Les grands-parents de Lorie. - histoire érotique

Lorie a aujourd'hui trente ans. À la mort de ses grands-parents emportés par la covid, elle hérite de leur petite maison de compagne. C'est une petite ferme, qui n'était pas très rentable, mais ses grands-parents s'y plaisaient. Lorie, décide de prendre des congés et d'aller faire le tri et du rangement dans la petite maison.
Elle arrive après plusieurs heures de voiture dans le village, ou étant enfant, elle passait ses vacances.




Directement, elle essuie, lave, range, pendant des heures. Enfin, elle peut prendre une douche, prépare le diner, regarde un peu la télé et monte se coucher. Le matin, avant de prendre son petit déjeuner, elle enfile son jogging, et par faire un petit footing. Elle croise, durant ses foulées, une personne d'un certain âge, assise sur un banc devant sa maison. Ils se saluent et elle continue sa course. Cela fait plusieurs matins qu'elle voit cet homme assit sur son banc. Lorsque qu'ils se saluent, il l'interpelle, Lorie s'arrête :

-Madame, excusez mon culot, mais vous n'êtes-vous pas, Lorie, la petite fille d'Hortense et Paul !


Lorie en souriant répond :

-Oui, c'est moi, vous me connaissez !


L'homme répond :

— Je m'appelle Antoine, j'étais un grand ami de Paul et d'Hortense, je donnais à Paul un coup de main de temps en temps. Je vous voyais lorsque vous veniez en vacances, cela fait un bail déjà, oh comme vous ressemblez à Hortense, vous êtes magnifique !


Lorie en rougissant dit :

-Merci, oui ma grand-mère était très jolie !


Elle s'assoit à côté de l'homme, elle le dévisage un moment puis dit :

-Oui, je me souviens de vous, mon grand-père vous appelait Toine, oh qu'est-ce que j'ai pu jouer avec vous !


Homme sourit et répond :

-Oui, c'est vrai, entrez boire un café, nous parlerons de tout ça !


Lorie entre chez l'homme, pendant qu'ils prennent le café, les deux échangent des souvenirs, qui refont surface. L'homme grisonnant, malgré son âge, semble encore vert, il vit seul. Un long moment Les deux discutent, l'heure tourne. Lorie se lève et dit :

-j'abuse de votre temps, ce qui n'est pas convenable. Mais je vous invite demain à déjeuner !


L'homme ravi accepte, il ose embrasser sur la joue Lorie, et lui :

-Eh bien à demain Lorie !



Lorie souriante répond :

-À demain Antoine, je peux vous appeler Antoine !



Antoine arbore un large sourit et dit :

-Bien-sûr, comme au bon vieux temps princesse, tu te souviens, je t'appelais princesse !



Lorie très émue se jette dans les bras d'Antoine et lui dit :

-Oui, maintenant, je m'en souviens Toine !


Une fois chez elle, Lorie enfile une jupe, une fois son petit déjeuner prit, Lorie monte au grenier, elle fouille dans une vieille armoire, et trouve dans un carton un projecteur avec quelques bobines de films et une caméra super 8, avec un trépied, tout semble en bon état. Curieuse, elle descend avec et installe le projecteur sur la table du salon, elle trouve une vieille notice, qui explique, comment placer le film sur l'appareil.


Elle s'installe dans un fauteuil et commence à visionner le film sur le mur blanc du salon. Elle voit sa grand-mère qui est en train de courir dans la salle à manger. Dernière qui la poursuit, Antoine, les deux rient comme des enfants. Ses grands-parents étaient plus jeunes pendant le tournage du film, Hortense était une femme magnifique, Paul une bête de la nature, mais doux comme du bon pain.



Soudain Antoine saisit Hortense, la bascule sur la table de la salle à manger, lui retrousse la robe, et lui arrache la culotte, toujours en riant.
Lorie sursaute, se demande si ce qu'elle voit est réel.
Soudain, on voit Paul sur l'image. Lorie comprend que la caméra est sur son trépied, braquée vers la table et film automatiquement. Riant aux éclats, Paul rejoint le couple euphorique. Il ramasse la culotte de sa femme et la passe sous le nez d'Antoine. Le coquin hume la culotte et se met à la lécher.



Hortense rit, en regardant Antoine œuvrer, elle lui fait un signe de la main, elle doit insister. Antoine regarde Hortense comme un animal qui veille sur sa proie. Il retire son pantalon et son slip, sa verge balance comme un métronome sur son bas ventre. Il lui dit :

-Tu vas goûter de mon sable petite gourmande !

Paul l'encourage :

-Vas-y Toine baise-la, fais la gueuler, je prendrai, la suite une fois que tu lui auras rempli le ventre !


Mais au lieu de se ruer sur elle, Antoine, se place entre les cuisses d'Hortense et plaque sa bouche sur la chatte en feu. Immédiatement, Hortense se met à geindre. Pendant ce temps, Paul retire ses vêtements. Lorie voit sa grand-mère de cabrer, sous les coups de langue voraces d'Antoine.



Lorie serre les cuisses, elle tente de retenir la cyprine qui s'échappe de sa chatte. Elle met plus de son. Sa grand-mère gémit comme une bête malade. Soudain, elle pousse un hurlement et Jouit en grimaçant. Lorie a les sens en ébullitions, elle retrousse sa jupe, et en ravalant sa salive, se caresse la chatte que seul, la culotte protège. Lorie frotte la fente avec de plus en plus de nervosité. Le tissu est trempé, par l'abondante cyprine. Lorie, trop excitée, grimace, serre les dents. Elle ne perd pas une image du film, elle geint en soufflant fortement.

Elle écarte sa culotte et se sa main libre saisit son clito. La boule de chair est en feu, elle enfle de plus en plus. Ses yeux s'embuent, elle accélère. Pendant ce temps, Antoine à planter sa queue dans le ventre D'Hortense et la pilonne jusqu'à ce qu'elle explose. Ses gémissements sont terribles, Paul regarde en se caressant la bite. Antoine finit par remplir le ventre de son amante, avec sa semence épaisse. Hortense s'agite, elle crie :


-Prenez-moi tous les deux, je veux deux bites dans le corps !


Lorie n'en croit pas ses oreilles, sa grand-mère supplie les deux hommes pour être prise en double. Elle écarquille les yeux, et augmente le branlage clitoridien. Elle geint presque aussi fort que sa grand-mère, qui vient de prendre les deux bites. Les râles sont monstrueux, les trois acteurs jouissent plusieurs fois. Les deux hommes échangent de place et reprennent le ramonage des orifices. Hortense et une machine à jouir, elle jouit en se cramponnant à un de ses amants.


Lorie, grommèle, marmonne des sons inaudibles, enfin, elle se cabre et jouit comme une damnée. C'est à ce moment que le film se termine. Elle décide de regarder les autres bobines plus tard. Elle s'essuie, et va se laver dans la salle de bain. Elle prépare son déjeuner, en se disant que ses grands-parents étaient de chauds lapins partouzeurs.