Les inconnus du Capitole
Récit érotique écrit par Sibyllin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2016 dans la catégorie Plus on est
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Les inconnus du Capitole
Les inconnus du Capitole
Train de nuit Paris-Toulouse, à une époque où ce voyage était encore une aventure. Couchette 1ère classe. Quand je monte à bord et entreprends de déposer mes maigres affaires, je suis seul dans le compartiment. Le train part dans 20mn, j’ai amplement le temps de préparer mon modeste mais confortable espace vital. Oreillers, couvertures, sans oublier un chiffon en cas de furieuse envie d’orgasme solitaire. Je m’octroie une des couchettes du haut, j’aime bien dominer la situation.
La speakerine de la gare annonce l’imminence du départ. Génial, je vais être tout seul ! Pas de ronfleurs, pas de promiscuité ! Quoique…une compagnie féminine me serait agréable, j’avoue. Mais je ne rêve pas : je fais ce trajet depuis des années et ça ne m’est jamais arrivé. D’où la présence de mon mouchoir à sperme.
La porte du compartiment s’ouvre brutalement, à toute volée ! Merde, je peste in petto.
- Bonsoir et bienvenue à bord, je dis, un tantinet hypocrite- Bonsoir ! répondent la femme et l’homme d’une seule voix Ils ont une quarantaine d’années. Bien assortis. Un peu bobos. Elle est brune, de taille moyenne, yeux très noirs et sourire engageant. Il est mince, entretenu et son regard est franc, dégageant une certaine assurance. Nous échangeons quelques banalités pendant qu’ils jettent leur dévolu et leurs effets sur les deux couchettes inférieures.
Le convoi s’ébranle (ça ne s’invente pas), prend rapidement de la vitesse, traverse les banlieues désertes à cette heure, atteint les premières forêts. La lumière du compartiment s’est mise automatiquement en mode veilleuse. Je trouve la température un peu élevée et choisis de me débarrasser de mes vêtements pour ne garder que mon caleçon. L’homme et la femme échangent à voix basse mais avec le bruit du roulis je ne parviens pas à distinguer leurs paroles.
- Bonne nuit à vous, je dis- Vous aussi, à demain !
Somnolence, bercé par les mouvements du train.
Dans mon demi-sommeil, pourtant, il me semble entendre un gémissement. Je dois commencer à rêver. Mais un second se produit, immédiatement suivi d’un autre, plus sourd et plus rauque. Cette fois je suis bien réveillé. Je m’approche doucement au bord de ma couchette et risque un œil. J’hallucine ! Le mec est assis sur sa couchette et sa nana à genoux lui taille une pipe d’une puissance inouïe ! Etant légèrement de profil, je vois parfaitement la bouche coulisser sur le membre, jouer avec le gland comme une chienne, le ressortir, en parcourir les veines jusqu’aux couilles aussi gorgées qu’épilées. Elle se régale terriblement, et les gémissements que j’ai entendus proviennent bien des deux amants. Pendant qu’elle le bouffe partout, elle gémit du plaisir qu’elle lui donne ! Ses cheveux se promènent sur ses épaules au gré de ses saccades, ses seins superbes, dansant en rythme. La lumière est assez basse mais il me semble voir qu’elle lui doigte généreusement le cul pendant qu’elle le suce de toute sa bouche. Oui je la vois maintenant, elle a fourré deux doigts et le ramone copieusement, ne s’interrompant que pour les porter à sa bouche afin de les lubrifier mieux…Moi je bande douloureusement et je suis obligé de me caresser. C’est dingue !
Le mec halète de plus en plus fort, il va lui arroser la langue d’un geyser de foutre brulant, et elle, vorace et affamée de jus, s’active dans ce but…Contre toute attente, il repousse gentiment mais fermement la lionne en chaleur. Il veut que ça dure, le voyage est encore long. Frustrée, elle se lève d’un coup dans le compartiment et nos regards se croisent, flamboyants, ne prenant même pas le temps de se dissimuler derrière quelconque convenance. Le sien dévie de quelques angles et se pose sur ma main en flag sur ma queue luisante.
- Oh mais je vois que Monsieur est en forme !
- Il faut dire que le spectacle aurait fait bander un moine eunuque !
Elle sourit.
- Mon mari et moi aimons bien les expériences sexuelles débridées et insolites, tu te joins à nous ?
- Euh…Pas le temps d’hésiter, la diablesse se hisse sur l’échelle et s’empare de ma queue, dégageant ma propre main d’une moue dédaigneuse. Pendant qu’elle commence à me branler sans oublier de visiter tout mon entre-jambes en insistant sur les points névralgiques, je vois son mec qui se lève et s’approche. Forcément, il a le cul de sa femme à portée de langue. J’aurais fait comme lui : il écarte les deux lobes charnus et lui bouffe la rondelle en lui caressant le clito du bout des doigts tandis que sa paume masse sa vulve et l’entrée du trou resté libre.
Tout en gémissant sous l’assaut, elle gravit un nouvel échelon, de sorte que l’homme peut lui déguster toute la fente baveuse…et que moi je peux proposer une sucette à Madame. Elle décalotte mon gland d’un air gourmand, approche délicatement la pointe de sa langue de mon méat pour récolter la grosse goutte de mon petit-jus. Je la vois rouler sur ses papilles, et s’étaler sur ses lèvres carmines comme si elle voulait les lubrifier avec ma mouille. En me matant droit dans les yeux, elle commence par lécher ma tige puis j’ai le droit à la totale, la complète, du nombril au bas du dos. Je tendais, elle prenait. Je me tourne, lui présente mon œillet, elle le lèche avec grâce, le pénètre, le lime à grands coups de langue, c’est terriblement bon…Et c’est sans doute ce qu’elle ressent puisque son homme lui prodigue la même caresse anilinguale.
- J’ai envie de ta queue dans mon ventre, maintenant, elle me dit- La SNCF a pas prévu de wagon-baise, je réponds, va falloir se contorsionner.
Elle se marre, son mec aussi. On va se débrouiller ! Hop ! Les deux couchettes supérieures sont rabattues contre les parois. Restent les deux du bas. On y voit plus clair. Elle se met directement en levrette, m’offrant le spectacle sublime de son petit trou palpitant et de ses lèvres écartées sur une bouche avide. Je promène mon dard sur sa vulve, du clito au vagin, remonte sur l’anus…- Vas-y bourre-moi ! elle feule.
Joignant le geste, elle chope ma queue d’une main ferme pour se l’enfourner d’un seul coup jusqu’à la garde ! Elle soupire d’aise d’être ainsi remplie. Je la saisis par les hanches, écartant ses fesses je reluque sa jolie corolle brune et plissée – attends un peu, toi, je pense, avant de me déchainer et de la baiser de toutes mes forces, heurtant mon pubis contre son cul, ressortant entièrement ma queue de sa chatte pour le plaisir de voir son orifice réclamer ma présence par des spasmes sans équivoque. J’aime aussi mater, j’avoue, mon gland gonflé de désir tout barbouillé de sucs de jouissance se pointer à l’entrée de la porte magique.
Pendant ce temps, son homme se fait joyeusement aspirer les couilles et doigter le cul, il est aux anges.
Elle crie de plus en plus fort sous mes assauts, elle va jouir. Elle hulule. C’est précisément à ce moment que son mec a la bonne idée de se glisser sous son ventre pour lui pincer les seins et lui brouter la fente, je l’imagine, léchant son bouton et ses lèvres avec sa grosse langue, laquelle vient de temps à autre frôler ma tige qui navigue non loin. Curieusement, cette idée me trouble. Me donne envie de jouir, de la déborder de sperme et de gicler partout, sur la léchée et le lécheur…Ce fantasme délirant et inconnu s’évapore aussitôt, la belle a fait comprendre à l’homme qu’elle voulait s’empaler sur son dard. Mystères des phéromones ? Aucun mot mais quelques secondes plus tard, il est allongé sur le dos et elle le chevauche. Le geste est superbe, coordonné, efficace. La queue du mec entre et sort d’elle en caressant lèvres et clito, l’angle est parfait et leurs halètements mêlés en témoignent.
Je parlais d’angle parfait…Le mot n’est pas trop fort puisque il a l’avantage de dégager ses fesses et son petit trou, comme une invitation, une offrande.
- Viens, elle souffleUn peu maladroitement compte tenu de l’exiguïté de la couchette, je me fraie une place dans la forêt de jambes entremêlées. Comment résister à l’envie de lui butiner l’anus ? Je ne résiste pas ! Ma langue fouille son trou à quelques de la queue de son mec qui la pistonne vigoureusement. C’est encore assez troublant. Vraiment étrange…Surtout quand malencontreusement ma langue rencontre sa peau…Mais je n’ai encore pas tout ressenti…Son anus m’accueille sans aucune difficulté, au contraire, on dirait qu’il avale ma queue. Je l’enfile complètement, jusqu’à mes couilles qui viennent buter contre sa chatte…mais au gré des mouvements des uns et des autres, pas toujours, il y a d’autres couilles dans les parages…Décidément…Une autre impression nouvelle nait en moi. Au travers de la fine paroi qui sépare l’anus et le vagin, la queue du mec se frotte contre la mienne !
Elle crie, sa tête et ses cheveux noirs volent en tous sens sur ses épaules blanches, c’est terriblement bon pour chacun d’entre nous, le mec gémit de plus en plus fort, je sens la sève bouillonner dans mes gonades, vibrations à l’unisson de ce trio impromptu et improbable.
Râles des males qui déversent leur torrent de jouissance brulante dans le corps de la femme qui hurle son orgasme, totalement abandonnée à la déferlante, à la dérive sur les vagues sismiques…Nous sommes tous haletants et couverts de foutre, lorsque nous nous vautrons sur les couchettes comme des naufragés.
Je ne connais pas ton prénom Madame, ni toi le tien, Monsieur. Tout ce que je sais, c’est que je vous aime d’avoir partagé avec moi votre vaisseau spatial vers la galaxie du Plaisir Absolu.
Je sais aussi que, bien que n’étant pas homosexuel, cette soirée hors du temps et si proche d’un mec m’aura ouvert à de nouvelles sensations…C’est demain. La gare. Le quai et chacun qui s’en va vers sa route après juste un clin d’œil et un sourire complice. Ça vaut tous les discours.
Train de nuit Paris-Toulouse, à une époque où ce voyage était encore une aventure. Couchette 1ère classe. Quand je monte à bord et entreprends de déposer mes maigres affaires, je suis seul dans le compartiment. Le train part dans 20mn, j’ai amplement le temps de préparer mon modeste mais confortable espace vital. Oreillers, couvertures, sans oublier un chiffon en cas de furieuse envie d’orgasme solitaire. Je m’octroie une des couchettes du haut, j’aime bien dominer la situation.
La speakerine de la gare annonce l’imminence du départ. Génial, je vais être tout seul ! Pas de ronfleurs, pas de promiscuité ! Quoique…une compagnie féminine me serait agréable, j’avoue. Mais je ne rêve pas : je fais ce trajet depuis des années et ça ne m’est jamais arrivé. D’où la présence de mon mouchoir à sperme.
La porte du compartiment s’ouvre brutalement, à toute volée ! Merde, je peste in petto.
- Bonsoir et bienvenue à bord, je dis, un tantinet hypocrite- Bonsoir ! répondent la femme et l’homme d’une seule voix Ils ont une quarantaine d’années. Bien assortis. Un peu bobos. Elle est brune, de taille moyenne, yeux très noirs et sourire engageant. Il est mince, entretenu et son regard est franc, dégageant une certaine assurance. Nous échangeons quelques banalités pendant qu’ils jettent leur dévolu et leurs effets sur les deux couchettes inférieures.
Le convoi s’ébranle (ça ne s’invente pas), prend rapidement de la vitesse, traverse les banlieues désertes à cette heure, atteint les premières forêts. La lumière du compartiment s’est mise automatiquement en mode veilleuse. Je trouve la température un peu élevée et choisis de me débarrasser de mes vêtements pour ne garder que mon caleçon. L’homme et la femme échangent à voix basse mais avec le bruit du roulis je ne parviens pas à distinguer leurs paroles.
- Bonne nuit à vous, je dis- Vous aussi, à demain !
Somnolence, bercé par les mouvements du train.
Dans mon demi-sommeil, pourtant, il me semble entendre un gémissement. Je dois commencer à rêver. Mais un second se produit, immédiatement suivi d’un autre, plus sourd et plus rauque. Cette fois je suis bien réveillé. Je m’approche doucement au bord de ma couchette et risque un œil. J’hallucine ! Le mec est assis sur sa couchette et sa nana à genoux lui taille une pipe d’une puissance inouïe ! Etant légèrement de profil, je vois parfaitement la bouche coulisser sur le membre, jouer avec le gland comme une chienne, le ressortir, en parcourir les veines jusqu’aux couilles aussi gorgées qu’épilées. Elle se régale terriblement, et les gémissements que j’ai entendus proviennent bien des deux amants. Pendant qu’elle le bouffe partout, elle gémit du plaisir qu’elle lui donne ! Ses cheveux se promènent sur ses épaules au gré de ses saccades, ses seins superbes, dansant en rythme. La lumière est assez basse mais il me semble voir qu’elle lui doigte généreusement le cul pendant qu’elle le suce de toute sa bouche. Oui je la vois maintenant, elle a fourré deux doigts et le ramone copieusement, ne s’interrompant que pour les porter à sa bouche afin de les lubrifier mieux…Moi je bande douloureusement et je suis obligé de me caresser. C’est dingue !
Le mec halète de plus en plus fort, il va lui arroser la langue d’un geyser de foutre brulant, et elle, vorace et affamée de jus, s’active dans ce but…Contre toute attente, il repousse gentiment mais fermement la lionne en chaleur. Il veut que ça dure, le voyage est encore long. Frustrée, elle se lève d’un coup dans le compartiment et nos regards se croisent, flamboyants, ne prenant même pas le temps de se dissimuler derrière quelconque convenance. Le sien dévie de quelques angles et se pose sur ma main en flag sur ma queue luisante.
- Oh mais je vois que Monsieur est en forme !
- Il faut dire que le spectacle aurait fait bander un moine eunuque !
Elle sourit.
- Mon mari et moi aimons bien les expériences sexuelles débridées et insolites, tu te joins à nous ?
- Euh…Pas le temps d’hésiter, la diablesse se hisse sur l’échelle et s’empare de ma queue, dégageant ma propre main d’une moue dédaigneuse. Pendant qu’elle commence à me branler sans oublier de visiter tout mon entre-jambes en insistant sur les points névralgiques, je vois son mec qui se lève et s’approche. Forcément, il a le cul de sa femme à portée de langue. J’aurais fait comme lui : il écarte les deux lobes charnus et lui bouffe la rondelle en lui caressant le clito du bout des doigts tandis que sa paume masse sa vulve et l’entrée du trou resté libre.
Tout en gémissant sous l’assaut, elle gravit un nouvel échelon, de sorte que l’homme peut lui déguster toute la fente baveuse…et que moi je peux proposer une sucette à Madame. Elle décalotte mon gland d’un air gourmand, approche délicatement la pointe de sa langue de mon méat pour récolter la grosse goutte de mon petit-jus. Je la vois rouler sur ses papilles, et s’étaler sur ses lèvres carmines comme si elle voulait les lubrifier avec ma mouille. En me matant droit dans les yeux, elle commence par lécher ma tige puis j’ai le droit à la totale, la complète, du nombril au bas du dos. Je tendais, elle prenait. Je me tourne, lui présente mon œillet, elle le lèche avec grâce, le pénètre, le lime à grands coups de langue, c’est terriblement bon…Et c’est sans doute ce qu’elle ressent puisque son homme lui prodigue la même caresse anilinguale.
- J’ai envie de ta queue dans mon ventre, maintenant, elle me dit- La SNCF a pas prévu de wagon-baise, je réponds, va falloir se contorsionner.
Elle se marre, son mec aussi. On va se débrouiller ! Hop ! Les deux couchettes supérieures sont rabattues contre les parois. Restent les deux du bas. On y voit plus clair. Elle se met directement en levrette, m’offrant le spectacle sublime de son petit trou palpitant et de ses lèvres écartées sur une bouche avide. Je promène mon dard sur sa vulve, du clito au vagin, remonte sur l’anus…- Vas-y bourre-moi ! elle feule.
Joignant le geste, elle chope ma queue d’une main ferme pour se l’enfourner d’un seul coup jusqu’à la garde ! Elle soupire d’aise d’être ainsi remplie. Je la saisis par les hanches, écartant ses fesses je reluque sa jolie corolle brune et plissée – attends un peu, toi, je pense, avant de me déchainer et de la baiser de toutes mes forces, heurtant mon pubis contre son cul, ressortant entièrement ma queue de sa chatte pour le plaisir de voir son orifice réclamer ma présence par des spasmes sans équivoque. J’aime aussi mater, j’avoue, mon gland gonflé de désir tout barbouillé de sucs de jouissance se pointer à l’entrée de la porte magique.
Pendant ce temps, son homme se fait joyeusement aspirer les couilles et doigter le cul, il est aux anges.
Elle crie de plus en plus fort sous mes assauts, elle va jouir. Elle hulule. C’est précisément à ce moment que son mec a la bonne idée de se glisser sous son ventre pour lui pincer les seins et lui brouter la fente, je l’imagine, léchant son bouton et ses lèvres avec sa grosse langue, laquelle vient de temps à autre frôler ma tige qui navigue non loin. Curieusement, cette idée me trouble. Me donne envie de jouir, de la déborder de sperme et de gicler partout, sur la léchée et le lécheur…Ce fantasme délirant et inconnu s’évapore aussitôt, la belle a fait comprendre à l’homme qu’elle voulait s’empaler sur son dard. Mystères des phéromones ? Aucun mot mais quelques secondes plus tard, il est allongé sur le dos et elle le chevauche. Le geste est superbe, coordonné, efficace. La queue du mec entre et sort d’elle en caressant lèvres et clito, l’angle est parfait et leurs halètements mêlés en témoignent.
Je parlais d’angle parfait…Le mot n’est pas trop fort puisque il a l’avantage de dégager ses fesses et son petit trou, comme une invitation, une offrande.
- Viens, elle souffleUn peu maladroitement compte tenu de l’exiguïté de la couchette, je me fraie une place dans la forêt de jambes entremêlées. Comment résister à l’envie de lui butiner l’anus ? Je ne résiste pas ! Ma langue fouille son trou à quelques de la queue de son mec qui la pistonne vigoureusement. C’est encore assez troublant. Vraiment étrange…Surtout quand malencontreusement ma langue rencontre sa peau…Mais je n’ai encore pas tout ressenti…Son anus m’accueille sans aucune difficulté, au contraire, on dirait qu’il avale ma queue. Je l’enfile complètement, jusqu’à mes couilles qui viennent buter contre sa chatte…mais au gré des mouvements des uns et des autres, pas toujours, il y a d’autres couilles dans les parages…Décidément…Une autre impression nouvelle nait en moi. Au travers de la fine paroi qui sépare l’anus et le vagin, la queue du mec se frotte contre la mienne !
Elle crie, sa tête et ses cheveux noirs volent en tous sens sur ses épaules blanches, c’est terriblement bon pour chacun d’entre nous, le mec gémit de plus en plus fort, je sens la sève bouillonner dans mes gonades, vibrations à l’unisson de ce trio impromptu et improbable.
Râles des males qui déversent leur torrent de jouissance brulante dans le corps de la femme qui hurle son orgasme, totalement abandonnée à la déferlante, à la dérive sur les vagues sismiques…Nous sommes tous haletants et couverts de foutre, lorsque nous nous vautrons sur les couchettes comme des naufragés.
Je ne connais pas ton prénom Madame, ni toi le tien, Monsieur. Tout ce que je sais, c’est que je vous aime d’avoir partagé avec moi votre vaisseau spatial vers la galaxie du Plaisir Absolu.
Je sais aussi que, bien que n’étant pas homosexuel, cette soirée hors du temps et si proche d’un mec m’aura ouvert à de nouvelles sensations…C’est demain. La gare. Le quai et chacun qui s’en va vers sa route après juste un clin d’œil et un sourire complice. Ça vaut tous les discours.
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