Les dessous d'un Top Model épisode 1
Récit érotique écrit par Ivan Ribeiro Lagos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les dessous d'un Top Model épisode 1
Glacyanne était une jeune fille de bonne
famille, sage et réservée.
Elle avait suivit sa scolarité dans des établissements
privés où régnait une
discipline très stricte. Son père n´était pas fait
pour le 21ème siècle.
Ensuite elle avait été inscrite dans une école d'étude
de langues
étrangères. L´ambiance très libres l´avait beaucoup
perturbée et grandement
dissipée au détriment de sa présence aux cours. Elle
cherchait des
aventures. Son père ne pouvait ni ne voulait supporter
cela. Il tint conseil
avec sa mère et tous les deux convinrent que la seule
solution pour qu'elle
ne sombre pas dans l´épouvantable dérive de la
jeunesse, était de la faire
interner intégralement dans un collège où elle
pourrait suivre ses études
dans un cadre plus strict. Glacyanne fut donc
convoquée un jour à midi dans
le bureau attenant au petit salon de la grand maison
familiale. Son père
était assis dans la grand fauteuil de cuir fauve, sa
mère se tenait à ses
côtés.
- Ma fille ! Nous avons pris une décision concernant
votre avenir qui
permettra de conserver intactes toutes les valeurs que
nous vous avons
inculqués. Vous quitterez à la fin de cette semaine
votre école pour
rejoindre l'internat d'un collège...
Glacyanne ne pouvait pas se permettre la moindre
désapprobation face à ce
père si autoritaire. Elle demanda donc la permission
de se retirer, et
monta dans sa chambre ou elle éclata en sanglot en se
jetant sur son lit. Le
matin du grand jour, Glacyanne partit très tôt après
avoir respectueusement
embrassé ses parents, sa mère se leva. Elle se mit à
la fenêtre pour la voir
partir et elle resta accoudée sur le bord, entre deux
pots de géraniums,
vêtue de son peignoir qui était flottant. Glacyanne
monta dans l´autobus à
destination de Curitiba. Elle avait six cent dollars
dans son sac. Elle
avait 18ans, était à l´affût de tout et, bien décidée
à changer d´idée, elle
rêvait de tenter une carrière de top-model. Elle était
particulièrement
belle, radieuse d´ingénuité.
Elle se rendit compte exactement de ces premiers
instants de sa vie. Elle
était corrompue pas ces deux sirènes qui s´appelaient
succès et argent. Elle
avait une physionomie douce et céleste, c'était une
blonde naturel, elle
avait de grands yeux bleus pleins du plus tendre
intérêt, et une taille de
grâces. Elle mesurait un mètre quatre vingt deux et
était une pure beauté
avec un visage de poupée, des traits fins et des
jambes interminables. Ses
cheveux blonds semblaient de soie et tombaient en
cascade tout de long de
son dos, elle avait une peau de satin.
Elle avait toute la vie devant elle. Elle était
victime de son ambition de
gagner beaucoup d´argent.
Bientôt, Glacyanne fut informée qu´il lui fallait des
photos et un agent...
Au petit matin, quand elle se regardait dans le miroir
de la salle de bain
et que la nuit avait été courte, elle découvrit des
cernes qui lui donnaient
le visage d'une femme de vingt ans ! Elle se trouvait
vraiment laide. Elle
enfila un string qui lui rentrait dans la raie des
fesses et devant le tissu
laissait bien voir son minou bien poilu. Elle se vit
dans la glace dans une
chambre d´hôtel de 2° catégorie et elle fut gênée car
c'est comme si elle
n'avait rien !! Elle mit ensuite un soutien-gorge qui
tenait bien sa
poitrine (90C !) et qui se dressait bien. Le chemisier
était transparent et
laissait visiblement voir le soutif, elle mit ensuite un
paréo qui faisait
mini-jupe pour compléter le tout. Deux boutons ouverts
sur le renflement
d'une poitrine osée. Ses yeux étaient soulignés d'un
maquillage léger et
subtil qui rendait leurs couleur vert très fascinant.
Son parfum l'
enveloppait et son odeur musquée réveilla ses sens.
Dans le miroir elle ne se reconnut pas, elle faisait
allumeuse.
- J'ai besoin de me faire remarquer ! pensa Glacyanne.
Elle alla ensuite chercher une grosse agence de
top-model. Elle qui avait
toujours eu la peur de vide, c'était l´ironie de sort.
Elle était seule à
marcher le long des rangées interminables de voitures
en stationnement. Elle
était là encore, devant la porte, perdu dans ses
pensées, quand une
silhouette apparut au bout de la rue. Il s'approcha,
lui sourit et l´invita
à entrer. Glacyanne le suivit encore hypnotisé par son
sourire. Ce matin là,
elle faisait sensation avec sa jupe courte et ses
sandales à talons hauts.
Durant ces quelques secondes d'examen, elle le fixa et
il lui sembla que son
regard irradiait de douceur et de chaleur.
- Je suis photographe, je m´appelle Pierre.
Elle était devant lui, l´enveloppant de son parfum
capiteux, elle avait un
accent allemand qui achevait son charme. Pierre et
Glacyanne conversaient
depuis quelques minutes sur le métier de photographe,
ses attraits et ses
contraintes, ils échangèrent toutes les banalités
qu´on pouvait échanger sur
ce métier. Les choses ont commencé de façon
surprenante. Pierre ne tarit pas
d'éloges sur elle, qui n´en crut pas ses oreilles. Il
lui montra une revue
de mode.
- Vous pouvez faire mieux que ça !
- Avec-moi, vous n´avez pas de chance! Ma poitrine
n´est pas assez grosse.
- Vous n´avez pas une grosse poitrine, mais ce que je
vois là m´intéresse
beaucoup ! Vous-êtes superbe comme ça. Vous allez
plaire à tous les grands
couturiers. C'est eux qui se permettent de décider de
ce qui est "bien" ou
de ce qui n´est pas " bien" de porter et surtout
comment il faut le porter.
Sans parler des éditeurs de magazines. Le support de
mon travail, c´est
évidement les médias, la publicité, la télévision mais
aussi les revus et
magazines féminins. Je connus une personne que
dirigeait trois magazines et
une maison d´édition internationale, expliqua Pierre.
Il était sûre qu´aucun top-model qui travaillait dans
l´agence ne pouvait
être aussi jolie qu´elle. Sa candeur et sa naïveté
prouvaient qu´elle avait
grand besoin d´un guide professionnel dans la carrière
épineuse et, c´était
lui qui allait le faire...c´était un privilège très
rare de posséder un tel
modèle en mains... le photographe était vraiment drôle
et avait beaucoup de
charme. Les sensations fortes qu'elle avait ressenties
se mélangeaient à la
douceur et Glacyanne ne savait pas ce qu´il souhaitait
mais elle se sentait
très bien. Pierre commençait à l'énerver car il
n'arrêtait pas de faire la
gueule et il était en train d'obtenir le contraire de
ce qu'il voulait. Elle
ne savait pas ce qu'il voulait en réalité, mais elle
avait besoin d´un
travail urgent. La soirée fut charmante, pleine de
causeries, de rêves en
commun. Ils parlèrent de leur fortune future,
d'améliorations à introduire
dans leur ménage.
Rapidement, au bout de trois semaines, elle apprit à
défiler sur une
passerelle, et de poser devant une camera... Mais plus
que dans les bureaux,
c'était dans les ateliers qu'elle attisait la soif
d'une bonne cinquantaine
d'hommes et femmes. Tout ses collègues de bureaux
fantasmaient de faire
l´amour avec elle. Quelque fois Pierre lui caressait
ainsi le cuir chevelu
du bout des doigts, remontant de la nuque à la tempe
gauche, contournant
délicatement l'oreille dont il en effleurait le
pavillon avec l'extrémité du
pouce. Elle affectionnait ce geste. Il continuait
jusqu'à ce qu'un petit
frisson parcourait l'enveloppe corporelle de
Glacyanne. Il adorait la faire
frémir sous ses doigts. C'était son protecteur et elle
se sentait très
importante pour lui.
Glacyanne aimait être le centre de leurs intérêts et
d'après ses amies, ce
qu´elle pouvait deviner derrière leur regard lubrique
était bien éloigné de
la réalité. Une bonne partie d'entre eux étaient en
chaleur, elle devinait
leur sexe bouillir tout comme leur jus. Ça la rendait
folle d'excitation
quand elle se rendit compte qu'un bon nombre d'entre
eux seraient prêt à la
violer. Mais en réalité elle désirait être fidèle à
Pierre qui s'occupait de
sa carrière...
Tous les matins, c'était le même rituel, elle
s'amusait à les dédaigner et
son détachement produit un effet contraire, ça les
excitaient et ils étaient
prêt à tout donner pour qu´elle les regarde sur un
simple sourire et à
nouveau les appâter pour les laisser dans l'espoir
qu'un jour peut-être,
elle leur adresserait la parole... Chaque semaine,
elle surenchérit dans la
provocation, elle retouchait ses tenues pour jouer de
son physique. Quand
Pierre descendait dans les ateliers pour corriger
verbalement les rares
erreurs qu´elle avait faites, elle sentait que
certains étaient prêt à
passer le moindre de ses caprices et déjà, mais par sa
surprise Pierre
faisait le visage absent.
- Allons, mon pauvre ange, du courage, patience !
Au choc imprévu de cette phrase tombant sur sa pensée
comme une balle de
plomb dans un plat d'argent, Glacyanne tressaillant
leva la tête pour
deviner ce qu'il voulait dire et ils se regardèrent
silencieusement, presque
ébahis de se voir, tant ils étaient par leur
conscience éloignés l'un de
l'autre. Son travail était routinier et monotone. Les
contretemps étaient
nombreux et la tension constante. Son niveau de stress
était tout à fait
inexistant parce qu´elle aimait faire cela.
Souvent, elle prenait des poses équivoques et de
suite, elle devinait leur
émoi, tous les regards étaient rivés sur ses fesses,
ses seins et son rouge
qui était sans équivoque pour ceux qui la
connaissait... Mais, quoi qu'il en
soit, il manifestait de l'amour et la tendresse
manifeste mais il ne l'avait
toujours pas avoués à Glacyanne, elle avait toujours
été un excellent baume
aux coeur. Le trajet du boulot lui laissait le temps
d'apprécier les moments
de vie professionnelle. Elle aimait travailler toute
la semaine, mais elle
se décevait de plus en plus. Mais elle était si jolie
! Il en avait possédé
si peu d'une candeur pareille ! Cet relation sans
libertinage était pour
elle quelque chose de nouveau, et qui, la sortait de
ses habitudes faciles,
caressait à la fois son orgueil et sa sensualité.
Glacyanne était exaltée
que son bon sens bourgeois dédaignait, elle lui
semblait au fond du coeur
charmante, puisqu'elle s'adressait à sa personne.
Alors, sûr d'être aimé, il
ne se gêna pas, et insensiblement ses façons
changèrent. Bien sûr, Glacyanne
lui restait encore beaucoup à apprendre pour devenir
un parfait top model.
Mais elle était sur le bon chemin. Son éducation était
progressive, et il
avoua qu´il prenait beaucoup de plaisir à lui servir
de professeur.
Pierre entra dans l´atelier lui expliquant qu´il avait
un travail
photographique et, que les critères de sélection
étaient de prendre des
filles ayant un minimum l,75m pour présenter le plus
souvent des collections
de lingeries. Tous les filles sélectionnées avaient
entre 18 et 25ans, un
poste bien payé...
- Tu es sérieux ?
- J´ai jamais été aussi sérieux ! Quelqu´un doit vous
mettre sur le
circuit... nous pourrons alors échafauder ensemble un
scénario et tester
alors vos qualités de metteur en scène ou d'actrice.
- Je me sent tellement bête.
- Pourriez vous réaliser aujourd´hui quelques clichés
de vous ? Des photos
décentes bien-étendu, mon ange! rassurez vous... J´ai
envie de faire une
série de photos de vous comme texte. Nous en ferons
plusieurs en lingerie.
Glacyanne s´empressa alors d´accepter l´offre de
Pierre le remerciant par
avance qu'elle devienne son modèle...Il lui proposa
pour commencer d'aller
faire un petit travail photographique dans un
magazine. Ses yeux brillaient
et la conversation avait pris très vite un tour badin.
Elle le draguais
gentiment et visiblement, cela l'amusait. Elle le
fixait dans les yeux, elle
avait l'impression d'être une proie, en même temps,
elle soupçonnait qui
c´était son opportunité.
- Alors allons-y !
Ils traversèrent le hall, se dirigeant vers les
ascenseurs.... et il l'a
laissa passer devant, en profitant pour admirer son
joli fessier que la robe
blanche ne dissimulait pas franchement. Avec un
sourire mi navré, mi
moqueur, sa ravissante compagne, lui appris qu'elle en
avait pour longtemps.
Pierre eut tout le loisir de détailler le dos de son
futur modèle.... Une
silhouette parfaite, une taille exceptionnellement
fine... Des jambes
superbes au galbe souligné par les hauts talons, mises
en valeur par la soie
qui les couvrait. Sa jupe courte avait la
particularité d'être plissée dans
sa partie basse, tandis que le haut moulait
magnifiquement ses fesses... Des
fesses à la rondeur parfaite, à la cambrure très
prononcée... Accentuant
encore la finesse de la taille...Ils prirent place
tous les trois dans
l'ascenseur... qui montait sans qu'ils n'échangèrent
une parole...
L'ascenseur s'arrêta à son étage... le portier leur
ouvrit la porte et
s'effaça... ils entrèrent dans le salon de la suite...
meublé d'une table
basse, d'un canapé, et de profonds fauteuils. Derrière
le canapé, une porte
était entrouverte sur la salle de bains... La réunion
eut lieu dans un petit
local surchauffé et mal éclairé. Trois longues tables
occupaient presque
totalement l'espace. Des rangées de câbles électriques
installés à la
presse, serpentaient entre les pattes de ces tables et
finissaient par
aboutir à des portables qui attendaient leur
utilisateur. D'un geste, il
invita Glacyanne à s'asseoir, lui indiquant d'une main
le profond
canapé....Elle s'assit timidement, les fesses tout au
bord de l'assise...
Les pieds joints. Le canapé assez bas donnait une vue
charmante sur ses
cuisses grâce à sa jupe légèrement remontée par sa
position.... Elle était
visiblement encore très tendue...Pierre prit alors la
parole :
- Vous savez, Glacyanne...prendre des photos de
quelqu'un... C'est un peu
fixer sur la pellicule des instants de sa vie...rien
de plus.... Soyez
naturelle... Oubliez l'appareil...vous allez bouger
comme si vous étiez
seule...
Tout en lui parlant doucement, Pierre installait
autour de la pièce trois
projecteurs parapluie et des réflecteurs de lumière un
peu partout dans la
pièce...L'installation terminée, Pierre prit en main
une cellule
photoélectrique, pour régler la lumière... Il sourit à
Glacyanne...
- Placez vous au centre des projecteurs, je vous
prie... Que je mesure la
réflexion de la lumière sur vos vêtements...les ombres
et les contrastes,
quand ils ne sont pas maîtrisés...retirent toute âme à
un cliché...
Elle se leva lentement, et vint se placer à l'endroit
indiqué par le
photographe...empruntée, elle se tenait droite, les
pieds joints et les bras
ballants, le long du corps....Il promena la cellule le
long du corps de la
jeune femme...
- Je suis prêt.... si voulez bien, nous allons
commencer... Restez à votre
place...et pivotez sur vous-même, comme si vous
cherchiez quelque chose
autour de vous...
Glacyanne commença, timidement...
- Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez...accélérez
vos
mouvements...faites bouger vos
cheveux...retournez-vous brusquement vers
l'objectif.
L'appareil crépitait...Elle se détendait peu à peu...
- A présent, allez vers la fenêtre, là bas... Et
retournez-vous vers moi, en
passant la tête par dessus votre épaule...
doucement...
Il lui prit ensuite de chercher dans l'armoire la
lingerie exigée par le
photographe : porte-jarretelles, bas, nuisettes
transparentes, guêpières,
bustiers, déshabillés transparent, soutien-gorge
balconnets, strings
brésiliens, ficelle...Glacyanne tenait dans la main un
sac qui contenait la
lingerie et des talons hauts. Glacyanne souriait,
parfaitement détendue à
nouveau, le jeu l'amusait visiblement et il la sentait
soulagée..
- Je peux utiliser votre salle de bains...Pierre ?
- Oui, bien sûr... Répondit Pierre d'une voix enrouée,
dit il en lui
indiquant d un geste la porte entrouverte...
Glacyanne soupira longuement...puis d'un pas assez
raide, se dirigea vers la
salle de bains...refermant la porte sur elle... Elle
fut obligée de prendre
plusieurs clichés... changeant à chaque fois une pièce
de sous-vêtements, en
différentes positions et lieux du salon, sous les
commentaires de son
photographe :
- Cambrez-vous mieux, offrez mieux votre cul !
Toute la lingerie fût essayée, et il était déjà au
sixième rouleau de
pellicule et à sa quatrième coupe de
champagne...Glacyanne, qui n'était
vêtue que d'un porte-jarretelles, de bas, et de hauts
talons, s'allongea
tout de suite sur le canapé. Il sentit son parfum, il
découvrit mieux son
beau visage exotique, ses yeux de braise, sa peau de
miel, son sourire de
fée !
- J'adore attirer les regards... qu'on se retourne sur
moi ! Dit Glacyanne
- Je vais vous faire des photos, vous ne passerez pas
inaperçue avec le
flash !
Puis ils iront faire des photos dans un ascenseur,
dans des escaliers en
string brésilien qui la mettait en valeur. Cet homme,
assez mignon, aux yeux
souriants semblait trouver ses formes très à son goût.
Et ses coups d'oil,
sourires et autres commentaires eurent vite fait de
lui faire comprendre ses
envies à son égard. Pour la première fois depuis
longtemps, elle se sentait
vraiment désirée.. Sa chatte n'en demanda pas plus
pour se remettre à
fonctionner, irradiant d'une douce chaleur son
bas-ventre, ses seins se
gonflaient un peu sous l'effet du désir.
A suivre....
famille, sage et réservée.
Elle avait suivit sa scolarité dans des établissements
privés où régnait une
discipline très stricte. Son père n´était pas fait
pour le 21ème siècle.
Ensuite elle avait été inscrite dans une école d'étude
de langues
étrangères. L´ambiance très libres l´avait beaucoup
perturbée et grandement
dissipée au détriment de sa présence aux cours. Elle
cherchait des
aventures. Son père ne pouvait ni ne voulait supporter
cela. Il tint conseil
avec sa mère et tous les deux convinrent que la seule
solution pour qu'elle
ne sombre pas dans l´épouvantable dérive de la
jeunesse, était de la faire
interner intégralement dans un collège où elle
pourrait suivre ses études
dans un cadre plus strict. Glacyanne fut donc
convoquée un jour à midi dans
le bureau attenant au petit salon de la grand maison
familiale. Son père
était assis dans la grand fauteuil de cuir fauve, sa
mère se tenait à ses
côtés.
- Ma fille ! Nous avons pris une décision concernant
votre avenir qui
permettra de conserver intactes toutes les valeurs que
nous vous avons
inculqués. Vous quitterez à la fin de cette semaine
votre école pour
rejoindre l'internat d'un collège...
Glacyanne ne pouvait pas se permettre la moindre
désapprobation face à ce
père si autoritaire. Elle demanda donc la permission
de se retirer, et
monta dans sa chambre ou elle éclata en sanglot en se
jetant sur son lit. Le
matin du grand jour, Glacyanne partit très tôt après
avoir respectueusement
embrassé ses parents, sa mère se leva. Elle se mit à
la fenêtre pour la voir
partir et elle resta accoudée sur le bord, entre deux
pots de géraniums,
vêtue de son peignoir qui était flottant. Glacyanne
monta dans l´autobus à
destination de Curitiba. Elle avait six cent dollars
dans son sac. Elle
avait 18ans, était à l´affût de tout et, bien décidée
à changer d´idée, elle
rêvait de tenter une carrière de top-model. Elle était
particulièrement
belle, radieuse d´ingénuité.
Elle se rendit compte exactement de ces premiers
instants de sa vie. Elle
était corrompue pas ces deux sirènes qui s´appelaient
succès et argent. Elle
avait une physionomie douce et céleste, c'était une
blonde naturel, elle
avait de grands yeux bleus pleins du plus tendre
intérêt, et une taille de
grâces. Elle mesurait un mètre quatre vingt deux et
était une pure beauté
avec un visage de poupée, des traits fins et des
jambes interminables. Ses
cheveux blonds semblaient de soie et tombaient en
cascade tout de long de
son dos, elle avait une peau de satin.
Elle avait toute la vie devant elle. Elle était
victime de son ambition de
gagner beaucoup d´argent.
Bientôt, Glacyanne fut informée qu´il lui fallait des
photos et un agent...
Au petit matin, quand elle se regardait dans le miroir
de la salle de bain
et que la nuit avait été courte, elle découvrit des
cernes qui lui donnaient
le visage d'une femme de vingt ans ! Elle se trouvait
vraiment laide. Elle
enfila un string qui lui rentrait dans la raie des
fesses et devant le tissu
laissait bien voir son minou bien poilu. Elle se vit
dans la glace dans une
chambre d´hôtel de 2° catégorie et elle fut gênée car
c'est comme si elle
n'avait rien !! Elle mit ensuite un soutien-gorge qui
tenait bien sa
poitrine (90C !) et qui se dressait bien. Le chemisier
était transparent et
laissait visiblement voir le soutif, elle mit ensuite un
paréo qui faisait
mini-jupe pour compléter le tout. Deux boutons ouverts
sur le renflement
d'une poitrine osée. Ses yeux étaient soulignés d'un
maquillage léger et
subtil qui rendait leurs couleur vert très fascinant.
Son parfum l'
enveloppait et son odeur musquée réveilla ses sens.
Dans le miroir elle ne se reconnut pas, elle faisait
allumeuse.
- J'ai besoin de me faire remarquer ! pensa Glacyanne.
Elle alla ensuite chercher une grosse agence de
top-model. Elle qui avait
toujours eu la peur de vide, c'était l´ironie de sort.
Elle était seule à
marcher le long des rangées interminables de voitures
en stationnement. Elle
était là encore, devant la porte, perdu dans ses
pensées, quand une
silhouette apparut au bout de la rue. Il s'approcha,
lui sourit et l´invita
à entrer. Glacyanne le suivit encore hypnotisé par son
sourire. Ce matin là,
elle faisait sensation avec sa jupe courte et ses
sandales à talons hauts.
Durant ces quelques secondes d'examen, elle le fixa et
il lui sembla que son
regard irradiait de douceur et de chaleur.
- Je suis photographe, je m´appelle Pierre.
Elle était devant lui, l´enveloppant de son parfum
capiteux, elle avait un
accent allemand qui achevait son charme. Pierre et
Glacyanne conversaient
depuis quelques minutes sur le métier de photographe,
ses attraits et ses
contraintes, ils échangèrent toutes les banalités
qu´on pouvait échanger sur
ce métier. Les choses ont commencé de façon
surprenante. Pierre ne tarit pas
d'éloges sur elle, qui n´en crut pas ses oreilles. Il
lui montra une revue
de mode.
- Vous pouvez faire mieux que ça !
- Avec-moi, vous n´avez pas de chance! Ma poitrine
n´est pas assez grosse.
- Vous n´avez pas une grosse poitrine, mais ce que je
vois là m´intéresse
beaucoup ! Vous-êtes superbe comme ça. Vous allez
plaire à tous les grands
couturiers. C'est eux qui se permettent de décider de
ce qui est "bien" ou
de ce qui n´est pas " bien" de porter et surtout
comment il faut le porter.
Sans parler des éditeurs de magazines. Le support de
mon travail, c´est
évidement les médias, la publicité, la télévision mais
aussi les revus et
magazines féminins. Je connus une personne que
dirigeait trois magazines et
une maison d´édition internationale, expliqua Pierre.
Il était sûre qu´aucun top-model qui travaillait dans
l´agence ne pouvait
être aussi jolie qu´elle. Sa candeur et sa naïveté
prouvaient qu´elle avait
grand besoin d´un guide professionnel dans la carrière
épineuse et, c´était
lui qui allait le faire...c´était un privilège très
rare de posséder un tel
modèle en mains... le photographe était vraiment drôle
et avait beaucoup de
charme. Les sensations fortes qu'elle avait ressenties
se mélangeaient à la
douceur et Glacyanne ne savait pas ce qu´il souhaitait
mais elle se sentait
très bien. Pierre commençait à l'énerver car il
n'arrêtait pas de faire la
gueule et il était en train d'obtenir le contraire de
ce qu'il voulait. Elle
ne savait pas ce qu'il voulait en réalité, mais elle
avait besoin d´un
travail urgent. La soirée fut charmante, pleine de
causeries, de rêves en
commun. Ils parlèrent de leur fortune future,
d'améliorations à introduire
dans leur ménage.
Rapidement, au bout de trois semaines, elle apprit à
défiler sur une
passerelle, et de poser devant une camera... Mais plus
que dans les bureaux,
c'était dans les ateliers qu'elle attisait la soif
d'une bonne cinquantaine
d'hommes et femmes. Tout ses collègues de bureaux
fantasmaient de faire
l´amour avec elle. Quelque fois Pierre lui caressait
ainsi le cuir chevelu
du bout des doigts, remontant de la nuque à la tempe
gauche, contournant
délicatement l'oreille dont il en effleurait le
pavillon avec l'extrémité du
pouce. Elle affectionnait ce geste. Il continuait
jusqu'à ce qu'un petit
frisson parcourait l'enveloppe corporelle de
Glacyanne. Il adorait la faire
frémir sous ses doigts. C'était son protecteur et elle
se sentait très
importante pour lui.
Glacyanne aimait être le centre de leurs intérêts et
d'après ses amies, ce
qu´elle pouvait deviner derrière leur regard lubrique
était bien éloigné de
la réalité. Une bonne partie d'entre eux étaient en
chaleur, elle devinait
leur sexe bouillir tout comme leur jus. Ça la rendait
folle d'excitation
quand elle se rendit compte qu'un bon nombre d'entre
eux seraient prêt à la
violer. Mais en réalité elle désirait être fidèle à
Pierre qui s'occupait de
sa carrière...
Tous les matins, c'était le même rituel, elle
s'amusait à les dédaigner et
son détachement produit un effet contraire, ça les
excitaient et ils étaient
prêt à tout donner pour qu´elle les regarde sur un
simple sourire et à
nouveau les appâter pour les laisser dans l'espoir
qu'un jour peut-être,
elle leur adresserait la parole... Chaque semaine,
elle surenchérit dans la
provocation, elle retouchait ses tenues pour jouer de
son physique. Quand
Pierre descendait dans les ateliers pour corriger
verbalement les rares
erreurs qu´elle avait faites, elle sentait que
certains étaient prêt à
passer le moindre de ses caprices et déjà, mais par sa
surprise Pierre
faisait le visage absent.
- Allons, mon pauvre ange, du courage, patience !
Au choc imprévu de cette phrase tombant sur sa pensée
comme une balle de
plomb dans un plat d'argent, Glacyanne tressaillant
leva la tête pour
deviner ce qu'il voulait dire et ils se regardèrent
silencieusement, presque
ébahis de se voir, tant ils étaient par leur
conscience éloignés l'un de
l'autre. Son travail était routinier et monotone. Les
contretemps étaient
nombreux et la tension constante. Son niveau de stress
était tout à fait
inexistant parce qu´elle aimait faire cela.
Souvent, elle prenait des poses équivoques et de
suite, elle devinait leur
émoi, tous les regards étaient rivés sur ses fesses,
ses seins et son rouge
qui était sans équivoque pour ceux qui la
connaissait... Mais, quoi qu'il en
soit, il manifestait de l'amour et la tendresse
manifeste mais il ne l'avait
toujours pas avoués à Glacyanne, elle avait toujours
été un excellent baume
aux coeur. Le trajet du boulot lui laissait le temps
d'apprécier les moments
de vie professionnelle. Elle aimait travailler toute
la semaine, mais elle
se décevait de plus en plus. Mais elle était si jolie
! Il en avait possédé
si peu d'une candeur pareille ! Cet relation sans
libertinage était pour
elle quelque chose de nouveau, et qui, la sortait de
ses habitudes faciles,
caressait à la fois son orgueil et sa sensualité.
Glacyanne était exaltée
que son bon sens bourgeois dédaignait, elle lui
semblait au fond du coeur
charmante, puisqu'elle s'adressait à sa personne.
Alors, sûr d'être aimé, il
ne se gêna pas, et insensiblement ses façons
changèrent. Bien sûr, Glacyanne
lui restait encore beaucoup à apprendre pour devenir
un parfait top model.
Mais elle était sur le bon chemin. Son éducation était
progressive, et il
avoua qu´il prenait beaucoup de plaisir à lui servir
de professeur.
Pierre entra dans l´atelier lui expliquant qu´il avait
un travail
photographique et, que les critères de sélection
étaient de prendre des
filles ayant un minimum l,75m pour présenter le plus
souvent des collections
de lingeries. Tous les filles sélectionnées avaient
entre 18 et 25ans, un
poste bien payé...
- Tu es sérieux ?
- J´ai jamais été aussi sérieux ! Quelqu´un doit vous
mettre sur le
circuit... nous pourrons alors échafauder ensemble un
scénario et tester
alors vos qualités de metteur en scène ou d'actrice.
- Je me sent tellement bête.
- Pourriez vous réaliser aujourd´hui quelques clichés
de vous ? Des photos
décentes bien-étendu, mon ange! rassurez vous... J´ai
envie de faire une
série de photos de vous comme texte. Nous en ferons
plusieurs en lingerie.
Glacyanne s´empressa alors d´accepter l´offre de
Pierre le remerciant par
avance qu'elle devienne son modèle...Il lui proposa
pour commencer d'aller
faire un petit travail photographique dans un
magazine. Ses yeux brillaient
et la conversation avait pris très vite un tour badin.
Elle le draguais
gentiment et visiblement, cela l'amusait. Elle le
fixait dans les yeux, elle
avait l'impression d'être une proie, en même temps,
elle soupçonnait qui
c´était son opportunité.
- Alors allons-y !
Ils traversèrent le hall, se dirigeant vers les
ascenseurs.... et il l'a
laissa passer devant, en profitant pour admirer son
joli fessier que la robe
blanche ne dissimulait pas franchement. Avec un
sourire mi navré, mi
moqueur, sa ravissante compagne, lui appris qu'elle en
avait pour longtemps.
Pierre eut tout le loisir de détailler le dos de son
futur modèle.... Une
silhouette parfaite, une taille exceptionnellement
fine... Des jambes
superbes au galbe souligné par les hauts talons, mises
en valeur par la soie
qui les couvrait. Sa jupe courte avait la
particularité d'être plissée dans
sa partie basse, tandis que le haut moulait
magnifiquement ses fesses... Des
fesses à la rondeur parfaite, à la cambrure très
prononcée... Accentuant
encore la finesse de la taille...Ils prirent place
tous les trois dans
l'ascenseur... qui montait sans qu'ils n'échangèrent
une parole...
L'ascenseur s'arrêta à son étage... le portier leur
ouvrit la porte et
s'effaça... ils entrèrent dans le salon de la suite...
meublé d'une table
basse, d'un canapé, et de profonds fauteuils. Derrière
le canapé, une porte
était entrouverte sur la salle de bains... La réunion
eut lieu dans un petit
local surchauffé et mal éclairé. Trois longues tables
occupaient presque
totalement l'espace. Des rangées de câbles électriques
installés à la
presse, serpentaient entre les pattes de ces tables et
finissaient par
aboutir à des portables qui attendaient leur
utilisateur. D'un geste, il
invita Glacyanne à s'asseoir, lui indiquant d'une main
le profond
canapé....Elle s'assit timidement, les fesses tout au
bord de l'assise...
Les pieds joints. Le canapé assez bas donnait une vue
charmante sur ses
cuisses grâce à sa jupe légèrement remontée par sa
position.... Elle était
visiblement encore très tendue...Pierre prit alors la
parole :
- Vous savez, Glacyanne...prendre des photos de
quelqu'un... C'est un peu
fixer sur la pellicule des instants de sa vie...rien
de plus.... Soyez
naturelle... Oubliez l'appareil...vous allez bouger
comme si vous étiez
seule...
Tout en lui parlant doucement, Pierre installait
autour de la pièce trois
projecteurs parapluie et des réflecteurs de lumière un
peu partout dans la
pièce...L'installation terminée, Pierre prit en main
une cellule
photoélectrique, pour régler la lumière... Il sourit à
Glacyanne...
- Placez vous au centre des projecteurs, je vous
prie... Que je mesure la
réflexion de la lumière sur vos vêtements...les ombres
et les contrastes,
quand ils ne sont pas maîtrisés...retirent toute âme à
un cliché...
Elle se leva lentement, et vint se placer à l'endroit
indiqué par le
photographe...empruntée, elle se tenait droite, les
pieds joints et les bras
ballants, le long du corps....Il promena la cellule le
long du corps de la
jeune femme...
- Je suis prêt.... si voulez bien, nous allons
commencer... Restez à votre
place...et pivotez sur vous-même, comme si vous
cherchiez quelque chose
autour de vous...
Glacyanne commença, timidement...
- Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez...accélérez
vos
mouvements...faites bouger vos
cheveux...retournez-vous brusquement vers
l'objectif.
L'appareil crépitait...Elle se détendait peu à peu...
- A présent, allez vers la fenêtre, là bas... Et
retournez-vous vers moi, en
passant la tête par dessus votre épaule...
doucement...
Il lui prit ensuite de chercher dans l'armoire la
lingerie exigée par le
photographe : porte-jarretelles, bas, nuisettes
transparentes, guêpières,
bustiers, déshabillés transparent, soutien-gorge
balconnets, strings
brésiliens, ficelle...Glacyanne tenait dans la main un
sac qui contenait la
lingerie et des talons hauts. Glacyanne souriait,
parfaitement détendue à
nouveau, le jeu l'amusait visiblement et il la sentait
soulagée..
- Je peux utiliser votre salle de bains...Pierre ?
- Oui, bien sûr... Répondit Pierre d'une voix enrouée,
dit il en lui
indiquant d un geste la porte entrouverte...
Glacyanne soupira longuement...puis d'un pas assez
raide, se dirigea vers la
salle de bains...refermant la porte sur elle... Elle
fut obligée de prendre
plusieurs clichés... changeant à chaque fois une pièce
de sous-vêtements, en
différentes positions et lieux du salon, sous les
commentaires de son
photographe :
- Cambrez-vous mieux, offrez mieux votre cul !
Toute la lingerie fût essayée, et il était déjà au
sixième rouleau de
pellicule et à sa quatrième coupe de
champagne...Glacyanne, qui n'était
vêtue que d'un porte-jarretelles, de bas, et de hauts
talons, s'allongea
tout de suite sur le canapé. Il sentit son parfum, il
découvrit mieux son
beau visage exotique, ses yeux de braise, sa peau de
miel, son sourire de
fée !
- J'adore attirer les regards... qu'on se retourne sur
moi ! Dit Glacyanne
- Je vais vous faire des photos, vous ne passerez pas
inaperçue avec le
flash !
Puis ils iront faire des photos dans un ascenseur,
dans des escaliers en
string brésilien qui la mettait en valeur. Cet homme,
assez mignon, aux yeux
souriants semblait trouver ses formes très à son goût.
Et ses coups d'oil,
sourires et autres commentaires eurent vite fait de
lui faire comprendre ses
envies à son égard. Pour la première fois depuis
longtemps, elle se sentait
vraiment désirée.. Sa chatte n'en demanda pas plus
pour se remettre à
fonctionner, irradiant d'une douce chaleur son
bas-ventre, ses seins se
gonflaient un peu sous l'effet du désir.
A suivre....
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