pas offrir cette petite pucelle à son compagnon et la lui amener sur un plateau.
J’irai bien me baigner, qui me rejoint ? lâcha Sylvia
Julian leva la main. Charline se retrouva un peu toute bête n’ayant pas de maillot sur elle.
Viens avec moi choisir un maillot Charline
Elle la prit par la main, son sourire s’éclaira et les filles partirent vers le dressing tandis que Julian rangeait la table. Il était ravi de les voir se créer une complicité, sachant bien où Sylvia embarquait la petite Charline qui ne voyait rien venir. Tout en organisant le lave vaisselle Julian ouvrit son laptop et se connecta au système de caméra de surveillance. Il visionna celle de la chambre et du dressing. Sylvia vit la caméra bouger silencieusement et compris que Julian était à la manoeuvre.
Sylvia montra à Charline les derniers maillots de sa collection.
On a pas la même poitrine, donc a mon avis aucun de mes hauts ne vont t’aller, tu vas flotter dedans. A ta place je choisirai de porter juste un bas.
Elle la laissa choisir et en attendant, se déshabilla sans tabou à ses côtés, le plus naturellement possible comme si de rien n’était, tout en souriant à Julian face à la caméra. En se mettant nue au cotés de Charline, Sylvia savait bien qu’elle opérait un rapprochement de copine vers elle.
Charline retira ses tennis et ses socquettes, jetant des regards en coin sur Sylvia. C’était une belle femme, libre et cool, probablement féministe. Comme Sylvia était nue Charline en toute confiance retira son petit haut qu’elle portait sans soutien gorge. Sylvia avait déjà devinée cela car pendant le repas elle avait vu les tétons pointer sous le tissus léger. Les joues de Charline s'empourprèrent quand elle croisa le regard de Sylvia posé sur elle.
Tu as une poitrine magnifique, Julian adore les petits seins, tu vas lui faire très plaisir si tu les garde nus.
Charline n’osa pas répondre et se retourna pour cacher ses joues rouges cramoisies. Elle essaya de gagner du temps en défaisant son short. Elle resta de dos pour choisir un bas de maillot fluo rose et vert sympa qui tenait grâce à des ficelles latérales qu’elle pourrait ajuster à sa taille. Sylvia sourit au fond d’elle, sachant que Charline inconsciemment cherchait à attirer le regard de Julian sur elle en choisissant cette couleur. Le fluo sur les hommes ont un peu le même effet que le rouge sur le taureau. Charline ignorait peut être que la texture et la couleur de ce tissus ne cacherait rien si elle se mettait à mouiller d’excitation, mais Silvia le savait.
A la camera Julian vit que les formes de Charline s’étaient faites plus femme. Elle avait des petites fesses creuses sur le côté mais bombées à l'extérieur, plus prononcées que lorsqu'elle était plus jeune. Sa minceur lui laissait un thigh gap, laissant le soleil passer entre ses cuisses qui ne se touchaient pas. Son ventre était incurvé en creux compte tenu de sa grande taille pour son petit poids plume. Petite elle se faisait moquer dans les cours d’école où on la surnommait la planche à repasser, la girafe ou skeletor. La chrysalide s’était changée en papillon. Pleine de complexes dans sa tête, elle n’assumait pas encore cette transformation et était en pleine construction post adolescente.
Sylvia enfila un maillot de bain noir classique et classe qu’elle assortit à un chapeau élégant et à de grandes lunettes de soleil. Charline se sentie toute moche aux côté de cette femme, alors que Sylvia savait que sa jeunesse, son inexpérience et sa beauté crevait les yeux de tous les gens qui savaient voir le potentiel de cette jeune fille.
Elle se retourna vers Charline qui avait discrètement retirée sa culotte de coton de gamine pour enfiler à la va vite le maillot de bain. Sylvia lui ajusta son maillot une pièce comme l’aurait fait un mère. C'était la première fois que Sylvia la touchait mais cela se fit tout naturellement. Charline n’osa pas bouger mais ne sentit pas le danger qui pourtant la guettait. Sylvia vit des poils rebelles qui s’échappaient de l'échancrure du maillot. Son minou formait un bosse un peu accentuée par la présence de poils.
Faudrait te raser cela vite fait, Julian aime pas trop le côté négligé, tu sais comment il est, un peu perfectionniste.
Oui je sais oui
J’espère que tu es prête à te faire belle pour lui plaire.
Oh Oui ! Charline rougit se s’entendre répondre ce oui franc et massif à cette affirmation. Oui elle voulait se faire belle pour lui. Sylvia ne s’attarda pas sur cet aveux si clairement exprimé.
Tiens je te prête une petite tondeuse intime. Tu sais t’en servir ? Charline fit signe que non.
Elles allèrent dans la grande salle de bain. La pièce avait été entièrement refaite comme dans les magazines : baignoire à bulles, grande douche à l’italienne, nouveaux meubles. Un tout petit escalier en colimaçon qui n’existait pas avant descendait vers une cave. Probablement un endroit où Julian devait stocker des vins fins, connaissant sa passion pour l’oenologie. Drôle d’endroit pour une cave.
La caméra tourna vers le miroir et Sylvia sourit de toutes ses dents pour bien montrer à Julian qu’elle était entrée dans le jeu Elle ouvrit un placard pour sortir la tondeuse et Charline put voir une collection de sex toys. Ses joues s’empourprèrent à nouveau et elle se sentie toute conne de s'immiscer comme cela dans l’intimité des gens.
Il y a plein de choses pour s’amuser ici, Julian est très joueur, tu dois t’en douter, il l’a toujours été.
Oui il m’a toujours fait rire, lâcha Charline hyper gênée
Sylvia laissa la porte ouverte, attrapa la mini tondeuse, baissa son maillot et expliqua le fonctionnement de la machine, en simulant au dessus de son sexe le sens de coupe. Cette tondeuse n’était donc pas la sienne, Sylia était totalement épilée Charline eut un doute
C’est pas ta tondeuse?
Non, c’est celle de Julian.
Charline n’imagina pas une seule seconde que son père puisse utiliser un outil de ce type. Mais elle ne fut pas surprise que Julian en utilise une. Julian faisait attention à lui et avait un côté metro sexuel.
Une fois que tu as passé la tondeuse tu ramasses les poils avec les mouchoirs et tu mets tout dans cette petite poubelle là une fois fini.
Sylvia laissa Charline seule face à la caméra de Julian et s’éclipsa de la salle de bain.
Une fois la porte refermée Charline retira le maillot se retrouvant nue face au miroir. Elle posa son regard sur les étagères de l’armoire, intriguée de voir autant d’objets intimes dans une si petite armoire. Elle ne put résister au plaisir interdit de regarder ces premiers sex toys de sa vie, n’osant pas les toucher. Elle en avait vu sur internet et en avait parlée avec des copines mais en voir pour de vrai était une première pour elle.
Sylvia était de retour en cuisine et posa son épaule sur celle de Julian qui regardait son écran
Je vois que Monsieur ne s’ennuie pas. Elle a le béguin pour toi cette petite nymphette.
Julian tendis un café à Sylvia
Je savais que tu viendrais me rejoindre pour mieux la mater à l’écran sans devoir faire tes coups d’oeil en coin de perverse. Tiens ton café. Charline a peut être le béguin pour moi mais je te vois venir depuis ce matin avec ta gentillesse compréhensive si bien intentionnée. En fait je crois que tu vas la croquer en ta qualité de petite dévoreuse de vierges inexpérimentées. Avoues qu’elle te fait de l’effet !
J’avoue, cette petite est magnifique, regarde là comme elle est sublime Et puis tu adores les petits seins. En plus elle est rousse, grande et ressemble à ton ex en plus jeune. Ppppfffff
Sylvia faisait sa pleureuse. La sentant un peu jalouse Julian prit Sylvia dans ses bras et ils s’embrassèrent avec la passion des vrais amoureux.
Je n’aime que toi mon amour, lâcha Julian. Puis il laissa sa main glisser sous le maillot de bain de Sylvia
Elle te fait un sacré effet cette petite, tu es toute mouillée
Sylvia posa sa main sur le sexe de son chéri
Et toi tu bandes mon salaud
C’est toi qui me fait de l’effet mon amour
Menteur
Dans la salle de bain, Charline s’attaqua à la découpe de ses poils pubiens, y allant doucement. Elle ne put s’empécher d’imaginer Julian utilisant ce rasoir autours de sa queue. Un frisson la parcourut à cette idée. Il ne lui fallut même pas une minute pour tout raser. Elle se pencha pour ramasser ses poils dos à la caméra, donnant un belle vue plongeant style levrette aux voyeurs qui s'extasièrent d’un si joli petit cul. En reposant la tondeuse à sa place, Charline ne put résister à caresser le sex toy le plus imposant. Sylvia lâcha
Elle est bien gourmande pour son âge non ? A mon avis, c’est une petite étudiante qui ne demande qu’à apprendre.
Charline s’aventura vers d’autres sex toys mais avant, ferma sans bruit le loquet de la salle de bain histoire de ne pas se faire surprendre. Elle pris cette fois ci le plus petit jouet sans savoir qu’il s’agissait d’un petit plug anal. Elle le regarda comme une pie devant une clé. Ne sachant pas encore son utilité Charline le porta à ses lèvres.
Tu l’a nettoyé avant de le ranger? C’est pas celui que tu portais ce matin au marché? Julian rigola de sa blague
Mais bien sûr que tout est propre ! Mais plus pour très longtemps si tu veux mon avis.
En effet Charline porta l’objet à ses lèvres qui se refermèrent dessus, elle le fit tourner, entrer et sortir, ses joues se creusaient sous l’effet de succion, elle se regardait dans le miroir de la salle de bain modifiant la tenue de ses lèvres sur le plug.
Ben dis donc Mademoiselle Charline s’extasia Julian, elle est chaude la petite !
Une fois l’objet bien mouillé, Charline le fit descendre entre ses cuisses et s’en servit pour venir maladroitement caresser son clitoris.
Oui elle est bien gourmande notre jeune protégée rajouta Sylvia
Tiens elle est ta protégée?
Absolument Monsieur le chasseur ! Moi je rabats le gibier pour votre plus grand plaisir.
On ne parle pas ici que du mien, je crois bien que cela t’excite aussi. Julian embrassa Sylvia avec avidité et glissa à nouveau un doigt sous son maillot. Sylvia fit de même et se faufila sous le short de Julian pour lui attraper la queue.
Dans la salle de bain, Charline pressée par le temps au cas où Sylvia revienne, frotta cet objet à son clito en mode excitation extrême et se fit jouir en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire. A peine se pinça t’elle son sein droit que l’orgasme l’envahit.
Ah ces jeunes !!! Toujours hyper rapide, lâcha Julian
Charline, la main crispée sur le lavabo, émergea rapidement de son plaisir et se redressa, elle s’était caressé avec un sex toy pour la première fois. Une fois de plus il fallait que cette nouvelle étape importante de sa vie se passe avec la présence de Julian auprès d’elle.
Cette gamine est une superbe exhibitionniste pleine de talent dit Julian
Je crois qu’elle nous réserve plein de belles surprises, ajouta Sylvia
Charline suça une dernière fois le plug et le replaça dans l’armoire, mais le repris, le passa sous l’eau et le sécha avec des kleenex avant de le remettre en place. Elle le posa mais s’inquiéta de sa position initiale exacte, ne se souvenant plus très bien où elle l’avait pris. Elle se maudit de sa stupidité. Elle referma l’armoire à plaisir, essuya sa mouille avec du papier WC et tira la chasse d’eau pour évacuer toutes les preuves. Charline vérifia que tous ses poils avaient bien été taillés, rentrant son ventre en le faisant encore plus creux devant la caméra
Toi tu va adorer son petit minou tout beau, ma chérie.
Sylvia hocha la tête ne pouvant que confirmer ce que Julian savait déjà. Julian l’avait rencontré dans une soirée et leur regards s’étaient croisés pour la première fois justement quand elle était en train de lécher le sexe d’une jeune femme. C’est pour cela qu’ils rigolaient un peu tous les deux quand une personne leur demandait comment ils s’étaient connus.
Elle est vierge j’en suis sure, lâcha Sylvia en mode affirmation prémonitoire
Charline enfila le maillot de bain, l’ajusta, déverrouilla la porte sans bruit, sortie de la salle de bain et chercha où pouvait bien être Julian et Sylvia. Elle les retrouva à la piscine, ils étaient dans l’eau tous les deux et la regardaient venir les coudes appuyés sur les margelles.
Charline trouvait que c’était bien plus simple d’être seins nus dans le confort de l’obscurité du dressing. Mais là dehors, en plein soleil, face à ce couple qui la regardait, elle eut pour réflexe d’avancer vers eux en recouvrant ses seins de ses bras croisés, le visage tout rouge, Sa timidité maladive reprenait le dessus. Elle avançait quasiment nue vers l’homme qu’elle désirait le plus au monde mais qui avait malheureusement une compagne. Elle était loin de se douter de ce qui allait lui arriver dans les jours qui venaient.
Ca y est tu es prête dit Sylvia ?
Tu as été bien longue Princesse dit Julian ?
Charline espéra au plus profond d’elle même que Sylvia n’ai rien dit à Julien sur sa toison tondue. Sylvia fit un clin d’oeil complice à Charline pour la rassurer sur le fait qu’elle était parfaite et lui fit le petit geste que l’on fait pour dire bouche cousue.
Je ne savais pas quel maillot choisir, Sylvia en a tellement, les uns plus beaux que les autres, elle a de la chance ….
Charline fit ses derniers pas en courant et plongea en sautant au dessus d’eux, les éclaboussant puis en traversant la piscine sur toute sa longueur sous l’eau. Elle faisait souvent cela quand elle était invitée dans les belles années de l’amitié avec ses parents.
Le contact de l’eau avec son minou glabre était une sensation étrange et très agréable. Elle fit demi tour et un peu à la façon des enfants vint se placer entre eux comme pour les séparer.
Julian la fit couler comme quand elle était gamine. Dans cette première bataille d’eau la main de Charline effleura la queue dressée de Julian sous son maillot. Jamais gamine elle ne s’était rendu compte de cette partie des hommes mais là elle ne pouvait ignorer que Julian bandait. Alors leur partie de je te coule tu me coules, prit une sensualité d’une autre tournure que dans le passé. Charline en poussant Julian dans l’eau senti son corps effleurer et glisser contre le sien. Une vague de chaleur l'envahit comme tout à l’heure dans le dressing avec la présence sexy et bienveillante de Sylvia.
La baignade finit par arriver à son terme. Quand Sylvia proposa de l’inviter à se baigner le lendemain Charline accepta avec une joie et un enthousiasme non dissimulé.
On dit 16h00?
Oui parfait je te ramènerai le maillot.
Charline remit juste son petit haut. Le maillot avait séché mais comme Sylvia le suspectait une zone restait humide, celle entre les jeunes cuisses de l'adolescente.
C’est Julian qui accompagna Charline chez elle. Ils n’étaient qu’à cinq minutes en voiture. Assise dans la belle Audi Q7, seule avec lui, Charline sentit son coeur battre la chamade. Il bandait en s’asseyant à côté d’elle et bandait toujours quand il la quitta. Certes elle n’aurait jamais dû regarder cette partie de son corps mais cela avait été plus fort qu’elle. La vision de Julian en train de se raser sa queue et le contact qu’elle avait eu avec lui dans la piscine l’avait sacrément excitée. La tension était telle qu’un grand silence se fit pendant tout le trajet. Le baiser chaste électrique qu’ils se firent parlait de lui même. Charline en frissonna.
Elle le regarda s’éloigner avec tristesse. Une fois seule chez elle, à peine cinq minute plus tard, elle venait déjà d’orgasmer en repensant à cette journée incroyable et leurs retrouvailles.
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