Les épis de maïs

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les épis de maïs Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2009 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les épis de maïs
<p>En nous baladant avec ma copine, un jour de fin septembre, nous nous sommes arrêtées juste en face d'un champ de maïs sur le point d'être moissonné. Intriguées par la forme des épis nous en avons cueilli deux. Ces épis ont une forme particulièrement sexuelle. Mon amie pas très pudique a voulu voir quel effet çà pouvait lui faire si elle s'en servait comme d'un godemiché. L'épi est constitué de plusieurs grains très proches les une des autre et forment donc une possibilité de plaisirs supplémentaires. Rentrée dans la voiture, après avoir enlevé son petit string elle écartait bien mes jambes. Je pouvais voir son bas ventre que je connais fort bien depuis que nous baisons ensemble.
Il faut bien avouer que nous baisons souvent: se branler, sucer, ou autres caresses intimes, nous connaissons très bien. Les garçons sont un peu les oubliés de notre amour. Nous profitons d'eux quelques fois, mais rarement: pour nous pénétrer, nous avons les instruments utiles, même pour nous enculer. Mais pour une fois ma compagne voulait se passer de son godemiché où de ma langue. A peine démarrées, elle se branlait un peu le clitoris et une fois bien excitée elle se rentrait l'épi dans son vagin. Je roulais très lentement: je ne voulais pas rater un seul instant de cette nouvelle façon de masturbation. Elle m'expliquait qu'elle avait une sensation différente à cause des grains disposés assez serrés. Sa main guidait l'épi de plus en plus vite. Je la connaissais fort bien et je savais qu'elle était sur le point de jouir. En effet elle se tendait et poussait un petit gémissement avant d'enfoncer le plus possible en elle cet engin. Elle le conservait toujours en elle. Je lui demandais pourquoi elle le gardait : pour recommencer, tout simplement. Elle me demandait d'arrêter dans un petit chemin pour qu'elle puisse se déshabiller entièrement. Au bout d'un moment je trouvais ce qu'elle voulait. Elle sortait de la voiture et nue, elle se branlait avec l'épi de maïs. Cette fois elle me faisait face et je la voyais faire. Je me mettais à mouiller et à mon tour je me retrouvais nue avec l'autre épi. Je l'imitais et c'est vrai que les sensations étaient très différentes. Je la regardais jouir sans entrave. A mon tour je jouissais. Plus raisonnable peut être que mon amante, je lui demandais de s'habiller pour rentrer chez nous pour baiser plus confortablement que sur un chemin.
Enfin seules, nous avons pu déguster plus facilement le maïs. Nues et couchées nous avons chacune de notre coté mis dans le con de l'autre l'épi et le magnions comme un godemiché. Nous jouissions beaucoup de cette nouveauté. Mon amie, toujours plus vicieuse que moi me demandait de lui mettre dans le cul. J'obéissais parce que je savais qu'elle aimait assez avoir quelque chose dans son anus. Avant je mouillais le plus possible l'épi dans son con. Je le posais sur son cul. Je voulais l'enfoncer lentement. Elle l'a voulu en elle plus vite, d'un coup de rein elle se l’a enfoncé profond, très profond à mon sens. J'assurais les aller et venu. Elle gémissait de plus en plus fort et me demandais d'aller plus vite : elle jouissait enfin. Nous échangions des baisais profonds. Pour que mon plaisir soit encore plus complet elle voulait m'enculer à mon tous : je ne suis pas une fanatique de la sodomie.
Alors nous sommes mises à contre sens et enfin nous nous sommes sucées, le plus naturellement du monde. Je pouvais enfin retrouver son odeur et son gout. Je lui prenais le clitoris entre mes lèvres et je sentais bien les siennes venir me sucer. Mon léchage ne lui suffisait pas ce soir. Elle me demandait de continuer à la sucer en lui mettant encore dans le cul ce satané épi. Pour elle c'était devenu une véritable drogue.
Nous avons fini par nous endormir. Mais au petit matin j'étais réveillée par les secousses de sa masturbation toujours avec cet épi. Désormais il lui fallait un épi de maïs pour baiser avec plus de plaisir. J'en prenais mon parti et pendant qu'elle se masturbait avec l'épi, je me branlais comme souvent avec mon gros gode.


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Texte coquin : Les épis de maïs
Histoire sexe : Une rose rouge
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