Les effets de l'huile d'argan

Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Les effets de l'huile d'argan
Nozha Resort Club, Hammamet
Dein Arsch ist sooo… verdammt eng, Kerl… a-t-il murmuré.
J’adore l’allemand. Oui, bon, l’Allemand avec une majuscule aussi, qui me lime le rectum, debout, appuyé au palmier, bien sûr, mais je veux parler de la langue… Je le sais, que j’ai ‘le cul putain de serré’ mais c’est plus joli dans d’autres dialectes. Depuis une semaine, je l’ai entendu en anglais, en italien, en néerlandais et en russe…
- Doucement… Langsam... Ooooh…
‘Non, mais non ! Excité comme il l’est, il va jouir trop vite’ ai-je pensé, même dans cette position, avec les pénétrations limitées à la première moitié de mon rectum qui assurent la stimulation de ma prostate, c’est déjà ça... Sauf que ça a fini par le frustrer, pour compenser, il a pistonné de plus en plus vite.
- Ich werde abspritzen…
- Ah non, mec, tu ne jouis pas en moi ! Nicht in… euh… mich.
Je l’ai éjecté pour me retourner vers lui et le trouver, un peu piteux, les doigts serrés sur sa bite raide au gland appétissant, luisant de son présperme, et peut-être un peu de mon mucus anal.
- OK, je vais te sucer la bite, c’est bon, ai-je soufflé en m’agenouillant, pour poser mes lèvres juste derrière son fruit rouge.
Il s’est branlé énergiquement et a craché cinq salves de semence sur ma langue, que j’ai avalées.
- Also… sussélabitt… ist süß, danke !
Bien sûr que c’est doux, mieux que ta meuf ne te le fait, mec.
On a contourné le mur et rejoint la terrasse où il est allé retrouver sa petite famille, pendant que, de l’autre côté de la piscine, j’ai croisé le regard - et le sourire narquois - du jeune Tunisien affecté au pool bar, qui a pointé son visage, puis le mien… ‘J’ai le visage rougi, j’ai capté, merci’.
Pour reprendre contenance, j’ai plongé dans l’eau pour tracer un crawl assez décent, sauter sur la margelle, et aller m’asseoir au pied de la chaise longue où Georges subit la conversation d’une quarantenaire blonde qui lui tape clairement sur le système, j’attends la goutte qui va faire déborder le vase.
Il a donné le signal en entrechoquant les glaçons dans son verre vide, et j’ai demandé ‘’Tu veux un gin tonic, daddy ?’’
- Je ne juge évidemment pas, cher monsieur, mais vous rentabilisez le forfait all inclusive…
- Je pense au contraire que vous le faites, bien que ça vous regarde effectivement peu, a-t-il claqué.
Vexée, elle a repris ‘’Mais… Hmmm… En tout cas, votre fils est charmant, lui, et très beau garçon, il doit tenir sa mère.’’
- Jérémie n’est pas mon fils, madame.
- Mais il vous a appelé…
- Il est charmant, mais je n’y suis pour rien, je ne l’ai pas élevé, je lui ai juste appris quelques petites choses… Et daddy, ce n’est qu’un terme, ce petit lutin cruel aime souligner notre différence d’âge… Mais je n’ai jamais rencontré sa mère, elle désapprouve le fait qu’un homme qui a celui d’être son père lui ait volé sa candeur et sa virginité…
- Sa vir… ?
- Il m’accorde sa jeunesse et son corps, je lui offre l’expérience et l’endurance de la maturité, voilà.
Elle s’est levée d’un bond, et a filé.
- Alors, tu reprends la même chose ? Mais nooon, tu n’abuses pas, je t’assure, Georges.
Le mec du pool bar m’a dévisagé avec un sourire.
- Ouais, je sais… la même chose, s’il vous plait… euh… Mehdi, ai-je ajouté, après un regard sur la plaquette épinglée sur son polo. ‘’Plus de gin que de tonic pour lui, merci.’’
- Verts.
- Bien sûr, dans un verre, pas toute la bouteille.
- Non, tes yeux, ils sont verts, et les cheveux clairs… tu augmentes le risque de coup de soleil.
Il me tutoie ? Il a quel âge, lui ? OK, juste dans les vingt-cinq, deux-trois de plus que moi… Après, les boucles noires, les yeux marrons, il n’a surement pas ce problème…
- Gin tonic, ice tea pour le jeune homme… et pommade à l’huile d’argan pour ta peau sensible de joli petit Européen.
Je vais pas lui dire que ma muqueuse rectale l’est sont encore plus, il ne s’est pas une grosse schwantz dans le cul, lui ! Mais sinon, il me dragouille ou quoi ?
- Ou alors, je reste dans ma chambre, vu l’ambiance mortelle du club, je ne raterai rien.
- Ce serait dommage, tu dois profiter de tes vacances… Le Club Paradisio ouvre à 22h, dehors, à cent mètres d’ici, des gazelles… ou des gazous…
On a encore trainé à la piscine jusqu’à vingt heures, et quand j’ai ramené les derniers verres vides au bar, j’ai demandé ‘’Je la trouve où, cette pommade au machin, au fait ?’’
- À l’huile d’argan, c’est trop tard, tout est fermé… J’en ai dans ma chambre, je suis de service au restaurant jusqu’à 22h, mais ensuite, si tu peux… tenir jusque-là, a-t-il dit avec un sourire entendu, ‘’Je te promets que tu apprécieras mon traitement.’’
J’ai fait durer le repas, après les huit gin tonic sur l’après-midi, il a descendu seul une bouteille de chardonnay du Cap Bon, j’ai raccompagné daddy, légèrement titubant, au troisième étage.
- C’est c-con que la pétasse ne loge p-pas dans la cham-am-ambre voisine, parce que je v-vais te faire gémir, Jé…rémie !
- Avec le coup de soleil que je me suis pris, je vais même hurler, non merci… Oh, le mec du bar a parlé d’une pommade, j’ai oublié le nom, je vais vite le lui demander, allonge-toi déjà, je reviens.
Ou pas, c’est mort pour ce soir, mon vieux Georges…
J’ai attendu Mehdi à l’entrée du restaurant, et l’ai suivi pour traverser le jardin du club.
- Vous êtes logés dans un bâtiment séparé ?
- La direction ne veut pas qu’on se mélange avec les clients…
- C’est calme, même désert, et tes collègues ?
- Ils… se mélangent… avec les clientes… Viens, entre, a-t-il glissé, en m’invitant dans une pièce spartiate meublée d’un placard et d’un lit à une place. ‘’Retire ton tee-shirt, pour éviter les taches, je vais faire de même’’ a-t-il dit en virant son polo, pour exposer un poitrail appétissant.
Il a sorti deux tubes de l’armoire, l’un sans marque, et un autre qu’il a jeté avec un sourire discret sur le matelas, du bleu caractéristique des produits Durex, avant de se poster dans mon dos, et d’y appliquer son onguent artisanal, de passer les mains sur mes flancs puis sur mon ventre, et finir par glisser les doigts sous la ceinture de mon shorty, que j’ai déboutonné.
- Tu veux que je me retourne ?
- Proposition à double sens… J’ai terriblement envie de te posséder, à toi de choisir la position…
- Je préfère voir le garçon qui me fait l’amour, ai-je soufflé en lui faisant face, pour passer le regard de ses yeux sombres sur son torse, puis son sarouel qu’il a dénoué, libérant le membre qui en tendait déjà le tissu, de longueur moyenne mais épais et terminé par un gland évidemment dégagé.
L’occasion de vérifier ma ‘théorie Yaël’, née le mois dernier lorsque, frustré par la levrette agressive de l’étudiant Erasmus israélien, dans le vestiaire désert du centre sportif de la fac, j’avais imposé un missionnaire qui avait triplé les sensations sur ma prostate, pour ensuite un plaisir exponentiel avant qu’il me tapisse le coude du côlon de sperme.
Il m’a tiré de mes pensées en retournant vers le rangement, pour en sortir une pochette de capote.
- Comme tu veux, mais je suis sous PrEP… traitement préventif…
Il a affiché un sourire lubrique et s’est rapproché, je suis tombé à genoux pour le prendre en bouche, et confirmer au toucher de la langue ce que je soupçonnais déjà, la peau du gland plus rugueuse, et la couronne comme légèrement endurcie par des années de frottement dans les sous-vêtements.
J’ai couvert sa hampe de salive avant de me relever, en virant d’un geste mon pantacourt et mon speedo, pour me jeter sur le lit. ‘’Absolument, de face, tu es superbe… Viens doucement, tu es très large…’’
- Je ne veux pas faire pleurer ces beaux yeux, je veux y voir le plaisir, a-t-il murmuré en appliquant le contenu du second tube sur mon sphincter et sur sa barre, avant de s’allonger entre mes cuisses, pour presser son gland sur l’accès à mon intimité.
Mes craintes étaient injustifiées, pas son premier rodéo, il s’est lentement introduit en moi, jusqu’à caler son nœud sur ma prostate, où je l’ai maintenu un moment, justifiant le temps de m’habituer à sa queue pour profiter de la stimulation décidément bien plus efficace de ma glande si sensible.
- Tu es… étroit, beau garçon…
- N’éjacule pas, attends ! ai-je dit pour le retenir, en ajoutant ‘’Mon mec dit que je le suis encore plus quand je jouis, puis toi, tu es parfait… de partout, je voudrais avoir eu mon plaisir pour voir le tien !’’
Bref, exactement le bobard que j’avais sorti le premier soir à Georges, avant qu’il imagine prendre mon innocence, alors déjà perdue… Aucun mec ne résiste à la flatterie, ni à un défi, d’ailleurs.
- Viens, doucement… plus loin… Aaaaah…
- Ça va ? C’est… Tu es si… si serré…
- Rega-aaarde, ai-je gémi, en attirant son regard sur mon petit gland à moitié décalotté et le filet de présperme qui en coule, avant d’enrouler mes doigts sur ma tige et, en quelques mouvements, d’envoyer mes jets de sperme sur mon ventre.
- Je v… je vais…
- Ne t’arrête pas, viens… fooooort !
Un bras tendu posé sur le matelas, l’autre main serrée sous ma cuisse enroulée sur sa taille, il a redressé le torse et m’a fixé, le regard brillant, la mâchoire serrée, les ailes de son nez dilatées, les pénétrations de sa queue épaisse devenant erratiques… ‘’Aaah… Aaaaah…’’ alors que je profite des répliques de mon plaisir. ‘’J’ai joui en toi, tu as dit…’’
- Et j’ai adoré, toi aussi, tu es très beau dans le plaisir.
Je suis remonté à la chambre, pour y trouver Georges, à moitié endormi. ‘’Je viens d’émerger, et tu n’étais pas là.’’
- J’étais… à l’infirmerie, pour la pommade, puis j’ai trainé un moment qu’elle pénètre bien, ai-je dit, en virant mes fringues, avant de m’allonger sur le ventre.
Le réveil habituel, ses lèvres qui courent sur ma nuque, sa queue raide qui glisse entre mes fesses.
- Naaan, pas comme ça, j’aime pas par derrière…
- Et pas en missionnaire, pour le coup de soleil, j’ai capté, il a grogné en se rallongeant sur le dos, pour saisir sa queue raide et ajouter ‘’Mais sur moi, en andromaque… J’ai envie de toi, Jérémie.’’
‘Et pourquoi pas ?’ ai-je pensé, en remontant son corps, à genoux, avant de m’empaler lentement, en gérant la pénétration.
- Efficace, cette crème, elle détend même le sphincter, on dirait… Et on t’en a mis jusque dans le rectum ? Ma bite coulisse plutôt bien…
- Ça… ou le so-ooo-leil de Tunisie, on s’en fout, daddyyyyy !
Il ne s’est pas vanté auprès de la blonde, hier, à la piscine, côté endurance, il assure toujours. J’ai eu le temps d’avoir une érection complète, pour m’astiquer la queue et encore jouir sur son torse.
Après le petit déj’, on a rejoint la piscine, il a foncé au pool bar pour en revenir avec mon ice tea et son premier gin tonic de la journée.
- Le barman, il s’appelle Mehdi.
- Ah ?
- Quand j’étais petit, il y avait une série à la télé, c’était le prénom du garçon, il était mignon… Oui, d’accord, c’est vieux, tu ne connais pas, jeune inculte… Tu savais que les Arabes sont circoncis ? Comme les Juifs, je crois…
- Comment le saurais-je, Georges ?
- Je préfère les garçons intacts, surtout toi, ta queue se raidit, ton prépuce se retire doucement et plop ! ton adorable petit gland luisant émerge, c’est trop joli… Putain, je bande, là. On remonte ?
- Mon bronzage ! Je veux brunir même entre les orteils, ai-je dit en les écartant en éventail.
- Tu es beau de la tête aux pieds, et c’est rien que pour moi.
- Bien sûr, Georges, tu le sais…
Dein Arsch ist sooo… verdammt eng, Kerl… a-t-il murmuré.
J’adore l’allemand. Oui, bon, l’Allemand avec une majuscule aussi, qui me lime le rectum, debout, appuyé au palmier, bien sûr, mais je veux parler de la langue… Je le sais, que j’ai ‘le cul putain de serré’ mais c’est plus joli dans d’autres dialectes. Depuis une semaine, je l’ai entendu en anglais, en italien, en néerlandais et en russe…
- Doucement… Langsam... Ooooh…
‘Non, mais non ! Excité comme il l’est, il va jouir trop vite’ ai-je pensé, même dans cette position, avec les pénétrations limitées à la première moitié de mon rectum qui assurent la stimulation de ma prostate, c’est déjà ça... Sauf que ça a fini par le frustrer, pour compenser, il a pistonné de plus en plus vite.
- Ich werde abspritzen…
- Ah non, mec, tu ne jouis pas en moi ! Nicht in… euh… mich.
Je l’ai éjecté pour me retourner vers lui et le trouver, un peu piteux, les doigts serrés sur sa bite raide au gland appétissant, luisant de son présperme, et peut-être un peu de mon mucus anal.
- OK, je vais te sucer la bite, c’est bon, ai-je soufflé en m’agenouillant, pour poser mes lèvres juste derrière son fruit rouge.
Il s’est branlé énergiquement et a craché cinq salves de semence sur ma langue, que j’ai avalées.
- Also… sussélabitt… ist süß, danke !
Bien sûr que c’est doux, mieux que ta meuf ne te le fait, mec.
On a contourné le mur et rejoint la terrasse où il est allé retrouver sa petite famille, pendant que, de l’autre côté de la piscine, j’ai croisé le regard - et le sourire narquois - du jeune Tunisien affecté au pool bar, qui a pointé son visage, puis le mien… ‘J’ai le visage rougi, j’ai capté, merci’.
Pour reprendre contenance, j’ai plongé dans l’eau pour tracer un crawl assez décent, sauter sur la margelle, et aller m’asseoir au pied de la chaise longue où Georges subit la conversation d’une quarantenaire blonde qui lui tape clairement sur le système, j’attends la goutte qui va faire déborder le vase.
Il a donné le signal en entrechoquant les glaçons dans son verre vide, et j’ai demandé ‘’Tu veux un gin tonic, daddy ?’’
- Je ne juge évidemment pas, cher monsieur, mais vous rentabilisez le forfait all inclusive…
- Je pense au contraire que vous le faites, bien que ça vous regarde effectivement peu, a-t-il claqué.
Vexée, elle a repris ‘’Mais… Hmmm… En tout cas, votre fils est charmant, lui, et très beau garçon, il doit tenir sa mère.’’
- Jérémie n’est pas mon fils, madame.
- Mais il vous a appelé…
- Il est charmant, mais je n’y suis pour rien, je ne l’ai pas élevé, je lui ai juste appris quelques petites choses… Et daddy, ce n’est qu’un terme, ce petit lutin cruel aime souligner notre différence d’âge… Mais je n’ai jamais rencontré sa mère, elle désapprouve le fait qu’un homme qui a celui d’être son père lui ait volé sa candeur et sa virginité…
- Sa vir… ?
- Il m’accorde sa jeunesse et son corps, je lui offre l’expérience et l’endurance de la maturité, voilà.
Elle s’est levée d’un bond, et a filé.
- Alors, tu reprends la même chose ? Mais nooon, tu n’abuses pas, je t’assure, Georges.
Le mec du pool bar m’a dévisagé avec un sourire.
- Ouais, je sais… la même chose, s’il vous plait… euh… Mehdi, ai-je ajouté, après un regard sur la plaquette épinglée sur son polo. ‘’Plus de gin que de tonic pour lui, merci.’’
- Verts.
- Bien sûr, dans un verre, pas toute la bouteille.
- Non, tes yeux, ils sont verts, et les cheveux clairs… tu augmentes le risque de coup de soleil.
Il me tutoie ? Il a quel âge, lui ? OK, juste dans les vingt-cinq, deux-trois de plus que moi… Après, les boucles noires, les yeux marrons, il n’a surement pas ce problème…
- Gin tonic, ice tea pour le jeune homme… et pommade à l’huile d’argan pour ta peau sensible de joli petit Européen.
Je vais pas lui dire que ma muqueuse rectale l’est sont encore plus, il ne s’est pas une grosse schwantz dans le cul, lui ! Mais sinon, il me dragouille ou quoi ?
- Ou alors, je reste dans ma chambre, vu l’ambiance mortelle du club, je ne raterai rien.
- Ce serait dommage, tu dois profiter de tes vacances… Le Club Paradisio ouvre à 22h, dehors, à cent mètres d’ici, des gazelles… ou des gazous…
On a encore trainé à la piscine jusqu’à vingt heures, et quand j’ai ramené les derniers verres vides au bar, j’ai demandé ‘’Je la trouve où, cette pommade au machin, au fait ?’’
- À l’huile d’argan, c’est trop tard, tout est fermé… J’en ai dans ma chambre, je suis de service au restaurant jusqu’à 22h, mais ensuite, si tu peux… tenir jusque-là, a-t-il dit avec un sourire entendu, ‘’Je te promets que tu apprécieras mon traitement.’’
J’ai fait durer le repas, après les huit gin tonic sur l’après-midi, il a descendu seul une bouteille de chardonnay du Cap Bon, j’ai raccompagné daddy, légèrement titubant, au troisième étage.
- C’est c-con que la pétasse ne loge p-pas dans la cham-am-ambre voisine, parce que je v-vais te faire gémir, Jé…rémie !
- Avec le coup de soleil que je me suis pris, je vais même hurler, non merci… Oh, le mec du bar a parlé d’une pommade, j’ai oublié le nom, je vais vite le lui demander, allonge-toi déjà, je reviens.
Ou pas, c’est mort pour ce soir, mon vieux Georges…
J’ai attendu Mehdi à l’entrée du restaurant, et l’ai suivi pour traverser le jardin du club.
- Vous êtes logés dans un bâtiment séparé ?
- La direction ne veut pas qu’on se mélange avec les clients…
- C’est calme, même désert, et tes collègues ?
- Ils… se mélangent… avec les clientes… Viens, entre, a-t-il glissé, en m’invitant dans une pièce spartiate meublée d’un placard et d’un lit à une place. ‘’Retire ton tee-shirt, pour éviter les taches, je vais faire de même’’ a-t-il dit en virant son polo, pour exposer un poitrail appétissant.
Il a sorti deux tubes de l’armoire, l’un sans marque, et un autre qu’il a jeté avec un sourire discret sur le matelas, du bleu caractéristique des produits Durex, avant de se poster dans mon dos, et d’y appliquer son onguent artisanal, de passer les mains sur mes flancs puis sur mon ventre, et finir par glisser les doigts sous la ceinture de mon shorty, que j’ai déboutonné.
- Tu veux que je me retourne ?
- Proposition à double sens… J’ai terriblement envie de te posséder, à toi de choisir la position…
- Je préfère voir le garçon qui me fait l’amour, ai-je soufflé en lui faisant face, pour passer le regard de ses yeux sombres sur son torse, puis son sarouel qu’il a dénoué, libérant le membre qui en tendait déjà le tissu, de longueur moyenne mais épais et terminé par un gland évidemment dégagé.
L’occasion de vérifier ma ‘théorie Yaël’, née le mois dernier lorsque, frustré par la levrette agressive de l’étudiant Erasmus israélien, dans le vestiaire désert du centre sportif de la fac, j’avais imposé un missionnaire qui avait triplé les sensations sur ma prostate, pour ensuite un plaisir exponentiel avant qu’il me tapisse le coude du côlon de sperme.
Il m’a tiré de mes pensées en retournant vers le rangement, pour en sortir une pochette de capote.
- Comme tu veux, mais je suis sous PrEP… traitement préventif…
Il a affiché un sourire lubrique et s’est rapproché, je suis tombé à genoux pour le prendre en bouche, et confirmer au toucher de la langue ce que je soupçonnais déjà, la peau du gland plus rugueuse, et la couronne comme légèrement endurcie par des années de frottement dans les sous-vêtements.
J’ai couvert sa hampe de salive avant de me relever, en virant d’un geste mon pantacourt et mon speedo, pour me jeter sur le lit. ‘’Absolument, de face, tu es superbe… Viens doucement, tu es très large…’’
- Je ne veux pas faire pleurer ces beaux yeux, je veux y voir le plaisir, a-t-il murmuré en appliquant le contenu du second tube sur mon sphincter et sur sa barre, avant de s’allonger entre mes cuisses, pour presser son gland sur l’accès à mon intimité.
Mes craintes étaient injustifiées, pas son premier rodéo, il s’est lentement introduit en moi, jusqu’à caler son nœud sur ma prostate, où je l’ai maintenu un moment, justifiant le temps de m’habituer à sa queue pour profiter de la stimulation décidément bien plus efficace de ma glande si sensible.
- Tu es… étroit, beau garçon…
- N’éjacule pas, attends ! ai-je dit pour le retenir, en ajoutant ‘’Mon mec dit que je le suis encore plus quand je jouis, puis toi, tu es parfait… de partout, je voudrais avoir eu mon plaisir pour voir le tien !’’
Bref, exactement le bobard que j’avais sorti le premier soir à Georges, avant qu’il imagine prendre mon innocence, alors déjà perdue… Aucun mec ne résiste à la flatterie, ni à un défi, d’ailleurs.
- Viens, doucement… plus loin… Aaaaah…
- Ça va ? C’est… Tu es si… si serré…
- Rega-aaarde, ai-je gémi, en attirant son regard sur mon petit gland à moitié décalotté et le filet de présperme qui en coule, avant d’enrouler mes doigts sur ma tige et, en quelques mouvements, d’envoyer mes jets de sperme sur mon ventre.
- Je v… je vais…
- Ne t’arrête pas, viens… fooooort !
Un bras tendu posé sur le matelas, l’autre main serrée sous ma cuisse enroulée sur sa taille, il a redressé le torse et m’a fixé, le regard brillant, la mâchoire serrée, les ailes de son nez dilatées, les pénétrations de sa queue épaisse devenant erratiques… ‘’Aaah… Aaaaah…’’ alors que je profite des répliques de mon plaisir. ‘’J’ai joui en toi, tu as dit…’’
- Et j’ai adoré, toi aussi, tu es très beau dans le plaisir.
Je suis remonté à la chambre, pour y trouver Georges, à moitié endormi. ‘’Je viens d’émerger, et tu n’étais pas là.’’
- J’étais… à l’infirmerie, pour la pommade, puis j’ai trainé un moment qu’elle pénètre bien, ai-je dit, en virant mes fringues, avant de m’allonger sur le ventre.
Le réveil habituel, ses lèvres qui courent sur ma nuque, sa queue raide qui glisse entre mes fesses.
- Naaan, pas comme ça, j’aime pas par derrière…
- Et pas en missionnaire, pour le coup de soleil, j’ai capté, il a grogné en se rallongeant sur le dos, pour saisir sa queue raide et ajouter ‘’Mais sur moi, en andromaque… J’ai envie de toi, Jérémie.’’
‘Et pourquoi pas ?’ ai-je pensé, en remontant son corps, à genoux, avant de m’empaler lentement, en gérant la pénétration.
- Efficace, cette crème, elle détend même le sphincter, on dirait… Et on t’en a mis jusque dans le rectum ? Ma bite coulisse plutôt bien…
- Ça… ou le so-ooo-leil de Tunisie, on s’en fout, daddyyyyy !
Il ne s’est pas vanté auprès de la blonde, hier, à la piscine, côté endurance, il assure toujours. J’ai eu le temps d’avoir une érection complète, pour m’astiquer la queue et encore jouir sur son torse.
Après le petit déj’, on a rejoint la piscine, il a foncé au pool bar pour en revenir avec mon ice tea et son premier gin tonic de la journée.
- Le barman, il s’appelle Mehdi.
- Ah ?
- Quand j’étais petit, il y avait une série à la télé, c’était le prénom du garçon, il était mignon… Oui, d’accord, c’est vieux, tu ne connais pas, jeune inculte… Tu savais que les Arabes sont circoncis ? Comme les Juifs, je crois…
- Comment le saurais-je, Georges ?
- Je préfère les garçons intacts, surtout toi, ta queue se raidit, ton prépuce se retire doucement et plop ! ton adorable petit gland luisant émerge, c’est trop joli… Putain, je bande, là. On remonte ?
- Mon bronzage ! Je veux brunir même entre les orteils, ai-je dit en les écartant en éventail.
- Tu es beau de la tête aux pieds, et c’est rien que pour moi.
- Bien sûr, Georges, tu le sais…
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