Les épouses.

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les épouses. Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2015 dans la catégorie Plus on est
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(8.0 / 10)

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Les épouses.
La nuit est belle, avec ce clair de lune, on y voit comme en plein jour ou presque. Nous sommes réunis près de la piscine. Nos amis, Claire et André dit Dédé, nous ont invités pour deux jours. Ma femme qui connait l’hôtesse en est toute excitée. Je crois savoir pourquoi: quand elles étaient jeunes elles se sont aimées. Dans une petite ville de province, s’afficher, au-delà d’un certain âge avec une autre fille est très mal vu.
Elles se sont séparées, Claire en restant sur place et Huguette en allant à l’universitéC’est là que nous nous sommes rencontrés: séparée de son amie, elle se donnait à moi qui la dépucelais. Elle aimait tellement la baise qu’il fallait la satisfaire au moins deux fois par jour.
Dès le lever elle venait dans ma chambre: elle m’excitait toujours de la même façon: elle relevais sa mini jupe, sans rien d’autre dessous. Elle écartait ses lèvres pour se masturber devant moi. Bien sur je bandais rapidement et la couchais sur le lit où je la baisais comme elle le voulait: le matin je connaissais bien ses goût, c’était une sodomie agrémentée d’un masturbation sur son clitoris.
Nous nous sommes mariés peu après la sortie de la fac. Nous avions eu la chance de trouver une place dans la même boite. Il lui arrivait quelques fois d’avoir une envie pressente. Elle se branlait souvent aux toilettes. Cela ne lui suffisant plus elle venait dans mon bureau, le torse sur le bureau, la jupe remontée à la taille et les fesses prêtes à recevoir mon sifflet. Ces fois là, je l’enculais et la branlais. Après elle était en forme. Moi aussi, baiser sa femme au bureau est une des choses les plus excitantes.
En tout cas aujourd’hui nous sommes chez son ancienne amante. Pendant le repas, à mots couverts elles parlaient de leur relation ancienne. Je crois que Dédé était au courant comme moi: il savait déjà ce que sa femme et la mienne faisaient à l’époque.
Elles semblaient vouloir recommencer.
Dédé nous demande de les accompagner dans l’eau. Je suis embêté, je n’ai pas de maillot, pas plus qu’Huguette. Notre hôtesse dit que ça ne fait rien que d’habitudes ils se baignent toujours nus. Nous voilà tous les quatre nus devant la piscine. Je regarde la bite de Dédé: elle est à peu près comme la mienne. Je regarde maintenant Claire: elle est du genre coquine avec ses seins un peu plus gros que ceux d’Huguette. Je comprends mieux pourquoi elles se faisaient l’amour.
Nous entrons dans l’eau. Au début rien de spécial, sinon le plaisir d’être dans l’eau. Petit à petit, les deux femmes s’approchent pour arriver à se toucher. Dédé les regarde comme moi et dit d’un air calme:- Ca y est elles vont encore s’envoyer en l’air.
- Il y a longtemps qu’elles ne se sont pas vues. C’est sur qu’elle vont baiser.
- Nous les regarderont en nous branlant !!
- Possible !
C’est vrai que maintenant elles commencent à se faire de petits bisous ans le cou. Elles sortent de l’eau. Elles nous ont totalement oubliés. Elles s’embrassent sur la bouche, se caressent les seins rapidement pour vite branler l’autre juste un instant. Elles se mettent en 69. Avec Dédé, il y a un moment que nous nous masturbons.
Elles changent souvent de positions tantôt une dessus tantôt l’autre. Nous pouvons voir que leurs mains ne restent pas immobiles: elles rentrent un ou deux doigts dans l’anus. Elles gémissent ensemble, Huguette comme quand je la lui met au cul.
Elles arrêtent définitivement. Elles viennent vers nous comme pour s’excuser de nous avoir laisser seuls. Huguette me demande de venir la baiser. Un telle demande ne se refuse pas, d’autant plus que Claire demande à Dédé de la baiser aussi. Nous ne faisons pas de chichi, nous baisons nos moitié devant l’autre couple.
Par contre les façons sont différentes: Dédé est sur le dos, Claire à cheval sur sa bite: c’est elle qui mène la danse. Elle est assise sur lui, la bite dans ma chatte. Elle monte et descend sans arrêt et demande sans arrêt si il prend le même plaisir qu’elle. Quand il jouit, elle arrête juste le temps de le faire bander encore. Quand elle y arrive en se mettant juste devant son visage en se masturbant. Cette fois elle se met sous lui en missionnaire. Quand il commence à la baiser, elle passe ses jambes sur les cuisses de Dédé. Il a de grand mouvement assez lent. Nous les regardions avec Huguette: nous baiserons plus tard.
Pour Huguette c’est une bonne occasion pour se branler. Je lui caresses les seins come elle aime; je maltraite ses tétons. Je bande comme un âne, Huguette le vois bien et ne me fait rien. Je pourrai l’imiter, à quoi bon, je serai incapable de lui faire quoi que ce soit après.
Pourtant la baise de l’autre couple dure un peu trop à notre goût.
Je la couche sur la gazon: elle écarte les jambes et m’offre son abricot. Je met ma tête entre ses jambes pour que ma langue lui caresse l’intérieur des cuisses en remontant vers sa cramouille. Avant d’y arriver je sens les odeurs de sa cyprine. Je me demande même si il n’y a pas un peu de celle de Claire.
J’arrive enfin vers son anus. Je le lèche largement. Elle voudrai que j’entre ma langue un peu: cette fois je vais la faire jouir en lui passant la langue autour de l’anus. Je la sens se crisper au bout d’un court instant: elle jouit. Je continue à passer ma langue sur ses lèvres et quand je suis juste à la hauteur de son abricot j’entre ma langue. Elle commence à gémir avant de jouir encore. Elle me supplie:- Baises moi maintenant j’en meurt d’envie.
- Soit patiente: tu viens de baiser avec ta copine.
- Oui, mais j’ai besoin de ta bite.
- Attends.
Je ne tien aucun compte de ce qu’elle me demande. Je pose ma bouche sur son clitoris. Je le suce avec la langue. J’attends qu’elle jouisse encore une fois. Maintenant je vais lui faire connaître la différence entre une femme et un homme. Je lâche son sexe, pour venir me coucher sur elle. J’ai la bite tout près de son con; je la fait bouillir d’impatience. Enfin je pose ma pine sur son clitoris pour l’exciter encore plus.
Enfin je la lui met. J’entre comme dans du beure. Je la lime à peine quand elle jouit. Je vais tout au fond: elle jouit encore. Elle est trop mouillée à mon goût. Je la tourne come un crêpe. Je suis sur ses fesses, ma pine est prête à entrer dans son cul. Elle écarte à peine les fesses. Et là, pour elle comment pour moi, c’est la jouissance assurée. Dès que je suis à fond, elle jouit encore: je vais et vient dans ce cul. Elle n‘arrête pas de jouir.
Nous arrêtons et à nouveau nous nous tournons vers nos amis. Ils sont aussi assis. Huguette demande à Claire:- Ca y est, vous avez déjà fini de baiser.
- Non, nous attendons que vous finissiez de jouir pour changer.
- Changer quoi ?
- D’amant.
- Tu veux baiser mon mari ?
- Bien sur et tu baises le mien.
Sans me demander mon avis, Huguette répond par l’affirmative.
Me voilà avec une autre femme à mes cotés. Nous nous embrassons comme si ce n’était pas la première fois. Je lui caresse la poitrine et comme par miracle je bande à nouveau. Elle la pend dans la bouche et commence une fellation. Elle suce fort bien. Je regardez Huguette qui elle aussi suce Dédé. Comme à son habitude elle doit bien le sucer, à voir la tête de son presque amant. Sa femme abandonne ma bite:- Encule moi !
- Déjà ?
- Oui mets moi la au cul.
- Ton mari de te l’a pas fait tout à l’heure ?
- Si, j’en veux encore un peu.
Elle se met en levrette, se mouille bien l’entrée de son anus. Ouvre ses fesses à deux mains: seule sa tête touche le sol. J’approche ma pine vers son petit trou, enfin pas si petit que ça. Je peux y entrer facilement. Je ne peux pas lui en mettre plus, je suis au fond complètement. Je sens ma bite serrée par les crispations de son cul à chaque jouissance. Et Dieu ou le diable sait seul combien elle a jouit. Enfin, à mon tour je jette lon venir. Elle doit en avoir les boyaux pleins.
Ma femme, elle, ne la prend pas dans le cul; seul sa chatte est occupée: c’est suffisant pour qu’elle jouisse.
Le froid du matin, arrive. Nous arrêtons de baiser pour aller nous coucher. J’ai droit au divan, Dédé va dans sa chambre et les femmes sont ensemble dans la chambre d’amis: elle ne vont pas tarder à baiser encore.
Quand nous partons, nous échangeons une bonne poignée de main avec Dédé qui comme moi a droit à un baiser sur la bouche de la part des femmes. Elles aussi s’embrassent sur la bouche. En rentrant Huguette me dit qu’elle a passé une jourée merveilleuse avec son amie. Elle a bien jouis aussi avec Dédé. Claire lui a ditr qu’elle avait bien pris son pied avec moi quand je la sodomisais.
Nous reviendrons une fois par an: les femmes en ont décidé ainsi et ce que femme veut………….

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Histoire sexe : Une rose rouge
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