Les habitués_Le commercial

- Par l'auteur HDS AlexxxSoumise -
Auteur homme.
  • • 4 récits publiés.
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Récit libertin : Les habitués_Le commercial Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Les habitués_Le commercial
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Alex est mon nom et j’ai 33 ans. Cette histoire raconte fidèlement mes premières aventures sexuelles avec le même sexe. Je n’ai jamais trop compris d'où venait mon adulation pour les membres génitaux masculins; j'aime les filles et je suis plutôt pas trop mal, mince, 1m74, 70km, athlétique, brun d’yeux et de cheveux avec la peau assez claire.

Plus jeune, dans mon adolescence, j'eus deux (2) aventures assez perturbées et perturbantes. La première avec un ami du quartier ou j'habitais, Mario. On s'embêtait et un des jeux pour nous occuper consistait à me coller son pénis contre le visage et je devais tenir le plus longtemps possible. Maintenant que j’y pense, le même jeu s’est déroulé avec deux (2) autres copains de l'école, Andreas et Jean-B. Jeux populaires dont je semblais souvent en subir les “souffrances”. Peut-être est-ce de là que vient mon appétit pour les membres phalliques masculins. Mais je ne m’attarderais pas sur ces histoires. Ni la suivante d'ailleurs. Celci se déroulait avec un cousin, qui m’introduisait son pénis dans la bouche en camping, et là encore je devais le garder aussi longtemps que je pouvais. Je me souviens comme si c'était hier, “plus profond” me disait-il, alors que je sentais son sperme s'écouler de sa verge d'adolescent en érection pour se mêler avec ma salive. Je ne voulais pas avaler… non je n'avalerais pas! Après plusieurs séances, je finis par avaler... Sans doute intrigué par le goût de ce liquide blanc, visqueux... et puis… je voulais gagner. Je ne me souviens plus de ce qu'on gagnait, en tout cas c'était encore et toujours moi qui finissais la pine dans la bouche ! Je sens toujours l’odeur et sa senteur phallique sous mon nez… je goûte encore sa queue dans ma bouche à ce jour.

C'est à 22 ans que les choses on prise une tout autre tournure. Je n'en pouvais plus, je semblais affamé de pénis. Il fallait que j'expérimente des queues, des VRAIS! Comme celles, innombrables, que je voyais dans les films et magasines pornographiques. Qui de mieux que des hommes plus vieux et expérimentés. C’est ainsi que commencèrent ma quête et mon adulation pour les hommes mûrs et leurs membres. Toutes formes et tailles qui feraient le “travail”. 3 hommes, beaucoup plus vieux ont su me ”dompter” et on forgé mon goût pour le phallus et le comportement de leurs propriétaires. Parmi eux, trois (3) finirent même par devenir des habitués. Tous étaient des hommes d'affaires ‘impotents', mariés pour la plupart, qui voulaient ramasser une salope sur le bord de la route… moi.

Le commercial.
Il y avait d'abord l'acheteur/vendeur dans la 50aine. Il m'appelait et j'entendais sa femme en arrière. Il venait me prendre dans sa Honda civic 90’, et m'emmenais dans des coins sombres, parmi les arbres en foret. Il allongeait son siège conducteur et il aimait que je lui ouvre le pantalon. Son sexe semblait minuscule sous sa bedaine, mais une fois en dessous, durcissant dans ma bouche, il n'était pas bien long, mais épais! Ma mâchoire s’ouvrait largement plus que j'aurais imaginé pouvoir, j'en avais mal pendant plusieurs jours. Il ne sentait jamais très bon. Sa queue goûtait un mélange de pisse et de vieux sperme de fumeur. Il restait allongé en me tenais la tête fermement dans son entrejambe et j'étouffais souvent sous sa bedaine. Il finissait vite. À chaque fois la même histoire, avant d'éjaculer, il m'avertissait de ne pas échapper son sperme dans sa voiture; “t’avales ou tu gardes sa dans ta bouche salope! je ne veux pas que ma femme retrouve du sperme dans la voiture”. Puis il grondait et m'insultait en éjaculant de bonnes quantités de semence par gros grumeaux dans la bouche. Je n'ai jamais avalé son sperme, c'était dé-geu-lasse ! Rien que de sentir ces grumeaux visceux blanc-jaunâtre sur ma langue j'en ai encore des frisons dans le dos ! Mais je contenais son sperme dans le fond de mon palet avec son membre sans trop de difficulté. À condition qu'il me laisse contrôler la profondeur de son érection. Je ne pourrais contenir tout cela s'il décidait de s'enfoncer un peu plus en moi, ma bouche était tendue. Ce qui était dur c’était de me retirer et tout cracher juste en dehors de la porte du passager sans en échapper, et sans vomir. C'était vraiment infect, mais j'aimais, bizarrement. J’aimais aussi les modestes 20 euros qu’il me glissait discrètement en me ramenant à “mon trottoir” ou il me prenait. J'aimais l'humiliation que je ressentais. J'étais finalement une prostituée bon marché pour lui et j'aimais ça. Une fois il me bourrait la face, comme à son habitude. Mais cette fois il me poussait fort la tête entre ses cuisses, en même temps qu'il soulevait fort son bassin et m'empalait le visage tellement violemment, que quand il a commencé à gémir et éjaculer dans ma bouche sans même me prévenir, je n'ai pas pu contenir son foutre incessant (et dégoûtant). Ma tête secouait dans tous les sens et mes lèvres peinaient à rester bien scellés autour de son membre sous ses accouts effrénés, alors que je tentais aussi de respirer autre chose que la sueur de ses couilles, et son sperme ma échappé le long de son sexe pour se glisser entre ses cuisses et atterrir sur son siège! Il n'a pas compris tout de suite, et j'ai craché sa semence dehors, comme d'habitude. Mais en sentant ses cuisses humides, il ma vue essuyer mon menton avec dégoût et cracher à nouveau. C'est alors qu'il m'a giflé ! Deja rouge écarlate par l'humiliation et le dégoût du goût fort de son foutre autour des lèvres, sa gifle a fait monter une vague de chaleur en moi. Je me suis abaissé et mon estomac a fait un saut à nouveau dans mon ventre… je sentais ma joue rougir davantage avec des pulsations de chaleur de plus en plus intenses ! Il bondit hors de son auto en remontant son pantalon, “regarde c'que t'a fait, petite PUTE !” disait-il en nettoyant l’assise de son siège avec des mouchoirs et frénésie. Je ne disais rien et me sentais soumise et plus excitée que jamais pour ce “vieux dégueulasse”. Il n'a rien compris, mais il aurait pu me faire ce qu'il voulait juste là, sur le capot de sa civic 90’ ! Après cela il m'a rappelé encore quelques fois. Je le suçais comme d'habitude, puis il sortait de l'auto, en faisant le tour pour venir du coté passager, je restais assis et il me baisait la tête debout, toujours avec tellement de violence que j’en “perdais le nord”! Il éjaculait toujours dans ma bouche, mais cette fois en retenant ma tette sur son membre hors de son auto ! Puis pendant que j’entendais sa ceinture se refermer sur son pantalon, s'écoulait parterre sous mes yeux, son foutre insupportable… Beeuuuurk… encore un 20euros bien mérités. (Suite: Les habitués_Le producteur)

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