Les femmes matures de ma vie : #1 Josy - histoire érotique

Dans notre jeunesse, nous avons tous fantasmé sur des femmes plus âgées que nous. Je dois bien avouer que je ne fais pas exception. Je me suis souvent masturber en pensant à ces femmes ; elles étaient l’objet de mes fantasmes. J’ai toujours beaucoup apprécié les femmes mures et bien en chair ; à savoir avec de gros seins et de bons gros culs. Quel bonheur, ce fut pour moi de fantasmer sur ces « Milfs » comme la concierge de mon immeuble, ma professeure de français, ma belle tante … et bien d’autres.

J’ai décidé de retrouver toutes ces femmes qui ont marquées ma jeunesse et de vous raconter nos retrouvailles …. Alors bien sûr, elles ont toutes, maintenant, un certain âge (entre 60 ans et 80 ans), mais c’est plus fort que moi, j’aime les vieilles. Vous verrez que nos retrouvailles ont été parfois très inattendues et très chaudes.

Pour commencer notre série, j’ai décidé de recontacter Josy, la concierge de mon immeuble quand j’étais enfant.
Comment décrire Josy ? un petit bout de bonne femme, les cheveux bouclés, une énorme paire de seins, qui m’a toujours fait rêver et un bon gros cul.
Je me souviens encore quand je la matai derrière les volets de la chambre. Elle portait des gros soutiens gorges armaturés qui maintenaient bien droit ses nichons ; on aurait dit des obus qui pointaient, prêts à être lancé. J’aimai beaucoup discuter avec Josy, cela me permettait de la mater sur toutes les coutures. Bien sûr, je m’attardai sur ses seins et surtout sur son gros cul, c’était plus discret. Dans mes rêves, je l’imaginai me sucer la bite, me faire une branlette espagnole, que je la prenais en levrette pour finir par une éjaculation sur ses gros melons.

Bref, tout cela n’est que fantasme, cherchons donc à contacter Josy.
Je tente Facebook, je trouve un compte peu utilisé, pas trop étonnant vu la génération de Josy.
Je décide tout de même de lui laisser un message :
« Bonjour Madame T., je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, j’aimerai beaucoup vous revoir pour parler du bon vieux temps. Amicalement. »

Ce message est un peu une bouteille à la mer … On verra bien.

Une semaine passe, et miracle Josy m’a répondue

« Bien sûr que je me souviens de toi, un garçon très aimable et avenant. Ça me ferait très plaisir de te revoir. Je te propose de nous retrouver devant le lycée en face de la pelouse, samedi à 16h. » Mon cœur battait si fort, Josy m’avait répondu et proposé un rendez-vous.
Je m’empresse d’accepter son invitation.

Le Jour J, je suis dans ma voiture et l’attend, j’ai envie de la voir arriver.

Effectivement, Josy arrive à pied. Je la trouve magnifique. Elle est habillée en pantalon et en T-shirt laissant découvrir un petit décolleté. Ses seins sont encore plus gros que dans mes souvenirs, elle a pris énormément du cul, ce qui m’excite encore plus ….
Je m’approche d’elle, ses traits sont marqués par les années, mais elle a encore beaucoup de charme. Elle me reconnait et vient m’embrasser sur la joue.
- Comme tu es devenu un beau jeune homme.
- Merci Madame.
- Appelles moi Josy, voyons !
- Ok très bien Josy.

Une légère gêne s’installe, je me reprends :
- Allons marcher sur la pelouse, lui dis-je.
- Ah oui bonne idée.

Elle passe devant, je lui matte discrètement le cul, ma queue commence à gonfler, mon cœur bat très fort. Est-ce que je lui fais le même effet ?

Nous nous baladons sur la pelouse pendant plus d’une heure à discuter. Elle m’apprend qu’elle est veuve depuis plus de 10 ans et qu’elle n’a pas retrouvé l’amour. Je me souviens de son mari, un brave type.
Depuis qu’elle est à la retraite, elle a acheté un appartement dans l’immeuble à côté de celui de mon enfance.
De mon côté, je lui raconte un peu ma vie. Rien de bien passionnant.

Pendant toute notre discussion, je ne pouvais m’empêcher de la mater, surtout son début de décolleté. Malheureusement, je ne voyais pas grand-chose.

Nous retournons vers le lycée. Nous nous approchons de ma voiture où nous continuons à discuter un petit moment.

- Je peux vous ramener en voiture chez vous, Josy
- Oh avec plaisir, je t’offrirai un coup à boire, si tu n’es pas pressé.
- Eh bien, avec plaisir, Josy.

Je n’attendais que cette proposition, ça y est, J’ai un pied chez elle.

Nous sommes très rapidement chez elle. Elle me fait entrer dans son petit appartement

Elle me dit :
- Installe-toi sur le canapé, je vais chercher à boire.

Josy revient avec 2 bières et s’assoit à côté de moi.
Je me lance.
- Josy, vous êtes toujours aussi belle.
- Oh, arrête, tu vas me gêner.
- Si vraiment, j’admire votre corps depuis des années, et il m’excite toujours autant.
- Je t’excite, moi, une vieille dame.
- Oui terriblement !

Josy devient rouge tomate, j’en profite, je me jette contre elle et l’embrasse fougueusement sur la bouche. Elle ne me repousse pas, au contraire, elle ouvre sa bouche et m’offre sa langue. On s’embrasse pendant plusieurs minutes. Mes mains deviennent baladeuses, je commence à malaxer ses seins, elle émet des petits cris de plaisir. Je touche enfin ces seins tant désirés.

Josy recule, se lève et me dit :
- Je sais ce que tu veux depuis tout à l’heure… Mes gros nichons … ils sont à toi.
Elle enlève son T-shirt et dégrafe son soutien-gorge.
Josy est sein à l’air devant moi. Ses seins tombent, tellement ils sont lourds. Elle a des énormes tétons qui pointent déjà.

Je me lève et me jette sur ses seins. Je lui mange littéralement les seins. Je lui mordille les tétons, elle gémit et me dis :
- Humm petit coquin, c’est ce que tu voulais. Vas-y bouffe mes seins !
- Ils sont bons, Josy …
- Oui vas-y !! tu me fais du bien !

Je l’embrasse de nouveau, nos langues s’unissent.
Je descends son pantalon, elle porte une grosse culotte. Elle est toute trempée.
Je lui enlève sa culotte et lui met un doigt dans la chatte. Elle sursaute et recule.
Elle me dit :
- Arrête, ce n’est pas une bonne idée !
- Que se passe-t-il Josy ?
- Je Je Je ne peux pas ….
- Pourquoi ? Laisse-moi te donner le plaisir que tu mérites.
- Je n’ai plus rien fait depuis plus de 10 ans ! et ma petite chatte n’est pas très fraiche ! je ne pensais qu’on allait faire …. Enfin faire ça !
- Je veux te faire redécouvrir les plaisirs de la chaire et je veux gouter ton minou, je m’en fous qu’il ne soit pas propre !

Je me déshabille complétement. Ma queue est dressée fièrement vers Josy qui ne peut s’empêcher de la fixer du regard.

- Quelle belle queue. Me dit-elle

Je sens quelle lâche prise … je la pousse sur le canapé et me jette sur sa chatte.
Je lui lèche le clitoris en lui enfonçant 2 doigts dans la chatte. Elle gémit. Elle n’a plus l’habitude ... Son vagin est serré, je le sens avec mes doigts.
Sa chatte sent fort, mais ça m’excite encore plus. Elle mouille énormément et commence à gémir.

Je me relève, ma queue est pointée vers sa tête, je luis dis :
- Josy, veux-tu sucer ma queue ?
- Ça fait plusieurs décennies que je n’ai pas sucer une bite. Je ne suçais pas mon mari, mais ta queue me fait très envie.

Elle commence à me branler, puis timidement, elle me lèche la bite.
- Humm c’est bon Josy ! oui lèche mon frein. Tu te débrouilles bien !

Puis elle avale ma bite et commence des vas et vient
- Ouïe chérie, tu frottes avec tes dents !
- Oh excuses moi, Bluurp, Bluuurp, c’est mieux ?
- Oh oui parfait !

Elle me regarde en me suçant, elle est si belle avec ma queue dans sa bouche.


Je commence moi aussi des va et vient, je sens qu’elle s’étouffe mais insiste de plus belle. Quelle pugnacité, elle veut me faire plaisir.

Je décide donc d’enfoncer complètement ma bite dans sa bouche ! A ma grande surprise, elle gère plutôt bien la gorge profonde.

J’enlève ma queue, un long filet de bave coule sur ses gros seins.

Je la regarde droit dans les yeux et lui dit :
- Josy, je vais te baiser
- Je n’attends que ça mon coquin. Mais vas-y doucement ; je trouve ta bite énorme.
- Ne t’inquiète pas, je vais faire attention

Au fond de moi, je n’avais qu’une envie, la prendre sauvagement comme une chienne.

Je la redresse sur le canapé, je présente ma bite devant sa chatte. J’enfonce ma queue tout doucement. Elle émet un petit cri. Sa chatte est tellement serrée qu’on dirait qu’elle est vierge.
Je lui dis :
- Tu es tellement serrée, Josy !
- Je te l’ai dit, ça fait plus de 10 ans que je n’ai pas baisé et je n’ai jamais eu d’enfant.
- Mais ça te fait quand même du bien.
- Oh oui c’est bon mon chérie, je te sens au fond de moi ! Continue à me baiser.

Je commence des vas et vient avec ma bite de plus en plus rapide. Josy crie de plus en plus fort. Les voisins doivent nous entendre tellement elle crie. On entend claquer son cul à chaque coup de boutoir. Elle mouille abondamment. Josy me crie alors :
- OOOOOhh mon salaud, je jouis AAAHHAHAHAAHAH

Je sors ma queue de sa chatte, des litres de jus giclent de sa foufoune ! Josy est une femme fontaine.
- Tu es femme fontaine ?
- Je ne le savais pas !

Me dit-elle en reprenant ses esprits.
Je l’embrasse, elle me sourit. Elle agrippe ma queue et vient d’elle-même me sucer.
- Elle est trop bonne ta queue, j’en veux encore, je deviens une vraie salope.
- Oui tu es une vraie grosse salope. Mets-toi à 4 pattes sur le sol.

Josy se met à 4 pattes, le cul tendu vers l’arrière.
Je me mets derrière elle, elle écarte bien ses jambes.
J’agrippe ses fesses, son cul est énorme, j’ai du mal à voir l’entrée de sa chatte et l’abondance de poils n’aide pas non plus. J’arrive à glisser ma queue dans son vagin. Je dois bien me tenir à son cul pour ne pas perdre l’équilibre. A chaque coup de bite, une vague se créée sur son cul bien gras, c’est tellement beau ! J’attrape mon smartphone et filme cette scène surréaliste. Josy gémit de nouveau très fort, elle est en transe. Je lui défonce la chatte et elle en redemande encore.
Son petit trou du cul s’ouvre de temps en temps, comme s’il voulait me parler.
Je lui mets un doigt dans le cul, Josy est tellement en transe qu’elle ne s’en rend pas compte. Mon doigt est complétement dans son anus ! son trou du cul n’est pas très propre, mais j’insiste et en profite pour cracher dedans. Josy prend toujours son pied, elle jouit plusieurs fois et éjacule encore de la chatte.
Ma queue est encore bien raide. J’ai vraiment envie de l’enculer.

Je sors ma queue de sa chatte. Je positionne mon gland à l’entrée de son anus et je force pour que ça rentre. Josy crie de douleur, je maintiens sa tête contre le sol. Elle me crie :
- Non pas par-là , arrête, tu me fais mal.
- Salope, je vais t’enculer, je vais te péter le cul.
- Personne n’est passé par là … arrête !
- Je sens que le terrain est vierge, ton petit cul n’est pas propre, ma bite est plein de merde.
Je force très fort, ma bite est entièrement dans son cul. Je fais alors des va et vient très rapide. Ses gémissements de douleur se transforment en gémissements de plaisir.
- Ne t’arrête pas, maintenant que tu es dedans, c’est trop bon
- Oh la grosse salope ! je vais te faire jouir du cul
- Vas-y pète moi le cul ! Je jouis bébé !!! Ah AHh Oui oui …plus fort plus fort … déglingue moi …

Josy éjacule une fois de plus de la foune.
Je n’en peux plus, je suis à 2 doigts de jouir.

- Josy, je vais jouir !!
- Non attends, je veux te branler avec mes gros seins !
- Oh oui vas-y.

Josy se met sur les genoux. Je fais glisser ma queue, souillée de sa merde entre ses seins. Sa merde, avec un peu de sang de son anus, s’étale entre ses seins. Je ne tarde pas à venir.
- Josy, je vais jouir
- Oui bébé, repeint mon visage avec ton sperme
- Oh oui Josy … salope… mon amour… ahhhh

D’énormes giclée de sperme jaillissent de ma bite et recouvre le visage de Josy. Elle lèche le bout de ma queue.

Josy s’écroule fatiguée mais heureuse. Elle me regarde et me dit.
- Merci pour tout, je suis en fait une belle salope.
- Je te confirme, je t’ai bien baisée et par tous les trous.


Nous avons passé toute la soirée à baiser.

Bien sûr, je vois toujours Josy, nous baisons à tout heure et n’importe où.

Voilà, c’était les retrouvailles avec Josy, j’espère que cela vous a plu, n’hésitez pas à laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir.

A bientôt pour la suite de cette série sur les femmes matures de ma vie.