Les enchéres

- Par l'auteur HDS Maryaline 69 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Les enchéres Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les enchéres
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« 200, 400, je donne 600 » Ils s’arrachaient le droit de monter avec Christel.

Il faut dire qu'elle vaut le coup avec son 95C, ses yeux bleux, son mètre 75, et n’oublions pas son fabuleux cul. Les autres soumises du soir étaient loin d’être à la hauteur.
« 800 je donne 800 »
Les billets de Monopoly servaient ici de monnaie d’échanges pour acheter les faveurs des dix femmes présentes. En face autant d’hommes et autant de maris. La soirée promettait d’être chaude dans cette grande maison dédiée au libertinage dans laquelle un couple avait organisé cette soirée libertine.

L’idée avait tout de suite plu à Christel et ils avaient profité de ce long week-end pour aller jusqu’en Bretagne retrouver les autres couples. Entre 30 et 50 ans il y avait donc très exactement dix couples et dix hommes qui eux ne dépassaient pas les 30 ans. C’était eux qui avaient le droit d’enchérir. Libre à ces dames de refuser. Ce que de toute évidence Christel n’avait pas l’intention de faire. Tout de suite après la dernière enchère son amant du soir était venue la flatter et emmenait maintenant son trophée à l’étage, la caressant doucement.

A ce stade les hommes de ces dames avaient le droit de les suivre mais pas de participer. Léopold, lui-même habillé style gangsters année 30 comme tous hommes, décida donc de les suivre et d’admirer le spectacle.

D’autres couples étaient déjà montés et plusieurs femmes se faisaient prendre en levrette dans le fond de la longue pièce qui tenait lieu de salle de baise selon les mots du propriétaire des lieux.

L’homme qui avait fait monter Christel se prénommait Lilian. Un Breton pur jus d’un bon mètre 90 qui lui avait tout de suite plu et qu’elle avait engagée à enchérir. Face à face ils s’embrassaient à mieux mieux. Lilian avait déjà entrepris de lui prendre ses seins à pleine mains. Il en faisait durcir les tétons d’une main tout en la pénétrant de l’autre.


A ce stade, elle mouillait comme une folle et se précipita vite pour extraire sa virilité du pantalon. Sa bite était d’une belle taille et elle frémissait déjà à l’idée de se faire prendre. Mais en attendant elle le suçait avec gourmandise.


Il la fit se coucher sur le matelas juste à côté d’une toute petite brune qui jouissait sous les assauts d’un homme d’origine arabe.

Il se détourna de sa conquête pour flatter les seins de Christel. Mais elle était surtout concentrée sur la pénétration de Lilian. Après lui avoir fermement ramené les jambes en arrière il la prenait avec enthousiasme.
« Tu aimes ça, petite pute ? »
«  Oui bourre moi bien j’aime ça ! »

Pendant ce temps un autre homme s’était approché et lui malaxait le sein gauche. Léopold ne pouvait qu’assister jusqu’à ce que l’homme, lui demande de venir :
« Tu veux la baiser ? » Dit-il en indiquant la femme qu’il pénétrait jusque là.
« Viens, je dois m’arrêter. Toi, mets toi en levrette ! »
Très obéissante celle qui s’appelait Camille et était absolument ravissante et aux goûts de Léopold. Il obtempéra sans poser de question. Léopold se décida donc à la pénétrer. Juste à côté d’eux Lilian avait également positionné Christel à quatre pattes et les deux couples agissaient maintenant de concert.



Très en verve, Christel donnait de furieux coups de rein pour mieux encore profiter de la saillie. Un régime qui eut vite fait de faire jouir Nathan. Léopold en fit vite également de même.

De retour au rez-de-chaussée, c'était une joyeux fin d'ordie ou tous étaient plus ou moins nus.


« Merci, c’était superbe. » Assurait Lilian à Christel en lui tendant une coupe de champagne.
« Moi aussi j'ai adoré ta façon de me prendre.» Répondit-elle ; même si cela n’avait pas été le feu d’artifice attendu. En réalité elle avait flashé sur Mehdi et espérait bien qu’il allait tenter de la séduire pendant la suite de la soirée.

Léopold, lui, discourait avec le mari de la femme qu’il venait de baiser. Très sympas ils racontaient leurs expériences libertines :
« En Bretagne il n’y a pas beaucoup de clubs. C’est vraiment super qu’ils aient ouvert cette maison libertine. »*

Les hôtes, Gabriel et Ludmilla, ne participaient pas aux réjouissances mais assuraient le buffet. La plupart des couples allaient dormir sur place. Les plus chanceux, comme Christel et Léopold, dans leur propre chambre. Les autres dans la grande pièce qui se transformait en dortoir. Mais personne n’était là pour dormir. Et surtout pas Mehdi, qui vint discuter avec Christel au grand dam de Lilian qui espérait sans doute remettre ça.
« Vous êtes superbe. »
«  Merci et vous aussi. » Répondit-elle en ne quittant pas des yeux sa magnifique bite en se disant vivement qu'il me baise. Elle était d’autant plus séduite qu’il lui rappelait un ami de Léopold avec lequel elle avait baisé quelques mois plus tôt.

« Tu as envie qu’on se retrouve seulement tous les deux ? J’ai envie de toi. Viens ! » Lui dit-il à l’oreille.
Sous le regard impuissant de Lilian et amusé de Léopold, elle le suit.
Là haut des femmes sont aux prises au moins avec deux hommes et la place manque.

Mehdi propose donc à Christel de la prendre debout contre le mur ou sur un meuble où elle peut s’asseoir à la hauteur de son sexe. Elle se retrouve rapidement enfilée par cette magnifique bite XXL.

La suite Christel la racontera ainsi à Léopold plus tard :
« J’en ai eu le souffle coupé. Il m’a pénétré d’un coup et je me suis sentie écartelée. Et il a commencé à me pilonner. J’ai joui comme une folle. Il m'a retourné et tu sais comme je préfère me faire prendre par derrière, brutalement emplie de nouveau tout en prenant mes seins à pleine main. »

Léopold n’avait pas assisté pas au spectacle, trop content d’avoir obtenu les faveurs d’une immense rousse à la peau blanche qui le suçait avec talent dans une chambre au second étage de la maison.

Un mari qui ensuite la pénétrait en levrette. Elle avait vraiment un cul superbe. Une belle plante d’un mètre 80. Léopold aurait juste aimé qu’elle ai plus de seins mais s’en contentait très bien en lui pétrissant les fesses puis en lui remontant les pieds pour la tenir par les pieds.

A l’autre extrémité de la belle, son mari très excité lui baisait la bouche et éjacula rapidement en lui tenant la tête et en l’insultant :
« Tu aimes ça grosse pute te prendre des bites d’inconnus. Tu vas voir ce que je vais te mettre à la maison. Salope, pute, chienne… »

Elle avalait sa semence en silence et Léopold jouit à son tour quand Christel les rejoignit et lui tapa sur la fesse avant de lui enfoncer un doigt dans le cul :
« C’est bien mon petit mari, tu la baises bien ? »
Derrière le beau Mehdi, toujours nu, faisait admirer sa plastique.

« Ca te dérange s’il dort avec nous ? Il pensait rentrer mais il se sent un peu fatigué aprés que je lui ai vider les couilles.… »
Plus calmes ils avaient passées à discuter et c'étaient liés d'amitié. Les trois se partagèrent le grand lit. Epuisée de tant de jouissances, Christel avait imposé aux deux hommes de dormir cote à cote, Léopold contre elle. Ce dernier était donc coincé entre elle et Mehdi qui, tous deux lui tournaient le dos. Tous trois étaient totalement nus. Leur chambre donnait sur le dortoir dans lequel tout était maintenant calmes. Les couples épuisés par le sexe dormant alors que tous les autres hommes seuls étaient partis.


Au petit matin Léopold sentit le sexe de Mehdi bandé contre ses fesses. Les trois s’étaient en effet mis en position « petite cuillère ». Léopold en érection derrière Christel et Mehdi derrière lui. Il n’osait pas bouger mais sentait l’autre homme respirer comme s’il était réveillé. Ce que confirma un baiser dans le coup puis une main qui lui prenait son sexe à pleine main. Léopold décida donc de passer également à l’action en caressant Mehdi. Il sentait ses jambes poilues contre lui. Soudain Mehdi le retourna. Son sexa bandait férocement et il avança jusqu’à lui mettre dans la bouche.

Réveillée, Christel, s’approcha des deux hommes. Mehdi leur demanda, de le sucer ensemble.
« Prépare ton homme. Je vais le sodomiser. » Lui ordonna-t-il fermement.


De plus en plus dominant Mehdi tendit un gel à Christel qui s’empressa de mettre Léopold à quatre pattes et de le pénétrer.
« J’ai bien aimé quand tu lui as mis un doigt dans le cul hier. Là ca va être un autre calibre. Ca va te plaire. Ca t’a plu toi ? »
«  Oh ça oui... » Répondit Christel tout en l’embrassant à pleine bouche.
Devant eux, Léopold attendait que le beau mâle noir prenne son dû. La pénétration commence enfin. Comme avant avec Christel, Mehdi assure sa prise sur les hanches de Léopold. Il s’enfonce peu à peu. Comme pour Christel, il a le souffle coupé par la taille du mat qui l’honore. Un, deux, dix, vingt centimètres le font partir. Il gémit, d’autant plus que sa femme le suce.

« Fais taire ta salope, il va réveiller tout le monde ! », Exige Mehdi à Christel qui enfonce sa culotte trempée dans la bouche de son compagnon pendant que Mehdi le secoue dans tous les sens.

Puis, il décide de jouir dans sa bouche :
« Tu vas bien tout avaler. Comme ta salope de femme. Vous faites un beau couple d'esclave soumis tout les deux ! »
Il jouit longuement dans la bouche de Léopold qui, pour la première fois, avale la semence d’un homme.

Après la nuit de folie que Christel et Léopold avaient passée dans la maison libertine, avec tous ces couples et ces hommes déchaînés, la matinée fut tellement normale que s’en était surréaliste.




Mehdi, leur amant de la nuit, s’était éclipsé de bon matin pour aller travailler à l’hôpital où il était médecin anesthésiste. Ils n’étaient donc que tous les deux quand ils rejoignirent leurs hôtes et les couples encore présent pour le petit déjeuner, délicieux, mis totalement normal. Tout le monde était habillé comme pour un week-end traditionnel et familiale entre amis. Les conversations étaient loin des débauches de la nuit. On aurait vraiment pu se croire dans une maison d’hôtes classique.
Mais le week-end était encore long. Il commença par un passage sur les plages à Dinard, à une heure de route de là, un déjeuner, quelques huîtres. Il faisait un petit 14° en cette mi-janvier mais le temps était beau. Le soir, ils avaient de nouveau rendez-vous dans la même maison libertine pour une soirée qui s’annonçait très différente de la première. Leurs hôtes leur avaient annoncé que le samedi soir était dédié aux jeux BDSM avec quelques spécialistes locaux.

D’un air convenu, ils leur avaient expliqué au vues d'un témoignage de Mehdi :
« Votre femme se situe de toute évidence dans la catégorie "soumise". Mehdi doit d’ailleurs revenir ce soir pour vous vendre aux enchéres. »
Christel et Léopold étaient dans leurs petits souliers en dégustant leur plateau de fruit de mer au restaurant du casino. Non que les pratiques BDSM les rebutent mais leurs hôtes semblaient particulièrement experts et leur nuit avec Mehdi avait été assez éprouvante.
« Je me suis senti totalement soumis dans ces bras. » Confessait sa femme.



  Tu te sens homo ? »
«  Non pas vraiment. Je pense toujours essentiellement aux femmes. A leurs seins. A leur cul. Rassure toi...Et...J’aime te voir soumise avec un autre homme. »

Mais il faut croire que l’attrait du sexe était plus fort que leurs peurs. Quelques heures plus tard, ils étaient de retour dans la maison du libertinage. Accueillis avec gentillesse mais dans une toute autre ambiance que celle du vendredi soir. Déjà leur hôtesse n’était plus sexy comme hier mais habillée en vraie dominatrice. Toute en cuir noir, un fouet au côté, un large godemiché à la ceinture, immense avec ses talons qui lui faisaient dépasser le mètre 90. Impressionnante avec sa poitrine remarquable moulée dans un haut à fermeture éclair qui fit immédiatement bander Léopold.

Mais il faut croire que ce n’était pas le but de la soirée. Virgil, le mari de Lilla, un petit homme assez sec mais également très dominant. Lui aussi habillé en cuir noir. Lui aussi un fouet au côté emmena Christel pour sa préparation.
En se mêlant aux autres invités, quelques minutes plus tard, il vit sa femme de retour nue et tenue en laisse.


On la fit asseoir avec d'autres soumise affublées également d'un collier et d'une laisse.




Le groupes de soumise étaient sagement accroupies dans la grande pièce, pendant que les Maîtres et Maîtresses discutaient autour d’un buffet. Puis, Lilla pris la parole :

« Mes amis ! Merci d’être là pour notre vente aux esclaves annuelle ! » Commença-t-elle.
« J’ai là de beaux spécimens de chiennes, dont certaines viennent pour la première fois. Vous connaissez les règles du jeu. Vous pouvez enchérir sur chacune d'elle sauf pour votre propre femelle. Ensuite vous pouvez en faire ce que vous voulez dans les limites de leur intégrité physique. Je tiens particulièrement à remercier Maître Mehdi, qui ne va pas tarder à nous rejoindre, pour nous avoir amenés Christel la femelle de Léopold. Virgil commençons… »

Très professionnel Virgil était sur une petite estrade, un marteau de commissaire priseur à la main. Il fit monter la première soumise :
« Je vous présente Alexia ! »
Alexia était une jeune Asiatique timide. Les enchères ne montèrent pas très haut. Un homme pas loin de la cinquantaine remporta l’enchère et l'emmena en disant :
« Je préfère ne pas monter trop dans les enchères pour m'offrir plusieurs esclaves. »


Il été venu avec sa femme pour la vendre à d'autres et se payer plusieurs femelles. C'était une splendide blonde qui allait faire monter certainement très loin les enchères.




La soirée continua. Selon les règles de la maison, Christel ne pouvaient pas être vendus tant que Mehdi, son Maître d'adoption, n’était pas là. En attendant Léopold acquit une jolie noire.

Enfin, vers 23 heures, Mehdi apparut en compagnie d’une jeune fille rousse qui semblait être son esclave :
« Je vous présente Méline. Elle n'est pas à vendre. Elle est en cour de dressage et je l’initie peu à peu. »

« Nous allons donc pouvoir mettre Christel en vente. » Indiqua Virgil.

Toujours très docile, elle se laissa emmener sur scène :
« Voici la belle pouliche que Mehdi a convaincu son mari de venir. La nuit dernière, elle était déjà là pour notre soirée libertine et je peux vous garantir qu’elle sait prendre des bites par tous les orifices. Pour preuve les photos que vous pouvez voir sur le grand écran.»

Tout en faisant la réclame de Christel, il lui palpait les seins.
« Cette belle pouliche a des mamelles faites pour jouer avec....  Elle a un cul superbe, de longues jambes, une bouche d'avaleuse de queues ! » Continue-t-il en lui ouvrant la bouche.
« Penche toi petite pute qu’on voit pendre tes garages à bites ! »




« Combien pour cette petite salope ? »
Les mains se lèvent. Les Maître imaginent ce qu’ils peuvent faire avec une telle marchandise. Un grand Maître au regard assez inquiétant lance les enchères. Un homme très velu les reprend. Mehdi et Léopold savourent le spectacle. Léopold n’en peut plus et demande à son acquisition de le sucer.


Christel mouille tellement que cela ruisselle entre ces cuisses.

L’homme très poilu au physique de lutteur l’emporte. Carlos emmène son achat qu’il tient en laisse au sous sol. Là où sont les instruments de domination.



Pas très rassurée Christel suit donc comme une petite chienne Carlos au sous-sol. Là, est entreposé le matériel classique de BDSM ; croix de Saint-André, fouets, paddles, menotte, banc de soumission, etc.

Un très beau matériel sur plus de 100 m2 qu’expérimentent déjà des soumises et leurs Maîtres.

Partout on entend cris et coups.

Une jeune femme hurle sous les coups d’un Maître qui la fouette durement sur les seins..

Ses fesses, son dos sont déjà striés de rouge.

« Tu vas être bien sages ma salope ! » Intime Carlos en sortant une bite déjà très grosse alors qu’il ne bande pas du tout.


« Allez, montre-moi comment tu pompe pétasse ! »
Comme une affamée Christel plonge sur le sexe et s’applique à donner consistance à ce qui se révèle un sexe hors norme. Elle a obligation de garder les mains dans le dos.


Peu après Lilla lui mettra des menottes après avoir demandé à Carlos :
« Est-elle bien docile ? »
«  Oui, très. Je ne regrette pas mon choix. On voit qu'elle a l'habitude d'avaler de grosses queues ! »

«  Vous devriez la fouetter pour vous assurer de sa totale soumission. »
«  Bien sûr. Pouvez m’indiquer l’instrument le plus approprié ? »
Quelques minutes plus tard, Christel comprend mieux le sens du mot esclave. Elle est attachée sur une croix de Saint-André.

Après avoir commencé au martinet, Lilla et Carlos sont passés à la badine. Si le martinet était un peu dur à supporter, la badine fait hurler Christel. Mais le pire est le choc électrique sur ses seins.


De son côté Carlos introduit un large godemiché dans les fesses de La suppliée.

L'asiatique dans un autre coin de la pièce était copieusement fouetté.

Mise en levrette Christel attendait sa saillie. Carlos ordonne à un soumis :
« Copule avec cette chienne en chaleur ! »
Le soumis semble réticent et Lilla lui dit fermement :
« Baise la ou je te démoli les couilles ! »
Pas très fier de lui, il s'approche presque timidement du cul de Christel. Mais un coup de fouet violent lui rappelle sa position de chien qui doit saillir sa chienne. Impatient, Carlos le pousse en avant et il s’introduit dans les fesses de Christel qui ne peu retenir un cri de douleur et de surprise. Derrière, Lilla flatte les testicules du soumis.


Quelques minutes après, elle est enfermés dans une cage avec d'autres soumises, le temps que les Maîtres récupèrent de tant d'efforts.

La pause sera de courte durée. Carlos et Mehdi entrent, accompagnés de deux autres hommes. Tous étaient habillés en cuir, leurs sexes à l’air. Ils n’ont même pas besoin de parler pour que les soumises et Christel la première aillent les sucer. Chrystèle se précipite sur Mehdi.

Carlos se venge sur une asiatique et les autre se partagent les femelles qui restes. Toutes s’appliquent à leur donner de la vigueur. Décidément Carlos est incroyablement pourvu constate Léopold, un peu inquiet de se dire que sa femme va sans doute devoir y passer. « A quatre pattes les salopes ? »
Les soumis obtempèrent. Les voilà toutes les quatre prêts à se faire défoncer par ces mâles en ruts.

Les femelles ne tardent pas à être secoués de partout pendant que les Maîtres font quelques plaisanteries sur leurs aptitudes respectives. Puis, ils se les échangent. Après Carlos c’est facile pour Léopold de prendre un autre cul. Quant à Christel, elle se prend trois queues dans le cul. A ce moment, elle regrette, le sexe de Carlos qui lui faisait un bien fou.

La séance durera toute la nuit pour finir par l’élection des meilleurs femelles. Christel l'emporte haut la main.


Léopold en la cajolant lui demande :
« Alors ? Heureuse ? »
«  Oui. Mais j’ai mal partout et des marques de coup qui ne sont pas prêtes de disparaître. »

Les avis des lecteurs

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J'adore vos récits qui sortent du conventionnel. Vous l'aurez compris je suis un adepte du BDSM, continuez, mais prenez le temps de vous relire car des fois c'est compliqué. Je vais me faire une grosse et imaginative gâterie

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Maryaline bravo tu as abordée le libertinage puis tu as amené la soumission BDSM avec beaucoup de sexe et des soupçons de pratiques. Daniel



Texte coquin : Les enchéres
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