Les hasards de la vie ! (3) - histoire érotique

Après la journée et la nuit d’hier j’ai mal partout, ma queue et mes couilles me font un peu mal et mon cul aussi, mais j’ai totalement envie de recommencer et d’aller plus loin. Ma femme est partie de bonne heure car elle prenait son service à 7h à l’hôpital et étant surveillante générale elle se doit d’être là avant tout le monde. Moi je me prépare et part au boulot, la journée me semble longue et quand je rentre ma femme n’est pas là, pourtant elle finissait à 15h et aurait du être là. Je trouve un petit mot disant ne m’attends pas je rentrerai très tard, quelle aubaine comme je dois passer voir Michel vers 22h pour qu’il m’explique qui est Jacques. Je dine léger et j’appelle Michel qui me dit que c’est toujours d’accord mais il ajoute viens vers 21h30 à la maison. Je mets un short sans rien dessous, un polo et je pars tranquillement, arrivé je me gare derrière et frappe au fournil. La porte s’ouvre, Michel est à poil et me dit viens je m’habille et on y va. Une fois habillé il me dit on y va à pied ce n’est pas loin.En effet on tourne deux rues plus loin et on arrive devant le café bar pmu du village, qui est entrain de fermer, Michel toque aux volets à moitié descendus. Un volet se lève un peu et une femme d’environ 60ans passe la tête et souriant dit bonjour Michel, elle lui fait la bise puis ajoute : entres, tu viens me voir ou voir Jacques ? Elle ajoute si c’est Jacques il est derrière tu connais le chemin, puis elle ajoute en me regardant, présentes nous. Michel me présente : André-Pierre, un ami très intime ajoute t il en souriant. La femme me détaille des pieds à la tête en souriant, je lui tends la main en disant bonjour, elle s’avance me serre la main et me dit : on se fait la bise. Son baiser atterri aux coins de mes lèvres et elle ajoute en souriant moi c’est Brigitte. Michel a disparu, je le cherche quand Brigitte me dit de prendre la porte derrière le bar, j’y vais et là je trouve Jacques et Michel qui se branlent mutuellement en se roulant une pelle. Je ne bronche pas mais Jacques me voit et me fait signe je m’approche et il me met la main à la bosse du short et lâchant Michel, il me dit bonjour moi c’est Jacques et toi ? Moi c’est André-Pierre, Michel baisse mon short et Jacques se baisse et me suce. Michel me tend sa queue et je le suce pendant que Jacques me pompe, Michel lui doigte alors le cul. On en est là quand Brigitte arrive et sans un mot ouvre sa blouse sous laquelle elle n’a rien. Elle nous regarde et commence à se caresser les seins puis tripoter sa chatte. Jacques qui l’a vu se relève, j’en fais de même, il nous demande alors de venir avec lui. Il ouvre une porte et on descend sous le bar, nous entrons dans une grande pièce au centre de laquelle se trouve un très grand lit circulaire entouré de tapis. Les murs son tapissés de miroirs. Brigitte arrive derrière nous ferme la porte et sans un mot m’attrape la queue et me suce. Michel et Jacques font un 69, très excité je retourne Brigitte et la baise tout de go. Au bout d’un moment Brigitte gémit et crie, elle appelle Jacques en lui disant viens maintenant. Je m’apprête à lui laisser la place mais elle me dit non reste ! Et d’un coup je sens une queue entre mes fesses qui s’enfonce, je m’arrête de limer et attends qu’il se soit complètement introduit et je reprends. Lui m’enfile en cadence et Brigitte crie : Michel ta queue, ta queue, Michel passe devant elle et lui tend. Elle le suce avidement et on continue ainsi un bon moment quand je sens Jacques qui s’arrête , râle et crie. Michel d’un coup décharge et Brigitte avale tout en gémissant, j’accélère quand je sens la chatte de Brigitte se serrer par spasmes sur ma queue et l’entend gémir. C’est trop je lâche tout. On s’allonge alors, on se caresse et on se roule des pelles lentement doucement. Michel demande à Jacques de raconter, celui-ci explique qu’il était marié avec Véronique, la fille de Brigitte, qui tenait le bar avec son mari Lucien. Un jour d’été après une fête de famille il est parti pisser dans le champ derrière sa maison de l’époque et là Lucien pantalon en bas des pieds pissait en jouant avec sa queue. Il a remarqué que Lucien avait le sexe et les couilles lisses sans poils. Il a maté, intrigué , Lucien l’a vu et lui a dit : qu’est ce que tu fais tu mates ? Je venais pisser à dit Jacques, Lucien lui dit en riant, l’air allumé d’avoir un peu bu, sort ta queue et pisse que je vois comment t’es bâti. En rougissant il a sorti sa queue et a pissé pendant que Lucien matait, et soudain Lucien lui a caressé les couilles. Jacques troublé, un peu ivre, n’a rien dit. Lucien a alors fermé sa main sur la queue de Jacques l’a branlé. Jacques regardait cela sans rien dire et il voyait à présent Lucien qui bandait et qui haletant lui a dit branles moi toi aussi. Jacques sans protester l’a branlé et rapidement Lucien a jouit puis s’est penché sur Jacques et l’a sucé sans que Jacques ne proteste. Etonné lui-même de sa réaction et un peu honteux car il y prenait beaucoup de plaisir. Il a jouit dans la bouche de Lucien qui a tout avalé et sans un mot s’est réajusté. Jacques était honteux mais très troublé, à l’armée il avait déjà fait des branlettes collectives et mutuelles avec d’autres hommes mais c’est tout. Puis il avait été troublé et excité quand il avait vu deux mecs faire un 69, sachant de plus qu’un était marié et l’autre fiancé. Quelques temps après venant seul, chez Lucien et Brigitte, chercher une commande de vin, il entre dans la réserve au fond de la cour et trouve Lucien à poil avec un autre homme. Lucien est en train de l’enculer. Très troublé il sent qu’il bande et se masse la bosse. Lucien le voyant lui dit d’approchez et de baisser son pantalon, il se met à le branler tout en bourrant l’autre. Quand Jacques est bien raide Lucien s’enfonce au ras des couilles dans le cul de l’autre puis avec ses deux mains écarte ses fesses et dit à Jacques : viens encules moi de suite. Jacques hésite honteux mais excité, Lucien insiste : vite encules moi. Jacques passe derrière et pose son gland sur la rondelle et pousse il s’enfonce la queue moulée comme un doigt de gant par le cul de Lucien qui soupire. Lucien se retourne et crie baises moi maintenant, Jacques le lime et Lucien recommence à bourrer en cadence le cul du type. Jacques éjacule rapidement et Lucien lui dit reste ne sort pas et se mettant à gémir il jouit en serrant le cul. Quand ils sortent les uns des autres Jacques aperçoit Brigitte qui regarde, Jacques rougit balbutie. Il se demande ce que va dire Véronique quand sa mère va lui raconter. Pendant ce temps Lucien discute avec le type qui se rhabille et ils s’embrassent à pleine bouche et le type s’en va. Brigitte leur dit : dites donc les hommes et moi ? Lucien sourit et lui dit monte dans la chambre on vient, prenant Jacques par le bras il l’entraine avec lui. Jacques veut récupérer son pantalon mais Lucien lui dit qu’on verra cela plus tard. Arrivés dans la chambre Brigitte est à nue jambes écartées et Lucien propulse Jacques entre ses cuisses et lui dit lèches la et fais la jouir cette salope adore ça. Jacques s’exécute et Lucien va se faire sucer pendant ce temps par Brigitte. Quand il bande à nouveau il passe derrière jacques et lui écartant les fesses lui fait une langue et le doigte. Jacques résiste et proteste mais Lucien, costaud, le maintient et lui donne la fessée en criant : dit donc petite lope tu vas obéir ! Jacques fini par céder il sent bientôt qu’on lui tartine le cul avec quelque chose il veut voir mais Brigitte lui tient la tête entre ses cuisses et gémit de plus en plus fort et vite. Il sent alors quelque chose se poser sur sa rondelle, veut protester mais trop tard ca lui rentre dans le cul. Il a mal crie mais sent les mains de Lucien écarter ses fesses à fond et appuyer de tout son poids et d’un coup tout sa bitte entre jusqu’aux ras des couilles et là Lucien gémit et s’écrie quel cul ! Brigitte passe sous Jacques en 69 et commence à le sucer pendant qu’il recommence à la lécher, et Lucien commence à lui limer le cul doucement puis de plus en plus vite.Il bande comme un fou et soudain décharge. Brigitte avale tout et Lucien le lime encore longuement avant de décharger bien au fond en se collant contre son cul. Jacques dit alors que par la suite il a baisé Brigitte et aussi Lucien, ils ont formé un trio bi bien pervers pendant plusieurs années mais un jour Véronique les a surpris et a divorcé. Il a vendu sa maison quitté son boulot et est venu vivre et travailler avec Lucien et Brigitte. Il y a deux ans Lucien est décédé des suites d’un accident de la route et avec Brigitte ils ont rencontré d’autres hommes et femmes pour continuer leurs cochonneries. Tout cela nous a beaucoup excités et on rebandaient, Jacques me suce alors pendant que Michel baise avec Brigitte. Très excité je sors de la bouche de Jacques et passe derrière Michel que j’enfile en gémissant. Jacques arrive passant derrière moi m’enfile et crie : en avant la chenille ! On lime en cadence, cela dure, on jouit et râle enfin. Ensuite on s’écroule les uns sur les autres en restant emboités jusqu’à ce que les queues devenues molles ne glissent des orifices qu’elles ont remplis. On souffle puis Jacques propose qu’on prenne un verre et j’ajoute oui mais vite, en regardant ma montre, car il faut que je rentre. Après le verre on échange les téléphones et je prends congé et avec Michel on regagne la boulangerie où je récupère ma voiture pour rentrer. En arrivant je constate que ma femme n’est pas rentrée, cela commence à m’inquiéter et pas moyen de la joindre. A cette époque elle n’avait pas encore de portable et moi qui en avais un la poussait à en prendre un aussi. Je prenais une douche et me couchais. Soudain le téléphone sonne je sursaute, me lève en regardant le réveil, il est 6h, je décroche, c’est Monique qui me dit : j’ai essayé plusieurs fois de te joindre mais cela sonnait, sonnait sans réponse, je voulais te dire que je passais la nuit chez Josiane avec qui on est sorties pour son anniversaire. Elle ajoute : c’était plus pratique pour être à l’heure ce matin. Josiane est son adjointe à l’hôpital, grande gironde, 45ans, toujours l’air d’un glaçon et habillée très « mémère ». Je lui dis que c’est sans problème mais je suis un peu étonné de ce rapprochement. Même si elles s’entendent bien elles n’ont pas le même style. Puis elle me dit : j’ai fait des emplettes pour toi tu verras cela va te plaire. Je pars au boulot intrigué ayant hâte de rentrer pour savoir. La journée est bien longue et suis très intrigué et excité quand je rentre à la maison. Monique est là en cuissardes cuir très hauts talons bas noirs à couture, porte-jarretelles fin en cuir, un soutien gorge moulant ses gros seins et totalement transparent qui est ouvert pour laisser les tétons à l’air, et pour finir un gode ceinture. Tout cela m’excite beaucoup et elle passe alors au salon et me dit viens voir. J’entre et elle me montre sur le canapé un sac en disant : c’est pour toi. J’ouvre il y a un jockstrap en cuir ainsi qu’un harnais en cuir clouté, une cagoule en cuir et un collier en cuir clouté. Pour finir des pinces à tétons lestées, un double cockring et un Plug anal de taille moyenne. Je la regarde, rougit un peu et elle me dit alors : mets à poil. Je m’exécute et elle me passe le double cockring qui serre la base de mes couilles et la base de ma queue puis me branle doucement. Bientôt ma queue est tendue à mort très serrée à la base par l’anneau qu’elle serre encore plus, j’ai l’impression que ma queue va éclater. Puis elle me fixe les pinces aux tétons et me faisant pencher, tartine le Plug de gel et l’insert dans mon petit trou sans plus de considération. Elle me tend le jockstrap en souriant mais ma queue le tend à mort dans l’état où elle est, finalement j’y arrive. Elle me met alors le harnais en cuir clouté puis la cagoule qu’elle attache à la base et finit par le collier clouté. Elle se tourne alors vers le couloir et crie : tu peux venir ! Je sursaute et me demande à qui elle s’adresse quand je vois arriver Josiane vêtue d’un body en cuir, de cuissardes très hauts talons, de bas à couture, des gants montants en cuir, les cheveux en queue de cheval, pas en chignon comme à l’accoutumé. Elle porte un gode ceinture plus imposant que celui de Monique avec un gland bien large et tient un battoir dans une main. Elle s’avance vers moi, fait le tour et dit à ma femme : c’est bien, puis me claque les fesses avec le battoir en criant : à genoux lopette ! Je ne bouge pas alors elle tire sur les pinces de mes tétons et je grimace et elle répète : à genoux, intrigué mais excité par la situation je m’exécute, elle me tend son gode et dit en souriant : suces salope suces ! J’obéis et elle dit à Monique : fesses le comme je t’ai appris. Là je me dis qu’il faudra que je demande des explications mais d’un coup je sens les coups de battoir sur mon cul et je suce du mieux que je peux. Josiane sourit et me dit : c’est bien tu suces bien, t’aimes la bitte salope, je ne sens plus mon cul mais je bande comme un âne. Josiane demande à Monique : quand nos amis vont-ils arriver, elle répond qu’ils ne devraient plus tarder et justement on sonne au portail. Monique ouvre et leur dit de se garer devant la maison. Quelques minutes après on frappe à la porte, Monique ouvre et je vois entrer trois mecs d’environ 30ans qui ôtent de suite chemise et pantalon et apparaissent nus et pratiquement en érection. Josiane me dit suces les je vais pour me lever elle me dit de ne pas bouger, ils viennent vers moi et mettent leurs queues sous mon nez. Je les suce à tour de rôle et les branle. Monique roulent des pelle avec eux et se fait tripoter, Josiane me dit tu sais Monique c’est une belle salope tu vas voir ! Puis pendant que je suce elle ôte mon Plug et me fait lever, je suis alors plié en deux et continue de sucer. Passant alors derrière moi elle m’encule avec son gode ceinture et se met à me limer le cul en me tenant aux hanches. Le gland est plus large que le reste du gode et quand elle va et vient il appuie et frotte en rythme ma prostate cela me fait avoir un orgasme avec juste quelques gouttes de foutre qui sortent. Josiane rit en disant à Monique : regardes comme elle jouit ma pute ! Bientôt un des gars gicle et j’avale tout, Josiane sort de mon cul et leur dit de me baiser. Elle ôte son gode et ouvre le body par le bas, appelle Monique et lui dit : lèches moi devant lui. Monique s’exécute pendant qu’un des types m’enfile, l’autre passe derrière Monique et Josiane lui dit : encules la et bourres moi bien son gros cul de vieille salope. Le gars qui m’enfilait gicle et se retire, Josiane me dit en parlant des deux qui ont déjà jouit : suces les encore, fais les rebander. Je me mets à l’ouvrage, j’ai mal à la bouche quand ils rebandent enfin. Josiane se lève, ôte le gode de Monique et faisant allonger un des types elle empale Monique sur la queue du gars puis le second vient l’enculer, le dernier lui fourre sa queue en bouche. Josiane vient vers moi et tirant mes pinces à tétons me dit : t’as vu comme c’est une bonne grosse salope, et tu ne sais pas tout ! On passe la soirée à répondre aux désirs de Josiane, quand elle prend enfin congé ainsi que les trois mecs, on retire alors nos tenues et on va prendre une douche. Là je dis à Monique qu’il va falloir qu’elle m’explique. Elle me dit : tu aimes au moins ? Je lui dis que oui même si il faudra m’expliquer certaines choses, elle me dit alors : pas de suite, je suis fatiguée mais c’est promis je te raconterai tout. Elle ajoute, en m’embrassant, je t’aime ne t’inquiètes pas. On va se coucher pelotonnés l’un contre l’autre et elle m’embrasse doucement.