Les dieux antiques
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Les dieux antiques
Les dieux antiques.
Les prêtres de notre religion font parti de la bonne classe de la confrérie. C'est souvent vrai, sauf que je suis une de ces prêtresses qui officie. Mon corps est le seul de la région à servir pour que les amoureux aient leurs chances entre eux. Certains envient mon sacerdoce. Pourtant, moi, Daget, (ce qui veut dire naine. Pourtant je suis de taille normale) , suis la seule à pratiquer mon art.
Dans la chaleur étouffante du fleuve j'ai la chance de vivre nue. Souvent un couple vient me voir pour que les dieux acceptent leur union. Il me doivent d'abord un sacrifice ; une douzaine d’œufs, un poulet, un canard..... Ce qui me convient pour cuisiner ensuite. Je ne crois en rien de tout ça, j'en profite, comme d'autre des morts ou des naissances. J'ai remarqué depuis longtemps que les jeunes gens viennent me voir au printemps quand le sève monte. La plus part est constituées de fille et garçon. Rarement de couple de même sexe.
La principale question est comment avoir un plus grand plaisir. Je commence toujours, c'est moralement une obligation, par les sens de la fille. Lui reste comme un imbécile à regarder. Il apprend au moins à embrasser convenablement une belle bouche féminine. J'entreprends ensuite la conquête totale de la jeune femme. Je la dénue totalement devant l'autel du dieu. Je suis derrière elle, je peux ainsi lui caresser les fesses avec mon ventre (j'aime commencer ainsi), en plus elle sens les poils du pubis. Mes mains vont de ses épaules, en descendant très lentement vers sa poitrine. J'aime bien les sentir gonfler un peu.
Je m'attarde, par vice, sur les tétons. Je me tourne vers elle pour lui sucer le bout des seins. La plus part du temps elle m'en demande encore. Ah, cet encore, que j'aime l'entendre souvent. La plus part du temps le soupirant commence à bander, je le vois sous son peu de vêtement. Je lui pose une main juste sur sa partie poilues. J'aime bien cette douce sensation d'un pubis bientôt envahi par le plaisir.
Je la supporte un peu quand ma main est sur son sexe. Elle ne sait pas encore ce que Daget va lui faire.
Daget fait son travail de prêtresse. Avec dans les yeux la verge divine d'Apis. Mes doigts glissent lentement dans son ventre mouillé.
Si l'amant le veut, il peut sacrifier à son dieu, celui de la masturbation.Il peut même jeter des gouttes de semences, ce sera un signe de fertilité pour le futur couple. Daget dégage le fourreau du petit clitoris. Je le caresse doucement, presque pas assez. Elle réagit doucement en remuant son bas ventre. J'attends un instant pour qu'elle soit secouée de douleurs proches de l'orgasme. J'entre un doigt, le troisième, le sacré pour venir dans son reliquaire au plaisir. Je ne force pas, sinon je l'endommagerais. Quand elle est prête, remplie de son liquide, le doigt peut mener son office. Quelques rare fois elle sait de quoi il s'agit pour le faire elle même. Dans mon pays, c'est une rareté, il faut attendre le mariage pour qu'elle se satisfasse seule. Mais je fais comme si je ne savais rien.
Une fois cette première épreuve passée, elle doit se pencher en avant. Je regarde sa sortie, son cul quoi. Des fois il est ouvert en partie : elle en a eu l'usage. Je mets un doigt, le sacré toujours. Il caresse doucement les alentours pour venir vérifier la suite.
J'aime bien entrer mon doigt dans un cul neuf ou presque. Je le mets un instant, je le sorts pour le sentir et le lécher avant de le plonger encore.Il entre tout doucement, les plis des phalanges passent doucement. J'adore le fait que le cul se referme un peu pour s'ouvrir à nouveau totalement.
Je fini l'examen par un dernier baiser sur la bouche.
C'est au tour de l'amoureux de venir apprendre quelques machins. Ils m'étonnent toujours avec leurs airs supérieurs, ces ignorants de la baise.. Juste bon à entrer, jouir et sortir la queue basse.
C'est avec eux que j'ai le plus de besogne, non pas que je déteste, mais je tombe souvent sur les excités de la quéquette.
Je leur tend les bras langoureusement. Ils viennent vite coller leur bouches sur la mienne. Je dois leur apprendre à mettre leur langue dans ma bouche. Je fais bouger ma mienne contre le leur. Je suis obligé de me séparer de leur corps envahissant. Ils comprennent mieux quand mon pubis est contre eux, que je caresse des fesses dures, que des fois je passe mes doigts dans la raie, pour les amateurs j'arrive à entrer un ou deux doigts dans leurs culs tous jeunes.
Je suis bien obligée de prendre leur main de la mettre sur mon nid à particules érotiques. Là, il comprennent que j'ai moi aussi un sexe qui demande être comblé. Ils comprennent tous qu’il faut me baiser, que je suis là pour ça. Ce qu'ils ne savent pas c'est que j'aime ça aussi. Je suis contre l'autel, je m'y assois presque, leur donnant le principal de mon corps. Je les arrête s'ils sont trop rapide, ou au contraire, je les secoue pour qu'il me baissent bien. J'aime la première pénétration ; celle qui décide de leur avenir sexuel. Je regarde le gland venir en moi dégagé du prépuce. Pour eux c'est la découverte qu'il existe quelque chose de meilleur que la masturbation, même si tous continuent longtemps.
C'est pour ce genre de séance que les autres prêtes m'en veuille. Les jaloux ; ils se paient plein de mortelles quand ils veulent et malheureusement où il veulent, sauf dans mon temple.
Les prêtres de notre religion font parti de la bonne classe de la confrérie. C'est souvent vrai, sauf que je suis une de ces prêtresses qui officie. Mon corps est le seul de la région à servir pour que les amoureux aient leurs chances entre eux. Certains envient mon sacerdoce. Pourtant, moi, Daget, (ce qui veut dire naine. Pourtant je suis de taille normale) , suis la seule à pratiquer mon art.
Dans la chaleur étouffante du fleuve j'ai la chance de vivre nue. Souvent un couple vient me voir pour que les dieux acceptent leur union. Il me doivent d'abord un sacrifice ; une douzaine d’œufs, un poulet, un canard..... Ce qui me convient pour cuisiner ensuite. Je ne crois en rien de tout ça, j'en profite, comme d'autre des morts ou des naissances. J'ai remarqué depuis longtemps que les jeunes gens viennent me voir au printemps quand le sève monte. La plus part est constituées de fille et garçon. Rarement de couple de même sexe.
La principale question est comment avoir un plus grand plaisir. Je commence toujours, c'est moralement une obligation, par les sens de la fille. Lui reste comme un imbécile à regarder. Il apprend au moins à embrasser convenablement une belle bouche féminine. J'entreprends ensuite la conquête totale de la jeune femme. Je la dénue totalement devant l'autel du dieu. Je suis derrière elle, je peux ainsi lui caresser les fesses avec mon ventre (j'aime commencer ainsi), en plus elle sens les poils du pubis. Mes mains vont de ses épaules, en descendant très lentement vers sa poitrine. J'aime bien les sentir gonfler un peu.
Je m'attarde, par vice, sur les tétons. Je me tourne vers elle pour lui sucer le bout des seins. La plus part du temps elle m'en demande encore. Ah, cet encore, que j'aime l'entendre souvent. La plus part du temps le soupirant commence à bander, je le vois sous son peu de vêtement. Je lui pose une main juste sur sa partie poilues. J'aime bien cette douce sensation d'un pubis bientôt envahi par le plaisir.
Je la supporte un peu quand ma main est sur son sexe. Elle ne sait pas encore ce que Daget va lui faire.
Daget fait son travail de prêtresse. Avec dans les yeux la verge divine d'Apis. Mes doigts glissent lentement dans son ventre mouillé.
Si l'amant le veut, il peut sacrifier à son dieu, celui de la masturbation.Il peut même jeter des gouttes de semences, ce sera un signe de fertilité pour le futur couple. Daget dégage le fourreau du petit clitoris. Je le caresse doucement, presque pas assez. Elle réagit doucement en remuant son bas ventre. J'attends un instant pour qu'elle soit secouée de douleurs proches de l'orgasme. J'entre un doigt, le troisième, le sacré pour venir dans son reliquaire au plaisir. Je ne force pas, sinon je l'endommagerais. Quand elle est prête, remplie de son liquide, le doigt peut mener son office. Quelques rare fois elle sait de quoi il s'agit pour le faire elle même. Dans mon pays, c'est une rareté, il faut attendre le mariage pour qu'elle se satisfasse seule. Mais je fais comme si je ne savais rien.
Une fois cette première épreuve passée, elle doit se pencher en avant. Je regarde sa sortie, son cul quoi. Des fois il est ouvert en partie : elle en a eu l'usage. Je mets un doigt, le sacré toujours. Il caresse doucement les alentours pour venir vérifier la suite.
J'aime bien entrer mon doigt dans un cul neuf ou presque. Je le mets un instant, je le sorts pour le sentir et le lécher avant de le plonger encore.Il entre tout doucement, les plis des phalanges passent doucement. J'adore le fait que le cul se referme un peu pour s'ouvrir à nouveau totalement.
Je fini l'examen par un dernier baiser sur la bouche.
C'est au tour de l'amoureux de venir apprendre quelques machins. Ils m'étonnent toujours avec leurs airs supérieurs, ces ignorants de la baise.. Juste bon à entrer, jouir et sortir la queue basse.
C'est avec eux que j'ai le plus de besogne, non pas que je déteste, mais je tombe souvent sur les excités de la quéquette.
Je leur tend les bras langoureusement. Ils viennent vite coller leur bouches sur la mienne. Je dois leur apprendre à mettre leur langue dans ma bouche. Je fais bouger ma mienne contre le leur. Je suis obligé de me séparer de leur corps envahissant. Ils comprennent mieux quand mon pubis est contre eux, que je caresse des fesses dures, que des fois je passe mes doigts dans la raie, pour les amateurs j'arrive à entrer un ou deux doigts dans leurs culs tous jeunes.
Je suis bien obligée de prendre leur main de la mettre sur mon nid à particules érotiques. Là, il comprennent que j'ai moi aussi un sexe qui demande être comblé. Ils comprennent tous qu’il faut me baiser, que je suis là pour ça. Ce qu'ils ne savent pas c'est que j'aime ça aussi. Je suis contre l'autel, je m'y assois presque, leur donnant le principal de mon corps. Je les arrête s'ils sont trop rapide, ou au contraire, je les secoue pour qu'il me baissent bien. J'aime la première pénétration ; celle qui décide de leur avenir sexuel. Je regarde le gland venir en moi dégagé du prépuce. Pour eux c'est la découverte qu'il existe quelque chose de meilleur que la masturbation, même si tous continuent longtemps.
C'est pour ce genre de séance que les autres prêtes m'en veuille. Les jaloux ; ils se paient plein de mortelles quand ils veulent et malheureusement où il veulent, sauf dans mon temple.
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