Les gladiateurs du XXIème siècle III
Récit érotique écrit par Kappa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les gladiateurs du XXIème siècle III
Les demi-finales allaient débuter sous peu et mon combat allait m'opposer à une Éthiopienne dont je n'arrivais pas à prononcer le nom. D'après les sondages et l'avis de mes amis-entraîneurs, je partais favorite de ce duel. Karim me donnait encore quelques recommandations tandis que Bob et Robert me mettaient de la crème sur le corps pendant que Michaël me massait les épaules. Je me détendis rapidement sous les caresses de leurs mains douces et expertes et fermai les yeux pour savourer ce moment d'exception. Le responsable me coupa de ma rêverie en annonçant ma demi-finale:
«Maintenant, voici la première demi-finale qui va opposer notre merveille d'Éthiopie à notre délicieuse Rosalie! Veuillez les accueillir!»
Un tonnerre d'applaudissements retentit lorsque je montai sur le ring avec mon adversaire. L'arbitre nous fit venir au centre du ring et nous fit son habituel discours sur les mouvements interdits pendant le combat.
Connaissant sa tirade par cœur, j'en profitai pour jauger mon adversaire. Elle n'était pas très belle mais pas laide non plus. Ses cheveux étaient attachés en chignon, son visage rendu rageur par l'envie de se battre lui donnai un certain charme. Sa poitrine, quant à elle, était "passable" comme j'avais l'habitude d'appeler les poitrines de ce calibre (75C). En portant mon regard plus bas sur son anatomie, je pus voir une chatte très attirante avec sa toison de poils noirs. Mon adversaire éthiopienne ne m'inspirait pas autant ce sentiment de supériorité que j'avais éprouvé face à Pauline mais, cependant, j'avais envie de la dominer et de faire d'elle ma soumise du moment. L'arbitre nous donna le signal du début du combat et, dès les premiers instants, je me ruai à l'attaque. "Frappe au ventre, ne la laisse pas venir, tu finiras par gagner". Ces mots résonnaient dans ma tête et me donnaient un surplus de motivation. Je portai une première rafale de coups de poings à ma rivale au niveau du ventre. Cette dernière se courba en deux. J'en profitai pour la ceinturer et la plaquer au sol afin de l'immobiliser. Je lui bloquai les bras afin de lui couper toute chance de contre-attaque. Le compter des trois secondes s'alluma et le laps de temps s'écoula lentement. Résignée, ma rivale ne tenta rien pour se défaire de la pression que j'exerçais sur son corps. Un bip sonore retentit, signifiant la fin du combat et ma victoire. Je tournai la tête vers le public pour connaître son verdict. Tous les pouces étaient inclinés vers le sol. Quel plaisir! Ma rivale était à moi, désormais. Cette dernière s'agenouilla devant moi en signe de soumission. Je lui ordonnai de me baiser les pieds et de me sucer les orteils un par un.
L'Éthiopienne s'exécuta et un torrent d'applaudissements retentit dans le public. Lorsqu'elle eût achevé sa besogne, je lui ordonnai de s'agenouiller devant moi à nouveau. Afin d'assoir ma domination, je lui administrai trois paires de claques retentissantes sur les joues.
«Tu vas gentiment répondre à mes questions et m'appeler "Maîtresse Rosalie" sinon je te giflerai à nouveau et beaucoup plus fort que comme je viens de le faire, vu?
- Oui, Maîtresse Rosalie.
- Bien. Première question. As-tu encore ton entraîneur?
- Non, Maîtresse Rosalie. Il m'a quittée après mon dernier combat.
- Bon, dans ce cas, je vais devoir faire autrement avec toi.»
Je demandai ensuite que l'on me passe un gode. L'objet surgit de je ne sais où dans la salle. Je le ramassai et l'attachai autour de mon bas-ventre. Je pris la queue du gode dans ma main et la dirigeai vers la bouche de ma rivale.
«Suce.» lui ordonnai-je sèchement.
Ma rivale obéit et suça ma bite improvisée. Je décidai ensuite de faire le travail moi-même et lui baisai la bouche. Au bout de dix minutes, je sortis le gode de sa bouche et l'allongeai sur le dos. J'introduisis ensuite d'un coup sec les 25cm du gode dans la chatte de ma soumise qui commença à crier de plaisir. Je la laissai crier un moment puis, sentant qu'elle allait atteindre l'orgasme, je la giflai.
«Tu n'es pas ici pour jouir mais pour m'obéir!»
Je continuai mes pénétrations durant vingt minutes encore puis changeai de cible. Je pris mon adversaire par les pieds et calai ses chevilles entre les bandes du ring et la tournai vers moi de façon à ce que son anus soit à portée de mon gode. Comme dans la chatte, j'enfonçai d'un seul coup les 25 cm dans le cul de ma rivale qui poussa un petit cri de douleur immédiatement changé en cris de plaisir. À la limite de l'orgasme, je la giflai une fois de plus et lui rappelai la maxime que je lui avais servie quelques instants auparavant. Je la sodomisai durant dix minutes avant de retirer le gode de son orifice et de la coucher à nouveau au sol. Je retirai le gode, une idée derrière la tête. Je m'assis sur le visage de ma rivale et lui ordonnai de me donner du plaisir, sans quoi je la punirais une fois de plus. L'Éthiopienne s'exécuta. Sa langue lécha mon sexe jusqu'à me gonfler le clitoris. Je poussai un cri de plaisir et me retirai juste avant l'orgasme. Je me rassis sur le visage de ma rivale et lui ordonnai de me lécher l'anus. Sa langue experte entra dans mon cul et me lécha jusqu'au fond de mon petit trou. Au bout de quinze minutes, je sentis un liquide monter en moi qui n'était pas de la cyprine. Ma vessie allait exploser. J'eus un plan diabolique. Je fis semblant d'avoir atteint l'orgasme et dis d'un ton faussement rauque que j'allais jouir et lui demandai si elle était prête à avaler ma semence. Elle hocha la tête d'un signe affirmatif et je collai mon sexe sur sa bouche.
Je me vidai ensuite la vessie dans sa bouche en poussant un faux cri de plaisir. Mon sexe faisant barrage, ma rivale n'eut d'autre choix que d'avaler mon urine. Après m'être complètement vidée, je me relevai et me redirigeai vers ma chambre où m'attendaient mes amis sous les acclamations du public qui scandait mon nom. Ils avaient compris et m'adoraient dans mon rôle de dominatrice de femmes. Quant à moi, j'aimais plutôt bien ce rôle mais préférais être dans les bras des hommes.
La suite dans le prochain épisode
Rosalie
«Maintenant, voici la première demi-finale qui va opposer notre merveille d'Éthiopie à notre délicieuse Rosalie! Veuillez les accueillir!»
Un tonnerre d'applaudissements retentit lorsque je montai sur le ring avec mon adversaire. L'arbitre nous fit venir au centre du ring et nous fit son habituel discours sur les mouvements interdits pendant le combat.
Connaissant sa tirade par cœur, j'en profitai pour jauger mon adversaire. Elle n'était pas très belle mais pas laide non plus. Ses cheveux étaient attachés en chignon, son visage rendu rageur par l'envie de se battre lui donnai un certain charme. Sa poitrine, quant à elle, était "passable" comme j'avais l'habitude d'appeler les poitrines de ce calibre (75C). En portant mon regard plus bas sur son anatomie, je pus voir une chatte très attirante avec sa toison de poils noirs. Mon adversaire éthiopienne ne m'inspirait pas autant ce sentiment de supériorité que j'avais éprouvé face à Pauline mais, cependant, j'avais envie de la dominer et de faire d'elle ma soumise du moment. L'arbitre nous donna le signal du début du combat et, dès les premiers instants, je me ruai à l'attaque. "Frappe au ventre, ne la laisse pas venir, tu finiras par gagner". Ces mots résonnaient dans ma tête et me donnaient un surplus de motivation. Je portai une première rafale de coups de poings à ma rivale au niveau du ventre. Cette dernière se courba en deux. J'en profitai pour la ceinturer et la plaquer au sol afin de l'immobiliser. Je lui bloquai les bras afin de lui couper toute chance de contre-attaque. Le compter des trois secondes s'alluma et le laps de temps s'écoula lentement. Résignée, ma rivale ne tenta rien pour se défaire de la pression que j'exerçais sur son corps. Un bip sonore retentit, signifiant la fin du combat et ma victoire. Je tournai la tête vers le public pour connaître son verdict. Tous les pouces étaient inclinés vers le sol. Quel plaisir! Ma rivale était à moi, désormais. Cette dernière s'agenouilla devant moi en signe de soumission. Je lui ordonnai de me baiser les pieds et de me sucer les orteils un par un.
L'Éthiopienne s'exécuta et un torrent d'applaudissements retentit dans le public. Lorsqu'elle eût achevé sa besogne, je lui ordonnai de s'agenouiller devant moi à nouveau. Afin d'assoir ma domination, je lui administrai trois paires de claques retentissantes sur les joues.
«Tu vas gentiment répondre à mes questions et m'appeler "Maîtresse Rosalie" sinon je te giflerai à nouveau et beaucoup plus fort que comme je viens de le faire, vu?
- Oui, Maîtresse Rosalie.
- Bien. Première question. As-tu encore ton entraîneur?
- Non, Maîtresse Rosalie. Il m'a quittée après mon dernier combat.
- Bon, dans ce cas, je vais devoir faire autrement avec toi.»
Je demandai ensuite que l'on me passe un gode. L'objet surgit de je ne sais où dans la salle. Je le ramassai et l'attachai autour de mon bas-ventre. Je pris la queue du gode dans ma main et la dirigeai vers la bouche de ma rivale.
«Suce.» lui ordonnai-je sèchement.
Ma rivale obéit et suça ma bite improvisée. Je décidai ensuite de faire le travail moi-même et lui baisai la bouche. Au bout de dix minutes, je sortis le gode de sa bouche et l'allongeai sur le dos. J'introduisis ensuite d'un coup sec les 25cm du gode dans la chatte de ma soumise qui commença à crier de plaisir. Je la laissai crier un moment puis, sentant qu'elle allait atteindre l'orgasme, je la giflai.
«Tu n'es pas ici pour jouir mais pour m'obéir!»
Je continuai mes pénétrations durant vingt minutes encore puis changeai de cible. Je pris mon adversaire par les pieds et calai ses chevilles entre les bandes du ring et la tournai vers moi de façon à ce que son anus soit à portée de mon gode. Comme dans la chatte, j'enfonçai d'un seul coup les 25 cm dans le cul de ma rivale qui poussa un petit cri de douleur immédiatement changé en cris de plaisir. À la limite de l'orgasme, je la giflai une fois de plus et lui rappelai la maxime que je lui avais servie quelques instants auparavant. Je la sodomisai durant dix minutes avant de retirer le gode de son orifice et de la coucher à nouveau au sol. Je retirai le gode, une idée derrière la tête. Je m'assis sur le visage de ma rivale et lui ordonnai de me donner du plaisir, sans quoi je la punirais une fois de plus. L'Éthiopienne s'exécuta. Sa langue lécha mon sexe jusqu'à me gonfler le clitoris. Je poussai un cri de plaisir et me retirai juste avant l'orgasme. Je me rassis sur le visage de ma rivale et lui ordonnai de me lécher l'anus. Sa langue experte entra dans mon cul et me lécha jusqu'au fond de mon petit trou. Au bout de quinze minutes, je sentis un liquide monter en moi qui n'était pas de la cyprine. Ma vessie allait exploser. J'eus un plan diabolique. Je fis semblant d'avoir atteint l'orgasme et dis d'un ton faussement rauque que j'allais jouir et lui demandai si elle était prête à avaler ma semence. Elle hocha la tête d'un signe affirmatif et je collai mon sexe sur sa bouche.
Je me vidai ensuite la vessie dans sa bouche en poussant un faux cri de plaisir. Mon sexe faisant barrage, ma rivale n'eut d'autre choix que d'avaler mon urine. Après m'être complètement vidée, je me relevai et me redirigeai vers ma chambre où m'attendaient mes amis sous les acclamations du public qui scandait mon nom. Ils avaient compris et m'adoraient dans mon rôle de dominatrice de femmes. Quant à moi, j'aimais plutôt bien ce rôle mais préférais être dans les bras des hommes.
La suite dans le prochain épisode
Rosalie
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Jaime bien continue