Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode cinq : La première aventure extra conjugale de Warda
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode cinq : La première aventure extra conjugale de Warda
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode cinq : La première aventure extra conjugale de Warda
Quand je revis, quelques jours plus tard Warda, je compris tout de suite qu’elle n’était pas venue me raconter la suite des aventures de son couple, qu’elle m’avait promis de me narrer à notre prochaine rencontre. Je la vis arriver de loin, dans le salon de thé dans lequel elle m’avait donné rendez-vous. Elle avait toujours ce pas chaloupé et cette démarche ondulante qui faisaient se retourner les hommes et les femmes qu’elle croisait. Mais son visage semblait plus fermé que d’habitude. Elle ne souriait pas. Elle avait un air sérieux que je ne lui connaissais pas encore.
- Bonjour ma grande ! fis-je en me levant pour l’aider à s’assoir et face de moi. Tu ne me sembles pas très contente aujourd’hui ! Pourquoi cet air sérieux et farouche ? Tu as un problème ?
- Non mais, il faut que je t’avoue une chose que je n’ai encore dite à personne. Pas même à mon mari ! Une chose que je garde en moi depuis des années et que j’ai aujourd’hui besoin d’avouer. J’ai essayé, cette nuit encore de la dire à Slim, mais quelque chose me retient. Peut-être la peur qu’il soit déçu et qu’il m’en veuille de ne pas lui avoir raconté tout de suite la chose. Cette nuit, il m’a posé innocemment la question de savoir si je ne l’avais jamais trompé avant que nous commencions ensemble nos histoires de cocufiage mutuel. Je ne savais pas quoi lui répondre. D’un côté, je voulais lui raconter, avec l’espoir qu’il réagira comme il l’a toujours fait jusqu’à maintenant : en bandant très fort et en me tirant en conséquence. D’un autre j’avais peur qu’il soit mécontent du fait que je n’aie pas été honnête vis-à-vis de lui et de l’avoir trompé (au sens littéral du terme).
- Pourquoi veux-tu en parler maintenant ? Tu peux très bien continuer comme cela et garder cette aventure secrète. Rien ne t’oblige à le faire. Surtout si tu as peur des conséquences sur votre couple.
- Je ne sais pas. Mais depuis quelque temps, cette histoire m’obsède. J’y repense à chaque fois que Slim me pose une question sur mes fantasmes et mes envies de me faire tirer par les beaux mecs que je rencontre ou que nous rencontrons ensemble. Le prénom de Fayçal est tout le temps sur mes lèvres. Il faut que mon mari apprenne ce qui s’est passé, il y a longtemps avec ce cousin, dont par ailleurs, il connait l’existence. Comme je n’arrive pas à le lui dire moi-même, je te charge de le faire en écrivant cette histoire et en la lui envoyant en priorité à lui. Tu veux bien ?
- Oui ! Pourquoi pas ! Mais je ne voudrais pas être le responsable d’une éventuelle rupture avec ton mari ! J’en serais vraiment désolé !
- Je prends le risque ! Je suis à moitié sûre qu’il sera compréhensif, comme il l’a toujours été !
- Alors raconte !
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Quand j’avais vingt deux ans, une année avant de rencontrer Slim et de me marier avec lui, j’avais fait la connaissance de Fayçal, un cousin éloigné, qui vivait en France et que je n’avais encore jamais vu. Il venait d’avoir vingt ans et venait passer un mois de vacances au sein de notre famille. Il était vraiment beau. Le genre de beauté virile qui m’avait toujours fait fantasmer. A vingt deux ans, j’étais encore vierge et n’avait connu que de petits flirts sans lendemain. Des flirts parfois poussés avec cunnilingus et fellations, parfois avec frottements furtifs de beaux zobs sur ma chatte en chaleur, mais pas plus. Je refusais de me laisser aller à des relations sexuelles qui m’auraient conduite à perdre mon pucelage et auraient entrainé un immense scandale sur ma famille et la honte sur moi. Les conséquences en auraient été terribles.
Mais en voyant Fayçal avec son superbe corps d’athlète, sa petite moustache qui le vieillissait de quelques années et sa bouche de carnassier affamé et gourmand, je sentis immédiatement mon corps frémir et mon bas ventre me faire mal. Rien qu’en le regardant je sentais ma chatte couler et culotte se mouiller. Je me voyais blottie entre ses bras puissants, en frottant mon bas ventre sur le devant de son pantalon, que j’imaginais tendu par un superbe zob en érection et dur comme de la pierre. C’était vraiment la première fois que je ressentais une sensation aussi forte et aussi irrépressible. J’essayais de lutter contre cette excitation incontrôlée. Mais rien n’y fit. Tant qu’il était devant moi, je ne pouvais rien faire d’autre que de le regarder avec les yeux énamourés d’une fille qui n’attendait qu’un signe pour se jeter sur lui.
Ma mère s’était rendue compte de l’effet que mon cousin me faisait et semblait contente. Elle voyait d’un bon œil une relation sérieuse entre nous et voulait me voir épouser le garçon. Comme cela, je resterais dans le cocon familial, tout en allant vivre en France, rêve de toutes les mamans d’Algérie. Fayçal se rendit lui aussi compte qu’il me plaisait terriblement et cela satisfaisait son égo de jeune homme qui avait conscience de son pouvoir de séduction. Il jetait parfois un coup d’œil interrogatif vers moi, en me souriant de son terrible sourire de prédateur.
Il devinait qu’il n’avait qu’à lever le petit doigt pour que je me précipite dans ses bras et pour qu’il fasse de moi, ce que bon lui semblera. Maman nous laissa un moment seuls Fayçal et moi, pendant qu’elle s’occupait de faire le ménage. Nous parlâmes de choses et d’autres, n’osant pas soulever le seul sujet qui nous intéressait réellement lui et moi : l’amour. Parce que pour moi, c’était bien d’amour qu’il s’agissait. Le sexe était le complément nécessaire de l’amour. Je voulais m’offrir à lui par amour. Je ne voulais pas seulement baiser avec lui. De toutes les façons, je ne le pouvais pas; c’était une chose qui m’était interdite, à moi, jeune fille de famille. Pour lui, garçon, c’était autre chose. Il pouvait se permettre de coucher avec une fille, la dépuceler si elle était vierge, sans que la honte ne retombe sur lui. C’est toujours la fille la fautive dans ces cas-là. Si le garçon veut bien reconnaître les faits et réparer, c’est tant mieux pour la fille ; sinon tant pis pour elle !
- Je ne savais pas que j’avais une cousine aussi jolie ! Tu as quel âge ?
- Vingt deux ans ! Et toi ?
- Vingt ans !
C’était comme si je venais de recevoir un coup de massue sur la tête. Il était plus jeune que moi ! Et dans nos traditions il ne se pouvait pas que dans un couple, l’épouse soit plus jeune que le mari !
- Tu fais plus vieux que ça ! Je te donne facilement vingt-cinq ans !
- C’est la moustache !
J’étais réellement déçue. Je venais de trouver l’homme de ma vie (c’était vraiment ce que je ressentais en ce moment là) et voilà que le mauvais sort s’acharne sur moi pour me l’enlever. Cette nuit là j’allais dormir découragée de ne pouvoir rien faire pour séduire Fayçal et en faire mon futur époux. Cette nuit là était remplie de rêves érotiques avec mon Fayçal qui me faisait l’amour dans tous les coins de la maison et qui était insatiable de mon corps et de mon cul. Je me réveillais plusieurs fois en nage et la chatte qui coulait comme une fontaine. Je crois que cette nuit là j’ai dû me masturber une dizaine de fois pour calmer le feu qui consumait tout mon corps.
Je retrouvais Fayçal le lendemain soir, à son retour d’une promenade dans la ville. Après le diner maman nous laissa encore seuls quelques temps, devant, affirma-t-elle rendre visite à une voisine malade. Dès que nous fûmes seuls, je me rapprochais de Fayçal qui était sagement assis sur un côté du sofa, alors que j’occupais l’autre côté.
- Comment me trouves-tu ? questionnai-je sournoisement mon cousin. Je te plais ? Tu as envie de moi ? Tu veux m’épouser ? Tu veux me niquer ?
Je posais comme cela toute une série de questions mêlant ma beauté, mon amour, mon désir de me faire épouser par lui et…le sexe. J’étais dans un état de chienne en chaleur. Je voulais sentir le corps de Fayçal collé au mien. Je voulais sentir ses mains me caresser la poitrine et surtout, venir se poser entre mes cuisses. Je portais une robe légère dont je remontais les pans jusqu’à mi-cuisses. Je voulais l’exciter ! Je voulais qu’il bande pour moi et qu’il n’arrive pas à résister à l’envie de me tirer. Or il ne faisait rien ; absolument rien !
Agacée, je pris sa main droite et posai entre mes cuisses, que je serrais sur elle pour l’emprisonner. Elle resta un moment inerte, puis je sentis qu’elle s’animait et qu’elle voulait aller plus haut. J’étais heureuse et écartais les genoux pour qu’elle puisse aller là où elle voulait aller. Sa main était ferme, chaude et douce. Elle transférait toute sa chaleur sur le haut des cuisses. Chaleur qui allait irradier sur mon mont de vénus et sur ma chatte. Je sentais cette dernière palpiter et couler. Je sentais ma culotte qui commençait à se mouiller. Et surtout j’étais dans une attente impatiente de voir cette main arriver sur ma chatte et s’en emparer. Je tremblais littéralement en attendant la rencontre de ma chatte en émoi et de sa main.
Et quand cela arriva, je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri de plaisir et de serrer très fort mes cuisses pour la retenir prisonnière sur l’endroit. Je regardais Fayçal pour voir ce qu’il ressentait. Il avait le regard voilé et la bouche légèrement ouverte. Il regardait en direction de sa main, tentant d’apercevoir ma chatte. Il me semblait qu’il avait du mal à retenir la salive qui coulait de sa lèvre inférieure. Je le voyais qui tentait d’avaler sa salive en utilisant sa langue. J’écartais encore une fois mes cuisses pour prendre sa main et la forcer à s’emparer de ma chatte par-dessus le tissu de ma culotte. Je voulais qu’elle la caresse fortement et qu’elle fasse des allers-retours le long de la fente entre mes grandes lèvres. La culotte me gênait : j’avais envie que sa main s’applique directement contre ma chatte et qu’elle lui communique tout son désir.
Je lui pris la main pour l’éloigner un très court instant d’entre mes cuisses; juste le temps d’enlever ma culotte et de l’y remettre. Il se laissait faire sans rien dire. Maintenant il voyait très bien ma belle chatte. Il avait les yeux exorbités tellement il était excité par cette vision. Pas un poil; des grandes lèvres longues, dodues, fermes, légèrement mates, brillantes de mouille et palpitantes de désir. Il s’empara presque avec violence de ma chatte qu’il serra très fort, me faisant au passage très mal. Puis il relâcha la pression et fit promener ses doigts le long de la fente, en leur faisant faire une série d’allers-retours qui me donnait énormément de plaisir. Il ne disait rien, mais bavait de plus en plus. Et puis, n’y tenant plus, il vint se mettre à genoux devant le sofa m’écarta plus encore les cuisses et plongea sa tête à l’intérieur et posa sa bouche gloutonne sur ma chatte.
Je m’étais déjà fait sucer la vulve par quelques uns des garçons avec lesquels j’avais eu de flirts assez poussés. Mais jamais encore je n’avais reçu une bouche aussi gourmande et aussi experte. Il ne fallut pas longtemps à Fayçal pour me faire grimper aux rideaux. Je ne me contrôlais plus. J’attrapais ses cheveux et tirais dessus violemment pour obliger la bouche de mon amant à y aller avec plus de force et de fermeté. Il fit tout ce que je voulais qu’il fasse. Il y ajouta même la langue que je sentais pénétrer dans mon vagin et essayer d’aller aussi loin que possible. Je la sentis même qui alla cogner contre mon hymen, déclenchant immédiatement une superbe décharge électrique qui alla électrifier tout mon corps. Je crus un moment qu’il m’avait dépucelée, mais je fus vite rassurée par la langue qui vint encore cogner contre la membrane de l’hymen : elle était toujours en place !
Je ne mis que quelques minutes pour atteindre le sommet du plaisir et sentir arriver un orgasme d’une très forte intensité. Jamais encore auparavant, soit sous mes propres caresses, soit sous celle de mes flirts, je n’avais atteint un tel degré de plaisir. C’était vraiment la première fois que je jouissais autant. Je criais mon bonheur en renforçant mon étreinte sur la tête de mon amant que j’obligeais à aller et venir encore plus vite et plus fort. Je déchargeais en hurlant et me mis à couler comme une fontaine sur la bouche de mon amant. Il but tout ce qu’il put, tout en continuant à me sucer la chatte comme une superbe ventouse. Il ne s’arrêta que quand il vit que j’étais devenue inerte et que je m’étais arrêtée de tirer sur ses cheveux. Il releva la tête pour me regarder. Sa moustache portait encore les stigmates du cunnilingus forcené qu’il venait de me faire: elle brillait de mouille. C’était tellement érotique ! Je me baissais pour lui donner un baiser torride sur la bouche, avalant au passage toute la cyprine qui restait sur ses lèvres et sa moustache. Je le regardais avec des yeux illuminés du plaisir que je venais de prendre. Mais lui n’avait pas eu de plaisir identique. Il était excité. Et voulait lui aussi jouir.
- C’est à ton tour de me faire jouir. Avec ta bouche ! Je voudrais bien te niquer par la chatte, mais comme tu es vierge, je ne peux pas. Je veux donc éjaculer dans ta bouche ! Je veux te voir avaler mon sperme, comme je viens de boire ton jus.
Je ne me fis pas prier pour me mettre à mon tour à genoux devant lui, qui se tenait debout, et sortir son manche qui frétillait et s’impatientait à l’intérieur de son pantalon. En moins de cinq secondes, j’avais dégrafé sa ceinture, déboutonné le pantalon, ouvert la braguette et descendit le tout en une fois –pantalon et slip – sur ses chevilles. Je découvris alors son énorme zob. Le zob le plus grand que j’avais vu jusque là : long et gros avec un gland pointu qui faisait ressembler l’ensemble à un javelot. J’aurai tant aimé que ce javelot me transperce la vulve et déchire mon hymen. Mais c’est seulement ma bouche qu’il transpercera. Il m’attrapa par les joues et vint placer le gland dur et doux sur les mes lèvres, les forçant à s’écarter. De même qu’il força mes dents à s’écarter elles-aussi et à ouvrir la voie de ma bouche et de ma gorge.
Fayçal semblait avoir l’habitude de se faire faire des pipes. Il savait s’y prendre. Il n’insistait pas au moment où son gland arrivait sur la glotte. Il faisait immédiatement demi-tour, de manière à ne pas me donner envie de vomir. Mais petit à petit, sentant que je m’habituais à la présence du gros zob dans la bouche et la gorge, il augmentait le rythme et l’amplitude des allers-retours du sexe. Maintenant, il le sortait totalement d’entre mes lèvres, prenait un élan et repartait à l’assaut de ma bouche et de ma gorge.
- Je te nique par la bouche ! J’adore ça ! C’est comme si je niquais ta chatte ! C’est la même sensation ! Superbe ! Je vais jouir dans ta bouche ! Je vais te remplir de sperme ! Je vais t’en mettre partout sur le visage ! Tu vas tout avaler ! Je veux que tu avales tout !
Et il déchargea une première fois dans ma gorge, me donnant la sensation d’étouffer tant le sperme était abondant, épais et brulant. Je mis du temps à avaler tout, découvrant pour la première fois le goût bizarre du foutre d’homme, ainsi que la sensation de viscosité qui restait longtemps dans la bouche. Je n’avais encore jamais bu le sperme de mes flirts antérieurs, qui se contentaient d’éjaculer sur mon visage ou ma poitrine et que j’essuyais avec un mouchoir ou lavait à grande eau. J’ai immédiatement aimé le foutre de mon cousin. Celui qu’il répandit sur mon visage (y compris sur mes yeux) et qu’il m’obligea à ramasser avec mes doigts et à lécher, était aussi délicieux. J’avais vraiment adoré. Je me promettais même de continuer longtemps à me nourrir de ce sperme, laiteux, visqueux et chaud. Je voulais que ma relation avec Fayçal dure toute ma vie. Je me repris à rêver à un mariage d’amour avec lui.
Malheureusement les choses ne se passèrent pas comme lui et moi l’avions souhaitées. Il disait qu’il m’aimait – il répétait plus souvent que j’étais un super coup et qu’il voulait me niquer sans retenue – et moi j’étais folle de lui. Nous en parlâmes à maman, qui en était vraiment contente. Elle en parla avec la famille du garçon et ce fut là que les choses se corsèrent. Le problème pour les parents de Fayçal, c’était notre différence d’âge: j’étais plus âgée que lui de deux ans ! Ce problème, réellement insignifiant, fut tellement grossi par la famille, qu’il devint insurmontable : surtout que ma mère, vexée, vint à s’opposer à notre mariage. Elle m’interdit de revoir Fayçal, qui entretemps, les vacances étant finies, était reparti en France. J’essayais de lutter seule – parce que Fayçal semblait avoir cédé à la pression de ses parents – et puis j’appris qu’il avait été fiancé avec une autre cousine de Constantine qui, elle, avait deux ans de moins que lui. Mon histoire avec Fayçal, du moins sa première partie, finit donc ainsi en queue de poisson.
Elle avait laissé en moi un goût d’inachevé et beaucoup de frustration. Je l’avais réellement aimé, d’un amour passionné et entier. J’ai aussi adoré nos étreintes, lesquelles malheureusement étaient restées superficielles. Des mois plus tard je rêvais encore de Fayçal qui m’étreignait, me caressait, sortait son énorme engin et me perforait l’hymen. J’avais même rêvé une fois qu’il m’enculait en force, ce qui m’avait beaucoup étonné à mon réveil. Je n’avais encore jamais pensé à la sodomisation, comme partie intégrante de la sexualité, ni bien entendu fantasmé dessus. Et puis le temps fit son affaire et mit un voile sur mon histoire avec Fayçal. Je recommençais à flirter avec des garçons qui me plaisaient et puis fis la connaissance de Slim, qui devint très vite le centre de ma vie. Nous nous mariâmes très vite (avec lui, tout avait été possible dès le début, y compris me faire dépuceler par lui, longtemps avant de devenir son épouse) et eûmes une vie amoureuse vraiment libre et heureuse. Et cela dure toujours. Je touche du bois, pour que cela dure éternellement.
Je revis Fayçal, environ cinq années après mon mariage. Il était venu rendre visite à maman et resta quelques jours chez elle. Il était accompagné de sa femme, la cousine avec laquelle il avait été fiancé depuis plus de cinq ans et qu’il avait finie par épouser une fois qu’il avait décroché son diplôme de pharmacien. Ils habitèrent chez ma mère pendant environ une semaine, le temps semble-t-il pour que sa femme fasse toute une série d’analyses médicales, qu’il était trop cher de faire en France, où ils étaient installés. Maman m’informa de la présence sous son toit de Fayçal, mon cousin.
Tout ce que j’avais cru disparu, oublié, enfoui au fond de ma mémoire, remonta d’un coup. Fayçal ! Le beau Fayçal ! Mon amour de jeunesse ! L’étalon dont j’espérais la saillie mais qui n’était jamais venue ! Mon cœur se mit à battre la chamade. Je ne savais pas ce qui était entrain de m’arriver. Pendant toute la journée, je ne pensais plus qu’à lui. J’avais envie de le revoir. Je me disais qu’il fallait absolument que je le revoie, rien que pour m’assurer qu’il n’était plus rien pour moi. Je voulais me prouver à moi-même qu’il n’était plus rien pour moi. Au fond de moi, je savais que je me mentais et qu’il y avait encore, enfouie au fond de ma mémoire, la frustration du départ et surtout la frustration d’un amour inachevé. Inachevé physiquement, bien entendu. Je n’avais pas pu sentir son bel engin dans ma chatte et dans mes boyaux. Je crois que c’est surtout cette frustration qui m’obsédait : ne pas avoir été niquée par le gros zob de Fayçal. Ne pas avoir grimpé aux rideaux grâce à son magnifique engin. Toute ma vie, cela restera un manque, qu’un jour où l’autre il faudra bien que je colmate.
La nouvelle que venait de m’annoncer maman me donna l’occasion d’échafauder un plan pour revoir mon cousin – en cachette ou en présence de mon mari, je ne savais pas encore – et m’assurer qu’il ne restait plus rien de mes sentiments passés pour lui. C’est du moins comme cela que je présentais les choses à maman, en lui demandant de lui indiquer où je vivais et de lui suggérer de passer me voir. Je parlais vaguement de Fayçal à Slim, en lui disant que c’était un cousin éloigné pour lequel, j’avais eu jadis le béguin et que probablement il allait passer nous rendre visite. Je ne voulais pas lui dire que j’espérais être seule, au moment où il viendrait.
- Tu l’as beaucoup aimé ? C’est l’homme dont tu m’as parlé en me disant qu’il te faisait bander ? Tu bandes encore pour lui aujourd’hui que tu sais que tu vas le revoir ?
Slim, comme à son habitude, posait beaucoup de questions sur les sentiments qui pouvaient m’animer quand il s’agit d’un homme. A l’époque, il ne me disait pas encore clairement, qu’il aimait que je prenne du plaisir entre les bras d’autres hommes. Tout ce qu’il faisait c’était de me pousser à lui dire que je fantasmais sur d’autres hommes et cela le faisait bander plus que d’habitude. J’avais bien sûr remarqué qu’en ces moments là, il devenait un véritable taureau au lit et qu’il me prenait pour sa génisse. Je sentais, sans trop bien comprendre, qu’il y avait en lui un côté bizarre qui le faisait bander en imaginant sa femme entrain de se faire tirer par d’autres hommes. Mais il ne le disait pas encore aussi clairement qu’aujourd’hui où toute notre vie sexuelle est bâtie sur le principe de m’offrir à d’autres hommes.
- Tu me diras comment la rencontre se sera passée ? Tu m’avoueras tout ce que tu auras ressenti ? Y compris le fait de mouiller pour lui et d’avoir envie qu’il te nique ? Jure-moi que tu me le diras !
J’étais étonnée d’une telle demande, mais n’y tins pas beaucoup compte. Je lui promis et me préparai à accueillir mon ex petit-ami avec tous les honneurs qui lui étaient dus. Je me fis belle, m’habillais de manière super sexy (de quoi faire bander un aveugle, me dis-je, en voyant l’image de vamp que me renvoyait le grand miroir du couloir) et attendis impatiemment le coup de sonnette qui m’annoncerait son arrivée. La sonnette vibra effectivement à l’heure entendue, mais, horreur ! Fayçal n’était pas venu seul ! Il était accompagné de sa femme. Une grosse chipie, toute blanche et antipathique (En fait j’exagère parce qu’elle n’était pas grosse, mais plantureuse. Et elle n’était antipathique que parce que j’étais jalouse).
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je les fis entrer dans le salon, embrassai mon cousin sur la joue et fis deux bises à sa femme. J’étais furieuse, mais n’en laissais rien paraître. Je me comportais en bonne maîtresse de maison, servis des rafraîchissements et des gâteaux, fis la conversation et … gardait au fond de moi toute ma frustration. D’autant que Fayçal était devenu un homme superbe ; encore plus beau qu’il a huit ans. Sa moustache était devenue plus drue et lui donnait un aspect encore plus viril qu’autrefois. Sa bouche était restée celle d’un carnassier en attente d’une proie à dévorer et son regard était tout aussi inquisiteur et impudique qu’avant. Il continuait à me regarder comme avant : comme une proie qu’il aimerait bien attraper.
Il ne disait rien qui pouvait faire penser quoi que ce soit de ce qui se passait en lui. Mais connaissant mon bonhomme, je savais qu’il ne pensait qu’à la chose ! La même chose à laquelle moi je pensais sans arrêt. Lui il voulait me tirer et moi je voulais qu’il me tire ! Il savait que j’étais contrariée. Que j’étais déçue. Que j’étais frustrée ! Il en souriait. J’enrageai. C’est à ce moment que je vis qu’il avait un téléphone portable, qu’il avait posé négligemment sur la table basse du salon. Je me dis qu’il fallait absolument que j’aie son numéro. Je me levai pour faire visiter l’appartement à mes invités et quand nous fûmes dans la cuisine, je m’excusais auprès d’eux, prétextant avoir oublié quelque chose dans le salon j’y retournais en vitesse, pris le téléphone que Fayçal avait laissé sur la table, formai mon numéro de portable et laissa sonner une fois avant de le reposer là d’où je l’avais pris. Je venais d’avoir son numéro de téléphone, sans avoir eu à le lui demander.
Ils partirent au bout d’une heure environ, après m’avoir fait promettre de leur rendre visite avec mon mari, bien entendu, à Paris. Je promis ce qu’ils voulurent et refermai la porte derrière eux. J’attendis environ une heure puis appelais le numéro que mon téléphone avait enregistré.
- Allo ! Oui !
- Fayçal ? C’est toi ? Tu es seul ? C’est moi Warda !
- Oui je suis seul. Je viens de déposer mon épouse à la maison. Elle est entrain de papoter avec ta mère. Elles parlent certainement de toi ! Comment as-tu eu mon numéro ? Je ne savais pas comment te le communiquer en cachette de ma femme.
- Pourquoi n’es-tu pas venu seul ? Tu savais bien que je voulais te voir seul !
- Ma femme avait exigé de venir avec moi, sinon elle s’opposait à ce que je te revoie. Elle sait pour nous et elle avait peur qu’il en reste encore quelque chose.
- Qu’en reste-t-il pour toi ? dis-je, saisissant au vol, la perche qu’il venait de me tendre.
- L’envie de te niquer !
C’était bien là tout Fayçal ! Direct et brutal ! L’envie que j’avais ressentie en le revoyant tout à l’heure, venait de se réveiller et de prendre une ampleur telle que je commençais à couler. Ma chatte était complètement mouillée en écoutant la voix de Fayçal qui décrivait tout ce qu’il voulait me faire. Tout ce qu’il n’avait pas pu me faire quand nous étions jeunes. Il me parlait de sa frustration de n’avoir pas été le premier à pénétrer dans ma chatte et à m’éclater l’hymen. Il parlait de mon cul qu’il trouvait toujours aussi magnifique et qu’il voulait entreprendre et défoncer sans ménagement ; de ma bouche qu’il voulait baiser comme il baiserait ma chatte !
- Viens demain matin, vers neuf heures, nous passerons la journée ensemble. Invente ce que tu veux, pour convaincre ta femme que tu dois t’absenter toute la journée et viens, nous allons rattraper le temps perdu. Je veux connaître ce que j’ai perdu toutes ces années. Tu viendras ?
- Bien sûr que je viendrai ! Rien ne m’en empêchera ! Je bande pour toi comme un âne ! Ce soir je baiserai ma femme en pensant à toi ! Elle en sera toute étonnée !
- Moi aussi je baiserai avec mon mari en pensant à toi ! Mais moi je pense que je lui dirais
Quand Slim revint le soir, il me posa tout de suite la question de savoir si Fayçal était venu et s’il s’était passé quelque chose entre nous. Je lui dis que malheureusement, il était venu avec sa femme et que donc, il ne pouvait rien se passer. Il me questionna sur mes sentiments et si j’avais bandé pour lui.
- Tu avais envie qu’il te baise ? Qu’il te tire à la hussarde, devant sa femme ? Tu voulais prendre sa femme par la peau du coup et la chasser de la maison pour rester seule avec lui ? Pour qu’il te nique comme un taureau ? Dis-moi la vérité !
- Oui !
- Oui quoi ?
- Qu’il me nique comme un taureau ! Qu’il sorte sa grosse queue et qu’il me baise comme cela, debout contre la porte d’entrée ! Qu’il me fasse sentir toute la puissance de son zob ! Qu’il me fasse grimper aux rideaux ! Qu’il me fasse hurler de plaisir !
Slim ne résista pas longtemps. Il m’attrapa par la main et m’emporta vers la chambre où nous attendait notre lit d’amour. Ce lit que je voulais souiller avec un autre homme. Il sortit son zob qui était devenu monstrueux, tant il était excité. Il ne me déshabilla pas. Il releva le bas de ma robe, rabaissa ma culotte sur mes genoux, me fit retourner et me mit à quatre pattes à travers le lit. Il me prit en levrette et me pénétra brutalement. Il tira de moi, un grand cri de douleur, dont il se fichait pas mal. Il continua à pilonner ma chatte avec de plus en plus de force et de vitesse.
- Imagine que c’est Fayçal qui te nique comme ça ! Imagine que c’est son gros zob qui prend possession de ta chatte ! Dis-moi que c’est lui !
- Oui Fayçal ! Continue ! Tu vas me faire mourir de plaisir ! Fayçal ! Fayçal ! Encore ! Fais jouir ta fleur ! Ta Warda !
Et Slim et moi eûmes un superbe orgasme qui nous fit hurler de plaisir (moi surtout ! parce que mon mari a toujours été plus discret dans ses jouissances). Nous déchargeâmes tous les deux mélangeant à l’intérieur de mon vagin nos sécrétions. Le tout ressortit en grande partie de mon vagin pour aller s’étaler sur le drap du lit. Nous étions fourbus et heureux ! Slim me regardait avec ses yeux brillants d’amour et de tendresse. Il me remerciait silencieusement pour le plaisir que je lui donnais, en entrant dans ses fantasmes. Deux fois de suite cette nuit, Slim honora la chatte et le cul de sa femme. Deux fois de suite, il lui donna des tonnes de plaisir en se transformant en Fayçal ; et en prit autant. Le lendemain, il partit au travail, comme à son habitude, vers huit heure trente. Je me levais, le cœur battant, sachant que ce matin là j’allais commettre l’irréparable : tromper mon mari pour de vrai. Coucher avec un autre homme dans notre chambre et sur notre lit conjugal. J’avais conscience que j’allais faire quelque chose d’interdit et d’immoral.
Mon cœur n’en battit que plus fort ! Le goût superbe de l’interdit ! A neuf heures tapantes, Fayçal sonna à la porte. J’ouvris, le pris par la main, le tirai rapidement à l’intérieur, refermai la porte et sautai sur mon homme. J’avais faim de lui. J’avais envie de le manger tout cru. J’attrapais sa tête et lui donnai un de ces baisers que nous avions l’habitude de nous échanger, quand nous étions ensemble. Rien, absolument rien n’avait changé ! La même ardeur ! La même passion ! Les mêmes langues qui se défiaient et se poursuivaient d’une bouche à l’autre ! La même quantité de salive qui passait de l’un à l’autre, que nous avalions avec délectation! La même difficulté à respirer, tant le baiser était torride et long !
Quand nous arrêtâmes de nous embrasser, parce qu’au bord de l’asphyxie, nous restâmes un moment à nous contempler, revivant inconsciemment nos amours passées. Et puis le désir revint, encore plus fort.
- Nique-moi, là debout contre la porte ! J’ai dit hier à mon mari que c’était comme cela que je voulais que tu me niques pour la première fois !
Il ne se fit pas répéter ma demande. Il m’attrapa par la taille, me souleva et me colla le dos contre la porte d’entrée. Je m’accrochai solidement à sa nuque et attendit la suite avec impatience. Il souleva ma jambe gauche en me tenant sous le genou. Il en profita pour me soulever de quelques centimètres pour mettre ma vulve au niveau de son pubis. Il ouvrit sa braguette avec sa main gauche, sortit le monstre qui s’y cachait et le plaça entre mes cuisses. Il venait de remarquer que je ne portais pas de culotte et cela le fit bander encore plus. Il plia légèrement les jambes pour placer son gland juste sous ma chatte et brusquement il me pénétra en force, faisant atteindre à son immense sexe le fond de ma cavité vaginale. J’avais l’impression d’avoir été pénétrée par un long tuyau, gros et dur, qui allait ressortir pas ma bouche.
Slim m’avait souvent niquée comme cela debout. Mais je n’avais encore jamais ressentie cette sensation de vagin pénétré complètement. Il me semblait que le zob de Fayçal avait atteint la limite de mon boyau. Et que s’il allait plus loin, il me déchirerait quelque chose. Il me faisait mal, en même temps qu’il me remplissait de plaisir. J’étais entrain de me dire que c’était cela que j’avais manqué pendant des années. Et que c’était une pimbêche qui profitait de ces séances de bonheur qui n’étaient dues qu’à moi seule. Ce que je ressentais dépassait tout ce que j’avais connu ; y compris avec Slim, mon merveilleux amour. Slim qui m’avait ouverte à l’érotisme le plus torride. Mais avec Fayçal c’était autre chose : le goût de l’interdit qui donnait encore plus de saveur à un plat - l’amour - qui en avait, naturellement, déjà beaucoup.
Je ne sais combien avait duré la séance, mais au bout d’un temps très long, pendant lequel, nous ressentîmes tous les deux le plaisir le plus parfait, nous eûmes, en même temps un orgasme tellement fort, qu’il nous fit tomber par terre. Fayçal avait éjaculé une tonne de foutre qui était retombé par terre en coulant le long de ma cuisse droite, mélangée à toute la cyprine que j’avais produite. Nous nous étalâmes par terre un moment, pour reprendre notre respiration et permettre à nos cœurs de reprendre leur rythme normal. Puis je susurrais à l’oreille de mon amant, ce que je voulais faire depuis le début : souiller la couche conjugale.
Il me semblait que tromper son mari dans la chambre et sur le lit même de leurs amours, était le summum du cocufiage. Je voulais atteindre ce summum. Au fond de moi, je ne savais pas pourquoi, je tenais tant que ça à me faire tirer dans la chambre et sur le lit conjugal. Peut-être parce qu’inconsciemment je pensais que c’était cela qui ferait le plus plaisir à Slim. Mais comme j’avais décidé de ne rien lui dire, une telle explication ne pouvait pas tenir debout. Mais, les choses étant ce qu’elles étaient, je me fichais absolument du pourquoi de la chose. Je voulais que Fayçal me nique sur le lit conjugal et il le fit !
Il le fit comme à son habitude, en force et sans précaution. Surtout qu’il avait décidé de m’enculer. Il me fit allonger sur le dos en travers du lit, me releva lui-même les jambes qu’il plia de part et d’autre de ma poitrine, enleva son pantalon, resta un moment le sexe brandi comme un glaive, à admirer mes deux orifices, se demandant probablement lequel des deux était le plus accueillant, puis se décida à poser le gland pointu de son engin sur l’anneau de mon anus. Il donna un fort coup de rein, qui fit pénétrer le gros zob jusqu’au fond de mon cul. Je sentis son pubis venir cogner sur mes fesses et arrêter la progression du manche. Que c’était bon ce zob qui occupait tout mon cul et qui allait et venait en limant très fortement la paroi de mon rectum ! Toute la force de Fayçal était dans cet engin ! C’était grâce à lui qu’il me possédait ! Qu’il était devenu mon maître !
- Tu as été souvent niqué par le cul ! Il est bien ouvert ! Mais il est tellement élastique que j’ai l’impression d’être son premier occupant ! J’aime t’enculer ! Dis-moi que toi aussi tu aimes le gros zob de Fayçal dans ton cul ! Dis-le ! Ça me fait bander encore plus !
- J’aime le zob de Fayçal dans mon cul ! Je l’aime partout ! Dans mon hatchoun ! Dans ma bouche ! Mais je l’aime surtout dans mon cul ! Dans mon cul ! Dans mon cul !
- Masturbe-toi pendant que je t’encule ! Fais-toi encore plus de bien ! J’aime sentir les doigts d’une femme qui farfouille dans sa chatte, pendant que la prend par derrière ! C’est une sensation merveilleuse ! Paradisiaque ! Continue comme ça ! Essaie d’attraper mon zob ! Oui, comme ça ! Je vais éjaculer ! Plus vite avec ta main !
Et pendant qu’il pilonnait mon cul à la hussarde et de plus en plus vite, je faisais faire à mes trois doigts qui étaient dans mon vagin des va-et-vient frénétiques et rapides qui ne tardèrent pas à m’emmener très haut vers les cimes du plaisir. Je sentis venir l’orgasme encore plus puissant que celui de tout à l’heure devant la porte. Il m’envahit d’un seul coup, me couvrant d’un épais voile de plaisir. Je hurlais que j’étais entrain de jouir ! Que c’était merveilleux de jouir comme cela ! Que son zob était un Diable, qui savait me posséder et me faire monter au septième ciel ! En réalité je crois que je n’avais prononcé que des bribes de phrases, complètement incompréhensibles pour celui qui les entendaient. Mais c’était ce que je voulais dire avec ces bribes de phrases : j’étais au firmament du bonheur et du plaisir ! Et je voulais que mon amant le sache ! Nous jouîmes une fois de plus comme des bêtes !
Fayçal, exténué et repus, tomba sur ma poitrine m’obligeant à rester dans la position que je tenais quand il pilonnait mon anus. J’accrochais sa nuque et lui caressais les cheveux avec tendresse et reconnaissance. Je lui étais en effet reconnaissante, pour tout le plaisir qu’il venait de me donner – et qu’il allait encore me donner, parce que j’étais décidée à le garder encore avec moi toute la journée – et de m’avoir fait rattraper tout ce que j’avais raté, il y a des années.
Nous nous séparâmes vers dix sept heures et, malheureusement, ne nous revîmes plus. Il repartit le lendemain matin pour Paris avec sa femme et laissa en moi un vide difficile à remplir. Quand Slim rentra de son travail, il me trouva un peu triste du départ définitif de Fayçal, mais ne me posa aucune question. Il devinait qu’il s’était passé quelque chose d’important durant la journée, mais attendait que cela soit moi qui en parlasse la première. Or j’avais décidé de ne pas en parler du tout. Craignant qu’il prenne mal la chose. Et puis les années ont passé et notre couple a évolué vers ce qu’il est aujourd’hui. Le secret n’a commencé à me peser que depuis que Slim m’a ouvertement autorisée à prendre mon pied partout où je le trouve, y compris auprès d’autres hommes. Il faut donc qu’il apprenne que l’avais déjà cocufié avant même qu’il ne m’autorise à le faire.
Et maintenant à toi de jouer. Ecris l’histoire et envoie-la-lui par mail. Je veux qu’il la lise et qu’il sache que c’est moi qui aie décidé de lui avouer ce que j’ai fait, il y a des années, derrière son dos. J’espère qu’il me pardonnera et surtout que cette histoire le fasse bander plus que de coutume et qu’il me montre qu’il m’a pardonné en me donnant encore plus de bonheur dans notre chambre et sur notre lit conjugal.
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En guise d’épilogue :
J’ai effectivement écrit l’histoire que j’ai envoyée à Slim à son adresse mail. J’en suis encore à attendre sa réaction, si réaction il y a. Je ne voudrai pas que le fait d’avoir rendu l’histoire publique, crée un problème au couple. Mais je pense que Slim a, depuis très longtemps, dépassé le genre de susceptibilité que craignait Warda.
Episode cinq : La première aventure extra conjugale de Warda
Quand je revis, quelques jours plus tard Warda, je compris tout de suite qu’elle n’était pas venue me raconter la suite des aventures de son couple, qu’elle m’avait promis de me narrer à notre prochaine rencontre. Je la vis arriver de loin, dans le salon de thé dans lequel elle m’avait donné rendez-vous. Elle avait toujours ce pas chaloupé et cette démarche ondulante qui faisaient se retourner les hommes et les femmes qu’elle croisait. Mais son visage semblait plus fermé que d’habitude. Elle ne souriait pas. Elle avait un air sérieux que je ne lui connaissais pas encore.
- Bonjour ma grande ! fis-je en me levant pour l’aider à s’assoir et face de moi. Tu ne me sembles pas très contente aujourd’hui ! Pourquoi cet air sérieux et farouche ? Tu as un problème ?
- Non mais, il faut que je t’avoue une chose que je n’ai encore dite à personne. Pas même à mon mari ! Une chose que je garde en moi depuis des années et que j’ai aujourd’hui besoin d’avouer. J’ai essayé, cette nuit encore de la dire à Slim, mais quelque chose me retient. Peut-être la peur qu’il soit déçu et qu’il m’en veuille de ne pas lui avoir raconté tout de suite la chose. Cette nuit, il m’a posé innocemment la question de savoir si je ne l’avais jamais trompé avant que nous commencions ensemble nos histoires de cocufiage mutuel. Je ne savais pas quoi lui répondre. D’un côté, je voulais lui raconter, avec l’espoir qu’il réagira comme il l’a toujours fait jusqu’à maintenant : en bandant très fort et en me tirant en conséquence. D’un autre j’avais peur qu’il soit mécontent du fait que je n’aie pas été honnête vis-à-vis de lui et de l’avoir trompé (au sens littéral du terme).
- Pourquoi veux-tu en parler maintenant ? Tu peux très bien continuer comme cela et garder cette aventure secrète. Rien ne t’oblige à le faire. Surtout si tu as peur des conséquences sur votre couple.
- Je ne sais pas. Mais depuis quelque temps, cette histoire m’obsède. J’y repense à chaque fois que Slim me pose une question sur mes fantasmes et mes envies de me faire tirer par les beaux mecs que je rencontre ou que nous rencontrons ensemble. Le prénom de Fayçal est tout le temps sur mes lèvres. Il faut que mon mari apprenne ce qui s’est passé, il y a longtemps avec ce cousin, dont par ailleurs, il connait l’existence. Comme je n’arrive pas à le lui dire moi-même, je te charge de le faire en écrivant cette histoire et en la lui envoyant en priorité à lui. Tu veux bien ?
- Oui ! Pourquoi pas ! Mais je ne voudrais pas être le responsable d’une éventuelle rupture avec ton mari ! J’en serais vraiment désolé !
- Je prends le risque ! Je suis à moitié sûre qu’il sera compréhensif, comme il l’a toujours été !
- Alors raconte !
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Quand j’avais vingt deux ans, une année avant de rencontrer Slim et de me marier avec lui, j’avais fait la connaissance de Fayçal, un cousin éloigné, qui vivait en France et que je n’avais encore jamais vu. Il venait d’avoir vingt ans et venait passer un mois de vacances au sein de notre famille. Il était vraiment beau. Le genre de beauté virile qui m’avait toujours fait fantasmer. A vingt deux ans, j’étais encore vierge et n’avait connu que de petits flirts sans lendemain. Des flirts parfois poussés avec cunnilingus et fellations, parfois avec frottements furtifs de beaux zobs sur ma chatte en chaleur, mais pas plus. Je refusais de me laisser aller à des relations sexuelles qui m’auraient conduite à perdre mon pucelage et auraient entrainé un immense scandale sur ma famille et la honte sur moi. Les conséquences en auraient été terribles.
Mais en voyant Fayçal avec son superbe corps d’athlète, sa petite moustache qui le vieillissait de quelques années et sa bouche de carnassier affamé et gourmand, je sentis immédiatement mon corps frémir et mon bas ventre me faire mal. Rien qu’en le regardant je sentais ma chatte couler et culotte se mouiller. Je me voyais blottie entre ses bras puissants, en frottant mon bas ventre sur le devant de son pantalon, que j’imaginais tendu par un superbe zob en érection et dur comme de la pierre. C’était vraiment la première fois que je ressentais une sensation aussi forte et aussi irrépressible. J’essayais de lutter contre cette excitation incontrôlée. Mais rien n’y fit. Tant qu’il était devant moi, je ne pouvais rien faire d’autre que de le regarder avec les yeux énamourés d’une fille qui n’attendait qu’un signe pour se jeter sur lui.
Ma mère s’était rendue compte de l’effet que mon cousin me faisait et semblait contente. Elle voyait d’un bon œil une relation sérieuse entre nous et voulait me voir épouser le garçon. Comme cela, je resterais dans le cocon familial, tout en allant vivre en France, rêve de toutes les mamans d’Algérie. Fayçal se rendit lui aussi compte qu’il me plaisait terriblement et cela satisfaisait son égo de jeune homme qui avait conscience de son pouvoir de séduction. Il jetait parfois un coup d’œil interrogatif vers moi, en me souriant de son terrible sourire de prédateur.
Il devinait qu’il n’avait qu’à lever le petit doigt pour que je me précipite dans ses bras et pour qu’il fasse de moi, ce que bon lui semblera. Maman nous laissa un moment seuls Fayçal et moi, pendant qu’elle s’occupait de faire le ménage. Nous parlâmes de choses et d’autres, n’osant pas soulever le seul sujet qui nous intéressait réellement lui et moi : l’amour. Parce que pour moi, c’était bien d’amour qu’il s’agissait. Le sexe était le complément nécessaire de l’amour. Je voulais m’offrir à lui par amour. Je ne voulais pas seulement baiser avec lui. De toutes les façons, je ne le pouvais pas; c’était une chose qui m’était interdite, à moi, jeune fille de famille. Pour lui, garçon, c’était autre chose. Il pouvait se permettre de coucher avec une fille, la dépuceler si elle était vierge, sans que la honte ne retombe sur lui. C’est toujours la fille la fautive dans ces cas-là. Si le garçon veut bien reconnaître les faits et réparer, c’est tant mieux pour la fille ; sinon tant pis pour elle !
- Je ne savais pas que j’avais une cousine aussi jolie ! Tu as quel âge ?
- Vingt deux ans ! Et toi ?
- Vingt ans !
C’était comme si je venais de recevoir un coup de massue sur la tête. Il était plus jeune que moi ! Et dans nos traditions il ne se pouvait pas que dans un couple, l’épouse soit plus jeune que le mari !
- Tu fais plus vieux que ça ! Je te donne facilement vingt-cinq ans !
- C’est la moustache !
J’étais réellement déçue. Je venais de trouver l’homme de ma vie (c’était vraiment ce que je ressentais en ce moment là) et voilà que le mauvais sort s’acharne sur moi pour me l’enlever. Cette nuit là j’allais dormir découragée de ne pouvoir rien faire pour séduire Fayçal et en faire mon futur époux. Cette nuit là était remplie de rêves érotiques avec mon Fayçal qui me faisait l’amour dans tous les coins de la maison et qui était insatiable de mon corps et de mon cul. Je me réveillais plusieurs fois en nage et la chatte qui coulait comme une fontaine. Je crois que cette nuit là j’ai dû me masturber une dizaine de fois pour calmer le feu qui consumait tout mon corps.
Je retrouvais Fayçal le lendemain soir, à son retour d’une promenade dans la ville. Après le diner maman nous laissa encore seuls quelques temps, devant, affirma-t-elle rendre visite à une voisine malade. Dès que nous fûmes seuls, je me rapprochais de Fayçal qui était sagement assis sur un côté du sofa, alors que j’occupais l’autre côté.
- Comment me trouves-tu ? questionnai-je sournoisement mon cousin. Je te plais ? Tu as envie de moi ? Tu veux m’épouser ? Tu veux me niquer ?
Je posais comme cela toute une série de questions mêlant ma beauté, mon amour, mon désir de me faire épouser par lui et…le sexe. J’étais dans un état de chienne en chaleur. Je voulais sentir le corps de Fayçal collé au mien. Je voulais sentir ses mains me caresser la poitrine et surtout, venir se poser entre mes cuisses. Je portais une robe légère dont je remontais les pans jusqu’à mi-cuisses. Je voulais l’exciter ! Je voulais qu’il bande pour moi et qu’il n’arrive pas à résister à l’envie de me tirer. Or il ne faisait rien ; absolument rien !
Agacée, je pris sa main droite et posai entre mes cuisses, que je serrais sur elle pour l’emprisonner. Elle resta un moment inerte, puis je sentis qu’elle s’animait et qu’elle voulait aller plus haut. J’étais heureuse et écartais les genoux pour qu’elle puisse aller là où elle voulait aller. Sa main était ferme, chaude et douce. Elle transférait toute sa chaleur sur le haut des cuisses. Chaleur qui allait irradier sur mon mont de vénus et sur ma chatte. Je sentais cette dernière palpiter et couler. Je sentais ma culotte qui commençait à se mouiller. Et surtout j’étais dans une attente impatiente de voir cette main arriver sur ma chatte et s’en emparer. Je tremblais littéralement en attendant la rencontre de ma chatte en émoi et de sa main.
Et quand cela arriva, je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri de plaisir et de serrer très fort mes cuisses pour la retenir prisonnière sur l’endroit. Je regardais Fayçal pour voir ce qu’il ressentait. Il avait le regard voilé et la bouche légèrement ouverte. Il regardait en direction de sa main, tentant d’apercevoir ma chatte. Il me semblait qu’il avait du mal à retenir la salive qui coulait de sa lèvre inférieure. Je le voyais qui tentait d’avaler sa salive en utilisant sa langue. J’écartais encore une fois mes cuisses pour prendre sa main et la forcer à s’emparer de ma chatte par-dessus le tissu de ma culotte. Je voulais qu’elle la caresse fortement et qu’elle fasse des allers-retours le long de la fente entre mes grandes lèvres. La culotte me gênait : j’avais envie que sa main s’applique directement contre ma chatte et qu’elle lui communique tout son désir.
Je lui pris la main pour l’éloigner un très court instant d’entre mes cuisses; juste le temps d’enlever ma culotte et de l’y remettre. Il se laissait faire sans rien dire. Maintenant il voyait très bien ma belle chatte. Il avait les yeux exorbités tellement il était excité par cette vision. Pas un poil; des grandes lèvres longues, dodues, fermes, légèrement mates, brillantes de mouille et palpitantes de désir. Il s’empara presque avec violence de ma chatte qu’il serra très fort, me faisant au passage très mal. Puis il relâcha la pression et fit promener ses doigts le long de la fente, en leur faisant faire une série d’allers-retours qui me donnait énormément de plaisir. Il ne disait rien, mais bavait de plus en plus. Et puis, n’y tenant plus, il vint se mettre à genoux devant le sofa m’écarta plus encore les cuisses et plongea sa tête à l’intérieur et posa sa bouche gloutonne sur ma chatte.
Je m’étais déjà fait sucer la vulve par quelques uns des garçons avec lesquels j’avais eu de flirts assez poussés. Mais jamais encore je n’avais reçu une bouche aussi gourmande et aussi experte. Il ne fallut pas longtemps à Fayçal pour me faire grimper aux rideaux. Je ne me contrôlais plus. J’attrapais ses cheveux et tirais dessus violemment pour obliger la bouche de mon amant à y aller avec plus de force et de fermeté. Il fit tout ce que je voulais qu’il fasse. Il y ajouta même la langue que je sentais pénétrer dans mon vagin et essayer d’aller aussi loin que possible. Je la sentis même qui alla cogner contre mon hymen, déclenchant immédiatement une superbe décharge électrique qui alla électrifier tout mon corps. Je crus un moment qu’il m’avait dépucelée, mais je fus vite rassurée par la langue qui vint encore cogner contre la membrane de l’hymen : elle était toujours en place !
Je ne mis que quelques minutes pour atteindre le sommet du plaisir et sentir arriver un orgasme d’une très forte intensité. Jamais encore auparavant, soit sous mes propres caresses, soit sous celle de mes flirts, je n’avais atteint un tel degré de plaisir. C’était vraiment la première fois que je jouissais autant. Je criais mon bonheur en renforçant mon étreinte sur la tête de mon amant que j’obligeais à aller et venir encore plus vite et plus fort. Je déchargeais en hurlant et me mis à couler comme une fontaine sur la bouche de mon amant. Il but tout ce qu’il put, tout en continuant à me sucer la chatte comme une superbe ventouse. Il ne s’arrêta que quand il vit que j’étais devenue inerte et que je m’étais arrêtée de tirer sur ses cheveux. Il releva la tête pour me regarder. Sa moustache portait encore les stigmates du cunnilingus forcené qu’il venait de me faire: elle brillait de mouille. C’était tellement érotique ! Je me baissais pour lui donner un baiser torride sur la bouche, avalant au passage toute la cyprine qui restait sur ses lèvres et sa moustache. Je le regardais avec des yeux illuminés du plaisir que je venais de prendre. Mais lui n’avait pas eu de plaisir identique. Il était excité. Et voulait lui aussi jouir.
- C’est à ton tour de me faire jouir. Avec ta bouche ! Je voudrais bien te niquer par la chatte, mais comme tu es vierge, je ne peux pas. Je veux donc éjaculer dans ta bouche ! Je veux te voir avaler mon sperme, comme je viens de boire ton jus.
Je ne me fis pas prier pour me mettre à mon tour à genoux devant lui, qui se tenait debout, et sortir son manche qui frétillait et s’impatientait à l’intérieur de son pantalon. En moins de cinq secondes, j’avais dégrafé sa ceinture, déboutonné le pantalon, ouvert la braguette et descendit le tout en une fois –pantalon et slip – sur ses chevilles. Je découvris alors son énorme zob. Le zob le plus grand que j’avais vu jusque là : long et gros avec un gland pointu qui faisait ressembler l’ensemble à un javelot. J’aurai tant aimé que ce javelot me transperce la vulve et déchire mon hymen. Mais c’est seulement ma bouche qu’il transpercera. Il m’attrapa par les joues et vint placer le gland dur et doux sur les mes lèvres, les forçant à s’écarter. De même qu’il força mes dents à s’écarter elles-aussi et à ouvrir la voie de ma bouche et de ma gorge.
Fayçal semblait avoir l’habitude de se faire faire des pipes. Il savait s’y prendre. Il n’insistait pas au moment où son gland arrivait sur la glotte. Il faisait immédiatement demi-tour, de manière à ne pas me donner envie de vomir. Mais petit à petit, sentant que je m’habituais à la présence du gros zob dans la bouche et la gorge, il augmentait le rythme et l’amplitude des allers-retours du sexe. Maintenant, il le sortait totalement d’entre mes lèvres, prenait un élan et repartait à l’assaut de ma bouche et de ma gorge.
- Je te nique par la bouche ! J’adore ça ! C’est comme si je niquais ta chatte ! C’est la même sensation ! Superbe ! Je vais jouir dans ta bouche ! Je vais te remplir de sperme ! Je vais t’en mettre partout sur le visage ! Tu vas tout avaler ! Je veux que tu avales tout !
Et il déchargea une première fois dans ma gorge, me donnant la sensation d’étouffer tant le sperme était abondant, épais et brulant. Je mis du temps à avaler tout, découvrant pour la première fois le goût bizarre du foutre d’homme, ainsi que la sensation de viscosité qui restait longtemps dans la bouche. Je n’avais encore jamais bu le sperme de mes flirts antérieurs, qui se contentaient d’éjaculer sur mon visage ou ma poitrine et que j’essuyais avec un mouchoir ou lavait à grande eau. J’ai immédiatement aimé le foutre de mon cousin. Celui qu’il répandit sur mon visage (y compris sur mes yeux) et qu’il m’obligea à ramasser avec mes doigts et à lécher, était aussi délicieux. J’avais vraiment adoré. Je me promettais même de continuer longtemps à me nourrir de ce sperme, laiteux, visqueux et chaud. Je voulais que ma relation avec Fayçal dure toute ma vie. Je me repris à rêver à un mariage d’amour avec lui.
Malheureusement les choses ne se passèrent pas comme lui et moi l’avions souhaitées. Il disait qu’il m’aimait – il répétait plus souvent que j’étais un super coup et qu’il voulait me niquer sans retenue – et moi j’étais folle de lui. Nous en parlâmes à maman, qui en était vraiment contente. Elle en parla avec la famille du garçon et ce fut là que les choses se corsèrent. Le problème pour les parents de Fayçal, c’était notre différence d’âge: j’étais plus âgée que lui de deux ans ! Ce problème, réellement insignifiant, fut tellement grossi par la famille, qu’il devint insurmontable : surtout que ma mère, vexée, vint à s’opposer à notre mariage. Elle m’interdit de revoir Fayçal, qui entretemps, les vacances étant finies, était reparti en France. J’essayais de lutter seule – parce que Fayçal semblait avoir cédé à la pression de ses parents – et puis j’appris qu’il avait été fiancé avec une autre cousine de Constantine qui, elle, avait deux ans de moins que lui. Mon histoire avec Fayçal, du moins sa première partie, finit donc ainsi en queue de poisson.
Elle avait laissé en moi un goût d’inachevé et beaucoup de frustration. Je l’avais réellement aimé, d’un amour passionné et entier. J’ai aussi adoré nos étreintes, lesquelles malheureusement étaient restées superficielles. Des mois plus tard je rêvais encore de Fayçal qui m’étreignait, me caressait, sortait son énorme engin et me perforait l’hymen. J’avais même rêvé une fois qu’il m’enculait en force, ce qui m’avait beaucoup étonné à mon réveil. Je n’avais encore jamais pensé à la sodomisation, comme partie intégrante de la sexualité, ni bien entendu fantasmé dessus. Et puis le temps fit son affaire et mit un voile sur mon histoire avec Fayçal. Je recommençais à flirter avec des garçons qui me plaisaient et puis fis la connaissance de Slim, qui devint très vite le centre de ma vie. Nous nous mariâmes très vite (avec lui, tout avait été possible dès le début, y compris me faire dépuceler par lui, longtemps avant de devenir son épouse) et eûmes une vie amoureuse vraiment libre et heureuse. Et cela dure toujours. Je touche du bois, pour que cela dure éternellement.
Je revis Fayçal, environ cinq années après mon mariage. Il était venu rendre visite à maman et resta quelques jours chez elle. Il était accompagné de sa femme, la cousine avec laquelle il avait été fiancé depuis plus de cinq ans et qu’il avait finie par épouser une fois qu’il avait décroché son diplôme de pharmacien. Ils habitèrent chez ma mère pendant environ une semaine, le temps semble-t-il pour que sa femme fasse toute une série d’analyses médicales, qu’il était trop cher de faire en France, où ils étaient installés. Maman m’informa de la présence sous son toit de Fayçal, mon cousin.
Tout ce que j’avais cru disparu, oublié, enfoui au fond de ma mémoire, remonta d’un coup. Fayçal ! Le beau Fayçal ! Mon amour de jeunesse ! L’étalon dont j’espérais la saillie mais qui n’était jamais venue ! Mon cœur se mit à battre la chamade. Je ne savais pas ce qui était entrain de m’arriver. Pendant toute la journée, je ne pensais plus qu’à lui. J’avais envie de le revoir. Je me disais qu’il fallait absolument que je le revoie, rien que pour m’assurer qu’il n’était plus rien pour moi. Je voulais me prouver à moi-même qu’il n’était plus rien pour moi. Au fond de moi, je savais que je me mentais et qu’il y avait encore, enfouie au fond de ma mémoire, la frustration du départ et surtout la frustration d’un amour inachevé. Inachevé physiquement, bien entendu. Je n’avais pas pu sentir son bel engin dans ma chatte et dans mes boyaux. Je crois que c’est surtout cette frustration qui m’obsédait : ne pas avoir été niquée par le gros zob de Fayçal. Ne pas avoir grimpé aux rideaux grâce à son magnifique engin. Toute ma vie, cela restera un manque, qu’un jour où l’autre il faudra bien que je colmate.
La nouvelle que venait de m’annoncer maman me donna l’occasion d’échafauder un plan pour revoir mon cousin – en cachette ou en présence de mon mari, je ne savais pas encore – et m’assurer qu’il ne restait plus rien de mes sentiments passés pour lui. C’est du moins comme cela que je présentais les choses à maman, en lui demandant de lui indiquer où je vivais et de lui suggérer de passer me voir. Je parlais vaguement de Fayçal à Slim, en lui disant que c’était un cousin éloigné pour lequel, j’avais eu jadis le béguin et que probablement il allait passer nous rendre visite. Je ne voulais pas lui dire que j’espérais être seule, au moment où il viendrait.
- Tu l’as beaucoup aimé ? C’est l’homme dont tu m’as parlé en me disant qu’il te faisait bander ? Tu bandes encore pour lui aujourd’hui que tu sais que tu vas le revoir ?
Slim, comme à son habitude, posait beaucoup de questions sur les sentiments qui pouvaient m’animer quand il s’agit d’un homme. A l’époque, il ne me disait pas encore clairement, qu’il aimait que je prenne du plaisir entre les bras d’autres hommes. Tout ce qu’il faisait c’était de me pousser à lui dire que je fantasmais sur d’autres hommes et cela le faisait bander plus que d’habitude. J’avais bien sûr remarqué qu’en ces moments là, il devenait un véritable taureau au lit et qu’il me prenait pour sa génisse. Je sentais, sans trop bien comprendre, qu’il y avait en lui un côté bizarre qui le faisait bander en imaginant sa femme entrain de se faire tirer par d’autres hommes. Mais il ne le disait pas encore aussi clairement qu’aujourd’hui où toute notre vie sexuelle est bâtie sur le principe de m’offrir à d’autres hommes.
- Tu me diras comment la rencontre se sera passée ? Tu m’avoueras tout ce que tu auras ressenti ? Y compris le fait de mouiller pour lui et d’avoir envie qu’il te nique ? Jure-moi que tu me le diras !
J’étais étonnée d’une telle demande, mais n’y tins pas beaucoup compte. Je lui promis et me préparai à accueillir mon ex petit-ami avec tous les honneurs qui lui étaient dus. Je me fis belle, m’habillais de manière super sexy (de quoi faire bander un aveugle, me dis-je, en voyant l’image de vamp que me renvoyait le grand miroir du couloir) et attendis impatiemment le coup de sonnette qui m’annoncerait son arrivée. La sonnette vibra effectivement à l’heure entendue, mais, horreur ! Fayçal n’était pas venu seul ! Il était accompagné de sa femme. Une grosse chipie, toute blanche et antipathique (En fait j’exagère parce qu’elle n’était pas grosse, mais plantureuse. Et elle n’était antipathique que parce que j’étais jalouse).
Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je les fis entrer dans le salon, embrassai mon cousin sur la joue et fis deux bises à sa femme. J’étais furieuse, mais n’en laissais rien paraître. Je me comportais en bonne maîtresse de maison, servis des rafraîchissements et des gâteaux, fis la conversation et … gardait au fond de moi toute ma frustration. D’autant que Fayçal était devenu un homme superbe ; encore plus beau qu’il a huit ans. Sa moustache était devenue plus drue et lui donnait un aspect encore plus viril qu’autrefois. Sa bouche était restée celle d’un carnassier en attente d’une proie à dévorer et son regard était tout aussi inquisiteur et impudique qu’avant. Il continuait à me regarder comme avant : comme une proie qu’il aimerait bien attraper.
Il ne disait rien qui pouvait faire penser quoi que ce soit de ce qui se passait en lui. Mais connaissant mon bonhomme, je savais qu’il ne pensait qu’à la chose ! La même chose à laquelle moi je pensais sans arrêt. Lui il voulait me tirer et moi je voulais qu’il me tire ! Il savait que j’étais contrariée. Que j’étais déçue. Que j’étais frustrée ! Il en souriait. J’enrageai. C’est à ce moment que je vis qu’il avait un téléphone portable, qu’il avait posé négligemment sur la table basse du salon. Je me dis qu’il fallait absolument que j’aie son numéro. Je me levai pour faire visiter l’appartement à mes invités et quand nous fûmes dans la cuisine, je m’excusais auprès d’eux, prétextant avoir oublié quelque chose dans le salon j’y retournais en vitesse, pris le téléphone que Fayçal avait laissé sur la table, formai mon numéro de portable et laissa sonner une fois avant de le reposer là d’où je l’avais pris. Je venais d’avoir son numéro de téléphone, sans avoir eu à le lui demander.
Ils partirent au bout d’une heure environ, après m’avoir fait promettre de leur rendre visite avec mon mari, bien entendu, à Paris. Je promis ce qu’ils voulurent et refermai la porte derrière eux. J’attendis environ une heure puis appelais le numéro que mon téléphone avait enregistré.
- Allo ! Oui !
- Fayçal ? C’est toi ? Tu es seul ? C’est moi Warda !
- Oui je suis seul. Je viens de déposer mon épouse à la maison. Elle est entrain de papoter avec ta mère. Elles parlent certainement de toi ! Comment as-tu eu mon numéro ? Je ne savais pas comment te le communiquer en cachette de ma femme.
- Pourquoi n’es-tu pas venu seul ? Tu savais bien que je voulais te voir seul !
- Ma femme avait exigé de venir avec moi, sinon elle s’opposait à ce que je te revoie. Elle sait pour nous et elle avait peur qu’il en reste encore quelque chose.
- Qu’en reste-t-il pour toi ? dis-je, saisissant au vol, la perche qu’il venait de me tendre.
- L’envie de te niquer !
C’était bien là tout Fayçal ! Direct et brutal ! L’envie que j’avais ressentie en le revoyant tout à l’heure, venait de se réveiller et de prendre une ampleur telle que je commençais à couler. Ma chatte était complètement mouillée en écoutant la voix de Fayçal qui décrivait tout ce qu’il voulait me faire. Tout ce qu’il n’avait pas pu me faire quand nous étions jeunes. Il me parlait de sa frustration de n’avoir pas été le premier à pénétrer dans ma chatte et à m’éclater l’hymen. Il parlait de mon cul qu’il trouvait toujours aussi magnifique et qu’il voulait entreprendre et défoncer sans ménagement ; de ma bouche qu’il voulait baiser comme il baiserait ma chatte !
- Viens demain matin, vers neuf heures, nous passerons la journée ensemble. Invente ce que tu veux, pour convaincre ta femme que tu dois t’absenter toute la journée et viens, nous allons rattraper le temps perdu. Je veux connaître ce que j’ai perdu toutes ces années. Tu viendras ?
- Bien sûr que je viendrai ! Rien ne m’en empêchera ! Je bande pour toi comme un âne ! Ce soir je baiserai ma femme en pensant à toi ! Elle en sera toute étonnée !
- Moi aussi je baiserai avec mon mari en pensant à toi ! Mais moi je pense que je lui dirais
Quand Slim revint le soir, il me posa tout de suite la question de savoir si Fayçal était venu et s’il s’était passé quelque chose entre nous. Je lui dis que malheureusement, il était venu avec sa femme et que donc, il ne pouvait rien se passer. Il me questionna sur mes sentiments et si j’avais bandé pour lui.
- Tu avais envie qu’il te baise ? Qu’il te tire à la hussarde, devant sa femme ? Tu voulais prendre sa femme par la peau du coup et la chasser de la maison pour rester seule avec lui ? Pour qu’il te nique comme un taureau ? Dis-moi la vérité !
- Oui !
- Oui quoi ?
- Qu’il me nique comme un taureau ! Qu’il sorte sa grosse queue et qu’il me baise comme cela, debout contre la porte d’entrée ! Qu’il me fasse sentir toute la puissance de son zob ! Qu’il me fasse grimper aux rideaux ! Qu’il me fasse hurler de plaisir !
Slim ne résista pas longtemps. Il m’attrapa par la main et m’emporta vers la chambre où nous attendait notre lit d’amour. Ce lit que je voulais souiller avec un autre homme. Il sortit son zob qui était devenu monstrueux, tant il était excité. Il ne me déshabilla pas. Il releva le bas de ma robe, rabaissa ma culotte sur mes genoux, me fit retourner et me mit à quatre pattes à travers le lit. Il me prit en levrette et me pénétra brutalement. Il tira de moi, un grand cri de douleur, dont il se fichait pas mal. Il continua à pilonner ma chatte avec de plus en plus de force et de vitesse.
- Imagine que c’est Fayçal qui te nique comme ça ! Imagine que c’est son gros zob qui prend possession de ta chatte ! Dis-moi que c’est lui !
- Oui Fayçal ! Continue ! Tu vas me faire mourir de plaisir ! Fayçal ! Fayçal ! Encore ! Fais jouir ta fleur ! Ta Warda !
Et Slim et moi eûmes un superbe orgasme qui nous fit hurler de plaisir (moi surtout ! parce que mon mari a toujours été plus discret dans ses jouissances). Nous déchargeâmes tous les deux mélangeant à l’intérieur de mon vagin nos sécrétions. Le tout ressortit en grande partie de mon vagin pour aller s’étaler sur le drap du lit. Nous étions fourbus et heureux ! Slim me regardait avec ses yeux brillants d’amour et de tendresse. Il me remerciait silencieusement pour le plaisir que je lui donnais, en entrant dans ses fantasmes. Deux fois de suite cette nuit, Slim honora la chatte et le cul de sa femme. Deux fois de suite, il lui donna des tonnes de plaisir en se transformant en Fayçal ; et en prit autant. Le lendemain, il partit au travail, comme à son habitude, vers huit heure trente. Je me levais, le cœur battant, sachant que ce matin là j’allais commettre l’irréparable : tromper mon mari pour de vrai. Coucher avec un autre homme dans notre chambre et sur notre lit conjugal. J’avais conscience que j’allais faire quelque chose d’interdit et d’immoral.
Mon cœur n’en battit que plus fort ! Le goût superbe de l’interdit ! A neuf heures tapantes, Fayçal sonna à la porte. J’ouvris, le pris par la main, le tirai rapidement à l’intérieur, refermai la porte et sautai sur mon homme. J’avais faim de lui. J’avais envie de le manger tout cru. J’attrapais sa tête et lui donnai un de ces baisers que nous avions l’habitude de nous échanger, quand nous étions ensemble. Rien, absolument rien n’avait changé ! La même ardeur ! La même passion ! Les mêmes langues qui se défiaient et se poursuivaient d’une bouche à l’autre ! La même quantité de salive qui passait de l’un à l’autre, que nous avalions avec délectation! La même difficulté à respirer, tant le baiser était torride et long !
Quand nous arrêtâmes de nous embrasser, parce qu’au bord de l’asphyxie, nous restâmes un moment à nous contempler, revivant inconsciemment nos amours passées. Et puis le désir revint, encore plus fort.
- Nique-moi, là debout contre la porte ! J’ai dit hier à mon mari que c’était comme cela que je voulais que tu me niques pour la première fois !
Il ne se fit pas répéter ma demande. Il m’attrapa par la taille, me souleva et me colla le dos contre la porte d’entrée. Je m’accrochai solidement à sa nuque et attendit la suite avec impatience. Il souleva ma jambe gauche en me tenant sous le genou. Il en profita pour me soulever de quelques centimètres pour mettre ma vulve au niveau de son pubis. Il ouvrit sa braguette avec sa main gauche, sortit le monstre qui s’y cachait et le plaça entre mes cuisses. Il venait de remarquer que je ne portais pas de culotte et cela le fit bander encore plus. Il plia légèrement les jambes pour placer son gland juste sous ma chatte et brusquement il me pénétra en force, faisant atteindre à son immense sexe le fond de ma cavité vaginale. J’avais l’impression d’avoir été pénétrée par un long tuyau, gros et dur, qui allait ressortir pas ma bouche.
Slim m’avait souvent niquée comme cela debout. Mais je n’avais encore jamais ressentie cette sensation de vagin pénétré complètement. Il me semblait que le zob de Fayçal avait atteint la limite de mon boyau. Et que s’il allait plus loin, il me déchirerait quelque chose. Il me faisait mal, en même temps qu’il me remplissait de plaisir. J’étais entrain de me dire que c’était cela que j’avais manqué pendant des années. Et que c’était une pimbêche qui profitait de ces séances de bonheur qui n’étaient dues qu’à moi seule. Ce que je ressentais dépassait tout ce que j’avais connu ; y compris avec Slim, mon merveilleux amour. Slim qui m’avait ouverte à l’érotisme le plus torride. Mais avec Fayçal c’était autre chose : le goût de l’interdit qui donnait encore plus de saveur à un plat - l’amour - qui en avait, naturellement, déjà beaucoup.
Je ne sais combien avait duré la séance, mais au bout d’un temps très long, pendant lequel, nous ressentîmes tous les deux le plaisir le plus parfait, nous eûmes, en même temps un orgasme tellement fort, qu’il nous fit tomber par terre. Fayçal avait éjaculé une tonne de foutre qui était retombé par terre en coulant le long de ma cuisse droite, mélangée à toute la cyprine que j’avais produite. Nous nous étalâmes par terre un moment, pour reprendre notre respiration et permettre à nos cœurs de reprendre leur rythme normal. Puis je susurrais à l’oreille de mon amant, ce que je voulais faire depuis le début : souiller la couche conjugale.
Il me semblait que tromper son mari dans la chambre et sur le lit même de leurs amours, était le summum du cocufiage. Je voulais atteindre ce summum. Au fond de moi, je ne savais pas pourquoi, je tenais tant que ça à me faire tirer dans la chambre et sur le lit conjugal. Peut-être parce qu’inconsciemment je pensais que c’était cela qui ferait le plus plaisir à Slim. Mais comme j’avais décidé de ne rien lui dire, une telle explication ne pouvait pas tenir debout. Mais, les choses étant ce qu’elles étaient, je me fichais absolument du pourquoi de la chose. Je voulais que Fayçal me nique sur le lit conjugal et il le fit !
Il le fit comme à son habitude, en force et sans précaution. Surtout qu’il avait décidé de m’enculer. Il me fit allonger sur le dos en travers du lit, me releva lui-même les jambes qu’il plia de part et d’autre de ma poitrine, enleva son pantalon, resta un moment le sexe brandi comme un glaive, à admirer mes deux orifices, se demandant probablement lequel des deux était le plus accueillant, puis se décida à poser le gland pointu de son engin sur l’anneau de mon anus. Il donna un fort coup de rein, qui fit pénétrer le gros zob jusqu’au fond de mon cul. Je sentis son pubis venir cogner sur mes fesses et arrêter la progression du manche. Que c’était bon ce zob qui occupait tout mon cul et qui allait et venait en limant très fortement la paroi de mon rectum ! Toute la force de Fayçal était dans cet engin ! C’était grâce à lui qu’il me possédait ! Qu’il était devenu mon maître !
- Tu as été souvent niqué par le cul ! Il est bien ouvert ! Mais il est tellement élastique que j’ai l’impression d’être son premier occupant ! J’aime t’enculer ! Dis-moi que toi aussi tu aimes le gros zob de Fayçal dans ton cul ! Dis-le ! Ça me fait bander encore plus !
- J’aime le zob de Fayçal dans mon cul ! Je l’aime partout ! Dans mon hatchoun ! Dans ma bouche ! Mais je l’aime surtout dans mon cul ! Dans mon cul ! Dans mon cul !
- Masturbe-toi pendant que je t’encule ! Fais-toi encore plus de bien ! J’aime sentir les doigts d’une femme qui farfouille dans sa chatte, pendant que la prend par derrière ! C’est une sensation merveilleuse ! Paradisiaque ! Continue comme ça ! Essaie d’attraper mon zob ! Oui, comme ça ! Je vais éjaculer ! Plus vite avec ta main !
Et pendant qu’il pilonnait mon cul à la hussarde et de plus en plus vite, je faisais faire à mes trois doigts qui étaient dans mon vagin des va-et-vient frénétiques et rapides qui ne tardèrent pas à m’emmener très haut vers les cimes du plaisir. Je sentis venir l’orgasme encore plus puissant que celui de tout à l’heure devant la porte. Il m’envahit d’un seul coup, me couvrant d’un épais voile de plaisir. Je hurlais que j’étais entrain de jouir ! Que c’était merveilleux de jouir comme cela ! Que son zob était un Diable, qui savait me posséder et me faire monter au septième ciel ! En réalité je crois que je n’avais prononcé que des bribes de phrases, complètement incompréhensibles pour celui qui les entendaient. Mais c’était ce que je voulais dire avec ces bribes de phrases : j’étais au firmament du bonheur et du plaisir ! Et je voulais que mon amant le sache ! Nous jouîmes une fois de plus comme des bêtes !
Fayçal, exténué et repus, tomba sur ma poitrine m’obligeant à rester dans la position que je tenais quand il pilonnait mon anus. J’accrochais sa nuque et lui caressais les cheveux avec tendresse et reconnaissance. Je lui étais en effet reconnaissante, pour tout le plaisir qu’il venait de me donner – et qu’il allait encore me donner, parce que j’étais décidée à le garder encore avec moi toute la journée – et de m’avoir fait rattraper tout ce que j’avais raté, il y a des années.
Nous nous séparâmes vers dix sept heures et, malheureusement, ne nous revîmes plus. Il repartit le lendemain matin pour Paris avec sa femme et laissa en moi un vide difficile à remplir. Quand Slim rentra de son travail, il me trouva un peu triste du départ définitif de Fayçal, mais ne me posa aucune question. Il devinait qu’il s’était passé quelque chose d’important durant la journée, mais attendait que cela soit moi qui en parlasse la première. Or j’avais décidé de ne pas en parler du tout. Craignant qu’il prenne mal la chose. Et puis les années ont passé et notre couple a évolué vers ce qu’il est aujourd’hui. Le secret n’a commencé à me peser que depuis que Slim m’a ouvertement autorisée à prendre mon pied partout où je le trouve, y compris auprès d’autres hommes. Il faut donc qu’il apprenne que l’avais déjà cocufié avant même qu’il ne m’autorise à le faire.
Et maintenant à toi de jouer. Ecris l’histoire et envoie-la-lui par mail. Je veux qu’il la lise et qu’il sache que c’est moi qui aie décidé de lui avouer ce que j’ai fait, il y a des années, derrière son dos. J’espère qu’il me pardonnera et surtout que cette histoire le fasse bander plus que de coutume et qu’il me montre qu’il m’a pardonné en me donnant encore plus de bonheur dans notre chambre et sur notre lit conjugal.
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En guise d’épilogue :
J’ai effectivement écrit l’histoire que j’ai envoyée à Slim à son adresse mail. J’en suis encore à attendre sa réaction, si réaction il y a. Je ne voudrai pas que le fait d’avoir rendu l’histoire publique, crée un problème au couple. Mais je pense que Slim a, depuis très longtemps, dépassé le genre de susceptibilité que craignait Warda.
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