Les exploits de ma copine (suite 2 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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Les exploits de ma copine (suite 2 )
La dernière fois je vous ais raconté mes premiers émois d’adolescente. Maintenant je vais vous faire le récit de ceux de ma meilleure amie.
Ma copine a un ami à peine plus âgé qu’elle. Au cinoche, elle n’hésite pas à baiser à côté de nous. A les voir, ça nous excite terrible, mais je m’interdis, pour le moment de faire comme elle. J’en ai pourtant envie, ça me démange. Il nous faut trouver l’endroit et l’occasion.
Lorsque nous étions en seconde, (on avait 16 ans ) elle m’a raconté comment elle s’est fait déflorer.
Avant de connaître mon petit ami me dit-elle, je m’adonnais à des plaisirs solitaires. Il est en terminale. Avec lui, j’ai commencé à avoir d’autres émois. On s’embrasse, on se caresse, on se promène enlacés. On recherche des endroits isolés, à l’abri des regards. Au début, il se contente de me peloter les seins, de passer une main entre mes jambes. Je m’aperçois que je mouille ma culotte. Moi, j’en profite pour frotter et presser son sexe à travers son pantalon. Même dans les salles obscures, on ne fait rien d’autre. Pourtant, un jour, il ouvre mon jean, passe sa main dedans, écarte ma culotte et glisse son doigt sur mon clito, le fait tourner. Ne voulant pas être en reste, j’ouvre son pantalon, saisi sa bite et les couilles dans son slip. Il bande et moi je mouille. Mais on en reste là, j’ai peur qu’on se fasse prendre. Je ne l’ai pas encore ramené à la maison. On ne se voit qu’après les cours, pas très longtemps, car je dois être chez moi avant l’arrivée de mes parents. Le week- end, tu me sers quelque fois d’alibi, je dis à mes parents que je vais chez toi. Et ça marche ! J’attends les prochaines vacances avec impatience, mais pour l’instant, lorsque je suis avec lui, on se contente de simples attouchements quelque fois très risqués. Mais un jour, dans le noir, il sort sa queue, passe sa main dans ma culotte, essaye de m’introduire un doigt dans la fente, de le glisser jusqu’à l’entrée du vagin. Je mouille, ressers les cuisses, retire sa main, referme mon jean, mécontente. Je lui dis que je ne veux pas. Contrarié, il range son équipement, me fait la tête. On regarde le film. Je crois que je suis troublée, ce jour là je n’ai pas voulu toucher sa bite, le branler, il va trop loin..
Enfin les vacances de Noël arrivent. Il fait froid, on recherche les endroits chauffés pour s’adonner à des moments de tendresse. On est en semaine, mes parents sont au boulot et ne rentre que vers 18 h. Je l’invite chez moi un après midi. On s’installe sur le canapé dans le séjour, et on commence à se bécoter, à se caresser. Il enlève mon polo, mon soutien gorge, j’ai la poitrine à l’air. C’est la première fois que je lui montre mes seins. Il s’en empare, les malaxe, les suce, tire sur les mamelons, les mordille. Je sens que je mouille ma culotte. J’ai sorti sa queue, la regarde pour la première fois au grand jour, décalotte le gland, soupèse les couilles. Elle est raide, pas très longue ni très grosse. Je le branle doucement pendant qu’il me roule un patin. Il bande de plus en plus, sa bite grandit, le gland grossit, devient rouge. Il se lève, tire sur mon jean, essaye de me mette à poil. Je résiste, il s’énerve. C’est trop tôt, je n’en ai pas envie, pas aujourd’hui, je suis presque en période rouge, sens interdits. Il est debout, je suis assise, il me prend la nuque, me tire vers lui et me maintient fermement, présente son gland sur ma bouche, appuie. Je ne veux pas, le repousse, tourne la tête. Il la prend, la retourne face à lui, la tient des deux mains, me force à ouvrir la bouche, à engloutir sa bite, fait des va et vient. Par moment j’étouffe car il maintient sa queue enfoncée dans ma bouche jusqu’aux couilles. Il la ressort pour me laisser respirer puis, alors qu’il est au fond de ma gorge, explose. J’en ai plein la bouche, avale, j’ai un haut le cœur, il lâche ma tête, sort sa bite, je recrache, j’aime pas le goût. Il continu à gicler sur mon visage, mon cou, mes seins. Ca me dégouline au bord des lèvres et sur le menton. Je me lève, attrape sous- tif et tee-shirt, courre dans la salle de bain me rincer la bouche, prendre une douche. C’est poisseux, dégueulasse, j’en ai partout, je sens le foutre. Je sorts de la salle de bain, revient dans le séjour. Je ne suis pas contente, l’engueule, il est debout, a rentré sa bite, m’écoute, s’excuse. J’ai besoin d’air, j’ouvre les fenêtres, le flanque dehors. Je passe te voir, te raconte ma mésaventure. Tu trouves que j’ai été imprudente en l’amenant chez moi. Heureusement qu’on n’était pas dans la chambre, parce que je crois que j’y aurais eu droit.
Quand je le croise, je l’évite. Je veux lui faire payer le viol de ma bouche. La semaine suivante on reprend les cours. Je le rencontre dans la cour du lycée, il m’attrape par le bras. Je mets les choses au point. Il m’a obligé à sucer sa bite, je n’en avais pas envie, je ne veux plus le voir, c’est terminé.
J’ai maintenant un autre copain. Avec lui je flirt, ne vais pas plus loin . Mon expérience précédente m’a servi de leçon. On se promène bras dessus, bras dessous dans des endroits chauffés, car il fait froid dehors. On se comporte comme des amoureux. Il vient chez moi un après midi. Je mets le magnétoscope en route et, enlacés, on regarde un film. Il ne fait rien, je suis en confiance. Il me quitte et le lendemain, comme il fait beau, presque froid, nous sortons. On se bécote, on recherche des endroits tranquilles dans le centre commercial, quelques fois on va au cinéma mais on est pas riches. Il vient me chercher à la maison, je le fais entrer discrètement. Il ne faudrait pas que mes parents l’apprennent.
Peu avant la fin des vacances de printemps, en début d’après midi, il vient me chercher. Nous sortons, je n’ai qu’un tee-shirt et un jean sur moi. Il fait frais malgré le temps ensoleillé. Nous revenons à l’appartement, j’ai l’intention de changer pour un pull, plus chaud. Je vais dans ma chambre, quitte mon tee-shirt, le lance sur le lit, ouvre l’armoire. Il est derrière moi, se colle à moi, pour la première fois prend mes seins dans le soutien-gorge, les libère, agace mes tétons, m’embrasse dans le cou. Il me transmet sa chaleur, je suis bien, ne dit rien, laisse faire. Trop tard, une main dégrafe et ouvre mon jean, le fait tomber à mes pieds. Elle passe dans ma culotte, descend jusqu’à ma chatte, s’empare de ma vulve poilue, la presse, la triture. Je mouille, il s’en aperçoit. Deux doigts entrouvrent mes lèvres, serrent mon petit bouton qui s’érige. C’est foutu ! Je bascule sur le lit, il retire ma culotte, se met à genoux entre mes jambes, absorbe mon clito, aspire ma mouille. Je ne tiens plus, ma respiration s’accélère, ma tête chavire, je remue le bas ventre, colle mon sexe à sa bouche, sa langue me fouille.
Je suis nue, il se déshabille. Je le regarde pour la première fois, sa bite est au garde à vous, le gland est rouge, gonflé, décalotté. J’ai peur de ce qui va se passer. Il se met à côté de moi, suce mes tétons, glisse un doigt dans ma fente dissimulée par les poils, cherche le clito, le dégage, le fait rouler entre deux doigts, l’agasse, il durcit. Un flot de mouille envahit mon sexe. Je me lève, courre chercher un drap de bain, le met sur le lit. Je m’allonge dessus, il m’écarte les cuisses, se met entre elles, remonte mes jambes. Mon sexe, trempé, est à sa merci. Il l’ouvre avec ses doigts, place sa queue dans la fente, la glisse jusqu’à l’entrée du vagin, s’arrête. Il appuie, pousse, m’ouvre, me déchire, aïe, j’ai mal, le gland est passé. Il donne un coup de rein, sa queue glisse dans mon fourreau étroit, le dilate. Il est au fond de moi, mon cœur bat la chamade, j’ai chaud. Je remonte les fesses. Il commence à me pilonner d’abord lentement, puis plus vite. Il va de plus en plus loin dans mon ventre. Je le sens en moi, il me comble, j’ai moins mal, je mouille beaucoup, la verge coulisse facilement. Il ressort, rentre de nouveau, je pousse un cri, il s’enfonce jusqu’aux couilles. Je les sens toucher mon cul. J’ai encore un peu mal, je l’accompagne, aïe, c’est bon, il me défonce encore et encore, me fait perdre la tête. Soudain il s’arrête, donne des coups brefs, grimace, décharge. A chaque soubresaut je sens ses jets de foutre envahir mon vagin. C’est chaud, il m’inonde, me remplit le ventre, j’en veux encore. Il halète, transpire, s’aplatit sur moi, ne bouge plus. Sa bite ramollit lentement, sort de mon antre, poisseuse. Il est lourd, je le repousse, il s’allonge à côté de moi. Je reste immobile, anéantie, les cuisses largement ouvertes, le sexe dégoulinant de foutre. Calmée, je me lève, me dirige vers la salle de bain. Du sperme coule le long de mes cuisses. Je m’installe sur les toilettes. Mon vagin, dont l’entrée est irritée, continue de se vider. Je soulage ma vessie, ça me brûle. Ma vulve est collante. Je prends une douche, insiste avec le jet sur mes parties intimes endolories. Il me rejoint, se lave la queue. On retourne dans la chambre, ça sent le sexe, j’ouvre la fenêtre. On se rhabille sans un mot, il me prend dans ses bras, m’embrasse. Il ne savait pas que j’étais vierge. Lui, au moins, ne m’a pas forcé, il a su saisir le bon moment. Heureusement que je venais d’avoir mes règles. Malgré la douleur encore cuisante, je ne lui en veux pas parce que j’ai ressenti quelque chose de génial.
Il y a du sang et du sperme sur le drap de bain. Je le mets directement dans la machine à laver, prépare et mets en route une lessive. Ma mère va être contente, pour une fois que je me rends utile ! Je lui dirais que je n’avais plus de culottes ! On s’embrasse, il s’en va. Je reste là, bien sage, à regarder la télévision. Je pense à ce qui vient de se passer, à la dimension de sa bite, à la façon qu’il a eue de l’introduire en moi …… jusqu’à la garde. J’ai l’impression de l’avoir encore à l’intérieur, l’entrée de mon vagin est sensible, ça me picote. Je suis prête à recommencer, mais pas tout de suite.
Voilà comment j’ai perdu mon opercule de garantie.
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Ma copine a un ami à peine plus âgé qu’elle. Au cinoche, elle n’hésite pas à baiser à côté de nous. A les voir, ça nous excite terrible, mais je m’interdis, pour le moment de faire comme elle. J’en ai pourtant envie, ça me démange. Il nous faut trouver l’endroit et l’occasion.
Lorsque nous étions en seconde, (on avait 16 ans ) elle m’a raconté comment elle s’est fait déflorer.
Avant de connaître mon petit ami me dit-elle, je m’adonnais à des plaisirs solitaires. Il est en terminale. Avec lui, j’ai commencé à avoir d’autres émois. On s’embrasse, on se caresse, on se promène enlacés. On recherche des endroits isolés, à l’abri des regards. Au début, il se contente de me peloter les seins, de passer une main entre mes jambes. Je m’aperçois que je mouille ma culotte. Moi, j’en profite pour frotter et presser son sexe à travers son pantalon. Même dans les salles obscures, on ne fait rien d’autre. Pourtant, un jour, il ouvre mon jean, passe sa main dedans, écarte ma culotte et glisse son doigt sur mon clito, le fait tourner. Ne voulant pas être en reste, j’ouvre son pantalon, saisi sa bite et les couilles dans son slip. Il bande et moi je mouille. Mais on en reste là, j’ai peur qu’on se fasse prendre. Je ne l’ai pas encore ramené à la maison. On ne se voit qu’après les cours, pas très longtemps, car je dois être chez moi avant l’arrivée de mes parents. Le week- end, tu me sers quelque fois d’alibi, je dis à mes parents que je vais chez toi. Et ça marche ! J’attends les prochaines vacances avec impatience, mais pour l’instant, lorsque je suis avec lui, on se contente de simples attouchements quelque fois très risqués. Mais un jour, dans le noir, il sort sa queue, passe sa main dans ma culotte, essaye de m’introduire un doigt dans la fente, de le glisser jusqu’à l’entrée du vagin. Je mouille, ressers les cuisses, retire sa main, referme mon jean, mécontente. Je lui dis que je ne veux pas. Contrarié, il range son équipement, me fait la tête. On regarde le film. Je crois que je suis troublée, ce jour là je n’ai pas voulu toucher sa bite, le branler, il va trop loin..
Enfin les vacances de Noël arrivent. Il fait froid, on recherche les endroits chauffés pour s’adonner à des moments de tendresse. On est en semaine, mes parents sont au boulot et ne rentre que vers 18 h. Je l’invite chez moi un après midi. On s’installe sur le canapé dans le séjour, et on commence à se bécoter, à se caresser. Il enlève mon polo, mon soutien gorge, j’ai la poitrine à l’air. C’est la première fois que je lui montre mes seins. Il s’en empare, les malaxe, les suce, tire sur les mamelons, les mordille. Je sens que je mouille ma culotte. J’ai sorti sa queue, la regarde pour la première fois au grand jour, décalotte le gland, soupèse les couilles. Elle est raide, pas très longue ni très grosse. Je le branle doucement pendant qu’il me roule un patin. Il bande de plus en plus, sa bite grandit, le gland grossit, devient rouge. Il se lève, tire sur mon jean, essaye de me mette à poil. Je résiste, il s’énerve. C’est trop tôt, je n’en ai pas envie, pas aujourd’hui, je suis presque en période rouge, sens interdits. Il est debout, je suis assise, il me prend la nuque, me tire vers lui et me maintient fermement, présente son gland sur ma bouche, appuie. Je ne veux pas, le repousse, tourne la tête. Il la prend, la retourne face à lui, la tient des deux mains, me force à ouvrir la bouche, à engloutir sa bite, fait des va et vient. Par moment j’étouffe car il maintient sa queue enfoncée dans ma bouche jusqu’aux couilles. Il la ressort pour me laisser respirer puis, alors qu’il est au fond de ma gorge, explose. J’en ai plein la bouche, avale, j’ai un haut le cœur, il lâche ma tête, sort sa bite, je recrache, j’aime pas le goût. Il continu à gicler sur mon visage, mon cou, mes seins. Ca me dégouline au bord des lèvres et sur le menton. Je me lève, attrape sous- tif et tee-shirt, courre dans la salle de bain me rincer la bouche, prendre une douche. C’est poisseux, dégueulasse, j’en ai partout, je sens le foutre. Je sorts de la salle de bain, revient dans le séjour. Je ne suis pas contente, l’engueule, il est debout, a rentré sa bite, m’écoute, s’excuse. J’ai besoin d’air, j’ouvre les fenêtres, le flanque dehors. Je passe te voir, te raconte ma mésaventure. Tu trouves que j’ai été imprudente en l’amenant chez moi. Heureusement qu’on n’était pas dans la chambre, parce que je crois que j’y aurais eu droit.
Quand je le croise, je l’évite. Je veux lui faire payer le viol de ma bouche. La semaine suivante on reprend les cours. Je le rencontre dans la cour du lycée, il m’attrape par le bras. Je mets les choses au point. Il m’a obligé à sucer sa bite, je n’en avais pas envie, je ne veux plus le voir, c’est terminé.
J’ai maintenant un autre copain. Avec lui je flirt, ne vais pas plus loin . Mon expérience précédente m’a servi de leçon. On se promène bras dessus, bras dessous dans des endroits chauffés, car il fait froid dehors. On se comporte comme des amoureux. Il vient chez moi un après midi. Je mets le magnétoscope en route et, enlacés, on regarde un film. Il ne fait rien, je suis en confiance. Il me quitte et le lendemain, comme il fait beau, presque froid, nous sortons. On se bécote, on recherche des endroits tranquilles dans le centre commercial, quelques fois on va au cinéma mais on est pas riches. Il vient me chercher à la maison, je le fais entrer discrètement. Il ne faudrait pas que mes parents l’apprennent.
Peu avant la fin des vacances de printemps, en début d’après midi, il vient me chercher. Nous sortons, je n’ai qu’un tee-shirt et un jean sur moi. Il fait frais malgré le temps ensoleillé. Nous revenons à l’appartement, j’ai l’intention de changer pour un pull, plus chaud. Je vais dans ma chambre, quitte mon tee-shirt, le lance sur le lit, ouvre l’armoire. Il est derrière moi, se colle à moi, pour la première fois prend mes seins dans le soutien-gorge, les libère, agace mes tétons, m’embrasse dans le cou. Il me transmet sa chaleur, je suis bien, ne dit rien, laisse faire. Trop tard, une main dégrafe et ouvre mon jean, le fait tomber à mes pieds. Elle passe dans ma culotte, descend jusqu’à ma chatte, s’empare de ma vulve poilue, la presse, la triture. Je mouille, il s’en aperçoit. Deux doigts entrouvrent mes lèvres, serrent mon petit bouton qui s’érige. C’est foutu ! Je bascule sur le lit, il retire ma culotte, se met à genoux entre mes jambes, absorbe mon clito, aspire ma mouille. Je ne tiens plus, ma respiration s’accélère, ma tête chavire, je remue le bas ventre, colle mon sexe à sa bouche, sa langue me fouille.
Je suis nue, il se déshabille. Je le regarde pour la première fois, sa bite est au garde à vous, le gland est rouge, gonflé, décalotté. J’ai peur de ce qui va se passer. Il se met à côté de moi, suce mes tétons, glisse un doigt dans ma fente dissimulée par les poils, cherche le clito, le dégage, le fait rouler entre deux doigts, l’agasse, il durcit. Un flot de mouille envahit mon sexe. Je me lève, courre chercher un drap de bain, le met sur le lit. Je m’allonge dessus, il m’écarte les cuisses, se met entre elles, remonte mes jambes. Mon sexe, trempé, est à sa merci. Il l’ouvre avec ses doigts, place sa queue dans la fente, la glisse jusqu’à l’entrée du vagin, s’arrête. Il appuie, pousse, m’ouvre, me déchire, aïe, j’ai mal, le gland est passé. Il donne un coup de rein, sa queue glisse dans mon fourreau étroit, le dilate. Il est au fond de moi, mon cœur bat la chamade, j’ai chaud. Je remonte les fesses. Il commence à me pilonner d’abord lentement, puis plus vite. Il va de plus en plus loin dans mon ventre. Je le sens en moi, il me comble, j’ai moins mal, je mouille beaucoup, la verge coulisse facilement. Il ressort, rentre de nouveau, je pousse un cri, il s’enfonce jusqu’aux couilles. Je les sens toucher mon cul. J’ai encore un peu mal, je l’accompagne, aïe, c’est bon, il me défonce encore et encore, me fait perdre la tête. Soudain il s’arrête, donne des coups brefs, grimace, décharge. A chaque soubresaut je sens ses jets de foutre envahir mon vagin. C’est chaud, il m’inonde, me remplit le ventre, j’en veux encore. Il halète, transpire, s’aplatit sur moi, ne bouge plus. Sa bite ramollit lentement, sort de mon antre, poisseuse. Il est lourd, je le repousse, il s’allonge à côté de moi. Je reste immobile, anéantie, les cuisses largement ouvertes, le sexe dégoulinant de foutre. Calmée, je me lève, me dirige vers la salle de bain. Du sperme coule le long de mes cuisses. Je m’installe sur les toilettes. Mon vagin, dont l’entrée est irritée, continue de se vider. Je soulage ma vessie, ça me brûle. Ma vulve est collante. Je prends une douche, insiste avec le jet sur mes parties intimes endolories. Il me rejoint, se lave la queue. On retourne dans la chambre, ça sent le sexe, j’ouvre la fenêtre. On se rhabille sans un mot, il me prend dans ses bras, m’embrasse. Il ne savait pas que j’étais vierge. Lui, au moins, ne m’a pas forcé, il a su saisir le bon moment. Heureusement que je venais d’avoir mes règles. Malgré la douleur encore cuisante, je ne lui en veux pas parce que j’ai ressenti quelque chose de génial.
Il y a du sang et du sperme sur le drap de bain. Je le mets directement dans la machine à laver, prépare et mets en route une lessive. Ma mère va être contente, pour une fois que je me rends utile ! Je lui dirais que je n’avais plus de culottes ! On s’embrasse, il s’en va. Je reste là, bien sage, à regarder la télévision. Je pense à ce qui vient de se passer, à la dimension de sa bite, à la façon qu’il a eue de l’introduire en moi …… jusqu’à la garde. J’ai l’impression de l’avoir encore à l’intérieur, l’entrée de mon vagin est sensible, ça me picote. Je suis prête à recommencer, mais pas tout de suite.
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