Les deux jumelles, soeurs de ma belle-fille...
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Les deux jumelles, soeurs de ma belle-fille...
Quelqu'un m'a demandé si ..les deux jumelles... j'ai... ben ...lisez...!
17 ans depuis si peu de temps. Et si jolies. Comme des ados en pleine forme, sportives qui pratiquent la natation en compétition, et aux traits si fins.
Ce sont les soeurs de Nathalie, ma belle-fille. Même taille de guêpe, seins déjà bien tentants, des jambes parfaites.
Et le fait qu’elles soient jumelles, je vous assure que c’est vraiment très stimulant.
En plus, du genre câlines et innocentes, elles sont facilement accolées à moi quand je parais. J’ai la cote, multipliant les petites offrandes, les paroles gentilles, je jouis d’une adorable aura.
L’autre jour par exemple, les deux sont venues s’asseoir sur les accoudoirs du fauteuil, me montrant des photos. Déjà vêtues de courtes robes qui ont vite laissé dépasser des petites culottes, c’était à celle qui se pencherait le plus, j’avais des jolis seins sous le nez, une odeur de jeune fille, des rires, bref, c’était un délice et un supplice de tantale. Impossible qu’elles n’aient pas vu mes regards chavirés sur leurs décolletés. Impossible que l’innocence aille jusqu’à ne pas comprendre que leurs jeunes corps, leur fraîcheur, me rendaient dingue.
Mais dans la maison pleine de nos deux familles… pff…
Il y avait aussi la piscine, jeux, corps collés dans mon dos ou même de face, ces deux naïades glissaient sous l’eau, je sentais leurs corps et leurs mains un peu partout sauf au plus essentiel des endroits.
Ce jour-là, l’une des deux semblait encore plus accrochée à mes basques. Elle parlait peu, ne riait plus mais me souriait presque tendrement. Ma main dans son dos pour l’attirer à moi ne sentait aucune résistance, deux ou trois fois j’eu ainsi le plaisir de sentir ma gazelle se plaquer, ses jambes autour de ma jambe. Quel moment de fièvre paradisiaque !
Et frustrant !
Tard le soir, je passais de la salle de bains à ma chambre et croisais Marion en nuisette minimaliste.
Immédiatement, le souvenir de sa grande sœur Nathalie, ma belle-fille, me vint... quels souvenirs et que je vous ai raconté.
Dans ce couloir, arrêtés l’un en face de l’autre, elle, sans rien sous la nuisette, moi en boxer, dont le contenu grandissait à vue d’œil…
Je m’approchais à la toucher.
Elle leva ses beaux yeux vers moi, ma main glissa dans son dos, jusqu’à ces fesses effleurées, son mouvement vers moi la colla un instant sur mon sexe ; mes lèvres sur sa joue, si près de ses lèvres… et qui ne se décollaient plus…
Quelques secondes d’une intensité incroyable.
Une envie de la soulever et de la porter sur son lit, de profiter de ce jeune corps, de cette bouche boudeuse à la chair fragile, de dévorer cette jeune fille, de lui montrer tout ce qu’un homme peut lui apporter de plaisir…
Et puis je réussis à m’écarter, poursuivre mon chemin, elle n’avait pas bougé.
Me retournant, le contre-jour de la lumière du couloir me montrait ses hanches graciles, ses jambes parfaites, cet espace en haut des cuisses et cette immobilité qui me disait clairement : oui, j’ai senti ton désir contre mon ventre, oui je suis prête à tout, oui j’ai envie moi aussi….
J’ai pas pu résister, et dans ce couloir ou elle a commencé à s’éloigner de moi, je suis retourné en arrière, j’ai caressé son ventre, remonté mes mains sur ses seins, elle s’est plaquée en arrière et son dos collé à moi, ma main est descendue jusqu’à son ventre, caressant, frôlant, parvenant en haut de ses jambes… sur ce pubis que je me contentais de caresser de la paume, caressé tout ce corps, appuyant mon sexe contre ses fesses….
Une minute, deux ? C’était merveilleux…Pas un mot mais une émotion partagée.
Un bruit et je filais, la laissant au milieu de ce couloir…ses petits pas qui foncent vers sa chambre.
Qu’est ce que j’ai fait ??? Ben t’as craqué bonhomme !!!
Une heure que je dors pas… L’envie de cette petite ne me lâche pas. Je me lève pour boire un verre d’eau, traverse le couloir et jette un œil à la porte ouverte de sa chambre.
Elle dort, si belle.
La nuisette au niveau du ventre, ses jambes, ses cuisses, la fourche de ses jambes….
Tout m’apparaît dans la pénombre.
J’entre.
Si belle, oui. Un visage d’ange, un corps de jeune femme. Je ne peux m’empêcher de comparer avec sa sœur aînée. Et aussi de me dire que la famille (leur mère, sa sœur) sont tellement avides de sexe quand elles sont lancées…Elle se tourne, je ne respire plus…
Ses jambes s’ouvrent, elle gémit doucement, elle doit rêver. De moi ???
Je veux juste humer, renifler cette jeune foufoune.
Et je repars, promis, juré!!
Mon nez est à quelques petits centimètres, je n’ose respirer de peur de la réveiller.
Délicates, subtiles fragrances. Mon envie est à son paroxysme. Je vais repartir quand … le ventre se soulève et que la petite chatte vient se coller à mon nez ! je lève les yeux, Marion me regarde, les yeux grand ouverts. Et elle lève son bassin à nouveau.
Et je craque et dépose un petit baiser là.
Juste le goût au bout de mes lèvres. Comment fais-je pour m’éloigner de cette vulve si attirante ? J’y parviens ! Ma bouche va chercher sur ses lèvres la récompense de cet acte héroïque.
Elle m’entoure le cou de ses bras, me donne sa bouche sans façon, une langue fraîche vient chercher la mienne. Je suis sur elle, mon corps la recouvre, notre baiser est fougueux, passionné, je veux satisfaire cette bouche qui quémande.
- Je vais chercher ma sœur me murmure-t-elle.
Devant mes yeux affolés elle continue
- On partage tout. Elle sait pour tout à l’heure. Attends. T’inquiète
Je n’ai pas bougé et sa sœur et elle sont là, plus désirables l’une que l’autre !
Et les deux veulent ma bouche et j’embrasse les deux.
Leurs langues dans ma bouche cherchant ma langue. Et je caresse les deux.
Mais je ne peux pas rester. C’est impossible…. Je murmure que demain on se débrouillera pour être seuls.
Chacune de mes mains caresse un minou et j’embrasse deux bouches aux lèvres si tendres.
Et puis je bas en retraite, je ressors de la salle de bain quand je croise le papa, qui me sourit.
Ouf, il a rien entendu.
Je vous parle du lendemain ?
17 ans depuis si peu de temps. Et si jolies. Comme des ados en pleine forme, sportives qui pratiquent la natation en compétition, et aux traits si fins.
Ce sont les soeurs de Nathalie, ma belle-fille. Même taille de guêpe, seins déjà bien tentants, des jambes parfaites.
Et le fait qu’elles soient jumelles, je vous assure que c’est vraiment très stimulant.
En plus, du genre câlines et innocentes, elles sont facilement accolées à moi quand je parais. J’ai la cote, multipliant les petites offrandes, les paroles gentilles, je jouis d’une adorable aura.
L’autre jour par exemple, les deux sont venues s’asseoir sur les accoudoirs du fauteuil, me montrant des photos. Déjà vêtues de courtes robes qui ont vite laissé dépasser des petites culottes, c’était à celle qui se pencherait le plus, j’avais des jolis seins sous le nez, une odeur de jeune fille, des rires, bref, c’était un délice et un supplice de tantale. Impossible qu’elles n’aient pas vu mes regards chavirés sur leurs décolletés. Impossible que l’innocence aille jusqu’à ne pas comprendre que leurs jeunes corps, leur fraîcheur, me rendaient dingue.
Mais dans la maison pleine de nos deux familles… pff…
Il y avait aussi la piscine, jeux, corps collés dans mon dos ou même de face, ces deux naïades glissaient sous l’eau, je sentais leurs corps et leurs mains un peu partout sauf au plus essentiel des endroits.
Ce jour-là, l’une des deux semblait encore plus accrochée à mes basques. Elle parlait peu, ne riait plus mais me souriait presque tendrement. Ma main dans son dos pour l’attirer à moi ne sentait aucune résistance, deux ou trois fois j’eu ainsi le plaisir de sentir ma gazelle se plaquer, ses jambes autour de ma jambe. Quel moment de fièvre paradisiaque !
Et frustrant !
Tard le soir, je passais de la salle de bains à ma chambre et croisais Marion en nuisette minimaliste.
Immédiatement, le souvenir de sa grande sœur Nathalie, ma belle-fille, me vint... quels souvenirs et que je vous ai raconté.
Dans ce couloir, arrêtés l’un en face de l’autre, elle, sans rien sous la nuisette, moi en boxer, dont le contenu grandissait à vue d’œil…
Je m’approchais à la toucher.
Elle leva ses beaux yeux vers moi, ma main glissa dans son dos, jusqu’à ces fesses effleurées, son mouvement vers moi la colla un instant sur mon sexe ; mes lèvres sur sa joue, si près de ses lèvres… et qui ne se décollaient plus…
Quelques secondes d’une intensité incroyable.
Une envie de la soulever et de la porter sur son lit, de profiter de ce jeune corps, de cette bouche boudeuse à la chair fragile, de dévorer cette jeune fille, de lui montrer tout ce qu’un homme peut lui apporter de plaisir…
Et puis je réussis à m’écarter, poursuivre mon chemin, elle n’avait pas bougé.
Me retournant, le contre-jour de la lumière du couloir me montrait ses hanches graciles, ses jambes parfaites, cet espace en haut des cuisses et cette immobilité qui me disait clairement : oui, j’ai senti ton désir contre mon ventre, oui je suis prête à tout, oui j’ai envie moi aussi….
J’ai pas pu résister, et dans ce couloir ou elle a commencé à s’éloigner de moi, je suis retourné en arrière, j’ai caressé son ventre, remonté mes mains sur ses seins, elle s’est plaquée en arrière et son dos collé à moi, ma main est descendue jusqu’à son ventre, caressant, frôlant, parvenant en haut de ses jambes… sur ce pubis que je me contentais de caresser de la paume, caressé tout ce corps, appuyant mon sexe contre ses fesses….
Une minute, deux ? C’était merveilleux…Pas un mot mais une émotion partagée.
Un bruit et je filais, la laissant au milieu de ce couloir…ses petits pas qui foncent vers sa chambre.
Qu’est ce que j’ai fait ??? Ben t’as craqué bonhomme !!!
Une heure que je dors pas… L’envie de cette petite ne me lâche pas. Je me lève pour boire un verre d’eau, traverse le couloir et jette un œil à la porte ouverte de sa chambre.
Elle dort, si belle.
La nuisette au niveau du ventre, ses jambes, ses cuisses, la fourche de ses jambes….
Tout m’apparaît dans la pénombre.
J’entre.
Si belle, oui. Un visage d’ange, un corps de jeune femme. Je ne peux m’empêcher de comparer avec sa sœur aînée. Et aussi de me dire que la famille (leur mère, sa sœur) sont tellement avides de sexe quand elles sont lancées…Elle se tourne, je ne respire plus…
Ses jambes s’ouvrent, elle gémit doucement, elle doit rêver. De moi ???
Je veux juste humer, renifler cette jeune foufoune.
Et je repars, promis, juré!!
Mon nez est à quelques petits centimètres, je n’ose respirer de peur de la réveiller.
Délicates, subtiles fragrances. Mon envie est à son paroxysme. Je vais repartir quand … le ventre se soulève et que la petite chatte vient se coller à mon nez ! je lève les yeux, Marion me regarde, les yeux grand ouverts. Et elle lève son bassin à nouveau.
Et je craque et dépose un petit baiser là.
Juste le goût au bout de mes lèvres. Comment fais-je pour m’éloigner de cette vulve si attirante ? J’y parviens ! Ma bouche va chercher sur ses lèvres la récompense de cet acte héroïque.
Elle m’entoure le cou de ses bras, me donne sa bouche sans façon, une langue fraîche vient chercher la mienne. Je suis sur elle, mon corps la recouvre, notre baiser est fougueux, passionné, je veux satisfaire cette bouche qui quémande.
- Je vais chercher ma sœur me murmure-t-elle.
Devant mes yeux affolés elle continue
- On partage tout. Elle sait pour tout à l’heure. Attends. T’inquiète
Je n’ai pas bougé et sa sœur et elle sont là, plus désirables l’une que l’autre !
Et les deux veulent ma bouche et j’embrasse les deux.
Leurs langues dans ma bouche cherchant ma langue. Et je caresse les deux.
Mais je ne peux pas rester. C’est impossible…. Je murmure que demain on se débrouillera pour être seuls.
Chacune de mes mains caresse un minou et j’embrasse deux bouches aux lèvres si tendres.
Et puis je bas en retraite, je ressors de la salle de bain quand je croise le papa, qui me sourit.
Ouf, il a rien entendu.
Je vous parle du lendemain ?
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Délicieux récit... qui me rappelle bien des souvenirs...
VITE LA SUITE !
MaîtreChat
VITE LA SUITE !
MaîtreChat
Si Florence veut corriger... la suite est prête, sourire....
Oh oui, on veux tout savoir sur le lendemain ! Et sur les autres fois, s'il y'en a...
ouiiiiiiiiiiiiiiiiii
Vite la suite ;-)