Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode sept : l’histoire de Kamel
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode sept : l’histoire de Kamel
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode sept : l’histoire de Kamel
Warda continua, à l’instar de la grande Shéhérazade dont elle s’inspirait, l’histoire érotique extraordinaire du groupe qu’elle formait avec ses cinq autres compagnons – Aïcha, Emmy, Sofiane, Kamel et Slim. Après la fin de journée pleine de fortes sensations qu’ils venaient de vivre, ils décidèrent de passer la nuit ensemble et de se retrouver le lendemain pour continuer de plus belle leurs aventures érotiques.
Warda avait les yeux remplis d’étoiles en racontant. Je la sentais encore toute émoustillée à la seule évocation de ce qu’elle avait vécu et de l’intensité du plaisir qu’elle en avait pris. Sa voix avait parfois des trémolos qui trahissaient une très forte émotion, quand elle revivait en souvenirs les moments torrides qu’elle avait vécus et qui ne dataient pourtant que de quelques jours.
Je n’arrivais pas à analyser clairement les sentiments qui m’animaient en l’écoutant raconter. C’était un mélange d’admiration - parce que j’admirais franchement le courage et la volonté de ma Shéhérazade, de briser les tabous et de vivre pleinement sa vie sexuelle - et d’envie parce que plus je la regardais et plus je l’écoutais et plus elle me faisait bander. Je voulais la prendre dans mes bras, la serrer très fort, lui montrer mon désir et mon amour. Parce que j’étais vraiment tombé amoureux d’elle. Je ne me retenais que parce que j’avais peur d’être rejeté, moi qui ne répondait à aucun des critères qu’elle recherchait chez un homme : la jeunesse, la beauté et le membre, toujours brandi et infatigable, d’un étalon. J’étais conscient que je n’avais rien de tout cela et que je n’avais donc aucune chance de lui plaire un jour.
Je décidais encore une fois de rester dans mon coin et de me contenter de sa présence pendant les quelques courts moments où elle avait besoin de moi et où je lui étais vraiment utile: non pas pour lui donner du plaisir et lui faire atteindre le sommet de l’Olympe des amants, mais pour l’écouter me raconter les histoires érotiques qu’elle était entrain de vivre, les réécrire et les faire publier.
Voici donc, avec les mots mêmes de ma Shahrazade, la suite de l’histoire du groupe, le lendemain de leur première rencontre.
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Ce fut la première nuit que nous passâmes ensemble tous les six. A la suite des moments de folie que nous avions vécus en fin de journée, nous avions un immense besoin de nous reposer. Nous nous endormîmes donc comme des souches, après nous être rapidement douchés pour nous débarrasser de toute la sueur que nos corps avaient produite en quantité et des traces de sécrétions qui restaient encore sur nos peaux. Nous dormîmes à trois par chambre et par lit.
Je ne sais pas si ce fut un choix délibéré ou si c’était seulement le fruit du hasard, je me retrouvais dans le même lit que mon mari et Kamel, qui m’avaient mise entre eux. Sofiane, quant à lui, se retrouva dans l’autre chambre allongé entre les deux autres nanas – Emmy et Aïcha. Ni eux ni nous ne fîmes quoi que ce soit de toute la nuit. Nous étions trop fatigués et n’aspirions tous, qu’à un sommeil réparateur.
Au matin, encore dans les vapeurs du sommeil, je sentis mon mari se lever. C’était son habitude, quand nous ne travaillions pas, de se lever avant tout le monde pour préparer le petit déjeuner, sortir acheter les croissants et ramener l’ensemble au lit. Nous commencions toujours nos journées de repos comme cela : que l’on dorme en couple, en trio ou en quatuor. Et même maintenant, à six. Il prenait le temps de prendre un bain, de sortir en jogging faire les courses (acheter les croissants et tout ce qui pouvait manquer pour le petit déjeuner) préparer le ou les plateaux du petits déjeuner et ramener celui qu’il nous réservait, dans la chambre pour le déguster ensemble. Avec lui, c’était toujours le même rite. Ce matin là, il s’absenta de la chambre environ une heure. Quand il revint, le plateau du petit déjeuner dans ses mains, il me trouva entre les bras de Kamel, qui venait de me tirer deux fois de suite.
En se levant, Slim avait involontairement réveillé Kamel, qui mit quelques secondes pour se rappeler où il était et ce qu’il avait vécu la nuit précédente. Il me regarda dormir un moment, puis se rapprocha de moi et tira le drap qui me couvrait pour découvrir (redécouvrir serait le terme plus juste) ma nudité. En effet aucun de nous ne s’était rhabillé, ni même mis un pantalon de pyjama. Il fut immédiatement excité par l’image que je donnais, allongée sur le ventre, nue et endormie. Il promena une main sur mes fesses pour une très légère caresse, suffisante pour me réveiller et réveiller mes émois de femme qui devenait de plus en plus nymphomane. La petite caresse avait réveillée mes sens endormis. Je me retournais pour me mettre sur le dos et regarder ce qui se passait.
Je ne savais pas encore s’il s’agissait de Slim – il avait l’habitude de me réveiller ainsi tous les matins, en me caressant pour m’exciter et me faire l’amour – ou de Kamel, dont je me rappelais qu’il avait passé la nuit dans le même lit que nous. C’était Kamel, qui maintenant me souriait de toutes ses dents et qui vint me donner un baiser en me disant :
- Bonjour Warda ! Tu es toujours aussi superbe ! Peut-être même plus belle, comme cela, encore toute endormie et naturelle. Regarde dans quel état tu m’as mis, rien qu’en te regardant dormir toute nue.
Il me montra son long sexe, brandi comme un sabre menaçant, lisse, brillant, avec son énorme chapeau. Le petit émoi que j’avais ressenti, avec la main qui me caressait les fesses, se transforma subitement en un monumental désir de prendre le manche dans ma main et de l’amener vers ma chatte pour qu’il me transperce. La seule vue du monstre me transforma en femelle en chaleur à qui il fallait absolument sa dose de sexe. Il était à genoux sur le lit à côté de moi, mettant son engin à ma portée pour que j’en fasse ce que bon me semble.
Je tendis la main pour le saisir, et le tirer presque brutalement pour le mettre au niveau de ma bouche. Je voulais d’abord l’embrasser, pour lui dire combien il me plaisait. Je ne voulais pas de fellation (pas encore !), ni qu’il me baise par la bouche. Ce que je voulais, c’était seulement l’embrasser et le titiller avec mes lèvres et ma langue. Je voulais le lécher jusqu’aux couilles qui s’étaient contractées sous l’effet du désir, pour devenir une grosse bourse aussi dure que de la pierre. Le sexe de Kamel, était parfaitement entretenu, comme tout le reste de son corps : il n’y avait pas la moindre trace de poils sur la hampe, ni sur les couilles, ni même sur le pubis. Pas même ces petits points noirs sur le pubis qui indiquent que les poils étaient entrain de repousser. Rien de tout cela : il devait s’épiler régulièrement, comme les femmes s’épilaient, de manière à ce que les poils mettent le plus longtemps possible à repousser.
Kamel, en fait, s’épilait tout le corps, y compris les jambes et les bras. Seules les aisselles gardaient une petite touffe de poils. Il était vraiment beau ! Et son zob l’était encore plus pour moi ! Je me mis à promener ma bouche tout le long du manche, en léchant toute la hampe, les couilles et le gland. Ce gland là me fascinait littéralement, comme me fascinaient ceux de son frère et de son père Mohand : il ressemblait vraiment à une superbe tête de champignon (une amanite phalloïde !), mais en plus dur et plus doux. C’était une véritable machine pour mes fantasmes. J’ai toujours adoré les beaux zobs, bien gros, grands et forts. C’était pour moi les seuls capables de me donner du plaisir et de m’emmener au septième ciel.
Celui de Kamel était de ceux-là : un zob qui me remplissait complètement le vagin ou le cul et qui faisait très mal quand il pénétrait en n’importe lequel de mes trous. Un zob qui me limait le tunnel et qui me mettait en transe. Un zob dont je ressentais toute la force et qui restait en érection longtemps encore après m’avoir emmené au paradis. Un zob qui me disait à tout moment : « C’est moi le maître des lieux !» « C’est moi ton maître ! ». Jusque là je n’avais connu que de beaux engins : grands gros et puissants : celui de Slim en premier qui m’avait transporté de bonheur, et qui me transporte toujours ! Celui de Sofiane ! Celui de Mohand ! Et maintenant celui de Kamel ! Je me considérais comme une femme parfaitement satisfaite par la force et la puissance des sexes de ses hommes !
Et Kamel, ce matin là était entrain de présenter son magnifique zob devant ma bouche pour que je l’admire, le caresse, l’embrasse et le lèche. Ce que je fis sans retenue aucune. Mais maintenant je le voulais en moi. Je voulais sentir sa puissance dans mon vagin. Je voulais fermer les yeux et laisser mes sens à l’écoute des sensations que Kamel me procurerait en me baisant comme une bête. Je voulais être la pouliche qui accueillait la saillie de son étalon préféré. Je ne voulais pas le voir me pénétrer, ni le regarder entrer et sortir de ma chatte. Je voulais que ma jouissance ne se fasse que par la sensation tactile que me procurerait ce sexe qui allait s’occuper de ma vulve, qui allait me limer le vagin, qui allait me posséder et me montrer toute sa force et sa puissance.
Et c’était bien cela qui se passa. Sans que je ne lui demande rien, Kamel me retourna pour que je me retrouve à quatre pattes devant lui, souleva mes hanches pour les mettre au niveau de son pilon et me pénétra brusquement, sans aucune précaution. Je me sentais vraiment dans la position de la pouliche qui se faisait saillir par un étalon en rut. Il me tira avec la même force et la même puissance, y allant avec de larges mouvements de son bassin. Je sentais son monstre entrer en moi et labourer mes entrailles. Il me remplissait complètement le vagin, dont il limait avec force les parois. Je sentais ses mains puissantes s’accrocher à mes hanches, pour les maintenir en position et me tirer vers son pubis, pendant qu’il m’enfonçait son engin.
Il restait un moment au fond de mon vagin en tirant encore plus fort sur ses bras et puis ressortait totalement de ma chatte, pour prendre un élan plus grand et repartir au fond d’un mouvement brusque et puissant. A chaque fois, je poussais un cri de plaisir et de joie, pour lui monter que j’aimais quand il me l’enfonçait ainsi à la hussarde, sans se soucier de la douleur qu’il provoquait dans mon vagin. En fait, il aimait me faire mal, quand il m’enfonçait son engin. C’était comme cela, qu’il me montrait toute sa force et qu’il m’indiquait qu’il était le maître. Mon maître !
Au début, il me prenait en silence; à peine s’il gémissait et avait des petits han d’effort. Puis, petit à petit, ses gémissements se transformaient en petits cris qui accompagnaient les miens et devenaient les ahanements du bûcheron s’acharnant sur un arbre centenaire. Ces han d’homme des bois, ajoutés à la force de ses coups de boutoirs, produisaient sur moi un effet aphrodisiaque énorme. Mon désir ne faisait qu’augmenter et le plaisir qu’il me donnait de même. Je ne le voyais pas me posséder, mais je le sentais et j’adorais la puissance qu’il dégageait : la puissance de ses bras qui tiraient sur mes hanches, la puissance de son bassin qui poussait son engin et surtout la puissance de l’engin lui-même qui me remplissait la chatte, qui limait violemment les parois de mon vagin, qui se comportait en seul maître des lieux et qui tirait de moi des cris de plaisir de plus en plus forts.
Je ne savais plus où j’étais ; ni qui j’étais. Je n’étais plus que la femelle complètement soumise à son mâle ! La jument possédée par son étalon ! La lionne offerte à son lion ! Je n’arrivais plus à me contrôler ! J’étais complètement à mon plaisir ! Et seul lui comptait ! Je sentais que je n’arrivais plus à retenir les balancements saccadés de ma tête; ni le flot de salive qui coulait d’entre mes lèvres. Ni les mots et les phrase qui sortaient involontairement de ma bouche, pour dire mon plaisir et en demander encore plus.
- Oui ! Oui ! Oui ! Plus fort encore ! Plus fort ! Montre-moi la force de ton zob ! Dis-moi que c’est lui le maître de mon hatchoun ! Dis-moi qu’il aime me défoncer le hatchoun ! Dis-moi hatchoun ! Je veux entendre zob et hatchoun ! Dis-le ! Dis-le !
- Zob ! Hatchoun ! J’aime le hatchoun ! J’adore ton hatchoun ! Hatchoun !
J’étais au paradis ! Mon amant me tirait en force et me disait des mots qui avaient sur moi un énorme effet aphrodisiaque. Je sentais que je n’allais pas tarder à avoir un immense orgasme. Je voulais pourtant que la séance dure encore une éternité; que le zob de Kamel reste dans ma chatte et que celle-ci devienne sa maison. Je voulais qu’il continue son œuvre de défonce. Qu’il continue à me faire mal à chaque pénétration. Mais je ne pus me retenir plus longtemps. Je partis dans un long râle de jouissance, que tout le bâtiment avait dû entendre et me mis à décharger violemment.
Kamel derrière moi en était aussi au même niveau. Il ne hurla pas comme moi, mais en poussant un dernier han de bûcheron, il s’accrocha encore plus fermement à mes hanches et intensifia le rythme de ses va-et-vient dans ma chatte. Il arrêta sa respiration et éjacula, dans une sorte de long sifflement qui provenait du fond de sa poitrine, en une seule et longue fois, tout le sperme qu’il avait emmagasiné durant la nuit. Il reprit le mouvement de pilonnage de ma vulve et fit sortir tout le foutre qu’il venait de déverser, mélangé aux quantités exceptionnelles de cyprine qu’avait sécrétées mon vagin.
Fourbu, il s’affala sur mon dos en gardant son sexe encore raide dans ma chatte. Je ne voulais pas qu’il sorte de là ! Je voulais qu’il recommence à me tirer dès que lui et moi aurions repris notre souffle. J’avais encore envie de lui ! Je commençais à penser que j’étais entrain de devenir une vraie nymphomane. Je m’allongeais sur le ventre, en prenant bien soin de garder le monstre de Kamel enfoncé dans mon vagin. Je voulais garder la sensation de ma chatte pleine d’un magnifique zob. J’avais l’impression que s’il quittait les lieux, je serais amputée de quelque chose de vital pour moi. Au bout de quelques minutes, dans cette position, je me mis à bouger les hanches pour lui faire comprendre que j’en voulais encore.
Kamel ne se fit pas prier pour recommencer. Il agissait comme un véritable étalon, toujours en rut. Kamel que j’avais vu se faire tirer par Slim et y prendre un plaisir fou, était redevenu avec moi un homme, un vrai ! Il avait un vrai désir pour moi et me tirait avec force et plaisir. Je sentais son merveilleux gourdin me limer et me bruler le vagin. Il y allait franchement, comme un taureau qui montait sa génisse. Je me retenais de crier, ne voulant pas en rajouter sur mes hurlements de tantôt et ne voulant pas réveiller l’autre groupe, que je croyais encore endormis. Pourtant, j’avais vraiment envie de hurler mon plaisir. J’avais envie de lui crier de continuer à me baiser comme cela ! Comme un Homme ! Comme mon Homme ! Comme un étalon ! Comme un taureau ! Ce matin là c’était lui mon taureau ! Il fit tant et si bien que je ne pus m’empêcher de pousser un long cri de joie, quand je sentis arriver l’orgasme et que je le vis lui aussi lâcher son foutre en moi en gémissant doucement et en bavant sur moi. Il s’écroula sur mon dos. Je me retournais pour le prendre dans mes bras, l’embrasser tendrement pour le remercier du bonheur qu’il venait de me donner. Nous restâmes ainsi de longues minutes.
C’est dans cette position que Slim, dont nous avions oublié jusqu’à l’existence pendant ces magnifiques moments, nous surprit, les bras chargés d’un immense plateau contenant notre petit déjeuner.
- Il est doué le petit ! me fit-il en venant m’embrasser sur la bouche. C’est autant un bel homme, qu’une superbe femme ! Il est comme Emmy, un vrai bisexuel ! C’est d’ailleurs pour cela qu’ils se sont choisis et qu’ils s’aiment autant !
- Tu veux dire que tu le considère comme une femme ? Que c’est une femme que tu as baisée la nuit dernière ?
- Oui ! Et que je vais encore baiser ce matin ! Après si tu veux, tu pourras lui demander comment il a découvert sa bisexualité et comment, il a perdu sa virginité anale à dix neuf ans. Mais avant cela, il faut nous sustenter ; nous avons besoin de manger pour reprendre toutes les forces que nous avons perdues depuis hier.
Kamel, qui semblait très heureux du retour de Slim et de son petit discours introductif, s’assit sagement, adossé contre le bois de la partie haute du lit, en se couvrant les jambes avec le drap. Je m’assis à côté de lui, sans trop me soucier de ma nudité et Slim s’assit au bas du lit en déposant le plateau au milieu. Nous mangeâmes tous les trois avec appétit et en silence. Chacun de nous réfléchissait à quelque chose. Je ne savais pas à quoi pensaient mes deux compagnons, mais moi je réfléchissais à ce qu’avait dit Slim au sujet de la bisexualité de Kamel. Il aimait autant tirer les femmes, que se faire tirer pas des hommes. Cela me semblait bizarre. Je ne faisais pas la relation avec moi et mes deux amantes – Emmy et Aïcha – qui étions exactement dans la même position que lui : nous aimons les hommes et en même temps nous trouvons aussi beaucoup de bonheur entre femmes. Mais dans ma tête, ce qui était normal pour nous les femmes, ne pouvait pas l’être pour un homme. Un homme ne pouvait être que viril ou efféminé. Il ne pouvait pas être les deux à la fois.
Et pourtant c’était bien de cela qu’il s’agissait : Kamel était en même temps un étalon qui se comportait en étalon avec les femmes – et il me l’avait prouvé à plusieurs reprises – et une femelle – pouliche pour garder l’image du couple équin – qui trouvait son bonheur dans les coups de boutoir de son mâle. Il allait encore me le prouver, juste après avoir avalé le petit déjeuner. Slim, que je soupçonne d’avoir fait exprès d’avoir abordé le sujet de bisexualité de Kamel rien que pour m’en apporter la démonstration, se mit à l’entreprendre à sa manière habituelle: brutalement et sans préliminaires.
Il retira le drap qui cachait l’intimité de son ami, le tira par une jambe pour l’amener vers lui, l’obligea à se retourner pour lui présenter sa croupe, lui souleva les hanches pour les mettre à hauteur de son pubis à lui. Il sortit alors son gros engin du pantalon de jogging qu’il portait et, sans autre forme de procès, enfila le cul de Kamel. Ce dernier poussa un petit cri qui semblait signifier qu’il avait eu mal, mais Slim ne s’en préoccupa aucunement. Il continua à le tirer comme cela, en force et sans précaution, en gémissant doucement de plaisir. Il prenait visiblement du plaisir dans le cul de Kamel. Ce dernier aussi commençait à montrer qu’il aimait être possédé ainsi. Il ne disait rien; il ne poussait pas des cris de plaisir; c’était à peine s’il gémissait doucement, de manière presque imperceptible; comme s’il avait honte de montrer son plaisir devant moi.
Mais à la manière dont il bougeait ses hanches pour être au diapason des coups de boutoir de son amant, à son sexe qui bandait et frémissait et qu’il tenait dans sa main et aussi à la manière dont sa bouche lâchait des filets de salive, je compris très vite qu’il prenait un énorme plaisir à se faire tirer comme cela. Slim me regardait avec ses yeux moqueurs, pour bien me montrer que c’était lui qui avait raison. Comme toujours d’ailleurs ! Le spectacle ne dura pas très longtemps. Ils jouirent en même temps : Slim déversant son sperme à l’intérieur du cul de Kamel et celui-ci se masturba frénétiquement pour éjaculer le peu de sperme qui lui restait, après les séances qu’il avait eues avec moi.
Ils s’affalèrent tous les deux sur le lit, allongé sur le ventre l’un à côté de l’autre. Slim souleva son torse et s’appuya sur les coudes, regarda son ami et lui dit :
- Raconte à Warda comment tu as compris que tu aimais autant les hommes que les femmes. Raconte-lui ta première expérience homosexuelle.
Kamel rougit un peu en me regardant par en dessous. Il n’avait pas encore le courage de me regarder droit dans les yeux. Comme s’il avait peur du jugement négatif que je pouvais avoir à son encontre. Puis comme mu par le désir de s’expliquer et de se dédouaner à mes yeux, il commença le récit que voici :
«En deux mots, voilà ce qui m’est arrivé. Jusqu’à dix neuf ans j’étais un garçon normal. J’aimais exclusivement les filles et j’avais même beaucoup de succès auprès de la gent féminine. Les filles me trouvaient beau et beaucoup d’entre elles voulaient « me croquer ». J’avais une vie sexuelle équilibrée et baisait assez souvent. J’avais comme maîtresse régulière, la femme de ménage de ma mère, qui venait toutes les matinées s’occuper de la maison où nous vivions, maman et moi.
C’était une belle africaine qui devait avoir à cette époque quarante ans, divorcée de son mari, reparti vivre au Mali, son pays d’origine. Elle ne voulait absolument pas l’accompagner, vu le mode de vie rétrograde qu’elle savait y trouver. Elle était chez nous depuis environ deux ans, quand subitement je m’étais découvert une passion pour son immense poitrine et ses énormes fesses, haut perchées. J’avais essayé de lui faire l’amour à plusieurs reprises sans y réussir. Elle avait toujours refusé de coucher, par fierté, avec le fils de la patronne. Et puis un jour, elle céda à mes harcèlements devenus quotidiens. Peut-être parce que ce jour là j’avais insisté plus que d’habitude, peut-être qu’elle avait vu le devant de mon pantalon devenu énorme et qu’elle était en manque de beau zob; peut-être qu’elle aussi me trouvait beau; toujours est-il que depuis, elle était devenue ma maîtresse attitrée et qu’elle m’avait enseigné tout ce que je sais sur le sexe. Elle était magnifiquement chaude et aimait faire l’amour, de manière libre et naturelle.
Elle avait un fils, Patrice, qui avait mon âge et qui était dans la même classe de lycée que moi. Nous étions amis. Il ne savait pas pour sa maman et moi. Il était tout en puissance, bâti comme une armoire à glace. Il avait les traits africains, mais pas trop prononcés, en dehors de sa couleur de peau d’un noir d’ébène, et de ses grosses lèvres charnues et avancées. J’aimais beaucoup sa compagnie et lui aussi aimait la mienne. Nous avions un troisième ami, Jean Michel, un breton originaire de la ville de Brest, qui était en fait plus particulièrement l’ami de Patrice, qu’il suivait partout comme un toutou. Il était aussi dans la même classe que nous.
Nous eûmes notre baccalauréat ensemble, et partîmes fêter cela en organisant une randonnée pédestre dans la montagne des Vosges. Ce fut au cours de cette randonnée que la chose arriva. En bivouac, la nuit, nous allumions un feu de camp au bord d’un point d’eau et l’on dinait (de conserves) en discutant et plaisantant sur tous les domaines de la vie. La deuxième nuit, la discussion porta plus particulièrement sur le sexe; sur les envies, sur les érections des uns et des autres, sur nos préférences sexuelles, sur la longueur et la grosseur de nos sexes. Patrice subitement nous dit qu’il était en rut et qu’il avait envie de se faire masturber. Je vis le visage de Jean Michel - Mimi - s’illuminer, comme s’il attendait cela depuis longtemps.
Il sortit l’immense queue de Patrice – beaucoup plus longue et grosse que la mienne, qui était pourtant d’une bonne taille – et se mit à le masturber. Il sortit sa propre queue – beaucoup plus normale et me demanda de le masturber. J’étais abasourdi par la tournure que prenaient les évènements. Surtout que Patrice se tourna vers moi et se mit à me caresser le sexe sous le pantalon.
- Sors-le ! ordonna-t-il d’une voix qui n’admettait pas de réplique.
Je sortis donc mon zob que l’immense paluche de Patrice se mit à caresser avec douceur, jusqu’à ce que je me mette à bander comme un bouc. Je pris moi-même la queue de Mimi et tous les trois nous entreprîmes de nous administrer une masturbation mutuelle. Je bandais beaucoup et étais très excité. Je ne disais rien; parce que je ne savais pas quoi dire. Mimi et Patrice avait d’évidence l’habitude de se faire plaisir mutuellement. Ce qui me fascinait surtout, c’était le regard de chien fidèle que Mimi portait sur Patrice. Je venais de découvrir qu’il en était amoureux ! Vraiment amoureux ! Comme une fille pouvait être amoureuse d’un beau garçon. La lumière se fit subitement dans ma tête : Patrice et Mimi étaient un couple homo.
Je connaissais bien Patrice et je connaissais une grande partie de ses conquêtes féminines. Il y avait les filles du lycée, noires pour la plupart, qui se crêpaient le chignon pour lui. Mais il y avait surtout, la grosse boulangère qui en pinçait pour lui et qu’il tirait les après-midi dans l’arrière boutique. Il me racontait souvent tout ce qu’ils faisaient ensemble. Il ne me semblait pas qu’il se vantait, quand il disait qu’il faisait grimper sa maîtresse aux rideaux et qu’elle était folle de sa queue. Je ne pouvais donc pas imaginer qu’il pouvait aussi aimer les garçons.
A un moment, Mimi s’arrêta de branler Patrice et défit complètement son pantalon qu’il enleva, il resta en slip, regardant son ami avec des yeux suppliants. Il lui demandait silencieusement de l’entreprendre. Mais Patrice ne fit rien. Il continuait de me caresser le sexe avec savoir-faire, tirant de moi des gémissements de plaisir. Et puis tout bascula. Il enleva sa main de mon sexe, se leva et dit d’une voix forte :
- C’est Kamel que je vais sodomiser cette nuit !
C’était comme si le ciel venait de me tomber sur la tête. Patrice, mon ami Patrice, voulait me sodomiser, alors qu’il savait pertinemment que j’étais un hétéro intégral. Il n’était pas question, bien sûr que je me laisse faire. Mais au lieu de me lever et de prendre mes jambes à mon cou; ou alors de m’opposer physiquement à lui pour marquer mon refus, je restais là assis, ne disant rien et ne faisant rien. Quelque chose de plus fort que moi me retenait; m’empêchait de m’enfuir. Il vint se mettre à genoux derrière moi pour m’envelopper de tout son corps. Il était plus grand et plus large que moi. Je sentais toute la force qu’il dégageait. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque.
Ses immenses bras me serraient très fort et une de ses mains se mit à me caresser la poitrine. Je ne portais qu’un léger tee-shirt et je sentais toute la douceur de ses caresses, en complète antinomie avec la force de ses mains. Je commençais à ressentir une sensation que je ne connaissais pas encore. Une douce chaleur s’insinuait dans mon corps, venait s’installer au niveau de mon bas ventre et irradier en cercles concentriques à l’intérieur de tous mes viscères. Je sentais mon sexe s’émouvoir et se réveiller. Et surtout, sensation complètement inconnue jusque là, je sentais mon anus palpiter.
- Je vais t’enculer et tu en ressentiras du plaisir ! Et même si tu résistes, ce sera la même chose ! Laisse-moi faire, tu verras que tu aimeras !
Il me parlait à l’oreille tout doucement. Sa voix était douce et chaude. Et convaincante ! Paradoxalement, j’étais très calme. Serein même. Comme s’il ne s’agissait pas de moi. Je le sentis qui me relevait pour me mettre debout, son corps enveloppant toujours le mien. Ses mains se mirent à défaire le ceinturon de mon jean et dégrafèrent le bouton qui retenait le pantalon. Il s’éloigna de quelques centimètres et rabaissa complètement le jean sur mes chevilles. Il entraîna en même temps le slip. Je me retrouvais les fesses et le sexe en l’air. Je ne ressentais aucune honte, ni aucune gêne. J’étais dans l’attente de ce qui allait suivre. J’étais même impatient de découvrir la suite.
Il posa sa main droite sur une de mes fesses et la caressa avec douceur. Je sentais la chaleur qu’elle me communiquait et qui faisait palpiter encore plus fort mon anus. Je voulais sentir cette main écarter mes fesses et s’emparer de mon anus. Je bandais comme un âne, en attendant qu’un doigt pénètre à l’intérieur de mon cul, pour éteindre le feu qui commençait à me consumer de l’intérieur. Et quand le doigt, gros et long, de Patrice entra dans le tunnel, sans précaution, je ressentis, en même temps que de la douleur, comme une sensation de fraicheur qui venait s’appliquer sur mon cul en chaleur. Je poussais un petit cri, dont je ne savais pas s’il était de douleur ou de plaisir.
Patrice farfouilla longuement dans mon boyau, cherchant à élargir le trou. Il comprenait que j’éprouvais du plaisir à être ainsi labouré par son doigt. Il s’arrêta brusquement me prit par la taille, me plia en deux, m’obligeant à me remettre à genoux. D’une main, il appuya sur mon épaule droite pour m’indiquer qu’il fallait que je me mette à quatre pattes. J’obéis à la pression et me retrouvai les hanches relevées et les fesses offertes. J’attendais qu’il me pénètre comme cela, à sec en me faisant atrocement mal. J’attendais cette pénétration presque avec impatience. Elle ne vint pas tout de suite.
- Mimi, ramène la vaseline et viens en enduire le cul de Kamel ! commanda-t-il d’une voix forte.
Jean Michel, qui était toujours cul nu, s’empressa d’obéir, en ouvrant la boite qu’il tenait en main et en y plongeant deux doigts pour y ramasser une grosse noix de vaseline. Il vint derrière moi et je sentis les deux doigts enduire mon anneau d’une graisse froide. Les doigts furent très rapidement remplacés par l’immense gland de l’immense zob de Patrice, qui ne tarda pas à donner une forte poussée à son bassin pour le faire pénétrer tout entier, en une seule fois, à l’intérieur de mon rectum. Je sentis mon anneau céder sous la très forte pression du zob et une douleur atroce m’envahir. Je poussais un énorme hurlement et essayais de retirer mon cul pour que l’engin en sorte. Peine perdue; les énormes mains de Patrice me tenaient comme un étau. Il m’était impossible de me libérer. Il commença immédiatement un mouvement forcené de va-et-vient dans mon cul, sans tenir compte de la douleur qu’il provoquait, ni de mes cris. Au bout d’un court moment, mes cris cessèrent. A la douleur toujours présente, venait maintenant se mélanger une agréable sensation de chaleur, créée par cet énorme zob qui rabotait mon cul et qui le remplissait en entier.
Je crois que c’est avant tout cette sensation de cul plein du zob de Patrice, qui m’avait plu. Une sensation étrange, douloureuse et agréable en même temps. Et puis ces allers-retours en force du gros zob, qui commençait son voyage juste à l’entrée de l’anus pour ne le finir qu’au moment où le bas ventre de mon amant cognait sur mes fesses, créait une autre sensation toute aussi agréable : celle du gland de l’immense zob qui limait furieusement la paroi de mon rectum et y mettait le feu. Un feu qui ne brulait pas, mais qui réchauffait tout mon cul et qu’au fond de moi, je voulais garder éternellement. Et il y avait la sensation de mon cul complètement rempli par ce gros sexe, qui en avait fait son nid, sa maison et d’où je ne voulais pas qu’il sorte.
Quand Patrice éjacula en moi, un sperme abondant, épais, visqueux et plus brulant encore que les frottements, je ressentis comme du bonheur. Le gros zob qui me limait allait et venait maintenant plus facilement avec le sperme comme lubrifiant, qui ajoutait de la douceur à la force de tantôt. Je sentais tout le foutre s’échapper de mon cul et s’écouler en dehors sur les couilles de mon amant et sur les miennes. Mon sexe à moi était encore en érection, je voulais moi aussi jouir et je ne pouvais le faire qu’en éjaculant. Je le pris dans la main droite et me mis à le branler. Patrice qui me voyait faire et qui était encore complètement enfoncé en moi, appela Mimi pour lui ordonner de me sucer, pendant que lui restait encore dans mon cul. Mimi se mit presque à plat ventre devant moi et me fit une belle fellation qui me fit éjaculer une quantité impressionnante de sperme dans sa bouche et sur son visage. Il en avala une partie et recracha une autre.
C’est comme cela que j’appris que j’étais bisexuel. Mais jusque là je ne m’étais fait enculer que par Patrice. Mon deuxième amant a été Slim. Avec Patrice, nous avons continué longtemps ensemble. Maintenant encore, nous partageons toutes nos amours: mes femmes sont les siennes et ses femmes sont les miennes. Le seul problème avec Patrice, c’est que lui est un actif intégral: jamais il n’avait accepté de se faire enculer ; même pas par moi, qui avais voulu un jour essayer et qui essuya un refus catégorique. Il aimait beaucoup baiser des garçons mais aucun garçon ne peut se targuer de l’avoir jamais baisé. Notre ami Mimi avait fini par s’en aller à Los Angeles aux Etats-Unis, parce qu’il jugeait qu’il avait perdu son grand amour, qui ne s’occupait plus de lui que par intermittences et qu’il pensait trouver en Californie l’amour, ou les amours, de sa vie.
J’ai découvert autre chose, chez Patrice qui l’avait encore plus rapproché de moi : il était depuis longtemps – depuis l’âge de dix-huit ans, l’amant de ma mère. Il ne me l’avait jamais avoué, comme moi, je ne lui avais jamais avoué que je couchais avec sa mère, à lui. Quand nous l’avouâmes mutuellement, cela nous avait plus rapprochés, qu’éloignés. Bien sûr nos mères ne surent jamais que nous étions au courant de leurs turpitudes avec nous (C’était plus grave pour maman, qui était mariée et – semble-t-il, bien mariée – mais qui ne pouvait absolument plus se passer de l’immense engin de Patrice, dont elle était devenue réellement l’esclave).
Et puis, Patrice, qui était devenu un vrai champion de karaté, s’engagea dans une agence de gardes du corps spécialisée dans l’escorte des peoples et moi j’étais devenu mannequin. Nous gagnons bien notre vie et continuons à nous voir et à partager nos expériences amoureuses. Actuellement c’est Emmy que nous nous partageons. Elle aime autant Patrice que moi et est, elle-aussi, devenue complètement accro du monstre qu’il porte entre ses cuisses.
- J’aimerai bien connaître ce monstre ! ne pus-je m’empêcher de proclamer.
- Quand tu veux, ma belle ! répondit Kamel, avec son beau sourire ! Je connais Patrice, il ne saura pas résister à ton charme ! Ni toi au sien !
Et depuis, le gros zob de Patrice hanta mes nuits. J’en faisais part à Slim, qui en rigolait franchement, mais qui réfléchissait sérieusement à un voyage pour moi à Paris, pour faire la connaissance de Patrice et de son énorme sexe.
Nous fûmes rejoints par le trio qui avait passé la nuit dans l’autre chambre, avec à sa tête, magnifique dans sa nudité la superbe Emmy. Elle vint sauter sur moi pour m’embraser et me dire que je lui avais manqué et qu’elle était jalouse des cris de plaisir que je poussais tantôt. Le trio ne dormait donc pas ! Ils s’étaient réveillés presque en même temps que nous et passèrent le temps à se bécoter et, pour les filles, à s’occuper à titiller l’engin de Sofiane et à se faire tirer par lui. Emmy me dit que ce matin, elle avait été sodomisée deux fois de suite et qu’elle avait bouffé deux fois de suite la chatte de Aïcha.
- Et j’ai encore envie de baiser ! Je veux baiser avec mon Kamel qui ne m’a pas encore entreprise depuis que nous sommes arrivés. Je ne veux pas qu’il oublie que je suis sa fiancée et que j’ai des droits sur lui ! Montre-moi ton zob que je le réveille ! Je sais que Warda t’a mis sur les jantes et qu’il me faudra beaucoup de savoir-faire pour te faire encore bander ! Mais je relève le défi !
En fait, il ne fallut que quelques secondes à Emmy pour arriver à ses fins. Kamel, que l’histoire qu’il venait de nous raconter avait émoustillé (probablement le souvenir de la taille et de la force du zob de son ami), banda très fort sous les coups de langue de sa fiancée. Il était toujours allongé sur le dos et se laissait tripoter en souriant. Quand Emmy jugea que le monstre était à point, elle se mit à califourchon sur les cuisses de Kamel et s’empala farouchement sur le beau zob, dressé comme un dard vers le plafond. On aurait dit une amazone chevauchant un étalon sauvage, tellement elle y mettait d’énergie. Je regardais son visage dont les muscles étaient tirés par l’effort qu’elle faisait et ses yeux qui brillaient en me regardant. Elle me souriait, m’invitant en silence à m’approcher d’elle et à la caresser.
Je me rapprochais du couple qui copulait en gémissant fortement et me mit à caresser la merveilleuse poitrine de l’eurasienne. Cette douceur de peau ! J’avais oublié combien elle avait la peau lisse, ferme et douce. Et électrifiée ! C’étaient de véritables petites décharges électriques que mes mains recevaient, au contact des seins fermes et tendus, comme des obus de canon. Elle me regardait toujours dans les yeux, avec sur ses lèvres un sourire de bonheur. Elle continuait à chevaucher furieusement son homme, en laissant couler un fin filet de salive de la commissure de ses lèvres. J’allais cueillir cette salive, que je bus avec délectation, tout en l’embrassant au passage sur la bouche.
Ce fut le moment que choisit Slim, toujours aussi imprévisible, pour venir entreprendre les fesses de la fille. Il faut dire qu’il était au bas du lit et avait une vue imprenable sur le cul d’Emmy. Mon mari avait toujours été incapable de résister à l’appel d’un beau cul. Celui de la femme devant lui, lui criait de le pilonner. Il ne se fit pas prier et y alla, à la hussarde, comme à son habitude. Emmy poussa un petit cri mêlant douleur et plaisir, se retourna pour voir à qui appartenait l’engin qui la pénétrait, envoya un sourire lumineux à Slim et recommença sa chevauchée fantastique.
Le spectacle que faisait les trois corps enchevêtrés – plus le mien qui n’était pas entremêlé au leurs, mais qui participait à la scène par des caresses sur la belle amazone – était du meilleur effet. D’un érotisme super ! J’aurai aimé que le spectacle fût filmé, pour que nous puissions le regarder à notre aise plus tard. Emmy était au paradis, avec les deux merveilleux sexes enfoncés en elle; qui lui remplissaient ses deux trous; qui se croisaient en elle et se frottaient l’un à l’autre; qui lui procuraient de magnifiques sensation de vertige et l’amenaient au bord de l’évanouissement; qui allaient lui faire avoir un superbe orgasme. Elle cria très fort et déchargea sur Kamel une forte quantité de jus qui vint s’écouler sur les couilles de l’homme. Elle était fatiguée et vint poser sa tête sur la poitrine de son fiancé, tout en laissant ce dernier continuer à la tirer pour avoir lui aussi sa part d’orgasme.
Slim, quant à lui continuait imperturbablement à pilonner le cul de l’eurasienne. Je voyais qu’il y prenait un plaisir fou. Il gémissait doucement et tirait de plus en plus fort sur ses bras. Je voyais qu’il n’était plus avec nous : il avait les yeux injectés de sang. Il regardait son gros zob entrer et sortir d’entre les fesses de la belle et en bavait d’excitation et de désir. Le spectacle le faisait pâmer. Je vis qu’il avait arrêté sa respiration et serré les mâchoires et je sus immédiatement qu’il allait jouir. Et il jouit en silence comme à son habitude, en éjaculant encore beaucoup de sperme, alors que je pensais qu’il ne lui en restait plus, après la séance qu’il avait eue tantôt avec Kamel. Kamel, lui eut une jouissance plus petite que les deux autres, mais semblait très heureux de ce qui venait de se passer.
Et devinez ce que Slim fit juste après avoir sorti son zob ramolli du cul d’Emmy ! Il me fit signe de m’approcher et de m’occuper de le lui nettoyer avec ma bouche. Et devinez ce que je fis ! J’appelais Emmy pour que nous occupions de nettoyer le membre de Slim avec nos deux bouches. Et devinez ce que nous ressentîmes ! Un bonheur immense d’être ensemble; de nous aimer à six et de prendre pleinement notre pied. Nous souhaitions tous les six que le temps s’arrêtât et pour que nous restions ainsi toute l’éternité.
Bien sûr le temps ne s’arrêta pas et notre groupe dut se séparer quelques jours plus tard : Kamel et Emmy repartirent chez eux en France, laissant en nous un immense vide. Nous reprîmes notre vie à quatre et continuâmes à nous aimer comme au premier jour. Quelques temps après le départ du couple, Mohand, le père de Sofiane se manifesta, réclamant le retour de sa femme à la maison. Mais en plus il réclamait ma présence !
Mais ceci est une autre histoire………
Episode sept : l’histoire de Kamel
Warda continua, à l’instar de la grande Shéhérazade dont elle s’inspirait, l’histoire érotique extraordinaire du groupe qu’elle formait avec ses cinq autres compagnons – Aïcha, Emmy, Sofiane, Kamel et Slim. Après la fin de journée pleine de fortes sensations qu’ils venaient de vivre, ils décidèrent de passer la nuit ensemble et de se retrouver le lendemain pour continuer de plus belle leurs aventures érotiques.
Warda avait les yeux remplis d’étoiles en racontant. Je la sentais encore toute émoustillée à la seule évocation de ce qu’elle avait vécu et de l’intensité du plaisir qu’elle en avait pris. Sa voix avait parfois des trémolos qui trahissaient une très forte émotion, quand elle revivait en souvenirs les moments torrides qu’elle avait vécus et qui ne dataient pourtant que de quelques jours.
Je n’arrivais pas à analyser clairement les sentiments qui m’animaient en l’écoutant raconter. C’était un mélange d’admiration - parce que j’admirais franchement le courage et la volonté de ma Shéhérazade, de briser les tabous et de vivre pleinement sa vie sexuelle - et d’envie parce que plus je la regardais et plus je l’écoutais et plus elle me faisait bander. Je voulais la prendre dans mes bras, la serrer très fort, lui montrer mon désir et mon amour. Parce que j’étais vraiment tombé amoureux d’elle. Je ne me retenais que parce que j’avais peur d’être rejeté, moi qui ne répondait à aucun des critères qu’elle recherchait chez un homme : la jeunesse, la beauté et le membre, toujours brandi et infatigable, d’un étalon. J’étais conscient que je n’avais rien de tout cela et que je n’avais donc aucune chance de lui plaire un jour.
Je décidais encore une fois de rester dans mon coin et de me contenter de sa présence pendant les quelques courts moments où elle avait besoin de moi et où je lui étais vraiment utile: non pas pour lui donner du plaisir et lui faire atteindre le sommet de l’Olympe des amants, mais pour l’écouter me raconter les histoires érotiques qu’elle était entrain de vivre, les réécrire et les faire publier.
Voici donc, avec les mots mêmes de ma Shahrazade, la suite de l’histoire du groupe, le lendemain de leur première rencontre.
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Ce fut la première nuit que nous passâmes ensemble tous les six. A la suite des moments de folie que nous avions vécus en fin de journée, nous avions un immense besoin de nous reposer. Nous nous endormîmes donc comme des souches, après nous être rapidement douchés pour nous débarrasser de toute la sueur que nos corps avaient produite en quantité et des traces de sécrétions qui restaient encore sur nos peaux. Nous dormîmes à trois par chambre et par lit.
Je ne sais pas si ce fut un choix délibéré ou si c’était seulement le fruit du hasard, je me retrouvais dans le même lit que mon mari et Kamel, qui m’avaient mise entre eux. Sofiane, quant à lui, se retrouva dans l’autre chambre allongé entre les deux autres nanas – Emmy et Aïcha. Ni eux ni nous ne fîmes quoi que ce soit de toute la nuit. Nous étions trop fatigués et n’aspirions tous, qu’à un sommeil réparateur.
Au matin, encore dans les vapeurs du sommeil, je sentis mon mari se lever. C’était son habitude, quand nous ne travaillions pas, de se lever avant tout le monde pour préparer le petit déjeuner, sortir acheter les croissants et ramener l’ensemble au lit. Nous commencions toujours nos journées de repos comme cela : que l’on dorme en couple, en trio ou en quatuor. Et même maintenant, à six. Il prenait le temps de prendre un bain, de sortir en jogging faire les courses (acheter les croissants et tout ce qui pouvait manquer pour le petit déjeuner) préparer le ou les plateaux du petits déjeuner et ramener celui qu’il nous réservait, dans la chambre pour le déguster ensemble. Avec lui, c’était toujours le même rite. Ce matin là, il s’absenta de la chambre environ une heure. Quand il revint, le plateau du petit déjeuner dans ses mains, il me trouva entre les bras de Kamel, qui venait de me tirer deux fois de suite.
En se levant, Slim avait involontairement réveillé Kamel, qui mit quelques secondes pour se rappeler où il était et ce qu’il avait vécu la nuit précédente. Il me regarda dormir un moment, puis se rapprocha de moi et tira le drap qui me couvrait pour découvrir (redécouvrir serait le terme plus juste) ma nudité. En effet aucun de nous ne s’était rhabillé, ni même mis un pantalon de pyjama. Il fut immédiatement excité par l’image que je donnais, allongée sur le ventre, nue et endormie. Il promena une main sur mes fesses pour une très légère caresse, suffisante pour me réveiller et réveiller mes émois de femme qui devenait de plus en plus nymphomane. La petite caresse avait réveillée mes sens endormis. Je me retournais pour me mettre sur le dos et regarder ce qui se passait.
Je ne savais pas encore s’il s’agissait de Slim – il avait l’habitude de me réveiller ainsi tous les matins, en me caressant pour m’exciter et me faire l’amour – ou de Kamel, dont je me rappelais qu’il avait passé la nuit dans le même lit que nous. C’était Kamel, qui maintenant me souriait de toutes ses dents et qui vint me donner un baiser en me disant :
- Bonjour Warda ! Tu es toujours aussi superbe ! Peut-être même plus belle, comme cela, encore toute endormie et naturelle. Regarde dans quel état tu m’as mis, rien qu’en te regardant dormir toute nue.
Il me montra son long sexe, brandi comme un sabre menaçant, lisse, brillant, avec son énorme chapeau. Le petit émoi que j’avais ressenti, avec la main qui me caressait les fesses, se transforma subitement en un monumental désir de prendre le manche dans ma main et de l’amener vers ma chatte pour qu’il me transperce. La seule vue du monstre me transforma en femelle en chaleur à qui il fallait absolument sa dose de sexe. Il était à genoux sur le lit à côté de moi, mettant son engin à ma portée pour que j’en fasse ce que bon me semble.
Je tendis la main pour le saisir, et le tirer presque brutalement pour le mettre au niveau de ma bouche. Je voulais d’abord l’embrasser, pour lui dire combien il me plaisait. Je ne voulais pas de fellation (pas encore !), ni qu’il me baise par la bouche. Ce que je voulais, c’était seulement l’embrasser et le titiller avec mes lèvres et ma langue. Je voulais le lécher jusqu’aux couilles qui s’étaient contractées sous l’effet du désir, pour devenir une grosse bourse aussi dure que de la pierre. Le sexe de Kamel, était parfaitement entretenu, comme tout le reste de son corps : il n’y avait pas la moindre trace de poils sur la hampe, ni sur les couilles, ni même sur le pubis. Pas même ces petits points noirs sur le pubis qui indiquent que les poils étaient entrain de repousser. Rien de tout cela : il devait s’épiler régulièrement, comme les femmes s’épilaient, de manière à ce que les poils mettent le plus longtemps possible à repousser.
Kamel, en fait, s’épilait tout le corps, y compris les jambes et les bras. Seules les aisselles gardaient une petite touffe de poils. Il était vraiment beau ! Et son zob l’était encore plus pour moi ! Je me mis à promener ma bouche tout le long du manche, en léchant toute la hampe, les couilles et le gland. Ce gland là me fascinait littéralement, comme me fascinaient ceux de son frère et de son père Mohand : il ressemblait vraiment à une superbe tête de champignon (une amanite phalloïde !), mais en plus dur et plus doux. C’était une véritable machine pour mes fantasmes. J’ai toujours adoré les beaux zobs, bien gros, grands et forts. C’était pour moi les seuls capables de me donner du plaisir et de m’emmener au septième ciel.
Celui de Kamel était de ceux-là : un zob qui me remplissait complètement le vagin ou le cul et qui faisait très mal quand il pénétrait en n’importe lequel de mes trous. Un zob qui me limait le tunnel et qui me mettait en transe. Un zob dont je ressentais toute la force et qui restait en érection longtemps encore après m’avoir emmené au paradis. Un zob qui me disait à tout moment : « C’est moi le maître des lieux !» « C’est moi ton maître ! ». Jusque là je n’avais connu que de beaux engins : grands gros et puissants : celui de Slim en premier qui m’avait transporté de bonheur, et qui me transporte toujours ! Celui de Sofiane ! Celui de Mohand ! Et maintenant celui de Kamel ! Je me considérais comme une femme parfaitement satisfaite par la force et la puissance des sexes de ses hommes !
Et Kamel, ce matin là était entrain de présenter son magnifique zob devant ma bouche pour que je l’admire, le caresse, l’embrasse et le lèche. Ce que je fis sans retenue aucune. Mais maintenant je le voulais en moi. Je voulais sentir sa puissance dans mon vagin. Je voulais fermer les yeux et laisser mes sens à l’écoute des sensations que Kamel me procurerait en me baisant comme une bête. Je voulais être la pouliche qui accueillait la saillie de son étalon préféré. Je ne voulais pas le voir me pénétrer, ni le regarder entrer et sortir de ma chatte. Je voulais que ma jouissance ne se fasse que par la sensation tactile que me procurerait ce sexe qui allait s’occuper de ma vulve, qui allait me limer le vagin, qui allait me posséder et me montrer toute sa force et sa puissance.
Et c’était bien cela qui se passa. Sans que je ne lui demande rien, Kamel me retourna pour que je me retrouve à quatre pattes devant lui, souleva mes hanches pour les mettre au niveau de son pilon et me pénétra brusquement, sans aucune précaution. Je me sentais vraiment dans la position de la pouliche qui se faisait saillir par un étalon en rut. Il me tira avec la même force et la même puissance, y allant avec de larges mouvements de son bassin. Je sentais son monstre entrer en moi et labourer mes entrailles. Il me remplissait complètement le vagin, dont il limait avec force les parois. Je sentais ses mains puissantes s’accrocher à mes hanches, pour les maintenir en position et me tirer vers son pubis, pendant qu’il m’enfonçait son engin.
Il restait un moment au fond de mon vagin en tirant encore plus fort sur ses bras et puis ressortait totalement de ma chatte, pour prendre un élan plus grand et repartir au fond d’un mouvement brusque et puissant. A chaque fois, je poussais un cri de plaisir et de joie, pour lui monter que j’aimais quand il me l’enfonçait ainsi à la hussarde, sans se soucier de la douleur qu’il provoquait dans mon vagin. En fait, il aimait me faire mal, quand il m’enfonçait son engin. C’était comme cela, qu’il me montrait toute sa force et qu’il m’indiquait qu’il était le maître. Mon maître !
Au début, il me prenait en silence; à peine s’il gémissait et avait des petits han d’effort. Puis, petit à petit, ses gémissements se transformaient en petits cris qui accompagnaient les miens et devenaient les ahanements du bûcheron s’acharnant sur un arbre centenaire. Ces han d’homme des bois, ajoutés à la force de ses coups de boutoirs, produisaient sur moi un effet aphrodisiaque énorme. Mon désir ne faisait qu’augmenter et le plaisir qu’il me donnait de même. Je ne le voyais pas me posséder, mais je le sentais et j’adorais la puissance qu’il dégageait : la puissance de ses bras qui tiraient sur mes hanches, la puissance de son bassin qui poussait son engin et surtout la puissance de l’engin lui-même qui me remplissait la chatte, qui limait violemment les parois de mon vagin, qui se comportait en seul maître des lieux et qui tirait de moi des cris de plaisir de plus en plus forts.
Je ne savais plus où j’étais ; ni qui j’étais. Je n’étais plus que la femelle complètement soumise à son mâle ! La jument possédée par son étalon ! La lionne offerte à son lion ! Je n’arrivais plus à me contrôler ! J’étais complètement à mon plaisir ! Et seul lui comptait ! Je sentais que je n’arrivais plus à retenir les balancements saccadés de ma tête; ni le flot de salive qui coulait d’entre mes lèvres. Ni les mots et les phrase qui sortaient involontairement de ma bouche, pour dire mon plaisir et en demander encore plus.
- Oui ! Oui ! Oui ! Plus fort encore ! Plus fort ! Montre-moi la force de ton zob ! Dis-moi que c’est lui le maître de mon hatchoun ! Dis-moi qu’il aime me défoncer le hatchoun ! Dis-moi hatchoun ! Je veux entendre zob et hatchoun ! Dis-le ! Dis-le !
- Zob ! Hatchoun ! J’aime le hatchoun ! J’adore ton hatchoun ! Hatchoun !
J’étais au paradis ! Mon amant me tirait en force et me disait des mots qui avaient sur moi un énorme effet aphrodisiaque. Je sentais que je n’allais pas tarder à avoir un immense orgasme. Je voulais pourtant que la séance dure encore une éternité; que le zob de Kamel reste dans ma chatte et que celle-ci devienne sa maison. Je voulais qu’il continue son œuvre de défonce. Qu’il continue à me faire mal à chaque pénétration. Mais je ne pus me retenir plus longtemps. Je partis dans un long râle de jouissance, que tout le bâtiment avait dû entendre et me mis à décharger violemment.
Kamel derrière moi en était aussi au même niveau. Il ne hurla pas comme moi, mais en poussant un dernier han de bûcheron, il s’accrocha encore plus fermement à mes hanches et intensifia le rythme de ses va-et-vient dans ma chatte. Il arrêta sa respiration et éjacula, dans une sorte de long sifflement qui provenait du fond de sa poitrine, en une seule et longue fois, tout le sperme qu’il avait emmagasiné durant la nuit. Il reprit le mouvement de pilonnage de ma vulve et fit sortir tout le foutre qu’il venait de déverser, mélangé aux quantités exceptionnelles de cyprine qu’avait sécrétées mon vagin.
Fourbu, il s’affala sur mon dos en gardant son sexe encore raide dans ma chatte. Je ne voulais pas qu’il sorte de là ! Je voulais qu’il recommence à me tirer dès que lui et moi aurions repris notre souffle. J’avais encore envie de lui ! Je commençais à penser que j’étais entrain de devenir une vraie nymphomane. Je m’allongeais sur le ventre, en prenant bien soin de garder le monstre de Kamel enfoncé dans mon vagin. Je voulais garder la sensation de ma chatte pleine d’un magnifique zob. J’avais l’impression que s’il quittait les lieux, je serais amputée de quelque chose de vital pour moi. Au bout de quelques minutes, dans cette position, je me mis à bouger les hanches pour lui faire comprendre que j’en voulais encore.
Kamel ne se fit pas prier pour recommencer. Il agissait comme un véritable étalon, toujours en rut. Kamel que j’avais vu se faire tirer par Slim et y prendre un plaisir fou, était redevenu avec moi un homme, un vrai ! Il avait un vrai désir pour moi et me tirait avec force et plaisir. Je sentais son merveilleux gourdin me limer et me bruler le vagin. Il y allait franchement, comme un taureau qui montait sa génisse. Je me retenais de crier, ne voulant pas en rajouter sur mes hurlements de tantôt et ne voulant pas réveiller l’autre groupe, que je croyais encore endormis. Pourtant, j’avais vraiment envie de hurler mon plaisir. J’avais envie de lui crier de continuer à me baiser comme cela ! Comme un Homme ! Comme mon Homme ! Comme un étalon ! Comme un taureau ! Ce matin là c’était lui mon taureau ! Il fit tant et si bien que je ne pus m’empêcher de pousser un long cri de joie, quand je sentis arriver l’orgasme et que je le vis lui aussi lâcher son foutre en moi en gémissant doucement et en bavant sur moi. Il s’écroula sur mon dos. Je me retournais pour le prendre dans mes bras, l’embrasser tendrement pour le remercier du bonheur qu’il venait de me donner. Nous restâmes ainsi de longues minutes.
C’est dans cette position que Slim, dont nous avions oublié jusqu’à l’existence pendant ces magnifiques moments, nous surprit, les bras chargés d’un immense plateau contenant notre petit déjeuner.
- Il est doué le petit ! me fit-il en venant m’embrasser sur la bouche. C’est autant un bel homme, qu’une superbe femme ! Il est comme Emmy, un vrai bisexuel ! C’est d’ailleurs pour cela qu’ils se sont choisis et qu’ils s’aiment autant !
- Tu veux dire que tu le considère comme une femme ? Que c’est une femme que tu as baisée la nuit dernière ?
- Oui ! Et que je vais encore baiser ce matin ! Après si tu veux, tu pourras lui demander comment il a découvert sa bisexualité et comment, il a perdu sa virginité anale à dix neuf ans. Mais avant cela, il faut nous sustenter ; nous avons besoin de manger pour reprendre toutes les forces que nous avons perdues depuis hier.
Kamel, qui semblait très heureux du retour de Slim et de son petit discours introductif, s’assit sagement, adossé contre le bois de la partie haute du lit, en se couvrant les jambes avec le drap. Je m’assis à côté de lui, sans trop me soucier de ma nudité et Slim s’assit au bas du lit en déposant le plateau au milieu. Nous mangeâmes tous les trois avec appétit et en silence. Chacun de nous réfléchissait à quelque chose. Je ne savais pas à quoi pensaient mes deux compagnons, mais moi je réfléchissais à ce qu’avait dit Slim au sujet de la bisexualité de Kamel. Il aimait autant tirer les femmes, que se faire tirer pas des hommes. Cela me semblait bizarre. Je ne faisais pas la relation avec moi et mes deux amantes – Emmy et Aïcha – qui étions exactement dans la même position que lui : nous aimons les hommes et en même temps nous trouvons aussi beaucoup de bonheur entre femmes. Mais dans ma tête, ce qui était normal pour nous les femmes, ne pouvait pas l’être pour un homme. Un homme ne pouvait être que viril ou efféminé. Il ne pouvait pas être les deux à la fois.
Et pourtant c’était bien de cela qu’il s’agissait : Kamel était en même temps un étalon qui se comportait en étalon avec les femmes – et il me l’avait prouvé à plusieurs reprises – et une femelle – pouliche pour garder l’image du couple équin – qui trouvait son bonheur dans les coups de boutoir de son mâle. Il allait encore me le prouver, juste après avoir avalé le petit déjeuner. Slim, que je soupçonne d’avoir fait exprès d’avoir abordé le sujet de bisexualité de Kamel rien que pour m’en apporter la démonstration, se mit à l’entreprendre à sa manière habituelle: brutalement et sans préliminaires.
Il retira le drap qui cachait l’intimité de son ami, le tira par une jambe pour l’amener vers lui, l’obligea à se retourner pour lui présenter sa croupe, lui souleva les hanches pour les mettre à hauteur de son pubis à lui. Il sortit alors son gros engin du pantalon de jogging qu’il portait et, sans autre forme de procès, enfila le cul de Kamel. Ce dernier poussa un petit cri qui semblait signifier qu’il avait eu mal, mais Slim ne s’en préoccupa aucunement. Il continua à le tirer comme cela, en force et sans précaution, en gémissant doucement de plaisir. Il prenait visiblement du plaisir dans le cul de Kamel. Ce dernier aussi commençait à montrer qu’il aimait être possédé ainsi. Il ne disait rien; il ne poussait pas des cris de plaisir; c’était à peine s’il gémissait doucement, de manière presque imperceptible; comme s’il avait honte de montrer son plaisir devant moi.
Mais à la manière dont il bougeait ses hanches pour être au diapason des coups de boutoir de son amant, à son sexe qui bandait et frémissait et qu’il tenait dans sa main et aussi à la manière dont sa bouche lâchait des filets de salive, je compris très vite qu’il prenait un énorme plaisir à se faire tirer comme cela. Slim me regardait avec ses yeux moqueurs, pour bien me montrer que c’était lui qui avait raison. Comme toujours d’ailleurs ! Le spectacle ne dura pas très longtemps. Ils jouirent en même temps : Slim déversant son sperme à l’intérieur du cul de Kamel et celui-ci se masturba frénétiquement pour éjaculer le peu de sperme qui lui restait, après les séances qu’il avait eues avec moi.
Ils s’affalèrent tous les deux sur le lit, allongé sur le ventre l’un à côté de l’autre. Slim souleva son torse et s’appuya sur les coudes, regarda son ami et lui dit :
- Raconte à Warda comment tu as compris que tu aimais autant les hommes que les femmes. Raconte-lui ta première expérience homosexuelle.
Kamel rougit un peu en me regardant par en dessous. Il n’avait pas encore le courage de me regarder droit dans les yeux. Comme s’il avait peur du jugement négatif que je pouvais avoir à son encontre. Puis comme mu par le désir de s’expliquer et de se dédouaner à mes yeux, il commença le récit que voici :
«En deux mots, voilà ce qui m’est arrivé. Jusqu’à dix neuf ans j’étais un garçon normal. J’aimais exclusivement les filles et j’avais même beaucoup de succès auprès de la gent féminine. Les filles me trouvaient beau et beaucoup d’entre elles voulaient « me croquer ». J’avais une vie sexuelle équilibrée et baisait assez souvent. J’avais comme maîtresse régulière, la femme de ménage de ma mère, qui venait toutes les matinées s’occuper de la maison où nous vivions, maman et moi.
C’était une belle africaine qui devait avoir à cette époque quarante ans, divorcée de son mari, reparti vivre au Mali, son pays d’origine. Elle ne voulait absolument pas l’accompagner, vu le mode de vie rétrograde qu’elle savait y trouver. Elle était chez nous depuis environ deux ans, quand subitement je m’étais découvert une passion pour son immense poitrine et ses énormes fesses, haut perchées. J’avais essayé de lui faire l’amour à plusieurs reprises sans y réussir. Elle avait toujours refusé de coucher, par fierté, avec le fils de la patronne. Et puis un jour, elle céda à mes harcèlements devenus quotidiens. Peut-être parce que ce jour là j’avais insisté plus que d’habitude, peut-être qu’elle avait vu le devant de mon pantalon devenu énorme et qu’elle était en manque de beau zob; peut-être qu’elle aussi me trouvait beau; toujours est-il que depuis, elle était devenue ma maîtresse attitrée et qu’elle m’avait enseigné tout ce que je sais sur le sexe. Elle était magnifiquement chaude et aimait faire l’amour, de manière libre et naturelle.
Elle avait un fils, Patrice, qui avait mon âge et qui était dans la même classe de lycée que moi. Nous étions amis. Il ne savait pas pour sa maman et moi. Il était tout en puissance, bâti comme une armoire à glace. Il avait les traits africains, mais pas trop prononcés, en dehors de sa couleur de peau d’un noir d’ébène, et de ses grosses lèvres charnues et avancées. J’aimais beaucoup sa compagnie et lui aussi aimait la mienne. Nous avions un troisième ami, Jean Michel, un breton originaire de la ville de Brest, qui était en fait plus particulièrement l’ami de Patrice, qu’il suivait partout comme un toutou. Il était aussi dans la même classe que nous.
Nous eûmes notre baccalauréat ensemble, et partîmes fêter cela en organisant une randonnée pédestre dans la montagne des Vosges. Ce fut au cours de cette randonnée que la chose arriva. En bivouac, la nuit, nous allumions un feu de camp au bord d’un point d’eau et l’on dinait (de conserves) en discutant et plaisantant sur tous les domaines de la vie. La deuxième nuit, la discussion porta plus particulièrement sur le sexe; sur les envies, sur les érections des uns et des autres, sur nos préférences sexuelles, sur la longueur et la grosseur de nos sexes. Patrice subitement nous dit qu’il était en rut et qu’il avait envie de se faire masturber. Je vis le visage de Jean Michel - Mimi - s’illuminer, comme s’il attendait cela depuis longtemps.
Il sortit l’immense queue de Patrice – beaucoup plus longue et grosse que la mienne, qui était pourtant d’une bonne taille – et se mit à le masturber. Il sortit sa propre queue – beaucoup plus normale et me demanda de le masturber. J’étais abasourdi par la tournure que prenaient les évènements. Surtout que Patrice se tourna vers moi et se mit à me caresser le sexe sous le pantalon.
- Sors-le ! ordonna-t-il d’une voix qui n’admettait pas de réplique.
Je sortis donc mon zob que l’immense paluche de Patrice se mit à caresser avec douceur, jusqu’à ce que je me mette à bander comme un bouc. Je pris moi-même la queue de Mimi et tous les trois nous entreprîmes de nous administrer une masturbation mutuelle. Je bandais beaucoup et étais très excité. Je ne disais rien; parce que je ne savais pas quoi dire. Mimi et Patrice avait d’évidence l’habitude de se faire plaisir mutuellement. Ce qui me fascinait surtout, c’était le regard de chien fidèle que Mimi portait sur Patrice. Je venais de découvrir qu’il en était amoureux ! Vraiment amoureux ! Comme une fille pouvait être amoureuse d’un beau garçon. La lumière se fit subitement dans ma tête : Patrice et Mimi étaient un couple homo.
Je connaissais bien Patrice et je connaissais une grande partie de ses conquêtes féminines. Il y avait les filles du lycée, noires pour la plupart, qui se crêpaient le chignon pour lui. Mais il y avait surtout, la grosse boulangère qui en pinçait pour lui et qu’il tirait les après-midi dans l’arrière boutique. Il me racontait souvent tout ce qu’ils faisaient ensemble. Il ne me semblait pas qu’il se vantait, quand il disait qu’il faisait grimper sa maîtresse aux rideaux et qu’elle était folle de sa queue. Je ne pouvais donc pas imaginer qu’il pouvait aussi aimer les garçons.
A un moment, Mimi s’arrêta de branler Patrice et défit complètement son pantalon qu’il enleva, il resta en slip, regardant son ami avec des yeux suppliants. Il lui demandait silencieusement de l’entreprendre. Mais Patrice ne fit rien. Il continuait de me caresser le sexe avec savoir-faire, tirant de moi des gémissements de plaisir. Et puis tout bascula. Il enleva sa main de mon sexe, se leva et dit d’une voix forte :
- C’est Kamel que je vais sodomiser cette nuit !
C’était comme si le ciel venait de me tomber sur la tête. Patrice, mon ami Patrice, voulait me sodomiser, alors qu’il savait pertinemment que j’étais un hétéro intégral. Il n’était pas question, bien sûr que je me laisse faire. Mais au lieu de me lever et de prendre mes jambes à mon cou; ou alors de m’opposer physiquement à lui pour marquer mon refus, je restais là assis, ne disant rien et ne faisant rien. Quelque chose de plus fort que moi me retenait; m’empêchait de m’enfuir. Il vint se mettre à genoux derrière moi pour m’envelopper de tout son corps. Il était plus grand et plus large que moi. Je sentais toute la force qu’il dégageait. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque.
Ses immenses bras me serraient très fort et une de ses mains se mit à me caresser la poitrine. Je ne portais qu’un léger tee-shirt et je sentais toute la douceur de ses caresses, en complète antinomie avec la force de ses mains. Je commençais à ressentir une sensation que je ne connaissais pas encore. Une douce chaleur s’insinuait dans mon corps, venait s’installer au niveau de mon bas ventre et irradier en cercles concentriques à l’intérieur de tous mes viscères. Je sentais mon sexe s’émouvoir et se réveiller. Et surtout, sensation complètement inconnue jusque là, je sentais mon anus palpiter.
- Je vais t’enculer et tu en ressentiras du plaisir ! Et même si tu résistes, ce sera la même chose ! Laisse-moi faire, tu verras que tu aimeras !
Il me parlait à l’oreille tout doucement. Sa voix était douce et chaude. Et convaincante ! Paradoxalement, j’étais très calme. Serein même. Comme s’il ne s’agissait pas de moi. Je le sentis qui me relevait pour me mettre debout, son corps enveloppant toujours le mien. Ses mains se mirent à défaire le ceinturon de mon jean et dégrafèrent le bouton qui retenait le pantalon. Il s’éloigna de quelques centimètres et rabaissa complètement le jean sur mes chevilles. Il entraîna en même temps le slip. Je me retrouvais les fesses et le sexe en l’air. Je ne ressentais aucune honte, ni aucune gêne. J’étais dans l’attente de ce qui allait suivre. J’étais même impatient de découvrir la suite.
Il posa sa main droite sur une de mes fesses et la caressa avec douceur. Je sentais la chaleur qu’elle me communiquait et qui faisait palpiter encore plus fort mon anus. Je voulais sentir cette main écarter mes fesses et s’emparer de mon anus. Je bandais comme un âne, en attendant qu’un doigt pénètre à l’intérieur de mon cul, pour éteindre le feu qui commençait à me consumer de l’intérieur. Et quand le doigt, gros et long, de Patrice entra dans le tunnel, sans précaution, je ressentis, en même temps que de la douleur, comme une sensation de fraicheur qui venait s’appliquer sur mon cul en chaleur. Je poussais un petit cri, dont je ne savais pas s’il était de douleur ou de plaisir.
Patrice farfouilla longuement dans mon boyau, cherchant à élargir le trou. Il comprenait que j’éprouvais du plaisir à être ainsi labouré par son doigt. Il s’arrêta brusquement me prit par la taille, me plia en deux, m’obligeant à me remettre à genoux. D’une main, il appuya sur mon épaule droite pour m’indiquer qu’il fallait que je me mette à quatre pattes. J’obéis à la pression et me retrouvai les hanches relevées et les fesses offertes. J’attendais qu’il me pénètre comme cela, à sec en me faisant atrocement mal. J’attendais cette pénétration presque avec impatience. Elle ne vint pas tout de suite.
- Mimi, ramène la vaseline et viens en enduire le cul de Kamel ! commanda-t-il d’une voix forte.
Jean Michel, qui était toujours cul nu, s’empressa d’obéir, en ouvrant la boite qu’il tenait en main et en y plongeant deux doigts pour y ramasser une grosse noix de vaseline. Il vint derrière moi et je sentis les deux doigts enduire mon anneau d’une graisse froide. Les doigts furent très rapidement remplacés par l’immense gland de l’immense zob de Patrice, qui ne tarda pas à donner une forte poussée à son bassin pour le faire pénétrer tout entier, en une seule fois, à l’intérieur de mon rectum. Je sentis mon anneau céder sous la très forte pression du zob et une douleur atroce m’envahir. Je poussais un énorme hurlement et essayais de retirer mon cul pour que l’engin en sorte. Peine perdue; les énormes mains de Patrice me tenaient comme un étau. Il m’était impossible de me libérer. Il commença immédiatement un mouvement forcené de va-et-vient dans mon cul, sans tenir compte de la douleur qu’il provoquait, ni de mes cris. Au bout d’un court moment, mes cris cessèrent. A la douleur toujours présente, venait maintenant se mélanger une agréable sensation de chaleur, créée par cet énorme zob qui rabotait mon cul et qui le remplissait en entier.
Je crois que c’est avant tout cette sensation de cul plein du zob de Patrice, qui m’avait plu. Une sensation étrange, douloureuse et agréable en même temps. Et puis ces allers-retours en force du gros zob, qui commençait son voyage juste à l’entrée de l’anus pour ne le finir qu’au moment où le bas ventre de mon amant cognait sur mes fesses, créait une autre sensation toute aussi agréable : celle du gland de l’immense zob qui limait furieusement la paroi de mon rectum et y mettait le feu. Un feu qui ne brulait pas, mais qui réchauffait tout mon cul et qu’au fond de moi, je voulais garder éternellement. Et il y avait la sensation de mon cul complètement rempli par ce gros sexe, qui en avait fait son nid, sa maison et d’où je ne voulais pas qu’il sorte.
Quand Patrice éjacula en moi, un sperme abondant, épais, visqueux et plus brulant encore que les frottements, je ressentis comme du bonheur. Le gros zob qui me limait allait et venait maintenant plus facilement avec le sperme comme lubrifiant, qui ajoutait de la douceur à la force de tantôt. Je sentais tout le foutre s’échapper de mon cul et s’écouler en dehors sur les couilles de mon amant et sur les miennes. Mon sexe à moi était encore en érection, je voulais moi aussi jouir et je ne pouvais le faire qu’en éjaculant. Je le pris dans la main droite et me mis à le branler. Patrice qui me voyait faire et qui était encore complètement enfoncé en moi, appela Mimi pour lui ordonner de me sucer, pendant que lui restait encore dans mon cul. Mimi se mit presque à plat ventre devant moi et me fit une belle fellation qui me fit éjaculer une quantité impressionnante de sperme dans sa bouche et sur son visage. Il en avala une partie et recracha une autre.
C’est comme cela que j’appris que j’étais bisexuel. Mais jusque là je ne m’étais fait enculer que par Patrice. Mon deuxième amant a été Slim. Avec Patrice, nous avons continué longtemps ensemble. Maintenant encore, nous partageons toutes nos amours: mes femmes sont les siennes et ses femmes sont les miennes. Le seul problème avec Patrice, c’est que lui est un actif intégral: jamais il n’avait accepté de se faire enculer ; même pas par moi, qui avais voulu un jour essayer et qui essuya un refus catégorique. Il aimait beaucoup baiser des garçons mais aucun garçon ne peut se targuer de l’avoir jamais baisé. Notre ami Mimi avait fini par s’en aller à Los Angeles aux Etats-Unis, parce qu’il jugeait qu’il avait perdu son grand amour, qui ne s’occupait plus de lui que par intermittences et qu’il pensait trouver en Californie l’amour, ou les amours, de sa vie.
J’ai découvert autre chose, chez Patrice qui l’avait encore plus rapproché de moi : il était depuis longtemps – depuis l’âge de dix-huit ans, l’amant de ma mère. Il ne me l’avait jamais avoué, comme moi, je ne lui avais jamais avoué que je couchais avec sa mère, à lui. Quand nous l’avouâmes mutuellement, cela nous avait plus rapprochés, qu’éloignés. Bien sûr nos mères ne surent jamais que nous étions au courant de leurs turpitudes avec nous (C’était plus grave pour maman, qui était mariée et – semble-t-il, bien mariée – mais qui ne pouvait absolument plus se passer de l’immense engin de Patrice, dont elle était devenue réellement l’esclave).
Et puis, Patrice, qui était devenu un vrai champion de karaté, s’engagea dans une agence de gardes du corps spécialisée dans l’escorte des peoples et moi j’étais devenu mannequin. Nous gagnons bien notre vie et continuons à nous voir et à partager nos expériences amoureuses. Actuellement c’est Emmy que nous nous partageons. Elle aime autant Patrice que moi et est, elle-aussi, devenue complètement accro du monstre qu’il porte entre ses cuisses.
- J’aimerai bien connaître ce monstre ! ne pus-je m’empêcher de proclamer.
- Quand tu veux, ma belle ! répondit Kamel, avec son beau sourire ! Je connais Patrice, il ne saura pas résister à ton charme ! Ni toi au sien !
Et depuis, le gros zob de Patrice hanta mes nuits. J’en faisais part à Slim, qui en rigolait franchement, mais qui réfléchissait sérieusement à un voyage pour moi à Paris, pour faire la connaissance de Patrice et de son énorme sexe.
Nous fûmes rejoints par le trio qui avait passé la nuit dans l’autre chambre, avec à sa tête, magnifique dans sa nudité la superbe Emmy. Elle vint sauter sur moi pour m’embraser et me dire que je lui avais manqué et qu’elle était jalouse des cris de plaisir que je poussais tantôt. Le trio ne dormait donc pas ! Ils s’étaient réveillés presque en même temps que nous et passèrent le temps à se bécoter et, pour les filles, à s’occuper à titiller l’engin de Sofiane et à se faire tirer par lui. Emmy me dit que ce matin, elle avait été sodomisée deux fois de suite et qu’elle avait bouffé deux fois de suite la chatte de Aïcha.
- Et j’ai encore envie de baiser ! Je veux baiser avec mon Kamel qui ne m’a pas encore entreprise depuis que nous sommes arrivés. Je ne veux pas qu’il oublie que je suis sa fiancée et que j’ai des droits sur lui ! Montre-moi ton zob que je le réveille ! Je sais que Warda t’a mis sur les jantes et qu’il me faudra beaucoup de savoir-faire pour te faire encore bander ! Mais je relève le défi !
En fait, il ne fallut que quelques secondes à Emmy pour arriver à ses fins. Kamel, que l’histoire qu’il venait de nous raconter avait émoustillé (probablement le souvenir de la taille et de la force du zob de son ami), banda très fort sous les coups de langue de sa fiancée. Il était toujours allongé sur le dos et se laissait tripoter en souriant. Quand Emmy jugea que le monstre était à point, elle se mit à califourchon sur les cuisses de Kamel et s’empala farouchement sur le beau zob, dressé comme un dard vers le plafond. On aurait dit une amazone chevauchant un étalon sauvage, tellement elle y mettait d’énergie. Je regardais son visage dont les muscles étaient tirés par l’effort qu’elle faisait et ses yeux qui brillaient en me regardant. Elle me souriait, m’invitant en silence à m’approcher d’elle et à la caresser.
Je me rapprochais du couple qui copulait en gémissant fortement et me mit à caresser la merveilleuse poitrine de l’eurasienne. Cette douceur de peau ! J’avais oublié combien elle avait la peau lisse, ferme et douce. Et électrifiée ! C’étaient de véritables petites décharges électriques que mes mains recevaient, au contact des seins fermes et tendus, comme des obus de canon. Elle me regardait toujours dans les yeux, avec sur ses lèvres un sourire de bonheur. Elle continuait à chevaucher furieusement son homme, en laissant couler un fin filet de salive de la commissure de ses lèvres. J’allais cueillir cette salive, que je bus avec délectation, tout en l’embrassant au passage sur la bouche.
Ce fut le moment que choisit Slim, toujours aussi imprévisible, pour venir entreprendre les fesses de la fille. Il faut dire qu’il était au bas du lit et avait une vue imprenable sur le cul d’Emmy. Mon mari avait toujours été incapable de résister à l’appel d’un beau cul. Celui de la femme devant lui, lui criait de le pilonner. Il ne se fit pas prier et y alla, à la hussarde, comme à son habitude. Emmy poussa un petit cri mêlant douleur et plaisir, se retourna pour voir à qui appartenait l’engin qui la pénétrait, envoya un sourire lumineux à Slim et recommença sa chevauchée fantastique.
Le spectacle que faisait les trois corps enchevêtrés – plus le mien qui n’était pas entremêlé au leurs, mais qui participait à la scène par des caresses sur la belle amazone – était du meilleur effet. D’un érotisme super ! J’aurai aimé que le spectacle fût filmé, pour que nous puissions le regarder à notre aise plus tard. Emmy était au paradis, avec les deux merveilleux sexes enfoncés en elle; qui lui remplissaient ses deux trous; qui se croisaient en elle et se frottaient l’un à l’autre; qui lui procuraient de magnifiques sensation de vertige et l’amenaient au bord de l’évanouissement; qui allaient lui faire avoir un superbe orgasme. Elle cria très fort et déchargea sur Kamel une forte quantité de jus qui vint s’écouler sur les couilles de l’homme. Elle était fatiguée et vint poser sa tête sur la poitrine de son fiancé, tout en laissant ce dernier continuer à la tirer pour avoir lui aussi sa part d’orgasme.
Slim, quant à lui continuait imperturbablement à pilonner le cul de l’eurasienne. Je voyais qu’il y prenait un plaisir fou. Il gémissait doucement et tirait de plus en plus fort sur ses bras. Je voyais qu’il n’était plus avec nous : il avait les yeux injectés de sang. Il regardait son gros zob entrer et sortir d’entre les fesses de la belle et en bavait d’excitation et de désir. Le spectacle le faisait pâmer. Je vis qu’il avait arrêté sa respiration et serré les mâchoires et je sus immédiatement qu’il allait jouir. Et il jouit en silence comme à son habitude, en éjaculant encore beaucoup de sperme, alors que je pensais qu’il ne lui en restait plus, après la séance qu’il avait eue tantôt avec Kamel. Kamel, lui eut une jouissance plus petite que les deux autres, mais semblait très heureux de ce qui venait de se passer.
Et devinez ce que Slim fit juste après avoir sorti son zob ramolli du cul d’Emmy ! Il me fit signe de m’approcher et de m’occuper de le lui nettoyer avec ma bouche. Et devinez ce que je fis ! J’appelais Emmy pour que nous occupions de nettoyer le membre de Slim avec nos deux bouches. Et devinez ce que nous ressentîmes ! Un bonheur immense d’être ensemble; de nous aimer à six et de prendre pleinement notre pied. Nous souhaitions tous les six que le temps s’arrêtât et pour que nous restions ainsi toute l’éternité.
Bien sûr le temps ne s’arrêta pas et notre groupe dut se séparer quelques jours plus tard : Kamel et Emmy repartirent chez eux en France, laissant en nous un immense vide. Nous reprîmes notre vie à quatre et continuâmes à nous aimer comme au premier jour. Quelques temps après le départ du couple, Mohand, le père de Sofiane se manifesta, réclamant le retour de sa femme à la maison. Mais en plus il réclamait ma présence !
Mais ceci est une autre histoire………
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Les avis des lecteurs
Dans le cycle Warda et Slim on passe directement du chapitre 4 au chapitre 7. Où sont les 5 et 6 ?