Les démons de ma femme
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les démons de ma femme
Bien après la révélation de leur relation, il m'arrive de remettre le sujet, au centre de discussions sexuelles, entre elle et moi.
Le fait ne pas avoir assisté à leurs baises, me rend fou, je veux tout savoir !
Je la harcèle pour en savoir plus !
"Mais pourquoi vous avez arrêté de baiser ensemble ? Je trouve ça bizarre ! Comme ça, sur une coup de tête !".
"C'est pas vraiment ça, mais je peux pas en parler, laisses moi tranquille avec cette histoire !".
"Je peux pas rester sans savoir ! T'es pas pareille, quand tu parles de lui ! Tu l'aimais ! C'est ça ?".
"Ca va pas ? Non ! C'est pas ça, mais disons que j'avais trop besoin de lui ! Parlons d'autre chose !".
"Il va falloir tout me dire ! Désolé !".
"Bon ! Tu l'auras voulu ! Je vais te raconter, voilà comment tout a commencé !".
Ils baisaient ensemble depuis deux semaines déjà !
C'est toujours ma femme qui va chez lui, elle refuse qu'il sache ou elle habite !
Elle devient accroc à leurs rencontres, une complicité perverse s'instaure.
Il a décelé un gout prononcé pour la soumission, chez ma femme.
En arrivant, après un baiser vicieux, elle est surprise par son ton dominateur.
"Déshabilles-toi ! J'avais te défoncer contre la table ! T'as mis ta tenue de salope ?".
"Oui ! J'ai mis tout ce que tu voulais !".
"Montres-moi !".
Elle se dénude devant lui.
Elle révèle ses jambes couvertes de bas sexy, surmontées d'un porte-jarretelles, de couleur assortie à son soutien gorge, le tout, sans culotte et la chatte rasée.
"Hummm ! Ca c'est beau ! Ca t'as excitée de venir sans culotte ! Je suis sur !".
"Oui ! Y a qu'avec toi que je fais ça !".
"C'est bien ! On avance bien tous les deux ! Tu aimes m'obéir ?".
"Oui ! Ca m'excite beaucoup !".
"Bon, allonges toi sur la table ! Je vais un peu me branler dans ta chatte, et après, j'te casse le cul ! D'accord ?".
"D'accord ! Mais s'il te plait ! Laisses moi dans un meilleur état que la dernière fois ! J'ai peur que Pascal se rende compte de quelque chose !".
"Ca, c'est pas mon problème ! Je te baise comme j'en ai envie ! C'est tout ! T'es ma pute ! On est Ok ?".
"Oui !".
Il parvient à se faire sucer un peu, en bout de table, puis il passe derrière elle.
Sa grosse verge s'insère en elle, en la faisant râler.
"T'aimes ça, ma salope ! T'es accroc à ma bite ! Pas vrai ? T'aimes comme je te baise !".
"Arhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii !".
Il a son accord, à présent, il la besogne sans vergogne.
Elle monte très vite dans les hautes sphères du plaisir vaginal.
Comme à chaque fois, il cogne fort au fond de sa chatte.
Elle pense déjà aux conséquences douloureuses, mais elle a besoin qu'il la baise ainsi !
Au bout de cinq minutes intenses, il se retire, puis se libère du pantalon qui lui entrave les jambes.
Il prend sa ceinture, et lui claque les fesses.
Elle se cambre, en criant !
"T'en veux encore ?".
"Oui !".
Il réitère plusieurs fois puis, entoure son cou avec la ceinture et la transperce encore et encore, en tirant dessus.
Elle lui dit qu'elle aime sa grosse bite, qu'il la rend folle en la baisant comme ça ! Qu'elle est sa pute, sa chienne, etc...
Il saisit un gros flacon de gel silicone.
Il fait couler le liquide épais entre ses fesses, et sur le dessus de sa bite.
Il se sert de son énorme gland pour lui préparer l'anus.
Ma belle pose son visage contre la table, en essayant de ressentir chaque millimètre de progression de sa verge.
"T'attends que ça, hein, ma p'tite salope ?".
"Oui ! Tu penses qu'à ça, ! Mais c'est pour ça aussi, que j'aime baiser avec toi !".
Lentement, le gros pieu trouve sa place dans l'anus de ma belle ingénue.
"Arghhhhhhhhhh ! Ohhhhh ! Putain ! Jean-Pierre ! C'est trop bon ! Orhhhh ! Bouges ! Défonces-moi, j'veux jouir du cul, encore !".
"Hummm, je t'adore, ma p'tite chienne ! Putain ! Quand je pense à tout ce que j'ai du galérer, avant de t'enculer comme ça ! Et maintenant ! C'est toi qui le réclames ! T'es vraiment une belle salope !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Oui, fais-moi tout ce que tu veux ! Arhhhhhhhhhhh ! ...".
Il lui détruit les parois anales sans discontinuer, il s'amuse de sa béance retrouvée, depuis qu'il l'encule.
Il lui flagelle l'œillet, du bout du gland, puis s'enfonce en elle, avec puissance ensuite.
Elle peut crier son plaisir, la maison n'est pas mitoyenne !
Elle orgasme analement plusieurs fois, alors qu'il la saillit en s'agrippant à ses épaules, avec force.
Il la garde empalée sur lui, tout en la déplaçant vers son canapé.
Il la fait pivoter sur le dos, et revient dans ses entrailles.
Il l'encule en lui écrasant les seins, elle râle de douleur et de plaisir.
Il attrape la ceinture et lui flagelle le ventre, les seins, sans cesser de l'enculer.
Elle se contorsionne, prise de spasmes cérébraux, elle aime ça !
Puis, il couvre son cou de sa large main puissante.
Il commence à le comprimer.
Elle lui dit:
"Arhhhh ! Oui ! J'aime ! Ca fait tellement longtemps qu'on m'a plus fait ça ! Encooooorrrrrrrre !".
Il cherche la puissance et la profondeur en s'enfonçant dans son cul, sans cesse.
Il se concentre sur sa main, qui accompagne l'orgasme anal de ma belle.
Il voit que son visage rougit, tout en révélant un orgasme, incroyable pour elle.
Il lâche la pression, elle revient doucement.
"Arhhhhhhhhhhh ! C'est trop fort ! Jean-Pierre ! Je suis montée haut, cette fois !".
Il reprend sa défonce anale et recommence à lui serrer le cou à trois reprises.
Voyant qu'elle est épuisée de plaisir, il recule en lui ordonnant:
"Viens me sucer ! Je te donnerai mon jus, si tu le fais bien ! Allez ! Bouges toi !".
Il accompagne ses paroles de légers coups de ceinture.
Elle se cambre de plaisir, et se jette à ses pieds pour lui dévorer la bite.
Il agrémente cette vicieuse fellation, de coups bien placés, sur sa vulve, son cul, ses seins, ses reins.
Il n'est pas dans les coups violents, mais la soumission est totale pour Corinne.
Il annonce son éjaculation:
"Arhhhhhhhhhhh ! Prépares-toi salope ! Tu vas avoir ta récompense !".
Elle se place sous sa verge, bouche ouverte.
Il fait couler son foutre à l'intérieur, au début, puis comme elle doit avaler ses premiers jets, il lui couvre la face avec le reste, et enfin, il termine au fond de sa gorge en râlant son plaisir, et en la traitant de salope, encore.
Il s'assoit sur le canapé derrière lui, vidé de tout plaisir.
Elle se cale entre ses cuisses, posée sur le sol, en salope soumise, heureuse d'avoir joui ainsi.
Sa tête est posée contre la cuisse de Jean-Pierre.
Il lui dit des mots pervers:
"Putain, tu me vides trop bien les couilles ! J'adore te baiser et t'enculer ! J'peux plus me passer de toi !".
Ses mots la réconfortent, étrangement, elle a besoin de les entendre, parce qu'elle aussi, elle a besoin de lui !
"Ca va, Corinne ? T'as aimé ce qu'on a fait ?".
"Oui, je l'avais déjà fait avec Pascal, mais il aime pas vraiment ça, il le faisait pour me faire plaisir ! Pour la main autour du cou, ça lui fait peur ! Il m'a demandé de m'en passer ! Mais, ça m'a fait plaisir de recommencer ! C'est puissant ! La ceinture aussi ! C'est pas un plaisir physique ! c'est dans mon cerveau, je crois !".
"Moi, j'adore ça ! C'est mon truc ! T'inquiètes ! Je le gère bien ! On recommence quand tu veux !".
A ce moment du récit, tout m'est revenu, l'époque où on le pratiquait, nous aussi, et mon souhait d'arrêter !
Elle me dit alors:
"Tu m'en veux ?".
"Pas vraiment, c'est moi qui t'ai fait connaitre ça ! C'est un peu de ma faute ! Mais, ça me dit pas, pourquoi tu as cessé de baiser avec lui !".
"Ben, je suis devenue accroc ! Trop ! Ca devenait difficile de te cacher les marques qu'il me faisait ! Je te faisais croire que c'était avec Chris ! J'ai du espacer mes visites chez lui. En plus, il avait une nouvelle copine, de son âge, ça m'a arrangé, un peu ! Mais, il me réclamait souvent, quand même !".
Elle m'explique que vers la fin, ils ne se voyaient plus, que deux fois par mois, jusqu'au jour où, pendant une folle sodomie, elle a attiré la main de Jean-Pierre vers son cou. Il l'a serrée en la faisant jouir analement comme une folle, en se concentrant trop, sur sa verge dans son cul.
Mais, pendant son orgasme anal, elle a perdu connaissance un petit instant.
Ce sont les gifles de son amant qui l'ont réveillée.
"Putain, tu m'as fait peur ! Chérie !".
Ils ont reprit leur sodomie, sans cette pratique, jusqu'à ce qu'il l'insémine, au plus profond de son anus.
Elle est rentrée, complètement chamboulée par cette expérience.
Elle repensait à mes mots: "C'est trop dangereux ! Ca me fait peur !".
Elle n'est jamais retournée chez lui, si elle l'avait fait, elle aurait encore succombé à ce besoin pervers !
"Voilà, tu sais tout, mon amour ! Au début, c'était dur de m'empêcher de le retrouver, mais avec le temps, je m'y suis habituée, et j'en avais aussi fini avec ma culpabilité de te cacher tout ça ! C'était beaucoup plus simple avec les autres ! Mais t'as connu ça, à ta manière ! Avec Fred ! Non ?".
"Oui, c'est un peu ça ! On se sent piégé par la relation, elle nous fait du bien et nous détruit, même si on ne peut pas s'en passer !".
"C'était exactement ça ! Bien sur, on s'est recroisé, mais j'ai toujours résisté ! Je suis fière de moi pour ça ! Et puis, ça me fait des anecdotes sympa à te raconter !".
Oh, que oui ! Ils en ont fait, tous les deux ! A l'image de ce vieux pervers !
Le fait ne pas avoir assisté à leurs baises, me rend fou, je veux tout savoir !
Je la harcèle pour en savoir plus !
"Mais pourquoi vous avez arrêté de baiser ensemble ? Je trouve ça bizarre ! Comme ça, sur une coup de tête !".
"C'est pas vraiment ça, mais je peux pas en parler, laisses moi tranquille avec cette histoire !".
"Je peux pas rester sans savoir ! T'es pas pareille, quand tu parles de lui ! Tu l'aimais ! C'est ça ?".
"Ca va pas ? Non ! C'est pas ça, mais disons que j'avais trop besoin de lui ! Parlons d'autre chose !".
"Il va falloir tout me dire ! Désolé !".
"Bon ! Tu l'auras voulu ! Je vais te raconter, voilà comment tout a commencé !".
Ils baisaient ensemble depuis deux semaines déjà !
C'est toujours ma femme qui va chez lui, elle refuse qu'il sache ou elle habite !
Elle devient accroc à leurs rencontres, une complicité perverse s'instaure.
Il a décelé un gout prononcé pour la soumission, chez ma femme.
En arrivant, après un baiser vicieux, elle est surprise par son ton dominateur.
"Déshabilles-toi ! J'avais te défoncer contre la table ! T'as mis ta tenue de salope ?".
"Oui ! J'ai mis tout ce que tu voulais !".
"Montres-moi !".
Elle se dénude devant lui.
Elle révèle ses jambes couvertes de bas sexy, surmontées d'un porte-jarretelles, de couleur assortie à son soutien gorge, le tout, sans culotte et la chatte rasée.
"Hummm ! Ca c'est beau ! Ca t'as excitée de venir sans culotte ! Je suis sur !".
"Oui ! Y a qu'avec toi que je fais ça !".
"C'est bien ! On avance bien tous les deux ! Tu aimes m'obéir ?".
"Oui ! Ca m'excite beaucoup !".
"Bon, allonges toi sur la table ! Je vais un peu me branler dans ta chatte, et après, j'te casse le cul ! D'accord ?".
"D'accord ! Mais s'il te plait ! Laisses moi dans un meilleur état que la dernière fois ! J'ai peur que Pascal se rende compte de quelque chose !".
"Ca, c'est pas mon problème ! Je te baise comme j'en ai envie ! C'est tout ! T'es ma pute ! On est Ok ?".
"Oui !".
Il parvient à se faire sucer un peu, en bout de table, puis il passe derrière elle.
Sa grosse verge s'insère en elle, en la faisant râler.
"T'aimes ça, ma salope ! T'es accroc à ma bite ! Pas vrai ? T'aimes comme je te baise !".
"Arhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiii !".
Il a son accord, à présent, il la besogne sans vergogne.
Elle monte très vite dans les hautes sphères du plaisir vaginal.
Comme à chaque fois, il cogne fort au fond de sa chatte.
Elle pense déjà aux conséquences douloureuses, mais elle a besoin qu'il la baise ainsi !
Au bout de cinq minutes intenses, il se retire, puis se libère du pantalon qui lui entrave les jambes.
Il prend sa ceinture, et lui claque les fesses.
Elle se cambre, en criant !
"T'en veux encore ?".
"Oui !".
Il réitère plusieurs fois puis, entoure son cou avec la ceinture et la transperce encore et encore, en tirant dessus.
Elle lui dit qu'elle aime sa grosse bite, qu'il la rend folle en la baisant comme ça ! Qu'elle est sa pute, sa chienne, etc...
Il saisit un gros flacon de gel silicone.
Il fait couler le liquide épais entre ses fesses, et sur le dessus de sa bite.
Il se sert de son énorme gland pour lui préparer l'anus.
Ma belle pose son visage contre la table, en essayant de ressentir chaque millimètre de progression de sa verge.
"T'attends que ça, hein, ma p'tite salope ?".
"Oui ! Tu penses qu'à ça, ! Mais c'est pour ça aussi, que j'aime baiser avec toi !".
Lentement, le gros pieu trouve sa place dans l'anus de ma belle ingénue.
"Arghhhhhhhhhh ! Ohhhhh ! Putain ! Jean-Pierre ! C'est trop bon ! Orhhhh ! Bouges ! Défonces-moi, j'veux jouir du cul, encore !".
"Hummm, je t'adore, ma p'tite chienne ! Putain ! Quand je pense à tout ce que j'ai du galérer, avant de t'enculer comme ça ! Et maintenant ! C'est toi qui le réclames ! T'es vraiment une belle salope !".
"Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhh ! Oui, fais-moi tout ce que tu veux ! Arhhhhhhhhhhh ! ...".
Il lui détruit les parois anales sans discontinuer, il s'amuse de sa béance retrouvée, depuis qu'il l'encule.
Il lui flagelle l'œillet, du bout du gland, puis s'enfonce en elle, avec puissance ensuite.
Elle peut crier son plaisir, la maison n'est pas mitoyenne !
Elle orgasme analement plusieurs fois, alors qu'il la saillit en s'agrippant à ses épaules, avec force.
Il la garde empalée sur lui, tout en la déplaçant vers son canapé.
Il la fait pivoter sur le dos, et revient dans ses entrailles.
Il l'encule en lui écrasant les seins, elle râle de douleur et de plaisir.
Il attrape la ceinture et lui flagelle le ventre, les seins, sans cesser de l'enculer.
Elle se contorsionne, prise de spasmes cérébraux, elle aime ça !
Puis, il couvre son cou de sa large main puissante.
Il commence à le comprimer.
Elle lui dit:
"Arhhhh ! Oui ! J'aime ! Ca fait tellement longtemps qu'on m'a plus fait ça ! Encooooorrrrrrrre !".
Il cherche la puissance et la profondeur en s'enfonçant dans son cul, sans cesse.
Il se concentre sur sa main, qui accompagne l'orgasme anal de ma belle.
Il voit que son visage rougit, tout en révélant un orgasme, incroyable pour elle.
Il lâche la pression, elle revient doucement.
"Arhhhhhhhhhhh ! C'est trop fort ! Jean-Pierre ! Je suis montée haut, cette fois !".
Il reprend sa défonce anale et recommence à lui serrer le cou à trois reprises.
Voyant qu'elle est épuisée de plaisir, il recule en lui ordonnant:
"Viens me sucer ! Je te donnerai mon jus, si tu le fais bien ! Allez ! Bouges toi !".
Il accompagne ses paroles de légers coups de ceinture.
Elle se cambre de plaisir, et se jette à ses pieds pour lui dévorer la bite.
Il agrémente cette vicieuse fellation, de coups bien placés, sur sa vulve, son cul, ses seins, ses reins.
Il n'est pas dans les coups violents, mais la soumission est totale pour Corinne.
Il annonce son éjaculation:
"Arhhhhhhhhhhh ! Prépares-toi salope ! Tu vas avoir ta récompense !".
Elle se place sous sa verge, bouche ouverte.
Il fait couler son foutre à l'intérieur, au début, puis comme elle doit avaler ses premiers jets, il lui couvre la face avec le reste, et enfin, il termine au fond de sa gorge en râlant son plaisir, et en la traitant de salope, encore.
Il s'assoit sur le canapé derrière lui, vidé de tout plaisir.
Elle se cale entre ses cuisses, posée sur le sol, en salope soumise, heureuse d'avoir joui ainsi.
Sa tête est posée contre la cuisse de Jean-Pierre.
Il lui dit des mots pervers:
"Putain, tu me vides trop bien les couilles ! J'adore te baiser et t'enculer ! J'peux plus me passer de toi !".
Ses mots la réconfortent, étrangement, elle a besoin de les entendre, parce qu'elle aussi, elle a besoin de lui !
"Ca va, Corinne ? T'as aimé ce qu'on a fait ?".
"Oui, je l'avais déjà fait avec Pascal, mais il aime pas vraiment ça, il le faisait pour me faire plaisir ! Pour la main autour du cou, ça lui fait peur ! Il m'a demandé de m'en passer ! Mais, ça m'a fait plaisir de recommencer ! C'est puissant ! La ceinture aussi ! C'est pas un plaisir physique ! c'est dans mon cerveau, je crois !".
"Moi, j'adore ça ! C'est mon truc ! T'inquiètes ! Je le gère bien ! On recommence quand tu veux !".
A ce moment du récit, tout m'est revenu, l'époque où on le pratiquait, nous aussi, et mon souhait d'arrêter !
Elle me dit alors:
"Tu m'en veux ?".
"Pas vraiment, c'est moi qui t'ai fait connaitre ça ! C'est un peu de ma faute ! Mais, ça me dit pas, pourquoi tu as cessé de baiser avec lui !".
"Ben, je suis devenue accroc ! Trop ! Ca devenait difficile de te cacher les marques qu'il me faisait ! Je te faisais croire que c'était avec Chris ! J'ai du espacer mes visites chez lui. En plus, il avait une nouvelle copine, de son âge, ça m'a arrangé, un peu ! Mais, il me réclamait souvent, quand même !".
Elle m'explique que vers la fin, ils ne se voyaient plus, que deux fois par mois, jusqu'au jour où, pendant une folle sodomie, elle a attiré la main de Jean-Pierre vers son cou. Il l'a serrée en la faisant jouir analement comme une folle, en se concentrant trop, sur sa verge dans son cul.
Mais, pendant son orgasme anal, elle a perdu connaissance un petit instant.
Ce sont les gifles de son amant qui l'ont réveillée.
"Putain, tu m'as fait peur ! Chérie !".
Ils ont reprit leur sodomie, sans cette pratique, jusqu'à ce qu'il l'insémine, au plus profond de son anus.
Elle est rentrée, complètement chamboulée par cette expérience.
Elle repensait à mes mots: "C'est trop dangereux ! Ca me fait peur !".
Elle n'est jamais retournée chez lui, si elle l'avait fait, elle aurait encore succombé à ce besoin pervers !
"Voilà, tu sais tout, mon amour ! Au début, c'était dur de m'empêcher de le retrouver, mais avec le temps, je m'y suis habituée, et j'en avais aussi fini avec ma culpabilité de te cacher tout ça ! C'était beaucoup plus simple avec les autres ! Mais t'as connu ça, à ta manière ! Avec Fred ! Non ?".
"Oui, c'est un peu ça ! On se sent piégé par la relation, elle nous fait du bien et nous détruit, même si on ne peut pas s'en passer !".
"C'était exactement ça ! Bien sur, on s'est recroisé, mais j'ai toujours résisté ! Je suis fière de moi pour ça ! Et puis, ça me fait des anecdotes sympa à te raconter !".
Oh, que oui ! Ils en ont fait, tous les deux ! A l'image de ce vieux pervers !
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