Les fantasmes de Lucie (2)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2022 dans la catégorie En solitaire
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Les fantasmes de Lucie (2)
C’est ma cheffe, Séverine. Une cheffe qui mène son service tambour battant. Qui règne carrément dessus, oui. Et qu’adore ça. Elle prend son pied, ça se voit, à donner des ordres. À se faire obéir au doigt et à l’œil. Et tout le monde file doux. Tu viens pas t’y frotter. Même les types. Surtout les types. Elle t’a une de ces façons de les casser devant tout le monde ceux qui veulent jouer aux plus malins avec elle que ça leur fait passer à tout jamais l’envie de recommencer. Et je suis bien tranquille que, s’il ne tenait qu’à elle, si elle avait les coudées tout à fait franches, elle ne s’en tiendrait pas là. Elle te leur ferait passer de sacrés sales quarts d’heure.
Elle le fait d’ailleurs. Je suis sûre qu’elle le fait. Le soir, dans le secret de sa chambre. Tous, ils y attrapent. Une fois l’un, une fois l’autre. À tour de rôle. J’aime bien. J’en profite. Parce qu’imaginer mes collègues de travail en train de se faire fesser comme des gamins, le cul à l’air, ça a quelque chose de particulièrement réjouissant. Et je ne boude pas mon plaisir, j’avoue. Surtout quand c’est de Martial Dupin que je la fais s’occuper. Parce qu’il est imbuvable, Martial Dupin. Prétentieux. Arrogant. Méprisant. Et puis il t’a une de ces façons vicelardes de nous laisser traîner les yeux dessus, à nous, les femmes ! Ou de nous balader ses mains devant ou derrière. « Oh, désolé, je l’ai pas fait exprès. » Tu parles ! À d’autres ! Sans compter cette manie qu’il a de nous bombarder en permanence de petites phrases à double sens ! Son truc en fait, c’est de te mettre mal à l’aise. Tant qu’il peut. Chaque fois qu’il peut. Ça le fait bander. Mais ça, elle est pas dupe, la cheffe. Elle voit clair dans son jeu. Même si, avec elle, évidemment, il n’a pas du tout le même comportement. Avec elle, c’est lèche-bottes et compagnie.
Non, elle est pas dupe. Et elle ne le ménage pas. Quand je veux. Quand j’ai envie. Je m’installe bien confortablement au creux de mes oreillers et je ferme les yeux. Je le lui fais convoquer dans son bureau. Dont on s’approche discrètement, ma collègue Cordelia et moi. Parce qu’il y a une longue fenêtre vitrée qui le sépare du couloir, son bureau, et que le rideau blanc qui court tout du long sur une tringle n’est pas tiré complètement jusqu’au bout. Il s’en faut de quelques centimètres. Du coup on peut voir tout ce qui se passe à l’intérieur, si on veut. Et entendre.
- Vous êtes incorrigible, Dupin, hein ! Vous avez encore remis ça. »Il s’efforce de protester.
- Mais non, jamais de la vie, je vous assure !
- Arrêtez donc de nier l’évidence ! Vous aggravez votre cas ! Harcèlement. Vous savez ce que ça signifie, harcèlement ? Ce que ça peut vous coûter ?
Il sait, oui, mais il n’a rien fait. Rien du tout. Absolument rien.
- Ce sont elles qui…Elle hausse furieusement les épaules.
- Vous m’agacez, Dupin ! Vous m’agacez vraiment. Et vous me faites perdre mon temps. Trêve d’ergotages. Vous étiez prévenu. Alors ou bien vous vous déculottez et je vous inflige une fessée largement méritée ou bien dès demain matin, à la première heure, je procède à votre licenciement. Sans préjuger des suites judiciaires que je pourrai éventuellement donner à l’affaire. Décidez-vous !
Il se décide. Il s’y résout. En soupirant. La mort dans l’âme. Il n’a pas le choix.
Il déboutonne son pantalon, le retire, gagne du temps en le pliant soigneusement, le dépose sur une chaise. Pour enlever son boxer, il lui tourne le dos. Mais pas à nous du coup.
Cordelia me donne un petit coup de coude dans les côtes.
- Pas mal le matériel, non ?
Je fais la moue.
- Oui, oh, bof ! On a vu mieux. Nettement mieux.
Là-bas, la cheffe s’impatiente.
- J’ai pas que ça à faire !
Alors il va vers elle, tête basse, tout penaud. Il lui fait face.
Elle prend tout son temps. Elle le garde sous son regard, à danser d’une jambe sur l’autre, encombré de lui-même.
- Allez !
Il vient docilement s’allonger en travers de ses genoux.
Elle lui pose négligemment une main sur les fesses. Elle se les approprie. La première claque, elle la fait longuement attendre. Elle vient d’un coup. Le fait sursauter. Une deuxième. À plein derrière. Une troisième. Et puis ça prend sa vitesse de croisière. Elle tape. Fort. Régulier. Méthodique.
Cordelia constate.
- Comment ça lui fait rouge !
Ça prend tournure, oui. En effet. Et le voilà qui se met à s’agiter. À gigoter. À battre désespérément des jambes.
Cordelia étouffe un rire. À cause des roubignolles qui lui ballottent en cadence entre les cuisses quand il bondit du derrière.
- Ah, il a l’air fin !
La cheffe, elle, elle tape. Imperturbable. Fort. De plus en plus fort. Il geint. Il gémit. Il crie. Il se cabre.
- Il prend cher.
- On va pas le plaindre, non ! Il nous emmerde assez !
- Peut-être que ça va lui servir de leçon ?
- Alors là, t’as qu’à y croire ! Deux ou trois jours, oui. Et puis il va remettre ça de plus belle.
Ça finit par s’arrêter. La cheffe le laisse se redresser. Il s’éloigne tout en se frottant vigoureusement les fesses.
Elle, elle ne lui prête plus la moindre attention. Elle s’est remise au travail tandis qu’il se rhabille. Qu’il quitte le bureau.
Les images restent là. Elles continuent à vivre. Bien présentes. De la main qui s’abat. De toute sa hauteur. Des fesses qui rougissent, toutes piteuses. Des jambes qui s’affolent désespérément. Je les laisse flotter. S’estomper. Revenir à la charge. Reprendre vigueur. Mes doigts les suivent, les précèdent, les épousent au plus près. J’approche… C’est bon. Comme c’est bon ! J’approche… C’est tout près. C’est là. Ça me traverse. Ça me transporte. Je jouis. Dans un grand râle. Je jouis. Dans une brassée de râles.
À peine le temps d’émerger, de reprendre mes esprits et il y a la voix de Josepha, la secrétaire.
- Lucie ? La directrice veut te voir.
- Moi ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe ?
- Ça, j’en sais fichtre rien, mais elle t’attend dans son bureau. Et, à ta place, je la ferais pas trop lambiner.
Elle ne lève pas tout de suite les yeux de ses papiers.
- Ah, Lucie…Elle arbore une espèce de petit sourire narquois qui n’augure rien de bon.
- Alors ? Vous vous êtes bien amusée ? Le spectacle vous a plu ?
Je feins de ne pas comprendre.
- Amusée ? Le spectacle ?
- Jouez bien, les innocentes !
- Mais non, mais…- Je vais vous faire passer l’envie, moi, d’espionner ce qui se passe dans mon bureau.
Elle recule sa chaise.
- Venez là !
Je fais un pas en avant.
- Plus près !
Un autre.
D’un geste impérieux, elle m’attire à elle. Fait glisser la fermeture Éclair de ma jupe qui me tombe sur les chevilles. Toujours son petit sourire. Elle plonge ses yeux dans les miens et passe ses pouces, les deux, un de chaque côté, sous l’élastique de ma culotte. Qu’elle commence à faire lentement descendre. J’ai un geste, d’instinct, pour la maintenir en place.
Elle repousse ma main. Dure. Sévère.
- C’est moi qui décide…Et elle me déculotte. Et hoche la tête.
- Eh, ben dites donc ! Apparemment que ça vous a fait de l’effet de voir corriger cet animal de Dupin. Vous êtes trempée.
Ses yeux s’attardent complaisamment sur ma chatte.
- Mais non ! C’est pas ça…- Ah, oui ? C’est quoi alors ?
C’est… je peux pas le dire. C’est… Oui, bien sûr, il y a eu la fessée de Dupin. Qui m’a vengée. Qui nous a vengées. Oui. Mais maintenant, c’est d’être là, à poil, devant elle. C’est de me dire que ça y est, je vais y avoir droit. Sa main va s’abattre vigoureusement sur ma croupe. Ça me met dans tous mes états. Depuis le temps que j’en ai envie… Depuis le temps que j’en rêve…- Alors ? C’est quoi ?
Je ne réponds pas.
Elle n’insiste pas. Elle a deviné.
Elle sourit et me fait basculer en travers de ses genoux.
- Je peux te dire que tu vas t’en souvenir, ma petite !
Et elle tape. À pleine volée. Ça pique. Ça brûle. Insupportable. Mais tellement bon ! Je tends voluptueusement mes fesses vers elle. Je les lui offre. Je perds pied. Très vite. Et je crie.
- C’est ça ! Braille !
De douleur. Et de plaisir. Ça se mélange, tout ça. C’est pareil. Alors j’arpège mon bonheur. Je le clame Je le proclame.
Je supplie.
- Encore ! S’il vous plaît, encore !
Elle tape. De plus en plus vite. De plus en plus fort. Elle tape. Et je jouis. Je jouis comme une perdue.
Une dernière petite claque.
Je me relève.
- Merci.
Et je m’endors satisfaite. Repue. Heureuse.
Elle le fait d’ailleurs. Je suis sûre qu’elle le fait. Le soir, dans le secret de sa chambre. Tous, ils y attrapent. Une fois l’un, une fois l’autre. À tour de rôle. J’aime bien. J’en profite. Parce qu’imaginer mes collègues de travail en train de se faire fesser comme des gamins, le cul à l’air, ça a quelque chose de particulièrement réjouissant. Et je ne boude pas mon plaisir, j’avoue. Surtout quand c’est de Martial Dupin que je la fais s’occuper. Parce qu’il est imbuvable, Martial Dupin. Prétentieux. Arrogant. Méprisant. Et puis il t’a une de ces façons vicelardes de nous laisser traîner les yeux dessus, à nous, les femmes ! Ou de nous balader ses mains devant ou derrière. « Oh, désolé, je l’ai pas fait exprès. » Tu parles ! À d’autres ! Sans compter cette manie qu’il a de nous bombarder en permanence de petites phrases à double sens ! Son truc en fait, c’est de te mettre mal à l’aise. Tant qu’il peut. Chaque fois qu’il peut. Ça le fait bander. Mais ça, elle est pas dupe, la cheffe. Elle voit clair dans son jeu. Même si, avec elle, évidemment, il n’a pas du tout le même comportement. Avec elle, c’est lèche-bottes et compagnie.
Non, elle est pas dupe. Et elle ne le ménage pas. Quand je veux. Quand j’ai envie. Je m’installe bien confortablement au creux de mes oreillers et je ferme les yeux. Je le lui fais convoquer dans son bureau. Dont on s’approche discrètement, ma collègue Cordelia et moi. Parce qu’il y a une longue fenêtre vitrée qui le sépare du couloir, son bureau, et que le rideau blanc qui court tout du long sur une tringle n’est pas tiré complètement jusqu’au bout. Il s’en faut de quelques centimètres. Du coup on peut voir tout ce qui se passe à l’intérieur, si on veut. Et entendre.
- Vous êtes incorrigible, Dupin, hein ! Vous avez encore remis ça. »Il s’efforce de protester.
- Mais non, jamais de la vie, je vous assure !
- Arrêtez donc de nier l’évidence ! Vous aggravez votre cas ! Harcèlement. Vous savez ce que ça signifie, harcèlement ? Ce que ça peut vous coûter ?
Il sait, oui, mais il n’a rien fait. Rien du tout. Absolument rien.
- Ce sont elles qui…Elle hausse furieusement les épaules.
- Vous m’agacez, Dupin ! Vous m’agacez vraiment. Et vous me faites perdre mon temps. Trêve d’ergotages. Vous étiez prévenu. Alors ou bien vous vous déculottez et je vous inflige une fessée largement méritée ou bien dès demain matin, à la première heure, je procède à votre licenciement. Sans préjuger des suites judiciaires que je pourrai éventuellement donner à l’affaire. Décidez-vous !
Il se décide. Il s’y résout. En soupirant. La mort dans l’âme. Il n’a pas le choix.
Il déboutonne son pantalon, le retire, gagne du temps en le pliant soigneusement, le dépose sur une chaise. Pour enlever son boxer, il lui tourne le dos. Mais pas à nous du coup.
Cordelia me donne un petit coup de coude dans les côtes.
- Pas mal le matériel, non ?
Je fais la moue.
- Oui, oh, bof ! On a vu mieux. Nettement mieux.
Là-bas, la cheffe s’impatiente.
- J’ai pas que ça à faire !
Alors il va vers elle, tête basse, tout penaud. Il lui fait face.
Elle prend tout son temps. Elle le garde sous son regard, à danser d’une jambe sur l’autre, encombré de lui-même.
- Allez !
Il vient docilement s’allonger en travers de ses genoux.
Elle lui pose négligemment une main sur les fesses. Elle se les approprie. La première claque, elle la fait longuement attendre. Elle vient d’un coup. Le fait sursauter. Une deuxième. À plein derrière. Une troisième. Et puis ça prend sa vitesse de croisière. Elle tape. Fort. Régulier. Méthodique.
Cordelia constate.
- Comment ça lui fait rouge !
Ça prend tournure, oui. En effet. Et le voilà qui se met à s’agiter. À gigoter. À battre désespérément des jambes.
Cordelia étouffe un rire. À cause des roubignolles qui lui ballottent en cadence entre les cuisses quand il bondit du derrière.
- Ah, il a l’air fin !
La cheffe, elle, elle tape. Imperturbable. Fort. De plus en plus fort. Il geint. Il gémit. Il crie. Il se cabre.
- Il prend cher.
- On va pas le plaindre, non ! Il nous emmerde assez !
- Peut-être que ça va lui servir de leçon ?
- Alors là, t’as qu’à y croire ! Deux ou trois jours, oui. Et puis il va remettre ça de plus belle.
Ça finit par s’arrêter. La cheffe le laisse se redresser. Il s’éloigne tout en se frottant vigoureusement les fesses.
Elle, elle ne lui prête plus la moindre attention. Elle s’est remise au travail tandis qu’il se rhabille. Qu’il quitte le bureau.
Les images restent là. Elles continuent à vivre. Bien présentes. De la main qui s’abat. De toute sa hauteur. Des fesses qui rougissent, toutes piteuses. Des jambes qui s’affolent désespérément. Je les laisse flotter. S’estomper. Revenir à la charge. Reprendre vigueur. Mes doigts les suivent, les précèdent, les épousent au plus près. J’approche… C’est bon. Comme c’est bon ! J’approche… C’est tout près. C’est là. Ça me traverse. Ça me transporte. Je jouis. Dans un grand râle. Je jouis. Dans une brassée de râles.
À peine le temps d’émerger, de reprendre mes esprits et il y a la voix de Josepha, la secrétaire.
- Lucie ? La directrice veut te voir.
- Moi ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe ?
- Ça, j’en sais fichtre rien, mais elle t’attend dans son bureau. Et, à ta place, je la ferais pas trop lambiner.
Elle ne lève pas tout de suite les yeux de ses papiers.
- Ah, Lucie…Elle arbore une espèce de petit sourire narquois qui n’augure rien de bon.
- Alors ? Vous vous êtes bien amusée ? Le spectacle vous a plu ?
Je feins de ne pas comprendre.
- Amusée ? Le spectacle ?
- Jouez bien, les innocentes !
- Mais non, mais…- Je vais vous faire passer l’envie, moi, d’espionner ce qui se passe dans mon bureau.
Elle recule sa chaise.
- Venez là !
Je fais un pas en avant.
- Plus près !
Un autre.
D’un geste impérieux, elle m’attire à elle. Fait glisser la fermeture Éclair de ma jupe qui me tombe sur les chevilles. Toujours son petit sourire. Elle plonge ses yeux dans les miens et passe ses pouces, les deux, un de chaque côté, sous l’élastique de ma culotte. Qu’elle commence à faire lentement descendre. J’ai un geste, d’instinct, pour la maintenir en place.
Elle repousse ma main. Dure. Sévère.
- C’est moi qui décide…Et elle me déculotte. Et hoche la tête.
- Eh, ben dites donc ! Apparemment que ça vous a fait de l’effet de voir corriger cet animal de Dupin. Vous êtes trempée.
Ses yeux s’attardent complaisamment sur ma chatte.
- Mais non ! C’est pas ça…- Ah, oui ? C’est quoi alors ?
C’est… je peux pas le dire. C’est… Oui, bien sûr, il y a eu la fessée de Dupin. Qui m’a vengée. Qui nous a vengées. Oui. Mais maintenant, c’est d’être là, à poil, devant elle. C’est de me dire que ça y est, je vais y avoir droit. Sa main va s’abattre vigoureusement sur ma croupe. Ça me met dans tous mes états. Depuis le temps que j’en ai envie… Depuis le temps que j’en rêve…- Alors ? C’est quoi ?
Je ne réponds pas.
Elle n’insiste pas. Elle a deviné.
Elle sourit et me fait basculer en travers de ses genoux.
- Je peux te dire que tu vas t’en souvenir, ma petite !
Et elle tape. À pleine volée. Ça pique. Ça brûle. Insupportable. Mais tellement bon ! Je tends voluptueusement mes fesses vers elle. Je les lui offre. Je perds pied. Très vite. Et je crie.
- C’est ça ! Braille !
De douleur. Et de plaisir. Ça se mélange, tout ça. C’est pareil. Alors j’arpège mon bonheur. Je le clame Je le proclame.
Je supplie.
- Encore ! S’il vous plaît, encore !
Elle tape. De plus en plus vite. De plus en plus fort. Elle tape. Et je jouis. Je jouis comme une perdue.
Une dernière petite claque.
Je me relève.
- Merci.
Et je m’endors satisfaite. Repue. Heureuse.
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