Les défis de Juliette
Récit érotique écrit par Chloebi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2020 dans la catégorie En solitaire
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Les défis de Juliette
En cette période de (re)confinement, je suis retournée sur ma boîte mail pour relire certains échanges anciens. En particulier ceux avec Juliette, avec qui j'avais entretenu une relation virtuelle...torride.
Elle m'avait fait découvrir les plaisirs de la soumission, et elle avait pris l'habitude de tester mon obéissance, en me soumettant à des défis - souvent axés sur l'exhib - de plus en plus fous et osés. Et je devais lui raconter comment j'avais exécuté ses ordres, mes peurs, tout ce que j'avais ressenti.
Celui que je narre ici s'est déroulé au mois d'avril, il y a trois ans.
Je n'ai plus le texte du message qu'elle m'avait adressé, mais je me souviens que je devais montrer différentes parties de mon anatomie un certain nombre de fois, dans des lieux publics. Tantôt à des hommes, tantôt à des femmes ou à des couples.
Voici le récit que j'avais fait "à chaud" de cette folle journée, tout juste adapté sur la forme pour pouvoir être publié ici.
J'avais beaucoup réfléchi, avant de passer à l'acte: quelle tenue? quels endroits me permettraient de m'exhiber? jusqu'où je pourrais aller? J'avais finalement décidé d'aller sur Nantes, grande ville plus anonyme qu'Angers (où je vivais), et où je ne risquerai pas de tomber sur des gens qui me connaissent.
En fin de matinée, je me suis habillée, en tenant compte de ce que Juliette m'avait demandé: j'ai choisi un tailleur rouge vif, que j'avais acheté pour le mariage d'une copine, il y a deux ans. Une veste, fermée très bas par un seul bouton (pour le mariage, je portais un débardeur en soie en dessous...), et une jupe portefeuille, assez courte (à mi-cuisses), fermée par des crochets à la taille. Normalement, une épingle fantaisie permettait d'éviter que la jupe ne s'ouvre trop, mais j'ai "omis" de la mettre.
Pour compléter ma tenue, j'ai mis des escarpins à hauts talons, et je me suis regardée dans mon miroir: j'étais raisonnablement sexy, et je pouvais quand même dévoiler facilement des parties intimes de mon anatomie. Car, en dessous du tailleur, il n'y avait rien pour cacher mes seins ou ma chatte...
J'avais le cœur qui battait un peu plus vite, en refermant la porte de mon appartement, et en montant en voiture: c'était parti, et je m'interdisais maintenant de me dégonfler!
Je me suis un peu détendue pendant le trajet sur l'autoroute. Mais je prenais soin de vérifier la localisation des aires de repos, par rapport au plan que j'avais échafaudé. Pour savoir où je m'arrêterai, pendant le retour...
Arrivée sur Nantes, j'ai mis ma voiture dans un parking du centre ville. Quand je suis sortie à l'extérieur, j'ai regretté la légèreté de ma tenue: température plus que fraîche, apparitions timides du soleil, et du vent. Avec un résultat immédiat: mes petits seins sont devenus tout durs, et je ressentais encore plus le frottement du tissu sur les pointes dressées...
Je me sentais un peu protégée par mes lunettes noires, et me voilà arrivée dans les rues piétonnes. Des rafales de vent ouvraient régulièrement ma jupe, découvrant jusqu'au haut de mes cuisses, mais pas ma chatte toute lisse (sauf peut-être de façon très fugitive). C'était excitant, à la limite de l'attentat à la pudeur, des passant(e)s me dévisageaient. Je commençais à mouiller "grave". J'adorais...
Je flânais, en cherchant des boutiques qui me permettraient d'aller un peu plus loin, et je finis par trouver ce que je cherchais: un magasin de chaussures discount, où les clientes pouvaient choisir et essayer elles-mêmes des chaussures.
Je rentrai, et je commençai à prendre des chaussures pour les examiner. Je préférais celles qui étaient placées sur les étagères les plus basses ou au sol... En me penchant, ma veste baillait généreusement, et je sentis bientôt des regards fixés sur mes seins nus. Femmes et hommes. Putain, qu'est ce que c'était excitant! La cyprine perlait sur mes petites lèvres, j'en étais certaine...
Je rentrai dans le jeu. Me sentir observée me poussait à en faire plus. Je m'assis sur un pouf bas, pour essayer quelques modèles. Ma jupe s'ouvrit, dévoilant mes cuisses jusqu'à l'aine, et le col de ma veste s'écartait chaque fois que je me baissais. Certains regards étaient réprobateurs, et j'avais alors honte, mais d'autres, plus coquins, m'encourageaient...
Une paire de chaussures trop petite allait me donner l'occasion d'aller plus loin. Je fis signe à une jeune vendeuse, qui me regardait depuis un moment (je crois qu'il s'agissait d'une stagiaire), et qui s'approcha en rougissant.
Elle alla chercher la pointure au-dessus en réserve, et revint vers moi, en prenant un de ces petits bancs avec repose-pied qu'utilisent les vendeurs de chaussures. Elle s'assit dessus, et je posai mon pied sur le banc, pour qu'elle change ma chaussure... Ma jupe s'ouvrit de nouveau, mais cette fois, ma cuisse levée écarta davantage le tissu, et je me retrouvai le minou à l'air. Je sentis un flot de cyprine couler dans ma fente, et le plaisir monter!
Ma petite vendeuse était écarlate, et elle ne savait plus quelle attitude adopter. Pour moi aussi, je dus changer de position, car je n'aurais pas pu contenir bien longtemps l'orgasme qui montait dans mon ventre... D'autant plus qu'une autre cliente me regardait, sidérée.
Je me levai, et je marchai devant la glace, pour voir si les chaussures m'allaient. Je n'étais qu'à moitié convaincue, mais j'ai décidé de les acheter quand même. Pour remercier la vendeuse dont le regard m'avait tant excitée.
Je payai, et je sortis du magasin, cherchant un autre endroit pour poursuivre mon exhib. À quelques centaines de mètres, j'aperçus les Galeries Lafayette.
Je rentrai. Je déambulai quelques minutes entre les rayons, et j'arrivai devant des robes. J'en pris quelques unes, et je me dirigeai vers les cabines d'essayage. Certaines étaient prises, et un homme attendait sa compagne, qui essayait toute une collection de vêtements.
Je choisis une cabine libre, juste en face de lui, et je refermai le rideau... en le laissant ouvert sur une bonne vingtaine de centimètres.
Pour essayer des robes, je n'avais pas le choix, je devais enlever veste et jupe, et me retrouver entièrement nue, juchée sur mes escarpins.
Face au miroir, que l'homme pouvait voir, je faisais traîner un peu les choses, en rajoutant sur des difficultés pour enlever la robe de son cintre. Mon regard était caché par mes lunettes noires, ce qui me permettait d'observer l'homme qui me matait par le rideau entrouvert. Ses yeux étaient fixés sur mon petit cul. Je mouillais tellement que j'ai été obligée de prendre un kleenex dans mon sac, pour essuyer - discrètement - mon entrejambes.
J'étais dans un état d'excitation terrible. J'enlevai la robe, pour en essayer une autre, me tournant de trois quarts pour exhiber mes seins gonflés et ma chatte. Le type était complètement hypnotisé, et sa femme fut obligée de l'appeler trois fois, pour lui montrer l'ensemble qu'elle venait d'enfiler. Je jubilais...
J'ai renouvelé l'opération deux autres fois, avec le même succès, et j'ai quitté ma cabine en même temps que le couple. Lui me regardait avec un petit sourire. Elle me fusilla du regard. Elle se doutait manifestement que son mari s'était rincé l’œil, mais elle ne pouvait pas imaginer à quel point!!
J'ai quitte les Galeries Lafayette sans rien acheter. Je ressentais une envie irrépressible de jouir, et je m'installai à la terrasse d'une brasserie, sur une grande place piétonne.
En premier, j'ai filé aux toilettes: il y avait urgence! Je m'enfermai, j'enlevai mon tailleur que j'accrochai au porte-manteau fixé sur la porte, et je posai un pied sur la cuvette. Là, je me suis lâchée. J'ai trituré mes seins tout durs, j'ai branlé mon petit bouton dressé, je fouillais frénétiquement ma fente et mon anus, avec mes doigts. Je pensais à Juliette, quand elle allait me lire, et j'ai joui, en gémissant. Deux fois.
Je me rhabillai à regret, pour retourner en terrasse, le souffle court, le feu aux joues. Et je me suis assise.
Je m'étais habituée à cette veste qui s'entrouvrait, à cette jupe qui dévoilait mes cuisses. Je n'y pensais presque plus. Par contre, le barman qui vint me demander ce que je voulais boire, lui, était manifestement conquis! Il traîna pour prendre ma commande, et il ne se gênait pas pour me mater! Et quand il revint avec son plateau, il prit tout son temps pour déposer mon Coca devant moi, et pour m'adresser quelques compliments assez équivoques...
Lorsqu'il s'est éloigné, je me suis installée confortablement. Discrètement, je m'arrangeais pour ouvrir plus largement ma veste. Je croisais mes jambes, découvrant mes cuisses jusqu'à leur naissance. Quelques consommateurs des deux sexes avaient remarqué mon petit jeu, et me regardaient franchement, des passants aussi. Je croisais et je décroisais mes jambes, les écartant pour dévoiler fugitivement ma chatte nue...
Mais je me rendis compte bien vite que j'avais poussé mon petit jeu un peu trop loin! Un mec, assis à une autre table avec des copains se leva et vint vers moi. Il s'assit en face de moi, sans rien me demander, et commença à me faire directement des propositions salaces. Un macho et un vrai con, de la pire espèce!
Je l'ai envoyé se faire f....., mais il l'a pris très mal, et il a commencé à m'insulter, à me traiter de putain, d'allumeuse. Je crevais de honte, j'étais humiliée en public comme je ne l'avais jamais été.
Toute rouge, les larmes aux yeux, j'ai posé un billet sur la table, et je me suis enfuie sans attendre ma monnaie, sous les quolibets de sa bande de copains.
Cette fois, j'avais ma dose. Et de toute manière, il était temps que je rentre sur Angers. Retour au parking. Je remontai en voiture, et je pris quelques instants pour récupérer, avant de démarrer.
En réfléchissant, je relativisai: en dehors de cet incident, mon après-midi d'exhib s'était déroulé comme je l'espérais... Et comme Juliette me l'avait demandé. Je repassai dans ma tête le film des événements, et je recommençai à mouiller.
Je ressortis du parking, je quittai la ville, pour rejoindre l'autoroute A11.
Il me restait à réaliser le scénario que j'avais imaginé pour le dernier épisode de cette sortie. En fait, j'avais rajouté ce "bouquet final", que Juliette ne m'avait pas demandé. Elle ne m'aurait d'ailleurs pas poussée à prendre autant de risques.
Plus le moment approchait, plus j'y pensais, plus j'avais la trouille, et plus je sentais la cyprine maculer mes cuisses. Heureusement, j'avais prévu une serviette pour protéger mon siège!
La route défilait. Il y avait de la circulation, pas mal de camions... Je passai le péage d'Ancenis.Quelques kilomètres après, j'aperçus les panneaux indiquant l'aire de repos de Varades. Clignotant. J'arrivai sur le parking, et je repérai des places libres, un peu à l'écart.
J'arrêtai ma voiture, le plus loin possible des autres véhicules. Personne à l'horizon...Je dégrafai ma ceinture de sécurité, je fis sauter les crochets de ma jupe, que je posai sur le siège passager. Ma veste suivit le même chemin... J'étais entièrement nue.
J'ouvris en grand le toit coulissant de ma voiture. Je remis ma ceinture, et je démarrai.
L'air qui rentrait par le toit ouvert était froid, et j'ai été obligée de mettre le chauffage à fond pour ne pas grelotter. Mais quelle sensation!
Mes seins pointaient de plus belle, ma chatte était une fontaine. Je roulais à 100/110 kmh. Les automobilistes qui me doublaient se rendaient difficilement compte de ma nudité, mais ce n'était pas eux que j'avais ciblés!
Je rejoignis un premier camion. Pas d'autre voiture derrière moi. Je mis mon clignotant, et je le doublai, sans trop accélérer. Arrivée à la hauteur de la cabine, je levai le pied, pour rouler à côté de lui quelques secondes. Surpris, le chauffeur regarda de mon côté...
Je levai la tête, et à travers mon toit ouvert, je vis son visage qui se tourna vers moi, surpris par mon ralentissement. Il sursauta en découvrant ma nudité, d'autant mieux que je laissai ma main droite sur le levier de vitesses, pour que mon bras ne cache rien de mes seins. J'écartai bien mes cuisses, pour exhiber mon minou tout lisse, et je regrettai de ne pas pouvoir montrer ma fente trempée.
Il baissa sa vitre, me cria quelques mots que je ne compris pas, mais je dus accélérer afin de libérer la file de gauche, pour des voitures qui me rattrapaient. A regret, je me rabattis à droite et je ré-accélérai, pendant que je voyais dans mon rétroviseur les appels de phares du camion. Sans doute une façon de me dire merci...
Il ne me fallut pas plus de deux minutes, pour rejoindre deux autres poids lourds qui se suivaient. J'attendis de n'avoir aucun véhicule en vue sur la file de gauche, et je recommençai la même manœuvre. Dépassement... Ralentissement à la hauteur de la cabine... Ma chatte coulait comme une fontaine... Le chauffeur m'aperçut... Cette fois, je poussai plus loin, en lui adressant un signe de la main!
Je ré-accélérai un peu, pour dépasser le camion de tête, qui avait une plaque polonaise. Le chauffeur baissa lui aussi sa vitre, me dit des choses que je ne compris pas, me fit des grands signes, klaxonna... Il me prenait manifestement pour une pute en train de racoler! Loin de me vexer, cette situation m'excitait, j'étais au bord de l'orgasme.
Je commis l'erreur de penser à Juliette ce moment-là, et j'ai joui au volant. Personne ne pouvait me voir ni m'entendre, et je glissai ma main gauche entre mes cuisses, en criant - ou plutôt en hurlant...
Sur deux ou trois kilomètres, j'ai eu du mal à me concentrer sur ma conduite, mais j'ai fini par me contrôler. Il le fallait, d'autant plus que je n'étais plus très loin de l'aire de repos de Réveillon, où j'avais prévu de m'arrêter pour me rhabiller. Et je n'avais pas intérêt à rater la sortie: c'était la dernière aire avant Angers!
Mais un imprévu m'attendait ! Deux fourgons d'entreprise me rattrapèrent, lancés à fond. Je ne sais pas s'ils avaient aperçu mon petit manège, mais lorsque le premier arriva à ma hauteur, il ralentit... Cette fois, les rôles étaient inversés!
Ils étaient trois à l'avant du camion, et le passager baissa la vitre. Il avait une vue plongeante sur ce corps que j'exhibais, ça le mit dans tous ses états! Et le passager assis au milieu déboucla sa ceinture, pour se pencher lui aussi à la portière!
J'ai eu le droit à des: "t'aimes exciter les mecs, salope?", ou "tu prends combien pour une pipe?". La honte, l'humiliation m'envahirent. Je ne pouvais pas me dégager, car ils réglaient leur vitesse sur la mienne.
Le temps me parut interminable, jusqu'à ce qu'ils accélèrent. Malheureusement pour moi, ils ont fait signe à leurs collègues, dans le deuxième fourgon! Sauf que lorsque celui-ci arriva à ma hauteur, et que le passager baissa sa vitre, nous arrivions à la bretelle d'accès de l'aire de repos.
J'ai eu le réflexe d'attendre le dernier moment pour m'engager dans la bretelle, sans mettre mon clignotant. Ça me permit de les surprendre et de les semer, et je frémis rétrospectivement en pensant à ma situation, s'ils m'avaient suivie!!!
Là aussi, il n'y avait pas foule sur les parkings, et comme sur l'aire de repos précédente, je repérai une place un peu à l'écart. Je ressentais un sentiment bizarre, agréable, difficile à expliquer : la fierté d'avoir osé obéir à Juliette et m'exhiber, l'humiliation que j'avais éprouvée quand j'avais été insultée, cette sensation que me procurait encore maintenant le soleil et les caresses du vent sur mon corps nu...
J'essuyai ma fente avec ma serviette, imbibée de ma sève, à un point tel qu'une tâche sombre marquait mon siège... Un souvenir que je garderai longtemps. Enfin, à regret, je remis ma veste et ma jupe, et je repartis, en roulant tranquillement jusque chez moi.
Arrivée dans mon appartement, je me déshabillai, et je m'installai sur ma terrasse, avec mon ordinateur. Je n'imaginais pas écrire autrement que nue à Juliette le récit de cette folle journée. Elle me répondit très vite. Toute excitée par ce que je lui racontais, mais en colère car, en outrepassant ses ordres, j'avais pris trop de risques. Je crois cependant qu'elle exagérait sa colère, et que, en fait, elle aurait aimé avoir eu l'idée elle-même...
Il y eut d'autres défis. Je vous les raconterai peut-être un jour?
Elle m'avait fait découvrir les plaisirs de la soumission, et elle avait pris l'habitude de tester mon obéissance, en me soumettant à des défis - souvent axés sur l'exhib - de plus en plus fous et osés. Et je devais lui raconter comment j'avais exécuté ses ordres, mes peurs, tout ce que j'avais ressenti.
Celui que je narre ici s'est déroulé au mois d'avril, il y a trois ans.
Je n'ai plus le texte du message qu'elle m'avait adressé, mais je me souviens que je devais montrer différentes parties de mon anatomie un certain nombre de fois, dans des lieux publics. Tantôt à des hommes, tantôt à des femmes ou à des couples.
Voici le récit que j'avais fait "à chaud" de cette folle journée, tout juste adapté sur la forme pour pouvoir être publié ici.
J'avais beaucoup réfléchi, avant de passer à l'acte: quelle tenue? quels endroits me permettraient de m'exhiber? jusqu'où je pourrais aller? J'avais finalement décidé d'aller sur Nantes, grande ville plus anonyme qu'Angers (où je vivais), et où je ne risquerai pas de tomber sur des gens qui me connaissent.
En fin de matinée, je me suis habillée, en tenant compte de ce que Juliette m'avait demandé: j'ai choisi un tailleur rouge vif, que j'avais acheté pour le mariage d'une copine, il y a deux ans. Une veste, fermée très bas par un seul bouton (pour le mariage, je portais un débardeur en soie en dessous...), et une jupe portefeuille, assez courte (à mi-cuisses), fermée par des crochets à la taille. Normalement, une épingle fantaisie permettait d'éviter que la jupe ne s'ouvre trop, mais j'ai "omis" de la mettre.
Pour compléter ma tenue, j'ai mis des escarpins à hauts talons, et je me suis regardée dans mon miroir: j'étais raisonnablement sexy, et je pouvais quand même dévoiler facilement des parties intimes de mon anatomie. Car, en dessous du tailleur, il n'y avait rien pour cacher mes seins ou ma chatte...
J'avais le cœur qui battait un peu plus vite, en refermant la porte de mon appartement, et en montant en voiture: c'était parti, et je m'interdisais maintenant de me dégonfler!
Je me suis un peu détendue pendant le trajet sur l'autoroute. Mais je prenais soin de vérifier la localisation des aires de repos, par rapport au plan que j'avais échafaudé. Pour savoir où je m'arrêterai, pendant le retour...
Arrivée sur Nantes, j'ai mis ma voiture dans un parking du centre ville. Quand je suis sortie à l'extérieur, j'ai regretté la légèreté de ma tenue: température plus que fraîche, apparitions timides du soleil, et du vent. Avec un résultat immédiat: mes petits seins sont devenus tout durs, et je ressentais encore plus le frottement du tissu sur les pointes dressées...
Je me sentais un peu protégée par mes lunettes noires, et me voilà arrivée dans les rues piétonnes. Des rafales de vent ouvraient régulièrement ma jupe, découvrant jusqu'au haut de mes cuisses, mais pas ma chatte toute lisse (sauf peut-être de façon très fugitive). C'était excitant, à la limite de l'attentat à la pudeur, des passant(e)s me dévisageaient. Je commençais à mouiller "grave". J'adorais...
Je flânais, en cherchant des boutiques qui me permettraient d'aller un peu plus loin, et je finis par trouver ce que je cherchais: un magasin de chaussures discount, où les clientes pouvaient choisir et essayer elles-mêmes des chaussures.
Je rentrai, et je commençai à prendre des chaussures pour les examiner. Je préférais celles qui étaient placées sur les étagères les plus basses ou au sol... En me penchant, ma veste baillait généreusement, et je sentis bientôt des regards fixés sur mes seins nus. Femmes et hommes. Putain, qu'est ce que c'était excitant! La cyprine perlait sur mes petites lèvres, j'en étais certaine...
Je rentrai dans le jeu. Me sentir observée me poussait à en faire plus. Je m'assis sur un pouf bas, pour essayer quelques modèles. Ma jupe s'ouvrit, dévoilant mes cuisses jusqu'à l'aine, et le col de ma veste s'écartait chaque fois que je me baissais. Certains regards étaient réprobateurs, et j'avais alors honte, mais d'autres, plus coquins, m'encourageaient...
Une paire de chaussures trop petite allait me donner l'occasion d'aller plus loin. Je fis signe à une jeune vendeuse, qui me regardait depuis un moment (je crois qu'il s'agissait d'une stagiaire), et qui s'approcha en rougissant.
Elle alla chercher la pointure au-dessus en réserve, et revint vers moi, en prenant un de ces petits bancs avec repose-pied qu'utilisent les vendeurs de chaussures. Elle s'assit dessus, et je posai mon pied sur le banc, pour qu'elle change ma chaussure... Ma jupe s'ouvrit de nouveau, mais cette fois, ma cuisse levée écarta davantage le tissu, et je me retrouvai le minou à l'air. Je sentis un flot de cyprine couler dans ma fente, et le plaisir monter!
Ma petite vendeuse était écarlate, et elle ne savait plus quelle attitude adopter. Pour moi aussi, je dus changer de position, car je n'aurais pas pu contenir bien longtemps l'orgasme qui montait dans mon ventre... D'autant plus qu'une autre cliente me regardait, sidérée.
Je me levai, et je marchai devant la glace, pour voir si les chaussures m'allaient. Je n'étais qu'à moitié convaincue, mais j'ai décidé de les acheter quand même. Pour remercier la vendeuse dont le regard m'avait tant excitée.
Je payai, et je sortis du magasin, cherchant un autre endroit pour poursuivre mon exhib. À quelques centaines de mètres, j'aperçus les Galeries Lafayette.
Je rentrai. Je déambulai quelques minutes entre les rayons, et j'arrivai devant des robes. J'en pris quelques unes, et je me dirigeai vers les cabines d'essayage. Certaines étaient prises, et un homme attendait sa compagne, qui essayait toute une collection de vêtements.
Je choisis une cabine libre, juste en face de lui, et je refermai le rideau... en le laissant ouvert sur une bonne vingtaine de centimètres.
Pour essayer des robes, je n'avais pas le choix, je devais enlever veste et jupe, et me retrouver entièrement nue, juchée sur mes escarpins.
Face au miroir, que l'homme pouvait voir, je faisais traîner un peu les choses, en rajoutant sur des difficultés pour enlever la robe de son cintre. Mon regard était caché par mes lunettes noires, ce qui me permettait d'observer l'homme qui me matait par le rideau entrouvert. Ses yeux étaient fixés sur mon petit cul. Je mouillais tellement que j'ai été obligée de prendre un kleenex dans mon sac, pour essuyer - discrètement - mon entrejambes.
J'étais dans un état d'excitation terrible. J'enlevai la robe, pour en essayer une autre, me tournant de trois quarts pour exhiber mes seins gonflés et ma chatte. Le type était complètement hypnotisé, et sa femme fut obligée de l'appeler trois fois, pour lui montrer l'ensemble qu'elle venait d'enfiler. Je jubilais...
J'ai renouvelé l'opération deux autres fois, avec le même succès, et j'ai quitté ma cabine en même temps que le couple. Lui me regardait avec un petit sourire. Elle me fusilla du regard. Elle se doutait manifestement que son mari s'était rincé l’œil, mais elle ne pouvait pas imaginer à quel point!!
J'ai quitte les Galeries Lafayette sans rien acheter. Je ressentais une envie irrépressible de jouir, et je m'installai à la terrasse d'une brasserie, sur une grande place piétonne.
En premier, j'ai filé aux toilettes: il y avait urgence! Je m'enfermai, j'enlevai mon tailleur que j'accrochai au porte-manteau fixé sur la porte, et je posai un pied sur la cuvette. Là, je me suis lâchée. J'ai trituré mes seins tout durs, j'ai branlé mon petit bouton dressé, je fouillais frénétiquement ma fente et mon anus, avec mes doigts. Je pensais à Juliette, quand elle allait me lire, et j'ai joui, en gémissant. Deux fois.
Je me rhabillai à regret, pour retourner en terrasse, le souffle court, le feu aux joues. Et je me suis assise.
Je m'étais habituée à cette veste qui s'entrouvrait, à cette jupe qui dévoilait mes cuisses. Je n'y pensais presque plus. Par contre, le barman qui vint me demander ce que je voulais boire, lui, était manifestement conquis! Il traîna pour prendre ma commande, et il ne se gênait pas pour me mater! Et quand il revint avec son plateau, il prit tout son temps pour déposer mon Coca devant moi, et pour m'adresser quelques compliments assez équivoques...
Lorsqu'il s'est éloigné, je me suis installée confortablement. Discrètement, je m'arrangeais pour ouvrir plus largement ma veste. Je croisais mes jambes, découvrant mes cuisses jusqu'à leur naissance. Quelques consommateurs des deux sexes avaient remarqué mon petit jeu, et me regardaient franchement, des passants aussi. Je croisais et je décroisais mes jambes, les écartant pour dévoiler fugitivement ma chatte nue...
Mais je me rendis compte bien vite que j'avais poussé mon petit jeu un peu trop loin! Un mec, assis à une autre table avec des copains se leva et vint vers moi. Il s'assit en face de moi, sans rien me demander, et commença à me faire directement des propositions salaces. Un macho et un vrai con, de la pire espèce!
Je l'ai envoyé se faire f....., mais il l'a pris très mal, et il a commencé à m'insulter, à me traiter de putain, d'allumeuse. Je crevais de honte, j'étais humiliée en public comme je ne l'avais jamais été.
Toute rouge, les larmes aux yeux, j'ai posé un billet sur la table, et je me suis enfuie sans attendre ma monnaie, sous les quolibets de sa bande de copains.
Cette fois, j'avais ma dose. Et de toute manière, il était temps que je rentre sur Angers. Retour au parking. Je remontai en voiture, et je pris quelques instants pour récupérer, avant de démarrer.
En réfléchissant, je relativisai: en dehors de cet incident, mon après-midi d'exhib s'était déroulé comme je l'espérais... Et comme Juliette me l'avait demandé. Je repassai dans ma tête le film des événements, et je recommençai à mouiller.
Je ressortis du parking, je quittai la ville, pour rejoindre l'autoroute A11.
Il me restait à réaliser le scénario que j'avais imaginé pour le dernier épisode de cette sortie. En fait, j'avais rajouté ce "bouquet final", que Juliette ne m'avait pas demandé. Elle ne m'aurait d'ailleurs pas poussée à prendre autant de risques.
Plus le moment approchait, plus j'y pensais, plus j'avais la trouille, et plus je sentais la cyprine maculer mes cuisses. Heureusement, j'avais prévu une serviette pour protéger mon siège!
La route défilait. Il y avait de la circulation, pas mal de camions... Je passai le péage d'Ancenis.Quelques kilomètres après, j'aperçus les panneaux indiquant l'aire de repos de Varades. Clignotant. J'arrivai sur le parking, et je repérai des places libres, un peu à l'écart.
J'arrêtai ma voiture, le plus loin possible des autres véhicules. Personne à l'horizon...Je dégrafai ma ceinture de sécurité, je fis sauter les crochets de ma jupe, que je posai sur le siège passager. Ma veste suivit le même chemin... J'étais entièrement nue.
J'ouvris en grand le toit coulissant de ma voiture. Je remis ma ceinture, et je démarrai.
L'air qui rentrait par le toit ouvert était froid, et j'ai été obligée de mettre le chauffage à fond pour ne pas grelotter. Mais quelle sensation!
Mes seins pointaient de plus belle, ma chatte était une fontaine. Je roulais à 100/110 kmh. Les automobilistes qui me doublaient se rendaient difficilement compte de ma nudité, mais ce n'était pas eux que j'avais ciblés!
Je rejoignis un premier camion. Pas d'autre voiture derrière moi. Je mis mon clignotant, et je le doublai, sans trop accélérer. Arrivée à la hauteur de la cabine, je levai le pied, pour rouler à côté de lui quelques secondes. Surpris, le chauffeur regarda de mon côté...
Je levai la tête, et à travers mon toit ouvert, je vis son visage qui se tourna vers moi, surpris par mon ralentissement. Il sursauta en découvrant ma nudité, d'autant mieux que je laissai ma main droite sur le levier de vitesses, pour que mon bras ne cache rien de mes seins. J'écartai bien mes cuisses, pour exhiber mon minou tout lisse, et je regrettai de ne pas pouvoir montrer ma fente trempée.
Il baissa sa vitre, me cria quelques mots que je ne compris pas, mais je dus accélérer afin de libérer la file de gauche, pour des voitures qui me rattrapaient. A regret, je me rabattis à droite et je ré-accélérai, pendant que je voyais dans mon rétroviseur les appels de phares du camion. Sans doute une façon de me dire merci...
Il ne me fallut pas plus de deux minutes, pour rejoindre deux autres poids lourds qui se suivaient. J'attendis de n'avoir aucun véhicule en vue sur la file de gauche, et je recommençai la même manœuvre. Dépassement... Ralentissement à la hauteur de la cabine... Ma chatte coulait comme une fontaine... Le chauffeur m'aperçut... Cette fois, je poussai plus loin, en lui adressant un signe de la main!
Je ré-accélérai un peu, pour dépasser le camion de tête, qui avait une plaque polonaise. Le chauffeur baissa lui aussi sa vitre, me dit des choses que je ne compris pas, me fit des grands signes, klaxonna... Il me prenait manifestement pour une pute en train de racoler! Loin de me vexer, cette situation m'excitait, j'étais au bord de l'orgasme.
Je commis l'erreur de penser à Juliette ce moment-là, et j'ai joui au volant. Personne ne pouvait me voir ni m'entendre, et je glissai ma main gauche entre mes cuisses, en criant - ou plutôt en hurlant...
Sur deux ou trois kilomètres, j'ai eu du mal à me concentrer sur ma conduite, mais j'ai fini par me contrôler. Il le fallait, d'autant plus que je n'étais plus très loin de l'aire de repos de Réveillon, où j'avais prévu de m'arrêter pour me rhabiller. Et je n'avais pas intérêt à rater la sortie: c'était la dernière aire avant Angers!
Mais un imprévu m'attendait ! Deux fourgons d'entreprise me rattrapèrent, lancés à fond. Je ne sais pas s'ils avaient aperçu mon petit manège, mais lorsque le premier arriva à ma hauteur, il ralentit... Cette fois, les rôles étaient inversés!
Ils étaient trois à l'avant du camion, et le passager baissa la vitre. Il avait une vue plongeante sur ce corps que j'exhibais, ça le mit dans tous ses états! Et le passager assis au milieu déboucla sa ceinture, pour se pencher lui aussi à la portière!
J'ai eu le droit à des: "t'aimes exciter les mecs, salope?", ou "tu prends combien pour une pipe?". La honte, l'humiliation m'envahirent. Je ne pouvais pas me dégager, car ils réglaient leur vitesse sur la mienne.
Le temps me parut interminable, jusqu'à ce qu'ils accélèrent. Malheureusement pour moi, ils ont fait signe à leurs collègues, dans le deuxième fourgon! Sauf que lorsque celui-ci arriva à ma hauteur, et que le passager baissa sa vitre, nous arrivions à la bretelle d'accès de l'aire de repos.
J'ai eu le réflexe d'attendre le dernier moment pour m'engager dans la bretelle, sans mettre mon clignotant. Ça me permit de les surprendre et de les semer, et je frémis rétrospectivement en pensant à ma situation, s'ils m'avaient suivie!!!
Là aussi, il n'y avait pas foule sur les parkings, et comme sur l'aire de repos précédente, je repérai une place un peu à l'écart. Je ressentais un sentiment bizarre, agréable, difficile à expliquer : la fierté d'avoir osé obéir à Juliette et m'exhiber, l'humiliation que j'avais éprouvée quand j'avais été insultée, cette sensation que me procurait encore maintenant le soleil et les caresses du vent sur mon corps nu...
J'essuyai ma fente avec ma serviette, imbibée de ma sève, à un point tel qu'une tâche sombre marquait mon siège... Un souvenir que je garderai longtemps. Enfin, à regret, je remis ma veste et ma jupe, et je repartis, en roulant tranquillement jusque chez moi.
Arrivée dans mon appartement, je me déshabillai, et je m'installai sur ma terrasse, avec mon ordinateur. Je n'imaginais pas écrire autrement que nue à Juliette le récit de cette folle journée. Elle me répondit très vite. Toute excitée par ce que je lui racontais, mais en colère car, en outrepassant ses ordres, j'avais pris trop de risques. Je crois cependant qu'elle exagérait sa colère, et que, en fait, elle aurait aimé avoir eu l'idée elle-même...
Il y eut d'autres défis. Je vous les raconterai peut-être un jour?
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