Les dessous de ma Biche 1
Récit érotique écrit par Polarix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les dessous de ma Biche 1
Ce soir de la St Sylvestre nous nous préparons pour le réveillon chez des amis. Marie-Paule termine son maquillage, le bâton de rouge à lèvres vif réchauffe déjà cette froideur hivernale. Je l'attends dans le hall d'entrée, elle ajuste les derniers détails et chausse sa paire de talons aiguilles. Le bruit du croisement de ses jambes revêtues de bas nylon noir est une sorte de mise en bouche pour cette soirée.
J'adore quelle soit jolie, sexy et désirable de tous. Elle et moi sommes de complicité à mettre en haleine l'appétit sexuel des hommes et rendre jalouses les femmes un peu frigides sur le sexe. Le petit tailleur noir bien ajusté, Marie-Paule laisse imaginer à ces messieurs les instants de plaisirs sexuels qu'ils pourraient partager avec une telle femme. Ses jambes se croisent, se décroisent, se recroisent, laissant apparaître les fines lanières de son porte-jarretelles. Le frottement de ses bas fait monter le mercure chez les hommes pendant que certaines de leurs femmes préfèrent s'exiler de courts instants à la cuisine sous prétextes de vouloir commencer le service des plats. La soirée se poursuit, l'ambiance devient de plus en plus chaude, ma femme quitte la veste de son tailleur, au plaisir de ses messieurs qui peuvent au travers du petit caraco noir en dentelle, entrevoir le soutient gorge coquin de ma partenaire, d'où pointent ses deux tétons. Les douze coups de minuit sonnent, nous échangeons nos vœux. Moi, je pense à ses mecs qui dans quelques heures vont avoir leur cigares en choux-fleur à force de bander dans leur slip. Le déhanchement de Marie-Paule rapportant les plats à la cuisine, provoquent le frottement de ses bas entre ses cuisses, et rythment ainsi avec le bruit de ses talons aiguilles sur le sol.. Mais le meilleur arrive quand ma compagne se penche pour ramasser une petite cuillère tombée sur le carrelage, sans plier les genoux juste en courbant l'échine, elle se baisse lentement et sensuellement laissant profiter à ses messieurs un panorama magnifique sur son cul qui l'avantage dans ses formes, un petit morceau d'étoffe noir et doré de son slip brésilien laisse imaginer la température de sa chatte. Il est 3h30 la soirée se termine, laissant aux mâles présents ce soir plein d'imagination pour leurs prochains fantasmes en se tapant certainement une bonne branlette en pensant à ma femme. Les quelques kilomètres pour rentrer à la maison sont pour mon épouse et moi , l'apéritif de cette soirée. Une main sur le volant, l'autre sur ses genoux je lui remonte la jupe, j'arrive à son string tout humide, là je lui enfonce légèrement le doigt dans son clitoris brûlant comme de la braise. Par petites touches successives je continue en me léchant le majeur. Marie-Paule se penche au niveau de ma ceinture et descend prudemment la braguette de mon pantalon, elle déballe de mon caleçon le membre déjà bien enflé qu'elle saisit du bout des doigts dont les ongles soigneusement peints de vernis rouge brillent dans la douce lueur de la nuit. Elle ouvre sa bouche gourmande, porte le gland de mon sexe entre ses lèvres pulpeuses, sa langue , tel un tourbillon aspire ma queue au fond de sa gorge. Le va et vient incessant de ses doigts, les clapotis de sa langue, l'aspiration de ses lèvres sur la totalité de ma bite, Marie-Paule me prépare à une chaude nuit pour assouvir notre appétit sexuel. Une fois à la maison, commence alors notre rite sexuel. Là nous jouons plutôt à l'amant et sa maîtresse, c'est d"avantage envoûtant et mystérieux et recherchons toujours des nouveautés pour pigmenter notre relation sexuelle. Pour commencer, je décide alors de faire quelques photos. Après quelques poses aguichantes, nous passons à des choses plus osées, dévoilant ses dessous de charme, comme son porte-jarretelles, ses bas, son string brésilien mis en valeur par la rondeur de son pétard. Ses exhibitions devant l'objectif continuent. Puis en se déhanchant, elle fait glisser sa jupe lentement le long de ses jambes en caressant son sexe. Elle s'allonge sur le lit, je lui offre un gode, s'assure du bon état des piles et débute alors un long moment d'intenses masturbations. Toujours vêtue de ses lingeries sexy, de ses bas et de ses talons aiguilles les clichés de son cul se succèdent. Le latex du vibromasseur s'échauffe sur les lèvres de sa chatte rasée, faisant ressortir sa vulve humide et gonflée. D'un petit signe de la tête, Marie-Paule m'invite à la rejoindre. J'installe l'appareil photo sur son pied et le positionne en mode automatique afin de mémoriser nos ébats. J'approche ma queue de sa bouche, pour continuer ce qu'elle si bien commencée dans la voiture. Les mains de ma femme occupées par ma bite et pétrissant mes testicules, je me saisis du gode lubrifié par son vagin et lui enfourne avec délicatesse et par petites rotations dans son gros cul. Je peux maintenant lui titiller son clitoris avec le bout de ma langue, tout en lui ramonant l'anus. Ses gémissements, accompagnent la succession des déclenchements de l'appareil photos. Elle remue, s'agite lui procurant ainsi encore plus de plaisirs, me sert la tête entre ses cuisse où le nylon de ses bas m'échauffe les joues.
Je me libère de cette posture, pour lui enfiler ma grosse queue dans son vagin. Je la prends par les deux trous, en la traitant de salope afin de lui donner plus d'ardeur. Les positions se succèdent, les lèvres de son clitoris s'enflamment sur le pourtour de ma bite. Elle hurle de jouissance profonde au point de faire profiter les voisins de l'appartement d'à côté, savoir que nous sommes écoutés par ces personnes, nous rends encore plus excité. Accroupie sur moi, cuisses écartées, ses talons aiguilles de part et d'autre de ma taille, elle s'envoie en l'air aidée par mes deux mains posées sous son cul. Coulissant sur la longueur de ma verge, Marie-Paule se déchaîne pour nous envoyer dans une extrême et dernière jouissance, poussant des hurlements de plaisirs intenses nous conduisant à l'ultime orgasme. Je la bascule sur le dos, me retire et l'asperge de mon précieux nectar avec lequel elle caresse les parties encore brûlante de son corps. La partie s'achève en ce début de matinée du jour de l'an, avec le sentiment d'avoir tous les deux fait partager les plaisirs coquins de notre complicité sexuelle, avec des photos comme merveilleux souvenir.
J'adore quelle soit jolie, sexy et désirable de tous. Elle et moi sommes de complicité à mettre en haleine l'appétit sexuel des hommes et rendre jalouses les femmes un peu frigides sur le sexe. Le petit tailleur noir bien ajusté, Marie-Paule laisse imaginer à ces messieurs les instants de plaisirs sexuels qu'ils pourraient partager avec une telle femme. Ses jambes se croisent, se décroisent, se recroisent, laissant apparaître les fines lanières de son porte-jarretelles. Le frottement de ses bas fait monter le mercure chez les hommes pendant que certaines de leurs femmes préfèrent s'exiler de courts instants à la cuisine sous prétextes de vouloir commencer le service des plats. La soirée se poursuit, l'ambiance devient de plus en plus chaude, ma femme quitte la veste de son tailleur, au plaisir de ses messieurs qui peuvent au travers du petit caraco noir en dentelle, entrevoir le soutient gorge coquin de ma partenaire, d'où pointent ses deux tétons. Les douze coups de minuit sonnent, nous échangeons nos vœux. Moi, je pense à ses mecs qui dans quelques heures vont avoir leur cigares en choux-fleur à force de bander dans leur slip. Le déhanchement de Marie-Paule rapportant les plats à la cuisine, provoquent le frottement de ses bas entre ses cuisses, et rythment ainsi avec le bruit de ses talons aiguilles sur le sol.. Mais le meilleur arrive quand ma compagne se penche pour ramasser une petite cuillère tombée sur le carrelage, sans plier les genoux juste en courbant l'échine, elle se baisse lentement et sensuellement laissant profiter à ses messieurs un panorama magnifique sur son cul qui l'avantage dans ses formes, un petit morceau d'étoffe noir et doré de son slip brésilien laisse imaginer la température de sa chatte. Il est 3h30 la soirée se termine, laissant aux mâles présents ce soir plein d'imagination pour leurs prochains fantasmes en se tapant certainement une bonne branlette en pensant à ma femme. Les quelques kilomètres pour rentrer à la maison sont pour mon épouse et moi , l'apéritif de cette soirée. Une main sur le volant, l'autre sur ses genoux je lui remonte la jupe, j'arrive à son string tout humide, là je lui enfonce légèrement le doigt dans son clitoris brûlant comme de la braise. Par petites touches successives je continue en me léchant le majeur. Marie-Paule se penche au niveau de ma ceinture et descend prudemment la braguette de mon pantalon, elle déballe de mon caleçon le membre déjà bien enflé qu'elle saisit du bout des doigts dont les ongles soigneusement peints de vernis rouge brillent dans la douce lueur de la nuit. Elle ouvre sa bouche gourmande, porte le gland de mon sexe entre ses lèvres pulpeuses, sa langue , tel un tourbillon aspire ma queue au fond de sa gorge. Le va et vient incessant de ses doigts, les clapotis de sa langue, l'aspiration de ses lèvres sur la totalité de ma bite, Marie-Paule me prépare à une chaude nuit pour assouvir notre appétit sexuel. Une fois à la maison, commence alors notre rite sexuel. Là nous jouons plutôt à l'amant et sa maîtresse, c'est d"avantage envoûtant et mystérieux et recherchons toujours des nouveautés pour pigmenter notre relation sexuelle. Pour commencer, je décide alors de faire quelques photos. Après quelques poses aguichantes, nous passons à des choses plus osées, dévoilant ses dessous de charme, comme son porte-jarretelles, ses bas, son string brésilien mis en valeur par la rondeur de son pétard. Ses exhibitions devant l'objectif continuent. Puis en se déhanchant, elle fait glisser sa jupe lentement le long de ses jambes en caressant son sexe. Elle s'allonge sur le lit, je lui offre un gode, s'assure du bon état des piles et débute alors un long moment d'intenses masturbations. Toujours vêtue de ses lingeries sexy, de ses bas et de ses talons aiguilles les clichés de son cul se succèdent. Le latex du vibromasseur s'échauffe sur les lèvres de sa chatte rasée, faisant ressortir sa vulve humide et gonflée. D'un petit signe de la tête, Marie-Paule m'invite à la rejoindre. J'installe l'appareil photo sur son pied et le positionne en mode automatique afin de mémoriser nos ébats. J'approche ma queue de sa bouche, pour continuer ce qu'elle si bien commencée dans la voiture. Les mains de ma femme occupées par ma bite et pétrissant mes testicules, je me saisis du gode lubrifié par son vagin et lui enfourne avec délicatesse et par petites rotations dans son gros cul. Je peux maintenant lui titiller son clitoris avec le bout de ma langue, tout en lui ramonant l'anus. Ses gémissements, accompagnent la succession des déclenchements de l'appareil photos. Elle remue, s'agite lui procurant ainsi encore plus de plaisirs, me sert la tête entre ses cuisse où le nylon de ses bas m'échauffe les joues.
Je me libère de cette posture, pour lui enfiler ma grosse queue dans son vagin. Je la prends par les deux trous, en la traitant de salope afin de lui donner plus d'ardeur. Les positions se succèdent, les lèvres de son clitoris s'enflamment sur le pourtour de ma bite. Elle hurle de jouissance profonde au point de faire profiter les voisins de l'appartement d'à côté, savoir que nous sommes écoutés par ces personnes, nous rends encore plus excité. Accroupie sur moi, cuisses écartées, ses talons aiguilles de part et d'autre de ma taille, elle s'envoie en l'air aidée par mes deux mains posées sous son cul. Coulissant sur la longueur de ma verge, Marie-Paule se déchaîne pour nous envoyer dans une extrême et dernière jouissance, poussant des hurlements de plaisirs intenses nous conduisant à l'ultime orgasme. Je la bascule sur le dos, me retire et l'asperge de mon précieux nectar avec lequel elle caresse les parties encore brûlante de son corps. La partie s'achève en ce début de matinée du jour de l'an, avec le sentiment d'avoir tous les deux fait partager les plaisirs coquins de notre complicité sexuelle, avec des photos comme merveilleux souvenir.
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